Presse et revues
4 pages
Titre : Le Conservateur bazadais : journal politique, commercial, agricole et financier
Éditeur : [s.n.] (Bazas)
Date d'édition : 1896-05-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747425t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 09 mai 1896 09 mai 1896
Description : 1896/05/09 (N730). 1896/05/09 (N730).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4578731c
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-12510
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2018
LE CONSERVATEUR B AZ AD AI S — 9 MAI 1896
Palais-Bourbon avait été rejetée par la Cham
bre des Notaires, qui avait cru bon de ne faire
droit à aucune de ses prétentions . Voilà ce
que je sais. Et maintenant que je vous ai vidé
mon sac à nouvelles, que pensez-vous de l’a
venture ?
— Hum! hum! ce que j’en pense... Mais
c’est que voilà un rude échec pour M. Cons
tant. Cette décision partant d'hommes aussi
compétents, aussi éclairés que ceux qui com
posaient la Chambre des Notaires, mettant à
néant les accusations formulées par notre dé
puté, mais c’est la condamnation de ce der
nier, et je comprends que la solution donnée
à sa plainte l’ait rendu tout penaud et peut-
être mis fort en colère. Et à ce sujet, n’avez-
vous pas entendu dire que M. Dutrénit, usant
du même moyen, avait de son côté, pour se
défendre, dénoncé M. Constant au Procureur
général comme étant à la fois avocat et direc
teur-gérant du Glaneur?
— Si, si, je l’avais entendu chuchoter. Et si
la chose est exacte, ce que je crois, M. Cons
tant doit être passablement ennuyé, car j’es
time pour ma part qu’un directeur-gérant de
journal, responsable de tous les articles non
signés parus dans sa feuille, étant en quelque
sorte une tête de turc sur laquelle tout le
monde peut frapper, ne peut prétendre en
même temps à l’état d’avocat, qui désire, d’a
près Loysel, « son homme tout entier. » Aussi
verrai-je avec plaisir une solution donnée à
cette affaire. Mais laissons Messieurs les ré
publicains se dévorer entr’eux, et permettez-
moi une réflexion : Ne pensez-vous pa c s que si
nous autres, conservateurs, nous usions des
moyens employés par ces gens-là, soit pour
arriver au pouvoir, soit pour le conserver
quand ils le possèdent, nous aurions de gran
des chances de succès ?
— Parfaitement, répondis-je à mon ami.
Nous nous séparâmes et je m’en fus tout rê
veur, songeant au grand problème de la fra
ternité universelle. m. r.
Harmonie de Bazas.
L’Harmonie bazadaise s’est réunie ven
dredi dernier, dans la salle Dubois, pour pro
céder à l’élection d’un nouveau chef de
musique, en remplacement du regretté
M. Monbarin.
Au début de la séance, M. le Président a
prononcé quelques paroles à la mémoire du
défunt, puis, après avoir félicité M. Lucien
Berthet, sous-chef de l’Harmonie, de son infa
tigable dévouement, a fait procéder à l’élec
tion du chef.
Le distingué professeur de musique de no
tre ville, M. Emile Lapierre, qui dirige avec
succès depuis deux années la Société chorale,
a été élu à l’unanimité.
Nous adressons au nouveau directeur de
l’Harmonie nos plus vives félicitations, et sou
haitons que cette Société reprenne, sous sa
direction intelligente, sa marche glorieuse
dans la voie du succès.
Élections municipales de Saint-Léger de Balson.
Pour arriver à un résultat certain, les auto
rités municipales de Saint-Léger de Balson
ont eu soin d’éliminer certains électeurs qui
leur paraissaient ne pas partager les senti
ments du Conseil actuel. On pourrait deman
der au Maire de la commune pourquoi cer
tains habitants de l’endroit,, qui ont voté de
puis 1881, et qui encore ont voté au mois de
mars dernier pour l’élection d’un membre,
n’ont pas pu voter pour ces dernières élections ?
Comment se fait-il que certains métayers qui,
au 81 mars dernier, n’avaient que cinq mois
de résidence, aient pu voter, tandis que d’au
tres, qui avaient deux ans de résidence consé
cutive, se sont présentés au scrutin sans qu’il
leur ait été permis de remplir leur devoir de
citoyen ?
Il est regrettable que les électeurs de Saint-
Léger n’aient pas repoussé de la municipalité
ces myrmidons opportunistes, qui prétendent
gouverner la commune avec sagesse et équité,
et qui n’hésitent pas, pour satisfaire leur am
bition personnelle, à frustrer d’honnêtes ci
toyens et à fausser le résultat électif de la
commune par l’admission de suffrages qui ne
pouvaient y figurer. s. F.
Tribunal correctionnel de Bazas.
Le nommé Rouchaleau, de Gazalis, accepté
au début de l’audience comme garde particu
lier, prête serment en cette qualité.
