Titre : La Petite presse : journal quotidien... / [rédacteur en chef : Balathier Bragelonne]
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1866-06-01
Contributeur : Balathier Bragelonne, Adolphe de (1811-1888). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32837965d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juin 1866 01 juin 1866
Description : 1866/06/01 (N44). 1866/06/01 (N44).
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4719102q
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-190
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/11/2017
LA PRESSE ILLUSTRÉE
JOURNAL QUOTIDIEN
9 cent. le Bu.êrD.
5 cent. le numéro. ,
'
ABONNEMENTS — Trois jnuis. T'Sîx-ffloiè.vyflJn an.
, Paris ..... «
Départements. tb fr. -;" 1 1 ; 11 e e fr.
VENDREDI, 1er JUIN 1866. — N° 44.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24,' boulevard dés Italiens
- ADMINISTRATION : 15, rue Breda. -
VINCENNES
Hip! hip! hip! hurra!
Allons coupés, calèches, pa-
niers, fiacres, breacks, cabs,
chars-à-bancs, tapissières, char-
rettes. omnibus et chemins de
fer courez, volez et vomissez
sur la plus vieille des prome-
nades de la vieille Lutèce trois
cent mille curieux, badauds,pa-
rieurs, sportsmen, laquais et
filous qu'y convient les exploits
. des émules de Gladiateur et de
Florentin.
Hip! hip! hip ! hurra!t
Oui, Vincennesest la plus an-
cienne de nos promenades.
Bien avant la naissance de J.-C.
les ancêtres des Parisiens y ve-
naient prendre leurs ébats... et
chassaient le fauve à coups de
javelots, en attendant que leurs
descendants s'exercent an tir
au pistolet de salon établi à
l'entrée de l'avenue du Bel-air,
là où fut la fameuse ménagerie
confisquée par Louis XIV au
profit de Versailles.
Qui dit Vincennes dit donjon,
cachots et geoliers, et cela de
tous temps. A peine Clovis 1er
a-t-il chassé les prêtres païens
du dieu sylvain, qui s'étaient
installés dans le bois, que les
ermites de Grammont, appelés
par Louis VII, faisaient de leur
sainte demeure une espèce de
maison de détention, ce en quoi
devaient plus tard les imiter
les Minimes, protégé s par
Louis XI.
Mais avant de parler du doux fils de
Charles Vil, mentionnons que, plus grand
chasseur encore que le premier roi chrétien
qui s'était contenté de défendre, paruno'dre
verbal, l'entrée du bois à son peuple, Phi-
e. M. LE ROI CHARLES DE WURTEMBERG.
lippe-Auguste fit entourer la forêt de hautes
murailles pour mieux garder les daims, cerfs
et chevrenils que lui avait octroyés Henri 11
d'Angleterre.
— Renvoyez ceux qui voudraient entrer,
avait dit le vainqueur de Tolbiac.
— Pendez ceux qui escaladeront les mu-
railles, ordonna le vainqueur de Bouvines.
La civilisation marchait.
Le bois de Vincennes fut notre premier
parc.
Le rendez-vous de chasse de Vincennes fut
1
le premier manoir royal qu\
s'éleva hors de Paris, pour ïe»+
battement et les sotdas prin-
ciers.
On voulait en faire un palais
joyeux.
La destinée avait décidé que
Vincennes serait prison.
Rapprochement étrange!
Le premier et le dernier pri-
sonnier d'État furent deux mi-
nistres.
Enguerrand de IVLarigny, pre-
mier ministre de Philippe-Au-
guste, y entre en i260 — il en
sort pour être pendu.
Le prince de Polignac, pre-
mier ministre de Charles X, y
entre en 1830 — il en sort pour
aller en exil.
Entre ces deux tours de clef,
qU(¿ de drames connus et in-
connus, se sont accomplis sous
les voûtes muettes du donjon!
L'arrestation et la pendaison
d'Enguerrand de Marigny, et
p1ns tard celle de Pierre de La
Brosse, barbier de saint Louis,
n'étaient que les préludes inno-
cents des ordres de Charles VI,
Charles VU. Charles rx, Louis XI
et Louis XIII, Louis XIV, Louis
XV et madame de Pompadour.
Le donjon fut commencé par
Philippe de Valois, sur les rui-
nes du château de Philippe-Au-
guste.
