LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le , (~
5 cent. le nnméro.
'
. ABONNEMENTS — S Trois rçôte. Six m'ow,} Un an.
frwûs \r% fr Il ~ 9 . / t S fr: '
Npartements. ; ~ 1,; ,,; - ! 11 f . :9 9 '
DIMANCHE. 22 JUILLET 1866(; — N' 95. ,
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
LE PIGEON MESSAGER
, On lisait il y a peu de jour-
dans le Nouvelliste, de Rouen:
qu'un pigeon voyageur eniil;,...:
renient blanc était venu r'ar
battre au Havre sur la vergue
du grand hunier du navire Ell-
fliJne, arrivant d'Haïti. "Le pau- •
vie oiseau, à dcm!-mo't (h'.t';t-,
figue , s'était laissé capturer
sans résistance par le. mousse,
du bord. Il portait sur les plu-
mes de ses ailes diverses ta-
touages ou signes mystf"I'Í('llX,
ainsi une des cachets aux aigles;
prussiennes. ,
• Le 6 jnitlet, toujours au Jla- .
yre, da.!ls, la cour de. rho'';pi(;e;
on s'était- empare d'un l'ige/m '
de'couteur (endrec, portant-sur
i'aile droite, en caractères htens,
les mois suivants : Ville pc:'dm'.
N" 127, F. J. (claus lIn cané.)
Depuis quoique, ten'.ps, lIll
grand nombre de pigeons voya-
geurs ou t. été trouvés au Havres
et dans les environs, et, bien
qu'il soit: difficile d'interpréter
les hiéroglyphes imprimés sur
les ailes, on a lieu de supposer
que les événements militaires
de l'Allemagne ne sont pas
étrangers à cette profusion do'.,
messagers emplumés. De tout
temps, le pigeon a été choisi.
pour ce genre de mission. La
raison c'est qu'il est, de tons
les oiseaux apprivoisés,non • seu-
lement, le plus rapide et le pIns
fidèle 4 son gîte5 mais encore
c'est .qu'il sait 'h'/h'ir pour son
retour la ligne la plus Jroiu;, et
ne s'amus.? point sur sa, ,nou Le à
l'aire l'école huissonniere, ..
. Ona conservé lé souvenir d'un
pigeon messager qui f!J'll/l! en
quarante-huit ■ heures!'la dis-
tance de Rabylone à Alep, es-
pace que le meilleur marcheur
serait à peine capable de par-
courir en un mois.
Et l'on cite- égaiement le tour
de force d'un de ces courriers
ailés, qui franchit en moins de
quatre heures les 72 milles,
(environ 30 lieues) qui séparent -
Bury Saint-Edmond de Lon
dres : c'est un vol déplus de
1 rsonniers autrichiens conduits par des hulans après la bataille dc Turnaii. >
Aspect, du champ de bataille de Turn(1,u.id3 heure?
sent lieues il l'heure, vitesse
moyenne d'un train omnibus.
Il fut un temps où certains
roués employaient les pigeons
il dC"'llllcer les courriers et mê-
me '.c télégraphe aérien dans la
transmission des cours de la
Bourse et du tirage de la lote-
terie de l'Etat (il y avait, avant
1832, une loterie de l'Etat), et
s'assuraient ainsi, grâce à la
complicité involontaire de ces
volatiles, l'avantage de jouer à
coup sûr.
U' progrès a mis fin à cette
exportation déshonnête de l'in-
nocence : le plus rapide des
pigeons n'est qu'un traînard
auprès de l'électricité.
En Hollande, en Belgique et
dans le nord de nos provinces
Iran ça ¡Fes confinant à la Fiandre,
le turf aux pigeons n'est pas
moins en honneur qu'à Paris et
il Londres le turf aux chevaux.
Le sI lld - book pigeonnier a ses
Fil/es-de-l'Ai/'.
il n'y a pas longtemps que le
chef de la station de Creil rece-
vait deux. immenses paniers
portant cette suscription : - ,
« Faites-nous boire, s'il vous
plaît, puis donnez-nous la clé
des champs. »
On ouvritles paniers; chacun
d'eux contenait cinquante pi-
t,eors' messagers, belges de
naissance. Il s'agissait d'un
match important entre deux
amateurs : le premier voyageur
rentré au colombier devait déci-
der de la victoire.
Ce genre de pari est en gran de
faveur en Belgique et, en Hol-
lande; rien n'est plus curieux
que le spectacle d'une multi-
tude anxieuse, attendant, le
cou tendu vers la nue pendant
,de;,; heures entières, qu'un point
noir se détache dans le bleu du
ciel.
