Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1881-09-19
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Description : 19 septembre 1881 19 septembre 1881
Description : 1881/09/19. 1881/09/19.
Description : Note : édition de Paris (matin). Note : édition de Paris (matin).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
~tU~NAL DES DÉBATS DU LUNDt i9 SEPTEMBRE i88t.
que jour mieux appréciée. Aussi sa clientèle
Mgmente-t-eIIe.
Sur les Chemins français, ce qu'il y a eu de
plus à remarquer, ce sont les mouvemens
suivans Le Lyon, qui avait faibli de 1,790 fr.
à 1,778 fr.,ade nouveau reconquis et dépassé
le cours de 1,800 fr.; il ferme à 1,830 fr. Le
marché fait actuellement beaucoup plus d'at-
tention à l'augmentation de 7 millions obtenus
sur les recettes de l'ancien réseau qu'à la ca-
tastrophe de Charenton.
C'est aussi par les augmentations montant
déjà à plus de 2,700,000 fr. qu'il faut expli-
quer l'avance nouvelle du Midi de 1,270 fr. à
1,295 fr. Le cours de 1,300 fr. a même été
coté. On est en ce moment à peu près sinon
complètement assuré que l'exercice 1881 se
liquidera dans des conditions encore meil-
leures que l'exercice 1880, dont la liquidation
a permis de rembourser à l'Etat 6 millions
sur les avances à titre de garantie.
Le Nord a avancé de 2,000 fr. à 2,142 fr.
50 c. Les augmentations de recettes qui sont
jusqu'à présent insignifiantes peuvent être
considérées comme absolument étrangères à
cette hausse. On l'attribue à la part qui se-
rait faite aux actionnaires dans la constitu-
tion du capital social de la Compagnie du
tunnel sur la Manche.
L'Orléans, qui avait baissé de 1,380 fr. à
i,368 fr., a repris à 1,380 fr. Les augmenta-
tions de recettes sur l'ancien réseau, qui dé-
passent déjà 2 millions, donnent lieu de pré-
sumer que, pas plus que pour l'exercice 1880,
la Compagnie ne devra, pour 1881, recourir à
la garantie de l'Etat.
L'Est, qui avait faibli de 825 fr. à 816 fr.,
est revenu à 830 fr.; l'Ouest, dont les recettes
de l'ancien réseau laissent un peu à désirer,
reste stationnaire il a fermé à 870 fr. après
878 fr.
Les Chemins étrangers, après avoir un peu
payé tribut à la baisse, finissent tous en
hausse sur leurs cours d'il y a huit jours. Les
mieux partagés à cet égard ont été les Che-
mins espagnols.
Ainsi le Nord de l'Espagne, après avoir re-
culé de 640fr. à 638 fr., s'est relevé à 665 fr. le
Madrid-Saragosse, tombé de 843 fr. 78 c. à 640 fr.,
areprisàa62fr.80c. c.
Les Pprtugais, d'ordinaire stationnaires, ont
passéde660à670fr.
Les Autrichiens ont tour à tour passé de
770 fr. à 758 fr. 75 e. et à 775, et les Lom-
bards/de 338 fr.78c. à330fr.et à341 fr.28c. La
tenue moins bonne de, ces deux dernières va-
leurs cotte semaine doit être cherchée dans les
influences moins favorables qui ont pesé sur
les marchés allemands et notamment sur le
marché de Vienne.
Les valeurs industrielles qui ont fait des
progrès marqués sur leurs cours de la se-
maine précédente sont en petit nombre. II
faut compter en première ligne les Docks de
Marseille qui, après avoir uéchi dé 795 fr. à
748 fr., ont fermé à 770 fr. Il y a quelque
temps on a fait des cours plus élevés.
Les. Omnibus, qui étaient stationnaires en-
tre 1,400 et 1,410 fr., ont avancé à 1,460 fr. Il
est de nouveau question d'une entente pro-
chaine avec la Ville de Paris et de la re-
constitution de la Compagnie dans des con-
ditions qui permettraient d'absorber les deux
Compagnies de tramways parisiens.
Les Actions du canal de Suez, tombées de
Ï.880 fr. à 1,868 fr., ont regagné le cours déjà
plusieurs fois atteint de 1,900 fr. Les parts de
la Société civile, qui avaient baissé de I,160fr.
à 1,180 fr., ont repris à 1,180 fr. Les Teeettes
continuent d'être bonnes et de se présenter
en augmentation considérable sur celles des
périodes correspondantes de 1880.
Les autres valeurs industrielles n'ont, pour
la plupart, guère fait que retrouver leurs
cours d~ la semaine précédente, et parfois
KMTS
NOUVEAU
SYSTÈME DE
<~ïM< ~efaKf@ f Wf~C A 1~ 1~ es 0 uviz
~~M~3~~M~M~p~ JM iM d~ A B~ '.M ~mM" T1U tW Tf ~
Clolire St-Iffonoté, PA ')! '~t~Ot~ MX ,EtY
MtrrMpOBdaneeRapMe «
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ïndtapenaaMe a<)nc Speentatenr*
XFMME tES TOTEMS MS~~M~W~r
f ne tomtez têt nemveMet ayant une Inauence
sur tes valeurs de Bourse.
a* BétoM ïe* ntomvemenM de tMMMM en vote
do préparation.
Be tom le* tyndtcat* fonnea par tes inities
pour pousser une valeur.
H MRMSPONDANCE RAPIDE
ConMentenNnd.estnfitnnatiotmértenBox aar
M* v~emrs ae BpéoaMtton jouissant de la
Ctveurtt pubUc ainsi qne ~~eaxettmetnent* a
eo~dmttt~ht t~ ta positon exacte dm
Btatcttè qu< ne peuvent être connus que par
les personnes en situation d'obtenir des don-
nées s&res puisées aux vraies sources.
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LE SEMtCE 6~TU)T PENDAMT S)X MtS
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Capital V!NGT-C)NQ"M~HONS d. iranew
&<MMptet. –Tartut ctCotMdM VateMM eot&t c/~tte~~ OMMtt.ACttM )L*MOMMÊ A BM)T:
AV~uzjMz~rcj~'PorFjo~coM'MM
ZfAOttAy zy ZA VBSMTK~ B~ Mt< ~tZ~OM
«MM) CM
fmèr~eMi~~h~hhtMeeïrihMt~en~M:
UN FRANC PAR AN
eM e'AMMME SAM* FR*M OAm TOU& t.Ea BUREAUX et MMt
pas tout à fait. Les Magasins-Généraux de
France et d'Algérie sont revenus à 660 fr.,
les Allumettes à 416 fr., les Magasins-Géné-
raux de Paris à 590 fr. le Gaz pari-
sien à 637 fr., les Voitures de Paris à 780 fr.,
les Messageries à8i0 fr., les Transatlanti-
ques à 622 fr. 50 c., le Panama à 817-fr.
50 c.
Le télégraphe de Pans à New-York, qui au
milieu de la baisse générale avait continué
son mouvement, se repose passé de 290 fr. à
320 fr., il a, depuis que le marché est rede-
venu plus calme, de nouveau fléchi à
280 fr.
La Société nationale d'exploitation des mi-
nes, qui se traite en banque, s'y maintient à
630 fr. et 635 fr. On sait que la Compagnie est
'concessionnaire d'exploitations nombreuses
et importantes en France et à l'étranger, et
que les bénéfices du premier exercice, qui n'a
été que de huit mois, permettent de distri-
buer un dividende de 00/0.
