Titre : L'Auto-vélo : automobilisme, cyclisme, athlétisme, yachting, aérostation, escrime, hippisme / directeur Henri Desgrange
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1942-06-29
Contributeur : Desgrange, Henri (1865-1940). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327071375
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 29 juin 1942 29 juin 1942
Description : 1942/06/29 (A43,N15154). 1942/06/29 (A43,N15154).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4643158t
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-248
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/03/2017
L'Auto
DIRECTEUR
Jacquet i
60 D D El
JO, FG MONTMARTRE (9"). TAI. 7Q-&Q _~@ 1 0 PRANQ i 43* ANNEE. - (N° 15.154)
LUNDI
29 JUIN
1942 ;
Au Nord, au Sud, à l'Est,
à Paris, luttes ardentes,
victoires " arrachées" dans
la Coupe Henri-Desgrange
On grand vaincu : le STADE POITEVIN,
éliminé par La Rochelle ; l' U.S. Nivernaise
récompensée de sa persévérance
En Lorraine, six clubs dans 13 points
et l'A. S. Lorraine a eu chaud !...
P . tournée du Championnat National Interclubs (Coupe
î • WrfrânÉé), organisé® par la FF A, avec le concours de L'Auto a
I à rie belles compétitions. Si aucune performance extraordi-
Ï donné lie" enregistrée, c'e.<.t, il ne faut pas l'oublier, que nous n'en
j ft,,Éé ^ premier tour. Les rencontres de dimanche avaient comme
f «oflimes qu« i . clubs qui, le 2 août, se rencontreront dans les quarts
É ftut rteif v eut des éliminés de classe. Ainsi, le Stade Poitevin, demi-
I dé l'an dernier, succomba par deux petits points devant le
m finaliste• « qui comptait dans ses rangs: Devigne, Sicard et Mail tran.
I BC iVnviiis'<;è sont défendus vaillamment. Leur élimination leur causera
I A nrofonde déception, mais nous
l'%or espérer qu'ils ne se rlécou-
T .wl.it pas et qu'ils vont, dès
«W-ant se mettre au travail
S"championnat 1943. Poitiers
des juniors de valeur.
De justesse l'A.S. Lorraine
• a i,ulicvilip, les clubs de lorraine se
; Urrèrent A une bataille sans merci dont
' i-I< Lorraine: finaliste 1941, sortit
ifinoueur, mais ce ne fut que de, jus-
Liste En effet, le club de Raymond
ne devança que d'un tout petit
S le Stade Déodatien. St-Dié en
quart de finale, voilà un événement
lorrains se sont tenus de
k fris préé les six premiers ne sont sé-
» t"ë par 13 points. Il est vrai que
' F» formule de là Coupe a été iha,u;i
I guréé il y a fort longtemps en Lor-
L'U.S. Nivernaise
encore en course
rI/US Nivernaise se rendait à Dijon.
morceau était dur à avaler pour les
Nivernais. niais n'ont-ils pas, l'an der-
1 niér, brillé à Paris ? Aussi les Morvan-
(îiâuï tinrent-ils la dragée haute aux
Dijonnais, qui triomphèrent de cinq
points (74 à 69),
Parmi les performance, signalons les
îî ?. 9/10 de Santana aux 200*, les 51 s.
: 8/16 de Raniot' (400); ; les 2 m. 0 g. 6/ l!J
• d'Aloysos (800) et les 9 m. 5 s. 6/10 de
Mignlird (3.000 m.). Enfin, Nevers ga.
ina lé relais.
Le L.O.U. a dominé à Lyon dominé à Lyon
Lan dernier, les clubs du Lyonnais
furent éliminés à Clermont-Ferrand.
■ Cette fois, ils peuvent espérer aller
; beaucoup plus loin dans l'épreuve.
» Lé LOU s'est qualifié aisément, avec
!9 points d'avance sur le FC Lyonnais,
t'eft vraiment une grande performance
et le LOU causera quelque surprise le
t a.CHit.
Les performances réalisées sont de
Gros succès pour le
Kilomètre de « Paris-soir »
Un junior parisien se révèle
en 2 m. 39 s.
Bonnes performances
en province
Notre confrère Paris-soir a réussi,
en organisant à trâvers la France une
épreuve sur lè kilomètre ouverte à
foui1. - ■ • , ....
A Paris, aussi bien qu'en provincè
les concurrents ont été nombreux. A
ce jour les meilleurs résultats enregis-
trés sont les suivants :
Juniors :2 m. 39 s., Bonnard (Pa-
ris); 2 m. 40 s. 2/10, Vandenbrouque
(le Msns); 2 m. 43 s. 2/10, Hénoult
(Rouen); 2 m. 45 s. Héry (Melun).
Seniors : 2 m. 42 s. Amiot (Paris);
2 m. 47 s. Marchadier (Angoulême);
2 m. 47 s. 3/5 Compain (Cholet).
A remarquer que les juniors se sont '
montrés supérieurs aux seniors. De
bon auguré pour l'avenir.
LES QUALIFIES POUR
LES QUARTS DE FINALE
Orléanais. — US Berry, VS Char-
train.
Guyenne. — BEC, SPBUC, Biarritz
01.
Champagne. — AS Troyès, AG
Troyes.
Frariche-Cômté. — RCFC Bésançon.
Bourgogne. — CSL Dijonnais, US
Nivernaise.
Poitou. — RC la Rochelle.
Lorraine. — AS Lorraine, Stade Déo-
datien.
Ile-de-France. — PUC, RCF, SF, S€
Ermont, UAI, CASG.
Anjou. — SCO Angers, St-Pierre de
Nantes. -- -
Lyonnais. — LOU, FC Lyon.
classe. Latour a gagné le 100 m. pn
11 s. et Moirond est remis puisqu'il
franchit 1 111. 80 en hauteur. Bourse
Bresse troisième, c'est un fait impor-
tant. En effet, ce petit club devance
l'ASUL et le Rhône Sportif.
Qui niera après cela, l'intérêt dè la.
Coupe Henri-Desgrange.
Le P.U.C. 1942
digne de celui de 1941
A Paris, noue assistâmes à une fort
belle réunion. Si les trois têtes de
séries se sont qualifiées comme prévu,
par contre, il y eut, surtout, en poules
B et C de belles luttes et d'heureuses
surprises pour les secondes places. 1
Dans la poule A, le PUC et le SE
Ermont prenaient dès le début un
avantage qui devait aller en s'accen-
tuant. Les pucistes sans avoir aligné j
tous leurs meilleurs éléments n'en
prouvèrent pas moins qu'ils défen-
draient encore chèrement leurs chan-
ces en 1942, comme ils le firent en- 1941. i
Le PUC a des réserves qui lui permet-
tront de parer à toutes éventualités.
Le Stade Enghien-Ermont s'est quali-
fié cette année, mais ce fut au détri-
ment du CAF ; on déplorera la dispa-
rition d'un club qui est vraiment le
plus frappé par les événements, mais
quel encouragement pour Ermont qui
a enfin vaincu la malchance qui jus-
qu'alors s'était acharnée après lui !
Le CP France, ASlllèrel! et St-Maur
firent de leur mieux.
Le Rating tout seul !
Le Racine, il n'est pas exagéré de
le dire, s'est promené en poule B. Il
-sera. tre*- ccrtametBenti finaliste, ,--elb il
sera dangereux pour le PUC.
Par contre, pour la seconde plact,
UAI, ES XV', US Métro et l'ES Ver-
sailles, se sont tenus à quelques points
d'écart : 6 pointe séparent le second
du 5\ Finalement, c'est l'UAI qui a
gagné sa qualification. Le vieux club
parisien a effectué en la circonstance
un redressement dont on doit féliciter
athlètes et dirigeants. Vaincre l'US
Métro, dont nous avions fait notre fà-
vari, est une grande performance.
Gaston FREMONT.
(Lire la suite en rubr. Athlétisme)
A PARIS, P.U.C., ENGHIEN-ERMONT, RACING, U.A.I.,
STADE FRANÇAIS ET C.A.S.G. SE QUALIFIENT
Le plus bel exploit individuel?
Rochard réussissant
3 m. 57 s. 4/10 aux 1.500 m.
Hélas ! son club, le C.A.F., 3e l'an dernier, est éliminé
Le monsieur pas content !
nligiidrons* pas qu'hier au îtade Jean-Bouin, à i,ocetgion
»Rpf!îl Framè interclubs, un exploit fut réussi par ftôchArrf des
PlrfôrManCés satisfaisantes accompiies par Lro nteUS|'a^" Rochard, Ouhour, quefie
"uv&/®?"LiPurandi RObert, Pétit, Forestier, Monta&é accusèrent
m un duel émouvant que les sur deux les h""/*"8 Henri et Pierre igernard, se Ijyrè.
"mes du 110, l'aîné battant d'un souf-
en 16 6. 4/10, après un
Parcours impeccable !
nous devons l'avouer, nous
Ah àf mécontents des performances
f geconfls plans parisiens !
lonfff.«2ns comme exemple le saut en
ïélln -r; -nou/ savons que le terrain
ïk r.».» A1 dur, beaucoup trop dur,
laut e ttant pas la réalisation de
valeur national.
uît -'tiT 1$ sauteurs, combien
t ihit» e MM franchi lest falidiqvess
du 1. séparènt le 3' -Mtégone
a\l catégorie ?
5 mX ac 12 athlètes s'échelonnent en
emr'J - mais oui - et 5 m. 95 ! Ne
de petits pas iqVe ce %oient les athlètes
erm v„ clubs Lê Qui furent si médio-
l'UAI etc. Stade, le CAF, le CASG,
Frémit ami Max Roujou assura la
» m 14lace de la poule C avec
En i,» » a^Inez les suivants.
sur 18 de-,
,
t»tPU iËt k la perche, les rbul-
tettiif le navr:\'11t!\. Là, il 11 a
ÏÉlilp 'a,.l 'Jla,,(iue de matériel. On
H à Ac tiielleiiiplit à confier un jave-
kou!» n. utant ! QUAnt au* « ham-
Au rtit Rol\t Prenne introuvahlM.
-ni leque. il y a, cinq performance
* dire - au-dessous des
"es. C est insuffisant, vous le
reconnaître): avec nous. Aux 110 haies,
trop de 21 secondes. Trop de sprinters
en 11 secondes et 25 secondés Aux 100
et 300 !
Tout ceci nous prouve la nécessité
et les progrès que la Coupe Henri-
Desgrange peut faire accomplir à no-
tre athlétisme national.
Certains ont réclamé deux hommes
par épreuve ! Où seriotis-notir, ? 4 mè-
tres en longueur, 1 m. 110 en hauteur.
28 secondes aux 200 m., 20 mètres au
disque, le reste à l'avenant !
Peut-être e-n 4,1 Vu oU — ûtitM 44 —
pourrions-nous envisager t hommes
dans toutes les courses — sauf le 110
haies — et 1/n dans les concours.*
L année suivante, on tenterait deux
hommes en hauteur, longueur et poids
qui sont dés concoure plus faciles.
mettons naturels, ne nécessitant pne
un long travail technique ou du maté-
riel comme les haies. le disque et la
perche !
Le Championnat de France inter-
clubs doit nous permettre d'alisier
a TI redressement de notre athlétisme.
oublions pas que la valeur t'nl'o,
1 I)reiine des iierformanceë est sans cesse
reculée... Nous n'en voulons ponr
preuve que les derniers résultats ita-
ijeus et suédois !
Loys VAN LEE.
(Lire les détails en rubr. Athlétisme) I
(Photo L'Auto.)
: ROCHARD A L'ASSAUT DES 4 MINUTES
^ Jean-Boutn, le CAF, finaliste en 1941 du Championnat d*
fut éliminé pat le PUC et S Enghien-Ermont,dt
S * CeKeSSUb8' ?ger nocltard de réaliser un bel exploit en accom-
I M-mnt y^nnpas en, 3 mV 57 s. 4110. Sur notre photo" Rochard, après
f Utt Prem Jr m. s. 4110, va lâcher ses adversaires « au tram »
? Prière lut: 500 d'Alto11. en 1 (CSF), qui classera 3\ en 4 m. 11 s t/w" il
i^vïînSlt?lre t}uran& (PUC), stcùnd en 4 m. 7 i. ê/10; Qui-
fàv (Siïr 8fLtliard (VGA) et Blanchi (AS). Rochard passt!ra èn 2 m.
® * ê/in 6/10 eiM: 1 .000, faiblissant au càuri des 500 dernier& 1Mtl'e8,
(Photo L'Auto. )
A L'ARRACHE !
Hier, au Stade Jean-Bouin, ies éliminatoires parisiennes du Champion-
nat de France interclubs étaient l'occasion de luttes émouvantes.
Le 800 mètres de la poule C donna lieu à une sévère c bagarre ».
