Titre : La Dépêche : journal quotidien
Éditeur : [s.n.] (Toulouse)
Date d'édition : 1936-03-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327558876
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 03 mars 1936 03 mars 1936
Description : 1936/03/03 (A67,N24663). 1936/03/03 (A67,N24663).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG09 Collection numérique : BIPFPIG09
Description : Collection numérique : BIPFPIG12 Collection numérique : BIPFPIG12
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Description : Collection numérique : Bibliothèque Rosalis... Collection numérique : Bibliothèque Rosalis (Toulouse)
Description : Collection numérique : Presse locale Collection numérique : Presse locale
Description : Collection numérique : Presse quotidienne Collection numérique : Presse quotidienne
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k4138224f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-10171
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/02/2019
APRES LE DRAME
DE CASSELARDIT
L'agresseur est arrêté. L'état de
la victime reste grave
I „« relaté, hier, les circonstan
jï** Quelles Louis Cousteau, âgé
J&* ferrailUer. demeurant, 10, rue
ê 20 ^ a. été grièvement blessé par
pd de deux 00 up8 de rasoir à la
anVas gauche. ,
I Meet que la victime avait déclaré
r no fjlS.l e ohef de la sûreté, qu'il
I g samedi soir dans UJIl bar de
iVit 1 , Rayonne, en compagnie d'un
Edouard D.., âgé de 18
•LV ient retrouver là une amie
# S-h Mais la jeune fille n'avait
^ÎU^^le au rendez-vous. Les deux
"'2s ^ Vos errèrent donc de café en
-é&s ^'espoir de la rencontrer. Vers
£\é^&e guerre lasse, ils revinrent
; ,r de l'avenue de Bayonne, à
Ils y restèrent quelq'mes
~ï$t$ Ornent où Ils ressortalenit, un ln-
1Ni % précipita sur Louis Cousteau,
W^ffda la nuque et le bras gauche
m i coUPS de rasoir et disparut.
< w ^^wdier-cihef Pélissier, les sous-
: TU Salles et Escribe, sur les di-
lÀiPiiu chef de la sûreté, ouvrirent
M(ciifMnche matin, une enquête en
mèt ^ retrower le mystérieux agres-
investigations leur permirent
M jt '-¡.bOrd de préciser les circonstan-
yî o"e du drame. Ils apprirent, en
sis^i'une bagage avait éclaté, vers
f#fV à la sortie d'un bal qui avait
ii café Ramos, 1 rue de Grenade,
P ardit. et que c'est là et non ave;
I $jf gayonne, que Cousteau avait été
^'noliciers ne tardèrent pas alors
Le tifier l'agresseur. Il s'agit du
Victor Igrec, plâtrier, demeu-
ra rue de Bayonne. Il fut appré-
lundi dès la première heure, con-
tins tarder dans les locaux de la
uit reté et présenté à M. Baise, chef de
'e^is' aussitôt è, un interrogatoire
Sfu reconnut les faits qui lui étaient
Brochés et donna une version nouvelle
?rfraflie.
La version de l'agresseur
I L'ori'gine du drame serait dans une
li ces querelles qui s'élèvent à la sortie
KL bals alors que les « têtes sont parti-
j&rement échauffées ».
rtaiedi soir (a déclaré Igrec), après
I.'Tms de noce du mariage de son
EL il s'était rendu au bal du café Ra-
■r Ayant eu quelques jours aupara-
W. une discussion avec un autre
Btt Il avait cru devoir se munir d'un
■L;r' dit-il, pour se défendre. ,
fiii cours de la soirée, il eut une dis-
..sion amicale avec une danseuse nom-
«e Angèle qu'il connaissait d'ailleurs
j, longue date et à laquelle il1 aurait
donné une tape sur la joue : « Une lé-
tère gifle ». a-t-il précisé. L'incident
Lt pas de suites au cours du bal.
or à la sortie de l'établissement, il
M interpellé par deux jeunes gens.
LM d'eux lui aurait demandé :
Pourquoi as-tu donné une gifle à An-
gèle? » Victor Igrec répondit : « Cela
me regarde ! » Sur ces mots, son inter-
locuteur lui aurait lancé un coup de
cite au visage. La querelle dégénéra
bientôt en bagarre et Victor Igrec se
sentant en état d'infériorité contre deux
Adversaires, s'arma du rasoir dont il
fiait porteur et en porta deux coups à
'un de ses antagonistes.
Il partit ensuite et accompagna, à son
domicile la jeune fille, avec qui il avait
aiMé toute la soirée. Puis, il revint au
tel Ramos, se lava les mains et le vi-
sage et rentra. enfin chez lui, après
iroir eu soin de jeter son rasoir dans
h Garonne.
La. jeune fille qui serait la cause in-
volontaire du drame, Angèle V...,
demeurant dans le quartier Oasselardit,
j été également entendue. Comme cela
h produit souvent en pareil cas, elle
n nullement connu. la cause de la ba,..-
farre à laauelle elle çssîstsit de loin en
impIe curieuse et ce n'est que le len-
demain, par les journrux. qu'elle a
îirorls la gravité des événements qui
l'étaient déroulés à la sortie du bal.
Les précisions du camarade
de la victime
Edouard D..., le camarade de Cous-
teau, invité également à fournir des
précisions sur les circonstances du
drame, aftmoo que la bagarre amit été
déclenchée par IgtreC, qui aorait cher-
ché, sans raison apparente» querelle à
Cousteau et à lui-même. Il ne serait 1
d'affleuirs intervenu que durant quel-
ques instants, puis Cousteau et Igrec
auraient continué à se battre jusqu'aux
ccups die rasoir.
D'autoes témon.ns dJu drame sont 00-
pendant unanimes à affirmer que Vic-
tor Igrec aurait été attaqué. Quoi qu'il
en soit, il semble que le prétexte de la
bagarre ait été des plus futiles et l'on
peut déplotner les suites sanglantes de
cette discussion.
En attendant, Victor Igrec a été dé-
féré au parquet sous l'inculpation de
coups et blessures graves volontaires
et écroué à Saint-Michel sous mandat
de dépôt de M. Moliniier, juge d'ins-
truction.
L'état de la victime reste encore
grave en raison de son affaiblfesament
( consécutif à la grande quantité de sang
1 perdu.
VITRINES D'ART
ANDRÉ REGAGNON
Nous avons le plaisir de trouver cette
semaine dans les galeries de Chappe,
rue de la Pomme, une intéressante expo-
sition du peintre André Regagnom. Cet
excédent artistes a de qui tenir; il ap-
partient à toute une dynastie de pein-
tres du terroir desquels peut être fier
le Saint-Gironnais et dont celui-ci, le
plus jeune, continue brillamment la tra-
dition.
André Regagnon, bien que fixé à Pa-
ris, s'inspire de la région, de la haute
Ariège en particulier, et son exposition,
composée en majeure partie de paysa-
ges, est tout à fait caractéristique.
