Titre : Journal de l'Empire
Éditeur : Imprimerie de Lenormant (Paris)
Date d'édition : 1809-01-17
Contributeur : Étienne, Charles-Guillaume (1777-1845). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32797692j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 12679 Nombre total de vues : 12679
Description : 17 janvier 1809 17 janvier 1809
Description : 1809/01/17. 1809/01/17.
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4189650
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
̃MAKDI 17 Janvier i8ogt
(ÎI)
O U R N A L DE L' E M P I R K
~v:I S..
Fep '~° `a onnr.ment ase JOURNAL DES DEBATS aa~bu'r-'
Ahui JOURNAL DE L'EMPIRE est deqaime ft.-poiir trois moi»,
de irente ir.puur six mois et de soimuitt; IV. pour l'année.
Les lettres paquets et argent doivent être adressés franc de
-part, a M. Geoffroy me des Prêtes S. Oerin. l'sfux., «°. 17.
On oet [ni.i de joindre à toutes les rdclaniaiioas,clmtigenientd'adrese,
ttmemelu u'aioiuieiueci», U dernière .-idrfsae imprimée que l'on recuit
»vet le jourajl on sera servi plus (ironipteiueut.
.a:.v.
-NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
HONGRIE,
SemSn, i5 'àécemfire*
Nous avons enfin des détails authentiques sur la catas-
trophe de Constantinople. Muslapha-Baraictâr a été tué
• bien 'certainement le second jour de l'insurrection mais les
circonstances et le genre de sa mort sont encore ignorés.
Sônparli a été soutenu avec beaucoup de vigueur par le
capitan-pacha qui l'eût fait triompher s'il avoit été mieux
secondé de ses subordonnés. Ce chef de la (lotte fit entrer
dans le sérail du côté de la mer, un nombreux renfort de
seiinens qu'il envoya prendre sur des transports à Scutary
à Tchiffleik et dans les autres lieux où ce corps étoit caserne.
Par ce moyen, la garnison du sérail fui en état de faire
.contre les janissaires une sortie où ils furent battus et re-
pousses jusqu'au palais de leur aga qu'ils avoient massacré
deux jours auparavant.
Le capitan-pacha informé du succès de ses premières
mesures fit tirer à boulets rouges sur le palais où les janis-
saires s'étoient réfugiés. Le feu fut d'abord très-vif, mais
il ne tarda pas à se ralentir; et quelques capitaines de
vaisseaux voués aux janissaires cessèrent le leur sans en
avoir reçu l'ordre. Cet exemple étoit devenu presque
général, lorsque des dépùtations de plusieurs quartiers de
la capitale vinrent déclarer leur adhésion au parti des janis
saircs. Le capitan-pacha craignant alors d'être arrêté,
«uilla son bord trop tôt peut-être, et chercha son salut
dans la fuite. On 'ignore ce qu'il est devenu.
Les janissaires, renforcés à leur lonr, se rendirent maîtres
̃du sérail et firent mettre bas 1rs aunes à' la garnison. Après
a oir cherché et découvert le cadavre de Mustapha-Ba-
raictar, ils conduisirent à la mosquée le sultan Mahmoud et
le proclamèrent Emperenr, en lui faisant jurer le maintien
de leurs privilégcf*
PRUSSE.
BerCin 5 janvier.
Il est ordonné aux ministres de toutes les villes par
lesquelles passeront. LL. MM. prussiennes à leur retour
de Russie de prêcher sur le verset 14 du pseaume 5o.
Le comité administratif vient d'adresser une sommation
de paiement très-pressante aux contribuables qui s'inïa-
ginoient que l'évacuation de Berlin par les troupes fran-
çaises les dispensoit d'aeguitter les taxes respectives.
FEUILLETON DU JOURNAL DE L'EMPIRE.
"Mardi 17 Janvier 180g.
ACADÉMIE IMPÉRIALE DE KUSIOOE.
La Caravane, Utysse.
THEATRE FRANÇAIS.
La Mère coupable le Parleur contrarié.
