Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-07-20
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 20 juillet 1866 20 juillet 1866
Description : 1866/07/20 (N93). 1866/07/20 (N93).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719150s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN
- S cent. le numéro.
. 5 cent. le numéro. ~ ^
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris Ji fr. 9 fr. 1 s fr. f1
Départements. 6 ~,> 11 e e
VENDREDI, 20 JUILLET 1866; — Ns 93.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
DÉCORATIONS DES BELLIGÉRANTS
I
AUTRICHE
L empire m fitriche a huit décorations
V". (1 onLcincpsqçt.militaires.
VA'iVft' y\vjAe la Toison d'Or. Cet ordre, un
, m^s^luB^enérés en Europe,, fut fondé Je
10 janvier 1430 en l'honneur de la Sainte-
Vierge et de l'apôtre Saint-André, par Phi-
lippe-Ie-Bon, duc de Bourgogne.
Les historiens ne sont pas d'accord sur
l'intention qu'a pu .avoir le fondateur en
donnant à cet ordre le nom de Toison d'Or.
Les statuts portant que si la ligne mâle de
la maison de Bourgogne venait à s'élemdre,
l'époux de la li 11 e et héritière du dernier sou-
verain deviendrait chef suprême de l'ordie.
Cette dignité revint à Maximilien Ier, empe-
reur d'Autriche, époux de la princesse Marie,
fille et héritière du dernier duc de Bour-
gogne, Charles le Téméraire.
Après l'abdication de Charles-Quint, petit-
fils de Maximilien, la ligne hispano-autri-
chienne resta en possession de l'ordre jus-
qu'à la mort de Charles II.
Charles III d'Espagne étant devenu Empe.
reur sous le nom de Charles VI, se déclara le
seul et légitime chef de l'ordre, dont il trans-
porta les archives à Vienne en 1713.
Philippe V d'Espagne protesta et se déclara
aussi l'unique possesseur de la dignité de
Grand-Maître.
Après bien des années de contestations ré-
ciproques, et malgré la médiation de l'An-
gleterre, de la France et de la Hollande
(1748), la querelle n'ayant pas eu de solution
en faveur de l'un ou de l'autre desprétendants,
il demeura acquis de fait que les deux souve.
rains conféreraient, chacun de son côté, la
dignité de chevalier de la Toison d'Or.
On ajoute toutefois, pour établir une dis-
tinction, les mots Autriche ou Espagne, selon
Je cas, et l'ordre se trouve avoir deux grands
maîtres.
Les insignes sont un mouton, ou Toison
d'Or avec cette devise — exclusive à l'Autri-
che, — Pretium laborum non vile : « Prix
* dutravail non à dédaigner. »
L'ordre est suspendu au cou par un large
ruban rougf, ou par un collier d'or composé ,
de fusils (pierres) d'où sortent des étincelles,
JT,iT,lr. - Troupes volontaires passait le val de Le lro — lae de Garde.
avec cette devise : Ante ferit quam flamfha
micat, « le coup frappe avant que la flamme
ne brille. J)
Les chevaliers doivent être de la religion
catholique et ils ne peuvent porter aucun or-
dre étranger avec celui de la Toison-d'Or, s'ils
ne sont ducs couronnés.
4 1 Ordre militaire de Marie-Thérèse. Il fut
institué par l'Impératrice Marie-Thérèse, en
mémoire de la victoire de CoUen, remportée
'sur les Turcs, le 18 juin 1757.
Il est la récompense de la valeur sans dis-
tinction de naissance, de religion ni de natio-
nalité.
L'Empereur est Grand-Maître.
L'ordre comprend des Grands-Croix, des
Commandeurs et des Chevaliers.
La remise de la décoration se fait avec
appareil et toujours sous la présidence de
FKmpereur.
Une pension est attachée à la croix pour les
su je f s autrichiens.
L't décoration consiste en une croix pattée
(qui a les extrémités en forme de pattes)
emaillée de blanc avec iiiédailloii, fond rouge,
traversé par une bande horizontale blanche,
Cil ourée du mot latin : Fortiflldini « par le
courage » en lettres d'or sur fond blanc.