Il y a là une trentaine de toiles des
plus séduisantes, parmi lesquelles nous
citerons « le Presbytère », en automne.
« les Bords du Lez », « le Pont enso-
leillé », « Coin de ferme », « le Petit
Ruisseau » et cet important morceau
« le Clocher de Saint-Girons ».
Le paysage est traité avec sentiment,
plus encore quand il s'agit de coins in-
times; la couleur en est agréable et
douoe, mais chaude, bien qu'employée
avec sobriété. Par moments, on croi-
rait avoir affaire à un peintre du nord
qui a enveloppé d'une brume discrète
les chatoyâmes tonalités de l'automne
ou du printemps de chez nous; mais
l'artiste n'en demeure pas moins péne-
tré de l'atmosphère du pays et nous en
pénètre.
C'est habile, c'est moderne sans ou-
trence, témoin le double portrait de fa-
mille, qui est un sûr garant du savoir
faire et du goût de l'artiste, qui, du
reste, a recueilli depuis longtemps, dans ,
les Salons et un neu partout, le succès
qui s'impose. —
A. C.
CHRONIQUE DES ANCIENS
COMBATTANTS
FEDERATION DEPARTEMENTALE
DE LA HAUTE-GARONNE
(Union fédérale)
Le congrès départemental de l'Union
fédéraLe des anciens combattante et de
leurs ayant-droit aura lieu à Toulouse
le 14 mars et le 15 mars courant.
Le dimanche 15 mars, une grande as-
semblée pténiére de clôture aura lieu
au théâtre du Capitole avec le concours
des camarades Nlcoilaï, Viala et Delrieu.
Cette manifestation, à laquelle seront
associés tous les anciens combattants du
département et des départements limi-
trophes, aura une très grande Impor-
tance et serta d'ailleurs précédée, le sa-
medi 14 mars, d'une réunion des diffé-
rentes commissions qui examineront tous
les problèmes intéressant les anciens
combattants et les victimes de la guerre
et traceront la ligne de conduite du
groupement départemental.
Amicale de l'Ouest (Union fédérale). —
On nous commualque :
(t Le congrès de l'Union fédérale dépar-
tementale aura lieu à Toulouse les 14
et 15 mars procituain.
» L,AmicaE de l'Ouest invite ses- adhé-
rents à assister nombreux à l'assemblée
plénière de clôture au théâtre du Capi-
tole le dimanche 15 mars, où ils enten-
dront les camarades Ni-colaï, Viala et Del-
rieu. A l'issue de cette réunion aura lieu
un grand banquet
» Prière de retourner au plus tôt et
avant le 7 mars le bulletin d'adhésion.
» Le samedi 14, notre camarade Coquil-
let, assisté de Busset, Ducos, Hourma-
gnou et anès, présentera, les vœux émis
par la C. A. de l'Amicale, dans les diffé-
rentes commissions. »
LA FETE ANNUELLE DES ENFANTS DE L'AUDE
A TOULOUSE
lUne vue de la salle du banquet.
(Photo c La Dépêche » — Q.)'
UNE COLLISION SUR LA VOIE DU SUD OUEST
IHtrt une collision s'est produite aux abords de la gare de Vacqulers
train du Sud-Ouest et une ca mionnette. Cet accident s'est heureu-
^ > sèment borné à des dég âts matériels importants,
^ < - .(Cliché Modem' Photo.)
LE CYCLISME EN BANLIEUE
(Photo P. Olivères.)
1
Un brelan d' « as » de l'Union sportive ci'Ancarnvllle qui, formant équipe,
s'annonce redoutable dans les compétitions de la saison cycliste qui va bientôt
s'ouvrir. De gauche à droite : Les frères Jean et Alphonse MANCHE, LACHURIE
et Eugène GALUCIE.
A L'INSTITUT NATIONAL
AGRONOMIQUE
Mouvement général et marché
actuel de la propriété rurale
en France
Cette deuxième grande conférence {
sur la propriété rurale. en France, ,
« sujet sacré qui exprime la France
elle-même dians ses origines, son tem- |
pérament et sa liberté », selon les 1
expressions du président introducteur, 1
avait attiré dans notre école supérieure 1
d'agriculture parmi les ingénieurs agro- ,
nomes d'hier et de demain un public
très empressé. 1
Par ses travaux d'expert en matière ,
immobilière et agricole qui en font |
une autorité reconnue et par ses qua- ]
lités de fils de terrien tout dévoué à 1
lia terre, M. Caziot était, en effet, par- ,
ticulièrement désigné pour faire un tel
exposé à l'heure actuelle, exposé dont ■
les données sont vitales pour beaucoup .
d'entre-nous et singulièrement pour (
des jeunes gens spécialisés dont les
promotions annuelles se sont réduites
numériquement de 120 en 1928 à 60 ou
65 actuellement.
' • ''
« *
La constitution terrienne de la
France se présentait hier et se pré-
sente encore aujourd'hui de la façon ;
suivante : la moyenne et la petite ■
propriété occupent les deux tiers du -
territoire. Bien que depuis la guerre
l'importance de la grande propriété ait
déjà sensiblement fléchi, elle repré-
sente encore un tiers du territoire,
mais au point de vue de l'exploitation
28% des surfaces cultivées se réfèrent
à la grande propriété : 100 hectares
et au-dessus. La France est donc un
pays agricole à caractéristique nette-
ment paysanne.
i Depuis quarante - ans, depuis la
guerre surtout, le nombre des exploi-
tants et des ouvriers agricoles a for-
tement fléchi. Les causes de ce fléchis-
sement sont connues natalité défi-
ciente, attirance des villes tentaculai-
res, la guerre qui avec les paysans tués
et l'accroissement de population qu'ils
représentaient nous a enlevé 1 million
et demi de cultiva teuxs. L'enquête agri-
cole qui a été faite officiellement et
dont les résultats vont être mis au
jour révélera ce dangereux amoindris-
sement des forces rurales. N'a-t-on pas
écrit plusieurs fois déjà et à juste
titre : « Mon village se meurt. »
Trois millions 500.000 ou 4 millions
d'exploitations agricoles subsistent,
représentant 7 millions 520.000 cotes
foncières paysannes sur un total de
13 millions 440.000, cotes urbaines com-
prises. La répartition des cotes par
exploitation et par séries n'existe pas
encore.
La France agricole, d'autre part,
nous présente deux types de proprié-
tés ou d'exploitations complètement
différentes, nous dit M. Caziot, grand
connaisseur du territoire : les pays à
exploitations morcelées ou à champs
ouverts qui dominent surtout dans
l'Est avec un mode de peuplement
inférieur et les pays bocagers à exploi-
tations groupées ou à champs clos,
soit : Normandiie, Bretagne, Vendée,
Sud-Ouest, Centre, plus considérables
en étendue et auxquels correspond un
peuplement très supérieur.
