Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-08-11
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 11 août 1866 11 août 1866
Description : 1866/08/11 (N115). 1866/08/11 (N115).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719171z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris Ji fr. air. flSfr.
Départements. <5 11 le e
SAMEDI, 11 AOUT 1866. — N° 115.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
LE
CERCLE
DES
ORIGINAUX
Au bout du
pont de la
Concorde, à
gauche du
palais du
Corps Légis-
latif, les cou-
vreurs vien-
nent d'ache-
ver de poser
le toit d'une
grande mai-
son sans
physionomie
Cette mai-
son avait cinq
étages il y
a quelques
mois; elle
n'en a- plus
que quatre
aujourd'hui.
La Ville de
Paris, cédant
àun scrupule
artistique, a
racheté ce
cinquièm
étage à ses
pro pri étai-
res.
Mais la
maison abais-
sée d errieu t,e,
et c'estlàque
s'in stallera
au printemps
prochain l'un
des plus an-
S. Sainteté le Pape en se rendant à Castel (-',oiidolfo, • passe à Nemi et bénit les habitants qui se portent sur son passage.
ciens cercles de Paris, le Cercle agricole.
C'est de ce cercle que je voudrais vous
parler.
.9. *
Le Cercle agricole.a été fondé en 1834 par
les ducs de Montmorency et de Dcudeauviile,
le comte de Montguyon, M. de Sesmaisons.
Les Larochefoucault, les Mortemart, les La
Tour du Pin, les Montalembert en font ou en
ont fait partie. Nommer ses membres serait
faire la liste de tous les grands noms de
France; jusqu'en 1848, où quelques hommes
politiques pénètèrrent dans ce cercle, pas un
nom plébéien ne s'était glissé parmi eux.
Nul cercle n'est plus ((français. » Jamais il
n'est venu à l'idée de personne de le désigner
sous le nom de club. Ailleurs, on entre, on
dîne, on écrit une lettre, on échange deux
répliques ; si l'on demeure, c'est pour discu-
ter un pari, ou pour jouer. Peu de préoccu-
pation des choses de l'esprit. Ici, au con-
traire, on s'arrête, on lit, on cause. La biblio-
thèque a neuf mille volumes. Si l'on joue,
c'est au whist, au piquet, aux échecs, à des
jeux qui ne sont pas de hasard. Quelquefois
la partie est grosse; toujours les joueurs sont
sérieux. Les meilleurs joueurs de billard des
cercles pari-
siens sont
ceux du Cer-
cle agricole.
Quatre fois
par mois,
pendant l'hi-
ver, des sa-
vants, des
lettrés y don-
nent des con-
férences: M.
Payen, de
l'Institut, fait
la revue des
exposi tio ns;
M. Henry
Prat étudie
Lam en nais
et Lamarti-
ne; M. Mar-
chai de Lu-
néville parle
de la Chine,
qu'il asi bien
vue, et M.
Ph iloxène
Boyer de
Shakspeare
qu'il connaît
si bien. M.
Emile Des-
chanela le
monopole ha-
bituel de la
critique; M.
l'abbé Moi-
gneaux et M.
Babinet se
partagent ce-
lui de la-
science...
Les origi-
naux abon-
dent au Cercle agricole. C est laqu alongtemps
flori lemarquisD...,bien connu pour sa manie
de faire, tous les sept ans, maison nette.
— On vante sans cesse, disait-il, la vieil-
lesse et la fidélité de nos domestiques. Je
ne sais pas de plus mauvaise plaisante-
rie. Un domestique est passable la première
année, assez bon pendant trois ans, bon pen-
dant trois autres. Après cela, il est le maître.
t Nous terminerons dans deux jours le 2e
épisode des CONTES DU DRAPEAU. Nous
commencerons immédiatement après la pu-
blication d'un ■ émouvant récit :
LE REVENANT
HISTOIRE DU TEMPS DE LOUIS XV
Un vieux château hanté par le spectre
d'une jeune fille morte à la veille de ses
noces, les forêts solitaires et profondes
du Morvan, cette petite Ecosse du centre
de la France, tel est le décor.
