Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-06-21
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 21 juin 1866 21 juin 1866
Description : 1866/06/21 (N64). 1866/06/21 (N64).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719122g
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN -
5 cent. le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois, Un an.
. Paris A fr. 9 fr. IS fr. 1
Départements. O 11 iet
JEUDI. 31 JUIN 1866. — No 64.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
MERY
Tout portrait veut son
Si j'avais à peindre M\v
ses débuts, je le placerais dîhis^*" i'
le Palais-Royal des Galeries de
bois.
Ce Palais-Royal n'existe plus;
les boulevards l'ont remplacé.
C'est là que, pendant un de-
mi-siècle, le Paris, qui aime à
vivre sur le Forum et la Voie
Appienne, a vécu. Les magasins
les plus riches, les cafés les
plus confortables, les maisons
de jeu les plus connues, se
trouvaient au Palnis-Hopl. Les
hommes les plus illust res y cou-
doyaient les femmes les plus
< belles. Cambacérès s'y prome-
nait après dîner pour faire sa
digestion ; Chodruf: Du cl os à
jeun y étalait ses haillons Les
orateurs de l'opposition, le gé-
néral Foy, Manuel, Benjamin
Constant, y rencontraient les
poëtes de la royauté, Chateau-
briand, Victor Hugo, Lamartine.
Dans le jardin, tes officiers de
la grande armée échangeaient
des cartelsavec ceux de la garde
royale. Sous les galeries se con-
cluaient les marchés, se don-
naient les rendez-vous, se fai-
saient les réputations et les
mots.
C'est au milieu de cette fou jp
affairée et bruyante qu'un matin de 1827, un
jeune hom me passait, le front haut.un journal
à la main.
Ce jeune homme était arrivé, quatre ou
cinq ans auparavant,de yiarseiUe a Paris, pour
y faire son chemin dans les lettres. Il avait
d'abord traduit des auteurs latins pour son
compatriote, l'historien Rabbe ; puis il était
entré au Nain. Jaune, où il avait dépensé une
verve et une activité à défrayer dix jour-
naux. Depuis quinze jours, il s'était lié avec
deux voisins d'hôtel garni qui se nommaient
Barthélemy dt Achille de Vaulabelle. Le pre-
mier était poëte et le second clerc d'avoué;
tous trois s'occupaient dr. politique et criti-
quaient la marche des affaires, le soir, dans
PARIS. — Baptême de la cloche de Sébastopol, donnée par l'Empereur à l'église Notre-Dame-de-Plaisance, et qui a eu
:: pour-parrain S. A. I. le prince impérial, pour marraine S. M. l'Impératrice.- .
leurs chambrettes à dix-neuf francs de loyer.
Après la causerie, l'inspiration; le rédacteur
du Nain Jauiîë, se transformant en Juvénal,
avait rimé une satire, son ami, le poëte, en
avait revu les épreuves, et son ami, le clerc
d'avoué, avait emprunté à sa famille de quoi
payer les frais d'impression.
Or, le jour même, la satire avait paru;
Etienne (un grand critique !) en avait parlé
dans le Constitutionnel (un grand journal!)
et. l'auteur, tout fier, allait, ce journal à la
main, chercher un éditeur.
Il entra chez le libraire Ponthieu.
— Combien voulez-vous de votre bro-
chure? demanda celui-ci.
Le jeune homme, qui avait quatre sous dans
sa poche, trembla de se montrer exigeant et
répondit :
— Combien m'en donnez-vous?
— Vingt-cinq mille francs vous paraissent-
ils assez?
-Vingt-cinq..... mille.... francs! Oui
oui... Je crois que nous pourrons nous arran-
ger !
Le lendemain, tout le monde lisait la Vil-
léliade, et le nom de Méry était cé:èh: e.
Trente ans se sont passés.
Nous sommes à Bade, un soir de juillet.
Su r la terrasse delà Conversation, s'agite une
foule de trois ou quatre mille personnes : An-
glais, Belges. Allemands, Russes et Français
surtout. C'est une Babel où les
dialectes se confondent, sans
qu'on cesse de s'entendre pour
cela. L'uniformey coudoie ami-
calement l'habit; la casquette
et le panama échangent des sa-
luis. On est là moins esclave
de la mode que dans les villes;
les hommes en sont moins'
laids, les femmes plus jolies.