Il fut continué par le roi Jean,
et terminé par Charles le Sage.
Ce souverain inaugura pour
ainsi dire, la nouvelle rési-
dence-forteresse, en datant du
donjon 1-'ordre de jeter à l'eau,
l'avocat général, Desmarets, et
douze bourgeois de Paris, assez
audacieux pour se plaindre des impôts.
La destinée a ses représailles. Ce fut dans
le bois de Vincennes que le dit Charles VI eut
son premier accès de folie, en apercevant de-
vant lui, orgueilleux et insolent, Bois-Bourdon,
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
XIX
Coqueluche emmena l'Alsacien dans le fau-
bourg.
L'treure s'avançait, les magasins étaient fermés
depuis longtemps, la foule s'était écoulée peu «
peu et les rues étaient déserter.
— Où allons-nous? répéta l'Alsacien.
— Au cabaret de ton Amie.
Et Coqueluche souligna le mot.
— Mais non, dit l'Alsacien, je ne veux pas y
aller.
— Pourquoi?
— J'ai peur d'être reconnu.
— Imbécile, dit Coqueluche, si je n'avais su que.
n'était toi, moi dont le métier est de dévisager
les gens, je ne me serais pas remémoré ta figure.
Comment veux-tu qu'ils te reconnaissent, eux'-
— Vous croyez?
• —Et puis, n'es-tu pas avec moi?
Qu'est-ce que ça prouve ?
'(Jj)' les numéros parus depuis le 18 avril.
— Je suis bien noté dans le faubourg, va. Et
si Coqueluche présente quelqu'un, c'e'st que ce
quelqu'un est un bon zig et un compagnon sur.
— Mais !.. dit l'Alsacien.
Comme ils s'approchaient du cabaret de marne
•Toinette, un homme les croisa, pestant et jurant
comme un beau diable.
C'était Quille-en-Bois.
Coqueluche l'arrêta aii passage :
— Qu'est-ce que vous avez donc, maître?
Cendrinette chez la portière de la rue Meslay.
— Ahl c'est toi, dit Quille-en, Bois. Excuae-
moi, mon garçon. Je t'ai fait attendre, n'est-ce
pas? Je ne savais plus ce que tu étais devenu.
L'Alsacien se tenait à l'écart; et comme en cet
endroit il n'y avait ni boutique ouverte, ni ré-
verbère, on ne pouvait distinguer ses traits que
très-imparfaitement.
Quille-en-Bois ne fit donc aucune attention à
lui.
Mais il dit à Coqueluche :
—J'ai causé un brin trop longtemps avec la pe-
tite. Quand je suis redescendu, tu n'étais plus
là. Je suis entré chez marne Toinette, croyant t'y
trouver ; mais on ne t'avait pas vu.
— Et d'où venez-vous donc, maintenant, pa..
tron? dit encore Coqueluche, se servant de ce
mot respectueux que les ouvriers donnent à un
homme établi, même quand ils ne travaillent
pas chez lui.
— D'où je viens? ah! oui... c'est juste!... dit
Quille-en-Bois; écoute-moi, mon garçon, j'ai la
tète un peu perdue... Je suis d'une colère
telle...
— Mais, que vous est-il donc arrivé?
— Est-ce que tu connais une femme dans ie
faubourg qui s'appelle la Chénoiseau ?
— Non, patron. Est-ce à elle que vous en
avez ?
— C'est à elle. La misérable ! Figure-toi qu'elle
a essayé de donner de mauvais conseils a Su-
zanne.
— Oh! oh! fit Coqueluche, mais elle veut
donc se faire rompre les os par tous les compa-
gnons du faubourg.
i — Ce n'est pas tout, continua Quille*en-Bûi9,
JOURNAL QUOTIDIEN
9 cent. le Bu.êrD.
5 cent. le numéro. ,
'
ABONNEMENTS — Trois jnuis. T'Sîx-ffloiè.vyflJn an.
, Paris ..... «
Départements. tb fr. -;" 1 1 ; 11 e e fr.
VENDREDI, 1er JUIN 1866. — N° 44.
BUREAUX D'ABONNEMENT : 24,' boulevard dés Italiens
- ADMINISTRATION : 15, rue Breda. -
VINCENNES
Hip! hip! hip! hurra!
