Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-07-26
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 26 juillet 1866 26 juillet 1866
Description : 1866/07/26 (N99). 1866/07/26 (N99).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719155v
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN
.i 5 cent. le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS - Trois mois. Six mois, Un an.
Paris £ fr. Bfr. ISfr.
Départements. 0 11 ee
JEUDI. 26 JUILLET '1866/; — Ne 99.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
1 ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
BATAILLE DE KoENiGGR/ETZ. — Le village de Liban emporté par l'infanterie prussienne après un combat de deux. heures.
LADY VAMPIRE
Il n'est bruit depuis quelque temps, à Lyon,
que de disparitions mystérieuses.
On parle de jeunes filles et même de jeunes
gens subitement enlevés à leurs familles éplo-
rées, sans que ni les recherches des parents,
ni les investigations de la police, ni la publi-
cité donnée par la presse à ces faits renouvelés
d'un autre âge, aient réussi à soulever .même
un coin du voile qui cache ces sinistres se-
crets.
Ces enlèvements romanesques m'ont remis
en mémoire un des plus curieux et des plus
émouvants chapitres de l'histoire ténébreuse
des crimes inconnus. J'abrège, mais je n'in-
vente rien.
Ceci se passait vers l'an de grâce 1702 ou
1703, car il y avait déjà quelques années que
M. de La Reynie, nommé en 1699 lieutenant-
général de police, exerçait ces fonctions à la
satisfaction du Roi et du public parisien.
Un matin, M. de La Reynie reçut, de la part
de M. de Chamillart, un pli qui portait sur la
suscription ces deux mots écrits de la main
même du ministre : Très-urgent.
Il s'empressa de l'ouvrir.
La lettre qu'il contenait était conçue en CM
ermes :
« Monsieur le lieutenant-général de
» police, '.
» Le Roi vient' 'être instruit que le fils •
> d'un conseiller a J. Parlement a disparu hier
» du sein de sa famille. Tout porte à croire
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
LA MÈRE MICHEL
PAR
PONSON DU TERRAIL
III
C'était bien, en effet, une hutte de bûcheron
qu'avait trahie le point rougeâtre aperçu par la
cantinière en détresse, au travers des arbres, de
la forêt.
La hutte était habitée.
C'est-à-dire que deux hommes venaient d'y
entrer et de s'y établir.
L'un avait jeté dans un coin une nache et des
coins en fer destinés à entamer des pièces de
bois.
L'autre s'était empressé de rapprocher deux
pierres placées verticalement au-dessous du trou
l'ait à la toiture de la hutte-et de mettre à décou-
vert un reste do braise qui couvait un monceau
de cendres.
Puis il avait jeté un fagot sur la braise et se
couchant à plat ventre, fait un soufflet de ses
joues enflées.
Quelques minutes après u.-. ft'u joyeux flam-
hait. et. sur le feu, le premier des deux hom-
mes, celui qui avait, déposé la hache et es coins
de fer, plaçait une marmite qui contenait. ur
peu de soupe au lait caillé.
voir les numéros parus depuis le 21, juillet.
Celui-là était un homme de plus de cinquante
ans et à la barbe blanche comme neige.
L'autre avait trente ans à peine.
C'était un solide et vigoureux gaillard, au pro-
fil accentué, aux favoris noirs, portant une fine
moustache taillée en brosse et les cheveux
courts.
Un pantalon d'uniforme tout frangé par le bas
et un bourgeron bleu composaient tout son cos-
tume, si on y ajoute, cependant, un petit bonnet
de poiice crânement posé sur l'oreille.
.Tandis que la soupe chauffait , le vieux s'était
assis sur un billot fait avec le cœur d'un chêne.
— Tu a- tort, mon garçon, disait-il à son com-
pagnon, de garder tes favoris et tes moustaches.
— Pourquoi donc, père?
— Tu devrais tout couper, poursuivit le vieux;
mettre un autre pantalon et cacher avec le plus
grand soin que tu as servi l'Empereur- — L'ogre
de Corse, comme ils disent maintenant.