X
Gomme le faisaient prévoir les débats, le
délit de viol reproché au jeune Dupouy, de
Villandraut, s’est terminé parun acquittement.
X
La femme Mensencal, inculpée de vol de
poule, dans la commune de Lartigue, a été
également relaxée sans amende ni dépens.
X
Le nommé Masson, ayant oublié que la
mendicité était interdite dans la Gironde, est
puni pour ce fait d’un emprissonnement de
huit jours.
X
Le nommé Junca, de Saint-Michel de Cas
telnau, est ce qu’on peut appeler un amoureux
pressé. Avec les premiers rayons du prin
temps, son cœur, rempli d’amoureuses efflu
ves, ne demandait qu’à sépancher. L’objet de
ses rêves étant venu à passer, Junca, comme
un papillon sur une rose, voulut conter fleu
rette à Louise Belloc. Les débats nous ont
permis de constater que cette dernière aurait
peu de chance pour l'obtention du prix Mon-
thyon. Mais, peu disposée ce jour-là, elle re
fusa les avances de ce jeune homme auquel
elle fit même des reproches blessants. Si nos
dramaturges modernes avaient écrit cette !
scène, ils n’auraient pas manqué de montrer \
l’amcureux fou de désespoir, se suicidant pour
la cruelle. Mais Junca est plus pratique, et
comme il paraît, d’après la chanson, « que de
se tuer ça vous fait bien mal, » il préféra lais
ser à la méchante le souvenir de sa contra
riété, et lui administra une de ces volées qui
font époque dans la vie des gens.
| Le tribunal exprime son avis à ce sujet en
; condamnant Junca à une amende de 25 fr.
X
I II est des gens qui sont continuellement à
chercher l’esprit au fond de leur verre, mais
généralement l’esprit de vin a de fâcheuses
I conséquences pour les adeptes de Bacchus.
; C’est ainsi qu’un nommé Duthil, de Grignols,
j étant dans un état d’ébriété complet, a frappé
! plusieurs de ses parents.
| Le tribunal, tenant compte de sa situation
et de son repentir, ne le condamne qu’à une
amende de 10 fr.
X
Un meunier du Giron, nommé Mora, ayant
voyagé avec une fausse plaque, est puni d’une
amende de 1 fr.
X
La femme Dufourg, à Uzeste, a un système
tout particulier pour faire sortir les gens de sa
propriété. Un nommé Pujols, qui s’y était
avanturô avec sa charrette, a été pris d’assaut
par cette furie, qui la bourré de coups. Cet ex
cès de vivacité est puni par le tribunal d’une
amende de 16 fr.
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Fête de la Basoche.
Au cours de la réunion de jeudi, la fête an
nuelle de MxM. de la Basoche a été fixée à di
manche prochain 10 mai.
Le banquet sera servi par M me veuve Mo-
thes-Ladoucet à six heures et demie du soir;
le prix en est fixé à 5 francs.
A l’issue du banquet, grand bal paré dans
la salle Babin.
La Saint-Yves à Origne.
Le maire d’Origne a l’honneur d’informer le
public que la Saint-Yves se tiendra cette an
née le dimanche 17 mai courant.
Vaste et magnifique emplacement pour les
marchands.
Vias (Hérault), le 12 février 1895. —Je souf
frais de l’esiomac depuis 18 mois, rien ne me
soulageait, c’était un feux au creux de l’esto
mac comme une allumette qui brûle et rien
ne digérait. Vos Pdules Suisses ont rétabli la
digestion et m’ont donné un grand soulage
ment, je pense être guéri en continuant.
(Sig. lég.) Biane, Emp. de la voie ferrée.
Etat—Ci vil da la villa da Bazas»
Naissances.
5 mai, Pierre-Marcel Descacq.
6 mai, Anne-Marie Lescouzères.
8 mai, Maurice Bourbon.
9 mai, Jean Mougnères.
Publications de Mariage.
René-Bertrand Espagnet, domestique à Bazas,
et Marie-Marguerite Darribère, domestique à Mont-
de-xMarsan.
Etat-Civil de la ville de Langon.
Naissances.
5 mai, Jean-Marie-Antoine-Joseph Cardoit.
Décès.
29 avril, Marie Nay, sans profession, épouse de
Raymond Labrouche, 48 ans.
Publications de Mariage.
26 avril, Jean. Saint-Blancard, cultivateur, à
Saint-Pierre de Mons, et Suzanne-Marie, sans pro
fession à Langon.
3 mai, Bernard Ferrand, cultivateur à Langon,
et Marie Duprat, cultivatrice à Saint-Pierre de
Mons.
3 mai, Jean Morette, menuisier à Langon, et
Catherine Peynaud, culottière à Bègles.
Mariages.
Jean Darriet, scieur à la mécanique, et Marie
Larrieu, sans profession, à Langon.
Caisse d’épargne centrale de Bazas
Du 3 mai. — Administrateur : M. Martin-Rézot.
