Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-06-26
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 26 juin 1866 26 juin 1866
Description : 1866/06/26 (N69). 1866/06/26 (N69).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719127j
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN.
5 cent. le Bumèro. ,
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris A fr. 9fr. 1 S fr.
Départements. 0 1 1 i - ee 1
MARDI, 26 JUIN 1 866. — No 69
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italien*.'
1 ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
LE PAIN
D'ÉPICE
Les envi-
rons de Pa-
ris sont en
ie te.
Fêtes de
tous côtés;
Neuilly d'a-
bord , puis
Saint-Cloud,
Ville-d'A-
vray,etc.,etc.
Les petits
jeux sont à
l'ordre du
jour. Tout le
' monde veut
se peser; veut
mesurer sa
force sur la
traditionnel-
le tête du
Turc ; veut
gagner pour
3 francs un
verre qui
vaut bien 40
cent. ; veut
emporter
chez soi un
un de ces
beaux pains
d'épice bien
dorés.
Ah ! oui,
les pains d'é-
pice !
Il n'est pas
un de nous
qui ne se
rappelle, soit
les jours de
sortie du col-
lége, soit les jours de promenade, sa pré-
dilection pour le pain d'épice. Le- éclairs,
les tartes aux fraises ne nous tentaient cer-
tainement pas autant qu'un cerf, un cheval
ou un général que nous croquions à belles
dents.
Que MM. de Bismark et Benedek n'aillent
pas croire au moins à une personnalité.
ITALIE. — Dologne. — Convoi militaire traversant la place Neptune. (D'ar'c 1, crcqu's de M. de pontr(mol¡.)
Certes, on aurait eu beau nous dire que le
~ pain d'épice se fait avec de la fécule de
pomme de terre, de la farine de seigle, de
l'alun pilé, du sel d'étain et des rognures de
vieux pain d'épice moisi; on nous aurait
ajouté qu'il y entre aussi du savon de Mar-
seille (!) en assez grande quantité, que ces
révélations ne nous eussent empêché en rien
de nous charger l'estomac de cette délicieuse
friandise.
Et cependant, lecteur qui allez courir les
fêtes des pays environnants, et qui mangerez
du pain d'épice, je n'exagère rien; au con-
traire. Car je ne vous ai pas dit que cette
pâte, faite des ingrédients cités p!nshaut,se pé-
trissait avee
les pieds, etl
que le mitron
; chargé de ce
travail en
sortait tou-
* j o u r s les
pieds très-
propres, grâ-
ce au savon
de Marseille.
Je ne vous
ai pas dit que
la potasse
bleue d'A-
in é r i q u e
jouait aussi
son rôle dans
la confection'
de ce régal;'
que la colle-j
forte de Lyon 1
servait à lui
donner le do- i
ré et le bril-
lant qui vous
charmaient,
à moins ce-
pendant que,
favorisés de
la fortune ^
vous n'ache-
tiez du pain
d'épice su-
périeur; au-
quel cas la'
colle-forte est
remplacéel
par des jau-
nes d'oeufs
qu'on a lais-
sés se cor-
rompre pen-
dant ' quel-
ques leurs. x
Est-ce assez engageant, ce que je dis là?
On va me prendre pour un esprit chagrin, .'
je vais me faire de nombreux ennemis chez.
ceux que j'aime le plus, chez ces beaux en-
fants qui rêvent de la fête six mois à l'a-
vance ; mais, mes chers petits amis, notez
bien que je n'ai rien dit des nonnettes de
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
XLIV
Machefer a donc retiré le colonel Raoul de
'Vauxchamps du milieu des morts.
Le Cosaque l'éclairé avec sa torche.
Une douzaine de soldats russes, campés non
loin de là, se sont approchés.
Le colonel respire encore et le nom de Char-
" lotte glisse toujours sur ses lèvres.
Alors Machefer oublie que les hommes qui
l'entourent.sont des ennemis.
Il se tourne vers les Cosaques et implore du
geste et du regard leur humanité.
Les Cosaques du Don et de l'Ukraine sont
gens de cœur.
L'un d'eux s'écrie :
— C'est ce vaillant officier qui s'est défendu
tout seul si longtemps. #
Un autre ajoute :
— C'est lui qui a refusé de se rendre.
- C'est un héros! répètent-ils tous ensemble.