Allons coupés, calèches, pa-
niers, fiacres, breacks, cabs,
chars-à-bancs, tapissières, char-
rettes. omnibus et chemins de
fer courez, volez et vomissez
sur la plus vieille des prome-
nades de la vieille Lutèce trois
cent mille curieux, badauds,pa-
rieurs, sportsmen, laquais et
filous qu'y convient les exploits
. des émules de Gladiateur et de
Florentin.
Hip! hip! hip ! hurra!t
Oui, Vincennesest la plus an-
cienne de nos promenades.
Bien avant la naissance de J.-C.
les ancêtres des Parisiens y ve-
naient prendre leurs ébats... et
chassaient le fauve à coups de
javelots, en attendant que leurs
descendants s'exercent an tir
au pistolet de salon établi à
l'entrée de l'avenue du Bel-air,
là où fut la fameuse ménagerie
confisquée par Louis XIV au
profit de Versailles.
Qui dit Vincennes dit donjon,
cachots et geoliers, et cela de
tous temps. A peine Clovis 1er
a-t-il chassé les prêtres païens
du dieu sylvain, qui s'étaient
installés dans le bois, que les
ermites de Grammont, appelés
par Louis VII, faisaient de leur
sainte demeure une espèce de
maison de détention, ce en quoi
devaient plus tard les imiter
les Minimes, protégé s par
Louis XI.
Mais avant de parler du doux fils de
Charles Vil, mentionnons que, plus grand
chasseur encore que le premier roi chrétien
qui s'était contenté de défendre, paruno'dre
verbal, l'entrée du bois à son peuple, Phi-
e. M. LE ROI CHARLES DE WURTEMBERG.
lippe-Auguste fit entourer la forêt de hautes
murailles pour mieux garder les daims, cerfs
et chevrenils que lui avait octroyés Henri 11
d'Angleterre.
— Renvoyez ceux qui voudraient entrer,
avait dit le vainqueur de Tolbiac.
— Pendez ceux qui escaladeront les mu-
railles, ordonna le vainqueur de Bouvines.
La civilisation marchait.
Le bois de Vincennes fut notre premier
parc.
Le rendez-vous de chasse de Vincennes fut
1
le premier manoir royal qu\
s'éleva hors de Paris, pour ïe»+
battement et les sotdas prin-
ciers.
On voulait en faire un palais
joyeux.
La destinée avait décidé que
Vincennes serait prison.
Rapprochement étrange!
Le premier et le dernier pri-
sonnier d'État furent deux mi-
nistres.
Enguerrand de IVLarigny, pre-
mier ministre de Philippe-Au-
guste, y entre en i260 — il en
sort pour être pendu.
Le prince de Polignac, pre-
mier ministre de Charles X, y
entre en 1830 — il en sort pour
aller en exil.
Entre ces deux tours de clef,
qU(¿ de drames connus et in-
connus, se sont accomplis sous
les voûtes muettes du donjon!
L'arrestation et la pendaison
d'Enguerrand de Marigny, et
p1ns tard celle de Pierre de La
Brosse, barbier de saint Louis,
n'étaient que les préludes inno-
cents des ordres de Charles VI,
Charles VU. Charles rx, Louis XI
et Louis XIII, Louis XIV, Louis
XV et madame de Pompadour.
Le donjon fut commencé par
Philippe de Valois, sur les rui-
nes du château de Philippe-Au-
guste.
Il fut continué par le roi Jean,
et terminé par Charles le Sage.
Ce souverain inaugura pour
ainsi dire, la nouvelle rési-
dence-forteresse, en datant du
donjon 1-'ordre de jeter à l'eau,
l'avocat général, Desmarets, et
douze bourgeois de Paris, assez
audacieux pour se plaindre des impôts.
La destinée a ses représailles. Ce fut dans
le bois de Vincennes que le dit Charles VI eut
son premier accès de folie, en apercevant de-
vant lui, orgueilleux et insolent, Bois-Bourdon,
LES CONTES DU DRAPEAU
1er ÉPISODE
LES COSAQUES A PARIS
PAR
PONSON DU TERRAIL
Première partie
LA MÈRE DES COMPAGNONS
XIX
Coqueluche emmena l'Alsacien dans le fau-
bourg.
L'treure s'avançait, les magasins étaient fermés
depuis longtemps, la foule s'était écoulée peu «
peu et les rues étaient déserter.
— Où allons-nous? répéta l'Alsacien.
— Au cabaret de ton Amie.