L'unité culturelle est ici la ferme, la
métairie, le bordage, dans un cadre
agricole plus solide que celui des pays
de villages à territoires morcelés.
Ces exploitations des pays bocagers
répondent à un effort millénaire des
laboureurs et autres remueurs de terre,
effort qui a. été imposé aux hommes
par d'impérieuses nécessités naturelles,
nécessités qui s'opposeraient insurmon-
tablement à des transformations arbi-
traires. La qualité du sol, la nature du
terrain s'opposent à des exploitations
collectives pour demain comme elles se
sont opposées à des remembrements
hier.
r » »
* *
La propriété agricole, au point de vue
de la vente, se trouve en face du phé-
nomène économique le plus net de
l'époque présente et qui est la chute
de la valeur de la terre, déchéance qui
s'est accentuée surtout depuis 1930
dans des proportions inquiétantes, puis-
que cette valeur dans les circonstances
les meilleures n'atteint plus qu'excep-
tionnellement le coefficient 3 des prix
d'avant-guerre et généralement 2 et
demi ou 2 — quand il y a acquéreur.
Il ne se vend pour ainsi dire plus de
propriétés entières, mais seulement des |
parcelles achetées par des agriculteurs !
voisins, surtout dans les pays d'épar- !
gne accumulées, comme dans le Cal-
vados et le pays de Caux, la Flandre
ou l'Alsace.
Sans actes à dresser, les notaires
campagnards connaissent déjà, en plu-
sieurs endroits, la misère. Le paiement
des droits de mutation constitue un
gros problème, les taux de 8 ou
8 1/2 % du Crédit Foncier étant pro-
hibitifs quand on veut recourir à l'em-
prunt.
Cependant, la dépréciation varie avec
la nature des biens, l'importance des
propriétés. les régions. Dans l'ensemble.
elle atteint au moins 50 % par rap-
port aux valeurs d'avant-guerre. Les
grandes propriétés de Seiné-et-Oise et
de la Beauce n'ont plus leur clientèle
des gros capitalistes parisiens, et pour
cause.
La présence d'un château ou d'une
demeure historique est une contre-
indication à l'achat : témoin Pontcbar.
train. Pour les bo's on ne considère
que les futaies ayant au moins £0 cen-
timètres de tour, défalquant de la
valeur totale les frais des autres
déboisements.
En ce qui regarde la petite propriété,
la Dordogne a connu la transplanta-
tion ne colons bretons et la vallée de
la Garonne la venue de colons italiens.
Ce s éléments n'interviennent plus
désormais.
La dépréciation est particulièrement
rude pour les vignes, la propriété
.
étant rarement payante en Gironde
avec l'arrêt des exportations; dans
l'Hérault et l'Aude avec le blocage de
la récolte.
Etudiant enfin le sens dans lequel la
propriété va évoluer, M. Caziot croit à
une réduction progressive de la grande
propriété au profit de la propriété
paysanne, sauf cessation die la crise.
actuelle et apport de capitaux en, pro-'
venance de l'industrie et du commerce;,
enfin rétablis, ce qui ralentirait le {mou..,
vement vers la division.
Telle fut cette conférence très atten-
tivement suivie par tout un auditoire
tant soit peu oppressé par cette suite
de constatations défavorables trop véri-
diques et journellement vécues par
celui qui les faisait devant nous.
Elle se termina sur les paroles opti-
mistes de M. Romier, conseillant aux
propriétaires du sol de conserver lefurs
biens fonciers, certitude pour eux, de
ne pas perdre en spéculations booosiè-
res l'argent que cette vente leur 'pro-
curerait.
Cette boutade, qui fit rire, a. son. sens ]
profond si l'on se rappelle que la ,'crise
agricole aux Etats-Unis virent tout |
entière diu krach boursier de 1929. Les
faimers américains, réunis en. congrès
cette année-là, entendirent un des
leurs, le vétéran Yosuah, se plaindre >
naïvement que la progression des béné-
fices dans l'agriculture ne fût ,pas en
rapport avec ceux de l'industrie et de
la banque. C'est bien, cependant, pour
être entrés dans la danse du capital
purement scripturaire que l'agriculture
des Etats-Unis et celle de l'Europe, à,
sa suite, paient chèrement aujour-
d'hui.
* *
Signalons, toutefois, que la confé-
rence sur la propriété rurale en
France se situe strictement dans un
cadre plus général et sur le plan très
étendu de l'agriculture dans le monde.
Des conséquences rassurantes peu-
vent découler prochainement des étu-
des et des négociations que suscite ce
grand problème urgent, soit qu'il
s'agisse de compensations à établir
entre nations pour les .produits de la
terre, soit que se développe entre les
divers éléments de notre activité un
équilibre plus juste, soit enfin que l'on
en vienne pour l'agriculture à une
fiscalité mieux adaptée comme suite à
la revision cadastrale en cours.
La propriété rurale en France porte
en soi-même les meilleures garanties
de la durée. Rien ne lui est compara-
ble à ce Doin t de vue.
C. BRIVAL
LES FAITS DIVERS
Tentative de cambriolage. — Dans la
nuit du 1er au 2 courant, un ou plusieurs
malfaiteurs ont tenté de pénétrer par ef-
fraction, dans l'établissement de M.
Georges Bertrand, chocolatier, 13, place
Olivier.
Une fenêtre donnant sur la rue du
Chapeau-Rouge a été forcée et un car-
reau brisé. Les malfaiteurs n'ont pu ren-
trer à l'intérieur de cet établissement,
car ils se sont trouvés en face d'un mur
la fenêtre ne donnant pas accès avec
l'intérieur.
Sur plainte, une enquête est ouverte
au 7e arrondissement.
Un vélo disparaît. — M. René Laborde,
maçon, demeurant à Lardonne, a porté
plainte contre inconnu, au 7e arrondis-
sement, pour vol de sa bicyclette, com-
mis le 1er mars entre 15 heures et
19 h. 30, devant le café du Commerce, à
Lardenne.
Les vols sur les autos. — M. Jean Fo-
restier, pharmacien, à Preign-ae (Gi-
ronde), de passage à Toulouse, a porté
plainte contre inconnu, au premier ar-
rondissement pour vol d'un appareil
photographique et de deux bouteilles de
muscat, commis dans la nuit du 1er au 2
courant sur son automobile en station-
nement'dans la cour de l'affenage, 5, rue
Mirepoix.
Mort subite. — Hier matin, vers 9 heu-
res, M. Jean-Marie Deau, demeurant, rue
des Sept-Deniers, 82, passait avec sa
femme rue de La Pomme lorsqu'il est
tombé inanimé sur le trottoir.
Transporté aussitôt dans un magasin,
il a été examiné par le docteur Pérès,
qui n'a pu que constater le décès, sur-
venu à la suite d'une crise cardiaque.
Le corps a été transporté au domicile
de la famille par les soins des Pompes
funèbres.