Dans les derniers mètres, Bréans (GOA), champion ât France du 1500,
parvint à prendre l'avantage sur Pautrat (ASS). On remarquera l'effort
tfuè fournissent lès deux athlètes. Derrière eux, Gerùtix (CASG), mas-
Mi**.* vtira.9xii fAKPTT): it la droite de Geroux, derrièrt lui: Letira'S
(Stadt), qui se classera f.
LA « NEUVAINE » DE ROLAND-GARROS A DEBUTE
Le Racing, grâce à là belle performance
de Destreman en mixte, a battu le T. C. P.
en finale de l'épreuve fédérale
Une révélation ? Presque ! Le jeune ouvrier
rouennais Alexandre HARDY fera parler de lui
A partir d'aujourd'hui le tournoi national flet Z.O. v&rra tes meilleurs
joueurs én lice, ceux-là mêmes qui étaient exempts du premier tour, com-
mencé samedi.
Parmi les résultats intéressants il En est un qui doit être souligné,
c'est celui du 10eune R-ouennais Alexandre Hardy, dont lé mérité est des
plus grrmds. Sa victoire sur l'excellent Bordelais Georges Saignât, victime
il est vrai, d'une foulure, situe la valeur eu Normand oui vaut sûrement
mieux que son classement actuel
à 15. Ce n'est d'ailleurs pas un in-
connu, puisque l'an dernier il gagna
le mixte de l'Espérance et alla en
demi-finale du simple.
Cè j'eurié homme — il, a 21 ont —
ouvrier à 1'usine à aet de 'Rouen, m'à
ave deux Saisons de tèvnis, rencontre
les plus grandes difficultés à n'entraî-
nér, Do.ué d'une volée très orilrante,
rappelant celle d-P, Journu, il a, énor-
mJ/Jrnellt de facilité. Certes, sa techni-
QUe veut être amelid-rée (7a pris-è de
s&h ■coût) iJ.'r.(),it, ?Lot,?xmm,*-nt, est trop
■ouverte), m.ais il. est d'ores et déjà
un tri s honnête joueur et M partie,
a u,j.(i'llrd'hwi\ e,b.ntr'B Abdesselam, sera
d'un utile ens
Jeunes et « vieux » du Racing
et du T.C.P. ont bataillé ferme
f,e,g rh&st* ie sent à peu près PO!-
stes comme no us le pennems dans
■cette finale de l'épreul'e fédérale aUt)
Racinu et TCP avaient également à
coeur d,# remporter.
Autrement dit. les juniors Ü cha-
que équipb j'cmèrent un rôle impor-
tant dans la bataille. Cependant,
leurs oin,ém ne leur cédèrent èn rien
au vain t de vue acharnement.
C'eft airi-i auë contre Destremau.
en condition remarquable (mavt très
géné par les ballv,n regonflées), glam-
s-er. déchaîné et prenant l'initiatitp de
l'attaqiip. fit une « partie de plomb »
à 7 n V'&lée.
Ainsi, ce match, -êont le résultat
faillit demellro,,r en suspens (le jeune
Lur&t. du TCP, (llIon1; h, passer les
épreuve* dii, bar-ho* t avant-fiier f!t au-
jourd'hui, demanda, de r1i>,caler gO, par-
tio contre Colin), sè termine p-àt lri,
nette victoire du Racing. qui 1111 peut
être rtioint.
Maurice BLEIN.
grreni)r fédérale : RCÏ1 b. TCP: 5-3;
Rnch fROPl b. Hugron (TCPh 4-6, '6-3,
7-3; Bnussus (RCF 1 b. Duftuc (TèPL 6-2,
5-7, 6-2 ; Df^stremàu(TCPl, 6-3, 6-4.
Stmvle €amts ; Mlle MArcellin (TOP)
b Mlle Pfculus (RCF), t-2. 6-0: Mme Se-
ghers (TCP) b. M1le P&nnetier (RCXF),
6-4. 6-4.
Doublé messieurs : Borotra-Lucot (T
CPi b. Boussus-Colin (ltCF), 9-7, 6-3.
Double mixte : Mlle Pannetier-Ruch
(RCF) b. Mme Se^hers-Hugron (TOP),
6-4, 6-1 ; Mlle, Paulus-Destremftu b. Mlle
MarceUin-Glassej-, 5-7, 6-4. 6-2.
Tournât national de ZO. — Simple mes-
sieurs, 1" tour : Rimet b. Bellamy. w,c,;
Ruch b. f'orneret, 6-3, 4-6, 6-4; Delbique
b. Guillier. 6-0, 6-3r Palgnon b. J&cque-
min w.c.; Sîboepfer b. Inltlevert. 7-5. 6-1;
Saladin b. Zh&ndre. 6-4, 64. 6-2; Blan-
chard b. Coutet. 8-6, 6-4; Saignet b. Blond,
7-5, 1-6, 6-2; Ha.rdy b. Siguier, 6-4, 5-7,
6-3; Pecqueur b. Haechler. 7-5, 6-8, 6-3;
Grimaud b. Debarre, 2-6. 6-6. 7-5; Motte
b. Gautier, 7-5. 6-3: De!homme b Lanelle,
W.-o.; Marret 6. Comtet. 7-5. 8-10, 6-4;
Larcade b. Grisou. 2-6. 6-3. 6-3: Schaifer
b. Sandre. 6-3. 6-2; Arnould b. Barrière,
6-4, 2-6, 6-4; Colin b. Lehman, 6-8. 6-2.
8-6: Ma.ssu b. Coquelin, 6-3. 8-6; DutH}e
b. Lecordakier, 5-7, 1-5-13. 1-5; Delhomme
b. Libelle. 6-1. 6-4; Baudin b. Hugon. 6-4,
4-e. 6-4: Boudin b. Huo:on. 6-4, 4-6, 6-4:
Charpentier b, Cartier. 6-2. 6-4; Bessières
?•. Renion, w.-o.; Bayot b. Picaud, 7-5,
6-3 ; Dumoulin h. Strauss, w.-o. ; Carde b.
Dorget, w.-o.
Deuxième tour: Saladin b. Blanchard,
3-6. 6-4, 6-3; Hardy b. Soignât. 6-1, 6-8 ;
Pecqueur b. Grimaud, 2-6, 7-5, 6-2; Caufli-
net b. Michel Berger, 6-2, 6-4; Durthe b.
Perrard. 6-3. 10-8: Negler b. Whurlin, 6-3,
6-3; Rostand b. B&rrttquet. 6-2. 3-6, 6-3:
Flury. 3-6. 9-7, 8-6; Baudiii
b. Miquelard. 6-4, 9-7.
Epreuve n° 2. - i" tour : Payot b
Picaud ,7-5, 6-3 ; Dorget b. Cardè, 6-4
4-6. 6-1; b. Barbarm b. Vienot 7-5, 3-6 6-4'
Dubl.v b De la Mire Maury, 7-5, 3-6, 6-4:
Baudin b. Bodon, 6-4, 4-6, 6-4: Micque-
^ Prfttimou, 3-6, fi-4; Charpen-
Pàla%, tit,r b. Chrlier. 6-2, 6"4: DeI^^>re b.
R f ,t?.urT, : tp°fLinet b. Michel Bersèr,
-2, 6-4: Burthê h. peràrd. 6-3, 10-9; Nê-
giel ; ^ohr?n* 6-3. 6-3; Rostand, b 'Bar-
raquet. 6-2, 3-6^ 6-8; M'agêndiè b. Flury.
3-6, 9-7, 8-6; Bàudifi b Miquelard, 6-4,
Trois records du monde battus
en natation
GENEVE, - Willy Smith a battu
trois l'ficordli mondiaux dé nage libn:
sur les 400 mètres, il a réalisé 4 m,
38 s. 5/19 (ancien record 4 m. 31 a. 7/ifl);
les 400 yards en 4 m. 30 s. 8/10 (ancien
record Medica, en 4 m. 40 a. 8/UI) et
les 800 yards en 10 ni. 3 a. 6/10 (ancien
recerd Flanagan, 10 m. 7 ». à/le).
Prétitent «gaiement Qut Sniith dA.
tient âuet dés 1.1'1fJj) ytrt)<.
DU PREMIER COUP, LA « CIPALE » A RETROUVE
L'AMBIANCE « GRAND PRIX »
Derrière Claisy,
l'imbattable sprinter amateur,
l'ex-" Premier Pas" Iaccoponelli
et le jeune Dron
Gérardin, vainqueur d' un han-
dicap emmené par Claisy ; Rossi
triomphe derrière motos com-
merciales avec la complicité
des crevaisons de Guillier ;
un nouveau Luguet monte...
Foule considérable * la. « Cipale ».
Rarement première journée du Gmnd
prix de Paris -avait connu unJe tellrfc
aîïltœïïce. Des * populaires » à la
tribune officielle — où une seule
place était libre : celte du docteur
Zwahlen, président d'e la Fédération ;
organisatrice ! — on se trouvait en
pleine communion .
A vrai dtre, ces hore-d'œuvre ne
furent pas fameux, fam'eufc... Mais!
on assista, 'Cependant, à die bonnes Il
choses.
Derrière Claisy, du nouveau !
Ainsi, le Prix Alfred-Rigtrelfe nous
permit de faire lé point du sprint ama-
teur de Z.O.- Depuis le départ d»
ttebea et dq. ,DegedRs, Cta.ïsy émerge,
certes... Mais derrière lui ?
• Kh bien ! derrière lui 011 Toit appa-
raître ce même Iaceoponelli qui, l'an
Sentier à pareille époqire. s'adjugeait
le Premier Pas sur Pisté... lentille as-
cension, n'est-ce pas ?
« Et Farge,,tud ? » demandera-t-on...
Far^eaud ? Battu, «u compagnie de
Verna, par le jeune Dron qui parvint
à. surprendre ces deux coriaces adver- '
saires -en demi-finale et «e comporta
ensuite plus qu'honorablement en 'fi.
nale, aux côtés de Olaisy et « lacco ».
Résultats intéressants, par consé-
quent. Mais il faut ajouter que. Claisy
l'emporta avec mite dérisoire facilité-
Plus que jamais, il serait utile d'oppo-
ser le jeune Boulonnais aux deux vè-
-dttte,,q -el-e ZN'O : Vigne et De'spl'ats —
lequel avait pn effectuer te déplace-
ment.
Où Gérardin récolte
ce que sème Claisy
On attendait beaucoup du 'h,&,ndi-
cap.., Que ferait notre Olaisy contre
les « pros , ?
Lè vainqueur du Prix Alfred-Riguelle
fit; tout le travail, on peut bien le dire.
Parti en avant-dernière position, 10
mètres déviât ©érardin, il fut rejoint
par le champion de Franc* au moment
où il débordait Iiii-mêmL, G-osseli»... Il
continua à mener jusqu'à, ce que les
Iea,ders aient été rejoints... Et, à ce
moment, Gérardin commença à se dé-
gager pour, ensuite, gagner franche-
ment... De coup était parfaitement ré-
gulier... Mais on fut déçu !
...Tout comme on l'eût été si le ma-
lin et toujours, adroit Chaillot n'avait
pas enlevé le classement final d'une
course df> primes que l'on finit par
considérer comme étant sa propriété !
Le F.F.C. n'a pas de chance !
En ce qui concerne lx partie... mo-
torisée du programmé, la FFC — Qui
se réjouira, par ailleurs, d'avoir drainé
191.220 fre;nce au profit des pauvres
de la ville & Pa-rit — n'eut pas d:e
chance,
Claude TILLLET.
(Lire la tuit, ton rubriqut CytHisme) I
LA 1re DES CHAMPIONNATS DE PARIS DE NATATION
Tony HATOT se laisse endormir
Moyonne JOUVENEL se réveille
Dans l'ensemble des « temps » qui n'en sont pas
On ne peut incriminer 1ft nageurs par islam pour ifeâr* fàittteft perfor-
Mantes réaliséees dans l'ensemble de cette première jourfrèt Champîisn-
nats de Parts qui s'est déroulé» hier, aux Tourelles.
Etudiants pour la plupart, ils efit t'excuse d'ôtrt en plteiftè période «'exa-
mens. par ailleurs, certains d'entre
eux participèrent à plusieurs épreu-
ves,
Hatot est en forme
2 m. 27 t. 6/10 aux 300 — temps réfllis#
par le vainqueur Hâtât — semble mé-
diocre au prèmier abord. Pourtant, le
racingman était en forme et s'est laissé
tout bonnement endormir t'laus le prfe-
'mier 100 m. Pair le train ésceSsirèmeàt
lent de ses concurrents.
Mayanne -Jouvenel, bien qu'il court
d'entraînement elle aiissi. réalieft J'h.
celtent temps de 5 m. 57 s. aux 41m.
Mayanne battra 4ftns aucun doute It
record de France de 1& distance tette
saison.
Raymond Mulinghausen
toujours aussi sûr
Mulinghausen et Mmf Aubert sont
les deux champions de Paris dee plon-
geons Itu tremplin. ïous les deux ont
été brillante, surtout Raymond, tou-
jours aussi sûr dans «on programmé.