Donajn pour la représ- nlation au M.«!fi e de M. Naudct, la prem.
rep. de la reprise u Hanùct, et la Jeunesse de Uenri y.
THEATRE IMPÉRIAL DE l'o V K R A-C O M I Q V E.
iZénare et Azor Ninon chez madame de Séfigné.
THÉATttE D E l'iMPKRATRICB.
Aujourd'hui, Concert de M. BailloL
THÉÂTRE DU VAUDEVILLE.
sirkquin à Alger, les Pages la Danse interrompue.
THÉ AT RE DES VARI ET ES.
Le Um'eUlon Comme ça fient Habits Vimx Calons, Romaiavilh.
Tli;h~'ATRE Ii DE' LA A t7.ALET?;. É..
La Citerne. T H,É AT RE DE LA O A 1 E T É.
AMBIGU- COMIQUE
La Belle-Mère et les Deux Orphelins, Saahem.
CIRQUE OLYMPIQUE D KS SIEURS FRANCONT.
Grands Exercices d^uuaûon danse et voltige su les cLrtTaus suivis
de C Entrée des Fiançais à Madrid.
Aujourd'hui, spectacle cUcz M. Pierre à sept henm et demie.
PAMUB.ASIA IMPJÉRIAt,-
Le Panorama de Tilsit est eiiTcrt au publie dans la fttindc rotonde r
bvaUmddes Cat-ucine.. priid'çmrs'e, a lxaa«, ̃'̃
CONFEDERATION DU RHIN:
« H/f j Siuttgard 9 janvier.
de lithur a Par le reSCript suivant le changement
de lithurgie
Frédéric ect 11 y a long-temps que nous étions pénétrés
delà nécessite d adopter, pour l'église évangélique luthé-
rienne de notre royaume, une iilhurgie meilleure, et qui
P.Kconfoi:n]eà 1 enseignement pur de la religion?* à
1 édification publique et à l'esprit du siècle actuel. Plusieurs
motifs nous ont déterminé à ne point laisser le choix des
formulaires lithurg.ques aux, ecclésiastiques eux-mêmes-
mais d en ordonner une particulière, en forme de loi, con'
loniieiacnt-au principe d'unité..< •
Kous ordonnons en conséquence que la présente litïiux*
gie, dont une part.e a été prise des formulaires, et l'autre
partie dans les meilleures collections lithurgiques avec des
changernens utiles, soit en usage dans toutes les églises
evangeliques luthériennes de notre royaume. Notre but t
en ordonnant cette mesure n'est point de mettre pour
toujours des entraves aux améliorations à venir, ni d'as-
treindre les ecclésiastiques à la lettre de ces formulaires
lorsque, quelques circonstances particulières en exigeront
qudqu application spéciale. Nous nous attendons cependant
quds s abstiendront de tout changement arbitraire et
quils emploieront tout leur zèle pour répondre à nos
vues.
Francfort, 12 janvier. ̃ ̃-
Un de nos journaux présente l'aperçu suivant des con-
1 ingens des Etats de la Confédération du Rhin en !8o8 •
llo.yaunies de Bavière 50,000 honu
de Westphahe. 4 ̃ 25)O0o
ie S"8' • • 2O>°°o
de \Vurtemberg s 12)000 •
(.jrands-duches de Bçide.̃ 8,000
de Berg. 5')OOO •
'̃• l'w^'r • • 4,ooo
iS de Wurlzbourg 2 000
~assari: i,~8o
t>ottia.• i, ,t. n
..Me:;k!eu,bourg-Schwerin. ,'rtoo
rnnec Primat. _gg
Duc de Weimar §00
Prince de Sclnvartzbourg g50
Duc de iMecklcnbourg-Slrelilz a00
Prince de Waldeck.. /00
Ducs de Saxe
d'Anhalt §ob
de Salm et d'Aremberg 7oa
Princes de Lippe t fâQ
d'Iscmbourg, de Hohenzollern, de
Lichtenstein cl dela.Leycn 65o
de Reuss ^Q
^Total. ï ny,i5o
-™– 'Il' III >•
THEATRE FRANÇAIS.
