Titre : L'Auto-vélo : automobilisme, cyclisme, athlétisme, yachting, aérostation, escrime, hippisme / directeur Henri Desgrange
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1931-05-11
Contributeur : Desgrange, Henri (1865-1940). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327071375
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 11 mai 1931 11 mai 1931
Description : 1931/05/11 (A32,N11104). 1931/05/11 (A32,N11104).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k46333780
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-248
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/12/2016
RUGBY
SUR LA PREMIÈRE FOIS LE R.C. TOULON
EST CHAMPION DE FRANCE
(Suite de notre article de première page)
140 k' mai (de notre envoyé spé-
g.wonde phase de la partie
y*1, -' pour les Lyonnais, ren-
Iffile pronostic. Les avants de
' r I de' cohésion précédemment,
¡i' 'l'e n;al toi'OP lente ne permettait pas
Nj^nniV, de s'emparer du bal-
îl,ri ent ob ungeaient de tactique,
Ut de l'incertitude à la certitude,
compte q'ue leur action pui.s-
elouche> den '1ère les cafouillages
f'I ouvertes, l\:mva-it être couron-
|e xs II fanait réaliser et, pour
fL la dépense nécessaire d'éner-
tnté de combinaisons au pied et
i Aucune hésitatu'W à cet endroit
'„llx, et dès lors, pliant sous le
fardeau- difficile à manœuvrer.
lyonnaise se désagrt^ea,, ne joua
Los, alla même jusqu'à détruire
Impréhensible excès Ai, nervosité
comblait bien conditkinné.
[illisible] des attaquants toulonnais
u jeu de Toulon, le jeu (ians. le-
oUe, le Baillette et Allègre paient
i dire. Et ce mot vous le co muais-
traduit par un départ fulguTvjnt,
;iute, par un changement de pxed,
pide débordement et, le plus tVlu-
[ par l'essai. Ce qui arriva Sur
l'instant où, désemparée, préocc®-
l'indispensable organisation de t;,"",
j'équipe du Lyon Olympique n'é.-
maîtresse des rênes de son atte- 1
1 Toulonnais, on le voit, a donc
victoire sur une très nette supé-
puissance, de souffle et de cohé-
s3 avants tout comme, il y a huit
j les mêmes facteurs le Lyon
t avait échafaudé la sienne de-
• .U. Agenais. Mais il l'étaya en-
j virtuosité, la tenue de ses trois-
ij dins l'ensemble, furent plus
f ceux de son adversaire.
Lyonnais jouèrent jusqu'au bout
Iun Olympique, s'il â perdu la ba-
I sort point diminué pour cela de
Us laquelle il trouva plus fort,
Det que lui. De bout ea bout, il
[prévenir le destin, d'affirmer sa
I fixer ses chances ; il ne faillit
lâche. Alors que pourrait-il amè-
reprocher ?
Ii fut longue et brillante ; d'oc-
D jour, ses joueurs pratiquèrent un
fi et spectaculaire, décelèrent une
[alité sportive, celle-là même qui
jsit jusqu'à la finale du Champion-
rance. Ce sont des compensations
s pour lui faire oublier cette seule
- Gêo Villetan.
LES EQUIPES
- Arrière : Chaud ; trois-quarts :
aillette, Couadou, Allègre; demis :
Lamothe; avants : Delangre, Mau-
éani, Barrère, Vails, Hauc, Namur,
- Arrière : Marty; trois-qua.rts :
Graille, Sire, Dubois; demie : Battle
Íants : Claudel, Laffont, Vallin,
at, Vincent, Cartier, Billerach.
L A PARTIE
onne le coup d'envoi et s'installe
dans le camp adverse d'où Lamo-
;e en touche. On remet en jeu. La
mêlée se termine par un coup
faveur de Toulon.
e touche aux 22 mètres de Toukjn,
te de partir, mais est aussitôt
ar Lamothe. Tout est à' recoin-
*
rite sortie de mêlée, Delangre s'é..
avec \* ballon et Lyon est obligé
ter rapidement dans ses buts. On
i «rf «ardente.
des buts de Lyon"ï"lauufs :
le, sur hors jeu, un coup franc
: aux Toulonnais. Servolle tente
s le manque. Ce n'est pas cette
: Que le club cher à Mayol affir-
avantage. •
"re-attaque lyonnaise _ ébauchée
i. échoue sur Sire mal placé pour j
la passe. Et tout aussitôt, Bail-
envoyé durement à terre d'où il I
ivera que quelques secondes plus j
Lyonnais sont menaçants
i départ de Brial, Boréani reprend
a. Mais voici que se déclanche la
ensive. Graule démarque Sire qui,
buts, transmet à Dubois mais au
de déborder à l'aile Dubois est
it projeté en touche par l'arrière
cependant a attaqué. Sur un beau
[e de Durand, après ouverture,
moment où l'on espère l'essai de
onlon déploie son rideau défensif
ie passe. , i
Puis Panel marque
pyon ne se tient pas pour battu et,
lortie de mêlée qui à lieu peu après
I" mètres de Toulon, Brial s'é-
roue, sert de justesse Panel qui
'f^sai. Le but est manqué. Lyon3;
]P« encore, sur geste incorrect,
jD%nais Delangre est expulsé du
ffr l'arbitre. Lyon continue à affir-
f -avantage paralysant toute action
N?oarte toulonnais. Puis Delangre
nse à reprendre sa place. Les mê-
foccèdent. Servolle ébauche un dé-
pe sert Allègre qui trouve une
Iche.
Toulonnais se reprennent
départ des avants toulonnais, De-
Mie à suivre Mais Graule re-
sur le point d'être mis à terre,
a 1 arrière Marty. Celui-ci trouve
ouche au centre.
réagit maintenant et sur ane at-
|iuement amorcée par Servolle, le
6 de mains en mains. Allègre
rvi, file le long de la touche,
1 mètre des buts se laisse cueillir
® qui le met à terre, et c'est la
La reprise
de la seconde mi-temps, Lyon
le reprendre le commandement des
; il faut toute la décision de
.ulonnai:s Chaud pour briser une
111 se révélait dangereuse.
le belle échappée de Claudel, qui
par l'arrière Chaud. Mais le L.
^aussitôt. Durand ne peut pour.
■i Parce que, cette fois, l'offensive
Ulte avec trop de lenteur. Farre
balle et s'échappe, Il ne passera
"S®. D'un côté comme de l'autre.
't sévère, bien organisée.
fegage de l'étreinte qui l'enserre
î6 belle trouée de Graule, à. la
le Lyonnais Vincent est en-
Iouche. Les hors-jeux se succè.
11lages se multiplient et l'arbitre
Ombreux coups francs qui ne
30 résultat saillant.
[illisible] accentuent leur pression
Ii 'le attaque toulonnaise, & la.
"eut Hane. Boreani, Servolle
I ui Mtas, vient échouer sur
fc'sse n'a pas été reprise. Mais,
jt^rial a. été blessé; mais il re- j
des trois-quarts tou-
C;e> bien servi, feinte sur
■waa A attaque sur Servolle,
.<**nt, sert Boréani, lequel,
% i ' passe à Delangre. Mais
,évitabl alors que l'essai
Toulon triomphe
• Lÿ On à charge, menace
? dur. 0IJ. La défense est à l'ou-
îill e te • longue' Boréani ou.
ille Se dér&arque. trans-
Celui-ci, fonce en vitesse,
Peut Marty et marque
( We transformé. Lyon 3,
;>t i 1.
et, sur une ton,
J4') : le 'hn+ivi par Boréani qui
' d, but est manqué. Ton.
Quelques mêlées, quelques touches en-
core, un retour au centre du terrain, et la
fin est sifflée.
Par 6 points à 3, le R.C. Toulonnais ga-
gne sur le Lyon Olympique le titre. de
champion de France.
Notes sur la partie et l'arbitrage
BOiR,DE1t:UX. — Beaucoup de personnes
[ en sortant du Piarc des Sports de Lescure
émettaient l'avis que l'arbitrage de M. Abel
Martin avait contribué à. donner à la par-
tie une certaine allure. Il est certain que
si l'on se place à ce seul _ point de vue,
l'arbitre de la finale a eu constamment en
mains la direction de la partie et que
celle-ci ne lui a jamais échappé. Quatre
expulsions temporaires, deux dans chaque
camp, et Un nombre impressionnant de
coups francs, ce sont là actes d'autorité
incontestables. 1,1 convient de féliciter M.
Abel Martin. „
Cependant on peut se demander si cette
avalanche de coaps francs est un... bien.
Sans doute, le coup franc est-il nécessaire
pour réprimer la faute volontaire, l'obs-
truction ou le jeu excessif? Mais il ne faut
pas oublier non plus que le fait de péna-
liser vingt fois une même fa.ute d'un coup
franc — mauvaise mise en mêlée, par
exemple — constitue une infraction à l'es-
prit du jeu. L'arbitre dispose d'autres sanc-
tions plus sévères qui vont jusqu'à l'exclu-
sion définitive pour ces fautes répétées.
Aussi ne pouvons-nous approuver le fait
que l'exclusion soit réservée à la seule bru-
talité et qu'on se croie obligé, dans les
grandes circonstances, à limiter les sanc-
tions. Ceci, bien entendu, ne vise en rien
M. Abel Martin qui a arbitré excellemment
dans l'esprit d'une méthode actuellement en
.honneur mais qui, à notre sens, n'est pas
Jja, bonne.
Pour tout dire, nous ne pensons pas qu'un
FI\Aethy ait toléré jusqu'au bout les incor-
■rwtfvons rénét-ées dont la sanction a nar
i VJJLL-O CiTJ
trop hache le jeu. —
— P.-J. Cathala.
DIVISION DE PROMOTION
Les Niçois sont Champions de France
BEZIER'S. — R.C. de Nice bat A.S. du Midi
de Bordeaux, par 8 points à 4
En première mi-temps les Bordelais prirent
un avantage territorial assez net, qui se con-
crétisa par ain drop-goal réussi par l'arrière.
La seconde mi-temps fut celle des Niçois
qui attaquèrent sans arrêt. Plus rapides que
•leurs adversaires. ils marquèrent deux es-
sais, le second, fut réussi cinq minutes avant
la fin.
Dans i'ensenible, la meilleure équipe a
gagné. La victoire est revenue à l'équipe la
plus ardente, la plus vite et qui a joué dans
le meilleur esprit du jeu. Sont à citer à
Bordeaux : le demi de mêlée et l'arrière. A-
Nice, tout le monde a joué avec cran.
Arbitrage énerg? Perelli.
Voici les champions de France
La saison officielle 1001 étant terminée,
voici, toutes catégories, les nouveaux cham-
pions de France :
EXCELI/EN!C-B
B.C. Toulonnais bat Lyon OJJ 6—3
HONNEUR
U.A. Libournaisë bat U.A. de Gu-
jan-Mestaas -— 8-5
PROMOTION
R.C. de Nice ba,t A.S. du Midi.„ 8-4
COUPE DES MAORIS
Lyonnais-bat Centre 16-10
EQUIPES SECONDES
R.C. Toulonnais bat A.S. Mont-
Íerrandaise 3<—0
EQUIPES TROISIEMES
sarfne ...^ 12-3
EQUIPES QUATRIEMES
A.S. Montferrandaise bat T.O.E.C. 1*2—ff
DEUXIEME SERIE
S.C. Toulousain bat S.O. de Givors. 17—0
TROISIEME SERIE
C.O. de Ceret bat A.S. Bourse 6—5 |
QUATRIEME SERIE
S.C. Perpignanais bat S.S. Ale-
thom 6—0
CINQUIEME SERIE
U.S. Olida bat S.C. Nazairien 3—0
MILITAIRES
2e Aérostiers bat 115e d'Artillerie... 9—0
SCOLAIRES (JUNIORS)
Collège de Perpignan bat Lycée de
Toulouse ............... 9 -0
U.F.R.A.
La victoire
du Stade Toulousain
sur la Sélection
(Suite de notre article de 1re page.)
TOULOUSE. - Le Stade Toulousain
était, lui, au complet, mais ainsi que nous
le disons par ailleurs, plusieurs joueurs
manquèrent à la Sélection, et l'on dut de
ce fait procéder à des remplacements. Le
match n'en souffrit nullement, puisqu'il
donna lieu à des phases de jeu variées et
agréables.
La partie
Après quelques minutes de jeu et de jolis
exploite réalisés par Majérus et Pedentour,
Delort tente de s'échapper. Cependant, le
Stade Toulousain porte »une attaque impa-
rable et Danglade, après an beau crochet,
marque le premier essai.
Apcher, Domec et Duché font l'impossi.
ble pour percer, mais la défense toulousaine
est rapide et vigilante. Les avants de la
Sélection constituent un groupement solide -,
et menaçant Longtemps les buts toulou. ;
! saine sont menacés.
