LES CHAUFFEURS.
!3
en disant « C'est la lardoire an père Lejenne. »
Le crime était si atroce qu~il réveilla l'apathie des
autorités. Les chauffeurs eux-mcmcscomprircnt que le
coup était trop bruyant. Le lendemain, <était le sujet
d'effroi de toutes les communes environnantes. Le
prudent père Mongcndre pria tout doucement Jac-
ques-de-Pithivicrs et trois autres bandits qui !ui ap-
portaient des fromages et du vieux-oing voies a Gon-
drevilte, d'aller g:tcr un peu plus loin. « La chose
de Montgon fait du bruit, leur dit-il, et il va être
hon (ravoir des papiers sur la route et de pouvoir ou-
vrir ses portes aux honnêtes gens. »
Mais, après quelques procès-verbaux, inutiles, tes
autorités rentrèrent dans leur habituelle apathie, et
les chauffeurs reprirent leur première audace. Des les
premiers jours de mars d79C, une des bandes, com-
mandée par Quatrc-Sous~Je Canonnier et le Teigneux,
envahit la terme des Grillons. Le fermier tué~ on s'a-
perçut que l'argenterie était en étain, et que la mai-
soll ne contenait pas même un assignat. L'affaire des
Grillons rapporta a chaque brigand une chemise et
quatre sous.
Quelques jours après ce fut le tour de la ferme
Boutet. La fille du fermier fut cliaufféc jusqu'à ce
que, vaincue par !a douleur, die avouât 700 francs
caches dans la paillasse. Beau-François, qui comman-
dait l'expédition, ayant sous ses ordres Serrurier et
Poitevin, savait que Uoutct fils s'était vendu en rem-
ptacemcnt pour la. réquisition «Vieille gueuse,
dit-il à la mcre~ ce n'est pas encore ça ou esirar-
gent de la peau de ton uls? » Comme ta pauvre fctn-
me disait avoir tout donné, Serrurier lui promena un
rasoir sur le cou « Attaque, attaque, dit !a cou-
rageuse vieille, quand vous aurez coupé, il n'y en
aura pas plus. » On la laissa.
i Tous ces crimes impunis avaient rendu Bcan-Fran-
fois et ses hommes les véritables maitrcs de ces cam-
pagnes, mais tout a coup la bande se trouva dëcapitcc
parsuited'un incident vulgaire. Le 2~ septembre, Bcau-
François, accompagné de Pierre Levicux et de son tits~
tenaient place a la foire d'Ëtampes, vendant des mou-
choirs et de la quincaillerie. Beau-François vendait
bon marche et Dieu sait ce que lui avait coûte la mar-
chandise, mais, comme il rendait des écus faux, il
faisait double bénéfice. Sur la fin de la foit'c, it eu-
voya le fils de Pierre Levictix changer un écu de six
francs dans un cabaret. « Qui est-ce qui t'a donné
ça, mon petit homme? » dit le cahareticr, en consi-
dorant la pièce. « C'est papa, qui vend des mou-
choirs en foire. »
Le cabareticr donna la monnaie, bien qml se fut
assuré quelapièce était fausse. Mais il suivit, le mioche,
< et quand il eut vu les marchands, il courut a la mu-
nicipalité, et en revint accompagne de quatre gcn-
( darmcs. Beau-François essaya de se débarrasser d'une
poignée d'ccus faux, en les jetant dans un tas d'or-
dures. Mais il n'en fut pas moins appréhende avec Lc-
vieux, et tous deux furent condamnes, comme faux-
monnoycurs, a quatorze années de fers, par le tribunal
criminel d'Étampes. La justice ne soupçonna pas
l'importance de la capture qu'elle venait de faire en
la personne du prétendu Girodot.
La bande n'en continua pas moins ses expéditions,
j mais sans esprit de suite et sans unité d'action. C'est
ainsi que, le 5 janvier 1797, le Rouge-d'Auneau,
Quatre-Sous et le Horgne-du-Mans, assassinèrent,
pour quelques hardes sans valeur, un pauvre maître
d'école et bedeau d'AIIaines, dit Lampc-Trop le 25
avril, le Gros-Normand et Sans-Pouce assassinèrent
une femme, la veuve Coupé. Les marchands revenant
des foires~ les Litnousins regagnant leur province.
après avoir amasse un petit magot a Paris étaient
infaillit)lcment arrêtés~ dévalisés~ assommes sur tes
routes.