Du m.&rqu,tz, de Son côtê, est. en pro-
grès et fut Coté un peu Sévèrement.
Il doit faire encore mieux et se trou-
ver un jour l'égal de « Mulin t.
Par contre, leg Autres concurrents •
furent absolument décevants, et nous
sommes d'avis de ne point (.régenter
a,u public dorénavant, des plongeurs
incapables d'un minimum. C'est évi-
demment regrettable, mais la propa-
gande y gagnerait.
Stebe bat Berthe
On attendait avec curiosité la lutté
sur 199 m. £ntre les j. cadets Berthfè
et Stebe, Récemment, Berthe avait
battu le champion de l'Ours fmne '
mais, hier, Stebè prenait Sa revanche-
et le titre !
Mlle Rocher, de l'US eéti,o, mtul.
cadette de Jeanne Rocher, une de nos
meiliewres iia,gtugt-s de dt^, s'est l'évé.
lé,e en battant Mlle Richard et Goiinv
dany Je 100 libre cadettes. C'est là nu
véritable espoir qui fera parler d'elle.
JESUM OU MORGEN ?
Le 7* meilleur « temps » aux demi-
finales du 100 m, libre, a été accompli
par Jèsum, champion de France 1^41.
Mais Morgen, un des plus rapides
sprinters parisiens, s'est èxcusè à
cause d'une angine. La C.S. du Comité
de l'ile-dé-france se décidera cette
semaine entre Jesum et Morgén
comme 7* finaliste. ,
Fahre (Ours Blane), TJuhB, (CN Issyj.
Milt't; Deminck (CNP) et Rnii.rard
Mouettes) enlevèrent les autres titres.
Dans le relate 4x200 lU" le, SCI!K de-
vança. de fort peu le CNP qui alignait
principalement ses joueurs de water-
polo Thibaud, Cuviliy et le Morvan.
Bravo pour lé CNP.
La Libellule se retrouve
La Libellule est, Èt Paris, un des prin-
cipaux clubs de water-polo. Et fia spé-
cialisation lui avait même valu quel-
ques critiques car on lÜî reprochait de
jouer trop la « ficelle «. Hier, les
joueurs de la Libellule se rachetèrent
én fournissant une excellente pa.rtie
devant le Scuf qui n'en pouvait mais...
Kn souffle, ardents sur la bail" tech-
nicieus avertis, lès « Libellule » ont
mérité hier de remporter le titre.
Mais, de son côté, le CNP ne Compte-
t-u pas une récente èt brillante tictoirfe
sur la, Libellulè ? On le dè111ltndè donc
toujours quel est le Bïêillèur club de la
camtalè.
V. Kédroff.
LES CHAMPIONS DE PARIS
1942
MESSIEURS
J. Cadets. — 100 m. bràssk : Luha,
(CN Issy) 1 m, 35 s. 7/l0.
108 fil. dM : fabre (Ours B!anc)
1 m. 31 1.
. 100 M, Itfcrrt : Stebt (Ours Blanc)
,1 m. 8 s. "'/10,
Juniors, Ditien, — 2tm Wt, Irfert :
Hatot (RCF) 2 m. 27 s. 6/10.
Plongeons tfiotftpfift : Muling-
hâusën (SCUF) 135 pts 12.
RMitii! 4X200 : SCUF, 10 m, 43 s.
Wat«r-j»e>1& : Libellule b. SC*UF, 6-0.
DAMES
CMtettes. ~ 100 i*. fibre : M lié Ro-
cher (USM. 1 m. 24 s. 2/ 10.
100 m. ètos : Mlle Dêminck (CNP)
1 m. 33 s dl/10.
100 (Mouettes) 1 m. 41 s. 1/10.
Juniors, seniors. — 4*0 m. libre :
Mlle JÓuvènel (Mouèttês) 5 m. 57 s..1
2/10.
PI«Aoébns Uêmptin î Mme Aubert
(CNI) 45 pts 17.
A NOS AMIS
LES CYCLISTES
Koul fionf étions arrêtés àas trin-
orle; concernant cellès-ei, nous soin-
mes obligés de reparler dès jàntes.
En procédant a a démontAce dé l'en-
veloppe (opération à. renouveler de
temps à autre), on constate souvent
des apparences de rouille Sur la toile
entourant la. tl-i)ielt. elles sont, vil
général dues a des jantes touillées.
Aussi ne négligeons pas l'entretien
des jantes dont nous avons parlé pré-
cédemment.
Parlons maintenant de la chambre
à air ; celle-ci est èn quelque sorte le
t ressort amortisseur t idéal pour le
vélo comme pour tout engin roulant.
La chambre à air se compose de
trois éléments essentiels :
Lé tube. en mélange de caoutchouc;
la. valve et l'empiècement de valve.
L'entretien se limitera à. talcquer
la chambre lors du démontage et à
nettoyer la valve de temps à autre
pour qu'elle fonctionne régulièrement.
Le# réparations éventuelles sur la
la chambre fèront l'objet de prochains
articles.
Quant au fond dê jante ou mèche,
gommé déjà dit, on t'itnwe ou presque
et pourtant t'est lui qui protège le.
pneumatique
Il protège d'abord 111 chambré à, air
contre les lêtès de rayons et lè fameux
t tétQlJuage b.
Ensuite, aussi bien la chànibre que
l'enveloppe, voire la jante, contre
t'îiui!e qui t file » le long des rayons.
Ce fond de jante, qui joue un rôle
important à l'égard du pneumatique,
est parfois inexistant; souvent, pres"
tiufe toujours» en mauvais état.
80n ehtreti%a est nul, sauf une int-
pection et un nettoyage au cours du
démontage. Par contre, t'il n'est pas
impeccable, 011 le remplacera.
Nous rappelons à nos amis les cy-
clistes que le fond de jante doit bien
entrer dans la jforgè de la jante et
bien la remplir.
Dans dé prochains articles, nous
traiterons de la réparation du pneu-
matique... mais n'oubliez jamais que
pour pn long usagé, il faut un bon
feonflagè.
Tftif L'itttb Aèt 1", 8. 13 èt 23 jui&.
Le Comité directeur du C.N.S.
a tenu sa première séance
pleinière
« Le C.N.S.
sera l'organisme
consultatif national
qui informera le C.G.
et dirigera les activités
fédérales... »
a dit le colonel Pascot
en inaugurant la séance
Sous la présidence dit colonel Pas- j
cot et en présence de MM. le colonel j
Beaupuis, G. Glasser, Venturini et !
Barreau, contrôleur financier du i
CNS, le comité de direction du CNS
s'est réuni pour la première fois en !
séance plénière, samedi dernier.
Le colonel Pascot définit, dans
un'e brève allocution, le rôle L-xadt
que devra jouer le CNS :
; Le Commissariat Général détient
l'autorité; le C.N.S. est l'organisme
con sultatif national q u i doit à la fois
informer le C.G. et diriger, selon ses
vues, tes activités fédérales.
Deux courants d'échange à double
'effet v"t donc s'établir: d'une part
entrée tes fédérations et le C.N.S., de
l'autre entre te C.N.S. et !e C.G., pour
prendre à charge les intérêts majeurs
du sa-ort français.
Simplicité et rapidité d'exécution
Au reste, les membres du comité di-
recteur -ont tous été frappés par la
manière d'agir du co-lo-nel Pa&cot, qui
peut se résumer en deux mots: sim-
pli'fier' et agir.
C'e3t dans le même esprit que le
C.N.S. agira d-oirénavo,,nt: cm évitera
l'eg questions de détail qui retardent
indéfiniment la solution à venir et
l'on simplifiera au maximum les grands
problêmes pour les résoudre le plus
vite i)csqible... Parmi les questions à
l'ordre dit jour, signalons celle de la
participation, française dans les mani-
fr, station* int-ernati(>,n ales, paTtM ipa-
tio-n voulue par le C.G., qui facilitera
l'obtentian des laissee-paeser.
De son côt'é, le professeur Cotl aie
Carrera a donné connaissance dans
ses grandes lignes de l'()irgunisatio-n du
contrôle médical daies les établisse-
ments d'enseignement et les sociétés
sportives. D'autre part, le protocole
qui réglemente les relations entre le
CNS et l'USSU a été ilium et le comité
a approuvé une proposition -du Conseil
municipal de Part.". qui souhaitait
voir le s sportifs part'si!m's devenir les
parrains de leurs camarades de Dun-
kerqwe.
Ife comité Rirccteur se réunira les
'i% et 4' mercredis de chaque mois.
V. Kedroff.
En 80 secondes!...
un crochet du droit
de Cerdan
et De Ridder, le Be
est k.-O. !
Dewinck, en progrès, a pris sa revanche sur Parisia
Bernard fait match nul avec Guy Seria
Les combats qui empoignent le cttur innombrable de la foulé «3 &
à line semaine d'intervalle sur le ring du 'Grand-Palais. L'autre dilw" « s
'ftn dramatique du match Thierry.A'Atagdfi. Hier, ce fut te nta'gnifiq -
par Marcel Cerdsm, qui foudroya son adversaire, le Belge Gaspard :'O. te ■ e, ,, ^ .*
maître crochet du droit à la pointe du rwthtdh.
Le combat - temps du k¡o, compris — ne dura que 80 second ,, M n •
avons eu fa grande joie d-e retrouver le
véritable champion qu'est Marcel Cerdan.
Le poulain de L.-C. Roupp nous a fait
oublier le pugiliste hésitant, timoré, man-
quent de détente et de vitesse que nous
vîmes il y a quelques s'emaines dans son
match si décevant contre Fernahd Vie*.
Avant d'enjarhb'er, hier, fes cordes du
ring, Cerdan nous avait confié son inte -
tion d'effacer cette mauvaise impression
en triomphant le plus rapidement possi-
ble. Il a réussi au delè de nos espérances.
Dès le gong initial, on retrouva sur re
visa'ge de notre champion les traits fen-
dus par l'attention et par l'a volonté, cfcs
mêmes sigrfes que l'on avait obserVes Su
début de son match contre Gustave Hu-
mery.
Oui, Cerdan est vraiment notre plus
grand champion, -et il faut souhaiter que
les pourparlers, depuis longtemps déjà
entamés pour conclure le match qu'il dort
disputer contré l'Espagnol Ferrer, abou- -
tissent enfin. Cerdan mérite, en effet, de
riscanquérir te titre européen cfe sa caté-
gorie, c'e titre Mont il fut dépossédé saris
avoir 1-a possibilité de lé défendr'e.
Le maître crochet droit
Mais revenons au combat d'hier si ra-
pidement terminé. Libérés par le gong tes
deux adversaires, gardes serrées, s'obser-
vèrent quelques Ir" .ants. Cerdan attaqua
le premier et réussit un crochet du gauche
qui arriva sur la tempe de Dé Rldder,
Quelques secondes d'observation suivi-
rent, et soudain, rapide, te « gauche-
droit > jaillit de la garde du champion.
Le gauche toucha juste, mais le droit
passa à deux centimètres du menton du
boxeur belge. Cerdan reprit alors sa dis-
tance, prenant ses mesures, tranquille, cal-
mé, sûr de lui.
De nouveau il touéha du gauche, mais
il ne suivit pas immédiatement du droit, il
opéra un léger retrait et brusquement le
droit en crochet fulgurant, un coup ma-
| gnifique d'e vitesse et de précision; arriva
juste à la pointe du menton.
De Ridder, foudroyé, tomba à l'a ren-
verse, lés brers en croix. L'arbiîrte com-
mença à égrener te chapelet des secondes,
'et De Ridder ne souleva ta tête qu%u mo-
ment où venait d'être prononcé ,re '< but '*
final.
Pour la première fois de sa carrière
te boxeur belge était mis k;o. De Ridder
n'avait jamais combattu à Paris, il s'en
retournera è Bruxeltés sans que nous ayons
eu la possibilité de he voir à l'œuvre, car
durant ces 80 secondes il n'!a PB'> au Ht
loisi.r de réussir un seul coup.
Dewinck a pris sa revanche
Battu il y 8 un en par abandon en
moins d'e deux reprises, te Nordiste D'e-
(Photo L'Auto.)
FOUDROYE !
Tombé les bras en croix sur le feutré du ring, le Belge -,aspard de Ridder ;
à ët% foudroyé par ttpt crochet du droit au menton, L'arbitre, Albert
Pichot a comih-en-cë à comptér et, dans quelques secondes, il prononcera
îfe * ont b linal. Cardan, réglementairement, attend dans un coin dU ïtnp
winck a pris si revanche si a
iaîs Jo Pàrjsis. Ce dërnier ail' '.
fois pour 8 et 9 secondés i <
4' reorlee. 'Gr&de à son rrfë\ ; - -,
de Brefonitel pârvin-- à -rtsnit ■.
sît de bons gauches et a us ,
cuts, mais le handicap était I
cision aux points revint tr*t i*
Dfewinck, qui a fait de très
Le poulain de Triékri '11 edr f
tente impression produits te 4 s, '
cent match à Berlin contre
rapproche maintenant des ri : „ (p
légers français.