». Bouché est légèrement touché. Carrère,
de Narbonne, complète l'équipe du Stade,
qui reprend la direction du jeu. Après une
descente en groupe, un essai, très classique,
est réussi par Danglade. A plusieurs repri-
ses, les Toulousains Branea et Puech s 'é.
chappent ensuite, mais la Sélection réagit.
M&jértiis, à son tour, marque au centre un
essai, transformé par Duché.
Le Stade Toulousain, qui mène par 6 à 5,
augmente peu après son avance grâce à un
£e- ^ès jeune, s'échappe et
marque le troisième essai.
enAtif„ M Stade Toulousain est
en tête avec 9 pointe contre 5.
Dès la reprise, Bouchet reprend son poste
pla,cé,s.tandie que Qm et Raymond sont rem-
Cette mi-temps est plus égale et chaque
équipe marque un essai. Le jeu est très
mobile malgré la chaleur et attaques et
contre.attaques de la meilleure facture se
déroulent sous les applaudissements des
spectateurs. A la suite d'un départ des
avants toulousains, !e ballon vole de mains
en mains et finalement est déposé derrière
la ligne par Bénazet. Le Stade Toulousain
mène dès lors par 14 à 5. La sélection ri-
poste par de jolies offensives au cours des-
quelles Bouchet, Fa.u et Duché se distin-
guent. Les visiteure dominent sans arrêt
et plusieurs fois de suite les buts toulou-
sains sont dangereusement menacés. Domec
et Apcher vont tout près de l'essai, cepen-
dant :6S vainqueurs du tournoi ee dégagent
et le jeu devient plue égal. ,
L'aile Fau-Duché se distingue et enfin 1
Domec trompe la défense toulousaine I]
marque le plus bel essai de La journée qui
est transformé. J
Le Stade Toulousain l'emporte par 14
à 10. i
Considérations
Cette partie fut extrêmement agréable à
suivre en raison des brusques revirements
atta-ques à la main dont el:e
e( fut î n/ f®' L of/cn®)ve sans cesse en
^Ï.Vn lf,; ^ trente joueurs "'eurent qu'un
but, celui d ouvrir le plus possible. La pre-
mière mi-temps cependant fut la plus nette.
Parmi les sélectionnés, Haritchandy et
Apcher, très brillants, furent bien soute-
nus par Bajouet, Gintran, Delort et Ma-
jérus. Daudignon et Bouchet fournirent une
partie honnête; Fau a été le trois-quart le
plus remarqué. Pédentour défendit bien ses
buts.
Quant au Stade Toulousain, toute l'équi-
pe fonça avec cœur. Puech, Ambert, Bious-
sa, Branca, Puig, Delbosc, Laurent firent
de gros efforts. Bès jeune à la mêlée porta
à son actif un très bel essai et Danglade
fut le meilleur trois-quarts. Comme d'habi-
tude MagnaI fnt parfait. Bonnes parties de
Bénazet et de Sahuc et excellent arbitrage
de M. Faur.
L'ENTRAINEMENT
La Section Paloise bat d'un point
l'Aviron Bayonnais
PAU. — La Section Paloise bat l'Aviron Bayon-
nais, par 17 points à 16.
La Section Paloise a ba.ttn dé justesse son vieux
,,ival. A la mi-temps, l'Aviron, venu avec line
équipe jeune, très niordante, hardie, menait par
il poi n ts à 0.
A la reprise, les Pa-lois se ressaisirent et arrivè-
rent à coULer leurs rivaux sur le powau, par un
c<,tip de pied tombé réussi dans les dernières ml.
nutes
Cette partie permit d'assister à des mouvements
de contre-attaquie agréaJbles, surtout du côté bayon-
nais. Les Palois, maîtres de la mêlée, eurent le
gros mérite de gagner une partie qui . paraissait
perdue pour e,ux. — J. PÙla.
F.F.R.
LE CHALLENGE POEYDEBASQUE
Aix et Angers joueront la finale
AI X jBN -PttOV BN CE. — Gadz'a.rts d'Aix bat
Ga,dz'!J¡rts de GluEy, par 21' points à 4.
OHAL0 NiS-suR.,lVIAiRNE. — Gadz'arts d'Angera
bat Gadz'arts Châlons, par 38 points à 7.
La fi na/le, opposa n t Aix et Angers, se jouera
diintan,c;he, probablement à s.uoy-en-Brie.
L'ENTRAINEMENT
Le Racing bat l'A.S. Montferrandaise
CLERM,DNT Jf EORIR AfN D. — Racing C1Uib de
France (mixte) oo,t A.S. Montîerraiidaise (mixte),
%ar 10 points à 3.
D'ent,l'ée les RacDngmen marquent sur oouip de
pied long. Bien que, l'essai soit marqué en coin, il
est transrîormé. Par la suite, les Mon t-îer ra n d ais
réagissent, niais, soit par malciance, soit pa-r mala-
dres-ze. ils ne purent concrétiser leur supériorité
évfdente. Pendant toute la deuxième mi-temps,
l'A.S.M, dominera. Quelques minutes avant la fin,
le Racing marquera un deuxième essai sur aile de
ses raies éessai d'avants qui ne sera pas trairsiommé. —
Danïlo.
AUTOUR DES TOUCHES
Le nouveau bureau de l'U.S. Dacquoise
vient d'être élu comme suit : Prés., III. /lbe!"'
Guichemerre; vice-p?-és. : MM. Paul D eb e ait-
vais, docteur Georges Bernadet, Louis Cla-
verie; secr. : M. Charles Jocou; adj. : M.
A ù el Duprat; très.: M. Julien Craste; adj.:
M. Jean Daiity..
x
La commission de rugby de l'U,S, Dac.
guoise vient à'éti-e nommée comme suit :
A. Guichemerre, Castex, Lahouze, Aumas,
Biraben, Carponey, Lacouture et Aumalia.
La médaille du club a été attribuée à Laca-
zedieu, Labenne et D. Castex.
LE MATCH
L.O.U.-R.G. TOULON
a été joué avec le
ballon MELHOR
nsanonBnraBHnn^nsBBi^BHBn
AVIRON
La Journée des « Fondateurs »
Un bon début de saison
Sous les auspices de la S.N. Basse-Seine,
la « Journée des Fondateurs » constitua un
très bon début; d'excellent augure pour la
saison qui s'ouvre, elle ne faillit ni à sa ré-
putation ni à sa tradition. Du sport de très
ques lionne, lavorabies farHyf» des conditions at.o.phéri-ijoui, un
qui ruieni oien un
peu la raison de l'affluence du public, une
organisation suffisante bien que l'horaire
ait souffert du passage d'un nombre inac.
coutumé de péniches, et enfin et surtout des
épreuves très disputées, la plupart indéci-
ses jusqu'au bout ont fait des classiques
.« Fondateurs » une manifestation très sa-
tisfaisante.
L'ardeur combative des jeunes est agréa-
bile à signaler, leurs rencontres furent tou-
tlts empoignantes au plus haut point, toutes
lei* victoires furent acquises avec de faibles
écitrts qui témoignent bien la volonté de
vai .uere qu'ils y apportèrent. Une autre cons-
tatation, aussi importante quoique moins
prévue, c'est la tenue des grandes sociétés :
Je palmarès est leur apanage exclusif. Le
fait fiât là, indiscutable, les 6 grandes so-
ciétés tse partagent les 13 épreuves finales,
le Rowlng compte trois victoires, comme la
Marne et le Club ; le Cercle en remporte
deux, lia Basse-Seine et l'Encouragement,
une chacune. Sans doute, précèdent-elles,
parfois d» bien peu, leurs jeunes rivales
dont certaines peuvent et doivent en appe.
ler, mais ôela prouve cependant que subsiste
encore la 'vitalité des vieux clubs. Ce ne
sera pas le seul enseignement de cette jour-
née.
RESULTATS TECHNIQUES
4 seniors besrré. — 1. Encou (Massé, Bou.
ton, Guelpa, Batillat), 2. S.N. Marne, à
3 longueurs.
Course disputtée sans acharnement, l'En.
cou gagne sans grand effort semble-t-il.
8 juniors. — 1. C.N. Paris (Lemoine, Stilot,
Franck, Vacher, Maliet, Betra, Detroit, Vil-
coq; 2. S.N. Mai*ne, à une long.; 3. C.O.B.,
à une 1/2 long.; 4. Encou, 5. Fontainebleau.
Le Club est supérieur et mène à sa guise.
dans les derniers 500 mètres, la Marne re-
vient très fort et «enlève la deuxième place
au C.O.B. dont on attendait mieux.
Skiffs débutants niouveaux. — 1. Jacquet
(R.C.P.), 2. Marne (jBiasse-Seine).
Jacquet gagne au train et sans douleur.
Double-scull seniors. — 1. S.N. Marne (Han-
sotte, Fritsch), 2. Ronling, à 5 long.; 3. En-
ghi en.
Course sans histoire, Hansotte, Fritsch pre-
nent la tête et la gardent devant le Rowing
qui ne paraît pas s'empioyer à fond.
Quatre débutants. — X. C.N.F. (Plault,
Guilloteau, Seryes, Marty-), 2. Lagny, à 1/4
de long.; 3 Bourse, à une long.; 4. E.N.
Oise.
Belle course disputée érsergiquement, ce-
pendant les rameurs semblent vraiment man-
quer de métier
Deux seniors. — 1. C.N.F. (Berges, Reuver),
2. C.N. Paris.
Le Cercle a un style agréable, le coup d'a.
viron est bien appuyé ; il ne semble pas avoir
de difficulté à triompher.
Skiffs débutants. — 1. S.N. Marne (Ha-
rismendy), 2. C.O.B. (Renault), à 1/2 long.;
3. Rowing (Lecornu), à une 1/2 long.; 4. Ro-
wing (Jacquet).
Les concurrents s'expliquent sérieusement
et ne se lâchent guère. Lecornu se dirige
mal et cela lui coûte la course malgré un
bon enlevage final.
Quatre seniors sans barreur. — 1. S.N.
Marne (Lecuirot, Devillé, Cottez, Lmraud),
2. Rowing.
La Marne fait une superbe démonstmtion
de style; à 400 mètres, le R.C. embarde, .s'ar.
rête et répart sans conviction.
Quatre juniors. — 1. C.N. Paris (Lemotne,
Vacher, Stilom, Détroit), 2. Rowing, à urne
long. ; 3. Basse-Seine, à 1/4 de long. ; 4. Fon-
tainebleau, à une longueur.
La belle équipe du Club, bien emmenée,
s'impose sur la fin du parcours. Le R.C. a 1
fort à faire pour résister à la Basse-Seine, j
bien revenue.
Huit débutants. — 1. Rowing (Moaligon,
Valade, Blanzy, Blanzy, Lacroix, Berlingard,
Bellet, Grandgirard) ; 2. C.O.B., à un nez;
3. C.N. Paris, à une long.; 4. Encou.
Le C.O.B. et le ' R.C. mènent toute la
course, à l'arrivée, malgré un enlevage im-
pressionnant du CO.B., l'avantage reste au
Rowing
Skiffs seniors. — 1. Lancelot (R.C.), 2.
Moreau (S.N. Marne), à 3 long.; 3. Rous-
seau (Basse-Seine).
Moreau mène jusqu'aux 1200 mètres; Lan-
celot passe, prend une longueur et continue
au train.
Skiffs juniors. — 1. Favreau (C.N. Paris),
2. Neuzeret (Encou), à une 1/2 long.; 3.
Tripier (Encou), 4. Colin (Lagny).
Les deux premiers se livrent à une belle
empoignade, Neuzeret, en tête. embarde et
se fait coiffer à l'arrivée.
Huit seniors. - 1. Basse-Seine (Capelle,
Bocahut, Barré, de Saillon, Guinard. Gau-
drion, Jacques, Lumpp) ; 2. Encou. à 3 mè-
tres; 3. S.N. Marne.
Long bord à bord, les deux équipes ne
parviennent pas à se lâcher malgré des en.
levages successifs ; la Basse-Seine conserve
le meilleur, mais de peu.
x
Le Challenge de Courbevoie, offert par la
municipalité de Courbevoie toute acquise au
sport sous l'impulsion de son sportif maire
M. Grisoni, mise en compétition entre les
sociétés courbevoisiennes a été enlevé par
le Xiowing devant la Basse-Seine et le Cercle.
BASKET BALL
La victoire du Foyer de Mulhouse
en finale
du Championnat de France
(Suite de notre article de page.)
LA PARTIE
La première mi-temps
Les deux équipes sont* présentées
aux nombreux spectateurs, à 15 h. 50.
Leur formation est celle qui était an-
noncée.