MacÇetH.
Le public avoit rendu justice à la pièce: il avoit ri ce qui
lorsqu il s agit d'une tragédie noire, vaut beaucoup mieux que
de sitttcr. Un malin, en voyant .la .reine Frédégonde arriver sur-
la scène en dormant, un flambeau dans une main, un poignard
dans 1 autre, s'étoit avisé de crier casse-cou ̃: mot trivial mais
plaisant fait pour casser le cou à l'auteur et à la pièce. te ridi-
Çule seul peut faire justice de ces horribles parades. Il ne fût
jamais venu dans l'esprit, de l'auteur de Rodogune de -dégrader
sa Cleopatre par uns ignoble pantomime. QueTest lé spectateur*
sensé qui ne regarde comme une effroyable farce une rein»
somnambule, qui1 Ta égorger en dormant son propre fils,=
croyant assassiner le fils du roi d'Ecosse? Cet abominable rêve
n est pas même dans la nature C: une femme qui médite un si
grand cnma est toujours bien éveillôe.
Ducis nous apprend dans s^préface que madame Vestris
dans cette scène singulière et mémorable, frappa de surprise
et d immobilité tous les spectateurs. Mlle Raucourt, le iour
'de la reprise de Macbeth, n'a pas été si heureuse que madame;
estris quoiqu'olle n'ait pas été moins bonne comédienne, te--
parterre du temps de madame Vestris étoit une troupe d'en-
taus à qui la bonne raconte des histoires de sorciers et de reve-
nans; il a grandi depuis la première représentation de Macbeth; t
il rit anpurd hm des contes dont il étoit alors effrayé.
Je croyois que i'acoueil fait dernièrement à Macbeth et k
Fiedegonde les de^oûteroit de paître et qu'ils cr«indroieat
(ÎI)
O U R N A L DE L' E M P I R K
~v:I S..
Fep '~° `a onnr.ment ase JOURNAL DES DEBATS aa~bu'r-'
Ahui JOURNAL DE L'EMPIRE est deqaime ft.-poiir trois moi»,
de irente ir.puur six mois et de soimuitt; IV. pour l'année.
Les lettres paquets et argent doivent être adressés franc de
-part, a M. Geoffroy me des Prêtes S. Oerin. l'sfux., «°. 17.
On oet [ni.i de joindre à toutes les rdclaniaiioas,clmtigenientd'adrese,
ttmemelu u'aioiuieiueci», U dernière .-idrfsae imprimée que l'on recuit
»vet le jourajl on sera servi plus (ironipteiueut.
.a:.v.
-NOUVELLES ÉTRANGÈRES.
HONGRIE,
SemSn, i5 'àécemfire*
Nous avons enfin des détails authentiques sur la catas-
trophe de Constantinople. Muslapha-Baraictâr a été tué
• bien 'certainement le second jour de l'insurrection mais les
circonstances et le genre de sa mort sont encore ignorés.
Sônparli a été soutenu avec beaucoup de vigueur par le
capitan-pacha qui l'eût fait triompher s'il avoit été mieux
secondé de ses subordonnés. Ce chef de la (lotte fit entrer
dans le sérail du côté de la mer, un nombreux renfort de
seiinens qu'il envoya prendre sur des transports à Scutary
à Tchiffleik et dans les autres lieux où ce corps étoit caserne.
Par ce moyen, la garnison du sérail fui en état de faire
.contre les janissaires une sortie où ils furent battus et re-
pousses jusqu'au palais de leur aga qu'ils avoient massacré
deux jours auparavant.
Le capitan-pacha informé du succès de ses premières
mesures fit tirer à boulets rouges sur le palais où les janis-
saires s'étoient réfugiés. Le feu fut d'abord très-vif, mais
il ne tarda pas à se ralentir; et quelques capitaines de
vaisseaux voués aux janissaires cessèrent le leur sans en
avoir reçu l'ordre. Cet exemple étoit devenu presque
général, lorsque des dépùtations de plusieurs quartiers de
la capitale vinrent déclarer leur adhésion au parti des janis
saircs. Le capitan-pacha craignant alors d'être arrêté,
«uilla son bord trop tôt peut-être, et chercha son salut
dans la fuite. On 'ignore ce qu'il est devenu.