Quant aux Fonds d'Etats étrangers, voici
quelles ont été leurs principales variations
La Rente italienne, qui il y a huit jours
finissait en baisse à 89 fr. 70 c., a encore
fléchi à 89 fr: 20 c.~ puis, pendant les deux
dernières Bourses, elle s'est relevée à 90 fr.
Se., report compris.
De tous les Fonds égyptiens, le plus at-
teint a été l'Obligation de la Dette unifiée,
qui a fléchi un moment jusqu'à 370 fr. On a
ensuite repris le cours de 390 fr. Retrouvera-
t-on celui de 400 fr. ? Les ressources recouvrées
par la Caisse de la Dette publique sont déjà
plus que suffisantes pour assurer le paie-
ment des coupons qui viennent à échéance
le la octobre prochain sur la Dette
privilégiée, et le 1~ novembre suivant sur la
Dette uniSée. Les recouvremens qui restent à
opérer du 1°'' septembre au 15 octobre pour
compte de la Dette privilégiée, et du !< sep-
tembre au 1°'' novembre pour compte de la
Dette uninéo, constitueront une disponibilité
dont le gouvernement égyptien et le contrôle
auront à déterminer l'emploi.
Les Fonds turcs/un peu atteints par les
aS'aires d'Egypte, n'ont pas encore tout à fait
retrouvé leurs plus hauts cours de la semaine
précédente: Le 5 0/0, qu'on avait alors porté
au-dessus de 18 fr., reste à 17 fr. 40 c.
Les dernières nouvelles de Constantinople
continuent d'être considérées comme très fa-
vorables à la conclusion d'un arrangement,
également avantageux pour la Porte Otto-
mane et ses créanciers. Il est à désirer que ce
que le télégraphe a annoncé ces jours der-
niers au sujet de l'écartement des questions
relatives à l'indemnité russe et à la dette
flottante se confirme. `
Les Fonds espagnols ont encore faibli, no-
tamment la Rente extérieure qui a fini hier à
26 3/8. On sait qu'à partir du 1~ janvier pro-
chain l'intérêt de 1 0/0 servi sur les Dettes
consolidées doit être augmenté de i/4 0/0, ce
ne pourra être qu'à là condition d'augmen-
ter encore la Dette flottante, puisque, même
avec l'intérêt à 1 0/0, les coupons ne sont
payés à chaque échéance qu'au moyen d'a-
vances faites par la Banque d'Espagne,
Les Fonds austro-hongrois et {es Fonds
russes n'ont éprouvé que des variations sans
importance. Il commence à être de nouveau
question d'emprunt russe.
JUJLES PATQN,
Ntevne eemme~eiate.
B~M~M. L'huite de colza a sensiblement
fléchi depuis le commencement du mois de
septembre. C'était pourtant la hausse qui
devait dominer sur cette époque, puisqu'une
opération de hausse s'était créée en vue de
faire la hausse sur les quatre derniers mois
et Dentiers sans CROCHETS ni RESSORT~, dont
le SUCCÈS a été CONSACRE par !a FACULTE de
MÉDECINE.–4, fae JMBYTM~~ (près l'Opéra)
ORFÈVRERIE GHRÏSTOPLE
D~ a~AM~ OBIM ~~Ma~
~S~L~ôoerné&l'o~we~ay~n~W~ ~KM d6cern6 it rQ4lèveQ4 "8'"
<~ èSHO~S~
IMM r
AR~NTË~ ~UR M~T.
t j HMAROUEpEFABR!!)UË
a nomUMmbtUt-Lb Y~
SEULES GARANTtES POUR L'ACHETEUR
ÎUrtQ Î~.çnnnnn~nn mn~. ~m~ ~T~ T t
t) 1) ~«-M* t~ ~cotKt~c~o,~j ~.tvju~ime~anewe~ E. THEURIER T)îace de là
~31;BONNAtRE,P~Ro.yaI,128;-po~RNIOL,ruedu~ 4~, ~
de 1881, dans lesquels septembre est com-
pris.
Mais tes haussiers n'avaient pas compté
sur un stock de 15 millions de kilos qu'il a
fallu d'abord acheter. D'autre part, les cours
ont: été poussés avec une rapidité qui a com-
plètement arrêté la demande de l'épuration
et provoqué des envois de l'étranger qui,
malgré une médiocre récolte, possède encore
trop de marchandises. Résultat immédiat
augmentation du stock qui, présentement,
dépasse 16 millions de kilos, quand il était,
au 1' août, de 15,994,200 kilos.
La consommation, en présence des prix
élevés, a abandonné l'huile de colza..Elle
s'est reportée sur les huiles auxiliaires très
abondantes partout, telles que lins, ravisons,
chanvres, arachides, etc. Ces huiles sont
a très bon marché et remplissent parfai-
tement le rôle de l'huile de colza. Un autre
concurrent du colza est, sans contredit, le
pétrole, qui entre de plus en plus dans la
consommation et dans le graissage des machi-
nes. Cette matière, quoique tenue en grance
à des prix bien plus élevés que ceux qui sont
pratiqués en Angleterre, en Belgique et en
Allemagne, ne cesse' pas cependant d'avoir
des débouchés chaque jour plus nombreux
pour l'éclairage, le graissage, et l'on s'en sert
même comme combustible pour la cuisine.
Notre importation pour ce produit, pen-
dant les sept premiers mois de l'année, s'est
élevée aux chinres suivans
188t. 1880. ~8~9.
Huiles brutes.Tonnes 43.629 33.9t8 M.950
Ramneesetessences. M. 6.464 9.6SS B.592
Tota.1. 49.M~ 43.460 35.M2
On voit combien l'augmentation est rapide,
puisqu'en deux ans, pour sept mois seule-
ment, elle a atteint 14,000 tonnes, soit 14 mil-
lions de kilos.
Comme nous le disions plus haut, ce n'est
pas en France seulement que l'huile do pé-
tro!e se consomme de p!us en plus les chif-
fres suivans, qui représfntent les exporta-
tions des Etats-Unis du t~ janvier au 12 août,
c'est-à-dire de sept mois et demi, sur l'Europe,
indiquent une progression continue
1870. 94.600000ga.Uons
t87l. 105.200.000
<872. i03.SOO.OOO'~
~873.no.MO.000 sr"
1874. i65.600.000 B
1878. 1S6.000.000 s
1876. 160 000.000 &
i877. 230.300.000 s
1878. 194.000.000
1879. 24t.000.000 &
1880. 2t9.300.000
1881. 302.900.000 ?
(Le gallon vaut 4 litres M centilitres.)
Ces chinres sont éloquens.
Nous devons ajouter que depuis quelques
années la Russie a fait de nombreuses décou-
vertes de sources de pétrole. Les travaux
d'exploitation sont activement poussés, et l'on
estime que, avant peu de temps, la production
russe sutura combler les besoins de l'Eu-
rope, et à des prix que ne pourront atteindre
les Américains.
Du reste, on nous signale également des
sources nouvelles qui sont déjà exploitées en
Allemagne.