Une automobile disparaît. — M. Geor-
ges Py. âgé de 32 ans, mécanicien-den-
tiste, demeurant 17, rue d'Aubuisson,
a porté pta.inte contre inconnu à la per-
manence de police pour vol die son au-
tomobile commis hier soir, vers 21 h. 15,
devant son domicile.
Un pardessus noir usagé se trouvait
sur le siège avant de la voiture.
La sûreté, la huitième brigade mobile
et la gendarmerie ont été avisées.
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finances, direction des contributions
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MAILHAC, président de la Confédéra-
tion générale des vignerons.
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adressé à l'OFFICE DU LIVRE, 42 bis.
rue Alsace-Lorraine. TOULOUSE
AU JOUR LE JOUR
CERCLE LAIQUE PIERRE-MAURY
(Faubourg Bonnefoy)
Les membres du conseil d'adminis-
tration qui font partie des colonies de
vacauices et de la tombola sont priés
de bien vouloir assister aux réunions
qui auront Iteu le mercredi 4 courant,
à l'écolo maternelle, à 21 heures.
Tous les membres du Cercle libres
die lleur temps ce jour-là et que ces
questions intéressent sont cordialement
mviiés à assister à ces deux réunions.
Ils, n? peuvent que tirer profit des
diisdus"slOr¡,: qui auront- vieu et pour-
lont rime rendre service au conseil
d'administration pour la constitution
des organismes en vue de la. bonne
,marche des colonies de; vacances ou de
,la'-vente des billets de tombola.
ASSOCIATION DES ANCIENS
ETUDIANTS DE LA FACULTE
DE DROIT DE TOULOUSE
ET DES ECOLES ANNEXES
L'Association des anciens étudiants
de la Facilité de droit de Toulouse et
des écoles annexes (Ecole de notariat,
Ecole pratique de droit) a tenu ces
jours derniers son assemblée générale
annuelle.
Son conseil d'administration a été
complété par l'élection de MM. Pierre
Dasté, notaire; Henri Duran,, Gabriel
Gardés, avoué au tribunal; André
Haon, avocat à la cour, et Gabriel
Marty, professeur à la Faculté.
Le bureau de l'Association se com-
pose pour l'année 1936 de la façon sui-
vante :
Président, Me Camille Forgues, avoué
à la cour; vice-présidents, MM. Joseph
Magnol, professeur à la Faculté, et
Georges Servat, directeur des contri-
butions indirectes de la Haute-Garonne;
secrétaire général, Me Pierre de Gorsse,
iavocat à la cour; secrétaire adjoint,
•Me Marcel Dutot, avocat à la cour;
trésorier, M8 Pierre Duffaud, avoué à
ïa cour; trésorier adjoint, Me André
iBribes, avocat stagiaire à la cour.
; L'Association a fixé au samedi
17 mars, à 22 heures, dans les salons
•du Grand-Hôtel le bal annuel, dit « bal
du droit », dont les bénéfices permet-
tent l'attribution de bourses d'études
et de prix.
Le samedi suivant 14 mars, à 20 heu-
res, au restaurant Lafayette aura lieu
le dîner annuel de l'Association.
CERCLE LAIQUE DU CANTON
OUEST
Le mercredi 19 février, à 21 heures,
à la cantine scolaire de la. rue Coupe-
Fer, le Cercle laïque du canton Ouest
fêtait dans t'intimité la récente élection
de M. Massip, vice-président de la
Caisse des écoles de Toulouse.
Une nombreuse assistance avait ré-
•pondu à l'appel discret adressé à tous
iles amis de l'œuvre.
Parmi les personnalités présentes,
(auxquelles s'était joint le conseil
'■d'administration du Cercle réuni au
complet, citons, au risque de commettre
vquelque oubli dont nous nous excusons
par avance :
MM. Rogalle, adjoint au maire;
Auriol, conseiller municipal, président
du Cercle; Desbals, conseiller munici-
pal; MM. Massip, Rauzy, Lasserre,
Goret, MM. Brustes et Saby, présidents
d'honneur; Bernard, trésorier de la Fé-
dération départementale des œuvres
laïques; Marcel Billières, secrétaire
général des hospices; Belbèze, président
du Patronage du docteur Bach.
Prenant le premier la parole, le prési-
dent souligne le caractère intime de
cette manifestation, et félicite Massip.
Il engage les auditeurs à se grouper
toujours plus .nombreux autour d'une
école qu'on attaque toujours, mais qu'on
n'abattra jamais.
Parlant au nom de l'Amicale Fabre,
qui est reçue avec bienveillance sur le
terrain de jeux du Cercle et au nom de
la Fédération départementale dont il
est le trésorier, M. Bernard apporte à
Massip le témoignage d'estime de tous
les laïques et profite de l'occasion qui
lui est offerte pour rappeler que le
Cercle laïque figure parmi les premières
associations qui ont contribué à la
constitution de la Fédération.
M. Bernard se réjouit à son tour de
l'adhésion du Tookey-Club au Cercle
laïque du canton Ouest.
Enfin, M. Belvèze, président du Pa-
tronage du docteur Bach, manifeste sa
sympathie pour Massip et, dans une
allocution émouvante, il nous dit
combien furent précieux pour lui les
conseils que lui donna notre ami lors de
la fondation du Patronage Bach.
ASSOCIATION
DES ANCIENNES ELEVES DU LYCEE
DE JEUNES FILLES DE TOULOUSE
Jeudi prochain 5 courant, l'Association
des anciennes élèves du lycée cl jeunes
filles tiendra sa réunion mensuelle dans
le cadre harmonieux de la salle des
professeurs du Lycée de jeunes filles.
Mme caa.ba.yrac, agrégée en philoso-
phie, professeur au lycée, a bien voulu
honorer l'Association d'une causerie sur
un sujet particulièrement attrayant.
Les professeurs honoraires, profes-
seurs et adhérents sont invités à venir
écouter en nombre la distinguée confe-
rencière.
La causerie de M"' Calbayrac Sera
suivie d'un concours de suggestions
ouvert à tous les membres de l'Associa-
tion et doté de plusieurs prix.
PATRONAGE LAIQUE
DE L'ECOLE DU SUD
Le comité des Anciens élèves de
l'école du Sud, chargé de l'érection d'un
buste à M. Dupont, invite tous les an-
ciens élèves et les amis de l'école à as-
sister à la réunion qui aura lieu le mer-
credi 4 mars, à 21 heures, à l'école du
Sud, dans laquelle il rendra compte de
son mandat.
Une causerie sera. faite sur le cente-
naire de l'école du Sud,
DISTINCTION HONORIFIQUE
Parmi les nouveaux promus au grade
d'officier de l'Instruction publique, nous
relevons une des personnalités les plus
sympathiques dans le monde mutualiste,
M. Joseph Delieux, chevalier de la
Légion d'honneur, commissaire spécial,
chef de service hors classe honoraire des
chemins de fier, ancien chef de bureau
à la, direction de la sûreté publique de
Tunisie.