L'arbitre, M. Hehnbourger donne le
coup d'envoi à 16 heures. C'est Marc
Burnel qui a l'avantage à l'engage
ment et le ballon arrive sur R. Burnel
et Poulain qui manquent de peu le
panier. U-n coup franc tiré par H.
Brunel est sans résultat.
Cependant les Parisiens sont en
pleine action, tandis que leurs adver-
saires sont un peu lents à s'organiser.
Plusieurs attaques de Plaisance sont
près d'aboutir, mais les joueurs man-
quent de calme. Roger Burnel en pos-
session du ballon, shoote enfin avec
succès.
Plaisance 2; Mulhouse 0.
André Bailleul déclanche aussitôt
une offensive que Lutz arrête mal: le
ballon vient à Poulain qui sert M.
Burnel, lequel réussit le panier.
Plaisance 4; Mulhouse 0.
Mulhouse est maintenant en pleine
action et sur une faute de Buffier, F.
Rudler ouvre la marque pour son
équipe. Les arrières de Mulhouse se
dépensent avec ardeur: sur une passe
précise de Tondeur, A. Rudler, démar-
qué, réussit un panier.
Plaisance 4; Mulhouse 3.
Bailleul lance M. Burnel de qui une
jolie combinaison avec R. Burnel et
Poulain, est couronnée de succès.
Plaisance 6; Mulhouse 3.
Le jeu est égal : les deux équipes
effectuent une série d'offensives sa-
vantes et d'une technique remarqua
ble. Les passes se succèdent avec rapi-
dité et le ballon, saisi par Tondeur,
est envoyé de loin dans les filets mul-
houstens.
Plaisance 6; Mulhouse 5.
Phillip, en bonne position, marqce
à son tour et les Mulhousiens pren-
nent la direction du jeu. Les Pari-
siens restent un peu décontenancés
devant cette apdeur et ne peuvent em-
pêcher A. Rudler, puis Lutz de mar-
quer.
Mulhouse 11; Plaisance 6.
Une action personnelle de F. Rud-
ler, ajoute deux points à la marque
des Alsaciens. Cet exploit est réitéré
peu après par A. Rudler, habilement
démarqué.
Mulhouse 15; Plaisance 6.
Les joueurs de Plaisance, sentent
l'utilité de faire un effort : ils repar-
tent à l'attaque, avec ardeur, et sur-
prennent leurs adversaires par des
mouvements offensifs parfaits. Roger
Burnel fait merveille : cependant c'est
Lutz qui marque encore un coup
franc. Puis, successivement Buffier
(un coup franc), puis Poulain (un
but), puis Burnel (un coup franc).
puis M. Burnel (deux buts) comblent
leur handicap.
Mulhouse 16; Plaisance 14.
Tondeur, reçoit une passe de Lutz et
réussit un joli panier. Un coup franc
réussi par un joueur de Plaisance,
marque la fin de la mi-temps, qui est
sifflée sur le score suivant :
Mulhouse 18: Plaisance 15. .
La deuxième m-temps
Des la remise en jeu, les Mulhou-
siens prennent nettement la direction
de la partie. Leurs attaques sont
mieux conduites et leur adresse est
plUb 61 anllc. -l. t-riplctte offensive est
très cohésive et les lignes arrière sont
d'une sûreté extraordinaire. Le jeu de
Plaisance est plus fin, certes, mais
beaucoup moins efficace.
L'arbitre accorde ' un coup franc à
Bailleul qui le réussit : mais, pour
avoir marché sur la ligne de répara-
tion, le but est refusé et le ballon re-
mis au centre. A. Rudler a mainte-
nant l'avantage continuel à l'engage-
Antoine HJUiDLEflEl
du Foyer de Mulhtmte
ment, fet son frère reprend toujours:
sur une touche faite par Tondeur A.
Rudler marque et son frère en fait
autant.
Mulhouse 22; Plaisance 15.
Roger Burnel intercepte une passe
de Tondeur à Fè Rudler, sert Poulain
qui réussit le but.
Mulhouse 22; Plaisance 17.
Les arrières de Plaisance sont fort
à l'ouvrage, mais s'en tirent avec sa-
tisfaction : le ballon est reçu par Ton-
deur qui, du milieu du terrain, shoote
et réussit le panier.
Mulhouse 25; Plaisance 19.
C'est ensuite un coup franc rentré
par F. Rudler. Puis Plaisance repart
et ses offensives trompent la défense
adverse. Plusieurs maladresses empê-
chent ces attaques d'être couronnées
de succès, mais enfin. M. Buriiel sous
ses paniers, réussit un but.
Mulhouse 25; Plaisance 19.
Il y a dix minutes que le jeu est re-
pris. Mulhouse repart de plus belle,
et pendant quelques minutes les
joueurs parisiens ne « voient a plus
le ballon. C'est F. Rudler qui réalise
Mulhouse 27; Plaisance 19.
Les joueurs de Plaisance ne procè-
dent plus que par échappées : ils ont
perdu leur cohésion et leurs passes
manquent de précision. Ils montrent
une grande nervosité et leurs shots
sont inefficaces.
Néanmoins, M. Burnel marque; mais
F. Rfidler réplique immédiatement,
suivi par Tondeur qui transforme un
coup franc.
Mulhouse 30; Plaisance ^1.
Mulhouse, dès lors, ferme un peu le
jeu pour maintenir, sans risque, son
avance. Les joueurs de Plaisance font
un ultime effort. Ils bousculent leurs
adversaires, mais sont arrêtés S01]S
leurs paniers par tous les Mulhou-
siens. Ces derniers mettent souvent en
touche et gagnent du temps.
Un coup franc est réussi par M.
Burnel.
Mulhouse 30; Plaisance 22.
Les joueurs parisiens joueat le tout
pour le tout. Ils bombardent leurs po-
teaux, de tous les angles du terrain ■
malheureusement leurs essais restent
sans résultats. On a cependant l'im-
pression qu'ils peuvent remonter leur
handicap; mais leur maladresse est
désespérante, même en des occasions
particulièrement bonnes.
Les Mulhousiens, n'attaquent plus,
sûrs de leur victoire.
Il reste quelques secondes à jouer,
quand Roger Burnel, qui se dépense
sans compter et, avec à-propos, rentre
un dernier but.
La fin est sifflée : le Foyer Alsacien
de Mulhouse est encore champion de
France, battant, pour la troisième
fois consécutive, le C.S. Plaisance, par
30 points à 24. a
POUR LA 3e PLACE
Excelsior Roubaix bat Bon Conseil
par 38 à 23
Dès le coup d'envoi, le jeu est très
rapide et le ballon va de mains en
mains, sans toutefois trouver le che-
min des paniers. Les Nordistes jouent
selon leur habitude, très sèchement,
mais avec correction ; les Parisiens
jouent finement et prennent leurs ad-
versaires en défaut.
C'est Breishof1 qui ouvre la marque,
mais Vérité égalise. Les Nordistes
commencent à abuser de leurs forces :
Peiskens se voit infliger une faute per-
sonnelle. Le jeu est de ce fait heurté
et sans agrément. Après dix minutes de
jeu, noubaix mène par 9 points à 7.
Breishoff se montre sous son meil-
leur jour, mais « oouscuie » un peu
trop ses adversaires; néanmoins il elis-
tribue le jeu à ses coequipieis avec
bonheur et les Parisiens sont pris net-
tement de vitesse. Ils ne peuvent résis-
ter aux assauts nordistes et d'ailleurs
ne mettent point dans leurs attaques
une grande ardeur.
La mi-temps est sifflée sur l'avan-
tage de Roubaix, qui mène de 23 nomts
à 13.
La seconde mi-temps débute encore
à l'avantage des, Roubaisiens, dont
Breishoff et surtout Peskens, recom-
mencent à exagérer la dureté de jeu.
Duponchel et Lequen, au contraire, se
montrent plus fins. L'équipe du Bon
Conseil ne réagit plus ; elle semble
lasse de se « cogner 1) aux durs l\OJ
distes.
Par deux fois Peskens et Breishoff
se font infliger encore une faute per-
sonnelle. Beaufumé est sujet à la même
peine.
La fin est saluée de nombreux cris,
avec très peu d'applaudissements. Le
match n'a vraiment pas été joli à voir.
— Maurice Capelle.
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TENNIS
Van Ryn et Lott
se sont entraînes, hier
à Roland-Garros
Nous les avons retrouvés, hier, toujours
pareils, pleins de santé et de bonne humeur,
tapant sur la balle à tour de bras devant
un petit cercle d'admirateurs discrets, au
Stade Roland-Garros. Arrivés la veille ils
n'avaient pas attendu l'après-midi pour « se
remettre » à leur exercice favori, et se sont
entraînés déjà, le matin.
En dehors des compétences, peu de monde
dans la vaste arène. Une quarantaine de
« resquilleurs » tout au plus, le front collé
aux grilles d'accès, certains même ayant
franchi sous des prétextes divers les fragiles
barrages moralement établis par Redels-
perger.
Nos deux « as Il yankees ? Toujours pa-
reils, avec cette différence toutefois que
dans le sillage de Van Ryn on verra dé-
sormais naviguer sa jeune femme, mince,
blonde, élégante, championne elle aussi...
Van Ryn a très légèrement maigri, semble-
t-il; il , semble néanmoins en parfaite condi-
tion physique : coup droit bien au point,
contre-pieds merveilleusement ajustés, jeu de
jambes splendide. Mais trop de double-fau-
tes, ce qui s'explique, et une volée haute bien
irrégulière pour le moment.
Quant à Lott, il est demeuré le prototype
du petit matelot américain rigolard et bas
sur pattes. Il est toujours aussi rouge de
figure et continue de porter en trompette
son nez, lequel est encore un tout petit peu
plus vermeil que le reste de sa figure. Tra-
vaille toujours en chops, bonnes volées, mais
balles en général à trajectoire trop tendue,
encore. Jeu extra-coupé, comme d'habitude,
mais réfléchi, calculé, entrecoupé d'excla-
mations gutturales à chaque balle fou-
droyante de Van Ryn :
« Hey !... Get out !... x
Les deux nouvelles recrues de l'Interna-
tional Club de France s'entraîneront ce ma-
tin à 10 h. 30. Et, on ira. lA" arm] an /lit. an
foule.
— M. L.
LE CHAMPIONNAT DE FRANCE
PAR EQUIPES
Le Stade Français bat S.A.
de la Villa Primrose
BORDEAUX, 10 mat, — favorisée par le beau
temps, la rencontre des équipes du Stadê ï^rançaii
et de la S.A. Villa Primrosè, pour le deuxième tour
du Championnat de Fja.nce interclubs, a donné les
résultats suivants :
Martin Legeay (SF) b. J. Samazeuilh (SAVP),
6-4, 6-1; M&gaJoif (SF) b. R. Journu (SAVP), 7-5,
3-0; Roger Bourguignon (SAVP) b. D Laurent
(SIF) , 8-6, 10-8; P. Joba (S)F) b. Louis Manhès
(SAVP), 6-2, 6-1; M. GuiHemot (SF) b. P. Cheval-
lier (SAVP), 8-6, 7-9, 6-1; Paul Lelaye (SAVP) b.
L. Deslage (SFI, 8-6, 6-4.
Double. — J Ssam«iw»uilh-Danîel Lawton (SA
VP) b. Martin Legeay-Desloge (&F), 2-6, 8-6, 6-2;
P. Jcrurnu-P. Bourguignon (SAVP) b. D. Laurent-
Ma.ga.) P. Chevallier-H. de Olouet (SAVP), 6-0, 6-1.
Classement; Stade Fra.nca.ie bat S.A. de la VillA
Primrose, par 6 victoires à 4. — O. B.
T.C. de Paris bat Stade Nantais
NAr." ., lu mai. — A-njouM hui a est joué Ie
dernier m&b* de oatte reaooiubre. Glaser (TO
P(\l,is¡ bat Henri Roy (Stade Nantais, 1-6, 6-2,
donnait ainsi la victoire au T.C. de Puis pu
5 victoires à 4 au Stade Nantais.
LES EQUIPES FRANÇAISES
DE DOUBLE
Nous apprenons que la F.F. de L.T. vient de
former les équipes de double messieurs qui rrti-
ci-peront aux championnats internationaux de
France et ou toarnoi®de Wimbledon. Parmi oelles-
ci, nous POUvons citer celles de : Henri Cochet;.
Jacques Brugnon; Jean Borotr&,Ch, Boussus; R.
de Buzelet-Lesueur
LE CHAMPIONNAT DE FRANCE
PAR EQUIPES FEMININES
Le T.C. de Paris bat T.C. de Rouen
Sur les oouts du T.C. de Paris, s'est disputé le
match R>ouen-T..o.p., qui est revenu avec (QcHit6
aux joueuses pari6lenties. Résultats :
Mlle Conquot (TCP) b. Mlle Welly (R.), 6-2, 6-2;
Mlle Belliard (R.) b. Mme KteiM.del (TCP). 6-4,
4-6, 6-3; Mme Golding (TCP) b. Mlle Odier (R.),
6-3, 6-0; Mme Vansaard (TOP) b. Mlle Valpler
(R.), 6-1, 6-0; Mme Meunier (TOP) b. Mme Marc
(R.), 6-0, 6-0; Mme Oàron-Culbert (TCP) b. Mme
de Ma-cé (R.), 6-0. 6-1.