Les janissaires, renforcés à leur lonr, se rendirent maîtres
̃du sérail et firent mettre bas 1rs aunes à' la garnison. Après
a oir cherché et découvert le cadavre de Mustapha-Ba-
raictar, ils conduisirent à la mosquée le sultan Mahmoud et
le proclamèrent Emperenr, en lui faisant jurer le maintien
de leurs privilégcf*
PRUSSE.
BerCin 5 janvier.
Il est ordonné aux ministres de toutes les villes par
lesquelles passeront. LL. MM. prussiennes à leur retour
de Russie de prêcher sur le verset 14 du pseaume 5o.
Le comité administratif vient d'adresser une sommation
de paiement très-pressante aux contribuables qui s'inïa-
ginoient que l'évacuation de Berlin par les troupes fran-
çaises les dispensoit d'aeguitter les taxes respectives.
FEUILLETON DU JOURNAL DE L'EMPIRE.
"Mardi 17 Janvier 180g.
ACADÉMIE IMPÉRIALE DE KUSIOOE.
La Caravane, Utysse.
THEATRE FRANÇAIS.
La Mère coupable le Parleur contrarié.
Donajn pour la représ- nlation au M.«!fi e de M. Naudct, la prem.
rep. de la reprise u Hanùct, et la Jeunesse de Uenri y.
THEATRE IMPÉRIAL DE l'o V K R A-C O M I Q V E.
iZénare et Azor Ninon chez madame de Séfigné.
THÉATttE D E l'iMPKRATRICB.
Aujourd'hui, Concert de M. BailloL
THÉÂTRE DU VAUDEVILLE.
sirkquin à Alger, les Pages la Danse interrompue.
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Tli;h~'ATRE Ii DE' LA A t7.ALET?;. É..
La Citerne. T H,É AT RE DE LA O A 1 E T É.
AMBIGU- COMIQUE
La Belle-Mère et les Deux Orphelins, Saahem.
CIRQUE OLYMPIQUE D KS SIEURS FRANCONT.
Grands Exercices d^uuaûon danse et voltige su les cLrtTaus suivis
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Aujourd'hui, spectacle cUcz M. Pierre à sept henm et demie.
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Le Panorama de Tilsit est eiiTcrt au publie dans la fttindc rotonde r
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rienne de notre royaume, une iilhurgie meilleure, et qui
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1 édification publique et à l'esprit du siècle actuel. Plusieurs
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mais d en ordonner une particulière, en forme de loi, con'
loniieiacnt-au principe d'unité..< •
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lorsque, quelques circonstances particulières en exigeront
qudqu application spéciale. Nous nous attendons cependant
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vues.
Francfort, 12 janvier. ̃ ̃-
Un de nos journaux présente l'aperçu suivant des con-
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Prince de Sclnvartzbourg g50
Duc de iMecklcnbourg-Slrelilz a00
Prince de Waldeck.. /00
Ducs de Saxe
d'Anhalt §ob
de Salm et d'Aremberg 7oa
Princes de Lippe t fâQ
d'Iscmbourg, de Hohenzollern, de
Lichtenstein cl dela.Leycn 65o
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^Total. ï ny,i5o
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THEATRE FRANÇAIS.
MacÇetH.
Le public avoit rendu justice à la pièce: il avoit ri ce qui
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la scène en dormant, un flambeau dans une main, un poignard
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Çule seul peut faire justice de ces horribles parades. Il ne fût
jamais venu dans l'esprit, de l'auteur de Rodogune de -dégrader
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Ducis nous apprend dans s^préface que madame Vestris
dans cette scène singulière et mémorable, frappa de surprise
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estris quoiqu'olle n'ait pas été moins bonne comédienne, te--
parterre du temps de madame Vestris étoit une troupe d'en-
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Je croyois que i'acoueil fait dernièrement à Macbeth et k
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