En face, la ville de Bade s'é-
tagesurle flanc occidental d'une
montagne. Le château ducal la
couronne. Au clocher octogone
de l'église paroissiale flotte le
drapeau national . mi-partie
rouge et jaune. Le soleil cou-
chant met ses reflets aux vitres
des fenêtres et aux ardoises
des toits. Les sapins de la Forêt-
Noire montrent leurs cimes ai-
guës à l'horizon.....
Dans l'air retentissent les
fanfares de la musique du ré-
giment autrichien en garnison
à Radsladt. Pendant les inter-
valles des morceaux, on entend
le bruit de l'or qu'on remue
dans les salles. A ce bruit, les
joueurs désertent la promenade
et gravissent les marches du
portique corinthien de la Con-
versation.
Parmi eux est un homme
d'une soixantaine d'années,
maigre et droit, à la barhe
en broussailles et aux longs
cheveux gris, qui porte deux paletots en dé-
pit dé la saison.
Cet homme, tout le. monde le connaît, les
grandes dames, les m¿¡rgri.l\es, les artistes et
les croupiers.
Il n'est à Bade que depuis huit jours, mais
il y demeurera trois mois. il se lève de bonne
heure, et il cause ; ii déjeune, et il cause; il
joue, et il cause; il dine, et il cause; puis il
retourne au jeu qu'il ne quittera que pour
souper eh causant.
C'est Méry.
Entre la visite du jeune homme au libraire
Ponthieu et les promenades du vieillard sur
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODES
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
XXXIX
Coqueluche continuait à entraîner Mlle de Ber-
nerie. Il était alors un peu plus de deux heures
du matin.
Mais Paris était vivant comme en plein jour;
Paris avait la fièvre de l'anxiété et de l'épou-
vante.
Qu'allait-il arriver?
Les femmes, les enfants se lamentaient.
Les hommes couraient aux armes, sombres et
recueillis.
Les trois quarts de la population tenaient en-
core pour l'Empereur.
Mais le quatrième quart se réjouissait de l'in-
vasion des Russes.
D'une part, le désespoir morne, la terreur, •
l'angoisse.
De l'autre la joie sans pudeur.
La jeune fille et son guide passèrent - devant
le Palais--Royal. •
Voir les Mmxiroj l'al'us depuis le 18 avril. 1
L'uniforme menteur de Coqueluche lui faisait
faire de la place.
Si on songe que l'armée qui défendait Paris se
composait des débris de dix armées, réunis à la
hâte, aux portes de la capitale, par le maréchai
Marmont, oncomorendra sans peine qu'il était
difficile, à un soldat ou à un officier de constater
que Coqueluche usurpait une qualité qui ne lui
appartenait pas.
Où dois-je vous conduire, mademoiselle?
demanda Coqueluche.
— Je ne sais pas... répondit-elle.
Une çantiniè'ro qui donnait à boire aux soldats lui tendit son bido 1.
1 Chaque rue était transformée en caserne ; OR.
avait allumé des feux de bivac.
Infanterie, cavalerie, garde nationale cam-
paient pêlè-mèle.
Au lointain, retentissait le canon des Rus....;
; ses qui n'avaient pas voulu attendre le jour pour
j commencer l'attaque.
j Ah! si j'étais homme! murmurait l'intrépidfc-
: jeune fille. ' !
— Mademoiselle, lui dit Machefer qui mar-,
chait respectueusement derrière elle, vous
"riez reprendre vos habits masculins.
— Tu as raison, répondit-elle.
Et elle dit il Coqueluche :
— Ramenez-moi à l'hôtel du Grand-Cerf,
monsieur.
— Et vous y resterez, n'est-ce pas? dit Coquelu-
che. Il ne fait pas bon courir les rues, en ce mo-
ment. On se bat aux barrières, en pleine nuit,
que sera-ce, au point du jour ?
— Monsieur, répliqua fièrement mademoiselle
de Bernerie, quand j'étais dans mon village, les
Russes l'ont envahi et je ne suis pas restas chez
moi.
11 y a un homme que j'aime et qui se bat
pour la France, je dois faire comme lui.
— Mais... mademoiselle...
— Vous m'avez dit que mon cousin était en
sûreté?
— Je vous l'affirme de nouveau.
— Eh bien ! ma mission est accomplie en ce
qui le concerne. Permettez-moi donc de ne plus
m'occuper de lui.
- Mais où voulez-vous donc que je vous. con-
duise? demanda Coqueluche.