EN ANGLETERRE
A WTRXjINGJîAM. — Voici les résultats des
finale$ du tournoi de Hu.rMngha.rn :
S>i Simple dames. — Mra Pittman- b. Miss Ryau.
11-9, 6-4.
A OXFOP.D. — Vbici les résultats des finales du
tournoi d'Oxlord :
Simple messieurs. — OHM .b. Dhaada, 6-3, 6%
Simple dames. — Misa Webb b. Miss De Annan
6-3, 7-5. — F.
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LA SANTÉ DES RAOIETTES
ESCRIME
L'Ecole Coloniale s'adjuge
le Challenge des Grandes Ecoles,
Une intéressante réunion s'est déroulée hier, élU
iLyoée Buifon, à I'Wcaaioii des épreutes du ChaI.
lenge des Grandes Ecoles.
La victoire revint à l'équLPe des épéistes de
l'Ecole Coloniale. Les brillants élèves du maître
Hazott,e remportèirent 9 victoires; l'éqiiipe de
l'Ecole Polytechnique prit la deuxième place avec i
7 victoires. 3. ex-sequo : Ecole dô Sainit-Cyr et {
Ecole des Mines; 5. Ecole Centrale. j
L'Ecole Coloniale devient détentrice poutr un an.
de l'oibjet d'art oifert par M. Levesque. M. Trois- j
gros présidait cette séance.
Challenge Henri Gaillard
Hier matin e été disputé, dans le préa t1 de
l'école de garçons, 4, rue Decaînps (16e), le Chal-
lenge Henri Ciillard, challenge d'é¡:¡ « Petites A » du département de la 8elne, orga-
nisé par l'Amicale Edouard Petit, Sous le haut
patronage de M. fleuri Gaillard, le conseiller mu-
nicipal du quartier Datiphine. Résultats :
Premier prix : Amicale Sambre-et-Meuse (11 t.);
2* prix ; Amicale Prisse d'Armes (9 v.) ; 3" prix :
Amicale Ed. Petit. (7 viot.).
Hors challenge (Prix des telles Armes) : Le-
gendre (A.E.P).
La Poule d'Honneur
de l'Académie de l'Enée
Disputée hier ma.tin à l'Ecole Ste-Ma.rie, cette
épreuve a donné les résultats suivants : 1. Per-
drizet (Gardèce), 8 viet. (après barrage); 2. De-
jeaux (Gardère), 3 v. (après barrage); 3. ex-aequo :
Barbie,- (ASPP), 7 v., et Boucher (Hoohe), 7 v.;
5. Bernard (Laoaze), 6 v. ; 6. ex-asqno : Art'gas
(Printemps), 5 v., et Lieut. Fauré (Joinville), 5 v. ;
3 ex-sequo : Jourdd (Botird<>-n ) ( 4 v. ; Drakemberg
(Bouché), 4 v.; Morviillers, 4 v. ; 11. Foiret (Bour-
don), 3 v.; 12. Bertès (Golfers), 1 vict.
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TENNIS
Avant les Championnats internationaux de France
(à partir du 16 mai, au stade Roland-Garros)
Les tribunes du stade Roland-Garros
. Voici le prix des places pour les Championnats internationaux de Exauce de tennis,
qui commenceront le 16 mai et dureront quinze jours consécutifs ! _
Abonnements (nour les auinze journées)
Loges de côté ou de face (tribunes B ou O). La place... 800 fr.
F auteuils (tribunes B ou C). La place Î.J/
Places (tribunes B) La ...................... ...... 400 "•
L'abonnement aux places numérotées pour toute la durée de la. compétition est ou.
vert au Stéfle Français, 11, rue Louis-le-Grand, Paris (2'). Tel. : Louvre 13-10. / ^
Tir.Up.tR vainhips nour une iournée 8eulement
Elimi. 23, 24, 25, 29,
Places numérotées : natoirea 30, 31 mai
Loges de côté ou de face (tribunes B ou C) ^ ' 10 fr.
Fauteuils (tribunes B ou C) £0 jr* 80 fr.
Places (tribunes A B, aveo dossiers) 30 fr. 50 il'.
Places non numérotées :
Places (gradins B C) - 20 fr. 40 fr.
Places (gradins A D) » 15 fr. 25 fr.
Places, (gradins D debout) ............................ 10 fl'. 15 fr.
La location des places numérotées valables pour la journée seulement sera ouverte
chaque matin de 8 h. 30 à 11 heures, à partir du 17 mai, pour les matches du jour, au
Stade Français, 11, rue Louis-le-Grand, Paris (2'). Les places non numérotées ne peuvent
être prises qu'aux guichets du Stade Roland-Garros. -
HOCKEY
UNE BELLE REUNION, A BERNAY
POUR LES FETES DE L'ASCENSION
L'international R. Piédecoq, du DeauviLle
A.C., dont on sait déjà la belle activité dé-
ployée de tout temps en Normandie, vient
d'organiser à Bernay, pour les fêtes de l'As-
cension, une très belle réunion qui ne man-
quera pas de servir à nouveau la propa-
gande de notre sport en province. Le jour
de l'Ascension, en effet, le Racing Club de
France, champion de France et de Paris en
1930, rencontrera à Bernay le Deauville A.O.
Les deux, équipes, au grand complet, joue-
ront en exhibition pour le lever de rideau
du match de football C.A. Paris-Amiens A.C.,
et cette intéressante rencontre paraît cer-
de sorte, de bénéficier de toute
l'affluence désirable. y
en tous points, une profitable et
intelligente méthode, que de faire bénéfi-
le sport de la crosse de la popularité
déjà solidement établie de son sport frère :
le football association. On a vu, après la
finale de la Coupe de France de football
tout le bénéfice qu'a su en retirer le match
France-Hollande de hockey. Félicitons R. Pié- -
decoq et les organisateurs de Bernay de per-
sévérer dans cette excellente tactique.
L. ROEHRIG, A... NOUMEA
TRAVAILLE POUR LE HOCKEY !
Noue mons reçu des nouvelles de P..oéhT!g, du
P.U.C., lequel séjourne actuellement à Nouméa.
Outre de mirobolante tiJmJbres--poste, dont sont
ornées ses cartes, il nous envoie d'excellentes noti-
velles ainsi que vous allez pouvoir en juger; voici
les principaux passages de ea missive :
NOUMEA, 9 avril, - Me voici à 20.000 kim. de
Paris, d,&ns un pays eupeibe. Au point de vue
climat, la température, ici, eet en otiet merveilleuse.
taie du tennis, de la natation, j'espère pourvoir
former deux équipes de hodkey bientôt.
A , quand le match « équipe de France contre
équipe Nouvelle-Calédonie » ?
Ce serait un beau déplacement en persipect've.
Les équipes de football sont excellentes, je suis
certain qu'il y a. 2 ou 3 individualités qui ne
dépareraient pas l'équipe nationale.
Bien le bonjour amx amas. — L. Roehrig.
EN ESPAGNE
Des sanctions contre Barcelone
"V11, — Fédération Espagnole
de Hockey a décidé, dans sa dernièrè réunion, que
le Valenoia H.C. serait champion d'Espagne.
Nos lecteurs se rappellent que la finale entre
Valencô et Barcelofie, déjà disputée deux fois,
s était , à chaque rencontre, tertoinée par des
résultats nuls, malgré les prolongations réglemen-
tai l'es
Un troisième match devait se jouer le dimanche
3 nipas présentés, la, Fédération Nationale a
décidé que le Valencia H.C. se verrait décerner le
titre de champion d'Espagne. En outre, elle a.
annoncé des sanctions contre les dirigeants du
club d6fa.i11ant. — Barbafla.
LE SPORT ET LA FEMME
Mme Diagre remporte les Trois Suorts
Hier, à Joinville, sur les bords de la Marne,
Académie organisait la classique épreuve des Trois
Sports (natation 50 mètres, courbe à pied 500 mètres,
a.virom 700 mètres).
Mme Diagre, alias Mlle Lucie Petit, a triomphé
devant Mlle Sadoux et Mlle Fontaine.
Résultats :
Cla.sse.ment général. — 1. Mme Diagre (SOS Schaer-
beclO. 74 pts 1/2; 2. Sadoux (Fémina), 73 pts 1/2;
3. Fontaine (RiOF), 72 pts; 4. Balensi, 71 pte;
l' G. 1/2; Du Manoir, 68 pts 1/2; 6. PMippon,
V Vr Cochon, 66 pt6 1/2; 8. Sedigmann,
63 pts; 9. Vieimnèt, 61 pts 1/2; 10. Versin, 60 pts.
Classement par clubs. - 1. R.c. France, 9 pts;
2. Ruche Sportive, 20 pts; 3. Fémina Sp., 24 pts;
i. Tdémia, 25 pte.
FOOTBALL
La Coupe d'Encouragement
En finaJe, hder. an stade de Fémina Sport,
Fêtnlna. Sport (2) et lés Cadettes (2), ont lait
match nul, 1 à L
PELOTE BASQUE
La réouverture du Fronton de Paris
Favorisée par un beau temps inattendu,
la réunion d ouverture du Fronton de Paris
avait attiré une assistance moyenne,
Quoique certains joueurs aient encore paru
d'entraînement, les diverses par-
ties disputées présentèrent un attrait suffi-
sant pour intéresser les spectateurs.
Voici les résultats de la réunion :
Championnat de Paris. — A pala, le Ré-
]Ve Stade Basco-Béarnais (Larripe. Asoargota) bat
par 4,0 à 25. pais (Larretgère, Lartigue)
n-uef'- le S.C.U.F., privé d'Elicba.-
gata.y, Montrouge.blessé. re forfait devant la, S.A.
Dnh^i r/1" r£d-R chistera, ,le Racing (Garcia,
S. bat le Réveil Basco-
Béarnais 60 points par
Matches amicaux. — A mains nues, Da-
0,VT?KmeC o?* triomphé d'extrême
justesse d 'Iribarne et Bernaténé par 30 pts
Au grand chistera, Fromont blessé, n'ayant
f", continuer, Magescàs et Beigbeder ont
joué, à deux, contre le trio Chanonier, Pue,
Rœderer. qu ils ont battu par 30 pts à 15.
POIDS & HALTÈRES
Les Lyonnais ont battu les Montmartrois
LYON, 10 mai. - La, finale du Challenge Eugène
•tfagny a été disputée aujourd'hui pan- une forte
équipe lyonnaise et une non moins bonne sélection
de Société AtQrlétique Montmartroise.
Après Une lutte magnifique, les Lyonnais ont
battu les athlètes de Paris en totalisant 1.795 k 500
contre 1.730 kilos.
victoire des Lyonnais a. été obtenue grâce à
louis Hostin et à Dutriève, lesquels ont enlevé
respectivement 425 kilos (75, 100, 110 et 140) et 410
kilos (77,5, 95, 107,5 et 140)
Les poids lourds de la Montmartroise ont été
nettement inférieurs à ieurs adversaires. - Ft6M!!!.
GYMNASTIQUE
L'U.S. Sartrouville a inauguré, hier
son nouveau gymnase
L'U.S. de Sartrouville a donné, hier après-midi,
Sa deuxième fête annuelle et inauguré par la même
occasion son gymnase dont la construction vient
d'être terminée.
Les pupilles et les adultes de la société turent
applaudis dans leur., démonstrations aux agrès Le
gros succès de cette manifestation fut remporté
par les champions André Lemoine et Maurice Les-
tomu eau tous deux anciens champions de Fra nce
des petronages.
La F.G.S.P.F. a diplômé
vingt-deux élèves moniteurs
Hier matin, an gymnase de la Domrémy, la com-
mission technique de la F.G.S.P.F. a fait subir
aux trente-trois élèves moniteurs qui ont suivi ses
coure, J'exemen fimal. Vin.-t-deux candidats furent
reçus
Un' banquet réunissait, à midi, les membres de
la oommission technique de la F.GjS.P.F Sucees-
si,vement MM François Hébmrd, président et
Pierre Bardel, chef de cabinet de M. Emile Mori-
a&ud, sous-seorétaire d'Etat de l'E,P., prirent la
parole et félicitèrent élèves et orofesseuxs.
HIPPISME
AiujolLrd'h'uÍ. à 14 heures, coturses à Saint-Cload.
Nos pronostics :
Prix des Primevères. — Tan, Flowe-ret.
Prix Zariba. — Campaspe, White Nile.