L'ancien soldat haussa les epau!es.
— Je me fiche d'eux ! dit-il.
— Tu as tort, mon garçon, reprit doucement
le vieux.
Aussi vrai que tu te nommes PI,i\i .(' t
Morin, et que tu es le fils au père :',lUiÍ:l, le pins
vieux bûcheron de ia foret coin ne on m r -
pelle.
Ce qui était un honneur , est dewnu un dan-
ger.
On a changé tous les gardes, depuis que l"Em-
pereur est parti.
Ceux d'à présent veulent que nous soyons
royalistes, sinon pas de besogne et partant plus
de pain.
Le jeune homme arrachait de ses doigts cris-
pés sa courte moustache et ne disait rien.
Mais sa martiale et rude figure exprimait une
irritation indignée.
Le vieux poursuivit.
— C'est encore bien heureux que le nouvel
inspecteur des forêts, qui t'a rencontré aujour-
d'hui dans le Val d'Aspremont, ne t'ait rien dit.
Mun sang n'a fait qu'un tour quand je l'ai vu
froncer le sourcil en te regardant.
Le jeunehomme haussa les épaules:
— Puisqu'on ne veut plus des soldats de l'Em-
pereur, dit-il brusquement, il faut bien qu'on
leur laisse gagner leur vie, au moins.
Le vieillard soupira et se tût.
Mais le jeune homme s'exaltant:
— Je suis allé à Fontainebleau dimanche der-
nier, reprit-i)., et ça vous fait suer de voir ce
qu'ils appellent la nouvelle garde, un tas de
Mai'Cs-eecs qui portent des panaches comme
des suisses de cathédrale, et qui n'ont seulement
jamais vu le feu. J'en ai reconnu un qui est co-
lonel maintenant et qui était officier dans l'ar-
mée ,l\1tril'int'ii 1](\, — un Français qui servait
('i):1t:\'. la Franco ! ';\''st du propre!
.,- Tais-toi. î'hilihert, tais-toi! dit le vieillard,
si un garde passait.' par ici...
— Eh lien
— Et qu it t'entendit...On nous chasserait... et
nous n'anrion,: plu- de pain.
— Ihh! nous irions à Paris... dans le fau-
bourg- il y a toujours du pain et du travail pour
les soldats de l'Empereur.
Le vieux continua :
— Je me méfie surtout de Gobert. Tu sais, le
brigadier des gardes-chasse.
— Et pourquoi vous méfiez-vous de lui?
— C'est un chenapan. Il courtisait, dans un
temps, ta sœur Marie-Madeleine? mais c'était'
au temps de l'Empereur, et il n'était que simple
garde. Je ne le craignais pas, je l'ai mis à la
porte de chez nous, un soir qu'il venait y rôder.
Depuis ce temps-là, il nous en veut à la mort.
Faut se méfier, aujourd'hui qu'il est garde-chef.
— Marie-Madeleine est mariée maintenant, dit
Philibert, et elle n'a plus peur de lui, pas plus
qu'elle n'a besoin de nous pour la protéger. Le
grand Jacques, son mari, assommerait Gobert
d'un coup de poing, s'il voulait.
— Oui, mais je suis vieux, moi, reprit le père
Morin, et Gobert peut nous jouer un mauvais
tour.
— N'ayez donc pas peur ainsi, père, dit brus-
quement Philibert.
— C'est égal tu devrais couper tes mous-
taches.
— Jamais !
— Et quitter ce maudit pantalon d'uniforme.
Phili!wï: haussa une seconde fuis les épaules. ,
— Père, dit-il, est-ce que vous croyez que ça
va durer ça?
— Quoi donc?*
— Eh bien ! le roi, sa royauté e! tout le trern- •
blement?
Mais tais-toi, malheureux! veux-lu dor.mous
perdre?
— Je vous dis que l'Einner ur revien 'ra,
moi.