Nous prions M. Delieux de trouver
ici l'assurance de nos sincères félicita-
tions pour la juste récompense qu'il
vient de recevoir et qui est si bien mé-
ritée.
ELECTION
DE LA REINE DES FETES
DE TOULOUSE
Le comité des fêtes de Toulouse invite
les jeunes filles toulousaines ou habi-
tant notre ville ou sa région, qui dési-
reraient briguer le titre de Reine des
Fêtes de Toulouse, à vouloir bien poser
sans retard leurs candidature.
La demande, obligatoirement apos-
tillée par deux personnes honorable-
ment connues de la ville, comprendra
les nom, prénoms, âge et adresse de la
candidate, et sera accompagnée d'une
photographie récente. Elle devra être
adressée à M. le président du comité des
fêtes, 2 bis, rue d'Alsace-Loi .t ine (cham-
bre de commerce), Toulouse.
. La signature de la postulante sera
légalisée par M. le maire dr Toulouse ,
(4e bureaux. j
En outre, la demande des jeunes filles
mineures devra être accompagnée de
l'autorisation écrite de le - père, mère
ou tuteur.
Les jeunes filles présentées directe-
ment au comité par leur employeur se-
ront dispensées de ces diverses forma-
lités.
La liste d'inscription sera alise le 12
mars courant. -
SOCIETE D'ORTICULTURE
DE LA HAUTE-GARONNE
Mercredi 4 mars, & 14 h. 30, 8JU jar-
dlilIl d'essais, rue du Midi, M. le pro-
fesseur Lapédagne donnera une séance
de démonstration de taille des arbres
fruitiers et parlera de la greffe en
fente simple.
Le public est admis.
CONCERT-BAL
Le CM) russe de Toulouse nous
informe qu'il organise le samedi 7 mars,
à 21 h. 30, 15, place Wilson, un con-
cert-bal au profit des oeuvres de bien-
faisance de l'Eglise orthodoxe russe
Saint-Nicolas.
LA VAILLANTE TOULOUSAINE
La Vaillante toulousaine, qui a tenu
son assemblée statutaire le 23 février
1936, en présence de tous ses membres
honoraires, a composé ainsi son bu-
reau :
Président, M. Artigue; vice-prési-
dents, MM. Basset et Troy; secrétaire
général, M. Louis Lapasset; secrétaire
adjoint, M. Claude Laffont; trésorier
général, M. Louis Lajous; trésorier ad-
joint, M. Jean Toulouse.
Vice-présidents honoraires : MM. de
Lacvivier, Franc.
Membres d'honneur : MM. Gomard,
Fitte.
Membres du conseil : MM. Pagès,
Néron, Barthès, Besset, Jean Lenfant,
Paul Redon, Enjalbal père, Marceau
Clergue, Roques, Dini.
Directeur, M. Albert Barada; profes-
seur, M. Marius Plantade; moniteurs
adjoints ; MM. Toulouse, Barthez, La-
font.
La reprise officielle des cours aura
lieu les mardis et vendredis pour les
adultes; professeur M. Barada; les
mercredis, pour les pupilles, professeur
M. Plantade.
Préparation en vue des prochaines
sorties.
MOUVEMENT DES PORTS AERIENS
Ligne France-Espagne-Maroc. — Le
courrier aérien d'Air-France parti de
Toulouse le 2 mars 1936, à 6 heures, est
arrivé à Casablanca, le 2 mars 1936,
vers 18 h. 45. ,
L'avion d'Air-France parti de Casa-
blanca le 2 mars 1936, à 6 h. 40, est ar-
rivé à Toulouse le 2 mars 1936, à
16 h. 28.
Ligrne France-Indochine. — L'avion
d'Air-France parti d'Hanoï et Saigon le
23 février 1936 est arrivé à Marseille
le 1er mars 1936, à 15 h. 40.
Désirez-vous faire un déplacement à
l'étranger?
Avez-vous un colis pressé à envoyer?
N'oubliez pas que les avions d'Air-
France, qui desservent les principales
villes d'Europe, vous feront gagner un
temps précieux 1
MARCHE AUX GRAINS
Toulouse, 2 mars. — Bladette et blés
fins supérieurs, 78 fr. les 80 kilos; avoine,
40 fr. les 50 kilos; maïs 35 fr. les 75 ki-
los; farine, 142 fr.; gruaux, 155 fr.; re-
passe, 45 fr. son, 45 fr. le tout les 100
kilos.
MARCHE DES VINS
DE LA HAUTE-GARONNE
Cotation du 24 au 29 février 1936 :
Vins rouges : 8 degrés et au-dessus :
6 fr. 50 à 6 fr. 75; 9 degrés et au-des-
sus : 6 fr. 75 à 7 framcs; 10 diegrés et
au-dessus : 7 francs à 7 fr. 10, pour
vms loyaux et marchands.
Vins blancs : Pas d'affaires.
CONSOMMATEURS ! Exigez de vos
fournisseurs le « Timbre CD. ». Le petit
carnet C.D. est vite garni. 4
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les dixièmes 2e tr. du Comptoir Régio-
nal de Banque (dépôt central des Lote-
rie), 8, square Capitole, créé en 1923.
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qualité imbattables. Seul spécialiste de
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ni'que médicaJe d'Ionothérapie », octo-
zone, 5, allées Alphonse-Peyrat, réside
dans la diversité des traitements en
application des plus récentes découver-
tes de la physico-chimie. L'appareillage
le plus moderne de la région, les ga-
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M. FONT, TAILLEUR, 34, rue Moîl-
toulieu-Vélane, est transféré, 8, rue de
la Trinité.
La Vie syndicale
Fédération nationale des tabacs et al-
lumettes. — La. section de Toulouse In-
vite tous ses membres à assister A la
réunion générale du syndicat qi.i aura
lieu le 4 mars, à 17 heures, dans la gran-
de salle de la Bourse du travail.
Le syndicat lance un pressant e.pjpel
auprès des retraités, quel que soit le e-.
gims de retraite auquel Ils sont fyssmjat-
tis, pour assister nombreux à cetl, ■ grar.-
de réunion où prendront la parole, outre
la secrétaire générale Delabit, t,>uâ les
militants responsables de notre
tion.
Un repas fraternel devant suivre cette
importante réunion, les camarades re-
traités qui voudraient y assister i5cmt
invités à se faire inscrire au secrétariat
du syndicat. — Le conseil syndical.
C. G. T. 8. R. — Union locale. — A60
semblée générale de l'Union locale au-
jourd'hui mardi 3 mars, à 21 heures, au
siège.
Cartel des services publics. j— Les IDe-
orétai des services publics sont convoqués à la
réunion d'information du camarade Gi-
ron, secrétaire du Cartel central, tesadl
2 mars, à 21 heures, Bourse du toavall
(salle 13).