Prix de Trappes. — Charmille, BoUt Iris.
Prix de la Fouilleras e. — Filidor, Janeiro.
Prix de Mon tesson. — Le Paon, Sainte Lydie.
Pirix de PépitliVMt. — Genépi, Run A h ead.
Prix de Gargenville. - L'Ointlcnt, Z&ska,
CHEMINS DE FER DE L'EST
Gare de Paris-Est
Rétablissement de 'l'atcès de la me d'Alsace
L'état d'avancement des travaux permet-
;ant de rétablir l'accès de la gare donnant
IUr la rue d'Alsace, celui-ci sera ouvert de
îouveau au public à partir du 14 mai cou-
'auto
CHEMINS DE FER DE L'ETAT
Fête du muguet à Rambouillet
La fête du muguet aura lieu à Rambouillet
le dimanche 17 mai..
A oette occasion, les Chemins de ter de
l'Etat délivreront, au départ de toutes les
gares des lignes de Paris-Invalides à ^ n'o-
flav-RG et de Paris-Montparnasse à Ver.
sailles-Chantiers, des billets à prix réduite
pour Rambouillet ou -Le Perray.
Pour les prix et les horaires, renseignez-
voua aux gares du Réseau de l'Etat.
SUR LA PREMIÈRE FOIS LE R.C. TOULON
EST CHAMPION DE FRANCE
(Suite de notre article de première page)
140 k' mai (de notre envoyé spé-
g.wonde phase de la partie
y*1, -' pour les Lyonnais, ren-
Iffile pronostic. Les avants de
' r I de' cohésion précédemment,
¡i' 'l'e n;al toi'OP lente ne permettait pas
Nj^nniV, de s'emparer du bal-
îl,ri ent ob ungeaient de tactique,
Ut de l'incertitude à la certitude,
compte q'ue leur action pui.s-
elouche> den '1ère les cafouillages
f'I ouvertes, l\:mva-it être couron-
|e xs II fanait réaliser et, pour
fL la dépense nécessaire d'éner-
tnté de combinaisons au pied et
i Aucune hésitatu'W à cet endroit
'„llx, et dès lors, pliant sous le
fardeau- difficile à manœuvrer.
lyonnaise se désagrt^ea,, ne joua
Los, alla même jusqu'à détruire
Impréhensible excès Ai, nervosité
comblait bien conditkinné.
[illisible] des attaquants toulonnais
u jeu de Toulon, le jeu (ians. le-
oUe, le Baillette et Allègre paient
i dire. Et ce mot vous le co muais-
traduit par un départ fulguTvjnt,
;iute, par un changement de pxed,
pide débordement et, le plus tVlu-
[ par l'essai. Ce qui arriva Sur
l'instant où, désemparée, préocc®-
l'indispensable organisation de t;,"",
j'équipe du Lyon Olympique n'é.-
maîtresse des rênes de son atte- 1
1 Toulonnais, on le voit, a donc
victoire sur une très nette supé-
puissance, de souffle et de cohé-
s3 avants tout comme, il y a huit
j les mêmes facteurs le Lyon
t avait échafaudé la sienne de-
• .U. Agenais. Mais il l'étaya en-
j virtuosité, la tenue de ses trois-
ij dins l'ensemble, furent plus
f ceux de son adversaire.
Lyonnais jouèrent jusqu'au bout
Iun Olympique, s'il â perdu la ba-
I sort point diminué pour cela de
Us laquelle il trouva plus fort,
Det que lui. De bout ea bout, il
[prévenir le destin, d'affirmer sa
I fixer ses chances ; il ne faillit
lâche. Alors que pourrait-il amè-
reprocher ?
Ii fut longue et brillante ; d'oc-
D jour, ses joueurs pratiquèrent un
fi et spectaculaire, décelèrent une
[alité sportive, celle-là même qui
jsit jusqu'à la finale du Champion-
rance. Ce sont des compensations
s pour lui faire oublier cette seule
- Gêo Villetan.
LES EQUIPES
- Arrière : Chaud ; trois-quarts :
aillette, Couadou, Allègre; demis :
Lamothe; avants : Delangre, Mau-
éani, Barrère, Vails, Hauc, Namur,
- Arrière : Marty; trois-qua.rts :
Graille, Sire, Dubois; demie : Battle
Íants : Claudel, Laffont, Vallin,
at, Vincent, Cartier, Billerach.
L A PARTIE
onne le coup d'envoi et s'installe
dans le camp adverse d'où Lamo-
;e en touche. On remet en jeu. La
mêlée se termine par un coup
faveur de Toulon.
e touche aux 22 mètres de Toukjn,
te de partir, mais est aussitôt
ar Lamothe. Tout est à' recoin-
*
rite sortie de mêlée, Delangre s'é..
avec \* ballon et Lyon est obligé
ter rapidement dans ses buts. On
des buts de Lyon"ï"lauufs :
le, sur hors jeu, un coup franc
: aux Toulonnais. Servolle tente
s le manque. Ce n'est pas cette
: Que le club cher à Mayol affir-
avantage. •
"re-attaque lyonnaise _ ébauchée
i. échoue sur Sire mal placé pour j
la passe. Et tout aussitôt, Bail-
envoyé durement à terre d'où il I
ivera que quelques secondes plus j
Lyonnais sont menaçants
i départ de Brial, Boréani reprend
a. Mais voici que se déclanche la
ensive. Graule démarque Sire qui,
buts, transmet à Dubois mais au
de déborder à l'aile Dubois est
it projeté en touche par l'arrière
cependant a attaqué. Sur un beau
[e de Durand, après ouverture,
moment où l'on espère l'essai de
onlon déploie son rideau défensif
ie passe. , i
Puis Panel marque
pyon ne se tient pas pour battu et,
lortie de mêlée qui à lieu peu après
I" mètres de Toulon, Brial s'é-
roue, sert de justesse Panel qui
'f^sai. Le but est manqué. Lyon3;
]P« encore, sur geste incorrect,
jD%nais Delangre est expulsé du
ffr l'arbitre. Lyon continue à affir-
f -avantage paralysant toute action
N?oarte toulonnais. Puis Delangre
nse à reprendre sa place. Les mê-
foccèdent. Servolle ébauche un dé-
pe sert Allègre qui trouve une
Iche.
Toulonnais se reprennent
départ des avants toulonnais, De-
Mie à suivre Mais Graule re-
sur le point d'être mis à terre,
a 1 arrière Marty. Celui-ci trouve
ouche au centre.
réagit maintenant et sur ane at-
|iuement amorcée par Servolle, le
6 de mains en mains. Allègre
rvi, file le long de la touche,
1 mètre des buts se laisse cueillir
® qui le met à terre, et c'est la
La reprise
de la seconde mi-temps, Lyon
le reprendre le commandement des
; il faut toute la décision de
.ulonnai:s Chaud pour briser une
111 se révélait dangereuse.
le belle échappée de Claudel, qui
par l'arrière Chaud. Mais le L.
^aussitôt. Durand ne peut pour.
■i Parce que, cette fois, l'offensive
Ulte avec trop de lenteur. Farre
balle et s'échappe, Il ne passera
"S®. D'un côté comme de l'autre.
't sévère, bien organisée.
fegage de l'étreinte qui l'enserre
î6 belle trouée de Graule, à. la
le Lyonnais Vincent est en-
Iouche. Les hors-jeux se succè.
11lages se multiplient et l'arbitre
Ombreux coups francs qui ne
30 résultat saillant.
[illisible] accentuent leur pression
Ii 'le attaque toulonnaise, & la.
"eut Hane. Boreani, Servolle
I ui Mtas, vient échouer sur
fc'sse n'a pas été reprise. Mais,
jt^rial a. été blessé; mais il re- j
des trois-quarts tou-
C;e> bien servi, feinte sur
■waa A attaque sur Servolle,
.<**nt, sert Boréani, lequel,
% i ' passe à Delangre. Mais
,évitabl alors que l'essai
Toulon triomphe
• Lÿ On à charge, menace
? dur. 0IJ. La défense est à l'ou-
îill e te • longue' Boréani ou.
ille Se dér&arque. trans-
Celui-ci, fonce en vitesse,
Peut Marty et marque
( We transformé. Lyon 3,
;>t i 1.
et, sur une ton,
J4') : le 'hn+ivi par Boréani qui
' d, but est manqué. Ton.
Quelques mêlées, quelques touches en-
core, un retour au centre du terrain, et la
fin est sifflée.
Par 6 points à 3, le R.C. Toulonnais ga-
gne sur le Lyon Olympique le titre. de
champion de France.
Notes sur la partie et l'arbitrage
BOiR,DE1t:UX. — Beaucoup de personnes
[ en sortant du Piarc des Sports de Lescure
émettaient l'avis que l'arbitrage de M. Abel
Martin avait contribué à. donner à la par-
tie une certaine allure. Il est certain que
si l'on se place à ce seul _ point de vue,
l'arbitre de la finale a eu constamment en
mains la direction de la partie et que
celle-ci ne lui a jamais échappé. Quatre
expulsions temporaires, deux dans chaque
camp, et Un nombre impressionnant de
coups francs, ce sont là actes d'autorité
incontestables. 1,1 convient de féliciter M.
Abel Martin. „
Cependant on peut se demander si cette
avalanche de coaps francs est un... bien.
Sans doute, le coup franc est-il nécessaire
pour réprimer la faute volontaire, l'obs-
truction ou le jeu excessif? Mais il ne faut
pas oublier non plus que le fait de péna-
liser vingt fois une même fa.ute d'un coup
franc — mauvaise mise en mêlée, par
exemple — constitue une infraction à l'es-
prit du jeu. L'arbitre dispose d'autres sanc-
tions plus sévères qui vont jusqu'à l'exclu-
sion définitive pour ces fautes répétées.
Aussi ne pouvons-nous approuver le fait
que l'exclusion soit réservée à la seule bru-
talité et qu'on se croie obligé, dans les
grandes circonstances, à limiter les sanc-
tions. Ceci, bien entendu, ne vise en rien
M. Abel Martin qui a arbitré excellemment
dans l'esprit d'une méthode actuellement en
.honneur mais qui, à notre sens, n'est pas
Jja, bonne.
Pour tout dire, nous ne pensons pas qu'un
FI\Aethy ait toléré jusqu'au bout les incor-
■rwtfvons rénét-ées dont la sanction a nar
i VJJLL-O CiTJ
trop hache le jeu. —
— P.-J. Cathala.
DIVISION DE PROMOTION
Les Niçois sont Champions de France
BEZIER'S. — R.C. de Nice bat A.S. du Midi
de Bordeaux, par 8 points à 4
En première mi-temps les Bordelais prirent
un avantage territorial assez net, qui se con-
crétisa par ain drop-goal réussi par l'arrière.
La seconde mi-temps fut celle des Niçois
qui attaquèrent sans arrêt. Plus rapides que
•leurs adversaires. ils marquèrent deux es-
sais, le second, fut réussi cinq minutes avant
la fin.
Dans i'ensenible, la meilleure équipe a
gagné. La victoire est revenue à l'équipe la
plus ardente, la plus vite et qui a joué dans
le meilleur esprit du jeu. Sont à citer à
Bordeaux : le demi de mêlée et l'arrière. A-
Nice, tout le monde a joué avec cran.
Arbitrage énerg?
Voici les champions de France
La saison officielle 1001 étant terminée,
voici, toutes catégories, les nouveaux cham-
pions de France :
EXCELI/EN!C-B
B.C. Toulonnais bat Lyon OJJ 6—3
HONNEUR
U.A. Libournaisë bat U.A. de Gu-
jan-Mestaas -— 8-5
PROMOTION
R.C. de Nice ba,t A.S. du Midi.„ 8-4
COUPE DES MAORIS
Lyonnais-bat Centre 16-10
EQUIPES SECONDES
R.C. Toulonnais bat A.S. Mont-
Íerrandaise 3<—0
EQUIPES TROISIEMES
sarfne ...^ 12-3
EQUIPES QUATRIEMES
A.S. Montferrandaise bat T.O.E.C. 1*2—ff
DEUXIEME SERIE
S.C. Toulousain bat S.O. de Givors. 17—0
TROISIEME SERIE
C.O. de Ceret bat A.S. Bourse 6—5 |
QUATRIEME SERIE
S.C. Perpignanais bat S.S. Ale-
thom 6—0
CINQUIEME SERIE
U.S. Olida bat S.C. Nazairien 3—0
MILITAIRES
2e Aérostiers bat 115e d'Artillerie... 9—0
SCOLAIRES (JUNIORS)
Collège de Perpignan bat Lycée de
Toulouse ............... 9 -0
U.F.R.A.
La victoire
du Stade Toulousain
sur la Sélection
(Suite de notre article de 1re page.)