Signalons, enfin, qu":!Pr'ê"s i .. ' '
animé It Mavrais Bterrt'ai'd ' •* >à <
n'ont pu Se dénartaoer.
Georges
Les résultats
Amateurs. — 3x3: -ftït b ..
pts; Brama b. Roche aux
Professionnels. — ,10 x 3: :
n»rd et Srë*yln, ïn'itdh nul: '■« •«,« a
ce! CJeïdan b. De 'Ridder.
l'éger: D'ewiivck b. ParIsis a , , ait. spw, , ~
Cerdan va repartir pour Alger
Entouré par de nombr
teurs, harcelé par les a,®
togra;plies. Marcai Ceriian . ~,:' a 9
Champs-Elysées pour ils - : - i
'Marcel Cerdan réussit de ;
dans ses combats; rappeler »
qu'avant dé battre -De Ri ,
secondes, il avait mfs k:o ( u.i i .,
mery en 22 secondes.
hôtel. Il ne nous cache '-ry-n- tjt**; -
d'avoir effacé la mauvais'!
produite lors de son matcl f
et son espoir de voir bit v ?
ifon Championnat d'Eu] y,m k-
Ferrer. ' ~
Quant à Roupp, il noUs 't
'g'Oll poulain quittera Part -
on trois jours, à destinât . *
où il doit distiiter un nou ««ô
peut-être contre Souidri.
« Quel punch !
s*excïamt &*.•£..
« Jfe n'avais janriiîfc li ' ' * %.
nous eonffe re Bllgte Ï)'e ï *' b-l'
ment, Cerdan est un très
pion, et qat>l punch!... »
CERDAN-FERRER
au mois d'août à Paris ?
IkPt%* fa rapide vibtbirl f' »
l'organisateur Gaston Cu a
«rt qu'il «siérait bîbn t ;r
proohainartflmt mg wourow, . i
«nsarêis vue Htt 'conclu t .
cardan-Farrtr pour ft til *
-ffl poids mi-moyem.
Cuisin a ;Iin'ttntidà 411 r
Championnat d'leurb#b au „
a Paris.
Germain Ferez continue...
Le nouveau champion
de France des [ilisible]
de Z.N.O. à battu par [illisible]
au onzième round
le Niçois Trinchara
NICE. — Au Palais di ^
Mica, Gm-main Parez a ,q ? c
nouvelle victoire avant J «j*
battant le Niçois Trincl a *■
à la onzième reprise. il r *
jaurs, à Alger, Germain P
pbait du Lyonnais E'Uff'è) « «
k.o, an 3 rq>pri'set,, a qt
la titra 1195 pluma de ZN 0) » •;
tam crue ttinchera a fa * • .»
témérité an s'attaquant %
ebampien de France. Lt
en effet, anâ Mwtft-e pun 4 j
avertissement pour accroi ? e
d'être l'tirs dftitîy#Ment ^t. m-
bat, sur un 'e une-deux » au w *.
Au cours Ufe la soirée, «v pu
mond, an axt»nenta oon « ?
aux ftèÍntS Kid M*PM.
7 favoris sur 8 gagnent
le 21e Challenge de L'Auto
Sandeyron, Vuillemain, Gerwig, Jean Mougin,
Marchand, Kalisky et Mennegault
Lt Challenge dtl Uft uto 1942 a ré-
joint, . dans l'histoire, du pug-ilisme
amateur ses devanciers. Leé finales du
Derby dè t'amatëurismf français Ste
sont déroulées hiér, au Central, dans
la tradition : le record -des entrée» fet
tél ui de la recette ont été battus èt de
nombreux retardataires durent rester
à l'entrée, attendant de l'intérieur, dé
I 'ë,l,térit-,ur... ou du Ciel un quelcon.
que « Sésame Il.
Sept favoris de L'Auto, eur huit, dé-
crochèrent la timbale convoitée, tim-
bale qui. pour quelques amateurs dé-
sireux de passer « près » dès -septem-
bre Prochaîn. èèra épinglée,. ei nous
osons dire, à la demande dûment pa-
t'aflhée par le professeur et expédiée
à M. Bourdariat. Le favori qui nous
glissa des mains, contre son gré d'ail-
leurs. fut le jeune Dormont. Il nons
a semblé que ce fidèle protégé de la
victoire, a péché par excès de
confiance. -
Presque toutes les décisions furent
rouvent acquises de peu. mais toutes
ëquitablement données, y compris
celle du match fratricide Matéos-Gér.
wis'. Le premier rite fut certes plus
adroit, plus efficace, mais les .iusres
ont certainement déeiré récompenser
le " mieux organisé ». G-envijt en roc-
currence.
Le challenere proprement dit a été
çagné par le FîinSr de Pantin, avec
24 points, devant l'Avia Club, d'une
façon assez étonnante et rare, puis-
Que aucun « vert tt rou(?e » né figu-
rait en finalp.
Huit primes ®ibb* furent distri-
buées, cinq d'entre elles furent Utili-
sées à titre de prix de consolation et
récompensèrent d'honorables battus.
Notons, dans les matches hors com-
pétition. le « choc Il Charron-Goddart.
le premier cité ex-élèvè de Marcel
Thil et fausse-garde au crochet fran-
che redoutable, gagna par k. o. Coup
bas ou pas coup bas? Nous avons
: déjà dit ce que noue pensions des
CO\IP9 bas: ce n'est pas toujours de
gaieté de cœur que l'on accomplit —
n'est-ce pas. messieurs les iueres* —
son devoir.
Georges Schira.
Les huit rencontres
Mouche : SANDEYRON (Salle Gan-
doni b. gart,,q (cP 191), aut pts. Deu*
petits boxeurs en progrès, ardents et in-
telligents. Au 21 roiiiid, Sanclevroa ém-
eute de bçi'lfs esquivés, puis passe à l'of-
fensive. Élus; varié, plus « vite * que
Ma.rcq, Sandeyron enlève un bien joli
succès.
Coi? : FOUILLOUX (CP Clichy) b. Dor-
mont (JSalle Janny), aux pts. Dormant,
d'entrée, se fait surprendre par des
droits II. la face, très appuyés, Il réagit
en crochets des deux mains, corps et face.
Malt Fouilloux n'est pas suffisamment
affecté pour baisser le ton. 11 réussit
d'autres droits au menton èt, malgré une
ultime offensive adverse, Il bat Dorment
trop confiant au départ.
Plume : VUILLEMAIN (SC 101) b. Do-
din îLe Mans). aux pts. Boxe vive et
Intéressante de part et d'autre Les deux
Il plume » - perdent du temps au second
round; Vuillêmain, plus puissant, enlèvé
la 3* reprise et. de peu. là décision.
Lepo-t : OERWIÓ (Avit Club) b. Mtt-
t€t>» (Avili Clufc). Dit petit &rkm eorflé*
uen : les deux hommes aantrhlnent 'en-
Mïmbifc chaque jour; ils èt connnl»i»ftt.
et de nombreux coups sont bloqués ju
esquivés On ne s'ê ménage point, cepen-
dant ! Matéos à peut-être ift&rqug plus
de pointe... mais Gerwig a fait dt jolieis
chOSea. D'un fil tdu double zéro), la dé-
cision est accordée à Gerwig. Le profes-
seur Dupain rit d'un œil et pleure de
l'àutre.
Mi-mo.veits : J. MOtTGTN (BÔ Billan-
court) b Wanès fUS Métro)" arrêt da
l'arbitre, 3' rep. Wanès, qui a accompli
dè remarquables progrès (tiens, tiens !
un beàu gauche, en piéton, très effica-
ce !) marque des points devant son bril-
lant adversaire qui expédie de magnifi-
ques « un-deux ». Wanès se comporte
fort bien, mais un crochet droit lui fend
l'arcade sourcilière gkuche, au 2* round.
Mougin place dès gauches, et Wanès tst
ensanglanté lorsque au début de la 3'*
reprise, l'arbitre arrête la rencentre.
Moyens : MARCHAND (Puteaux) b. î)e-
gouve (Montreuil), aux pts. Les deux;
frappeurs cherchent le « coup dur
Avant la fin du 1" round, Degouvt ac-
cuse, à la sortie de violents échanges,
un droit au menton. Le combat est vio-
lent. Marchand, plus subtil, « paæè » de
vicieux uppercuts dans le combat de pr", •
dans l'ultime reprise, et bat, 8i5SeZ nette- !
ment Dègouvè, côaàbatiî, courageux ai
l'extrême, mais dont le bagage n'enfle
pas, pour i'heure. ;
Mi-lourds. — KALISKY (US ArtenteaU) '
bat Lt/ranc (Melun, prof. Laira) au. 2'1
repr. Ces deux boxeurs frustes cognent'
« dur Il. Au 2* round, K&!iwky réussit dcuJt !
beaux gauches et un droit très sec, èû
Risquant de se faire « faucher » là' tète 1
par un des swings qu'expédie le Melunais.
Mais non ! Lèfrànc. la, main eauche abi-
mée, lève la droite èn signe d'abandon...
Lourd*. — MBNNEOAULT (indiv.) b.
Bprzelûtosky (.Meiun. pror. Lairs) aux pts.
Ménnégault, vainq. inamovible de toutes
les compétitions du calendrier amateur
prend son tempe selon son habitude. Il
laisse l'imprudent adversaire se dépenser
avant de le « démolir b grâce à de courts
crochets secs, rapidement portés, et,
croyez-nous, très efficaces. Borzetowsky
ô'échappe point au « pian Mennegault t :
le melunéid va tu ta^is une seconde
av,ant le coup de gong libérateur, après
avoir réueei un r»re exploit... MennegÁult,
en effet, a accusé un drait du vaillant
élève de Lalrs,
x
Les ré&ultatt. — Hors compétition. —
3x3 : Làtour b. Dumont, k. o. l'" rtpr.;
Joube b. Demeyrer aux pts; Cagniard b.
Humbert lut pts; Rongêot b. P. Mongift
au* pts; Bechet b. Cîau^enfer aux pts;
Charron b. Godard, k. o. S* rêpr.
HEUSER et NEUSEL
« dos à dos »
en douze reprises
Neusel conserve le titre
de champion d'Europe
toutes catégories
Le Championnat d'turope des poids
lourds, qui s'est disputé en 12 rsprises,
samodi à Hambours, entre A doit Htu.
ser, U-mi-IÓurd et Walter Neusel,
t'est tèrminé par un mateh nul. Là
fléaision des Jufcss Semble avoir fava.
ri" i«i*remint Nftuièi, iiui tardé san
titra.
Ce matin, départ de Madrid.
Equipe non homogène...
maïs les Français
du Tour d'Espagne
peuvent se classer
parmi les 10 premiers
Ain1!'Í., il weaabla qùfe < a %
soit Sérieux èt que le dé] f
d'Espagne doitt êtré doi - ea <. -i
à Madrid.
Une informâtioù, Ténue 't î " ^
nous lt signalé le passage ëû i
de Barcelone des Six Frai eaià t* oie»
il, participer à l'éprèui > «»or
Thiétard, Lauk, Munier, v < , „ia-
nello, accompagnés de V. - \£
gué de la FFC — ainsi < ^
Italiens Camillll, èt Came] m ta«> au-
tre nous à, annoncé 1er ai je a.
Barcèlonè et le départ 1 -)ut Madrid.
Nous savons même que e ch loà
espagnol Mariano Canar 0, ï.„ ,
la bienvenue aux visiteur
Il ne nous reste donc p * ? *i
dier les chancè# de no's 1 ^ s
dans ce premier Tour nal |
des Français aient été a, * • u**
ticiper depuis la. fin des ,.
L'équipe tricolore a ét5 nit
peu au hasard ; elle n'es p»
géé d'éléments homo^èn» «
qu'elle comprenne trois £■''
nais » habitués à courir :-
mais elle est néanmoins c 1 * *
distinguer.
Le* dent meilletirs ho:■ 1, * 4
indiscutablement (ïianellt ;
— deux spécialistes du Toi* «
La locomotive du [Illisible]
sera Munier
Aut arrivée* aiS paqu 4
pourra dire son moi, dl ...-V*
Lauk. Enfin, noua At »
Vietto la bonne surpris) * ,
une nouvelle résurrection
De leur côté, les tr&aa&] •+ * ? %
et Camellini seront de re( - •
vèrsairee pour les griôi
qmeé... «Mais, pour formuh ï •
ciations plue précises, nor * ,* «
de renseignements et d'
comparaison aur les chai ». tt v» t,
péninsule t 1
Le grand referendum
de L'Auto
50.000 francs de prix
Comment formertez-vous
l'équipe de France
du « Tour 42 » ?
L'A Il to, r>ous l'avom t i !*
comme l'on dernier, Il sas
désigner lés 10 mtHIbt'Í et ■ ? t ]
d. Franco fdéâla Qui par I
« Tour *... si colui-tl av„i( |
lieu 1 j
A cet effet, noue avons 't f
liste comprenant routiers susceptibles d'êtr v.