Un monde de gentilshommes et depaysa.ns,
de marquises poudrées et de rudes bra-
conniers, tels sont les acteurs de ce nou-
veau drame de notre collaborateur,
M. PONSON DU TERRAIL.
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
LA MÈRE MICHEL
PAR
PONSON DU TERRAIL
XIX
Julie!te, la jeune fille qui appelait son père le
baron Fenouil Caradeuc, c'est-à-dire l'infâme
Biribi, était en contemplation, un soir, devant
une corbeille de mariage remplie de bijoux et de
dentelles.
Cependant elle soupirait et il y avait une larme
dans ses veux.
— Non: disait-elle à la vieille Gertrude je ne
pourrai jamais m'habituer à la pensée que je
dois être la femme de cet homme, et cela dans
huit jours au plus tard, car mon père le veut.
— Il faut. obéir à votre père, dit la servante
d'une voix pleine de sourde raillerie et d'amer-
tume. /
Juliette soupira plus fort.
Puisque c'est voLre père, ricana encore j
Gertrude. et que M. de Montrevel est son neveu,
par conséquent votre cousin et qu'il va être fait
colonel.
— Comme tu me dis cela !
C'est bon dit la vieille servante d'un ton
brusque; cela ne me regarde pas , après toui...
et certes, votre père a bien le droit de vous ma-
Voir les numéros parus depuis le 24 juillet.
rier comme il l'entend, et puis, j'ai fait un ser-
ment.. -
— Quel serment.
— Je ne puis le dire?
Et Gertrude se renferma dans un mutisme ab-
solu.
Mais, en ce moment, un coup de sonnette se
fit entendre.
— Voilà votre père qui rentre, dit Gertrude.
Sa voix avait toujours une inflexion railleuse,
quand elle prononçait ces mot s : « Votre père ».
Elle alla ouvrir et recula un peu étonnée.
Une femme était sur le seuil.
Cette femme, Gertrude l'avait déjà vue, ou
plutôt entrevue? mais où? mais quand?
Elle ne pouvait se le rappeler.
— Je désire parler à Mlle Juliette, dit cette
femme.
Et écartant la vieille Gertrude, elle entra et
alla droit à Juliette, qui jeta un cri.
— C'est vous, dit-elle, vous qui m'avez en-
levée !
— Oui, dit la baronne, car c'était elle. Mais
ne craignez rien... je suis une amie et je suis
seule...
En même temps elle ferma la porte, ajou-
tant :
-- Je viens vous sauver !
— Me... sauver?... dit la jeune fille avec
stupeur.
— Vous empêcher d'épouser un misérable!
— Madame!
La baronne se tourna vers Gertrude interdite:
- Vous vous nommez Gertrude? dit-elle.
— Oui... vous me connaissez donc ?
— Vous êtes née en Sologne !
— Oui, balbutia la servante.
— Vous étiez la sœur de lait du vrai baron da
Fenouil.
A ces mots, Gertrude poussa un cri à son tour,
et fit un pas en arrière.
La baronne continua froidement:
— Vous étiez au château, la nuit où le forçat
Germain le monstre assassina la jeune baronne
de Fenouil-Caradeuc.
— Jésus Dieu ! s'écria Gertrude, comment sa-
vez-vous cela?
— Et où le forcat Duriveau assassina Germain?
continua la baronne impitoyable.
— Seigneur! exclama Gertrude épouvantée,
les morts parlent donc !
— Je ne sais pas, répondit la baronne, mais ce
que je sais bien, c'est que depuis tantôt vingt
ans vous êtes l'esclave d'un serment d'abord et
de votre terreur ensuite.
— Madame... balbutia Gertrude.
La baronne continua, en montrant Juliette du
doigt :
— Au nom de cette enfant dont le père et la
mère ont été assassinés...
— Mon père ! exclama Juliette...
— Au nom du Dieu vivant qui nous voit et
nous juge, je vous adjure de parler!
Gertrude jeta un cri, le dernier arraché par
l'effroi, le premier conseillé par le remords et la
crainte si longtemps étouffés.
— Je parlerai, dit-elle.