TOULOUSE. - Le Stade Toulousain
était, lui, au complet, mais ainsi que nous
le disons par ailleurs, plusieurs joueurs
manquèrent à la Sélection, et l'on dut de
ce fait procéder à des remplacements. Le
match n'en souffrit nullement, puisqu'il
donna lieu à des phases de jeu variées et
agréables.
La partie
Après quelques minutes de jeu et de jolis
exploite réalisés par Majérus et Pedentour,
Delort tente de s'échapper. Cependant, le
Stade Toulousain porte »une attaque impa-
rable et Danglade, après an beau crochet,
marque le premier essai.
Apcher, Domec et Duché font l'impossi.
ble pour percer, mais la défense toulousaine
est rapide et vigilante. Les avants de la
Sélection constituent un groupement solide -,
et menaçant Longtemps les buts toulou. ;
! saine sont menacés.
». Bouché est légèrement touché. Carrère,
de Narbonne, complète l'équipe du Stade,
qui reprend la direction du jeu. Après une
descente en groupe, un essai, très classique,
est réussi par Danglade. A plusieurs repri-
ses, les Toulousains Branea et Puech s 'é.
chappent ensuite, mais la Sélection réagit.
M&jértiis, à son tour, marque au centre un
essai, transformé par Duché.
Le Stade Toulousain, qui mène par 6 à 5,
augmente peu après son avance grâce à un
£e- ^ès jeune, s'échappe et
marque le troisième essai.
enAtif„ M Stade Toulousain est
en tête avec 9 pointe contre 5.
Dès la reprise, Bouchet reprend son poste
pla,cé,s.tandie que Qm et Raymond sont rem-
Cette mi-temps est plus égale et chaque
équipe marque un essai. Le jeu est très
mobile malgré la chaleur et attaques et
contre.attaques de la meilleure facture se
déroulent sous les applaudissements des
spectateurs. A la suite d'un départ des
avants toulousains, !e ballon vole de mains
en mains et finalement est déposé derrière
la ligne par Bénazet. Le Stade Toulousain
mène dès lors par 14 à 5. La sélection ri-
poste par de jolies offensives au cours des-
quelles Bouchet, Fa.u et Duché se distin-
guent. Les visiteure dominent sans arrêt
et plusieurs fois de suite les buts toulou-
sains sont dangereusement menacés. Domec
et Apcher vont tout près de l'essai, cepen-
dant :6S vainqueurs du tournoi ee dégagent
et le jeu devient plue égal. ,
L'aile Fau-Duché se distingue et enfin 1
Domec trompe la défense toulousaine I]
marque le plus bel essai de La journée qui
est transformé. J
Le Stade Toulousain l'emporte par 14
à 10. i
Considérations
Cette partie fut extrêmement agréable à
suivre en raison des brusques revirements
atta-ques à la main dont el:e
e( fut î n/ f®' L of/cn®)ve sans cesse en
^Ï.Vn lf,; ^ trente joueurs "'eurent qu'un
but, celui d ouvrir le plus possible. La pre-
mière mi-temps cependant fut la plus nette.
Parmi les sélectionnés, Haritchandy et
Apcher, très brillants, furent bien soute-
nus par Bajouet, Gintran, Delort et Ma-
jérus. Daudignon et Bouchet fournirent une
partie honnête; Fau a été le trois-quart le
plus remarqué. Pédentour défendit bien ses
buts.
Quant au Stade Toulousain, toute l'équi-
pe fonça avec cœur. Puech, Ambert, Bious-
sa, Branca, Puig, Delbosc, Laurent firent
de gros efforts. Bès jeune à la mêlée porta
à son actif un très bel essai et Danglade
fut le meilleur trois-quarts. Comme d'habi-
tude MagnaI fnt parfait. Bonnes parties de
Bénazet et de Sahuc et excellent arbitrage
de M. Faur.
L'ENTRAINEMENT
La Section Paloise bat d'un point
l'Aviron Bayonnais
PAU. — La Section Paloise bat l'Aviron Bayon-
nais, par 17 points à 16.
La Section Paloise a ba.ttn dé justesse son vieux
,,ival. A la mi-temps, l'Aviron, venu avec line
équipe jeune, très niordante, hardie, menait par
il poi n ts à 0.
A la reprise, les Pa-lois se ressaisirent et arrivè-
rent à coULer leurs rivaux sur le powau, par un
c<,tip de pied tombé réussi dans les dernières ml.
nutes
Cette partie permit d'assister à des mouvements
de contre-attaquie agréaJbles, surtout du côté bayon-
nais. Les Palois, maîtres de la mêlée, eurent le
gros mérite de gagner une partie qui . paraissait
perdue pour e,ux. — J. PÙla.
F.F.R.
LE CHALLENGE POEYDEBASQUE
Aix et Angers joueront la finale
AI X jBN -PttOV BN CE. — Gadz'a.rts d'Aix bat
Ga,dz'!J¡rts de GluEy, par 21' points à 4.
OHAL0 NiS-suR.,lVIAiRNE. — Gadz'arts d'Angera
bat Gadz'arts Châlons, par 38 points à 7.
La fi na/le, opposa n t Aix et Angers, se jouera
diintan,c;he, probablement à s.uoy-en-Brie.
L'ENTRAINEMENT
Le Racing bat l'A.S. Montferrandaise
CLERM,DNT Jf EORIR AfN D. — Racing C1Uib de
France (mixte) oo,t A.S. Montîerraiidaise (mixte),
%ar 10 points à 3.
D'ent,l'ée les RacDngmen marquent sur oouip de
pied long. Bien que, l'essai soit marqué en coin, il
est transrîormé. Par la suite, les Mon t-îer ra n d ais
réagissent, niais, soit par malciance, soit pa-r mala-
dres-ze. ils ne purent concrétiser leur supériorité
évfdente. Pendant toute la deuxième mi-temps,
l'A.S.M, dominera. Quelques minutes avant la fin,
le Racing marquera un deuxième essai sur aile de
ses raies é
Danïlo.
AUTOUR DES TOUCHES
Le nouveau bureau de l'U.S. Dacquoise
vient d'être élu comme suit : Prés., III. /lbe!"'
Guichemerre; vice-p?-és. : MM. Paul D eb e ait-
vais, docteur Georges Bernadet, Louis Cla-
verie; secr. : M. Charles Jocou; adj. : M.
A ù el Duprat; très.: M. Julien Craste; adj.:
M. Jean Daiity..
x
La commission de rugby de l'U,S, Dac.
guoise vient à'éti-e nommée comme suit :
A. Guichemerre, Castex, Lahouze, Aumas,
Biraben, Carponey, Lacouture et Aumalia.
La médaille du club a été attribuée à Laca-
zedieu, Labenne et D. Castex.
LE MATCH
L.O.U.-R.G. TOULON
a été joué avec le
ballon MELHOR
nsanonBnraBHnn^nsBBi^BHBn
AVIRON
La Journée des « Fondateurs »
Un bon début de saison
Sous les auspices de la S.N. Basse-Seine,
la « Journée des Fondateurs » constitua un
très bon début; d'excellent augure pour la
saison qui s'ouvre, elle ne faillit ni à sa ré-
putation ni à sa tradition. Du sport de très
ques lionne, lavorabies farHyf» des conditions at.o.phéri-ijoui, un
qui ruieni oien un
peu la raison de l'affluence du public, une
organisation suffisante bien que l'horaire
ait souffert du passage d'un nombre inac.
coutumé de péniches, et enfin et surtout des
épreuves très disputées, la plupart indéci-
ses jusqu'au bout ont fait des classiques
.« Fondateurs » une manifestation très sa-
tisfaisante.
L'ardeur combative des jeunes est agréa-
bile à signaler, leurs rencontres furent tou-
tlts empoignantes au plus haut point, toutes
lei* victoires furent acquises avec de faibles
écitrts qui témoignent bien la volonté de
vai .uere qu'ils y apportèrent. Une autre cons-
tatation, aussi importante quoique moins
prévue, c'est la tenue des grandes sociétés :
Je palmarès est leur apanage exclusif. Le
fait fiât là, indiscutable, les 6 grandes so-
ciétés tse partagent les 13 épreuves finales,
le Rowlng compte trois victoires, comme la
Marne et le Club ; le Cercle en remporte
deux, lia Basse-Seine et l'Encouragement,
une chacune. Sans doute, précèdent-elles,
parfois d» bien peu, leurs jeunes rivales
dont certaines peuvent et doivent en appe.
ler, mais ôela prouve cependant que subsiste
encore la 'vitalité des vieux clubs. Ce ne
sera pas le seul enseignement de cette jour-
née.
RESULTATS TECHNIQUES
4 seniors besrré. — 1. Encou (Massé, Bou.
ton, Guelpa, Batillat), 2. S.N. Marne, à
3 longueurs.
Course disputtée sans acharnement, l'En.
cou gagne sans grand effort semble-t-il.
8 juniors. — 1. C.N. Paris (Lemoine, Stilot,
Franck, Vacher, Maliet, Betra, Detroit, Vil-
coq; 2. S.N. Mai*ne, à une long.; 3. C.O.B.,
à une 1/2 long.; 4. Encou, 5. Fontainebleau.
Le Club est supérieur et mène à sa guise.
dans les derniers 500 mètres, la Marne re-
vient très fort et «enlève la deuxième place
au C.O.B. dont on attendait mieux.
Skiffs débutants niouveaux. — 1. Jacquet
(R.C.P.), 2. Marne (jBiasse-Seine).
Jacquet gagne au train et sans douleur.
Double-scull seniors. — 1. S.N. Marne (Han-
sotte, Fritsch), 2. Ronling, à 5 long.; 3. En-
ghi en.
Course sans histoire, Hansotte, Fritsch pre-
nent la tête et la gardent devant le Rowing
qui ne paraît pas s'empioyer à fond.
Quatre débutants. — X. C.N.F. (Plault,
Guilloteau, Seryes, Marty-), 2. Lagny, à 1/4
de long.; 3 Bourse, à une long.; 4. E.N.
Oise.
Belle course disputée érsergiquement, ce-
pendant les rameurs semblent vraiment man-
quer de métier
Deux seniors. — 1. C.N.F. (Berges, Reuver),
2. C.N. Paris.
Le Cercle a un style agréable, le coup d'a.
viron est bien appuyé ; il ne semble pas avoir
de difficulté à triompher.
Skiffs débutants. — 1. S.N. Marne (Ha-
rismendy), 2. C.O.B. (Renault), à 1/2 long.;
3. Rowing (Lecornu), à une 1/2 long.; 4. Ro-
wing (Jacquet).
Les concurrents s'expliquent sérieusement
et ne se lâchent guère. Lecornu se dirige
mal et cela lui coûte la course malgré un
bon enlevage final.
Quatre seniors sans barreur. — 1. S.N.
Marne (Lecuirot, Devillé, Cottez, Lmraud),
2. Rowing.
La Marne fait une superbe démonstmtion
de style; à 400 mètres, le R.C. embarde, .s'ar.
rête et répart sans conviction.
Quatre juniors. — 1. C.N. Paris (Lemotne,
Vacher, Stilom, Détroit), 2. Rowing, à urne
long. ; 3. Basse-Seine, à 1/4 de long. ; 4. Fon-
tainebleau, à une longueur.
La belle équipe du Club, bien emmenée,
s'impose sur la fin du parcours. Le R.C. a 1
fort à faire pour résister à la Basse-Seine, j
bien revenue.
Huit débutants. — 1. Rowing (Moaligon,
Valade, Blanzy, Blanzy, Lacroix, Berlingard,
Bellet, Grandgirard) ; 2. C.O.B., à un nez;
3. C.N. Paris, à une long.; 4. Encou.
Le C.O.B. et le ' R.C. mènent toute la
course, à l'arrivée, malgré un enlevage im-
pressionnant du CO.B., l'avantage reste au
Rowing
Skiffs seniors. — 1. Lancelot (R.C.), 2.
Moreau (S.N. Marne), à 3 long.; 3. Rous-
seau (Basse-Seine).
Moreau mène jusqu'aux 1200 mètres; Lan-
celot passe, prend une longueur et continue
au train.
Skiffs juniors. — 1. Favreau (C.N. Paris),
2. Neuzeret (Encou), à une 1/2 long.; 3.
Tripier (Encou), 4. Colin (Lagny).
Les deux premiers se livrent à une belle
empoignade, Neuzeret, en tête. embarde et
se fait coiffer à l'arrivée.
Huit seniors. - 1. Basse-Seine (Capelle,
Bocahut, Barré, de Saillon, Guinard. Gau-
drion, Jacques, Lumpp) ; 2. Encou. à 3 mè-
tres; 3. S.N. Marne.