, Voir Jes numéros parut depuis le i8 avril.
L'animosité du combat n'existe plus.
L'humanité arepris ses droits.
On forme une civière à,la hâte avec des lances
et des fusils croisés.
Puis on place dessus le colonel.
Où le transportera-t-on?
Tandis que les soldats hésitent, un officier
russe s'approche et adresse la parole à Machefer,
en langue française :
— Qui es-tu? lui dit-il.
— Le serviteur du colonel.
— Comment es-tu parvenu jusqu'ici?
Machefer répond que le lieutenant Petrowitz
lui a donné un Cosaque pour guide.
En effet, à l'uniforme de cet dernier, il est fa-
cile de constater qu'il n'appartient pas au régi-
ment qui occupe la place du Trône.
— Eh bien ! répond l'officier, que cet homme
te guide de nouveau. Je te promets de faire
transporter ton maître où bon te semblera.
Mâchefer pousse un cri de joie.
Lui ausbi, il songe à Mlle Charlotte, et il n'a
plus qu'une crainte, c'est que le malheureux
Raoul n'expire durant le trajet, c'est que Char-
lotte ne puisse recueillir son dernier soupir.
Alors commence une véritable odyssée à tra-
vers ce champ de bataille des rues de Paris.
Quatre soldats russes portent le colonel, Mâ-
chefer et son Cosaque marchent en avant.
Partout le Cosaque prononce le mot de passe
et les sentinelles russes s'inclinent.
La bravoure est de tous les pays ; en voyant
passer ce beau jeune homme dont le front sem-
ble déjà voilé par les ombres de la mort, offi.
ciers et soldats s'inclinent avec respect.
Le triste cortège a traversé ainsi tous les avant-
postes russes et prussiens: il arrive aux barri-
cades que défendent encore les gardes-natio-
naux français.
Là Mâchefer échange quelques mots avec un
officier qui les commande.
On a laissé passer librement le Français au
milieu des Russes; les Français laisseront les
Cosaques retourner à leur poste.
Les quatre soldats russes sont remplacés au
brancard improvisé par quatre gardes natio-
naux.
Et Machefer donne une poignée de main au
Cosaque qui l'a conduit, et le quitte en lui di-
sant :
— Désormais, nous sommes frères, tu es sa-
cré pour moi.
Le cortège continue sa marche.
De temps en temps, Mâchefer s'approche du
brancard et regarde Raoul avec anxiété.
Raoul n'est pas mort ; il a les yeux ouverts;
l'espérance de revoir Charlotte le soutient.
Enfin, au bout d'une heure, le brancard s'ar-
rête à la.porte de cette maison où Mlle de Ber-
nerie et marne Toinette se sont battus tout le
jour.
Et Charlotte jette un cri et penche son front
baigné de larmes sur son Raoul bien-aimé.
La nuit s'est écoulée.
Aux premières clartés du matin, le combat a
recommencé terrible, acharné, sans merci.
Marmont est rentré dans Paris, le maréchal
Mortier l'a suivi.
Après une lutte héroïque devant la barrière
Clichy, le brave maréchal MÓncey a été obligé
de se replier.
Les Russes ont emporté les hauteurs de Belle-'
ville; les positions fortifiées de la grande et do'
la petite Villette.
Le canal de l'Ourcq est à eux.
Un Français, indigne de ce nom, un homme
traître à la patrie, Langeron est à la tête de ;
l'ennemi.
Il a gravi Montmartre, il est maître sur ce '
point. ;
Clichy est aux Russes et aux Prussiens, les
hauteurs de l'Etoile sont occupées par les An- j
glais; Ménilmontant et Charonne ont résisté'
quelque temps encore...
Mais il a fallu se rendre.....
Une seule rue et une seule maison se défen-
dent encore.
C'est la maison où marne Toinette a rencon-
tré ce qu'il reste de forgerons décimés par ua:
combat de trente-six heures.
Raoul, couché sur un lit, mais toujours vi-
vant, suit des yeux les péripéties de cette lutte
suprême.
Charlotte a repris son poste de bataille, maître
Quille-en-Bois toujours debout et Marne Toinette
blessée à la tête par un éclat d'obus. i
On a cerné la maison, mais les Russes hési- ;
tent à la battre en brèche avec du canon, ils ont i
vu une femme parmi les défenseurs de ce der- ;
nier asile de la résistance; et, l'empereur,
Alexandre à qui on en a référé a répondu :
— Je voudrais qu'on prit cette femme vivante. (
Je voudrais la voir... ~
JOURNAL QUOTIDIEN.