Versements F. 1,599 »»
Remboursements 1,557 18
Succursale de Langon.
Du 3 mai — Administrateur : M. Gazemajour.
Versements F. 7,400 »»
Remboursements 1,366 80
Le Directeur-Gérant : Eugène SAMIE.
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dix heures à quatre heures, après sa visite au
Collège de Bazas.
L’HOMME REGENERE
Sous ce titre, le D r J. MERCIER vient de
publier un volume qui intéresse vivement
toute personne affaiblie par l’âge, la maladie,
le travail ou les excès. L’auteur y a décrit son
Traitement spècial qui, depuis quinze ans, lui
fait constamment obtenir de rapides guérisons
dans l'IMPUISSANCE, les PERTES SEMINA
LES, Maladies secrètes et de Peau.
Prix : 1 franc franco sous enveloppe.
Docteur MERCIER, 4, rue de Sèze, Paris,
Consultations par correspondance. 12
Exposition de Bordeaux 1895. — La plus haute Récompense.
LA FEMME ATTRAYANTE
Sous ce titre, nous lisons dans le Petit Pari
sien :
Toute femme qui veut l’être est attrayante.
Lorsqu elle ne l’est pas, c’est sa faute; non pas
que toute femme puisse avoir la beauté des traits,
1 harmome des formes,_ la grâce du dessin, mais
toute femme peut avoir cet irrésistible charme
sans lequel la beauté est vaine et reste sans at
trait, peau fraîche et brillante, teint rose et vi
vant, yeux qui parlent et séduisent, lèvres roses
et suggestives,
le parfum et
l’indéfinissable
séduction d’un
corps où règne
la santé, cette
santé honnête et
bonne qui dou
ble la jeunesse,
éloigne la vieil
lesse et donne à
toute femme ,
même simple et
sans fard, à la
plus pot-au-feu
des femmes son
éternel attrait.
Mesdames, ne
négligez jamais
les avertisse -
ments de la nature, la moitié d’entre vous êtes
souffrantes, vous êtes faibles et affaissées, vos
organes délicats fonctionnent irrégulièrement ; la
maladie naissante va s’implanter chez vous, pre-
nez-y garde ; vos joues se creusent, vos yeux se
bistrent, vos chairs s’amollissent, prenez' garde ;
votre peau devient terne, votre teint blême, pre
nez garde encore. Ne laissez pas les faiblesses in
hérentes à votre sexe envahir votre organisme.
Le remède du D r Willams est le préventif de tous
ces maux. Les cures se comptent par centaines.
Nous en citerons une seule, prise au hasard ; la
lettre ci-dessous, adressée au préparateur du re
mède, est une preuve irréfutable de l’efficacité du
remède. Vu la légalisation delà signature par le
maire, il ne peut y avoir aucun doute sur la vé
racité des faits :
« Je viens de remplir un devoir d’humanité en
vous faisant part de la guérison de ma femme par
l’emploi des Pilules Pink pour personnes pâles du
D r Willams. — Affeciée d’une leucorrhée qui a
duré plus de vingt ans, elle a vu son mal dispa
raître subitement après quelques boîtes; elle a
voulu cependant en prendre encore pour avoir
une plus grande garantie. — Comme vous voyez,
c’est par pur désintéressement et par amour du
soulagement des personnes atteintes d’un pareil
mal que je viens vous remercier et vous autoriser
à publier cette lettre. Je vous serai reconnaissant
de bien vouloir m’envoyer encore six boîtes, ci-
joint la somme.
«François Pons,
» Secrétaire de mairie à Saint-Martin-Lys (Aude). »
Reconnues comme un des remèdes les plus ac
tifs des temps modernes, les Pilules Pink du D r
Williams sont un grand régénérateur du sang et
un tonique des nerfs, elles guérissent : anémie,
rhumatismes, névralgie, elc., agissent dans toutes
les phases d’affaiblissement chez la femme et
produisent sur les hommes une action efficace
contre toutes les maladies causées par le sur
menage physique et mental et par les excès.
En vente chez tous les pharmaciens, mais on
peut se les procurer au dépôt principal, MM. Ga-
blin et G ie (ph. de l r3 cl.), 32, rue Le Peletier, Pa
ris, à 3 fr. 50 la boîte et 17 fr. 50 par 6 boîtes,
franco contre mandat-poste.
Rhumes anciens ou récents, bronchites aigües
ou chroniques, asthme, catarrhe, grippe ou in
fluença sont soignés d’une manière économique
et rationnelle, soit au moyen des Capsules Guyot
dont on prend deux à chaque repas, soit au
moyen du véritable Goudron Guyot, — liqueur
titrée et concentrée, — préparés exclusivement,
19, rue Jacob, Paris, par la maison L. Frère.
Bulletin Financier
Persistance de la fermeté, avec incursions nom
breuses sur le terrain de la hausse ; mais, comme
le comptant refuse de s’emballer, il n’y a pas lieu
de croire que nous soyons à la veille d’une dura
ble envolée des cours.