Intersyndicale des employés de eem.--
merce et de l'Industrie membres de if
C. P. — Réunion aujourd'hui 2 mars, S
19 heures. Bourse du travail. RéCl;;:;.>'t.:.);.:r,
des membres de la Fédération.
' • i
• ■
L'Initersynidilcale invite tous les adîîé"
reruts à assister au meeting qui aura lieu
mercredJ1 4 mars, à 21 heures, ranoioiuio
salle de lIS. Faculté des lettres, avec 0
Gapooci, président du conseil dss pru-
d'hommes de la Seine; Duiisabou, secré-
taire du Syndicat parisien des voyageurs
et représentants; Marty-RoIlan, ancien
secrétaire du Syndicat des employés.
SOCIÉTÉS DIVERSES
Orphelinat des chemins de ter fraa*
cals. — Les membres de la section de
Toulouse sont priés d'assister à la "ëu-
nion qui aura lieu le jeudi 5 mars
dans une salle du café Victoria, pour
l'examen des questions portées à tordre
du jour de l'assemblée générale statu-
taire.
Chorale Réveil Bonnefoy. — Noif
mardi 3 mars et vendredi, répétition, &
21 heures précises au siège. Etude vu
programme du concours de Satot Ra<-
phaël.
Avenir musical de Bonhoure. — Ge < mardi, à 9 heures, répétition au stè&e.
Alerte toulousaine. — Ce soir réfp.n.l«
tion générale au siège. Présence iiïdlBîK:
sable. Sortie de dimanche matin.
Club taurin toulousain. — - Amsi iblfe
générale ce soir, à 21 heures, a n eiAge,
arcades du Capitole. Tirage au sert pour
Barcelone.
Clémence-Isaure. — Répétition, d'en-
semble mardi 3 et vendredi 6 mars, à
21 heures, au siège.,
Audition au poste Toulouse-Pyrénées
samedi 7 mars.
TROUVAILLES
Réclamer : à M. Troupel, 16, rue Puy-
maurin, un gant; è M. Dejfour, 5 pue
Pouzonville une reconnaissance du Cré-
ddt municipal; à Mu« Coyne 54 bis, rue
Alsace, un portefeuille; à M. Du«foii.,-
EWenue des Hortensias, une mo'n!hreQH't;
oelet de dame; à M. Jamot, 7, rue te;-A
poix, un sac à main de fillette, à i,,.
Besrgutereau chemin de Lespànet, tif,
trousseau de clés; à M. Grossac, 14, Xj
Saint-Erembent, un gprte-monnjaie: à " X.
Gracia, chemin de ronde des 1 -
nes, 5, une médaille avec écrit ,; ;
Sentenac, marché des Carmes, • >
monnaie.
LE RUGBY A ST-CYPRIEN
L'Avenir Saint-Cyprien a battu dimanche, sur le terrain des Turres, "f'
objatoise par 6 points à 0. Voici une phase de ce match qui représe, - 16
demi de mêlée toulousain ouvrant sur fies tTOle-quarts.
(Photo « La Dépêche » — G.)'
NOS JEUNES ÉQUIPES DE FOOTBALL
(Photo P. Olivères.)
La toute Jeune équipe de football du Red-Star de IVmïouse qui est campo. JK
uniquement da scolaires.
DE CASSELARDIT
L'agresseur est arrêté. L'état de
la victime reste grave
I „« relaté, hier, les circonstan
jï** Quelles Louis Cousteau, âgé
J&* ferrailUer. demeurant, 10, rue
ê 20 ^ a. été grièvement blessé par
pd de deux 00 up8 de rasoir à la
anVas gauche. ,
I Meet que la victime avait déclaré
r no fjlS.l e ohef de la sûreté, qu'il
I g samedi soir dans UJIl bar de
iVit 1 , Rayonne, en compagnie d'un
Edouard D.., âgé de 18
•LV ient retrouver là une amie
# S-h Mais la jeune fille n'avait
^ÎU^^le au rendez-vous. Les deux
"'2s ^ Vos errèrent donc de café en
-é&s ^'espoir de la rencontrer. Vers
£\é^&e guerre lasse, ils revinrent
; ,r de l'avenue de Bayonne, à
Ils y restèrent quelq'mes
~ï$t$ Ornent où Ils ressortalenit, un ln-
1Ni % précipita sur Louis Cousteau,
W^ffda la nuque et le bras gauche
m i coUPS de rasoir et disparut.
< w ^^wdier-cihef Pélissier, les sous-
: TU Salles et Escribe, sur les di-
lÀiPiiu chef de la sûreté, ouvrirent
M(ciifMnche matin, une enquête en
mèt ^ retrower le mystérieux agres-
investigations leur permirent
M jt '-¡.bOrd de préciser les circonstan-
yî o"e du drame. Ils apprirent, en
sis^i'une bagage avait éclaté, vers
f#fV à la sortie d'un bal qui avait
ii café Ramos, 1 rue de Grenade,
P ardit. et que c'est là et non ave;
I $jf gayonne, que Cousteau avait été
^'noliciers ne tardèrent pas alors
Le tifier l'agresseur. Il s'agit du
Victor Igrec, plâtrier, demeu-
ra rue de Bayonne. Il fut appré-
lundi dès la première heure, con-
tins tarder dans les locaux de la
uit reté et présenté à M. Baise, chef de
'e^is' aussitôt è, un interrogatoire
Sfu reconnut les faits qui lui étaient
Brochés et donna une version nouvelle
?rfraflie.
La version de l'agresseur
I L'ori'gine du drame serait dans une
li ces querelles qui s'élèvent à la sortie
KL bals alors que les « têtes sont parti-
j&rement échauffées ».
rtaiedi soir (a déclaré Igrec), après
I.'Tms de noce du mariage de son
EL il s'était rendu au bal du café Ra-
■r Ayant eu quelques jours aupara-
W. une discussion avec un autre
Btt Il avait cru devoir se munir d'un
■L;r' dit-il, pour se défendre. ,
fiii cours de la soirée, il eut une dis-
..sion amicale avec une danseuse nom-
«e Angèle qu'il connaissait d'ailleurs
j, longue date et à laquelle il1 aurait
donné une tape sur la joue : « Une lé-
tère gifle ». a-t-il précisé. L'incident
Lt pas de suites au cours du bal.
or à la sortie de l'établissement, il
M interpellé par deux jeunes gens.
LM d'eux lui aurait demandé :
Pourquoi as-tu donné une gifle à An-
gèle? » Victor Igrec répondit : « Cela
me regarde ! » Sur ces mots, son inter-
locuteur lui aurait lancé un coup de
cite au visage. La querelle dégénéra
bientôt en bagarre et Victor Igrec se
sentant en état d'infériorité contre deux
Adversaires, s'arma du rasoir dont il
fiait porteur et en porta deux coups à
'un de ses antagonistes.