5 cent. le Bumèro. ,
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois. Un an.
Paris A fr. 9fr. 1 S fr.
Départements. 0 1 1 i - ee 1
MARDI, 26 JUIN 1 866. — No 69
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italien*.'
1 ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
LE PAIN
D'ÉPICE
Les envi-
rons de Pa-
ris sont en
ie te.
Fêtes de
tous côtés;
Neuilly d'a-
bord , puis
Saint-Cloud,
Ville-d'A-
vray,etc.,etc.
Les petits
jeux sont à
l'ordre du
jour. Tout le
' monde veut
se peser; veut
mesurer sa
force sur la
traditionnel-
le tête du
Turc ; veut
gagner pour
3 francs un
verre qui
vaut bien 40
cent. ; veut
emporter
chez soi un
un de ces
beaux pains
d'épice bien
dorés.
Ah ! oui,
les pains d'é-
pice !
Il n'est pas
un de nous
qui ne se
rappelle, soit
les jours de
sortie du col-
lége, soit les jours de promenade, sa pré-
dilection pour le pain d'épice. Le- éclairs,
les tartes aux fraises ne nous tentaient cer-
tainement pas autant qu'un cerf, un cheval
ou un général que nous croquions à belles
dents.
Que MM. de Bismark et Benedek n'aillent
pas croire au moins à une personnalité.
ITALIE. — Dologne. — Convoi militaire traversant la place Neptune. (D'ar'c 1, crcqu's de M. de pontr(mol¡.)
Certes, on aurait eu beau nous dire que le
~ pain d'épice se fait avec de la fécule de
pomme de terre, de la farine de seigle, de
l'alun pilé, du sel d'étain et des rognures de
vieux pain d'épice moisi; on nous aurait
ajouté qu'il y entre aussi du savon de Mar-
seille (!) en assez grande quantité, que ces
révélations ne nous eussent empêché en rien
de nous charger l'estomac de cette délicieuse
friandise.
Et cependant, lecteur qui allez courir les
fêtes des pays environnants, et qui mangerez
du pain d'épice, je n'exagère rien; au con-
traire. Car je ne vous ai pas dit que cette
pâte, faite des ingrédients cités p!nshaut,se pé-
trissait avee
les pieds, etl
que le mitron
; chargé de ce
travail en
sortait tou-
* j o u r s les
pieds très-
propres, grâ-
ce au savon
de Marseille.
Je ne vous
ai pas dit que
la potasse
bleue d'A-
in é r i q u e
jouait aussi
son rôle dans
la confection'
de ce régal;'
que la colle-j
forte de Lyon 1
servait à lui
donner le do- i
ré et le bril-
lant qui vous
charmaient,
à moins ce-
pendant que,
favorisés de
la fortune ^
vous n'ache-
tiez du pain
d'épice su-
périeur; au-
quel cas la'
colle-forte est
remplacéel
par des jau-
nes d'oeufs
qu'on a lais-
sés se cor-
rompre pen-
dant ' quel-
ques leurs. x
Est-ce assez engageant, ce que je dis là?
On va me prendre pour un esprit chagrin, .'
je vais me faire de nombreux ennemis chez.
ceux que j'aime le plus, chez ces beaux en-
fants qui rêvent de la fête six mois à l'a-
vance ; mais, mes chers petits amis, notez
bien que je n'ai rien dit des nonnettes de
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
XLIV
Machefer a donc retiré le colonel Raoul de
'Vauxchamps du milieu des morts.
Le Cosaque l'éclairé avec sa torche.
Une douzaine de soldats russes, campés non
loin de là, se sont approchés.
Le colonel respire encore et le nom de Char-
" lotte glisse toujours sur ses lèvres.
Alors Machefer oublie que les hommes qui
l'entourent.sont des ennemis.
Il se tourne vers les Cosaques et implore du
geste et du regard leur humanité.
Les Cosaques du Don et de l'Ukraine sont
gens de cœur.
L'un d'eux s'écrie :
— C'est ce vaillant officier qui s'est défendu
tout seul si longtemps. #
Un autre ajoute :
— C'est lui qui a refusé de se rendre.