Le H) juillet, Cirodot s'était déjà évade de la pri-
sou d'I~tampcs, etHeau-François reparaissait a !a tête
de sa troupe. Sa délivrance fut signalée par un coup
d'éclat, l'attaque de la maison Ménager, au Gault
Ménager et sa femme curent le cou scié~ et l'auteur
de cette horrible boucherie~ ce fut une femme dé-
guisée en hommc~ la Grande-Marie.
Quelquefois, cependant~ comme naguère a ViHc-
Sauvage, les chauffeurs trouvaient de la résistance et
se voyaient pourchasses par les populations indignées.
C'est ce qui leur arriva encore sur ta route de Pitl)i-
viers~ a la ferme de Létang, près de Franvilte. Hcau-
Françoiset ses hommes furent chasses~ au son du
tocsin, dans tes bois d'Ymonvitle-
Lc Rouge-d~Auneau; qui avait vu avec peine Beau-
François reparaitre a la tête de la troupe, voulut pro-
fiter de cet échec pour relever son autorité, en mon-
tant sent une affaire. Il choisit résolument pour les
faire travailler sous ses ordres~, les lieutenants ctsous-
Heutcnants les plus hostiles a son autorité chance-
lante.
Hicn (me très-animés contre le cMe~ c'était te
nom qu'ils donnaient au Rouge-d~Auncau, le Grand-
Dragon et Bcrrichon-UclItommc ne s'en rendirent pns
moins au rendez-vous indique pur le lieutenant a la
ferme Dauphin, dans la commune de Fains.
La étaient déjà réunis le Borgne-dû-Mans; le père
Lapierre~ Miracoin et le Petit-Normand. Le lorgne
de-Jouy manquait a rappel.
Le Rougc-d'Auncau développa son plan il y
avait, au hameau du Bois~ près Nottonvilte~ un mar-
chand mercier nomme Marchand. Cet homme pansait
pour avoir des écns; il vivait seul avec sa femme.
Deux des associes furent envoyés en rcconuais-
sancc ils confirmèrent ces dires. L'expédition tut ré-
soluc pour le soir mumc~ i9 décembre.
On passa le reste de la journée a la Folic-llcrbaul~
chez une franche~ la Victoire David.
La Victoire David, veuve du franc Michel~ dit .Mi-
gnon~ donna au Houge-d'Auncau un vieux pistolet
d'arçon qui se ro'~utait au milieu des fromages. Le
Houge-d'Auncau chargea l'arme et alla l'essayer dans
la cour. « Ça fera l'aftaire~ dit-il en rentrant; ça
n'est pas heau~ mais c'est bon. ))
Là-dessus~ le Rouge-d~Auncau le Uorgnc-du-
Mans~le père Lapicrrc~ le Petit-Normand, Berrichon-
Hclhommc~ le Grand-Dragon et Miracoin~ sortirent
deux a deux et se dirigèrent vers Sainte-Christine.
Ils restèrent dans les bois jusqu'à dix heures du soir.
La nuit s~avançanL ils parurent et furent bientôt
arrives au hameau. On n'y voyait pas une scutc lu-
mière. Dans la maison Marchanda pas un bruit. Lus
époux Marchand étaient couches, mais ta femme n'é-
tait pas endormie. Elle entendit un bruit de pas dans
son jardin, du côte du toit a vache « Lh mon
homrne~ dit-elle a son mari~ je crois qu~on vole nos
choux. Eh! qu'on vote, répondit Marchand tout
endormie ils n'emporteront pas tout. ))
En ce moment un hruit de ferraille retentit au
contrevent; c'étaient les barreaux qu'on arrachait.
Presque aussitôt un coup violent jeta la croisée en
dedans et un homme parut.
C'était le chef des bandits.
A peine le Rouge-d'Auneau était-it entrée que la
femme Marchand se précipita sur lui, le saisit viuicm.
ment au bas-ventre, et se mit a le traîner par la
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en disant « C'est la lardoire an père Lejenne. »
Le crime était si atroce qu~il réveilla l'apathie des
autorités. Les chauffeurs eux-mcmcscomprircnt que le
coup était trop bruyant. Le lendemain, <était le sujet
d'effroi de toutes les communes environnantes. Le
prudent père Mongcndre pria tout doucement Jac-
ques-de-Pithivicrs et trois autres bandits qui !ui ap-
portaient des fromages et du vieux-oing voies a Gon-
drevilte, d'aller g:tcr un peu plus loin. « La chose
de Montgon fait du bruit, leur dit-il, et il va être
hon (ravoir des papiers sur la route et de pouvoir ou-
vrir ses portes aux honnêtes gens. »
Mais, après quelques procès-verbaux, inutiles, tes
autorités rentrèrent dans leur habituelle apathie, et
les chauffeurs reprirent leur première audace. Des les
premiers jours de mars d79C, une des bandes, com-
mandée par Quatrc-Sous~Je Canonnier et le Teigneux,
envahit la terme des Grillons. Le fermier tué~ on s'a-
perçut que l'argenterie était en étain, et que la mai-
soll ne contenait pas même un assignat. L'affaire des
Grillons rapporta a chaque brigand une chemise et
quatre sous.
Quelques jours après ce fut le tour de la ferme
Boutet. La fille du fermier fut cliaufféc jusqu'à ce
que, vaincue par !a douleur, die avouât 700 francs
caches dans la paillasse. Beau-François, qui comman-
dait l'expédition, ayant sous ses ordres Serrurier et
Poitevin, savait que Uoutct fils s'était vendu en rem-
ptacemcnt pour la. réquisition «Vieille gueuse,
dit-il à la mcre~ ce n'est pas encore ça ou esirar-
gent de la peau de ton uls? » Comme ta pauvre fctn-
me disait avoir tout donné, Serrurier lui promena un
rasoir sur le cou « Attaque, attaque, dit !a cou-
rageuse vieille, quand vous aurez coupé, il n'y en
aura pas plus. » On la laissa.
i Tous ces crimes impunis avaient rendu Bcan-Fran-
fois et ses hommes les véritables maitrcs de ces cam-
pagnes, mais tout a coup la bande se trouva dëcapitcc
parsuited'un incident vulgaire. Le 2~ septembre, Bcau-
François, accompagné de Pierre Levicux et de son tits~
tenaient place a la foire d'Ëtampes, vendant des mou-
choirs et de la quincaillerie. Beau-François vendait
bon marche et Dieu sait ce que lui avait coûte la mar-
chandise, mais, comme il rendait des écus faux, il
faisait double bénéfice. Sur la fin de la foit'c, it eu-
voya le fils de Pierre Levictix changer un écu de six
francs dans un cabaret. « Qui est-ce qui t'a donné
ça, mon petit homme? » dit le cahareticr, en consi-
dorant la pièce. « C'est papa, qui vend des mou-
choirs en foire. »
Le cabareticr donna la monnaie, bien qml se fut
assuré quelapièce était fausse. Mais il suivit, le mioche,
< et quand il eut vu les marchands, il courut a la mu-
nicipalité, et en revint accompagne de quatre gcn-
( darmcs. Beau-François essaya de se débarrasser d'une
poignée d'ccus faux, en les jetant dans un tas d'or-
dures. Mais il n'en fut pas moins appréhende avec Lc-
vieux, et tous deux furent condamnes, comme faux-
monnoycurs, a quatorze années de fers, par le tribunal
criminel d'Étampes. La justice ne soupçonna pas
l'importance de la capture qu'elle venait de faire en
la personne du prétendu Girodot.
La bande n'en continua pas moins ses expéditions,
j mais sans esprit de suite et sans unité d'action. C'est
ainsi que, le 5 janvier 1797, le Rouge-d'Auneau,
Quatre-Sous et le Horgne-du-Mans, assassinèrent,
pour quelques hardes sans valeur, un pauvre maître
d'école et bedeau d'AIIaines, dit Lampc-Trop le 25
avril, le Gros-Normand et Sans-Pouce assassinèrent
une femme, la veuve Coupé. Les marchands revenant
des foires~ les Litnousins regagnant leur province.
après avoir amasse un petit magot a Paris étaient
infaillit)lcment arrêtés~ dévalisés~ assommes sur tes
routes.