3 0/0 103,05 ; 3 1/2 106,30 ; l’Amortissable
« réalise » et est revenu à 100,95.
Les établissements de crédit sont meilleurs,
mais de peu. La Société générale fait 509 ; la Sud-
Africa a encore regagné du terrain à 163.
Suez a grimpé jusqu’à 3.405. Nos Chemins sont
fermes et un peu plus demandés, notamment le
2 1/2 Orléans. Stagnation pour les Autrichiens et
les chemins espagnols ; Lombards très améliorés
à 236.
Extérieure 63.75 ; Italien 85.25.
BULLETIN AGRICOLE
Bazas, 9 mai.
Pas de mercuriale, mêmes cours que ceux
de la semaine dernière.
Aucun hectolitre de froment n’a été
le marché de ce jour.
apporté sur
Froment, l’hectolitre. . F.
14 20
Seigle, — ....
Maïs vert, — ....
» » »
» » » »
Mais rôti, — ....
13 »»
Millet, — . . . .
12 »»
Millade, — ....
» » » »
Mairie de Bazas.
Par arrêté de M. le Maire en date de ce jour, le
prix du pain a été fixé comme suit pour la pré
sente huitaine :
Pain chôme,
le kil., l r0
qualité
... 32 c.
Pain cô,
— 2 e
—
... 25
Pain bis,
— 3 e
—
... 21
Froment, 47 hect., vend.
34 de.
14 »» à
14
50
Seigle, »
—
» ...
» »» à
))
»»
Maïs vert, »
—
)) ...
>)>) »» à
»»
»»
Maïs rôti, 9
—
9 ...
13 »» à
»»
»»»
Millet 17
—
12 ...
12 »» à
»»
»»
Millade, »»
—
» ...
»)) »» à
)»)
»»
Farine l re qualité (les 100 kil.)
25 50 à
»»
»»
— 2 e qualité
—
24 50 à
»»
»»
PRODUITS RÉSINEUX
Les fabricants de Préchac paient les gemmes,
jusqu’à nouvel avis, 32 fr. 50 celles au système
Hugues, et 30 fr. système ordinaire, la barrique
de 250 litres.
M. F. DUSSILLOL paie les gemmes rendues à son
usine de Captieux, jusqu’à nouvel avis, 32 fr. 80
le Hugues, et 30 fr. le système clôt, la barrique
de 250 litres.
DÉPÊCHE TÉLÉGRAPHIQUE
Dax, le 9 mai, 9 h. 15 m.
Au dernier marché de Dax, le cours de l’essence
a été fixé à 43 fr. les 100 kilog. Hausse : 1 franc.
Les apports consistaient en 62,000 kil.
Preneur : Union Landaise.
Bordeaux, 6 mai.
Au premier marché de la semaine tenu mercredi
matin à Saint-Julien, 27 pièces essence de téré
benthine ont été payées 47 fr. les 100 kil.
On ferait, pour l’exportation, 53 fr.
Ni hausse ni baisse.
Bordeaux, 8 mai.
Au marché tenu aujourd’hui vendredi, à Saint-
Julien, 33 pièces ont été vendues à 47 fr. les 100 k.
On ferait, pour l’exportation, 53 à »» fr.
Ni hausse ni baisse.
MARCHE GÉNÉRAL AUX BESTIAUX
Mercuriale de la Semaine.
DÉSIGNATION
des
ESPÈCES
QUANTITÉS
PRIX DES 50 KILOS
amenées
rendues
1" qualité
2° qualité
3* qualité
Lundi 4 mai.
Bœufs...
Vaches..
Veaux...
Moutons.
Agneaux
321
19
123
2846
535
278
16
119
1764
535
75 à 77
68 70
88 90
88 90
73 à 75
65 68
85 88
85 88
70 à 73
60 65
83 85
80 85
de 10 à 16 fr. la pièce.
Prix extrêmes : bœufs, de 68 à 79 fr. ; vaches, d«
55 à 73 fr, ; veaux, de 80 à 95 fr. ; moutons, de 75
à 92 fr. ; agneaux, »» à >»> fr.
Mercredi 6 mai.
Porcs j 1186 I 867 I de 35 à 38 fr. les 50 kil.
Agneaux...! »»» l »»» ! de »» à »» fr. la pièce.
Prix extrêmes pour les porcs : de 34 à 39.
Jeudi 7 mai.
Bœufs....
j 145
137
76 à 78
74 à 76
Vaches...
7
7
68 70
65 68
Moutons..
1322
504
83 85
8 J 83
Prix extrêmes : Bœufs, 70 à 80 fr. ; vachf
72 à 74
60 65
78 80
»» fr. ; moutons, 75 à 88 fr.
Vendredi 8 mai.
Veaux I 159 I 139 j 88à90 |85 à88 | 80 à85
Agneaux...! 1021 | 1021 | de 10 à 17 fr. la pièce.