Et Coqueluche souligna le mot.
— Mais non, dit l'Alsacien, je ne veux pas y
aller.
— Pourquoi?
— J'ai peur d'être reconnu.
— Imbécile, dit Coqueluche, si je n'avais su que.
n'était toi, moi dont le métier est de dévisager
les gens, je ne me serais pas remémoré ta figure.
Comment veux-tu qu'ils te reconnaissent, eux'-
— Vous croyez?
• —Et puis, n'es-tu pas avec moi?
Qu'est-ce que ça prouve ?
'(Jj)' les numéros parus depuis le 18 avril.
— Je suis bien noté dans le faubourg, va. Et
si Coqueluche présente quelqu'un, c'e'st que ce
quelqu'un est un bon zig et un compagnon sur.
— Mais !.. dit l'Alsacien.
Comme ils s'approchaient du cabaret de marne
•Toinette, un homme les croisa, pestant et jurant
comme un beau diable.
C'était Quille-en-Bois.
Coqueluche l'arrêta aii passage :
— Qu'est-ce que vous avez donc, maître?
Cendrinette chez la portière de la rue Meslay.
— Ahl c'est toi, dit Quille-en, Bois. Excuae-
moi, mon garçon. Je t'ai fait attendre, n'est-ce
pas? Je ne savais plus ce que tu étais devenu.
L'Alsacien se tenait à l'écart; et comme en cet
endroit il n'y avait ni boutique ouverte, ni ré-
verbère, on ne pouvait distinguer ses traits que
très-imparfaitement.
Quille-en-Bois ne fit donc aucune attention à
lui.
Mais il dit à Coqueluche :
—J'ai causé un brin trop longtemps avec la pe-
tite. Quand je suis redescendu, tu n'étais plus
là. Je suis entré chez marne Toinette, croyant t'y
trouver ; mais on ne t'avait pas vu.
— Et d'où venez-vous donc, maintenant, pa..
tron? dit encore Coqueluche, se servant de ce
mot respectueux que les ouvriers donnent à un
homme établi, même quand ils ne travaillent
pas chez lui.
— D'où je viens? ah! oui... c'est juste!... dit
Quille-en-Bois; écoute-moi, mon garçon, j'ai la
tète un peu perdue... Je suis d'une colère
telle...
— Mais, que vous est-il donc arrivé?
— Est-ce que tu connais une femme dans ie
faubourg qui s'appelle la Chénoiseau ?
— Non, patron. Est-ce à elle que vous en
avez ?
— C'est à elle. La misérable ! Figure-toi qu'elle
a essayé de donner de mauvais conseils a Su-
zanne.
— Oh! oh! fit Coqueluche, mais elle veut
donc se faire rompre les os par tous les compa-
gnons du faubourg.
i — Ce n'est pas tout, continua Quille*en-Bûi9,
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 86.37%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 86.37%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque nationale Bibliothèque nationale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Bibliothèque nationale" or dc.contributor adj "Bibliothèque nationale")Amulettes de Chine : catalogue / [Bibliothèque nationale de France, Département des monnaies, médailles et antiques] ; [rédigé par] François Thierry /ark:/12148/bd6t542045148.highres La musique française du Moyen âge à la Révolution : [exposition, Paris, Bibliothèque nationale, 1934] / catalogue réd. par Amédée Gastoué, l'abbé V. Leroquais, André Pirro, Henry Expert, Henry Prunières ; publ. par Émile Dacier ; [préface de Julien Cain] /ark:/12148/bd6t542006040.highres
- Auteurs similaires Bibliothèque nationale Bibliothèque nationale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Bibliothèque nationale" or dc.contributor adj "Bibliothèque nationale")Amulettes de Chine : catalogue / [Bibliothèque nationale de France, Département des monnaies, médailles et antiques] ; [rédigé par] François Thierry /ark:/12148/bd6t542045148.highres La musique française du Moyen âge à la Révolution : [exposition, Paris, Bibliothèque nationale, 1934] / catalogue réd. par Amédée Gastoué, l'abbé V. Leroquais, André Pirro, Henry Expert, Henry Prunières ; publ. par Émile Dacier ; [préface de Julien Cain] /ark:/12148/bd6t542006040.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k4719102q/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k4719102q/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k4719102q/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k4719102q/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k4719102q
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k4719102q
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k4719102q/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest