Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-08-06
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 06 août 1866 06 août 1866
Description : 1866/08/06 (N110). 1866/08/06 (N110).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719166n
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
5 cent. le numéro.
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris ~ fr. tttr. 18fr.
D é , 4-1 .61~, t i ee
LUNDI, 6 AOUT 1866. — N° 11 0.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
Histoire pittoresque
DU VIN DE
Champagne
Mmc veuve
C 1 i c q u o t
vient de mou-
rir, Mme Clic-
quot qui fut,
en son vi-
vant, la plus
haute person-
nificalion du
co m mer ce
du vin de
Champagne.
C estlecas,
on jamais,
d'écrire l'his-
toire de ce
breuvage il-
lustre.
«L'origine
du vin de
Champagne
se perd dans
les ^ brouillards... du paradis. »
Ainsi s'exprimait dernièrement
un célèbre œnophile, Champenois
fanatique, qui ajoutait avec un ly-
risme digne d'un enfant de la
Garonne :
« Ce n'est pas avec une pomme
que Satan a tenté et perdu notre
mère-Eve. C'est avec une coupe
de Sillery, veuve Clicquot. » Sans
aller tout à fait aussi loin dans
notre enthousiasme, nous avoue-
rons que les vins de Champagne
ont toujours été vins de têtes cou-
ronnées. \
Le pape Urbain II, qui fut élu
-en 1088, préférait le vin d'Ay à
tous les vins du monde.
Le successeur de Victor III était
né à Lagny, près Châtillon-sur-
Marne, et peut-être les souvenirs .■
du pays natal étaient-ils pour quel-
que chose dans celte prédilection.
" Quatre siècles s'écoulent : l'Em-
pereur Sigismond vient en France
en '1414, non pas pour préparer
le fameux concile de Constanee, si
fatal à Jean Huss, l'hérésiarque,
mais, croyez-le bien, pour goûter
sur les lieux mêmes Ici vin d'Ay,
car ce fut là, pour ainsi dire, son
premier soin.
Arrivée it. Bmp.m d'un convoi de vivres attendu par lâ carliisoH.
1 Uentrée à Vienne de l'archiduc Albert, rappelé d'Italie pour commander l'armée du Nord,
Un peu
plus tard, le
pape Léon X,
Charles-
Quint, Fran-
çois Ier et
Henri VIII
d'Angleterre
M chetaien t
chacun un
clos à A y,
avecune mai-
son où ils en-
treten aient
un vigneron.
« Parmi
les plus gran-
des affaires
de ce monde,
dit M. Per-
rier à ce su-
jet, — qu'eu-
rent à démê-
lerces grands
princes,avoir
du vin d'Ay
ne fut pas un des moindres soins. »
Si l'on ne but t as d'Ay à Mau-
iron, on en but assez au Camp du
!}rap-d'Ol'. et François le ( heviile-
l'sque cri V- ''sa à rh::Ilf'c-Qllint
juarid ce grand Iniiailiotu- IYlYf"Sa
ia France ' n 15,j9 et s'arrêta à
Fontainebleau.
Le roi Vert-Galant raffolait du vin
d'Ay, et le titre qu'il affectionnait
1 c pius—après c lui de r'li de'Fran-
ce — était celui ùc seigneur d',,ly.
Nous regrettons de ne pouvoir
,"numéror ici toutes les bouches
royales qui ont savouré le nectar
champenois ; mais il faut se bor-
ner. Nous citerons seulement, à
l'appui de ces dires,ce passage d'un
Mémoire sur le vin d'Ay, publié
en 1658.
« Les vins d'Ay sont clairets et
b fauvelets, subtils, délicats, et
» d'un goût fort agréable au pa-
» lais ; par ces causes, souhaités
» par la bouche des rois, princes
* et grands seigneurs, et cepen-
» dant oligaphores, c'est-à-dire si
o délicats qu'ils ne portent l'eau
» qu'en fort petites quantités. »
Les vins blancs de Champagne
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
PAR
PONSON DU TERRAIL
XIV
Le roi Louis XVIII sort tous les jours en voi-
ture par la grande grille du jardin des Tuileries,
traverse la place Louis XV et monte rapide-
ment les Champs-Elysées.