Et comme Juliette, pàle et frisonnante regar-
i dait tour à tour cette femme qu'elle ne connais
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris Ji fr. air. flSfr.
Départements. <5 11 le e
SAMEDI, 11 AOUT 1866. — N° 115.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
LE
CERCLE
DES
ORIGINAUX
Au bout du
pont de la
Concorde, à
gauche du
palais du
Corps Légis-
latif, les cou-
vreurs vien-
nent d'ache-
ver de poser
le toit d'une
grande mai-
son sans
physionomie
Cette mai-
son avait cinq
étages il y
a quelques
mois; elle
n'en a- plus
que quatre
aujourd'hui.
La Ville de
Paris, cédant
àun scrupule
artistique, a
racheté ce
cinquièm
étage à ses
pro pri étai-
res.
Mais la
maison abais-
sée d errieu t,e,
et c'estlàque
s'in stallera
au printemps
prochain l'un
des plus an-
S. Sainteté le Pape en se rendant à Castel (-',oiidolfo, • passe à Nemi et bénit les habitants qui se portent sur son passage.
ciens cercles de Paris, le Cercle agricole.
C'est de ce cercle que je voudrais vous
parler.
.9. *
Le Cercle agricole.a été fondé en 1834 par
les ducs de Montmorency et de Dcudeauviile,
le comte de Montguyon, M. de Sesmaisons.
Les Larochefoucault, les Mortemart, les La
Tour du Pin, les Montalembert en font ou en
ont fait partie. Nommer ses membres serait
faire la liste de tous les grands noms de
France; jusqu'en 1848, où quelques hommes
politiques pénètèrrent dans ce cercle, pas un
nom plébéien ne s'était glissé parmi eux.
Nul cercle n'est plus ((français. » Jamais il
n'est venu à l'idée de personne de le désigner
sous le nom de club. Ailleurs, on entre, on
dîne, on écrit une lettre, on échange deux
répliques ; si l'on demeure, c'est pour discu-
ter un pari, ou pour jouer. Peu de préoccu-
pation des choses de l'esprit. Ici, au con-
traire, on s'arrête, on lit, on cause. La biblio-
thèque a neuf mille volumes. Si l'on joue,
c'est au whist, au piquet, aux échecs, à des
jeux qui ne sont pas de hasard. Quelquefois
la partie est grosse; toujours les joueurs sont
sérieux. Les meilleurs joueurs de billard des
cercles pari-
siens sont
ceux du Cer-
cle agricole.
Quatre fois
par mois,
pendant l'hi-
ver, des sa-
vants, des
lettrés y don-
nent des con-
férences: M.
Payen, de
l'Institut, fait
la revue des
exposi tio ns;
M. Henry
Prat étudie
Lam en nais
et Lamarti-
ne; M. Mar-
chai de Lu-
néville parle
de la Chine,
qu'il asi bien
vue, et M.
Ph iloxène
Boyer de
Shakspeare
qu'il connaît
si bien. M.
Emile Des-
chanela le
monopole ha-
bituel de la
critique; M.
l'abbé Moi-
gneaux et M.
Babinet se
partagent ce-
lui de la-
science...
Les origi-
naux abon-
dent au Cercle agricole. C est laqu alongtemps
flori lemarquisD...,bien connu pour sa manie
de faire, tous les sept ans, maison nette.
— On vante sans cesse, disait-il, la vieil-
lesse et la fidélité de nos domestiques. Je
ne sais pas de plus mauvaise plaisante-
rie. Un domestique est passable la première
année, assez bon pendant trois ans, bon pen-
dant trois autres. Après cela, il est le maître.
t Nous terminerons dans deux jours le 2e
épisode des CONTES DU DRAPEAU. Nous
commencerons immédiatement après la pu-
blication d'un ■ émouvant récit :
LE REVENANT
HISTOIRE DU TEMPS DE LOUIS XV
Un vieux château hanté par le spectre
d'une jeune fille morte à la veille de ses
noces, les forêts solitaires et profondes
du Morvan, cette petite Ecosse du centre
de la France, tel est le décor.