Il partit ensuite et accompagna, à son
domicile la jeune fille, avec qui il avait
aiMé toute la soirée. Puis, il revint au
tel Ramos, se lava les mains et le vi-
sage et rentra. enfin chez lui, après
iroir eu soin de jeter son rasoir dans
h Garonne.
La. jeune fille qui serait la cause in-
volontaire du drame, Angèle V...,
demeurant dans le quartier Oasselardit,
j été également entendue. Comme cela
h produit souvent en pareil cas, elle
n nullement connu. la cause de la ba,..-
farre à laauelle elle çssîstsit de loin en
impIe curieuse et ce n'est que le len-
demain, par les journrux. qu'elle a
îirorls la gravité des événements qui
l'étaient déroulés à la sortie du bal.
Les précisions du camarade
de la victime
Edouard D..., le camarade de Cous-
teau, invité également à fournir des
précisions sur les circonstances du
drame, aftmoo que la bagarre amit été
déclenchée par IgtreC, qui aorait cher-
ché, sans raison apparente» querelle à
Cousteau et à lui-même. Il ne serait 1
d'affleuirs intervenu que durant quel-
ques instants, puis Cousteau et Igrec
auraient continué à se battre jusqu'aux
ccups die rasoir.
D'autoes témon.ns dJu drame sont 00-
pendant unanimes à affirmer que Vic-
tor Igrec aurait été attaqué. Quoi qu'il
en soit, il semble que le prétexte de la
bagarre ait été des plus futiles et l'on
peut déplotner les suites sanglantes de
cette discussion.
En attendant, Victor Igrec a été dé-
féré au parquet sous l'inculpation de
coups et blessures graves volontaires
et écroué à Saint-Michel sous mandat
de dépôt de M. Moliniier, juge d'ins-
truction.
L'état de la victime reste encore
grave en raison de son affaiblfesament
( consécutif à la grande quantité de sang
1 perdu.
VITRINES D'ART
ANDRÉ REGAGNON
Nous avons le plaisir de trouver cette
semaine dans les galeries de Chappe,
rue de la Pomme, une intéressante expo-
sition du peintre André Regagnom. Cet
excédent artistes a de qui tenir; il ap-
partient à toute une dynastie de pein-
tres du terroir desquels peut être fier
le Saint-Gironnais et dont celui-ci, le
plus jeune, continue brillamment la tra-
dition.
André Regagnon, bien que fixé à Pa-
ris, s'inspire de la région, de la haute
Ariège en particulier, et son exposition,
composée en majeure partie de paysa-
ges, est tout à fait caractéristique.
Il y a là une trentaine de toiles des
plus séduisantes, parmi lesquelles nous
citerons « le Presbytère », en automne.
« les Bords du Lez », « le Pont enso-
leillé », « Coin de ferme », « le Petit
Ruisseau » et cet important morceau
« le Clocher de Saint-Girons ».
Le paysage est traité avec sentiment,
plus encore quand il s'agit de coins in-
times; la couleur en est agréable et
douoe, mais chaude, bien qu'employée
avec sobriété. Par moments, on croi-
rait avoir affaire à un peintre du nord
qui a enveloppé d'une brume discrète
les chatoyâmes tonalités de l'automne
ou du printemps de chez nous; mais
l'artiste n'en demeure pas moins péne-
tré de l'atmosphère du pays et nous en
pénètre.
C'est habile, c'est moderne sans ou-
trence, témoin le double portrait de fa-
mille, qui est un sûr garant du savoir
faire et du goût de l'artiste, qui, du
reste, a recueilli depuis longtemps, dans ,
les Salons et un neu partout, le succès
qui s'impose. —
A. C.
CHRONIQUE DES ANCIENS
COMBATTANTS
FEDERATION DEPARTEMENTALE
DE LA HAUTE-GARONNE
(Union fédérale)
Le congrès départemental de l'Union
fédéraLe des anciens combattante et de
leurs ayant-droit aura lieu à Toulouse
le 14 mars et le 15 mars courant.
Le dimanche 15 mars, une grande as-
semblée pténiére de clôture aura lieu
au théâtre du Capitole avec le concours
des camarades Nlcoilaï, Viala et Delrieu.
Cette manifestation, à laquelle seront
associés tous les anciens combattants du
département et des départements limi-
trophes, aura une très grande Impor-
tance et serta d'ailleurs précédée, le sa-
medi 14 mars, d'une réunion des diffé-
rentes commissions qui examineront tous
les problèmes intéressant les anciens
combattants et les victimes de la guerre
et traceront la ligne de conduite du
groupement départemental.
Amicale de l'Ouest (Union fédérale). —
On nous commualque :
(t Le congrès de l'Union fédérale dépar-
tementale aura lieu à Toulouse les 14
et 15 mars procituain.
» L,AmicaE de l'Ouest invite ses- adhé-
rents à assister nombreux à l'assemblée
plénière de clôture au théâtre du Capi-
tole le dimanche 15 mars, où ils enten-
dront les camarades Ni-colaï, Viala et Del-
rieu. A l'issue de cette réunion aura lieu
un grand banquet
» Prière de retourner au plus tôt et
avant le 7 mars le bulletin d'adhésion.
» Le samedi 14, notre camarade Coquil-
let, assisté de Busset, Ducos, Hourma-
gnou et anès, présentera, les vœux émis
par la C. A. de l'Amicale, dans les diffé-
rentes commissions. »
LA FETE ANNUELLE DES ENFANTS DE L'AUDE
A TOULOUSE
lUne vue de la salle du banquet.
(Photo c La Dépêche » — Q.)'
UNE COLLISION SUR LA VOIE DU SUD OUEST
IHtrt une collision s'est produite aux abords de la gare de Vacqulers
train du Sud-Ouest et une ca mionnette. Cet accident s'est heureu-
^ > sèment borné à des dég âts matériels importants,
^ < - .(Cliché Modem' Photo.)
LE CYCLISME EN BANLIEUE
(Photo P. Olivères.)
1
Un brelan d' « as » de l'Union sportive ci'Ancarnvllle qui, formant équipe,
s'annonce redoutable dans les compétitions de la saison cycliste qui va bientôt
s'ouvrir. De gauche à droite : Les frères Jean et Alphonse MANCHE, LACHURIE
et Eugène GALUCIE.
A L'INSTITUT NATIONAL
AGRONOMIQUE
Mouvement général et marché
actuel de la propriété rurale
en France
Cette deuxième grande conférence {
sur la propriété rurale. en France, ,
« sujet sacré qui exprime la France
elle-même dians ses origines, son tem- |
pérament et sa liberté », selon les 1
expressions du président introducteur, 1
avait attiré dans notre école supérieure 1
d'agriculture parmi les ingénieurs agro- ,
nomes d'hier et de demain un public
très empressé. 1
Par ses travaux d'expert en matière ,
immobilière et agricole qui en font |
une autorité reconnue et par ses qua- ]
lités de fils de terrien tout dévoué à 1
lia terre, M. Caziot était, en effet, par- ,
ticulièrement désigné pour faire un tel
exposé à l'heure actuelle, exposé dont ■
les données sont vitales pour beaucoup .
d'entre-nous et singulièrement pour (
des jeunes gens spécialisés dont les
promotions annuelles se sont réduites
numériquement de 120 en 1928 à 60 ou
65 actuellement.