On voit par I& que les huiles végétales
employées comme éclairage sont destinées à
disparaître dans un temps plus ou moins pro-
che; car, indépendamment des pétroles, un
jour viendra ou, avec la diminution projetée
du prix du gaz en France, toutes les villes
et beaucoup de maisons utiliseront cette der-
nière matière. `
La position du marché de l'huile de colza
nous paraît donc profondément menacée en
Europe, et particulièrement en France. La
cuttu~o. do )% graine a sensiblement diminué
depuis dix ans, et aujourd'hui c'es( a peine
MRDMTtOM
"f~f"'ML"NJ.tu"!ij"'U)'.t
Depuis 25 ans que les brevets qui ont Mrv! de base à l'industrie que sea!& nous
avons créée, sont tombés dans ledomame pubtic, nous Sommes toujours restés adëles
au principe auqaet nous devons notre succès donner te meHteur traduit au phm bas
prix possible. Aussi, sans nous préoccupe? de la concurrence de prix, qui ne peut
nous être faite qu'au détriment de la qualité, nous avons constamment maintenu ta '`
perfection d& nos produits~ et, tout récemment encore, amélioré leur quaïité.
Pnar éviter toute confusion, nous prions les acheteurs de nos produits, de n'accepter
comme sortant de notre maison, quelque dénomination qu'on teur donne, de quelque
marque qu'ils soient revêtus, que les objets portant !a marque de fabrique ci-contre et
le nomcHRtSTOPt.E en toutes lettres.
fQ t~rlur v ~*)«r m ~v~~f~ ~<- <
F x aMKMtM~Atxe
.y< M~e)* <~M ~M~s~M coM~e/a~)~
JOGmtNNT DC TMBtJNAÏ, CtVIL DE tA SNfttB
DC8~i87B
t.A VEILOUTt~B
~e ~M~~ ~M ~6M~
~P<
C~M~M~
FK< ~~)'Mt~ << ~W~
eMft ~oaM
/)'
C!h. F'r
INVENTEUR
)PM<«, a, Me t~f~. a, )p
si quelques départemens cultivent en colza
une étendue de 128,000 hectares, dont le ren-
dement moyen atteint 1,600,000 quintaux de
graines.
On nous dit que l'opération de hausse sur
place, découragée sur les quatre derniers, re-
porte ses efforts sur les quatre premiers. La
réussite sur les quatre premiers est encore
plus douteuse, attendu que d'ici à fin décem-
bre, le stock aura encore augmenté et que
sur les quatre premiers la consommation se
réduit sensiblement.
RLes cours actuels sont à Paris par 100 kilos:
Quile de colza. Huile de lia.
Septembre. 81 67
Octobre. 81.25 67.N0
Deux derniers. sl.Sd 67.79
Quatre premiers.. 81 67.7S
Au commencement d'août, au moment de la
récolte, les cours étaient pour le colza de
84 fr. 80 c. sur septembre, cotés ce jour 8i fr.;
84 ir. 7S c. sur novembre, aujourd'hui 81 fr.
50 c.; 84 fr. sur quatre premiers, cotéa t6
jour 81 fr.
Dernières ~coMM. Le temps s'est montré
très favorable aux dernières récoltes bette-
raves, pommes de terre, maïs, sarrazins.
On espëre, le beau temps et la chaleur du
jour continuant, unp betterave abondante et
riche, une pomme de terre saine, une bonne
récolte de sarrazin. On aura peu de mats;
cette dernière récolte a été éprouvée dans
tous les pays, en France, en Italie, en Espa-
gne, dans les provinces du Danube et sur-
tout aux Etats-Unis.
Les cours de cet article ont beaucoup
monté, et en raison du peu de marchandises
qu'il y aura cette année à vendre dans les
diSerens pays de production, il n'est pas
probable que la baissa ait lieu de sitôt. La
distillerie, la glucoserie et l'agriculture elle-
môme, qui emploie beaucoup cette céréale,
doivent s'attendre à de hauts prix. `
Les cours du 1" trimestre, à l'EcoLE SUPÉ-
RIEURE DE COMMERCE DE PARIS, commence-
ront le 3 octobre 1881, 102, rue Amelot.
;r,r,
et pose do dents «MM
i.,
BettMCt étMmgèrett.
MNDRM. le i7 sept. Consolides o/o (deux
heures), 99 7/16.
vtENNN, le 17 sept. Chemins de fo~ autri-
chiens, 3S4 Crédit mobilier, 3M 30; Rente
(argent). 77 40; Emprunt 1860, 13050; 1864.
172 Change: sur Paris (à vue), 46 50 (&
trois mois), 46 50; sur Londres (àTrue), 117 85;
(a trois mois), 117 75.
BKMJN. le 17 sept. –41/2 0/0, 105 60.
Boxa:, le 17 sept. 5 0/0 italien. 91 65; Pièce
de 20 fr., 2041 Banque nationale, 1.125
Change sur Paris, 100 22 sur Londres,
M 45 1/2.
MADMD, le 17 sept. ïntériout 9 0/0, 26 15
Extérieur. 27 72 Billets hypothécaires (intét.),
103 50; Bons du Trésor, 103 40. Change: sur
Londres. 48 20 sur Paris, 6 03 1/2.
BMjximuM, le 17 sept.– 41/2 0/0 belge, 104 9N
Obligations méridMaales, 281 !/it. Chtmge ~ur
Paris, 100 17.
Mrw-TOttK, !a 17 sept. Ftmdef! Loan, 1011/8;
1876, 1133/8; 4 0/0 l8'n, U'? New-York-
Oentral, 142 i/2. Change sur Londres, 4 801/a
sur Paris, S 24 3/8.
ootMTMmNWM. ie 17 sept. GonsoMAa turc*
e o/o, 18 57.
JUMTNUtAt. t< 17 SOpt. 2 l/t 0/OPtfTt-Bat.
67 3/4.
MJMT-PÉTBMMCR6, te 16 sept. Emprunt
MMe <864, 227 1866, 221 1873, 130
t874. Actions des chemins russes, 256 3/4;
tmpénates. 7 62 Escompte. S 3/4. Change éuf
Londres, M !/32 sur Paria, a 94 1/4,
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plus MA~AD ES et les plus CARIÉES. Succès consacre par le corps
médical. Raltermissement des dentés ébranlées en une séance.
Obturation après UN SEUL pansement.–4. rue ~NEYERBEER.
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Vf~tetM~ oe néjs~ettmt & t~eht nmtt.
t0
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AMemagne i:2 3/8 & m i/2 <:2 7/ & MX 9/ S*
Vienne. M2 B~e~ne. M9 A SOO 498 1/2 & M9 ~2
MadMd. 498 & 498 1/2 497 t/2 & 498 1/2
Lisbonne.. SSt i/2 & S52 t/2 SSt & 552
St-Pëtersb. 267 & 268 ï6& & 269
New-York.
Vatett)M 'e n~eejh~tt vx~
Londres. 2tm t/2 &M 36. M 30 ~M3!i .40/0
Betsmie.. 1/8 p. & pan- 3/16 & l/i6 B. –i 4/0
Ita~Ure), 1 ~& lT/2 ~3/1~ -40%
Kahe (or).. pair a t/4 b. pair a 1/4 b. -4 0%
SMMO. l~p.&l/4p. t/8P.43/4p.-31~
MATï~~Sp'ORETD'AJt~jKjtT.
Qt tm b~rre. 3 A 6 SocTettthM.ArgNitenbarrje at32 gtai~ tsgz
QnadrapiM ett- BMtEotes. M 30
pag~ Bf 7~ Aig/eind'ë,nl6rh· Z5 30
pagn< M M Aiglet d'Am6~
-(MdolL! 8K!
mexicaima. 8i Douar.