Un monde de gentilshommes et depaysa.ns,
de marquises poudrées et de rudes bra-
conniers, tels sont les acteurs de ce nou-
veau drame de notre collaborateur,
M. PONSON DU TERRAIL.
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
LA MÈRE MICHEL
PAR
PONSON DU TERRAIL
XIX
Julie!te, la jeune fille qui appelait son père le
baron Fenouil Caradeuc, c'est-à-dire l'infâme
Biribi, était en contemplation, un soir, devant
une corbeille de mariage remplie de bijoux et de
dentelles.
Cependant elle soupirait et il y avait une larme
dans ses veux.
— Non: disait-elle à la vieille Gertrude je ne
pourrai jamais m'habituer à la pensée que je
dois être la femme de cet homme, et cela dans
huit jours au plus tard, car mon père le veut.
— Il faut. obéir à votre père, dit la servante
d'une voix pleine de sourde raillerie et d'amer-
tume. /
Juliette soupira plus fort.
Puisque c'est voLre père, ricana encore j
Gertrude. et que M. de Montrevel est son neveu,
par conséquent votre cousin et qu'il va être fait
colonel.
— Comme tu me dis cela !
C'est bon dit la vieille servante d'un ton
brusque; cela ne me regarde pas , après toui...
et certes, votre père a bien le droit de vous ma-
Voir les numéros parus depuis le 24 juillet.
rier comme il l'entend, et puis, j'ai fait un ser-
ment.. -
— Quel serment.
— Je ne puis le dire?
Et Gertrude se renferma dans un mutisme ab-
solu.
Mais, en ce moment, un coup de sonnette se
fit entendre.
— Voilà votre père qui rentre, dit Gertrude.
Sa voix avait toujours une inflexion railleuse,
quand elle prononçait ces mot s : « Votre père ».
Elle alla ouvrir et recula un peu étonnée.
Une femme était sur le seuil.
Cette femme, Gertrude l'avait déjà vue, ou
plutôt entrevue? mais où? mais quand?
Elle ne pouvait se le rappeler.
— Je désire parler à Mlle Juliette, dit cette
femme.
Et écartant la vieille Gertrude, elle entra et
alla droit à Juliette, qui jeta un cri.
— C'est vous, dit-elle, vous qui m'avez en-
levée !
— Oui, dit la baronne, car c'était elle. Mais
ne craignez rien... je suis une amie et je suis
seule...
En même temps elle ferma la porte, ajou-
tant :
-- Je viens vous sauver !
— Me... sauver?... dit la jeune fille avec
stupeur.
— Vous empêcher d'épouser un misérable!
— Madame!
La baronne se tourna vers Gertrude interdite:
- Vous vous nommez Gertrude? dit-elle.
— Oui... vous me connaissez donc ?
— Vous êtes née en Sologne !
— Oui, balbutia la servante.
— Vous étiez la sœur de lait du vrai baron da
Fenouil.
A ces mots, Gertrude poussa un cri à son tour,
et fit un pas en arrière.
La baronne continua froidement:
— Vous étiez au château, la nuit où le forçat
Germain le monstre assassina la jeune baronne
de Fenouil-Caradeuc.
— Jésus Dieu ! s'écria Gertrude, comment sa-
vez-vous cela?
— Et où le forcat Duriveau assassina Germain?
continua la baronne impitoyable.
— Seigneur! exclama Gertrude épouvantée,
les morts parlent donc !
— Je ne sais pas, répondit la baronne, mais ce
que je sais bien, c'est que depuis tantôt vingt
ans vous êtes l'esclave d'un serment d'abord et
de votre terreur ensuite.
— Madame... balbutia Gertrude.
La baronne continua, en montrant Juliette du
doigt :
— Au nom de cette enfant dont le père et la
mère ont été assassinés...
— Mon père ! exclama Juliette...
— Au nom du Dieu vivant qui nous voit et
nous juge, je vous adjure de parler!
Gertrude jeta un cri, le dernier arraché par
l'effroi, le premier conseillé par le remords et la
crainte si longtemps étouffés.
— Je parlerai, dit-elle.
Et comme Juliette, pàle et frisonnante regar-
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