Long bord à bord, les deux équipes ne
parviennent pas à se lâcher malgré des en.
levages successifs ; la Basse-Seine conserve
le meilleur, mais de peu.
x
Le Challenge de Courbevoie, offert par la
municipalité de Courbevoie toute acquise au
sport sous l'impulsion de son sportif maire
M. Grisoni, mise en compétition entre les
sociétés courbevoisiennes a été enlevé par
le Xiowing devant la Basse-Seine et le Cercle.
BASKET BALL
La victoire du Foyer de Mulhouse
en finale
du Championnat de France
(Suite de notre article de page.)
LA PARTIE
La première mi-temps
Les deux équipes sont* présentées
aux nombreux spectateurs, à 15 h. 50.
Leur formation est celle qui était an-
noncée.
L'arbitre, M. Hehnbourger donne le
coup d'envoi à 16 heures. C'est Marc
Burnel qui a l'avantage à l'engage
ment et le ballon arrive sur R. Burnel
et Poulain qui manquent de peu le
panier. U-n coup franc tiré par H.
Brunel est sans résultat.
Cependant les Parisiens sont en
pleine action, tandis que leurs adver-
saires sont un peu lents à s'organiser.
Plusieurs attaques de Plaisance sont
près d'aboutir, mais les joueurs man-
quent de calme. Roger Burnel en pos-
session du ballon, shoote enfin avec
succès.
Plaisance 2; Mulhouse 0.
André Bailleul déclanche aussitôt
une offensive que Lutz arrête mal: le
ballon vient à Poulain qui sert M.
Burnel, lequel réussit le panier.
Plaisance 4; Mulhouse 0.
Mulhouse est maintenant en pleine
action et sur une faute de Buffier, F.
Rudler ouvre la marque pour son
équipe. Les arrières de Mulhouse se
dépensent avec ardeur: sur une passe
précise de Tondeur, A. Rudler, démar-
qué, réussit un panier.
Plaisance 4; Mulhouse 3.
Bailleul lance M. Burnel de qui une
jolie combinaison avec R. Burnel et
Poulain, est couronnée de succès.
Plaisance 6; Mulhouse 3.
Le jeu est égal : les deux équipes
effectuent une série d'offensives sa-
vantes et d'une technique remarqua
ble. Les passes se succèdent avec rapi-
dité et le ballon, saisi par Tondeur,
est envoyé de loin dans les filets mul-
houstens.
Plaisance 6; Mulhouse 5.
Phillip, en bonne position, marqce
à son tour et les Mulhousiens pren-
nent la direction du jeu. Les Pari-
siens restent un peu décontenancés
devant cette apdeur et ne peuvent em-
pêcher A. Rudler, puis Lutz de mar-
quer.
Mulhouse 11; Plaisance 6.
Une action personnelle de F. Rud-
ler, ajoute deux points à la marque
des Alsaciens. Cet exploit est réitéré
peu après par A. Rudler, habilement
démarqué.
Mulhouse 15; Plaisance 6.
Les joueurs de Plaisance, sentent
l'utilité de faire un effort : ils repar-
tent à l'attaque, avec ardeur, et sur-
prennent leurs adversaires par des
mouvements offensifs parfaits. Roger
Burnel fait merveille : cependant c'est
Lutz qui marque encore un coup
franc. Puis, successivement Buffier
(un coup franc), puis Poulain (un
but), puis Burnel (un coup franc).
puis M. Burnel (deux buts) comblent
leur handicap.
Mulhouse 16; Plaisance 14.
Tondeur, reçoit une passe de Lutz et
réussit un joli panier. Un coup franc
réussi par un joueur de Plaisance,
marque la fin de la mi-temps, qui est
sifflée sur le score suivant :
Mulhouse 18: Plaisance 15. .
La deuxième m-temps
Des la remise en jeu, les Mulhou-
siens prennent nettement la direction
de la partie. Leurs attaques sont
mieux conduites et leur adresse est
plUb 61 anllc. -l. t-riplctte offensive est
très cohésive et les lignes arrière sont
d'une sûreté extraordinaire. Le jeu de
Plaisance est plus fin, certes, mais
beaucoup moins efficace.
L'arbitre accorde ' un coup franc à
Bailleul qui le réussit : mais, pour
avoir marché sur la ligne de répara-
tion, le but est refusé et le ballon re-
mis au centre. A. Rudler a mainte-
nant l'avantage continuel à l'engage-
Antoine HJUiDLEflEl
du Foyer de Mulhtmte
ment, fet son frère reprend toujours:
sur une touche faite par Tondeur A.
Rudler marque et son frère en fait
autant.
Mulhouse 22; Plaisance 15.
Roger Burnel intercepte une passe
de Tondeur à Fè Rudler, sert Poulain
qui réussit le but.
Mulhouse 22; Plaisance 17.
Les arrières de Plaisance sont fort
à l'ouvrage, mais s'en tirent avec sa-
tisfaction : le ballon est reçu par Ton-
deur qui, du milieu du terrain, shoote
et réussit le panier.
Mulhouse 25; Plaisance 19.
C'est ensuite un coup franc rentré
par F. Rudler. Puis Plaisance repart
et ses offensives trompent la défense
adverse. Plusieurs maladresses empê-
chent ces attaques d'être couronnées
de succès, mais enfin. M. Buriiel sous
ses paniers, réussit un but.
Mulhouse 25; Plaisance 19.
Il y a dix minutes que le jeu est re-
pris. Mulhouse repart de plus belle,
et pendant quelques minutes les
joueurs parisiens ne « voient a plus
le ballon. C'est F. Rudler qui réalise
Mulhouse 27; Plaisance 19.
Les joueurs de Plaisance ne procè-
dent plus que par échappées : ils ont
perdu leur cohésion et leurs passes
manquent de précision. Ils montrent
une grande nervosité et leurs shots
sont inefficaces.
Néanmoins, M. Burnel marque; mais
F. Rfidler réplique immédiatement,
suivi par Tondeur qui transforme un
coup franc.
Mulhouse 30; Plaisance ^1.
Mulhouse, dès lors, ferme un peu le
jeu pour maintenir, sans risque, son
avance. Les joueurs de Plaisance font
un ultime effort. Ils bousculent leurs
adversaires, mais sont arrêtés S01]S
leurs paniers par tous les Mulhou-
siens. Ces derniers mettent souvent en
touche et gagnent du temps.
Un coup franc est réussi par M.
Burnel.
Mulhouse 30; Plaisance 22.
Les joueurs parisiens joueat le tout
pour le tout. Ils bombardent leurs po-
teaux, de tous les angles du terrain ■
malheureusement leurs essais restent
sans résultats. On a cependant l'im-
pression qu'ils peuvent remonter leur
handicap; mais leur maladresse est
désespérante, même en des occasions
particulièrement bonnes.
Les Mulhousiens, n'attaquent plus,
sûrs de leur victoire.
Il reste quelques secondes à jouer,
quand Roger Burnel, qui se dépense
sans compter et, avec à-propos, rentre
un dernier but.
La fin est sifflée : le Foyer Alsacien
de Mulhouse est encore champion de
France, battant, pour la troisième
fois consécutive, le C.S. Plaisance, par
30 points à 24. a
POUR LA 3e PLACE
Excelsior Roubaix bat Bon Conseil
par 38 à 23
Dès le coup d'envoi, le jeu est très
rapide et le ballon va de mains en
mains, sans toutefois trouver le che-
min des paniers. Les Nordistes jouent
selon leur habitude, très sèchement,
mais avec correction ; les Parisiens
jouent finement et prennent leurs ad-
versaires en défaut.
C'est Breishof1 qui ouvre la marque,
mais Vérité égalise. Les Nordistes
commencent à abuser de leurs forces :
Peiskens se voit infliger une faute per-
sonnelle. Le jeu est de ce fait heurté
et sans agrément. Après dix minutes de
jeu, noubaix mène par 9 points à 7.
Breishoff se montre sous son meil-
leur jour, mais « oouscuie » un peu
trop ses adversaires; néanmoins il elis-
tribue le jeu à ses coequipieis avec
bonheur et les Parisiens sont pris net-
tement de vitesse. Ils ne peuvent résis-
ter aux assauts nordistes et d'ailleurs
ne mettent point dans leurs attaques
une grande ardeur.
La mi-temps est sifflée sur l'avan-
tage de Roubaix, qui mène de 23 nomts
à 13.
La seconde mi-temps débute encore
à l'avantage des, Roubaisiens, dont
Breishoff et surtout Peskens, recom-
mencent à exagérer la dureté de jeu.
Duponchel et Lequen, au contraire, se
montrent plus fins. L'équipe du Bon
Conseil ne réagit plus ; elle semble
lasse de se « cogner 1) aux durs l\OJ
distes.
Par deux fois Peskens et Breishoff
se font infliger encore une faute per-
sonnelle. Beaufumé est sujet à la même
peine.
La fin est saluée de nombreux cris,
avec très peu d'applaudissements. Le
match n'a vraiment pas été joli à voir.
— Maurice Capelle.
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TENNIS
Van Ryn et Lott
se sont entraînes, hier
à Roland-Garros
Nous les avons retrouvés, hier, toujours
pareils, pleins de santé et de bonne humeur,
tapant sur la balle à tour de bras devant
un petit cercle d'admirateurs discrets, au
Stade Roland-Garros. Arrivés la veille ils
n'avaient pas attendu l'après-midi pour « se
remettre » à leur exercice favori, et se sont
entraînés déjà, le matin.
En dehors des compétences, peu de monde
dans la vaste arène. Une quarantaine de
« resquilleurs » tout au plus, le front collé
aux grilles d'accès, certains même ayant
franchi sous des prétextes divers les fragiles
barrages moralement établis par Redels-
perger.
Nos deux « as Il yankees ? Toujours pa-
reils, avec cette différence toutefois que
dans le sillage de Van Ryn on verra dé-
sormais naviguer sa jeune femme, mince,
blonde, élégante, championne elle aussi...
Van Ryn a très légèrement maigri, semble-
t-il; il , semble néanmoins en parfaite condi-
tion physique : coup droit bien au point,
contre-pieds merveilleusement ajustés, jeu de
jambes splendide. Mais trop de double-fau-
tes, ce qui s'explique, et une volée haute bien
irrégulière pour le moment.
Quant à Lott, il est demeuré le prototype
du petit matelot américain rigolard et bas
sur pattes. Il est toujours aussi rouge de
figure et continue de porter en trompette
son nez, lequel est encore un tout petit peu
plus vermeil que le reste de sa figure. Tra-
vaille toujours en chops, bonnes volées, mais
balles en général à trajectoire trop tendue,
encore. Jeu extra-coupé, comme d'habitude,
mais réfléchi, calculé, entrecoupé d'excla-
mations gutturales à chaque balle fou-
droyante de Van Ryn :
« Hey !... Get out !... x
Les deux nouvelles recrues de l'Interna-
tional Club de France s'entraîneront ce ma-
tin à 10 h. 30. Et, on ira. lA" arm] an /lit. an
foule.
— M. L.
LE CHAMPIONNAT DE FRANCE
PAR EQUIPES
Le Stade Français bat S.A.
de la Villa Primrose
BORDEAUX, 10 mat, — favorisée par le beau
temps, la rencontre des équipes du Stadê ï^rançaii
et de la S.A. Villa Primrosè, pour le deuxième tour
du Championnat de Fja.nce interclubs, a donné les
résultats suivants :
Martin Legeay (SF) b. J. Samazeuilh (SAVP),
6-4, 6-1; M&gaJoif (SF) b. R. Journu (SAVP), 7-5,
3-0; Roger Bourguignon (SAVP) b. D Laurent
(SIF) , 8-6, 10-8; P. Joba (S)F) b. Louis Manhès
(SAVP), 6-2, 6-1; M. GuiHemot (SF) b. P. Cheval-
lier (SAVP), 8-6, 7-9, 6-1; Paul Lelaye (SAVP) b.
L. Deslage (SFI, 8-6, 6-4.
Double. — J Ssam«iw»uilh-Danîel Lawton (SA
VP) b. Martin Legeay-Desloge (&F), 2-6, 8-6, 6-2;
P. Jcrurnu-P. Bourguignon (SAVP) b. D. Laurent-
Ma.ga.)
Classement; Stade Fra.nca.ie bat S.A. de la VillA
Primrose, par 6 victoires à 4. — O. B.
T.C. de Paris bat Stade Nantais
NAr." ., lu mai. — A-njouM hui a est joué Ie
dernier m&b* de oatte reaooiubre. Glaser (TO
P(\l,is¡ bat Henri Roy (Stade Nantais, 1-6, 6-2,
donnait ainsi la victoire au T.C. de Puis pu
5 victoires à 4 au Stade Nantais.
LES EQUIPES FRANÇAISES
DE DOUBLE
Nous apprenons que la F.F. de L.T. vient de
former les équipes de double messieurs qui rrti-
ci-peront aux championnats internationaux de
France et ou toarnoi®de Wimbledon. Parmi oelles-
ci, nous POUvons citer celles de : Henri Cochet;.