Ottc&ts hou. et GniHaMM {?
~nf~ t..a.. p[~'k8j ~~J
~F.rdin: -?: ?t~
mextc. <67~tlmp6!rMse~ !0?o
c·a; A,
Mo~~tM, ,t ~des a~~6e.s.: ~iy~ il4
TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA SEINE.
BéetaraMoM de MMKex
~«15~
VERTU, boulanger à Versailles, rue Vergenne. 2.
Syndic provisoire, M, Sarazin, rue de Ri-
voli, 39.
2)M 16 ~<
GOCMY. menuisier, boulevard Port-Royal, 80.
S. pr., M~ Gautier, rue Thérèse, 13.
pMAor, tailleur, place Gaitton, iS. S. pr.,
M. Normand, rue des Grands-Augustins, 19.
AMtANoscBt, ancien marchand de vin, rue de
Maubeuge, 16. S. pr., M. Begis, boulevard de
Sëbastopoi.ie.
MGAtnt.. mécanicien, cité Nys, 9. S. pr.,
M. SauvaUe~ rue do la Michodière, 7.
Compagnie française commerciale, agricole et
industrieYie de l'Afrique orientate, rue Saint-
Georges. 50. S. pr., M. Boussard, rue de la
Tâcnerie, .4.
DCBmssoBf, marchand de vin, rue d'Allemagne,
73. S. pr., M. Gautier, rue TMrése, 13.
BCMONT frères, imprimeurs, Faubourg-Saint-
Denis, n. S. pr., M. Gautier, rue Thérèse, 13.
FETTET frères et c', marchands de vin, rue des
Gardes, 32. S. pr., M. Sauvalle, rue de la Mi-
chodiére,?.
–J 'J-
pnHeMn de ta mortaUM
Z~M 9 aM 15 ~~M~fe.
PARIS (population d'après le recensement
de 1876) 1,988,806 habitans.
Décéz Semaine
delasem. pré-
,eouraait~ o~nnte,
comamte. t~aante.
Fièvre typhoïde. 43 41
Typhus.
Variole. 10 il
ROttgeo~ 8 13
Scarlatine. 10 7
Coqueluche. 7 3
Diphtérie, croup. t. 43 36
Choléra épidémique. t
Dysseaterie. i B
Ery&ipèle. 4 6
Infeettons puerpérales. 6 6
Autres affections épidém.
Méningite (tub. et aiguë) 42 43
Phtisie pulmonaire. 182 161
Autres tuberculoses. 8 6
Autres anectionsgéhér.. 79 78
Malformations et débilité
des âges extrêmes. 37 ~s
Bronchite aiguë. 16 Q 1S
Pneumonie. 47 ~o
Diarrhée infantile. 9S 108
Choléra nostras. x <
Autres maladies locales 269 262
Fièvre inQammatoire. a i
infectieuse. e
Epuisement. < 3
Causes non dénnies. 1 6 ·
Morts violentes. a~ ~7
Cttusesmconnues. 6 3
Total des décès. 1)3S 938
jM°" Piart, s< ans, rue d'Aboukir, tSOi.. `
M. Poccard, 4! ans. rue N.-D.-de-Nazareth, 36.
M- Ory. 49 ans, égl. Ste-EUsabeth.
M. Verrier, 44 ans, quai des Celestins, 24.
M, Mortot, 28 ans, rue St-Bon, il.
M. Nicotas, 30 ans, rue des Ecouffes. i0.
M'°* Meulay, S9 ans, rue des Blancs-Manteaux, 3N.
M. Perpereati, 76 ans, tue Moufîetard. 9<.
M°" Delobert, 84 ans, rue de l'Epée-de-Bois, t0.
M°" Renard, 68 ans, rue des Bernardins, 5.
M"' Bertonnet, am, rue St-Jacques, t93.
M"' Hurault, 22 ans, rue Tournefort, H.
M. Didion. 4S ans, rue Mazarine. 29.
M-' Yeuve Cayeux, 79 ans, rue Lamennais, t.
M"' yeuve Hart, 85 ans, égl. de la Trinité.
M, BaiUet, e9 ans, rue Lafayette. 60.
M:Texandier,38an~,rueBaud!B,!2.
M"' Nelson. 24 ans, rue Cail, i3..
M. Hauteleuitte, 49 ans, Faub -St-Oanis, 200.
M. Crochart, 4S ans, fanb.-St-Denis, 200.
M..HAnLE)t
y
H MA~E SE P&B~E
CHR tST&FLC ~e~
tt SHMS6AMMHES ?? t'~HEUB
SPECTACLES DU i9 SEPTEMBRE
Wpér~ 7 h. 3/4. Roben ta Diable.
)frMS*< Œdtpe-Ro!.
~4t*B. Le Menteur, le Médecin malgré lui.
Opér* Cw~atoMB La Bille du régiment, le
PostHlon de Lonjumeau.
ttym~Me. h. i/ï. On demande un gouver-
neur, Brutus !âche César, te Due! de Pierrot.
CMMetet. ? h. Miche! StrogotT.
~!W~«)mo (Historique). h. i/2. Le duc de
Kandos.
<.KM*. -th. 3/
!~<
deBirbansac. 1,/4, Divorçou, la Parole
V
VMMtevtMe. 8 h. t/2. Un Voyage d'agrément,
ïo ChevaHer Baptiste.
BonO'eo-PmrteteM'~ 8 h. La Mascotte.
B~Mtttt)M"* Moucheron!.
Pofte-Satxft-Whn~ta~ Tht i/ï. La Biche. tmx-
bOM.
Anthte*8 h. Les Mouchards.
faMet-~MnMttt~e~. s h" La Fille de.
M°" Angot. Fille de,
M. Heinis, 82 ans, Faub. St-Denis, 200.
M"' veuve Baillot, 82 ans, Faub.-du-Tempie, T?.
M°" Leblond, 59 ans, boul. de Magenta, 33.
M"' Volk, 37 ans, rue Basfroi. 50.
M°" Noé, 41 ans, rue Sedaine, 36.
M"' Renard, 7i ans, rue Bréguet. i3.
M. Qutllont, 4i ans, av. de St-Mandë, i02.
M. Gonny, 22 ans, av. de Choisy, 18.
M. Ricard, 25 ans, rue de Vannes, 82.
M"' Demahu, 30 ans, rue du Commerce. 89.
M°" Garnier, M ans, bout. de Grenelle, i87.
M-°'Gourdon. 57 ans, rue de Lourme!, s:.
M. Bertanx, 72 ans, rue Lauriston, Ha.
M. Pouvrel, 29 ans, av. de St-Ouea. 9.
M. Verdan, 44 ans, av. de Clichy, 99.
M"'Bourbon, 59 ans, rue des Batignolles. 62.
M. Hardel, 85 ans, rue des Batignolles, 33.
M. Testor, 30 ans, rue des Acacias, H.
M. Degeorge. 56 ans, rue Lemercier, t7.
M. Oum, 71 ans. rue du Ruisseau, S6.
M. Loset, 39 ans, rue Feutrier, 84.
M. Sehoux, 60 ans, rue de la Charbonnière, 36.
M. Cohn, 55 ans. 'bout. de La Chapelle, <4.
M°" veuve Sature, 68 ans, av. de St-Ouen, 54.