Le H) juillet, Cirodot s'était déjà évade de la pri-
sou d'I~tampcs, etHeau-François reparaissait a !a tête
de sa troupe. Sa délivrance fut signalée par un coup
d'éclat, l'attaque de la maison Ménager, au Gault
Ménager et sa femme curent le cou scié~ et l'auteur
de cette horrible boucherie~ ce fut une femme dé-
guisée en hommc~ la Grande-Marie.
Quelquefois, cependant~ comme naguère a ViHc-
Sauvage, les chauffeurs trouvaient de la résistance et
se voyaient pourchasses par les populations indignées.
C'est ce qui leur arriva encore sur ta route de Pitl)i-
viers~ a la ferme de Létang, près de Franvilte. Hcau-
Françoiset ses hommes furent chasses~ au son du
tocsin, dans tes bois d'Ymonvitle-
Lc Rouge-d~Auneau; qui avait vu avec peine Beau-
François reparaitre a la tête de la troupe, voulut pro-
fiter de cet échec pour relever son autorité, en mon-
tant sent une affaire. Il choisit résolument pour les
faire travailler sous ses ordres~, les lieutenants ctsous-
Heutcnants les plus hostiles a son autorité chance-
lante.
Hicn (me très-animés contre le cMe~ c'était te
nom qu'ils donnaient au Rouge-d~Auncau, le Grand-
Dragon et Bcrrichon-UclItommc ne s'en rendirent pns
moins au rendez-vous indique pur le lieutenant a la
ferme Dauphin, dans la commune de Fains.
La étaient déjà réunis le Borgne-dû-Mans; le père
Lapierre~ Miracoin et le Petit-Normand. Le lorgne
de-Jouy manquait a rappel.
Le Rougc-d'Auncau développa son plan il y
avait, au hameau du Bois~ près Nottonvilte~ un mar-
chand mercier nomme Marchand. Cet homme pansait
pour avoir des écns; il vivait seul avec sa femme.
Deux des associes furent envoyés en rcconuais-
sancc ils confirmèrent ces dires. L'expédition tut ré-
soluc pour le soir mumc~ i9 décembre.
On passa le reste de la journée a la Folic-llcrbaul~
chez une franche~ la Victoire David.
La Victoire David, veuve du franc Michel~ dit .Mi-
gnon~ donna au Houge-d'Auncau un vieux pistolet
d'arçon qui se ro'~utait au milieu des fromages. Le
Houge-d'Auncau chargea l'arme et alla l'essayer dans
la cour. « Ça fera l'aftaire~ dit-il en rentrant; ça
n'est pas heau~ mais c'est bon. ))
Là-dessus~ le Rouge-d~Auncau le Uorgnc-du-
Mans~le père Lapicrrc~ le Petit-Normand, Berrichon-
Hclhommc~ le Grand-Dragon et Miracoin~ sortirent
deux a deux et se dirigèrent vers Sainte-Christine.
Ils restèrent dans les bois jusqu'à dix heures du soir.
La nuit s~avançanL ils parurent et furent bientôt
arrives au hameau. On n'y voyait pas une scutc lu-
mière. Dans la maison Marchanda pas un bruit. Lus
époux Marchand étaient couches, mais ta femme n'é-
tait pas endormie. Elle entendit un bruit de pas dans
son jardin, du côte du toit a vache « Lh mon
homrne~ dit-elle a son mari~ je crois qu~on vole nos
choux. Eh! qu'on vote, répondit Marchand tout
endormie ils n'emporteront pas tout. ))
En ce moment un hruit de ferraille retentit au
contrevent; c'étaient les barreaux qu'on arrachait.
Presque aussitôt un coup violent jeta la croisée en
dedans et un homme parut.
C'était le chef des bandits.
A peine le Rouge-d'Auneau était-it entrée que la
femme Marchand se précipita sur lui, le saisit viuicm.
ment au bas-ventre, et se mit a le traîner par la
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