Jacques Brugnon; Jean Borotr&,Ch, Boussus; R.
de Buzelet-Lesueur
LE CHAMPIONNAT DE FRANCE
PAR EQUIPES FEMININES
Le T.C. de Paris bat T.C. de Rouen
Sur les oouts du T.C. de Paris, s'est disputé le
match R>ouen-T..o.p., qui est revenu avec (QcHit6
aux joueuses pari6lenties. Résultats :
Mlle Conquot (TCP) b. Mlle Welly (R.), 6-2, 6-2;
Mlle Belliard (R.) b. Mme KteiM.del (TCP). 6-4,
4-6, 6-3; Mme Golding (TCP) b. Mlle Odier (R.),
6-3, 6-0; Mme Vansaard (TOP) b. Mlle Valpler
(R.), 6-1, 6-0; Mme Meunier (TOP) b. Mme Marc
(R.), 6-0, 6-0; Mme Oàron-Culbert (TCP) b. Mme
de Ma-cé (R.), 6-0. 6-1.
EN ANGLETERRE
A WTRXjINGJîAM. — Voici les résultats des
finale$ du tournoi de Hu.rMngha.rn :
S>i
11-9, 6-4.
A OXFOP.D. — Vbici les résultats des finales du
tournoi d'Oxlord :
Simple messieurs. — OHM .b. Dhaada, 6-3, 6%
Simple dames. — Misa Webb b. Miss De Annan
6-3, 7-5. — F.
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L'Ecole Coloniale s'adjuge
le Challenge des Grandes Ecoles,
Une intéressante réunion s'est déroulée hier, élU
iLyoée Buifon, à I'Wcaaioii des épreutes du ChaI.
lenge des Grandes Ecoles.
La victoire revint à l'équLPe des épéistes de
l'Ecole Coloniale. Les brillants élèves du maître
Hazott,e remportèirent 9 victoires; l'éqiiipe de
l'Ecole Polytechnique prit la deuxième place avec i
7 victoires. 3. ex-sequo : Ecole dô Sainit-Cyr et {
Ecole des Mines; 5. Ecole Centrale. j
L'Ecole Coloniale devient détentrice poutr un an.
de l'oibjet d'art oifert par M. Levesque. M. Trois- j
gros présidait cette séance.
Challenge Henri Gaillard
Hier matin e été disputé, dans le préa t1 de
l'école de garçons, 4, rue Decaînps (16e), le Chal-
lenge Henri Ciillard, challenge d'é¡:¡
nisé par l'Amicale Edouard Petit, Sous le haut
patronage de M. fleuri Gaillard, le conseiller mu-
nicipal du quartier Datiphine. Résultats :
Premier prix : Amicale Sambre-et-Meuse (11 t.);
2* prix ; Amicale Prisse d'Armes (9 v.) ; 3" prix :
Amicale Ed. Petit. (7 viot.).
Hors challenge (Prix des telles Armes) : Le-
gendre (A.E.P).
La Poule d'Honneur
de l'Académie de l'Enée
Disputée hier ma.tin à l'Ecole Ste-Ma.rie, cette
épreuve a donné les résultats suivants : 1. Per-
drizet (Gardèce), 8 viet. (après barrage); 2. De-
jeaux (Gardère), 3 v. (après barrage); 3. ex-aequo :
Barbie,- (ASPP), 7 v., et Boucher (Hoohe), 7 v.;
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(Printemps), 5 v., et Lieut. Fauré (Joinville), 5 v. ;
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Avant les Championnats internationaux de France
(à partir du 16 mai, au stade Roland-Garros)
Les tribunes du stade Roland-Garros
. Voici le prix des places pour les Championnats internationaux de Exauce de tennis,
qui commenceront le 16 mai et dureront quinze jours consécutifs ! _
Abonnements (nour les auinze journées)
Loges de côté ou de face (tribunes B ou O). La place... 800 fr.
F auteuils (tribunes B ou C). La place Î.J/
Places (tribunes B) La ...................... ...... 400 "•
L'abonnement aux places numérotées pour toute la durée de la. compétition est ou.
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Places numérotées : natoirea 30, 31 mai
Loges de côté ou de face (tribunes B ou C) ^ ' 10 fr.
Fauteuils (tribunes B ou C) £0 jr* 80 fr.
Places (tribunes A B, aveo dossiers) 30 fr. 50 il'.
Places non numérotées :
Places (gradins B C) - 20 fr. 40 fr.
Places (gradins A D) » 15 fr. 25 fr.
Places, (gradins D debout) ............................ 10 fl'. 15 fr.
La location des places numérotées valables pour la journée seulement sera ouverte
chaque matin de 8 h. 30 à 11 heures, à partir du 17 mai, pour les matches du jour, au
Stade Français, 11, rue Louis-le-Grand, Paris (2'). Les places non numérotées ne peuvent
être prises qu'aux guichets du Stade Roland-Garros. -
HOCKEY
UNE BELLE REUNION, A BERNAY
POUR LES FETES DE L'ASCENSION
L'international R. Piédecoq, du DeauviLle
A.C., dont on sait déjà la belle activité dé-
ployée de tout temps en Normandie, vient
d'organiser à Bernay, pour les fêtes de l'As-
cension, une très belle réunion qui ne man-
quera pas de servir à nouveau la propa-
gande de notre sport en province. Le jour
de l'Ascension, en effet, le Racing Club de
France, champion de France et de Paris en
1930, rencontrera à Bernay le Deauville A.O.
Les deux, équipes, au grand complet, joue-
ront en exhibition pour le lever de rideau
du match de football C.A. Paris-Amiens A.C.,
et cette intéressante rencontre paraît cer-
de sorte, de bénéficier de toute
l'affluence désirable. y
en tous points, une profitable et
intelligente méthode, que de faire bénéfi-
le sport de la crosse de la popularité
déjà solidement établie de son sport frère :
le football association. On a vu, après la
finale de la Coupe de France de football
tout le bénéfice qu'a su en retirer le match
France-Hollande de hockey. Félicitons R. Pié- -
decoq et les organisateurs de Bernay de per-
sévérer dans cette excellente tactique.
L. ROEHRIG, A... NOUMEA
TRAVAILLE POUR LE HOCKEY !
Noue mons reçu des nouvelles de P..oéhT!g, du
P.U.C., lequel séjourne actuellement à Nouméa.
Outre de mirobolante tiJmJbres--poste, dont sont
ornées ses cartes, il nous envoie d'excellentes noti-
velles ainsi que vous allez pouvoir en juger; voici
les principaux passages de ea missive :
NOUMEA, 9 avril, - Me voici à 20.000 kim. de
Paris, d,&ns un pays eupeibe. Au point de vue
climat, la température, ici, eet en otiet merveilleuse.
taie du tennis, de la natation, j'espère pourvoir
former deux équipes de hodkey bientôt.
A , quand le match « équipe de France contre
équipe Nouvelle-Calédonie » ?
Ce serait un beau déplacement en persipect've.
Les équipes de football sont excellentes, je suis
certain qu'il y a. 2 ou 3 individualités qui ne
dépareraient pas l'équipe nationale.
Bien le bonjour amx amas. — L. Roehrig.
EN ESPAGNE
Des sanctions contre Barcelone
"V11, — Fédération Espagnole
de Hockey a décidé, dans sa dernièrè réunion, que
le Valenoia H.C. serait champion d'Espagne.
Nos lecteurs se rappellent que la finale entre
Valencô et Barcelofie, déjà disputée deux fois,
s était , à chaque rencontre, tertoinée par des
résultats nuls, malgré les prolongations réglemen-
tai l'es
Un troisième match devait se jouer le dimanche
3 ni
décidé que le Valencia H.C. se verrait décerner le
titre de champion d'Espagne. En outre, elle a.
annoncé des sanctions contre les dirigeants du
club d6fa.i11ant. — Barbafla.
LE SPORT ET LA FEMME
Mme Diagre remporte les Trois Suorts
Hier, à Joinville, sur les bords de la Marne,
Académie organisait la classique épreuve des Trois
Sports (natation 50 mètres, courbe à pied 500 mètres,
a.virom 700 mètres).
Mme Diagre, alias Mlle Lucie Petit, a triomphé
devant Mlle Sadoux et Mlle Fontaine.
Résultats :
Cla.sse.ment général. — 1. Mme Diagre (SOS Schaer-
beclO. 74 pts 1/2; 2. Sadoux (Fémina), 73 pts 1/2;
3. Fontaine (RiOF), 72 pts; 4. Balensi, 71 pte;
l' G. 1/2; Du Manoir, 68 pts 1/2; 6. PMippon,
V Vr Cochon, 66 pt6 1/2; 8. Sedigmann,
63 pts; 9. Vieimnèt, 61 pts 1/2; 10. Versin, 60 pts.
Classement par clubs. - 1. R.c. France, 9 pts;
2. Ruche Sportive, 20 pts; 3. Fémina Sp., 24 pts;
i. Tdémia, 25 pte.
FOOTBALL
La Coupe d'Encouragement
En finaJe, hder. an stade de Fémina Sport,
Fêtnlna. Sport (2) et lés Cadettes (2), ont lait
match nul, 1 à L
PELOTE BASQUE
La réouverture du Fronton de Paris
Favorisée par un beau temps inattendu,
la réunion d ouverture du Fronton de Paris
avait attiré une assistance moyenne,
Quoique certains joueurs aient encore paru
d'entraînement, les diverses par-
ties disputées présentèrent un attrait suffi-
sant pour intéresser les spectateurs.
Voici les résultats de la réunion :
Championnat de Paris. — A pala, le Ré-
]Ve Stade Basco-Béarnais (Larripe. Asoargota) bat
par 4,0 à 25. pais (Larretgère, Lartigue)
n-uef'- le S.C.U.F., privé d'Elicba.-
gata.y, Montrouge.blessé. re forfait devant la, S.A.
Dnh^i r/1" r£d-R chistera, ,le Racing (Garcia,
S. bat le Réveil Basco-
Béarnais 60 points par
Matches amicaux. — A mains nues, Da-
0,VT?KmeC o?* triomphé d'extrême
justesse d 'Iribarne et Bernaténé par 30 pts
Au grand chistera, Fromont blessé, n'ayant
f", continuer, Magescàs et Beigbeder ont
joué, à deux, contre le trio Chanonier, Pue,
Rœderer. qu ils ont battu par 30 pts à 15.
POIDS & HALTÈRES
Les Lyonnais ont battu les Montmartrois
LYON, 10 mai. - La, finale du Challenge Eugène
•tfagny a été disputée aujourd'hui pan- une forte
équipe lyonnaise et une non moins bonne sélection
de Société AtQrlétique Montmartroise.
Après Une lutte magnifique, les Lyonnais ont
battu les athlètes de Paris en totalisant 1.795 k 500
contre 1.730 kilos.
victoire des Lyonnais a. été obtenue grâce à
louis Hostin et à Dutriève, lesquels ont enlevé
respectivement 425 kilos (75, 100, 110 et 140) et 410
kilos (77,5, 95, 107,5 et 140)
Les poids lourds de la Montmartroise ont été
nettement inférieurs à ieurs adversaires. - Ft6M!!!.
GYMNASTIQUE
L'U.S. Sartrouville a inauguré, hier
son nouveau gymnase
L'U.S. de Sartrouville a donné, hier après-midi,
Sa deuxième fête annuelle et inauguré par la même
occasion son gymnase dont la construction vient
d'être terminée.
Les pupilles et les adultes de la société turent
applaudis dans leur., démonstrations aux agrès Le
gros succès de cette manifestation fut remporté
par les champions André Lemoine et Maurice Les-
tomu eau tous deux anciens champions de Fra nce
des petronages.
La F.G.S.P.F. a diplômé
vingt-deux élèves moniteurs
Hier matin, an gymnase de la Domrémy, la com-
mission technique de la F.G.S.P.F. a fait subir
aux trente-trois élèves moniteurs qui ont suivi ses
coure, J'exemen fimal. Vin.-t-deux candidats furent
reçus
Un' banquet réunissait, à midi, les membres de
la oommission technique de la F.GjS.P.F Sucees-
si,vement MM François Hébmrd, président et
Pierre Bardel, chef de cabinet de M. Emile Mori-
a&ud, sous-seorétaire d'Etat de l'E,P., prirent la
parole et félicitèrent élèves et orofesseuxs.
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Prix des Primevères. — Tan, Flowe-ret.
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Pirix de PépitliVMt. — Genépi, Run A h ead.
Prix de Gargenville. - L'Ointlcnt, Z&ska,
CHEMINS DE FER DE L'EST
Gare de Paris-Est
Rétablissement de 'l'atcès de la me d'Alsace
L'état d'avancement des travaux permet-
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Fête du muguet à Rambouillet
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