A vous, msintftnâht, de ' "i#- w >
au travail et de poser yot
turf pour las 2Ó,èOO fr. A
Censé attribués eu vâin^uii |
DIRECTEUR
Jacquet i
60 D D El
JO, FG MONTMARTRE (9"). TAI. 7Q-&Q _~@ 1 0 PRANQ i 43* ANNEE. - (N° 15.154)
LUNDI
29 JUIN
1942 ;
Au Nord, au Sud, à l'Est,
à Paris, luttes ardentes,
victoires " arrachées" dans
la Coupe Henri-Desgrange
On grand vaincu : le STADE POITEVIN,
éliminé par La Rochelle ; l' U.S. Nivernaise
récompensée de sa persévérance
En Lorraine, six clubs dans 13 points
et l'A. S. Lorraine a eu chaud !...
P . tournée du Championnat National Interclubs (Coupe
î • WrfrânÉé), organisé® par la FF A, avec le concours de L'Auto a
I à rie belles compétitions. Si aucune performance extraordi-
Ï donné lie" enregistrée, c'e.<.t, il ne faut pas l'oublier, que nous n'en
j ft,,Éé ^ premier tour. Les rencontres de dimanche avaient comme
f «oflimes qu« i . clubs qui, le 2 août, se rencontreront dans les quarts
É ftut rteif v eut des éliminés de classe. Ainsi, le Stade Poitevin, demi-
I dé l'an dernier, succomba par deux petits points devant le
m finaliste• « qui comptait dans ses rangs: Devigne, Sicard et Mail tran.
I BC iVnviiis'<;è sont défendus vaillamment. Leur élimination leur causera
I A nrofonde déception, mais nous
l'%or espérer qu'ils ne se rlécou-
T .wl.it pas et qu'ils vont, dès
«W-ant se mettre au travail
S"championnat 1943. Poitiers
des juniors de valeur.
De justesse l'A.S. Lorraine
• a i,ulicvilip, les clubs de lorraine se
; Urrèrent A une bataille sans merci dont
' i-I< Lorraine: finaliste 1941, sortit
ifinoueur, mais ce ne fut que de, jus-
Liste En effet, le club de Raymond
ne devança que d'un tout petit
S le Stade Déodatien. St-Dié en
quart de finale, voilà un événement
lorrains se sont tenus de
k fris préé les six premiers ne sont sé-
» t"ë par 13 points. Il est vrai que
' F» formule de là Coupe a été iha,u;i
I guréé il y a fort longtemps en Lor-
L'U.S. Nivernaise
encore en course
rI/US Nivernaise se rendait à Dijon.
morceau était dur à avaler pour les
Nivernais. niais n'ont-ils pas, l'an der-
1 niér, brillé à Paris ? Aussi les Morvan-
(îiâuï tinrent-ils la dragée haute aux
Dijonnais, qui triomphèrent de cinq
points (74 à 69),
Parmi les performance, signalons les
îî ?. 9/10 de Santana aux 200*, les 51 s.
: 8/16 de Raniot' (400); ; les 2 m. 0 g. 6/ l!J
• d'Aloysos (800) et les 9 m. 5 s. 6/10 de
Mignlird (3.000 m.). Enfin, Nevers ga.
ina lé relais.
Le L.O.U. a dominé à Lyon dominé à Lyon
Lan dernier, les clubs du Lyonnais
furent éliminés à Clermont-Ferrand.
■ Cette fois, ils peuvent espérer aller
; beaucoup plus loin dans l'épreuve.
» Lé LOU s'est qualifié aisément, avec
!9 points d'avance sur le FC Lyonnais,
t'eft vraiment une grande performance
et le LOU causera quelque surprise le
t a.CHit.
Les performances réalisées sont de
Gros succès pour le
Kilomètre de « Paris-soir »
Un junior parisien se révèle
en 2 m. 39 s.
Bonnes performances
en province
Notre confrère Paris-soir a réussi,
en organisant à trâvers la France une
épreuve sur lè kilomètre ouverte à
foui1. - ■ • , ....
A Paris, aussi bien qu'en provincè
les concurrents ont été nombreux. A
ce jour les meilleurs résultats enregis-
trés sont les suivants :
Juniors :2 m. 39 s., Bonnard (Pa-
ris); 2 m. 40 s. 2/10, Vandenbrouque
(le Msns); 2 m. 43 s. 2/10, Hénoult
(Rouen); 2 m. 45 s. Héry (Melun).
Seniors : 2 m. 42 s. Amiot (Paris);
2 m. 47 s. Marchadier (Angoulême);
2 m. 47 s. 3/5 Compain (Cholet).
A remarquer que les juniors se sont '
montrés supérieurs aux seniors. De
bon auguré pour l'avenir.
LES QUALIFIES POUR
LES QUARTS DE FINALE
Orléanais. — US Berry, VS Char-
train.
Guyenne. — BEC, SPBUC, Biarritz
01.
Champagne. — AS Troyès, AG
Troyes.
Frariche-Cômté. — RCFC Bésançon.
Bourgogne. — CSL Dijonnais, US
Nivernaise.
Poitou. — RC la Rochelle.
Lorraine. — AS Lorraine, Stade Déo-
datien.
Ile-de-France. — PUC, RCF, SF, S€
Ermont, UAI, CASG.
Anjou. — SCO Angers, St-Pierre de
Nantes. -- -
Lyonnais. — LOU, FC Lyon.
classe. Latour a gagné le 100 m. pn
11 s. et Moirond est remis puisqu'il
franchit 1 111. 80 en hauteur. Bourse
Bresse troisième, c'est un fait impor-
tant. En effet, ce petit club devance
l'ASUL et le Rhône Sportif.
Qui niera après cela, l'intérêt dè la.
Coupe Henri-Desgrange.
Le P.U.C. 1942
digne de celui de 1941
A Paris, noue assistâmes à une fort
belle réunion. Si les trois têtes de
séries se sont qualifiées comme prévu,
par contre, il y eut, surtout, en poules
B et C de belles luttes et d'heureuses
surprises pour les secondes places. 1
Dans la poule A, le PUC et le SE
Ermont prenaient dès le début un
avantage qui devait aller en s'accen-
tuant. Les pucistes sans avoir aligné j
tous leurs meilleurs éléments n'en
prouvèrent pas moins qu'ils défen-
draient encore chèrement leurs chan-
ces en 1942, comme ils le firent en- 1941. i
Le PUC a des réserves qui lui permet-
tront de parer à toutes éventualités.
Le Stade Enghien-Ermont s'est quali-
fié cette année, mais ce fut au détri-
ment du CAF ; on déplorera la dispa-
rition d'un club qui est vraiment le
plus frappé par les événements, mais
quel encouragement pour Ermont qui
a enfin vaincu la malchance qui jus-
qu'alors s'était acharnée après lui !
Le CP France, ASlllèrel! et St-Maur
firent de leur mieux.
Le Rating tout seul !
Le Racine, il n'est pas exagéré de
le dire, s'est promené en poule B. Il
-sera. tre*- ccrtametBenti finaliste, ,--elb il
sera dangereux pour le PUC.
Par contre, pour la seconde plact,
UAI, ES XV', US Métro et l'ES Ver-
sailles, se sont tenus à quelques points
d'écart : 6 pointe séparent le second
du 5\ Finalement, c'est l'UAI qui a
gagné sa qualification. Le vieux club
parisien a effectué en la circonstance
un redressement dont on doit féliciter
athlètes et dirigeants. Vaincre l'US
Métro, dont nous avions fait notre fà-
vari, est une grande performance.
Gaston FREMONT.
(Lire la suite en rubr. Athlétisme)
A PARIS, P.U.C., ENGHIEN-ERMONT, RACING, U.A.I.,
STADE FRANÇAIS ET C.A.S.G. SE QUALIFIENT
Le plus bel exploit individuel?
Rochard réussissant
3 m. 57 s. 4/10 aux 1.500 m.
Hélas ! son club, le C.A.F., 3e l'an dernier, est éliminé
Le monsieur pas content !
nligiidrons* pas qu'hier au îtade Jean-Bouin, à i,ocetgion
»Rpf!îl Framè interclubs, un exploit fut réussi par ftôchArrf des
PlrfôrManCés satisfaisantes accompiies par Lro nteUS|'a^" Rochard, Ouhour, quefie
"uv&/®?"LiPurandi RObert, Pétit, Forestier, Monta&é accusèrent
m un duel émouvant que les sur deux les h""/*"8 Henri et Pierre igernard, se Ijyrè.
"mes du 110, l'aîné battant d'un souf-
en 16 6. 4/10, après un
Parcours impeccable !
nous devons l'avouer, nous
Ah àf mécontents des performances
f geconfls plans parisiens !
lonfff.«2ns comme exemple le saut en
ïélln -r; -nou/ savons que le terrain
ïk r.».» A1 dur, beaucoup trop dur,
laut e ttant pas la réalisation de
valeur national.
uît -'tiT 1$ sauteurs, combien
t ihit» e MM franchi lest falidiqvess
du 1. séparènt le 3' -Mtégone
a\l catégorie ?
5 mX ac 12 athlètes s'échelonnent en
emr'J - mais oui - et 5 m. 95 ! Ne
de petits pas iqVe ce %oient les athlètes
erm v„ clubs Lê Qui furent si médio-
l'UAI etc. Stade, le CAF, le CASG,
Frémit ami Max Roujou assura la
» m 14lace de la poule C avec
En i,» » a^Inez les suivants.
sur 18 de-,
,
t»tPU iËt k la perche, les rbul-
tettiif le navr:\'11t!\. Là, il 11 a
ÏÉlilp 'a,.l 'Jla,,(iue de matériel. On
H à Ac tiielleiiiplit à confier un jave-
kou!» n. utant ! QUAnt au* « ham-
Au rtit Rol\t Prenne introuvahlM.
-ni leque. il y a, cinq performance
* dire - au-dessous des
"es. C est insuffisant, vous le
reconnaître): avec nous. Aux 110 haies,
trop de 21 secondes. Trop de sprinters
en 11 secondes et 25 secondés Aux 100
et 300 !
Tout ceci nous prouve la nécessité
et les progrès que la Coupe Henri-
Desgrange peut faire accomplir à no-
tre athlétisme national.
Certains ont réclamé deux hommes
par épreuve ! Où seriotis-notir, ? 4 mè-
tres en longueur, 1 m. 110 en hauteur.
28 secondes aux 200 m., 20 mètres au
disque, le reste à l'avenant !
Peut-être e-n 4,1 Vu oU — ûtitM 44 —
pourrions-nous envisager t hommes
dans toutes les courses — sauf le 110
haies — et 1/n dans les concours.*
L année suivante, on tenterait deux
hommes en hauteur, longueur et poids
qui sont dés concoure plus faciles.
mettons naturels, ne nécessitant pne
un long travail technique ou du maté-
riel comme les haies. le disque et la
perche !
Le Championnat de France inter-
clubs doit nous permettre d'alisier
a TI redressement de notre athlétisme.
oublions pas que la valeur t'nl'o,
1 I)reiine des iierformanceë est sans cesse
reculée... Nous n'en voulons ponr
preuve que les derniers résultats ita-
ijeus et suédois !
Loys VAN LEE.
(Lire les détails en rubr. Athlétisme) I
(Photo L'Auto.)
: ROCHARD A L'ASSAUT DES 4 MINUTES
^ Jean-Boutn, le CAF, finaliste en 1941 du Championnat d*
fut éliminé pat le PUC et S Enghien-Ermont,dt
S * CeKeSSUb8' ?ger nocltard de réaliser un bel exploit en accom-
I M-mnt y^nnpas en, 3 mV 57 s. 4110. Sur notre photo" Rochard, après
f Utt Prem Jr m. s. 4110, va lâcher ses adversaires « au tram »
? Prière lut: 500 d'Alto11. en 1 (CSF), qui classera 3\ en 4 m. 11 s t/w" il
i^vïînSlt?lre t}uran& (PUC), stcùnd en 4 m. 7 i. ê/10; Qui-
fàv (Siïr 8fLtliard (VGA) et Blanchi (AS). Rochard passt!ra èn 2 m.
® * ê/in 6/10 eiM: 1 .000, faiblissant au càuri des 500 dernier& 1Mtl'e8,
(Photo L'Auto. )
A L'ARRACHE !
Hier, au Stade Jean-Bouin, ies éliminatoires parisiennes du Champion-
nat de France interclubs étaient l'occasion de luttes émouvantes.
Le 800 mètres de la poule C donna lieu à une sévère c bagarre ».
Dans les derniers mètres, Bréans (GOA), champion ât France du 1500,
parvint à prendre l'avantage sur Pautrat (ASS). On remarquera l'effort
tfuè fournissent lès deux athlètes. Derrière eux, Gerùtix (CASG), mas-
Mi**.* vtira.9xii fAKPTT): it la droite de Geroux, derrièrt lui: Letira'S
(Stadt), qui se classera f.