Un détachement de la Maison-rouge, c'est-à-
dire de chevau-légers et de gardes du corps,
escorte le carrosse.
Le roi aime aller vite.
Cependant, vers le milieu des Champs-Elysées,
àî'angle de la rue de Chaillot, le cortége royal
a coutume de faire halte un moment.
Chaque jour, en cet endroit, sur les deux
côtés de la chaussée se trouvent de nombreux
pétitionnaires.
Voir les numéros parus depuis le 24 juillet
Le roi aime ces audiences en plein air.
Sur un signe de Sa Majesté, les gardes du
corps laissent approcher tous ceux qui ont des
placets à remettre au roi.
Ce jour-là, le lendemain de celui où nous
avons vu Coqueluche aller prévenir la mère Mi-
chel au faubourg, la cantinière est parmi les por-
teurs de placets. "
' Sur le conseil de Coqueluche, la mère Michel
a revêtu son uniforme en lambeaux.
Le rui fronce bien un peu le sourcil, mais il
dit néanmoins:
— Laissez approcher cette femme.
La cantinière a placé sa pétition, pliée en qua-
tre et sous pli cacheté, sur le bord de son tri-
corne, qu'elle élève jusqu'à la portière du car-
rosse.
Le roi la regarde et la martiale figure de la
cantinière le séduit :
— Qui êtes-vous? dit-il.
— J'étais cantinière dans la garde impériale.
— Après ? fait le roi d' un ton un peu brusque,
j comment vous nommex-vouH ?
— La mère Michel, répond-elle.
I Un jeune garde du corps murmure à mi-
/ voix:
l — Qui a perdu son chat.
Ces paroles arrivent aux oreilles du roi; le roi
sourit et prend le placet.
Et, tout aussitôt, un officier de la gante na-
tionale, saisit vivement la mère Michel et la tire
en arrière.
D'autres pétitionnaires entourent la voiture, et
la cantinière se trouve entraînée hors de la foule.
L'officier de la garde nationale lui dit alors :
— Philibert est sauvé.
— Que dites-vous? s'écrie la mère Michel avec
émotion.
. — Vous avez plu au roi.
— Vous croyez ? fait la pauvre femme.
— Le roi a souri. Votre cause est gagnée...
Maintenant, retournez au faubourg : avant ce
soir, je vous porterai la gràce de Philibert.
Et Coqueluche, car c'est lui, fait descendre ra-
ridement les Champs Elysées à la cantinière,
tandis que le carrosse royal continue sa route au
grand trot, se dirigeant vers le bois de Boulogne.
Puis il lui fait prendre les rues adjacentes et
lui dit:
— A présent, vous n'avez plus besoin de moi,
vous savez votre chemin. A ce soir.
Et Coqueluche quitte la candnière, revient sur
ses pas, gagne la place Beauvau et entre dans
un café où l'attend Biribi.
M. le baron de Fenouil-Caradeuc est assis à.
l'écart dans un coin du café.
Mais il parcourt depuis une demi-heure, d'un.
air distrait la Gazette de France que lui a ap-
portée le garçon.
Son esprit est ailleurs.
Enfin Coqueluche entre, et la physionomie du
baron s'éclaire.
— Eh bien ! dit-il.
— Mon oncle, répond Coqueluche, c'est fait
— La cantinière n'a pu approcher du carrosse?.
— Au contraire.
— Elle est arrivée jusqu'au roi?
— Oui.
— Et elle a remis son placet?
— Sans doute, dit Coqueluche, et le roi a ri
lorsqu'elle a dit qu'elle se nommait la mère Mi-
chel.
— Mais, malheureux, s'écria Biribi, si le roi
a ri, si le roi a pris le placet...
— Eh bien ?
— Il fera grâce au bûcheron de Fontainebleau
et notre plan avorte?
Coqueluche se mit à rire.