[texte illisible]
[texteillisible]
JOURNAL QUOTIDIEN -
5 cent. le numéro.
5 cent. le numéro.
ABONNEMENTS — Trois mois. Six mois, Un an.
. Paris A fr. 9 fr. IS fr. 1
Départements. O 11 iet
JEUDI. 31 JUIN 1866. — No 64.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24, boulevard des Italiens.
ADMINISTRATION : 15, rue Breda.
MERY
Tout portrait veut son
Si j'avais à peindre M\v
ses débuts, je le placerais dîhis^*" i'
le Palais-Royal des Galeries de
bois.
Ce Palais-Royal n'existe plus;
les boulevards l'ont remplacé.
C'est là que, pendant un de-
mi-siècle, le Paris, qui aime à
vivre sur le Forum et la Voie
Appienne, a vécu. Les magasins
les plus riches, les cafés les
plus confortables, les maisons
de jeu les plus connues, se
trouvaient au Palnis-Hopl. Les
hommes les plus illust res y cou-
doyaient les femmes les plus
< belles. Cambacérès s'y prome-
nait après dîner pour faire sa
digestion ; Chodruf: Du cl os à
jeun y étalait ses haillons Les
orateurs de l'opposition, le gé-
néral Foy, Manuel, Benjamin
Constant, y rencontraient les
poëtes de la royauté, Chateau-
briand, Victor Hugo, Lamartine.
Dans le jardin, tes officiers de
la grande armée échangeaient
des cartelsavec ceux de la garde
royale. Sous les galeries se con-
cluaient les marchés, se don-
naient les rendez-vous, se fai-
saient les réputations et les
mots.
C'est au milieu de cette fou jp
affairée et bruyante qu'un matin de 1827, un
jeune hom me passait, le front haut.un journal
à la main.
Ce jeune homme était arrivé, quatre ou
cinq ans auparavant,de yiarseiUe a Paris, pour
y faire son chemin dans les lettres. Il avait
d'abord traduit des auteurs latins pour son
compatriote, l'historien Rabbe ; puis il était
entré au Nain. Jaune, où il avait dépensé une
verve et une activité à défrayer dix jour-
naux. Depuis quinze jours, il s'était lié avec
deux voisins d'hôtel garni qui se nommaient
Barthélemy dt Achille de Vaulabelle. Le pre-
mier était poëte et le second clerc d'avoué;
tous trois s'occupaient dr. politique et criti-
quaient la marche des affaires, le soir, dans
PARIS. — Baptême de la cloche de Sébastopol, donnée par l'Empereur à l'église Notre-Dame-de-Plaisance, et qui a eu
:: pour-parrain S. A. I. le prince impérial, pour marraine S. M. l'Impératrice.- .
leurs chambrettes à dix-neuf francs de loyer.
Après la causerie, l'inspiration; le rédacteur
du Nain Jauiîë, se transformant en Juvénal,
avait rimé une satire, son ami, le poëte, en
avait revu les épreuves, et son ami, le clerc
d'avoué, avait emprunté à sa famille de quoi
payer les frais d'impression.
Or, le jour même, la satire avait paru;
Etienne (un grand critique !) en avait parlé
dans le Constitutionnel (un grand journal!)
et. l'auteur, tout fier, allait, ce journal à la
main, chercher un éditeur.
Il entra chez le libraire Ponthieu.
— Combien voulez-vous de votre bro-
chure? demanda celui-ci.
Le jeune homme, qui avait quatre sous dans
sa poche, trembla de se montrer exigeant et
répondit :
— Combien m'en donnez-vous?
— Vingt-cinq mille francs vous paraissent-
ils assez?
-Vingt-cinq..... mille.... francs! Oui
oui... Je crois que nous pourrons nous arran-
ger !
Le lendemain, tout le monde lisait la Vil-
léliade, et le nom de Méry était cé:èh: e.
Trente ans se sont passés.
Nous sommes à Bade, un soir de juillet.
Su r la terrasse delà Conversation, s'agite une
foule de trois ou quatre mille personnes : An-
glais, Belges. Allemands, Russes et Français
surtout. C'est une Babel où les
dialectes se confondent, sans
qu'on cesse de s'entendre pour
cela. L'uniformey coudoie ami-
calement l'habit; la casquette
et le panama échangent des sa-
luis. On est là moins esclave
de la mode que dans les villes;
les hommes en sont moins'
laids, les femmes plus jolies.