M. He)y, 56 ans, rue de Meaux, 61.
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que jour mieux appréciée. Aussi sa clientèle
Mgmente-t-eIIe.
Sur les Chemins français, ce qu'il y a eu de
plus à remarquer, ce sont les mouvemens
suivans Le Lyon, qui avait faibli de 1,790 fr.
à 1,778 fr.,ade nouveau reconquis et dépassé
le cours de 1,800 fr.; il ferme à 1,830 fr. Le
marché fait actuellement beaucoup plus d'at-
tention à l'augmentation de 7 millions obtenus
sur les recettes de l'ancien réseau qu'à la ca-
tastrophe de Charenton.
C'est aussi par les augmentations montant
déjà à plus de 2,700,000 fr. qu'il faut expli-
quer l'avance nouvelle du Midi de 1,270 fr. à
1,295 fr. Le cours de 1,300 fr. a même été
coté. On est en ce moment à peu près sinon
complètement assuré que l'exercice 1881 se
liquidera dans des conditions encore meil-
leures que l'exercice 1880, dont la liquidation
a permis de rembourser à l'Etat 6 millions
sur les avances à titre de garantie.
Le Nord a avancé de 2,000 fr. à 2,142 fr.
50 c. Les augmentations de recettes qui sont
jusqu'à présent insignifiantes peuvent être
considérées comme absolument étrangères à
cette hausse. On l'attribue à la part qui se-
rait faite aux actionnaires dans la constitu-
tion du capital social de la Compagnie du
tunnel sur la Manche.
L'Orléans, qui avait baissé de 1,380 fr. à
i,368 fr., a repris à 1,380 fr. Les augmenta-
tions de recettes sur l'ancien réseau, qui dé-
passent déjà 2 millions, donnent lieu de pré-
sumer que, pas plus que pour l'exercice 1880,
la Compagnie ne devra, pour 1881, recourir à
la garantie de l'Etat.
L'Est, qui avait faibli de 825 fr. à 816 fr.,
est revenu à 830 fr.; l'Ouest, dont les recettes
de l'ancien réseau laissent un peu à désirer,
reste stationnaire il a fermé à 870 fr. après
878 fr.
Les Chemins étrangers, après avoir un peu
payé tribut à la baisse, finissent tous en
hausse sur leurs cours d'il y a huit jours. Les
mieux partagés à cet égard ont été les Che-
mins espagnols.
Ainsi le Nord de l'Espagne, après avoir re-
culé de 640fr. à 638 fr., s'est relevé à 665 fr. le
Madrid-Saragosse, tombé de 843 fr. 78 c. à 640 fr.,
areprisàa62fr.80c. c.
Les Pprtugais, d'ordinaire stationnaires, ont
passéde660à670fr.
Les Autrichiens ont tour à tour passé de
770 fr. à 758 fr. 75 e. et à 775, et les Lom-
bards/de 338 fr.78c. à330fr.et à341 fr.28c. La
tenue moins bonne de, ces deux dernières va-
leurs cotte semaine doit être cherchée dans les
influences moins favorables qui ont pesé sur
les marchés allemands et notamment sur le
marché de Vienne.
Les valeurs industrielles qui ont fait des
progrès marqués sur leurs cours de la se-
maine précédente sont en petit nombre. II
faut compter en première ligne les Docks de
Marseille qui, après avoir uéchi dé 795 fr. à
748 fr., ont fermé à 770 fr. Il y a quelque
temps on a fait des cours plus élevés.
Les. Omnibus, qui étaient stationnaires en-
tre 1,400 et 1,410 fr., ont avancé à 1,460 fr. Il
est de nouveau question d'une entente pro-
chaine avec la Ville de Paris et de la re-
constitution de la Compagnie dans des con-
ditions qui permettraient d'absorber les deux
Compagnies de tramways parisiens.
Les Actions du canal de Suez, tombées de
Ï.880 fr. à 1,868 fr., ont regagné le cours déjà
plusieurs fois atteint de 1,900 fr. Les parts de
la Société civile, qui avaient baissé de I,160fr.
à 1,180 fr., ont repris à 1,180 fr. Les Teeettes
continuent d'être bonnes et de se présenter
en augmentation considérable sur celles des
périodes correspondantes de 1880.
Les autres valeurs industrielles n'ont, pour
la plupart, guère fait que retrouver leurs
cours d~ la semaine précédente, et parfois
KMTS
NOUVEAU
SYSTÈME DE
<~ïM< ~efaKf@ f Wf~C A 1~ 1~ es 0 uviz
~~M~3~~M~M~p~ JM iM d~ A B~ '.M ~mM" T1U tW Tf ~
Clolire St-Iffonoté, PA ')! '~t~Ot~ MX ,EtY
MtrrMpOBdaneeRapMe «
~/c~~ 23
ïndtapenaaMe a<)nc Speentatenr*
XFMME tES TOTEMS MS~~M~W~r
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ConMentenNnd.estnfitnnatiotmértenBox aar
M* v~emrs ae BpéoaMtton jouissant de la
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<0,rBe Notre-DMe-dM-VMttu-es, PbM de bBMne, Ptrh
h Jma) ïir~es naadMS
(11* Année)
~AMS-J~&w~~e&eBM~AMt
MOM/FT~OfM
MC!ËTÉ FRAMÇA~E FMAMC!ËBB
(reniri W eaW )
Capital V!NGT-C)NQ"M~HONS d. iranew
&<
AV~uzjMz~rcj~'PorFjo~coM'MM
ZfAOttAy zy ZA VBSMTK~ B~ Mt< ~tZ~OM
«MM) CM
fmèr~eMi~~h~hhtMeeïrihMt~en~M:
UN FRANC PAR AN
eM e'AMMME SAM* FR*M OAm TOU& t.Ea BUREAUX et MMt
pas tout à fait. Les Magasins-Généraux de
France et d'Algérie sont revenus à 660 fr.,
les Allumettes à 416 fr., les Magasins-Géné-
raux de Paris à 590 fr. le Gaz pari-
sien à 637 fr., les Voitures de Paris à 780 fr.,
les Messageries à8i0 fr., les Transatlanti-
ques à 622 fr. 50 c., le Panama à 817-fr.
50 c.
Le télégraphe de Pans à New-York, qui au
milieu de la baisse générale avait continué
son mouvement, se repose passé de 290 fr. à
320 fr., il a, depuis que le marché est rede-
venu plus calme, de nouveau fléchi à
280 fr.
La Société nationale d'exploitation des mi-
nes, qui se traite en banque, s'y maintient à
630 fr. et 635 fr. On sait que la Compagnie est
'concessionnaire d'exploitations nombreuses
et importantes en France et à l'étranger, et
que les bénéfices du premier exercice, qui n'a
été que de huit mois, permettent de distri-
buer un dividende de 00/0.
Quant aux Fonds d'Etats étrangers, voici
quelles ont été leurs principales variations
La Rente italienne, qui il y a huit jours
finissait en baisse à 89 fr. 70 c., a encore
fléchi à 89 fr: 20 c.~ puis, pendant les deux
dernières Bourses, elle s'est relevée à 90 fr.
Se., report compris.