LA « NEUVAINE » DE ROLAND-GARROS A DEBUTE
Le Racing, grâce à là belle performance
de Destreman en mixte, a battu le T. C. P.
en finale de l'épreuve fédérale
Une révélation ? Presque ! Le jeune ouvrier
rouennais Alexandre HARDY fera parler de lui
A partir d'aujourd'hui le tournoi national flet Z.O. v&rra tes meilleurs
joueurs én lice, ceux-là mêmes qui étaient exempts du premier tour, com-
mencé samedi.
Parmi les résultats intéressants il En est un qui doit être souligné,
c'est celui du 10eune R-ouennais Alexandre Hardy, dont lé mérité est des
plus grrmds. Sa victoire sur l'excellent Bordelais Georges Saignât, victime
il est vrai, d'une foulure, situe la valeur eu Normand oui vaut sûrement
mieux que son classement actuel
à 15. Ce n'est d'ailleurs pas un in-
connu, puisque l'an dernier il gagna
le mixte de l'Espérance et alla en
demi-finale du simple.
Cè j'eurié homme — il, a 21 ont —
ouvrier à 1'usine à aet de 'Rouen, m'à
ave deux Saisons de tèvnis, rencontre
les plus grandes difficultés à n'entraî-
nér, Do.ué d'une volée très orilrante,
rappelant celle d-P, Journu, il a, énor-
mJ/Jrnellt de facilité. Certes, sa techni-
QUe veut être amelid-rée (7a pris-è de
s&h ■coût) iJ.'r.(),it, ?Lot,?xmm,*-nt, est trop
■ouverte), m.ais il. est d'ores et déjà
un tri s honnête joueur et M partie,
a u,j.(i'llrd'hwi\ e,b.ntr'B Abdesselam, sera
d'un utile ens
Jeunes et « vieux » du Racing
et du T.C.P. ont bataillé ferme
f,e,g rh&st* ie sent à peu près PO!-
stes comme no us le pennems dans
■cette finale de l'épreul'e fédérale aUt)
Racinu et TCP avaient également à
coeur d,# remporter.
Autrement dit. les juniors Ü cha-
que équipb j'cmèrent un rôle impor-
tant dans la bataille. Cependant,
leurs oin,ém ne leur cédèrent èn rien
au vain t de vue acharnement.
C'eft airi-i auë contre Destremau.
en condition remarquable (mavt très
géné par les ballv,n regonflées), glam-
s-er. déchaîné et prenant l'initiatitp de
l'attaqiip. fit une « partie de plomb »
à 7 n V'&lée.
Ainsi, ce match, -êont le résultat
faillit demellro,,r en suspens (le jeune
Lur&t. du TCP, (llIon1; h, passer les
épreuve* dii, bar-ho* t avant-fiier f!t au-
jourd'hui, demanda, de r1i>,caler gO, par-
tio contre Colin), sè termine p-àt lri,
nette victoire du Racing. qui 1111 peut
être rtioint.
Maurice BLEIN.
grreni)r fédérale : RCÏ1 b. TCP: 5-3;
Rnch fROPl b. Hugron (TCPh 4-6, '6-3,
7-3; Bnussus (RCF 1 b. Duftuc (TèPL 6-2,
5-7, 6-2 ; Df^stremàu
Stmvle €amts ; Mlle MArcellin (TOP)
b Mlle Pfculus (RCF), t-2. 6-0: Mme Se-
ghers (TCP) b. M1le P&nnetier (RCXF),
6-4. 6-4.
Doublé messieurs : Borotra-Lucot (T
CPi b. Boussus-Colin (ltCF), 9-7, 6-3.
Double mixte : Mlle Pannetier-Ruch
(RCF) b. Mme Se^hers-Hugron (TOP),
6-4, 6-1 ; Mlle, Paulus-Destremftu b. Mlle
MarceUin-Glassej-, 5-7, 6-4. 6-2.
Tournât national de ZO. — Simple mes-
sieurs, 1" tour : Rimet b. Bellamy. w,c,;
Ruch b. f'orneret, 6-3, 4-6, 6-4; Delbique
b. Guillier. 6-0, 6-3r Palgnon b. J&cque-
min w.c.; Sîboepfer b. Inltlevert. 7-5. 6-1;
Saladin b. Zh&ndre. 6-4, 64. 6-2; Blan-
chard b. Coutet. 8-6, 6-4; Saignet b. Blond,
7-5, 1-6, 6-2; Ha.rdy b. Siguier, 6-4, 5-7,
6-3; Pecqueur b. Haechler. 7-5, 6-8, 6-3;
Grimaud b. Debarre, 2-6. 6-6. 7-5; Motte
b. Gautier, 7-5. 6-3: De!homme b Lanelle,
W.-o.; Marret 6. Comtet. 7-5. 8-10, 6-4;
Larcade b. Grisou. 2-6. 6-3. 6-3: Schaifer
b. Sandre. 6-3. 6-2; Arnould b. Barrière,
6-4, 2-6, 6-4; Colin b. Lehman, 6-8. 6-2.
8-6: Ma.ssu b. Coquelin, 6-3. 8-6; DutH}e
b. Lecordakier, 5-7, 1-5-13. 1-5; Delhomme
b. Libelle. 6-1. 6-4; Baudin b. Hugon. 6-4,
4-e. 6-4: Boudin b. Huo:on. 6-4, 4-6, 6-4:
Charpentier b, Cartier. 6-2. 6-4; Bessières
?•. Renion, w.-o.; Bayot b. Picaud, 7-5,
6-3 ; Dumoulin h. Strauss, w.-o. ; Carde b.
Dorget, w.-o.
Deuxième tour: Saladin b. Blanchard,
3-6. 6-4, 6-3; Hardy b. Soignât. 6-1, 6-8 ;
Pecqueur b. Grimaud, 2-6, 7-5, 6-2; Caufli-
net b. Michel Berger, 6-2, 6-4; Durthe b.
Perrard. 6-3. 10-8: Negler b. Whurlin, 6-3,
6-3; Rostand b. B&rrttquet. 6-2. 3-6, 6-3:
Flury. 3-6. 9-7, 8-6; Baudiii
b. Miquelard. 6-4, 9-7.
Epreuve n° 2. - i" tour : Payot b
Picaud ,7-5, 6-3 ; Dorget b. Cardè, 6-4
4-6. 6-1; b. Barbarm b. Vienot 7-5, 3-6 6-4'
Dubl.v b De la Mire Maury, 7-5, 3-6, 6-4:
Baudin b. Bodon, 6-4, 4-6, 6-4: Micque-
^ Prfttimou, 3-6, fi-4; Charpen-
Pàla%, tit,r b. Chrlier. 6-2, 6"4: DeI^^>re b.
R f ,t?.urT, : tp°fLinet b. Michel Bersèr,
-2, 6-4: Burthê h. peràrd. 6-3, 10-9; Nê-
giel ; ^ohr?n* 6-3. 6-3; Rostand, b 'Bar-
raquet. 6-2, 3-6^ 6-8; M'agêndiè b. Flury.
3-6, 9-7, 8-6; Bàudifi b Miquelard, 6-4,
Trois records du monde battus
en natation
GENEVE, - Willy Smith a battu
trois l'ficordli mondiaux dé nage libn:
sur les 400 mètres, il a réalisé 4 m,
38 s. 5/19 (ancien record 4 m. 31 a. 7/ifl);
les 400 yards en 4 m. 30 s. 8/10 (ancien
record Medica, en 4 m. 40 a. 8/UI) et
les 800 yards en 10 ni. 3 a. 6/10 (ancien
recerd Flanagan, 10 m. 7 ». à/le).
Prétitent «gaiement Qut Sniith dA.
tient âuet dés 1.1'1fJj) ytrt)<.
DU PREMIER COUP, LA « CIPALE » A RETROUVE
L'AMBIANCE « GRAND PRIX »
Derrière Claisy,
l'imbattable sprinter amateur,
l'ex-" Premier Pas" Iaccoponelli
et le jeune Dron
Gérardin, vainqueur d' un han-
dicap emmené par Claisy ; Rossi
triomphe derrière motos com-
merciales avec la complicité
des crevaisons de Guillier ;
un nouveau Luguet monte...
Foule considérable * la. « Cipale ».
Rarement première journée du Gmnd
prix de Paris -avait connu unJe tellrfc
aîïltœïïce. Des * populaires » à la
tribune officielle — où une seule
place était libre : celte du docteur
Zwahlen, président d'e la Fédération ;
organisatrice ! — on se trouvait en
pleine communion .
A vrai dtre, ces hore-d'œuvre ne
furent pas fameux, fam'eufc... Mais!
on assista, 'Cependant, à die bonnes Il
choses.
Derrière Claisy, du nouveau !
Ainsi, le Prix Alfred-Rigtrelfe nous
permit de faire lé point du sprint ama-
teur de Z.O.- Depuis le départ d»
ttebea et dq. ,DegedRs, Cta.ïsy émerge,
certes... Mais derrière lui ?
• Kh bien ! derrière lui 011 Toit appa-
raître ce même Iaceoponelli qui, l'an
Sentier à pareille époqire. s'adjugeait
le Premier Pas sur Pisté... lentille as-
cension, n'est-ce pas ?
« Et Farge,,tud ? » demandera-t-on...
Far^eaud ? Battu, «u compagnie de
Verna, par le jeune Dron qui parvint
à. surprendre ces deux coriaces adver- '
saires -en demi-finale et «e comporta
ensuite plus qu'honorablement en 'fi.
nale, aux côtés de Olaisy et « lacco ».
Résultats intéressants, par consé-
quent. Mais il faut ajouter que. Claisy
l'emporta avec mite dérisoire facilité-
Plus que jamais, il serait utile d'oppo-
ser le jeune Boulonnais aux deux vè-
-dttte,,q -el-e ZN'O : Vigne et De'spl'ats —
lequel avait pn effectuer te déplace-
ment.
Où Gérardin récolte
ce que sème Claisy
On attendait beaucoup du 'h,&,ndi-
cap.., Que ferait notre Olaisy contre
les « pros , ?
Lè vainqueur du Prix Alfred-Riguelle
fit; tout le travail, on peut bien le dire.
Parti en avant-dernière position, 10
mètres déviât ©érardin, il fut rejoint
par le champion de Franc* au moment
où il débordait Iiii-mêmL, G-osseli»... Il
continua à mener jusqu'à, ce que les
Iea,ders aient été rejoints... Et, à ce
moment, Gérardin commença à se dé-
gager pour, ensuite, gagner franche-
ment... De coup était parfaitement ré-
gulier... Mais on fut déçu !
...Tout comme on l'eût été si le ma-
lin et toujours, adroit Chaillot n'avait
pas enlevé le classement final d'une
course df> primes que l'on finit par
considérer comme étant sa propriété !
Le F.F.C. n'a pas de chance !
En ce qui concerne lx partie... mo-
torisée du programmé, la FFC — Qui
se réjouira, par ailleurs, d'avoir drainé
191.220 fre;nce au profit des pauvres
de la ville & Pa-rit — n'eut pas d:e
chance,
Claude TILLLET.
(Lire la tuit, ton rubriqut CytHisme) I
LA 1re DES CHAMPIONNATS DE PARIS DE NATATION
Tony HATOT se laisse endormir
Moyonne JOUVENEL se réveille
Dans l'ensemble des « temps » qui n'en sont pas
On ne peut incriminer 1ft nageurs par islam pour ifeâr* fàittteft perfor-
Mantes réaliséees dans l'ensemble de cette première jourfrèt Champîisn-
nats de Parts qui s'est déroulé» hier, aux Tourelles.
Etudiants pour la plupart, ils efit t'excuse d'ôtrt en plteiftè période «'exa-
mens. par ailleurs, certains d'entre
eux participèrent à plusieurs épreu-
ves,
Hatot est en forme
2 m. 27 t. 6/10 aux 300 — temps réfllis#
par le vainqueur Hâtât — semble mé-
diocre au prèmier abord. Pourtant, le
racingman était en forme et s'est laissé
tout bonnement endormir t'laus le prfe-
'mier 100 m. Pair le train ésceSsirèmeàt
lent de ses concurrents.
Mayanne -Jouvenel, bien qu'il court
d'entraînement elle aiissi. réalieft J'h.
celtent temps de 5 m. 57 s. aux 41m.
Mayanne battra 4ftns aucun doute It
record de France de 1& distance tette
saison.
Raymond Mulinghausen
toujours aussi sûr
Mulinghausen et Mmf Aubert sont
les deux champions de Paris dee plon-
geons Itu tremplin. ïous les deux ont
été brillante, surtout Raymond, tou-
jours aussi sûr dans «on programmé.
Du m.&rqu,tz, de Son côtê, est. en pro-
grès et fut Coté un peu Sévèrement.