En face, la ville de Bade s'é-
tagesurle flanc occidental d'une
montagne. Le château ducal la
couronne. Au clocher octogone
de l'église paroissiale flotte le
drapeau national . mi-partie
rouge et jaune. Le soleil cou-
chant met ses reflets aux vitres
des fenêtres et aux ardoises
des toits. Les sapins de la Forêt-
Noire montrent leurs cimes ai-
guës à l'horizon.....
Dans l'air retentissent les
fanfares de la musique du ré-
giment autrichien en garnison
à Radsladt. Pendant les inter-
valles des morceaux, on entend
le bruit de l'or qu'on remue
dans les salles. A ce bruit, les
joueurs désertent la promenade
et gravissent les marches du
portique corinthien de la Con-
versation.
Parmi eux est un homme
d'une soixantaine d'années,
maigre et droit, à la barhe
en broussailles et aux longs
cheveux gris, qui porte deux paletots en dé-
pit dé la saison.
Cet homme, tout le. monde le connaît, les
grandes dames, les m¿¡rgri.l\es, les artistes et
les croupiers.
Il n'est à Bade que depuis huit jours, mais
il y demeurera trois mois. il se lève de bonne
heure, et il cause ; ii déjeune, et il cause; il
joue, et il cause; il dine, et il cause; puis il
retourne au jeu qu'il ne quittera que pour
souper eh causant.
C'est Méry.
Entre la visite du jeune homme au libraire
Ponthieu et les promenades du vieillard sur
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODES
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
XXXIX
Coqueluche continuait à entraîner Mlle de Ber-
nerie. Il était alors un peu plus de deux heures
du matin.
Mais Paris était vivant comme en plein jour;
Paris avait la fièvre de l'anxiété et de l'épou-
vante.
Qu'allait-il arriver?
Les femmes, les enfants se lamentaient.
Les hommes couraient aux armes, sombres et
recueillis.
Les trois quarts de la population tenaient en-
core pour l'Empereur.
Mais le quatrième quart se réjouissait de l'in-
vasion des Russes.
D'une part, le désespoir morne, la terreur, •
l'angoisse.
De l'autre la joie sans pudeur.
La jeune fille et son guide passèrent - devant
le Palais--Royal. •
Voir les Mmxiroj l'al'us depuis le 18 avril. 1
L'uniforme menteur de Coqueluche lui faisait
faire de la place.
Si on songe que l'armée qui défendait Paris se
composait des débris de dix armées, réunis à la
hâte, aux portes de la capitale, par le maréchai
Marmont, oncomorendra sans peine qu'il était
difficile, à un soldat ou à un officier de constater
que Coqueluche usurpait une qualité qui ne lui
appartenait pas.
Où dois-je vous conduire, mademoiselle?
demanda Coqueluche.
— Je ne sais pas... répondit-elle.
Une çantiniè'ro qui donnait à boire aux soldats lui tendit son bido 1.
1 Chaque rue était transformée en caserne ; OR.
avait allumé des feux de bivac.
Infanterie, cavalerie, garde nationale cam-
paient pêlè-mèle.
Au lointain, retentissait le canon des Rus....;
; ses qui n'avaient pas voulu attendre le jour pour
j commencer l'attaque.
j Ah! si j'étais homme! murmurait l'intrépidfc-
: jeune fille. ' !
— Mademoiselle, lui dit Machefer qui mar-,
chait respectueusement derrière elle, vous
"riez reprendre vos habits masculins.
— Tu as raison, répondit-elle.
Et elle dit il Coqueluche :
— Ramenez-moi à l'hôtel du Grand-Cerf,
monsieur.
— Et vous y resterez, n'est-ce pas? dit Coquelu-
che. Il ne fait pas bon courir les rues, en ce mo-
ment. On se bat aux barrières, en pleine nuit,
que sera-ce, au point du jour ?
— Monsieur, répliqua fièrement mademoiselle
de Bernerie, quand j'étais dans mon village, les
Russes l'ont envahi et je ne suis pas restas chez
moi.
11 y a un homme que j'aime et qui se bat
pour la France, je dois faire comme lui.
— Mais... mademoiselle...
— Vous m'avez dit que mon cousin était en
sûreté?
— Je vous l'affirme de nouveau.
— Eh bien ! ma mission est accomplie en ce
qui le concerne. Permettez-moi donc de ne plus
m'occuper de lui.
- Mais où voulez-vous donc que je vous. con-
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