Le vieillard secoua 1a tête et i e lépon li i as.
JOURNAL QUOTIDIEN
.i 5 cent. le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS - Trois mois. Six mois, Un an.
Paris £ fr. Bfr. ISfr.
Départements. 0 11 ee
JEUDI. 26 JUILLET '1866/; — Ne 99.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
1 ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
BATAILLE DE KoENiGGR/ETZ. — Le village de Liban emporté par l'infanterie prussienne après un combat de deux. heures.
LADY VAMPIRE
Il n'est bruit depuis quelque temps, à Lyon,
que de disparitions mystérieuses.
On parle de jeunes filles et même de jeunes
gens subitement enlevés à leurs familles éplo-
rées, sans que ni les recherches des parents,
ni les investigations de la police, ni la publi-
cité donnée par la presse à ces faits renouvelés
d'un autre âge, aient réussi à soulever .même
un coin du voile qui cache ces sinistres se-
crets.
Ces enlèvements romanesques m'ont remis
en mémoire un des plus curieux et des plus
émouvants chapitres de l'histoire ténébreuse
des crimes inconnus. J'abrège, mais je n'in-
vente rien.
Ceci se passait vers l'an de grâce 1702 ou
1703, car il y avait déjà quelques années que
M. de La Reynie, nommé en 1699 lieutenant-
général de police, exerçait ces fonctions à la
satisfaction du Roi et du public parisien.
Un matin, M. de La Reynie reçut, de la part
de M. de Chamillart, un pli qui portait sur la
suscription ces deux mots écrits de la main
même du ministre : Très-urgent.
Il s'empressa de l'ouvrir.
La lettre qu'il contenait était conçue en CM
ermes :
« Monsieur le lieutenant-général de
» police, '.
» Le Roi vient' 'être instruit que le fils •
> d'un conseiller a J. Parlement a disparu hier
» du sein de sa famille. Tout porte à croire
LES CONTES DU DRAPEAU
2e ÉPISODE
LA MÈRE MICHEL
PAR
PONSON DU TERRAIL
III
C'était bien, en effet, une hutte de bûcheron
qu'avait trahie le point rougeâtre aperçu par la
cantinière en détresse, au travers des arbres, de
la forêt.
La hutte était habitée.
C'est-à-dire que deux hommes venaient d'y
entrer et de s'y établir.
L'un avait jeté dans un coin une nache et des
coins en fer destinés à entamer des pièces de
bois.
L'autre s'était empressé de rapprocher deux
pierres placées verticalement au-dessous du trou
l'ait à la toiture de la hutte-et de mettre à décou-
vert un reste do braise qui couvait un monceau
de cendres.
Puis il avait jeté un fagot sur la braise et se
couchant à plat ventre, fait un soufflet de ses
joues enflées.
Quelques minutes après u.-. ft'u joyeux flam-
hait. et. sur le feu, le premier des deux hom-
mes, celui qui avait, déposé la hache et es coins
de fer, plaçait une marmite qui contenait. ur
peu de soupe au lait caillé.
voir les numéros parus depuis le 21, juillet.
Celui-là était un homme de plus de cinquante
ans et à la barbe blanche comme neige.
L'autre avait trente ans à peine.
C'était un solide et vigoureux gaillard, au pro-
fil accentué, aux favoris noirs, portant une fine
moustache taillée en brosse et les cheveux
courts.
Un pantalon d'uniforme tout frangé par le bas
et un bourgeron bleu composaient tout son cos-
tume, si on y ajoute, cependant, un petit bonnet
de poiice crânement posé sur l'oreille.
.Tandis que la soupe chauffait , le vieux s'était
assis sur un billot fait avec le cœur d'un chêne.
— Tu a- tort, mon garçon, disait-il à son com-
pagnon, de garder tes favoris et tes moustaches.
— Pourquoi donc, père?
— Tu devrais tout couper, poursuivit le vieux;
mettre un autre pantalon et cacher avec le plus
grand soin que tu as servi l'Empereur- — L'ogre
de Corse, comme ils disent maintenant.