Prix extrêmes : pour les veaux, 75 à 93 fr.
MARCHÉ AUX BESTIAUX DE LA VILLETTE
DÉSIGNATION
des
QUANTITÉS
PRIX DU KILOGRAMME
ESPECES
amenées
Tendues
1” qualité
2* qualité
3* qualité
Bœufs
1688
Jeudi
1494
7 mai.
1 52
1 42
1 32
Vaches ....
493
433
1 50
1 40
1 30
Taureaux..
174
162
1 24
1 14
1 04
Veaux
1728
1450
2 »»
1 80
1 60
Moutons...
12821
12510
1 98
1 86
1 74
Porcs gras.
4824
4824
1 14
1 08
1 02
Peaux de mouton, selon laine, de 1 fr. 50 à
5 fr. 50.
Palais-Bourbon avait été rejetée par la Cham
bre des Notaires, qui avait cru bon de ne faire
droit à aucune de ses prétentions . Voilà ce
que je sais. Et maintenant que je vous ai vidé
mon sac à nouvelles, que pensez-vous de l’a
venture ?
— Hum! hum! ce que j’en pense... Mais
c’est que voilà un rude échec pour M. Cons
tant. Cette décision partant d'hommes aussi
compétents, aussi éclairés que ceux qui com
posaient la Chambre des Notaires, mettant à
néant les accusations formulées par notre dé
puté, mais c’est la condamnation de ce der
nier, et je comprends que la solution donnée
à sa plainte l’ait rendu tout penaud et peut-
être mis fort en colère. Et à ce sujet, n’avez-
vous pas entendu dire que M. Dutrénit, usant
du même moyen, avait de son côté, pour se
défendre, dénoncé M. Constant au Procureur
général comme étant à la fois avocat et direc
teur-gérant du Glaneur?
— Si, si, je l’avais entendu chuchoter. Et si
la chose est exacte, ce que je crois, M. Cons
tant doit être passablement ennuyé, car j’es
time pour ma part qu’un directeur-gérant de
journal, responsable de tous les articles non
signés parus dans sa feuille, étant en quelque
sorte une tête de turc sur laquelle tout le
monde peut frapper, ne peut prétendre en
même temps à l’état d’avocat, qui désire, d’a
près Loysel, « son homme tout entier. » Aussi
verrai-je avec plaisir une solution donnée à
cette affaire. Mais laissons Messieurs les ré
publicains se dévorer entr’eux, et permettez-
moi une réflexion : Ne pensez-vous pa c s que si
nous autres, conservateurs, nous usions des
moyens employés par ces gens-là, soit pour
arriver au pouvoir, soit pour le conserver
quand ils le possèdent, nous aurions de gran
des chances de succès ?
— Parfaitement, répondis-je à mon ami.
Nous nous séparâmes et je m’en fus tout rê
veur, songeant au grand problème de la fra
ternité universelle. m. r.
Harmonie de Bazas.
L’Harmonie bazadaise s’est réunie ven
dredi dernier, dans la salle Dubois, pour pro
céder à l’élection d’un nouveau chef de
musique, en remplacement du regretté
M. Monbarin.
Au début de la séance, M. le Président a
prononcé quelques paroles à la mémoire du
défunt, puis, après avoir félicité M. Lucien
Berthet, sous-chef de l’Harmonie, de son infa
tigable dévouement, a fait procéder à l’élec
tion du chef.
Le distingué professeur de musique de no
tre ville, M. Emile Lapierre, qui dirige avec
succès depuis deux années la Société chorale,
a été élu à l’unanimité.
Nous adressons au nouveau directeur de
l’Harmonie nos plus vives félicitations, et sou
haitons que cette Société reprenne, sous sa
direction intelligente, sa marche glorieuse
dans la voie du succès.
Élections municipales de Saint-Léger de Balson.
Pour arriver à un résultat certain, les auto
rités municipales de Saint-Léger de Balson
ont eu soin d’éliminer certains électeurs qui
leur paraissaient ne pas partager les senti
ments du Conseil actuel. On pourrait deman
der au Maire de la commune pourquoi cer
tains habitants de l’endroit,, qui ont voté de
puis 1881, et qui encore ont voté au mois de
mars dernier pour l’élection d’un membre,
n’ont pas pu voter pour ces dernières élections ?
Comment se fait-il que certains métayers qui,
au 81 mars dernier, n’avaient que cinq mois
de résidence, aient pu voter, tandis que d’au
tres, qui avaient deux ans de résidence consé
cutive, se sont présentés au scrutin sans qu’il
leur ait été permis de remplir leur devoir de
citoyen ?
Il est regrettable que les électeurs de Saint-
Léger n’aient pas repoussé de la municipalité
ces myrmidons opportunistes, qui prétendent
gouverner la commune avec sagesse et équité,
et qui n’hésitent pas, pour satisfaire leur am
bition personnelle, à frustrer d’honnêtes ci
toyens et à fausser le résultat électif de la
commune par l’admission de suffrages qui ne
pouvaient y figurer. s. F.