Le gagnant apparaît. Alors,
c'est une explosion de cris, de
bravos, d'acclamations d'en-
thousiasme, pareille à celle qui
célèbre le triomphe de Ver-
mouth et de Gladiateur.
La foule passionnée salue
de ses hurrahs le vainqueur au
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
DEUXIÈME PARTIE
LES ALLIÉS
XXVI
; — Mon bon ami, dit Biribi en regardant Co-
queluche d'un ton railleur, après qu'il eut déposé
sur un sofa la jeune fille endormie, tu peux ren-
gainer ton poignard.
— Est-ce que tu fais grâce à madame, mon
oncle?
— Oui, à ma façon.
Et le sourire de Biribi fut si atroce que cette
femme qui appelait la moit comme une déli-
vrance, frissonna.
Biribi poursuivit.
— Un vicomte de Montrevel ne saurait igno-
rer l'histoire de France.
— Pardieu non ! fit Coqueluche en riant.
Voir les numéros parus depuia le 18 avril.
— Alors tu as entendu parler du cardinal la
Balue ? ih
— Le ministre de ( Louis XI? *'
— Justement.
^
— Qui avait fait construire une cage de fer
dans laquelle on pe pouvait sp-.,IeLiiz Jtii debout,
ni couché, ni assis, ajouta Coqueluche'qui tenait
à faire preuve d'érudition.
— C'est bien cela. - lr ■ • ; ■■■*■ "
— Et qui fit de sa personne l'essai de son in-
vention, continua Coqueluche en riant.
— J'allais te le dire.
— Eh bien, mon oncle?
— Eh bien, ne trouves-tu pas que madame a
quelque ressemblance avec le cardinal la Balue ?
— Comment cela?-
— Madame a inventé-une cachettte des plus
ingénieuses, ce me semble.
— J'en conviens, dit Coqueluche.
. — Et il m'est venu une idée. •
— Ah ! ah!
— Elle profitera de son invention.
Coqueluche regarda Biribi avec une certaine
curiosité.
Celui-ci poursuivit:
— Il suffit de bien peu de chose pour faire
de cette cachette une tombe.
La baronne frissonna.
— Attends, dit encore Biribi.
Et il coupa les cordons des sonnettes qui
étaient de grosses torsades en soie. - '
— Maintenant, dit-il, nous allons ficeler ma-
dame.
. Cette fois la baronne voulut se débattre en-
core.
Mais-Coqueluche était robuste ; il la prit dans
ses bras et la renversa sur le parquet.
En même temps, Biribi lui lia les pieds et les
mains solidement.
Puis il lui passa un mouchoir dans la bouche
en guise de bâillon, et lui dit d'un ton railleur:
— Je crois que maintenant nous ne te rencon-
trerons plus sur notre chemin.
Sur un signe de lui, Coqueluche porta la ba-
ronne sur le lit.
Puis Biribi pressa le ressort.
Le lit descendit.
La baronne réduite à l'impuissance s'agitait
vainement.
Au moment où le lit allait toucher la bascule
et rejeter la baronne à l'intérieur de la cachette,
Biribi se baissa vivement, passa son bras à
travers le parquet entr'ouvert et arracha la vis
de rappel.
Le lit tomba entraînant la baronne, et le par- >
quet se referma. j
— Si elle en sort, dit alors Biribi en regar-
dant Coqueluche, c'est que - Dieu fera un miracle. !
■ ' — Et Dieu n'en J'ait pas tous les jours, ricana
le .prétendu vicomte de Montrevel. v :;,(I
Puis il ajouta, désiï"n ant, Juliette endormit:
— Mais qu'allons-nous donc faire de ta fille?
— Nous allons attendre qu'elle s'eveil!e.
— Ce sera long peut-être. ,., ;:i
— Nous la garderons ici,à tour de rôle. m
— Mais, mon oncle, dit Coqueluche, la ba-
ronne a des amis sans doute? ' v:
— Des amis qui doivent ignorer la cachette.
On ne confie pas de pareils secrets à tout le
monde. ' ,
— D'accord. Mais le portier...
— Oh! celui-là, nous allons nous en débar-
rasser.
— Comment?
— Je m'en charge. Tu vas rester ici et m'at-
tendre.
Et Biribi reprit sa canne et son chapeau et
sortit, en prenant la clé de l'appartement.
Le portier, tout tremblant, n'avait pas quitta
sa salage. ,
Biribi lui dit :
— Venez avec moi, mon brave homme, j'ai
une course à vous faire faire.
Le portier avait éprouvé une telle épouvante
lorsque Biribi l'avait menacé de le faire fusiller,
qu'il eût baisé maintenant les pieds de cet
homme.
JOURNAL QUOTIDIEN
5 cent. le , (~
5 cent. le nnméro.