L'ancien soldat haussa les epau!es.
— Je me fiche d'eux ! dit-il.
— Tu as tort, mon garçon, reprit doucement
le vieux.
Aussi vrai que tu te nommes PI,i\i .(' t
Morin, et que tu es le fils au père :',lUiÍ:l, le pins
vieux bûcheron de ia foret coin ne on m r -
pelle.
Ce qui était un honneur , est dewnu un dan-
ger.
On a changé tous les gardes, depuis que l"Em-
pereur est parti.
Ceux d'à présent veulent que nous soyons
royalistes, sinon pas de besogne et partant plus
de pain.
Le jeune homme arrachait de ses doigts cris-
pés sa courte moustache et ne disait rien.
Mais sa martiale et rude figure exprimait une
irritation indignée.
Le vieux poursuivit.
— C'est encore bien heureux que le nouvel
inspecteur des forêts, qui t'a rencontré aujour-
d'hui dans le Val d'Aspremont, ne t'ait rien dit.
Mun sang n'a fait qu'un tour quand je l'ai vu
froncer le sourcil en te regardant.
Le jeunehomme haussa les épaules:
— Puisqu'on ne veut plus des soldats de l'Em-
pereur, dit-il brusquement, il faut bien qu'on
leur laisse gagner leur vie, au moins.
Le vieillard soupira et se tût.
Mais le jeune homme s'exaltant:
— Je suis allé à Fontainebleau dimanche der-
nier, reprit-i)., et ça vous fait suer de voir ce
qu'ils appellent la nouvelle garde, un tas de
Mai'Cs-eecs qui portent des panaches comme
des suisses de cathédrale, et qui n'ont seulement
jamais vu le feu. J'en ai reconnu un qui est co-
lonel maintenant et qui était officier dans l'ar-
mée ,l\1tril'int'ii 1](\, — un Français qui servait
('i):1t:\'. la Franco ! ';\''st du propre!
.,- Tais-toi. î'hilihert, tais-toi! dit le vieillard,
si un garde passait.' par ici...
— Eh lien
— Et qu it t'entendit...On nous chasserait... et
nous n'anrion,: plu- de pain.
— Ihh! nous irions à Paris... dans le fau-
bourg- il y a toujours du pain et du travail pour
les soldats de l'Empereur.
Le vieux continua :
— Je me méfie surtout de Gobert. Tu sais, le
brigadier des gardes-chasse.
— Et pourquoi vous méfiez-vous de lui?
— C'est un chenapan. Il courtisait, dans un
temps, ta sœur Marie-Madeleine? mais c'était'
au temps de l'Empereur, et il n'était que simple
garde. Je ne le craignais pas, je l'ai mis à la
porte de chez nous, un soir qu'il venait y rôder.
Depuis ce temps-là, il nous en veut à la mort.
Faut se méfier, aujourd'hui qu'il est garde-chef.
— Marie-Madeleine est mariée maintenant, dit
Philibert, et elle n'a plus peur de lui, pas plus
qu'elle n'a besoin de nous pour la protéger. Le
grand Jacques, son mari, assommerait Gobert
d'un coup de poing, s'il voulait.
— Oui, mais je suis vieux, moi, reprit le père
Morin, et Gobert peut nous jouer un mauvais
tour.
— N'ayez donc pas peur ainsi, père, dit brus-
quement Philibert.
— C'est égal tu devrais couper tes mous-
taches.
— Jamais !
— Et quitter ce maudit pantalon d'uniforme.
Phili!wï: haussa une seconde fuis les épaules. ,
— Père, dit-il, est-ce que vous croyez que ça
va durer ça?
— Quoi donc?*
— Eh bien ! le roi, sa royauté e! tout le trern- •
blement?
Mais tais-toi, malheureux! veux-lu dor.mous
perdre?
— Je vous dis que l'Einner ur revien 'ra,
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