Tribunal correctionnel de Bazas.
Le nommé Rouchaleau, de Gazalis, accepté
au début de l’audience comme garde particu
lier, prête serment en cette qualité.
X
Gomme le faisaient prévoir les débats, le
délit de viol reproché au jeune Dupouy, de
Villandraut, s’est terminé parun acquittement.
X
La femme Mensencal, inculpée de vol de
poule, dans la commune de Lartigue, a été
également relaxée sans amende ni dépens.
X
Le nommé Masson, ayant oublié que la
mendicité était interdite dans la Gironde, est
puni pour ce fait d’un emprissonnement de
huit jours.
X
Le nommé Junca, de Saint-Michel de Cas
telnau, est ce qu’on peut appeler un amoureux
pressé. Avec les premiers rayons du prin
temps, son cœur, rempli d’amoureuses efflu
ves, ne demandait qu’à sépancher. L’objet de
ses rêves étant venu à passer, Junca, comme
un papillon sur une rose, voulut conter fleu
rette à Louise Belloc. Les débats nous ont
permis de constater que cette dernière aurait
peu de chance pour l'obtention du prix Mon-
thyon. Mais, peu disposée ce jour-là, elle re
fusa les avances de ce jeune homme auquel
elle fit même des reproches blessants. Si nos
dramaturges modernes avaient écrit cette !
scène, ils n’auraient pas manqué de montrer \
l’amcureux fou de désespoir, se suicidant pour
la cruelle. Mais Junca est plus pratique, et
comme il paraît, d’après la chanson, « que de
se tuer ça vous fait bien mal, » il préféra lais
ser à la méchante le souvenir de sa contra
riété, et lui administra une de ces volées qui
font époque dans la vie des gens.
| Le tribunal exprime son avis à ce sujet en
; condamnant Junca à une amende de 25 fr.
X
I II est des gens qui sont continuellement à
chercher l’esprit au fond de leur verre, mais
généralement l’esprit de vin a de fâcheuses
I conséquences pour les adeptes de Bacchus.
; C’est ainsi qu’un nommé Duthil, de Grignols,
j étant dans un état d’ébriété complet, a frappé
! plusieurs de ses parents.
| Le tribunal, tenant compte de sa situation
et de son repentir, ne le condamne qu’à une
amende de 10 fr.
X
Un meunier du Giron, nommé Mora, ayant
voyagé avec une fausse plaque, est puni d’une
amende de 1 fr.
X
La femme Dufourg, à Uzeste, a un système
tout particulier pour faire sortir les gens de sa
propriété. Un nommé Pujols, qui s’y était
avanturô avec sa charrette, a été pris d’assaut
par cette furie, qui la bourré de coups. Cet ex
cès de vivacité est puni par le tribunal d’une
amende de 16 fr.
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Fête de la Basoche.
Au cours de la réunion de jeudi, la fête an
nuelle de MxM. de la Basoche a été fixée à di
manche prochain 10 mai.
Le banquet sera servi par M me veuve Mo-
thes-Ladoucet à six heures et demie du soir;
le prix en est fixé à 5 francs.
A l’issue du banquet, grand bal paré dans
la salle Babin.
La Saint-Yves à Origne.
Le maire d’Origne a l’honneur d’informer le
public que la Saint-Yves se tiendra cette an
née le dimanche 17 mai courant.
Vaste et magnifique emplacement pour les
marchands.
Vias (Hérault), le 12 février 1895. —Je souf
frais de l’esiomac depuis 18 mois, rien ne me
soulageait, c’était un feux au creux de l’esto
mac comme une allumette qui brûle et rien
ne digérait. Vos Pdules Suisses ont rétabli la
digestion et m’ont donné un grand soulage
ment, je pense être guéri en continuant.
(Sig. lég.) Biane, Emp. de la voie ferrée.
Etat—Ci vil da la villa da Bazas»
Naissances.
5 mai, Pierre-Marcel Descacq.
6 mai, Anne-Marie Lescouzères.
8 mai, Maurice Bourbon.
9 mai, Jean Mougnères.
Publications de Mariage.
René-Bertrand Espagnet, domestique à Bazas,
et Marie-Marguerite Darribère, domestique à Mont-
de-xMarsan.
Etat-Civil de la ville de Langon.
Naissances.
5 mai, Jean-Marie-Antoine-Joseph Cardoit.
Décès.
29 avril, Marie Nay, sans profession, épouse de
Raymond Labrouche, 48 ans.
Publications de Mariage.
26 avril, Jean. Saint-Blancard, cultivateur, à
Saint-Pierre de Mons, et Suzanne-Marie, sans pro
fession à Langon.