— Mon oncle, dit-il, j'ai toujours eu raison de
te dire que tu étais naïf à mon endroit. Je suis
plus fort que cela, et si je t'ai demandé la con-
5 cent. le numéro.
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris ~ fr. tttr. 18fr.
D é , 4-1 .61~, t i ee
LUNDI, 6 AOUT 1866. — N° 11 0.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
Histoire pittoresque
DU VIN DE
Champagne
Mmc veuve
C 1 i c q u o t
vient de mou-
rir, Mme Clic-
quot qui fut,
en son vi-
vant, la plus
haute person-
nificalion du
co m mer ce
du vin de
Champagne.
C estlecas,
on jamais,
d'écrire l'his-
toire de ce
breuvage il-
lustre.
«L'origine
du vin de
Champagne
se perd dans
les ^ brouillards... du paradis. »
Ainsi s'exprimait dernièrement
un célèbre œnophile, Champenois
fanatique, qui ajoutait avec un ly-
risme digne d'un enfant de la
Garonne :
« Ce n'est pas avec une pomme
que Satan a tenté et perdu notre
mère-Eve. C'est avec une coupe
de Sillery, veuve Clicquot. » Sans
aller tout à fait aussi loin dans
notre enthousiasme, nous avoue-
rons que les vins de Champagne
ont toujours été vins de têtes cou-
ronnées. \
Le pape Urbain II, qui fut élu
-en 1088, préférait le vin d'Ay à
tous les vins du monde.
Le successeur de Victor III était
né à Lagny, près Châtillon-sur-
Marne, et peut-être les souvenirs .■
du pays natal étaient-ils pour quel-
que chose dans celte prédilection.
" Quatre siècles s'écoulent : l'Em-
pereur Sigismond vient en France
en '1414, non pas pour préparer
le fameux concile de Constanee, si
fatal à Jean Huss, l'hérésiarque,
mais, croyez-le bien, pour goûter
sur les lieux mêmes Ici vin d'Ay,
car ce fut là, pour ainsi dire, son
premier soin.
Arrivée it. Bmp.m d'un convoi de vivres attendu par lâ carliisoH.
1 Uentrée à Vienne de l'archiduc Albert, rappelé d'Italie pour commander l'armée du Nord,
Un peu
plus tard, le
pape Léon X,
Charles-
Quint, Fran-
çois Ier et
Henri VIII
d'Angleterre
M chetaien t
chacun un
clos à A y,
avecune mai-
son où ils en-
treten aient
un vigneron.
« Parmi
les plus gran-
des affaires
de ce monde,
dit M. Per-
rier à ce su-
jet, — qu'eu-
rent à démê-
lerces grands
princes,avoir
du vin d'Ay
ne fut pas un des moindres soins. »
Si l'on ne but t as d'Ay à Mau-
iron, on en but assez au Camp du
!}rap-d'Ol'. et François le ( heviile-
l'sque cri V- ''sa à rh::Ilf'c-Qllint
juarid ce grand Iniiailiotu- IYlYf"Sa
ia France ' n 15,j9 et s'arrêta à
Fontainebleau.
Le roi Vert-Galant raffolait du vin
d'Ay, et le titre qu'il affectionnait
1 c pius—après c lui de r'li de'Fran-
ce — était celui ùc seigneur d',,ly.
Nous regrettons de ne pouvoir
,"numéror ici toutes les bouches
royales qui ont savouré le nectar
champenois ; mais il faut se bor-
ner. Nous citerons seulement, à
l'appui de ces dires,ce passage d'un
Mémoire sur le vin d'Ay, publié
en 1658.
« Les vins d'Ay sont clairets et
b fauvelets, subtils, délicats, et
» d'un goût fort agréable au pa-
» lais ; par ces causes, souhaités
» par la bouche des rois, princes
* et grands seigneurs, et cepen-
» dant oligaphores, c'est-à-dire si
o délicats qu'ils ne portent l'eau
» qu'en fort petites quantités. »
Les vins blancs de Champagne
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
PAR
PONSON DU TERRAIL
XIV
Le roi Louis XVIII sort tous les jours en voi-
ture par la grande grille du jardin des Tuileries,
traverse la place Louis XV et monte rapide-
ment les Champs-Elysées.