Au revers une couronne de laurier en or'
sur un fond vert avec le chiffre de Marie-Thé-
rèse, en or sur fond blanc. — Ruban blanc
bordé de rouge.
3° Ordre de Léopold. Il fut créé par l'em-
pereur Francois Ier, en 1808, pour honorer la,
mémoire de son père, Léopold 11; et, pour
récompenser tous les genres de talents, soit
militaires, soit civils, sans avoir égard à la
naissance. * -
L'Empereur est Grand-Maître.
L'ordre comprend trois classes : Grands-,
Croix, Commandeurs et Chevaliers.
Cette décoration, que suspend un ruban
rouge bordé de blanc, est une croix à huit
pointes, avec écusson portant entrelacées les
lettres FIA (Francisais Imperator Austriœ)
et cette devise : Integritati et merito « à l'in-
tégrité et au mérite. *
Au revers, la devise de Léopold II : 'Opes ¡ -,
regum corda suhditorum, « La puissance des.
rois réside dans l'amour de leurs sujets. » 1
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
DEUXIÈME PARTIE
LES ALLIÉS
XXIV
Tout homme, si brave qu'il soit, a peur une
fois dans sa vie.
Charles eut peur.
Il eut pour, parce que le poignard effleura sa
gorge, et qu'il entendit Coqueluche qui disait. :
— Tu as raison, mon oncle. Il vaut mieux ne
pas faire d'esclandre. Avec tes pistolets tu ameu-
terais tout le quartier.
Il vaut mieux tuer monsieur sans bruit.
— Mais que voulez-vous de moi? balbutia
Charles.
Biribi était, malgré son âge, d'une force hercu-
léenne et il tenait Charles immobile sous lui.
— Ce que je veux, dit-il, je veux que tu
parles !
Charles essaya de rire encore.
— Je ne sais rien, dit-il.
Biribi regarda Coqueluche :
— Mon beau neveu, dit-il, prenez votre mon,
tre.
Voir les numéros parus depuis le 18 avril.
. — Bien, mon oncle.
1- Maintenant, regardez l'heure... j'ai donné
cinq minutes à monsieur.
1 - Il y en a deux d'écoulées. '
— Reste à trois. Si dans trois minutes, mon-
sieur n'a pas parlé, je l'enverrai savoir la vérité
sur l'immortalité de l'âme.
Charles était pris d'un frémissement convulsif
et son visage était devenu livide.
— Trois minutes, dit Coqueluche.
A ce bruit la b ronne qui sommeillait su leva. .
Charles se taisait toujours. ;
— Quatre, dit encore Coqueluche.
Charles sentit la pointe du stylet effleurer sa
1
gorge.
— Arrêtez ! dit-il, je parlerai.
— Dépêchons alors, fit Biribi.
Et il leva le bras. ' ,
Charles souleva un peu la tête :
— Nc me tuez pas, dit-il, je dirai tout.
-r- Je le savais bie.t, répondit Biribi, vous êtes
trop joli garçon pour vouloir quitter ce monde
sans bruit ni trompette. Voyons, répondez, où
est ma fille?
— Chez la baronne.
— Farceur! dit Biribi, vous savez bien que-
nous avons fouillé partout.-
— Je vous jure qu'elle y est... ?
— Mon oncle, dit Coqueluche, monsieur se
moque de toi. Les cinq minutes sont écoulées...'
Charles blême et frissonnant, vit le poignard
se rapprocher de sa gorge.
— Je vous jure que je dis vrai, fit-il. *
— Tarare! dit Coqueluche. '
— Le lit a un secret... le parquet s'entrouvre...
murmura Charles, livide d'effroi.
— Ah ! ah ! fit Biribi.
— Il y a une cachette au-dessous votre'
aile y .est
— Mon oncle, dit encore Coqueluche, j'ai bien
peur que monsieur ne se moque de nous
— Moi aussi, dit Biribi.
Et il enfonça le poignard jusqu'au manche
dans la gorge du malheureux jeune homme.