De tous les Fonds égyptiens, le plus at-
teint a été l'Obligation de la Dette unifiée,
qui a fléchi un moment jusqu'à 370 fr. On a
ensuite repris le cours de 390 fr. Retrouvera-
t-on celui de 400 fr. ? Les ressources recouvrées
par la Caisse de la Dette publique sont déjà
plus que suffisantes pour assurer le paie-
ment des coupons qui viennent à échéance
le la octobre prochain sur la Dette
privilégiée, et le 1~ novembre suivant sur la
Dette uniSée. Les recouvremens qui restent à
opérer du 1°'' septembre au 15 octobre pour
compte de la Dette privilégiée, et du !< sep-
tembre au 1°'' novembre pour compte de la
Dette uninéo, constitueront une disponibilité
dont le gouvernement égyptien et le contrôle
auront à déterminer l'emploi.
Les Fonds turcs/un peu atteints par les
aS'aires d'Egypte, n'ont pas encore tout à fait
retrouvé leurs plus hauts cours de la semaine
précédente: Le 5 0/0, qu'on avait alors porté
au-dessus de 18 fr., reste à 17 fr. 40 c.
Les dernières nouvelles de Constantinople
continuent d'être considérées comme très fa-
vorables à la conclusion d'un arrangement,
également avantageux pour la Porte Otto-
mane et ses créanciers. Il est à désirer que ce
que le télégraphe a annoncé ces jours der-
niers au sujet de l'écartement des questions
relatives à l'indemnité russe et à la dette
flottante se confirme. `
Les Fonds espagnols ont encore faibli, no-
tamment la Rente extérieure qui a fini hier à
26 3/8. On sait qu'à partir du 1~ janvier pro-
chain l'intérêt de 1 0/0 servi sur les Dettes
consolidées doit être augmenté de i/4 0/0, ce
ne pourra être qu'à là condition d'augmen-
ter encore la Dette flottante, puisque, même
avec l'intérêt à 1 0/0, les coupons ne sont
payés à chaque échéance qu'au moyen d'a-
vances faites par la Banque d'Espagne,
Les Fonds austro-hongrois et {es Fonds
russes n'ont éprouvé que des variations sans
importance. Il commence à être de nouveau
question d'emprunt russe.
JUJLES PATQN,
Ntevne eemme~eiate.
B~M~M. L'huite de colza a sensiblement
fléchi depuis le commencement du mois de
septembre. C'était pourtant la hausse qui
devait dominer sur cette époque, puisqu'une
opération de hausse s'était créée en vue de
faire la hausse sur les quatre derniers mois
et Dentiers sans CROCHETS ni RESSORT~, dont
le SUCCÈS a été CONSACRE par !a FACULTE de
MÉDECINE.–4, fae JMBYTM~~ (près l'Opéra)
ORFÈVRERIE GHRÏSTOPLE
D~ a~AM~ OBIM ~~Ma~
~S~L~ôoerné&l'o~we~ay~n~W~ ~KM d6cern6 it rQ4lèveQ4 "8'"
<~ èSHO~S~
IMM r
AR~NTË~ ~UR M~T.
t j HMAROUEpEFABR!!)UË
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ÎUrtQ Î~.çnnnnn~nn mn~. ~m~ ~T~ T t
t) 1) ~«-M* t~ ~cotKt~c~o,~j ~.tvju~ime~anewe~ E. THEURIER T)îace de là
~31;BONNAtRE,P~Ro.yaI,128;-po~RNIOL,ruedu~ 4~, ~
de 1881, dans lesquels septembre est com-
pris.
Mais tes haussiers n'avaient pas compté
sur un stock de 15 millions de kilos qu'il a
fallu d'abord acheter. D'autre part, les cours
ont: été poussés avec une rapidité qui a com-
plètement arrêté la demande de l'épuration
et provoqué des envois de l'étranger qui,
malgré une médiocre récolte, possède encore
trop de marchandises. Résultat immédiat
augmentation du stock qui, présentement,
dépasse 16 millions de kilos, quand il était,
au 1' août, de 15,994,200 kilos.
La consommation, en présence des prix
élevés, a abandonné l'huile de colza..Elle
s'est reportée sur les huiles auxiliaires très
abondantes partout, telles que lins, ravisons,
chanvres, arachides, etc. Ces huiles sont
a très bon marché et remplissent parfai-
tement le rôle de l'huile de colza. Un autre
concurrent du colza est, sans contredit, le
pétrole, qui entre de plus en plus dans la
consommation et dans le graissage des machi-
nes. Cette matière, quoique tenue en grance
à des prix bien plus élevés que ceux qui sont
pratiqués en Angleterre, en Belgique et en
Allemagne, ne cesse' pas cependant d'avoir
des débouchés chaque jour plus nombreux
pour l'éclairage, le graissage, et l'on s'en sert
même comme combustible pour la cuisine.
Notre importation pour ce produit, pen-
dant les sept premiers mois de l'année, s'est
élevée aux chinres suivans
188t. 1880. ~8~9.
Huiles brutes.Tonnes 43.629 33.9t8 M.950
Ramneesetessences. M. 6.464 9.6SS B.592
Tota.1. 49.M~ 43.460 35.M2
On voit combien l'augmentation est rapide,
puisqu'en deux ans, pour sept mois seule-
ment, elle a atteint 14,000 tonnes, soit 14 mil-
lions de kilos.
Comme nous le disions plus haut, ce n'est
pas en France seulement que l'huile do pé-
tro!e se consomme de p!us en plus les chif-
fres suivans, qui représfntent les exporta-
tions des Etats-Unis du t~ janvier au 12 août,
c'est-à-dire de sept mois et demi, sur l'Europe,
indiquent une progression continue
1870. 94.600000ga.Uons
t87l. 105.200.000
<872. i03.SOO.OOO'~
~873.no.MO.000 sr"
1874. i65.600.000 B
1878. 1S6.000.000 s
1876. 160 000.000 &
i877. 230.300.000 s
1878. 194.000.000
1879. 24t.000.000 &
1880. 2t9.300.000
1881. 302.900.000 ?
(Le gallon vaut 4 litres M centilitres.)
Ces chinres sont éloquens.
Nous devons ajouter que depuis quelques
années la Russie a fait de nombreuses décou-
vertes de sources de pétrole. Les travaux
d'exploitation sont activement poussés, et l'on
estime que, avant peu de temps, la production
russe sutura combler les besoins de l'Eu-
rope, et à des prix que ne pourront atteindre
les Américains.
Du reste, on nous signale également des
sources nouvelles qui sont déjà exploitées en
Allemagne.
On voit par I& que les huiles végétales
employées comme éclairage sont destinées à
disparaître dans un temps plus ou moins pro-
che; car, indépendamment des pétroles, un
jour viendra ou, avec la diminution projetée
du prix du gaz en France, toutes les villes
et beaucoup de maisons utiliseront cette der-
nière matière. `
La position du marché de l'huile de colza
nous paraît donc profondément menacée en
Europe, et particulièrement en France. La
cuttu~o. do )% graine a sensiblement diminué
depuis dix ans, et aujourd'hui c'es( a peine
MRDMTtOM
"f~f"'ML"NJ.tu"!ij"'U)'.t
Depuis 25 ans que les brevets qui ont Mrv! de base à l'industrie que sea!& nous
avons créée, sont tombés dans ledomame pubtic, nous Sommes toujours restés adëles
au principe auqaet nous devons notre succès donner te meHteur traduit au phm bas
prix possible. Aussi, sans nous préoccupe? de la concurrence de prix, qui ne peut
nous être faite qu'au détriment de la qualité, nous avons constamment maintenu ta '`
perfection d& nos produits~ et, tout récemment encore, amélioré leur quaïité.