Il doit faire encore mieux et se trou-
ver un jour l'égal de « Mulin t.
Par contre, leg Autres concurrents •
furent absolument décevants, et nous
sommes d'avis de ne point (.régenter
a,u public dorénavant, des plongeurs
incapables d'un minimum. C'est évi-
demment regrettable, mais la propa-
gande y gagnerait.
Stebe bat Berthe
On attendait avec curiosité la lutté
sur 199 m. £ntre les j. cadets Berthfè
et Stebe, Récemment, Berthe avait
battu le champion de l'Ours fmne '
mais, hier, Stebè prenait Sa revanche-
et le titre !
Mlle Rocher, de l'US eéti,o, mtul.
cadette de Jeanne Rocher, une de nos
meiliewres iia,gtugt-s de dt^, s'est l'évé.
lé,e en battant Mlle Richard et Goiinv
dany Je 100 libre cadettes. C'est là nu
véritable espoir qui fera parler d'elle.
JESUM OU MORGEN ?
Le 7* meilleur « temps » aux demi-
finales du 100 m, libre, a été accompli
par Jèsum, champion de France 1^41.
Mais Morgen, un des plus rapides
sprinters parisiens, s'est èxcusè à
cause d'une angine. La C.S. du Comité
de l'ile-dé-france se décidera cette
semaine entre Jesum et Morgén
comme 7* finaliste. ,
Fahre (Ours Blane), TJuhB, (CN Issyj.
Milt't; Deminck (CNP) et Rnii.rard
Mouettes) enlevèrent les autres titres.
Dans le relate 4x200 lU" le, SCI!K de-
vança. de fort peu le CNP qui alignait
principalement ses joueurs de water-
polo Thibaud, Cuviliy et le Morvan.
Bravo pour lé CNP.
La Libellule se retrouve
La Libellule est, Èt Paris, un des prin-
cipaux clubs de water-polo. Et fia spé-
cialisation lui avait même valu quel-
ques critiques car on lÜî reprochait de
jouer trop la « ficelle «. Hier, les
joueurs de la Libellule se rachetèrent
én fournissant une excellente pa.rtie
devant le Scuf qui n'en pouvait mais...
Kn souffle, ardents sur la bail" tech-
nicieus avertis, lès « Libellule » ont
mérité hier de remporter le titre.
Mais, de son côté, le CNP ne Compte-
t-u pas une récente èt brillante tictoirfe
sur la, Libellulè ? On le dè111ltndè donc
toujours quel est le Bïêillèur club de la
camtalè.
V. Kédroff.
LES CHAMPIONS DE PARIS
1942
MESSIEURS
J. Cadets. — 100 m. bràssk : Luha,
(CN Issy) 1 m, 35 s. 7/l0.
108 fil. dM : fabre (Ours B!anc)
1 m. 31 1.
. 100 M, Itfcrrt : Stebt (Ours Blanc)
,1 m. 8 s. "'/10,
Juniors, Ditien, — 2tm Wt, Irfert :
Hatot (RCF) 2 m. 27 s. 6/10.
Plongeons tfiotftpfift : Muling-
hâusën (SCUF) 135 pts 12.
RMitii! 4X200 : SCUF, 10 m, 43 s.
Wat«r-j»e>1& : Libellule b. SC*UF, 6-0.
DAMES
CMtettes. ~ 100 i*. fibre : M lié Ro-
cher (USM. 1 m. 24 s. 2/ 10.
100 m. ètos : Mlle Dêminck (CNP)
1 m. 33 s dl/10.
100
Juniors, seniors. — 4*0 m. libre :
Mlle JÓuvènel (Mouèttês) 5 m. 57 s..1
2/10.
PI«Aoébns Uêmptin î Mme Aubert
(CNI) 45 pts 17.
A NOS AMIS
LES CYCLISTES
Koul fionf étions arrêtés àas trin-
orle; concernant cellès-ei, nous soin-
mes obligés de reparler dès jàntes.
En procédant a a démontAce dé l'en-
veloppe (opération à. renouveler de
temps à autre), on constate souvent
des apparences de rouille Sur la toile
entourant la. tl-i)ielt. elles sont, vil
général dues a des jantes touillées.
Aussi ne négligeons pas l'entretien
des jantes dont nous avons parlé pré-
cédemment.
Parlons maintenant de la chambre
à air ; celle-ci est èn quelque sorte le
t ressort amortisseur t idéal pour le
vélo comme pour tout engin roulant.
La chambre à air se compose de
trois éléments essentiels :
Lé tube. en mélange de caoutchouc;
la. valve et l'empiècement de valve.
L'entretien se limitera à. talcquer
la chambre lors du démontage et à
nettoyer la valve de temps à autre
pour qu'elle fonctionne régulièrement.
Le# réparations éventuelles sur la
la chambre fèront l'objet de prochains
articles.
Quant au fond dê jante ou mèche,
gommé déjà dit, on t'itnwe ou presque
et pourtant t'est lui qui protège le.
pneumatique
Il protège d'abord 111 chambré à, air
contre les lêtès de rayons et lè fameux
t tétQlJuage b.
Ensuite, aussi bien la chànibre que
l'enveloppe, voire la jante, contre
t'îiui!e qui t file » le long des rayons.
Ce fond de jante, qui joue un rôle
important à l'égard du pneumatique,
est parfois inexistant; souvent, pres"
tiufe toujours» en mauvais état.
80n ehtreti%a est nul, sauf une int-
pection et un nettoyage au cours du
démontage. Par contre, t'il n'est pas
impeccable, 011 le remplacera.
Nous rappelons à nos amis les cy-
clistes que le fond de jante doit bien
entrer dans la jforgè de la jante et
bien la remplir.
Dans dé prochains articles, nous
traiterons de la réparation du pneu-
matique... mais n'oubliez jamais que
pour pn long usagé, il faut un bon
feonflagè.
Tftif L'itttb Aèt 1", 8. 13 èt 23 jui&.
Le Comité directeur du C.N.S.
a tenu sa première séance
pleinière
« Le C.N.S.
sera l'organisme
consultatif national
qui informera le C.G.
et dirigera les activités
fédérales... »
a dit le colonel Pascot
en inaugurant la séance
Sous la présidence dit colonel Pas- j
cot et en présence de MM. le colonel j
Beaupuis, G. Glasser, Venturini et !
Barreau, contrôleur financier du i
CNS, le comité de direction du CNS
s'est réuni pour la première fois en !
séance plénière, samedi dernier.
Le colonel Pascot définit, dans
un'e brève allocution, le rôle L-xadt
que devra jouer le CNS :
; Le Commissariat Général détient
l'autorité; le C.N.S. est l'organisme
con sultatif national q u i doit à la fois
informer le C.G. et diriger, selon ses
vues, tes activités fédérales.
Deux courants d'échange à double
'effet v"t donc s'établir: d'une part
entrée tes fédérations et le C.N.S., de
l'autre entre te C.N.S. et !e C.G., pour
prendre à charge les intérêts majeurs
du sa-ort français.
Simplicité et rapidité d'exécution
Au reste, les membres du comité di-
recteur -ont tous été frappés par la
manière d'agir du co-lo-nel Pa&cot, qui
peut se résumer en deux mots: sim-
pli'fier' et agir.
C'e3t dans le même esprit que le
C.N.S. agira d-oirénavo,,nt: cm évitera
l'eg questions de détail qui retardent
indéfiniment la solution à venir et
l'on simplifiera au maximum les grands
problêmes pour les résoudre le plus
vite i)csqible... Parmi les questions à
l'ordre dit jour, signalons celle de la
participation, française dans les mani-
fr, station* int-ernati(>,n ales, paTtM ipa-
tio-n voulue par le C.G., qui facilitera
l'obtentian des laissee-paeser.
De son côt'é, le professeur Cotl aie
Carrera a donné connaissance dans
ses grandes lignes de l'()irgunisatio-n du
contrôle médical daies les établisse-
ments d'enseignement et les sociétés
sportives. D'autre part, le protocole
qui réglemente les relations entre le
CNS et l'USSU a été ilium et le comité
a approuvé une proposition -du Conseil
municipal de Part.". qui souhaitait
voir le s sportifs part'si!m's devenir les
parrains de leurs camarades de Dun-
kerqwe.
Ife comité Rirccteur se réunira les
'i% et 4' mercredis de chaque mois.
V. Kedroff.
En 80 secondes!...
un crochet du droit
de Cerdan
et De Ridder, le Be
est k.-O. !
Dewinck, en progrès, a pris sa revanche sur Parisia
Bernard fait match nul avec Guy Seria
Les combats qui empoignent le cttur innombrable de la foulé «3 &
à line semaine d'intervalle sur le ring du 'Grand-Palais. L'autre dilw" « s
'ftn dramatique du match Thierry.A'Atagdfi. Hier, ce fut te nta'gnifiq -
par Marcel Cerdsm, qui foudroya son adversaire, le Belge Gaspard :'O. te ■ e, ,, ^ .*
maître crochet du droit à la pointe du rwthtdh.
Le combat - temps du k¡o, compris — ne dura que 80 second ,, M n •
avons eu fa grande joie d-e retrouver le
véritable champion qu'est Marcel Cerdan.
Le poulain de L.-C. Roupp nous a fait
oublier le pugiliste hésitant, timoré, man-
quent de détente et de vitesse que nous
vîmes il y a quelques s'emaines dans son
match si décevant contre Fernahd Vie*.
Avant d'enjarhb'er, hier, fes cordes du
ring, Cerdan nous avait confié son inte -
tion d'effacer cette mauvaise impression
en triomphant le plus rapidement possi-
ble. Il a réussi au delè de nos espérances.
Dès le gong initial, on retrouva sur re
visa'ge de notre champion les traits fen-
dus par l'attention et par l'a volonté, cfcs
mêmes sigrfes que l'on avait obserVes Su
début de son match contre Gustave Hu-
mery.
Oui, Cerdan est vraiment notre plus
grand champion, -et il faut souhaiter que
les pourparlers, depuis longtemps déjà
entamés pour conclure le match qu'il dort
disputer contré l'Espagnol Ferrer, abou- -
tissent enfin. Cerdan mérite, en effet, de
riscanquérir te titre européen cfe sa caté-
gorie, c'e titre Mont il fut dépossédé saris
avoir 1-a possibilité de lé défendr'e.
Le maître crochet droit
Mais revenons au combat d'hier si ra-
pidement terminé. Libérés par le gong tes
deux adversaires, gardes serrées, s'obser-
vèrent quelques Ir" .ants. Cerdan attaqua
le premier et réussit un crochet du gauche
qui arriva sur la tempe de Dé Rldder,
Quelques secondes d'observation suivi-
rent, et soudain, rapide, te « gauche-
droit > jaillit de la garde du champion.
Le gauche toucha juste, mais le droit
passa à deux centimètres du menton du
boxeur belge. Cerdan reprit alors sa dis-
tance, prenant ses mesures, tranquille, cal-
mé, sûr de lui.
De nouveau il touéha du gauche, mais
il ne suivit pas immédiatement du droit, il
opéra un léger retrait et brusquement le
droit en crochet fulgurant, un coup ma-
| gnifique d'e vitesse et de précision; arriva
juste à la pointe du menton.
De Ridder, foudroyé, tomba à l'a ren-
verse, lés brers en croix. L'arbiîrte com-
mença à égrener te chapelet des secondes,
'et De Ridder ne souleva ta tête qu%u mo-
ment où venait d'être prononcé ,re '< but '*
final.
Pour la première fois de sa carrière
te boxeur belge était mis k;o. De Ridder
n'avait jamais combattu à Paris, il s'en
retournera è Bruxeltés sans que nous ayons
eu la possibilité de he voir à l'œuvre, car
durant ces 80 secondes il n'!a PB'> au Ht
loisi.r de réussir un seul coup.
Dewinck a pris sa revanche
Battu il y 8 un en par abandon en
moins d'e deux reprises, te Nordiste D'e-
(Photo L'Auto.)
FOUDROYE !
Tombé les bras en croix sur le feutré du ring, le Belge -,aspard de Ridder ;
à ët% foudroyé par ttpt crochet du droit au menton, L'arbitre, Albert
Pichot a comih-en-cë à comptér et, dans quelques secondes, il prononcera
îfe * ont b linal. Cardan, réglementairement, attend dans un coin dU ïtnp
winck a pris si revanche si a
iaîs Jo Pàrjsis. Ce dërnier ail' '.
fois pour 8 et 9 secondés i <
4' reorlee. 'Gr&de à son rrfë\ ; - -,
de Brefonitel pârvin-- à -rtsnit ■.
sît de bons gauches et a us ,
cuts, mais le handicap était I
cision aux points revint tr*t i*
Dfewinck, qui a fait de très
Le poulain de Triékri '11 edr f
tente impression produits te 4 s, '
cent match à Berlin contre
rapproche maintenant des ri : „ (p
légers français.