Un détachement de la Maison-rouge, c'est-à-
dire de chevau-légers et de gardes du corps,
escorte le carrosse.
Le roi aime aller vite.
Cependant, vers le milieu des Champs-Elysées,
àî'angle de la rue de Chaillot, le cortége royal
a coutume de faire halte un moment.
Chaque jour, en cet endroit, sur les deux
côtés de la chaussée se trouvent de nombreux
pétitionnaires.
Voir les numéros parus depuis le 24 juillet
Le roi aime ces audiences en plein air.
Sur un signe de Sa Majesté, les gardes du
corps laissent approcher tous ceux qui ont des
placets à remettre au roi.
Ce jour-là, le lendemain de celui où nous
avons vu Coqueluche aller prévenir la mère Mi-
chel au faubourg, la cantinière est parmi les por-
teurs de placets. "
' Sur le conseil de Coqueluche, la mère Michel
a revêtu son uniforme en lambeaux.
Le rui fronce bien un peu le sourcil, mais il
dit néanmoins:
— Laissez approcher cette femme.
La cantinière a placé sa pétition, pliée en qua-
tre et sous pli cacheté, sur le bord de son tri-
corne, qu'elle élève jusqu'à la portière du car-
rosse.
Le roi la regarde et la martiale figure de la
cantinière le séduit :
— Qui êtes-vous? dit-il.
— J'étais cantinière dans la garde impériale.
— Après ? fait le roi d' un ton un peu brusque,
j comment vous nommex-vouH ?
— La mère Michel, répond-elle.
I Un jeune garde du corps murmure à mi-
/ voix:
l — Qui a perdu son chat.
Ces paroles arrivent aux oreilles du roi; le roi
sourit et prend le placet.
Et, tout aussitôt, un officier de la gante na-
tionale, saisit vivement la mère Michel et la tire
en arrière.
D'autres pétitionnaires entourent la voiture, et
la cantinière se trouve entraînée hors de la foule.
L'officier de la garde nationale lui dit alors :
— Philibert est sauvé.
— Que dites-vous? s'écrie la mère Michel avec
émotion.
. — Vous avez plu au roi.
— Vous croyez ? fait la pauvre femme.
— Le roi a souri. Votre cause est gagnée...
Maintenant, retournez au faubourg : avant ce
soir, je vous porterai la gràce de Philibert.
Et Coqueluche, car c'est lui, fait descendre ra-
ridement les Champs Elysées à la cantinière,
tandis que le carrosse royal continue sa route au
grand trot, se dirigeant vers le bois de Boulogne.
Puis il lui fait prendre les rues adjacentes et
lui dit:
— A présent, vous n'avez plus besoin de moi,
vous savez votre chemin. A ce soir.
Et Coqueluche quitte la candnière, revient sur
ses pas, gagne la place Beauvau et entre dans
un café où l'attend Biribi.
M. le baron de Fenouil-Caradeuc est assis à.
l'écart dans un coin du café.
Mais il parcourt depuis une demi-heure, d'un.
air distrait la Gazette de France que lui a ap-
portée le garçon.
Son esprit est ailleurs.
Enfin Coqueluche entre, et la physionomie du
baron s'éclaire.
— Eh bien ! dit-il.
— Mon oncle, répond Coqueluche, c'est fait
— La cantinière n'a pu approcher du carrosse?.
— Au contraire.
— Elle est arrivée jusqu'au roi?
— Oui.
— Et elle a remis son placet?
— Sans doute, dit Coqueluche, et le roi a ri
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chel.
— Mais, malheureux, s'écria Biribi, si le roi
a ri, si le roi a pris le placet...
— Eh bien ?
— Il fera grâce au bûcheron de Fontainebleau
et notre plan avorte?
Coqueluche se mit à rire.
— Mon oncle, dit-il, j'ai toujours eu raison de
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