Pnar éviter toute confusion, nous prions les acheteurs de nos produits, de n'accepter
comme sortant de notre maison, quelque dénomination qu'on teur donne, de quelque
marque qu'ils soient revêtus, que les objets portant !a marque de fabrique ci-contre et
le nomcHRtSTOPt.E en toutes lettres.
fQ t~rlur v ~*)«r m ~v~~f~ ~<- <
F x aMKMtM~Atxe
.y< M~e)* <~M ~M~s~M coM~e/a~)~
JOGmtNNT DC TMBtJNAÏ, CtVIL DE tA SNfttB
DC8~i87B
t.A VEILOUTt~B
~e ~M~~ ~M ~6M~
~P<
C
FK< ~~)'Mt~ << ~W~
eMft ~oaM
/)'
C!h. F'r
INVENTEUR
)PM<«, a, Me t~f~. a, )p
si quelques départemens cultivent en colza
une étendue de 128,000 hectares, dont le ren-
dement moyen atteint 1,600,000 quintaux de
graines.
On nous dit que l'opération de hausse sur
place, découragée sur les quatre derniers, re-
porte ses efforts sur les quatre premiers. La
réussite sur les quatre premiers est encore
plus douteuse, attendu que d'ici à fin décem-
bre, le stock aura encore augmenté et que
sur les quatre premiers la consommation se
réduit sensiblement.
RLes cours actuels sont à Paris par 100 kilos:
Quile de colza. Huile de lia.
Septembre. 81 67
Octobre. 81.25 67.N0
Deux derniers. sl.Sd 67.79
Quatre premiers.. 81 67.7S
Au commencement d'août, au moment de la
récolte, les cours étaient pour le colza de
84 fr. 80 c. sur septembre, cotés ce jour 8i fr.;
84 ir. 7S c. sur novembre, aujourd'hui 81 fr.
50 c.; 84 fr. sur quatre premiers, cotéa t6
jour 81 fr.
Dernières ~coMM. Le temps s'est montré
très favorable aux dernières récoltes bette-
raves, pommes de terre, maïs, sarrazins.
On espëre, le beau temps et la chaleur du
jour continuant, unp betterave abondante et
riche, une pomme de terre saine, une bonne
récolte de sarrazin. On aura peu de mats;
cette dernière récolte a été éprouvée dans
tous les pays, en France, en Italie, en Espa-
gne, dans les provinces du Danube et sur-
tout aux Etats-Unis.
Les cours de cet article ont beaucoup
monté, et en raison du peu de marchandises
qu'il y aura cette année à vendre dans les
diSerens pays de production, il n'est pas
probable que la baissa ait lieu de sitôt. La
distillerie, la glucoserie et l'agriculture elle-
môme, qui emploie beaucoup cette céréale,
doivent s'attendre à de hauts prix. `
Les cours du 1" trimestre, à l'EcoLE SUPÉ-
RIEURE DE COMMERCE DE PARIS, commence-
ront le 3 octobre 1881, 102, rue Amelot.
;r,r,
i.,
BettMCt étMmgèrett.
MNDRM. le i7 sept. Consolides o/o (deux
heures), 99 7/16.
vtENNN, le 17 sept. Chemins de fo~ autri-
chiens, 3S4 Crédit mobilier, 3M 30; Rente
(argent). 77 40; Emprunt 1860, 13050; 1864.
172 Change: sur Paris (à vue), 46 50 (&
trois mois), 46 50; sur Londres (àTrue), 117 85;
(a trois mois), 117 75.
BKMJN. le 17 sept. –41/2 0/0, 105 60.
Boxa:, le 17 sept. 5 0/0 italien. 91 65; Pièce
de 20 fr., 2041 Banque nationale, 1.125
Change sur Paris, 100 22 sur Londres,
M 45 1/2.
MADMD, le 17 sept. ïntériout 9 0/0, 26 15
Extérieur. 27 72 Billets hypothécaires (intét.),
103 50; Bons du Trésor, 103 40. Change: sur
Londres. 48 20 sur Paris, 6 03 1/2.
BMjximuM, le 17 sept.– 41/2 0/0 belge, 104 9N
Obligations méridMaales, 281 !/it. Chtmge ~ur
Paris, 100 17.
Mrw-TOttK, !a 17 sept. Ftmdef! Loan, 1011/8;
1876, 1133/8; 4 0/0 l8'n, U'? New-York-
Oentral, 142 i/2. Change sur Londres, 4 801/a
sur Paris, S 24 3/8.
ootMTMmNWM. ie 17 sept. GonsoMAa turc*
e o/o, 18 57.
JUMTNUtAt. t< 17 SOpt. 2 l/t 0/OPtfTt-Bat.
67 3/4.
MJMT-PÉTBMMCR6, te 16 sept. Emprunt
MMe <864, 227 1866, 221 1873, 130
t874. Actions des chemins russes, 256 3/4;
tmpénates. 7 62 Escompte. S 3/4. Change éuf
Londres, M !/32 sur Paria, a 94 1/4,
par l'or ADHESIF, nouveau procédé s'appliquant aux dents les
plus MA~AD ES et les plus CARIÉES. Succès consacre par le corps
médical. Raltermissement des dentés ébranlées en une séance.
Obturation après UN SEUL pansement.–4. rue ~NEYERBEER.
CHRISTOPHE et C~. 'q
Vf~tetM~ oe néjs~ettmt & t~eht nmtt.
t0
Amsterd. 206 S/8 t M6 T/8 205 i/8 & 206 3/8
AMemagne i:2 3/8 & m i/2 <:2 7/ & MX 9/ S*
Vienne. M2 B~e~ne. M9 A SOO 498 1/2 & M9 ~2
MadMd. 498 & 498 1/2 497 t/2 & 498 1/2
Lisbonne.. SSt i/2 & S52 t/2 SSt & 552
St-Pëtersb. 267 & 268 ï6& & 269
New-York.
Vatett)M 'e n~eejh~tt vx~
Londres. 2tm t/2 &M 36. M 30 ~M3!i .40/0
Betsmie.. 1/8 p. & pan- 3/16 & l/i6 B. –i 4/0
Ita~Ure), 1 ~& lT/2 ~3/1~ -40%
Kahe (or).. pair a t/4 b. pair a 1/4 b. -4 0%
SMMO. l~p.&l/4p. t/8P.43/4p.-31~
MATï~~Sp'ORETD'AJt~jKjtT.
Qt tm b~rre. 3 A 6 SocTettthM.
QnadrapiM ett- BMtEotes. M 30
pag~ Bf 7~ Aig/eind'ë,nl6rh· Z5 30
pagn< M M Aiglet d'Am6~
-(MdolL! 8K!
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Ottc&ts hou. et GniHaMM {?
~nf~ t..a.. p[~'k8j ~~J
~F.rdin: -?: ?t~
mextc. <67~tlmp6!rMse~ !0?o
c·a; A,
Mo~~tM, ,t ~
TRIBUNAL DE COMMERCE DE LA SEINE.
BéetaraMoM de MMKex
~«15~
VERTU, boulanger à Versailles, rue Vergenne. 2.
Syndic provisoire, M, Sarazin, rue de Ri-
voli, 39.
2)M 16 ~<
GOCMY. menuisier, boulevard Port-Royal, 80.
S. pr., M~ Gautier, rue Thérèse, 13.
pMAor, tailleur, place Gaitton, iS. S. pr.,
M. Normand, rue des Grands-Augustins, 19.
AMtANoscBt, ancien marchand de vin, rue de
Maubeuge, 16. S. pr., M. Begis, boulevard de
Sëbastopoi.ie.
MGAtnt.. mécanicien, cité Nys, 9. S. pr.,
M. SauvaUe~ rue do la Michodière, 7.
Compagnie française commerciale, agricole et
industrieYie de l'Afrique orientate, rue Saint-
Georges. 50. S. pr., M. Boussard, rue de la
Tâcnerie, .4.
DCBmssoBf, marchand de vin, rue d'Allemagne,
73. S. pr., M. Gautier, rue TMrése, 13.
BCMONT frères, imprimeurs, Faubourg-Saint-
Denis, n. S. pr., M. Gautier, rue Thérèse, 13.
FETTET frères et c', marchands de vin, rue des
Gardes, 32. S. pr., M. Sauvalle, rue de la Mi-
chodiére,?.
–J 'J-
pnHeMn de ta mortaUM
Z~M 9 aM 15 ~~M~fe.
PARIS (population d'après le recensement
de 1876) 1,988,806 habitans.
Décéz Semaine
delasem. pré-
,eouraait~ o~nnte,
comamte. t~aante.
Fièvre typhoïde. 43 41
Typhus.
Variole. 10 il
ROttgeo~ 8 13
Scarlatine. 10 7
Coqueluche. 7 3
Diphtérie, croup. t. 43 36
Choléra épidémique. t
Dysseaterie. i B
Ery&ipèle. 4 6
Infeettons puerpérales. 6 6
Autres affections épidém.
Méningite (tub. et aiguë) 42 43
Phtisie pulmonaire. 182 161
Autres tuberculoses. 8 6
Autres anectionsgéhér.. 79 78
Malformations et débilité
des âges extrêmes. 37 ~s
Bronchite aiguë. 16 Q 1S
Pneumonie. 47 ~o
Diarrhée infantile. 9S 108
Choléra nostras. x <
Autres maladies locales 269 262
Fièvre inQammatoire. a i
infectieuse. e
Epuisement. < 3
Causes non dénnies. 1 6 ·
Morts violentes. a~ ~7
Cttusesmconnues. 6 3
Total des décès. 1)3S 938
j
M. Poccard, 4! ans. rue N.-D.-de-Nazareth, 36.
M- Ory. 49 ans, égl. Ste-EUsabeth.
M. Verrier, 44 ans, quai des Celestins, 24.
M, Mortot, 28 ans, rue St-Bon, il.
M. Nicotas, 30 ans, rue des Ecouffes. i0.
M'°* Meulay, S9 ans, rue des Blancs-Manteaux, 3N.
M. Perpereati, 76 ans, tue Moufîetard. 9<.
M°" Delobert, 84 ans, rue de l'Epée-de-Bois, t0.
M°" Renard, 68 ans, rue des Bernardins, 5.
M"' Bertonnet, am, rue St-Jacques, t93.
M"' Hurault, 22 ans, rue Tournefort, H.
M. Didion. 4S ans, rue Mazarine. 29.
M-' Yeuve Cayeux, 79 ans, rue Lamennais, t.
M"' yeuve Hart, 85 ans, égl. de la Trinité.
M, BaiUet, e9 ans, rue Lafayette. 60.
M:Texandier,38an~,rueBaud!B,!2.
M"' Nelson. 24 ans, rue Cail, i3..
M. Hauteleuitte, 49 ans, Faub -St-Oanis, 200.
M. Crochart, 4S ans, fanb.-St-Denis, 200.
M..HAnLE)t
y
H MA~E SE P&B~E
CHR tST&FLC ~e~
tt SHMS6AMMHES ?? t'~HEUB
SPECTACLES DU i9 SEPTEMBRE
Wpér~ 7 h. 3/4. Roben ta Diable.
)frMS*< Œdtpe-Ro!.
~4t*B. Le Menteur, le Médecin malgré lui.
Opér* Cw~atoMB La Bille du régiment, le
PostHlon de Lonjumeau.
ttym~Me. h. i/ï. On demande un gouver-
neur, Brutus !âche César, te Due! de Pierrot.
CMMetet. ? h. Miche! StrogotT.
~!W~«)mo (Historique). h. i/2. Le duc de
Kandos.
<.KM*. -th. 3/
!~<
deBirbansac. 1,/4, Divorçou, la Parole
V
VMMtevtMe. 8 h. t/2. Un Voyage d'agrément,
ïo ChevaHer Baptiste.
BonO'eo-PmrteteM'~ 8 h. La Mascotte.
B~Mtttt)
Pofte-Satxft-Whn~ta~ Tht i/ï. La Biche. tmx-
bOM.
Anthte*8 h. Les Mouchards.
faMet-~MnMttt~e~. s h" La Fille de.
M°" Angot. Fille de,
M. Heinis, 82 ans, Faub. St-Denis, 200.
M"' veuve Baillot, 82 ans, Faub.-du-Tempie, T?.
M°" Leblond, 59 ans, boul. de Magenta, 33.
M"' Volk, 37 ans, rue Basfroi. 50.
M°" Noé, 41 ans, rue Sedaine, 36.
M"' Renard, 7i ans, rue Bréguet. i3.
M. Qutllont, 4i ans, av. de St-Mandë, i02.
M. Gonny, 22 ans, av. de Choisy, 18.
M. Ricard, 25 ans, rue de Vannes, 82.
M"' Demahu, 30 ans, rue du Commerce. 89.
M°" Garnier, M ans, bout. de Grenelle, i87.
M-°'Gourdon. 57 ans, rue de Lourme!, s:.
M. Bertanx, 72 ans, rue Lauriston, Ha.
M. Pouvrel, 29 ans, av. de St-Ouea. 9.
M. Verdan, 44 ans, av. de Clichy, 99.
M"'Bourbon, 59 ans, rue des Batignolles. 62.
M. Hardel, 85 ans, rue des Batignolles, 33.
M. Testor, 30 ans, rue des Acacias, H.
M. Degeorge. 56 ans, rue Lemercier, t7.
M. Oum, 71 ans. rue du Ruisseau, S6.
M. Loset, 39 ans, rue Feutrier, 84.
M. Sehoux, 60 ans, rue de la Charbonnière, 36.
M. Cohn, 55 ans. 'bout. de La Chapelle, <4.
M°" veuve Sature, 68 ans, av. de St-Ouen, 54.
M. He)y, 56 ans, rue de Meaux, 61.
M. Tremuel, 66 ans, boui, de Charonne, 484.
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yOCK~ ~M~~M~. CO! 20 MM~KMM
&a,f«ede€hà
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[erniore, qui conserYe dans ses caisses les titres
eportés pendant toute la durée du report, et est
esponsaMe des fonds ptaces par eUe en re-
ports.
Toute somme, depuis celte de MM fr., peut
tre déposée à !a C/OMM~e.
Les fonds déposés sont employés en reports
la liquidation qui suit la date du dépôt. Us
ont libres tous les mois.
d'août. w.!Bo
do septembre.. W.~&
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