3 mai, Bernard Ferrand, cultivateur à Langon,
et Marie Duprat, cultivatrice à Saint-Pierre de
Mons.
3 mai, Jean Morette, menuisier à Langon, et
Catherine Peynaud, culottière à Bègles.
Mariages.
Jean Darriet, scieur à la mécanique, et Marie
Larrieu, sans profession, à Langon.
Caisse d’épargne centrale de Bazas
Du 3 mai. — Administrateur : M. Martin-Rézot.
Versements F. 1,599 »»
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Succursale de Langon.
Du 3 mai — Administrateur : M. Gazemajour.
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LA FEMME ATTRAYANTE
Sous ce titre, nous lisons dans le Petit Pari
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Toute femme qui veut l’être est attrayante.
Lorsqu elle ne l’est pas, c’est sa faute; non pas
que toute femme puisse avoir la beauté des traits,
1 harmome des formes,_ la grâce du dessin, mais
toute femme peut avoir cet irrésistible charme
sans lequel la beauté est vaine et reste sans at
trait, peau fraîche et brillante, teint rose et vi
vant, yeux qui parlent et séduisent, lèvres roses
et suggestives,
le parfum et
l’indéfinissable
séduction d’un
corps où règne
la santé, cette
santé honnête et
bonne qui dou
ble la jeunesse,
éloigne la vieil
lesse et donne à
toute femme ,
même simple et
sans fard, à la
plus pot-au-feu
des femmes son
éternel attrait.
Mesdames, ne
négligez jamais
les avertisse -
ments de la nature, la moitié d’entre vous êtes
souffrantes, vous êtes faibles et affaissées, vos
organes délicats fonctionnent irrégulièrement ; la
maladie naissante va s’implanter chez vous, pre-
nez-y garde ; vos joues se creusent, vos yeux se
bistrent, vos chairs s’amollissent, prenez' garde ;
votre peau devient terne, votre teint blême, pre
nez garde encore. Ne laissez pas les faiblesses in
hérentes à votre sexe envahir votre organisme.
Le remède du D r Willams est le préventif de tous
ces maux. Les cures se comptent par centaines.
Nous en citerons une seule, prise au hasard ; la
lettre ci-dessous, adressée au préparateur du re
mède, est une preuve irréfutable de l’efficacité du
remède. Vu la légalisation delà signature par le
maire, il ne peut y avoir aucun doute sur la vé
racité des faits :
« Je viens de remplir un devoir d’humanité en
vous faisant part de la guérison de ma femme par
l’emploi des Pilules Pink pour personnes pâles du
D r Willams. — Affeciée d’une leucorrhée qui a
duré plus de vingt ans, elle a vu son mal dispa
raître subitement après quelques boîtes; elle a
voulu cependant en prendre encore pour avoir
une plus grande garantie. — Comme vous voyez,
c’est par pur désintéressement et par amour du
soulagement des personnes atteintes d’un pareil
mal que je viens vous remercier et vous autoriser
à publier cette lettre. Je vous serai reconnaissant
de bien vouloir m’envoyer encore six boîtes, ci-
joint la somme.
«François Pons,
» Secrétaire de mairie à Saint-Martin-Lys (Aude). »
Reconnues comme un des remèdes les plus ac
tifs des temps modernes, les Pilules Pink du D r
Williams sont un grand régénérateur du sang et
un tonique des nerfs, elles guérissent : anémie,
rhumatismes, névralgie, elc., agissent dans toutes
les phases d’affaiblissement chez la femme et
produisent sur les hommes une action efficace
contre toutes les maladies causées par le sur
menage physique et mental et par les excès.
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fluença sont soignés d’une manière économique
et rationnelle, soit au moyen des Capsules Guyot
dont on prend deux à chaque repas, soit au
moyen du véritable Goudron Guyot, — liqueur
titrée et concentrée, — préparés exclusivement,
19, rue Jacob, Paris, par la maison L. Frère.
Bulletin Financier
Persistance de la fermeté, avec incursions nom
breuses sur le terrain de la hausse ; mais, comme
le comptant refuse de s’emballer, il n’y a pas lieu
de croire que nous soyons à la veille d’une dura
ble envolée des cours.
3 0/0 103,05 ; 3 1/2 106,30 ; l’Amortissable
« réalise » et est revenu à 100,95.
Les établissements de crédit sont meilleurs,
mais de peu. La Société générale fait 509 ; la Sud-
Africa a encore regagné du terrain à 163.
Suez a grimpé jusqu’à 3.405. Nos Chemins sont
fermes et un peu plus demandés, notamment le
2 1/2 Orléans. Stagnation pour les Autrichiens et
les chemins espagnols ; Lombards très améliorés
à 236.
Extérieure 63.75 ; Italien 85.25.
BULLETIN AGRICOLE
Bazas, 9 mai.
Pas de mercuriale, mêmes cours que ceux
de la semaine dernière.