- C'est un héros! répètent-ils tous ensemble.
, Voir Jes numéros parut depuis le i8 avril.
L'animosité du combat n'existe plus.
L'humanité arepris ses droits.
On forme une civière à,la hâte avec des lances
et des fusils croisés.
Puis on place dessus le colonel.
Où le transportera-t-on?
Tandis que les soldats hésitent, un officier
russe s'approche et adresse la parole à Machefer,
en langue française :
— Qui es-tu? lui dit-il.
— Le serviteur du colonel.
— Comment es-tu parvenu jusqu'ici?
Machefer répond que le lieutenant Petrowitz
lui a donné un Cosaque pour guide.
En effet, à l'uniforme de cet dernier, il est fa-
cile de constater qu'il n'appartient pas au régi-
ment qui occupe la place du Trône.
— Eh bien ! répond l'officier, que cet homme
te guide de nouveau. Je te promets de faire
transporter ton maître où bon te semblera.
Mâchefer pousse un cri de joie.
Lui ausbi, il songe à Mlle Charlotte, et il n'a
plus qu'une crainte, c'est que le malheureux
Raoul n'expire durant le trajet, c'est que Char-
lotte ne puisse recueillir son dernier soupir.
Alors commence une véritable odyssée à tra-
vers ce champ de bataille des rues de Paris.
Quatre soldats russes portent le colonel, Mâ-
chefer et son Cosaque marchent en avant.
Partout le Cosaque prononce le mot de passe
et les sentinelles russes s'inclinent.
La bravoure est de tous les pays ; en voyant
passer ce beau jeune homme dont le front sem-
ble déjà voilé par les ombres de la mort, offi.
ciers et soldats s'inclinent avec respect.
Le triste cortège a traversé ainsi tous les avant-
postes russes et prussiens: il arrive aux barri-
cades que défendent encore les gardes-natio-
naux français.
Là Mâchefer échange quelques mots avec un
officier qui les commande.
On a laissé passer librement le Français au
milieu des Russes; les Français laisseront les
Cosaques retourner à leur poste.
Les quatre soldats russes sont remplacés au
brancard improvisé par quatre gardes natio-
naux.
Et Machefer donne une poignée de main au
Cosaque qui l'a conduit, et le quitte en lui di-
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— Désormais, nous sommes frères, tu es sa-
cré pour moi.
Le cortège continue sa marche.
De temps en temps, Mâchefer s'approche du
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Raoul n'est pas mort ; il a les yeux ouverts;
l'espérance de revoir Charlotte le soutient.
Enfin, au bout d'une heure, le brancard s'ar-
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nerie et marne Toinette se sont battus tout le
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Et Charlotte jette un cri et penche son front
baigné de larmes sur son Raoul bien-aimé.
La nuit s'est écoulée.
Aux premières clartés du matin, le combat a
recommencé terrible, acharné, sans merci.
Marmont est rentré dans Paris, le maréchal
Mortier l'a suivi.
Après une lutte héroïque devant la barrière
Clichy, le brave maréchal MÓncey a été obligé
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Les Russes ont emporté les hauteurs de Belle-'
ville; les positions fortifiées de la grande et do'
la petite Villette.
Le canal de l'Ourcq est à eux.
Un Français, indigne de ce nom, un homme
traître à la patrie, Langeron est à la tête de ;
l'ennemi.
Il a gravi Montmartre, il est maître sur ce '
point. ;
Clichy est aux Russes et aux Prussiens, les
hauteurs de l'Etoile sont occupées par les An- j
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quelque temps encore...
Mais il a fallu se rendre.....
Une seule rue et une seule maison se défen-
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C'est la maison où marne Toinette a rencon-
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Raoul, couché sur un lit, mais toujours vi-
vant, suit des yeux les péripéties de cette lutte
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Charlotte a repris son poste de bataille, maître
Quille-en-Bois toujours debout et Marne Toinette
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On a cerné la maison, mais les Russes hési- ;
tent à la battre en brèche avec du canon, ils ont i
vu une femme parmi les défenseurs de ce der- ;
nier asile de la résistance; et, l'empereur,
Alexandre à qui on en a référé a répondu :
— Je voudrais qu'on prit cette femme vivante. (
Je voudrais la voir... ~
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