Signalons, enfin, qu":!Pr'ê"s i .. ' '
animé It Mavrais Bterrt'ai'd ' •* >à <
n'ont pu Se dénartaoer.
Georges
Les résultats
Amateurs. — 3x3: -ftït b ..
pts; Brama b. Roche aux
Professionnels. — ,10 x 3: :
n»rd et Srë*yln, ïn'itdh nul: '■« •«,« a
ce! CJeïdan b. De 'Ridder.
l'éger: D'ewiivck b. ParIsis a , , ait. spw, , ~
Cerdan va repartir pour Alger
Entouré par de nombr
teurs, harcelé par les a,®
togra;plies. Marcai Ceriian . ~,:' a 9
Champs-Elysées pour ils - : - i
'Marcel Cerdan réussit de ;
dans ses combats; rappeler »
qu'avant dé battre -De Ri ,
secondes, il avait mfs k:o ( u.i i .,
mery en 22 secondes.
hôtel. Il ne nous cache '-ry-n- tjt**; -
d'avoir effacé la mauvais'!
produite lors de son matcl f
et son espoir de voir bit v ?
ifon Championnat d'Eu] y,m k-
Ferrer. ' ~
Quant à Roupp, il noUs 't
'g'Oll poulain quittera Part -
on trois jours, à destinât . *
où il doit distiiter un nou ««ô
peut-être contre Souidri.
« Quel punch !
s*excïamt &*.•£..
« Jfe n'avais janriiîfc li ' ' * %.
nous eonffe re Bllgte Ï)'e ï *' b-l'
ment, Cerdan est un très
pion, et qat>l punch!... »
CERDAN-FERRER
au mois d'août à Paris ?
IkPt%* fa rapide vibtbirl f' »
l'organisateur Gaston Cu a
«rt qu'il «siérait bîbn t ;r
proohainartflmt mg wourow, . i
«nsarêis vue Htt 'conclu t .
cardan-Farrtr pour ft til *
-ffl poids mi-moyem.
Cuisin a ;Iin'ttntidà 411 r
Championnat d'leurb#b au „
a Paris.
Germain Ferez continue...
Le nouveau champion
de France des [ilisible]
de Z.N.O. à battu par [illisible]
au onzième round
le Niçois Trinchara
NICE. — Au Palais di ^
Mica, Gm-main Parez a ,q ? c
nouvelle victoire avant J «j*
battant le Niçois Trincl a *■
à la onzième reprise. il r *
jaurs, à Alger, Germain P
pbait du Lyonnais E'Uff'è) « «
k.o, an 3 rq>pri'set,, a qt
la titra 1195 pluma de ZN 0) » •;
tam crue ttinchera a fa * • .»
témérité an s'attaquant %
ebampien de France. Lt
en effet, anâ Mwtft-e pun 4 j
avertissement pour accroi ? e
d'être l'tirs dftitîy#Ment ^t. m-
bat, sur un 'e une-deux » au w *.
Au cours Ufe la soirée, «v pu
mond, an axt»nenta oon « ?
aux ftèÍntS Kid M*PM.
7 favoris sur 8 gagnent
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Sandeyron, Vuillemain, Gerwig, Jean Mougin,
Marchand, Kalisky et Mennegault
Lt Challenge dtl Uft uto 1942 a ré-
joint, . dans l'histoire, du pug-ilisme
amateur ses devanciers. Leé finales du
Derby dè t'amatëurismf français Ste
sont déroulées hiér, au Central, dans
la tradition : le record -des entrée» fet
tél ui de la recette ont été battus èt de
nombreux retardataires durent rester
à l'entrée, attendant de l'intérieur, dé
I 'ë,l,térit-,ur... ou du Ciel un quelcon.
que « Sésame Il.
Sept favoris de L'Auto, eur huit, dé-
crochèrent la timbale convoitée, tim-
bale qui. pour quelques amateurs dé-
sireux de passer « près » dès -septem-
bre Prochaîn. èèra épinglée,. ei nous
osons dire, à la demande dûment pa-
t'aflhée par le professeur et expédiée
à M. Bourdariat. Le favori qui nous
glissa des mains, contre son gré d'ail-
leurs. fut le jeune Dormont. Il nons
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victoire, a péché par excès de
confiance. -
Presque toutes les décisions furent
rouvent acquises de peu. mais toutes
ëquitablement données, y compris
celle du match fratricide Matéos-Gér.
wis'. Le premier rite fut certes plus
adroit, plus efficace, mais les .iusres
ont certainement déeiré récompenser
le " mieux organisé ». G-envijt en roc-
currence.
Le challenere proprement dit a été
çagné par le FîinSr de Pantin, avec
24 points, devant l'Avia Club, d'une
façon assez étonnante et rare, puis-
Que aucun « vert tt rou(?e » né figu-
rait en finalp.
Huit primes ®ibb* furent distri-
buées, cinq d'entre elles furent Utili-
sées à titre de prix de consolation et
récompensèrent d'honorables battus.
Notons, dans les matches hors com-
pétition. le « choc Il Charron-Goddart.
le premier cité ex-élèvè de Marcel
Thil et fausse-garde au crochet fran-
che redoutable, gagna par k. o. Coup
bas ou pas coup bas? Nous avons
: déjà dit ce que noue pensions des
CO\IP9 bas: ce n'est pas toujours de
gaieté de cœur que l'on accomplit —
n'est-ce pas. messieurs les iueres* —
son devoir.
Georges Schira.
Les huit rencontres
Mouche : SANDEYRON (Salle Gan-
doni b. gart,,q (cP 191), aut pts. Deu*
petits boxeurs en progrès, ardents et in-
telligents. Au 21 roiiiid, Sanclevroa ém-
eute de bçi'lfs esquivés, puis passe à l'of-
fensive. Élus; varié, plus « vite * que
Ma.rcq, Sandeyron enlève un bien joli
succès.
Coi? : FOUILLOUX (CP Clichy) b. Dor-
mont (JSalle Janny), aux pts. Dormant,
d'entrée, se fait surprendre par des
droits II. la face, très appuyés, Il réagit
en crochets des deux mains, corps et face.
Malt Fouilloux n'est pas suffisamment
affecté pour baisser le ton. 11 réussit
d'autres droits au menton èt, malgré une
ultime offensive adverse, Il bat Dorment
trop confiant au départ.
Plume : VUILLEMAIN (SC 101) b. Do-
din îLe Mans). aux pts. Boxe vive et
Intéressante de part et d'autre Les deux
Il plume » - perdent du temps au second
round; Vuillêmain, plus puissant, enlèvé
la 3* reprise et. de peu. là décision.
Lepo-t : OERWIÓ (Avit Club) b. Mtt-
t€t>» (Avili Clufc). Dit petit &rkm eorflé*
uen : les deux hommes aantrhlnent 'en-
Mïmbifc chaque jour; ils èt connnl»i»ftt.
et de nombreux coups sont bloqués ju
esquivés On ne s'ê ménage point, cepen-
dant ! Matéos à peut-être ift&rqug plus
de pointe... mais Gerwig a fait dt jolieis
chOSea. D'un fil tdu double zéro), la dé-
cision est accordée à Gerwig. Le profes-
seur Dupain rit d'un œil et pleure de
l'àutre.
Mi-mo.veits : J. MOtTGTN (BÔ Billan-
court) b Wanès fUS Métro)" arrêt da
l'arbitre, 3' rep. Wanès, qui a accompli
dè remarquables progrès (tiens, tiens !
un beàu gauche, en piéton, très effica-
ce !) marque des points devant son bril-
lant adversaire qui expédie de magnifi-
ques « un-deux ». Wanès se comporte
fort bien, mais un crochet droit lui fend
l'arcade sourcilière gkuche, au 2* round.
Mougin place dès gauches, et Wanès tst
ensanglanté lorsque au début de la 3'*
reprise, l'arbitre arrête la rencentre.
Moyens : MARCHAND (Puteaux) b. î)e-
gouve (Montreuil), aux pts. Les deux;
frappeurs cherchent le « coup dur
Avant la fin du 1" round, Degouvt ac-
cuse, à la sortie de violents échanges,
un droit au menton. Le combat est vio-
lent. Marchand, plus subtil, « paæè » de
vicieux uppercuts dans le combat de pr", •
dans l'ultime reprise, et bat, 8i5SeZ nette- !
ment Dègouvè, côaàbatiî, courageux ai
l'extrême, mais dont le bagage n'enfle
pas, pour i'heure. ;
Mi-lourds. — KALISKY (US ArtenteaU) '
bat Lt/ranc (Melun, prof. Laira) au. 2'1
repr. Ces deux boxeurs frustes cognent'
« dur Il. Au 2* round, K&!iwky réussit dcuJt !
beaux gauches et un droit très sec, èû
Risquant de se faire « faucher » là' tète 1
par un des swings qu'expédie le Melunais.
Mais non ! Lèfrànc. la, main eauche abi-
mée, lève la droite èn signe d'abandon...
Lourd*. — MBNNEOAULT (indiv.) b.
Bprzelûtosky (.Meiun. pror. Lairs) aux pts.
Ménnégault, vainq. inamovible de toutes
les compétitions du calendrier amateur
prend son tempe selon son habitude. Il
laisse l'imprudent adversaire se dépenser
avant de le « démolir b grâce à de courts
crochets secs, rapidement portés, et,
croyez-nous, très efficaces. Borzetowsky
ô'échappe point au « pian Mennegault t :
le melunéid va tu ta^is une seconde
av,ant le coup de gong libérateur, après
avoir réueei un r»re exploit... MennegÁult,
en effet, a accusé un drait du vaillant
élève de Lalrs,
x
Les ré&ultatt. — Hors compétition. —
3x3 : Làtour b. Dumont, k. o. l'" rtpr.;
Joube b. Demeyrer aux pts; Cagniard b.
Humbert lut pts; Rongêot b. P. Mongift
au* pts; Bechet b. Cîau^enfer aux pts;
Charron b. Godard, k. o. S* rêpr.
HEUSER et NEUSEL
« dos à dos »
en douze reprises
Neusel conserve le titre
de champion d'Europe
toutes catégories
Le Championnat d'turope des poids
lourds, qui s'est disputé en 12 rsprises,
samodi à Hambours, entre A doit Htu.
ser, U-mi-IÓurd et Walter Neusel,
t'est tèrminé par un mateh nul. Là
fléaision des Jufcss Semble avoir fava.
ri" i«i*remint Nftuièi, iiui tardé san
titra.
Ce matin, départ de Madrid.
Equipe non homogène...
maïs les Français
du Tour d'Espagne
peuvent se classer
parmi les 10 premiers
Ain1!'Í., il weaabla qùfe < a %
soit Sérieux èt que le dé] f
d'Espagne doitt êtré doi - ea <. -i
à Madrid.
Une informâtioù, Ténue 't î " ^
nous lt signalé le passage ëû i
de Barcelone des Six Frai eaià t* oie»
il, participer à l'éprèui > «»or
Thiétard, Lauk, Munier, v < , „ia-
nello, accompagnés de V. - \£
gué de la FFC — ainsi < ^
Italiens Camillll, èt Came] m ta«> au-
tre nous à, annoncé 1er ai je a.
Barcèlonè et le départ 1 -)ut Madrid.
Nous savons même que e ch loà
espagnol Mariano Canar 0, ï.„ ,
la bienvenue aux visiteur
Il ne nous reste donc p * ? *i
dier les chancè# de no's 1 ^ s
dans ce premier Tour nal |
des Français aient été a, * • u**
ticiper depuis la. fin des ,.
L'équipe tricolore a ét5 nit
peu au hasard ; elle n'es p»
géé d'éléments homo^èn» «
qu'elle comprenne trois £■''
nais » habitués à courir :-
mais elle est néanmoins c 1 * *
distinguer.
Le* dent meilletirs ho:■ 1, * 4
indiscutablement (ïianellt ;
— deux spécialistes du Toi* «
La locomotive du [Illisible]
sera Munier
Aut arrivée* aiS paqu 4
pourra dire son moi, dl ...-V*
Lauk. Enfin, noua At »
Vietto la bonne surpris) * ,
une nouvelle résurrection
De leur côté, les tr&aa&] •+ * ? %
et Camellini seront de re( - •
vèrsairee pour les griôi
qmeé... «Mais, pour formuh ï •
ciations plue précises, nor * ,* «
de renseignements et d'
comparaison aur les chai ». tt v» t,
péninsule t 1
Le grand referendum
de L'Auto
50.000 francs de prix
Comment formertez-vous
l'équipe de France
du « Tour 42 » ?
L'A Il to, r>ous l'avom t i !*
comme l'on dernier, Il sas
désigner lés 10 mtHIbt'Í et ■ ? t ]
d. Franco fdéâla Qui par I
« Tour *... si colui-tl av„i( |
lieu 1 j
A cet effet, noue avons 't f
liste comprenant routiers susceptibles d'êtr v.
A vous, msintftnâht, de ' "i#- w >
au travail et de poser yot
turf pour las 2Ó,èOO fr. A
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