Charles vomit un flot de sang et ses yeux se
fermèrent.
JOURNAL QUOTIDIEN
- S cent. le numéro.
. 5 cent. le numéro. ~ ^
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris Ji fr. 9 fr. 1 s fr. f1
Départements. 6 ~,> 11 e e
VENDREDI, 20 JUILLET 1866; — Ns 93.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
DÉCORATIONS DES BELLIGÉRANTS
I
AUTRICHE
L empire m fitriche a huit décorations
V". (1 onLcincpsqçt.militaires.
VA'iVft' y\vjAe la Toison d'Or. Cet ordre, un
, m^s^luB^enérés en Europe,, fut fondé Je
10 janvier 1430 en l'honneur de la Sainte-
Vierge et de l'apôtre Saint-André, par Phi-
lippe-Ie-Bon, duc de Bourgogne.
Les historiens ne sont pas d'accord sur
l'intention qu'a pu .avoir le fondateur en
donnant à cet ordre le nom de Toison d'Or.
Les statuts portant que si la ligne mâle de
la maison de Bourgogne venait à s'élemdre,
l'époux de la li 11 e et héritière du dernier sou-
verain deviendrait chef suprême de l'ordie.
Cette dignité revint à Maximilien Ier, empe-
reur d'Autriche, époux de la princesse Marie,
fille et héritière du dernier duc de Bour-
gogne, Charles le Téméraire.
Après l'abdication de Charles-Quint, petit-
fils de Maximilien, la ligne hispano-autri-
chienne resta en possession de l'ordre jus-
qu'à la mort de Charles II.
Charles III d'Espagne étant devenu Empe.
reur sous le nom de Charles VI, se déclara le
seul et légitime chef de l'ordre, dont il trans-
porta les archives à Vienne en 1713.
Philippe V d'Espagne protesta et se déclara
aussi l'unique possesseur de la dignité de
Grand-Maître.
Après bien des années de contestations ré-
ciproques, et malgré la médiation de l'An-
gleterre, de la France et de la Hollande
(1748), la querelle n'ayant pas eu de solution
en faveur de l'un ou de l'autre desprétendants,
il demeura acquis de fait que les deux souve.
rains conféreraient, chacun de son côté, la
dignité de chevalier de la Toison d'Or.
On ajoute toutefois, pour établir une dis-
tinction, les mots Autriche ou Espagne, selon
Je cas, et l'ordre se trouve avoir deux grands
maîtres.
Les insignes sont un mouton, ou Toison
d'Or avec cette devise — exclusive à l'Autri-
che, — Pretium laborum non vile : « Prix
* dutravail non à dédaigner. »
L'ordre est suspendu au cou par un large
ruban rougf, ou par un collier d'or composé ,
de fusils (pierres) d'où sortent des étincelles,
JT,iT,lr. - Troupes volontaires passait le val de Le lro — lae de Garde.
avec cette devise : Ante ferit quam flamfha
micat, « le coup frappe avant que la flamme
ne brille. J)
Les chevaliers doivent être de la religion
catholique et ils ne peuvent porter aucun or-
dre étranger avec celui de la Toison-d'Or, s'ils
ne sont ducs couronnés.
4 1 Ordre militaire de Marie-Thérèse. Il fut
institué par l'Impératrice Marie-Thérèse, en
mémoire de la victoire de CoUen, remportée
'sur les Turcs, le 18 juin 1757.
Il est la récompense de la valeur sans dis-
tinction de naissance, de religion ni de natio-
nalité.
L'Empereur est Grand-Maître.
L'ordre comprend des Grands-Croix, des
Commandeurs et des Chevaliers.
La remise de la décoration se fait avec
appareil et toujours sous la présidence de
FKmpereur.
Une pension est attachée à la croix pour les
su je f s autrichiens.
L't décoration consiste en une croix pattée
(qui a les extrémités en forme de pattes)
emaillée de blanc avec iiiédailloii, fond rouge,
traversé par une bande horizontale blanche,
Cil ourée du mot latin : Fortiflldini « par le
courage » en lettres d'or sur fond blanc.
Au revers une couronne de laurier en or'
sur un fond vert avec le chiffre de Marie-Thé-
rèse, en or sur fond blanc. — Ruban blanc
bordé de rouge.
3° Ordre de Léopold. Il fut créé par l'em-
pereur Francois Ier, en 1808, pour honorer la,
mémoire de son père, Léopold 11; et, pour
récompenser tous les genres de talents, soit
militaires, soit civils, sans avoir égard à la
naissance. * -
L'Empereur est Grand-Maître.
L'ordre comprend trois classes : Grands-,
Croix, Commandeurs et Chevaliers.
Cette décoration, que suspend un ruban
rouge bordé de blanc, est une croix à huit
pointes, avec écusson portant entrelacées les
lettres FIA (Francisais Imperator Austriœ)
et cette devise : Integritati et merito « à l'in-
tégrité et au mérite. *
Au revers, la devise de Léopold II : 'Opes ¡ -,
regum corda suhditorum, « La puissance des.
rois réside dans l'amour de leurs sujets. » 1
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
DEUXIÈME PARTIE
LES ALLIÉS
XXIV
Tout homme, si brave qu'il soit, a peur une
fois dans sa vie.
Charles eut peur.
Il eut pour, parce que le poignard effleura sa
gorge, et qu'il entendit Coqueluche qui disait. :
— Tu as raison, mon oncle. Il vaut mieux ne
pas faire d'esclandre. Avec tes pistolets tu ameu-
terais tout le quartier.
Il vaut mieux tuer monsieur sans bruit.
— Mais que voulez-vous de moi? balbutia
Charles.
Biribi était, malgré son âge, d'une force hercu-
léenne et il tenait Charles immobile sous lui.
— Ce que je veux, dit-il, je veux que tu
parles !
Charles essaya de rire encore.
— Je ne sais rien, dit-il.
Biribi regarda Coqueluche :
— Mon beau neveu, dit-il, prenez votre mon,
tre.
Voir les numéros parus depuis le 18 avril.
. — Bien, mon oncle.
1- Maintenant, regardez l'heure... j'ai donné
cinq minutes à monsieur.
1 - Il y en a deux d'écoulées. '
— Reste à trois. Si dans trois minutes, mon-
sieur n'a pas parlé, je l'enverrai savoir la vérité
sur l'immortalité de l'âme.
Charles était pris d'un frémissement convulsif
et son visage était devenu livide.
— Trois minutes, dit Coqueluche.
A ce bruit la b ronne qui sommeillait su leva. .
Charles se taisait toujours. ;
— Quatre, dit encore Coqueluche.
Charles sentit la pointe du stylet effleurer sa
1
gorge.
— Arrêtez ! dit-il, je parlerai.
— Dépêchons alors, fit Biribi.
Et il leva le bras. ' ,
Charles souleva un peu la tête :
— Nc me tuez pas, dit-il, je dirai tout.
-r- Je le savais bie.t, répondit Biribi, vous êtes
trop joli garçon pour vouloir quitter ce monde
sans bruit ni trompette. Voyons, répondez, où
est ma fille?
— Chez la baronne.
— Farceur! dit Biribi, vous savez bien que-
nous avons fouillé partout.-
— Je vous jure qu'elle y est... ?
— Mon oncle, dit Coqueluche, monsieur se
moque de toi. Les cinq minutes sont écoulées...'
Charles blême et frissonnant, vit le poignard
se rapprocher de sa gorge.
— Je vous jure que je dis vrai, fit-il. *
— Tarare! dit Coqueluche. '
— Le lit a un secret... le parquet s'entrouvre...
murmura Charles, livide d'effroi.
— Ah ! ah ! fit Biribi.
— Il y a une cachette au-dessous votre'
aile y .est
— Mon oncle, dit encore Coqueluche, j'ai bien
peur que monsieur ne se moque de nous
— Moi aussi, dit Biribi.
Et il enfonça le poignard jusqu'au manche
dans la gorge du malheureux jeune homme.
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