Aucun hectolitre de froment n’a été
le marché de ce jour.
apporté sur
Froment, l’hectolitre. . F.
14 20
Seigle, — ....
Maïs vert, — ....
» » »
» » » »
Mais rôti, — ....
13 »»
Millet, — . . . .
12 »»
Millade, — ....
» » » »
Mairie de Bazas.
Par arrêté de M. le Maire en date de ce jour, le
prix du pain a été fixé comme suit pour la pré
sente huitaine :
Pain chôme,
le kil., l r0
qualité
... 32 c.
Pain cô,
— 2 e
—
... 25
Pain bis,
— 3 e
—
... 21
Froment, 47 hect., vend.
34 de.
14 »» à
14
50
Seigle, »
—
» ...
» »» à
))
»»
Maïs vert, »
—
)) ...
>)>) »» à
»»
»»
Maïs rôti, 9
—
9 ...
13 »» à
»»
»»»
Millet 17
—
12 ...
12 »» à
»»
»»
Millade, »»
—
» ...
»)) »» à
)»)
»»
Farine l re qualité (les 100 kil.)
25 50 à
»»
»»
— 2 e qualité
—
24 50 à
»»
»»
PRODUITS RÉSINEUX
Les fabricants de Préchac paient les gemmes,
jusqu’à nouvel avis, 32 fr. 50 celles au système
Hugues, et 30 fr. système ordinaire, la barrique
de 250 litres.
M. F. DUSSILLOL paie les gemmes rendues à son
usine de Captieux, jusqu’à nouvel avis, 32 fr. 80
le Hugues, et 30 fr. le système clôt, la barrique
de 250 litres.
DÉPÊCHE TÉLÉGRAPHIQUE
Dax, le 9 mai, 9 h. 15 m.
Au dernier marché de Dax, le cours de l’essence
a été fixé à 43 fr. les 100 kilog. Hausse : 1 franc.
Les apports consistaient en 62,000 kil.
Preneur : Union Landaise.
Bordeaux, 6 mai.
Au premier marché de la semaine tenu mercredi
matin à Saint-Julien, 27 pièces essence de téré
benthine ont été payées 47 fr. les 100 kil.
On ferait, pour l’exportation, 53 fr.
Ni hausse ni baisse.
Bordeaux, 8 mai.
Au marché tenu aujourd’hui vendredi, à Saint-
Julien, 33 pièces ont été vendues à 47 fr. les 100 k.
On ferait, pour l’exportation, 53 à »» fr.
Ni hausse ni baisse.
MARCHE GÉNÉRAL AUX BESTIAUX
Mercuriale de la Semaine.
DÉSIGNATION
des
ESPÈCES
QUANTITÉS
PRIX DES 50 KILOS
amenées
rendues
1" qualité
2° qualité
3* qualité
Lundi 4 mai.
Bœufs...
Vaches..
Veaux...
Moutons.
Agneaux
321
19
123
2846
535
278
16
119
1764
535
75 à 77
68 70
88 90
88 90
73 à 75
65 68
85 88
85 88
70 à 73
60 65
83 85
80 85
de 10 à 16 fr. la pièce.
Prix extrêmes : bœufs, de 68 à 79 fr. ; vaches, d«
55 à 73 fr, ; veaux, de 80 à 95 fr. ; moutons, de 75
à 92 fr. ; agneaux, »» à >»> fr.
Mercredi 6 mai.
Porcs j 1186 I 867 I de 35 à 38 fr. les 50 kil.
Agneaux...! »»» l »»» ! de »» à »» fr. la pièce.
Prix extrêmes pour les porcs : de 34 à 39.
Jeudi 7 mai.
Bœufs....
j 145
137
76 à 78
74 à 76
Vaches...
7
7
68 70
65 68
Moutons..
1322
504
83 85
8 J 83
Prix extrêmes : Bœufs, 70 à 80 fr. ; vachf
72 à 74
60 65
78 80
»» fr. ; moutons, 75 à 88 fr.
Vendredi 8 mai.
Veaux I 159 I 139 j 88à90 |85 à88 | 80 à85
Agneaux...! 1021 | 1021 | de 10 à 17 fr. la pièce.
Prix extrêmes : pour les veaux, 75 à 93 fr.
MARCHÉ AUX BESTIAUX DE LA VILLETTE
DÉSIGNATION
des
QUANTITÉS
PRIX DU KILOGRAMME
ESPECES
amenées
Tendues
1” qualité
2* qualité
3* qualité
Bœufs
1688
Jeudi
1494
7 mai.
1 52
1 42
1 32
Vaches ....
493
433
1 50
1 40
1 30
Taureaux..
174
162
1 24
1 14
1 04
Veaux
1728
1450
2 »»
1 80
1 60
Moutons...
12821
12510
1 98
1 86
1 74
Porcs gras.
4824
4824
1 14
1 08
1 02
Peaux de mouton, selon laine, de 1 fr. 50 à
5 fr. 50.
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