'
. ABONNEMENTS — S Trois rçôte. Six m'ow,} Un an.
frwûs \r% fr Il ~ 9 . / t S fr: '
Npartements. ; ~ 1,; ,,; - ! 11 f . :9 9 '
DIMANCHE. 22 JUILLET 1866(; — N' 95. ,
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
LE PIGEON MESSAGER
, On lisait il y a peu de jour-
dans le Nouvelliste, de Rouen:
qu'un pigeon voyageur eniil;,...:
renient blanc était venu r'ar
battre au Havre sur la vergue
du grand hunier du navire Ell-
fliJne, arrivant d'Haïti. "Le pau- •
vie oiseau, à dcm!-mo't (h'.t';t-,
figue , s'était laissé capturer
sans résistance par le. mousse,
du bord. Il portait sur les plu-
mes de ses ailes diverses ta-
touages ou signes mystf"I'Í('llX,
ainsi une des cachets aux aigles;
prussiennes. ,
• Le 6 jnitlet, toujours au Jla- .
yre, da.!ls, la cour de. rho'';pi(;e;
on s'était- empare d'un l'ige/m '
de'couteur (endrec, portant-sur
i'aile droite, en caractères htens,
les mois suivants : Ville pc:'dm'.
N" 127, F. J. (claus lIn cané.)
Depuis quoique, ten'.ps, lIll
grand nombre de pigeons voya-
geurs ou t. été trouvés au Havres
et dans les environs, et, bien
qu'il soit: difficile d'interpréter
les hiéroglyphes imprimés sur
les ailes, on a lieu de supposer
que les événements militaires
de l'Allemagne ne sont pas
étrangers à cette profusion do'.,
messagers emplumés. De tout
temps, le pigeon a été choisi.
pour ce genre de mission. La
raison c'est qu'il est, de tons
les oiseaux apprivoisés,non • seu-
lement, le plus rapide et le pIns
fidèle 4 son gîte5 mais encore
c'est .qu'il sait 'h'/h'ir pour son
retour la ligne la plus Jroiu;, et
ne s'amus.? point sur sa, ,nou Le à
l'aire l'école huissonniere, ..
. Ona conservé lé souvenir d'un
pigeon messager qui f!J'll/l! en
quarante-huit ■ heures!'la dis-
tance de Rabylone à Alep, es-
pace que le meilleur marcheur
serait à peine capable de par-
courir en un mois.
Et l'on cite- égaiement le tour
de force d'un de ces courriers
ailés, qui franchit en moins de
quatre heures les 72 milles,
(environ 30 lieues) qui séparent -
Bury Saint-Edmond de Lon
dres : c'est un vol déplus de
1 rsonniers autrichiens conduits par des hulans après la bataille dc Turnaii. >
Aspect, du champ de bataille de Turn(1,u.id3 heure?
sent lieues il l'heure, vitesse
moyenne d'un train omnibus.
Il fut un temps où certains
roués employaient les pigeons
il dC"'llllcer les courriers et mê-
me '.c télégraphe aérien dans la
transmission des cours de la
Bourse et du tirage de la lote-
terie de l'Etat (il y avait, avant
1832, une loterie de l'Etat), et
s'assuraient ainsi, grâce à la
complicité involontaire de ces
volatiles, l'avantage de jouer à
coup sûr.
U' progrès a mis fin à cette
exportation déshonnête de l'in-
nocence : le plus rapide des
pigeons n'est qu'un traînard
auprès de l'électricité.
En Hollande, en Belgique et
dans le nord de nos provinces
Iran ça ¡Fes confinant à la Fiandre,
le turf aux pigeons n'est pas
moins en honneur qu'à Paris et
il Londres le turf aux chevaux.
Le sI lld - book pigeonnier a ses
Fil/es-de-l'Ai/'.
il n'y a pas longtemps que le
chef de la station de Creil rece-
vait deux. immenses paniers
portant cette suscription : - ,
« Faites-nous boire, s'il vous
plaît, puis donnez-nous la clé
des champs. »
On ouvritles paniers; chacun
d'eux contenait cinquante pi-
t,eors' messagers, belges de
naissance. Il s'agissait d'un
match important entre deux
amateurs : le premier voyageur
rentré au colombier devait déci-
der de la victoire.
Ce genre de pari est en gran de
faveur en Belgique et, en Hol-
lande; rien n'est plus curieux
que le spectacle d'une multi-
tude anxieuse, attendant, le
cou tendu vers la nue pendant
,de;,; heures entières, qu'un point
noir se détache dans le bleu du
ciel.
Le gagnant apparaît. Alors,
c'est une explosion de cris, de
bravos, d'acclamations d'en-
thousiasme, pareille à celle qui
célèbre le triomphe de Ver-
mouth et de Gladiateur.
La foule passionnée salue
de ses hurrahs le vainqueur au
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
DEUXIÈME PARTIE
LES ALLIÉS
XXVI
; — Mon bon ami, dit Biribi en regardant Co-
queluche d'un ton railleur, après qu'il eut déposé
sur un sofa la jeune fille endormie, tu peux ren-
gainer ton poignard.
— Est-ce que tu fais grâce à madame, mon
oncle?
— Oui, à ma façon.
Et le sourire de Biribi fut si atroce que cette
femme qui appelait la moit comme une déli-
vrance, frissonna.
Biribi poursuivit.
— Un vicomte de Montrevel ne saurait igno-
rer l'histoire de France.
— Pardieu non ! fit Coqueluche en riant.
Voir les numéros parus depuia le 18 avril.
— Alors tu as entendu parler du cardinal la
Balue ? ih
— Le ministre de ( Louis XI? *'
— Justement.
^
— Qui avait fait construire une cage de fer
dans laquelle on pe pouvait sp-.,IeLiiz Jtii debout,
ni couché, ni assis, ajouta Coqueluche'qui tenait
à faire preuve d'érudition.
— C'est bien cela. - lr ■ • ; ■■■*■ "
— Et qui fit de sa personne l'essai de son in-
vention, continua Coqueluche en riant.
— J'allais te le dire.
— Eh bien, mon oncle?
— Eh bien, ne trouves-tu pas que madame a
quelque ressemblance avec le cardinal la Balue ?
— Comment cela?-
— Madame a inventé-une cachettte des plus
ingénieuses, ce me semble.
— J'en conviens, dit Coqueluche.
. — Et il m'est venu une idée. •
— Ah ! ah!
— Elle profitera de son invention.
Coqueluche regarda Biribi avec une certaine
curiosité.
Celui-ci poursuivit:
— Il suffit de bien peu de chose pour faire
de cette cachette une tombe.
La baronne frissonna.
— Attends, dit encore Biribi.
Et il coupa les cordons des sonnettes qui
étaient de grosses torsades en soie. - '
— Maintenant, dit-il, nous allons ficeler ma-
dame.
. Cette fois la baronne voulut se débattre en-
core.
Mais-Coqueluche était robuste ; il la prit dans
ses bras et la renversa sur le parquet.
En même temps, Biribi lui lia les pieds et les
mains solidement.
Puis il lui passa un mouchoir dans la bouche
en guise de bâillon, et lui dit d'un ton railleur:
— Je crois que maintenant nous ne te rencon-
trerons plus sur notre chemin.
Sur un signe de lui, Coqueluche porta la ba-
ronne sur le lit.
Puis Biribi pressa le ressort.
Le lit descendit.
La baronne réduite à l'impuissance s'agitait
vainement.
Au moment où le lit allait toucher la bascule
et rejeter la baronne à l'intérieur de la cachette,
Biribi se baissa vivement, passa son bras à
travers le parquet entr'ouvert et arracha la vis
de rappel.
Le lit tomba entraînant la baronne, et le par- >
quet se referma. j
— Si elle en sort, dit alors Biribi en regar-
dant Coqueluche, c'est que - Dieu fera un miracle. !
■ ' — Et Dieu n'en J'ait pas tous les jours, ricana
le .prétendu vicomte de Montrevel. v :;,(I
Puis il ajouta, désiï"n ant, Juliette endormit:
— Mais qu'allons-nous donc faire de ta fille?
— Nous allons attendre qu'elle s'eveil!e.
— Ce sera long peut-être. ,., ;:i
— Nous la garderons ici,à tour de rôle. m
— Mais, mon oncle, dit Coqueluche, la ba-
ronne a des amis sans doute? ' v:
— Des amis qui doivent ignorer la cachette.
On ne confie pas de pareils secrets à tout le
monde. ' ,
— D'accord. Mais le portier...
— Oh! celui-là, nous allons nous en débar-
rasser.
— Comment?
— Je m'en charge. Tu vas rester ici et m'at-
tendre.
Et Biribi reprit sa canne et son chapeau et
sortit, en prenant la clé de l'appartement.
Le portier, tout tremblant, n'avait pas quitta
sa salage. ,
Biribi lui dit :
— Venez avec moi, mon brave homme, j'ai
une course à vous faire faire.
Le portier avait éprouvé une telle épouvante
lorsque Biribi l'avait menacé de le faire fusiller,
qu'il eût baisé maintenant les pieds de cet
homme.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 92.89%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 92.89%.
- Collections numériques similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
- Auteurs similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k4719152m/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k4719152m/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k4719152m/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k4719152m/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k4719152m
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k4719152m
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k4719152m/f1.image × Aide