' • ''
« *
La constitution terrienne de la
France se présentait hier et se pré-
sente encore aujourd'hui de la façon ;
suivante : la moyenne et la petite ■
propriété occupent les deux tiers du -
territoire. Bien que depuis la guerre
l'importance de la grande propriété ait
déjà sensiblement fléchi, elle repré-
sente encore un tiers du territoire,
mais au point de vue de l'exploitation
28% des surfaces cultivées se réfèrent
à la grande propriété : 100 hectares
et au-dessus. La France est donc un
pays agricole à caractéristique nette-
ment paysanne.
i Depuis quarante - ans, depuis la
guerre surtout, le nombre des exploi-
tants et des ouvriers agricoles a for-
tement fléchi. Les causes de ce fléchis-
sement sont connues natalité défi-
ciente, attirance des villes tentaculai-
res, la guerre qui avec les paysans tués
et l'accroissement de population qu'ils
représentaient nous a enlevé 1 million
et demi de cultiva teuxs. L'enquête agri-
cole qui a été faite officiellement et
dont les résultats vont être mis au
jour révélera ce dangereux amoindris-
sement des forces rurales. N'a-t-on pas
écrit plusieurs fois déjà et à juste
titre : « Mon village se meurt. »
Trois millions 500.000 ou 4 millions
d'exploitations agricoles subsistent,
représentant 7 millions 520.000 cotes
foncières paysannes sur un total de
13 millions 440.000, cotes urbaines com-
prises. La répartition des cotes par
exploitation et par séries n'existe pas
encore.
La France agricole, d'autre part,
nous présente deux types de proprié-
tés ou d'exploitations complètement
différentes, nous dit M. Caziot, grand
connaisseur du territoire : les pays à
exploitations morcelées ou à champs
ouverts qui dominent surtout dans
l'Est avec un mode de peuplement
inférieur et les pays bocagers à exploi-
tations groupées ou à champs clos,
soit : Normandiie, Bretagne, Vendée,
Sud-Ouest, Centre, plus considérables
en étendue et auxquels correspond un
peuplement très supérieur.
L'unité culturelle est ici la ferme, la
métairie, le bordage, dans un cadre
agricole plus solide que celui des pays
de villages à territoires morcelés.
Ces exploitations des pays bocagers
répondent à un effort millénaire des
laboureurs et autres remueurs de terre,
effort qui a. été imposé aux hommes
par d'impérieuses nécessités naturelles,
nécessités qui s'opposeraient insurmon-
tablement à des transformations arbi-
traires. La qualité du sol, la nature du
terrain s'opposent à des exploitations
collectives pour demain comme elles se
sont opposées à des remembrements
hier.
r » »
* *
La propriété agricole, au point de vue
de la vente, se trouve en face du phé-
nomène économique le plus net de
l'époque présente et qui est la chute
de la valeur de la terre, déchéance qui
s'est accentuée surtout depuis 1930
dans des proportions inquiétantes, puis-
que cette valeur dans les circonstances
les meilleures n'atteint plus qu'excep-
tionnellement le coefficient 3 des prix
d'avant-guerre et généralement 2 et
demi ou 2 — quand il y a acquéreur.
Il ne se vend pour ainsi dire plus de
propriétés entières, mais seulement des |
parcelles achetées par des agriculteurs !
voisins, surtout dans les pays d'épar- !
gne accumulées, comme dans le Cal-
vados et le pays de Caux, la Flandre
ou l'Alsace.
Sans actes à dresser, les notaires
campagnards connaissent déjà, en plu-
sieurs endroits, la misère. Le paiement
des droits de mutation constitue un
gros problème, les taux de 8 ou
8 1/2 % du Crédit Foncier étant pro-
hibitifs quand on veut recourir à l'em-
prunt.
Cependant, la dépréciation varie avec
la nature des biens, l'importance des
propriétés. les régions. Dans l'ensemble.
elle atteint au moins 50 % par rap-
port aux valeurs d'avant-guerre. Les
grandes propriétés de Seiné-et-Oise et
de la Beauce n'ont plus leur clientèle
des gros capitalistes parisiens, et pour
cause.
La présence d'un château ou d'une
demeure historique est une contre-
indication à l'achat : témoin Pontcbar.
train. Pour les bo's on ne considère
que les futaies ayant au moins £0 cen-
timètres de tour, défalquant de la
valeur totale les frais des autres
déboisements.
En ce qui regarde la petite propriété,
la Dordogne a connu la transplanta-
tion ne colons bretons et la vallée de
la Garonne la venue de colons italiens.
Ce s éléments n'interviennent plus
désormais.
La dépréciation est particulièrement
rude pour les vignes, la propriété
.
étant rarement payante en Gironde
avec l'arrêt des exportations; dans
l'Hérault et l'Aude avec le blocage de
la récolte.
Etudiant enfin le sens dans lequel la
propriété va évoluer, M. Caziot croit à
une réduction progressive de la grande
propriété au profit de la propriété
paysanne, sauf cessation die la crise.
actuelle et apport de capitaux en, pro-'
venance de l'industrie et du commerce;,
enfin rétablis, ce qui ralentirait le {mou..,
vement vers la division.
Telle fut cette conférence très atten-
tivement suivie par tout un auditoire
tant soit peu oppressé par cette suite
de constatations défavorables trop véri-
diques et journellement vécues par
celui qui les faisait devant nous.
Elle se termina sur les paroles opti-
mistes de M. Romier, conseillant aux
propriétaires du sol de conserver lefurs
biens fonciers, certitude pour eux, de
ne pas perdre en spéculations booosiè-
res l'argent que cette vente leur 'pro-
curerait.
Cette boutade, qui fit rire, a. son. sens ]
profond si l'on se rappelle que la ,'crise
agricole aux Etats-Unis virent tout |
entière diu krach boursier de 1929. Les
faimers américains, réunis en. congrès
cette année-là, entendirent un des
leurs, le vétéran Yosuah, se plaindre >
naïvement que la progression des béné-
fices dans l'agriculture ne fût ,pas en
rapport avec ceux de l'industrie et de
la banque. C'est bien, cependant, pour
être entrés dans la danse du capital
purement scripturaire que l'agriculture
des Etats-Unis et celle de l'Europe, à,
sa suite, paient chèrement aujour-
d'hui.
* *
Signalons, toutefois, que la confé-
rence sur la propriété rurale en
France se situe strictement dans un
cadre plus général et sur le plan très
étendu de l'agriculture dans le monde.
Des conséquences rassurantes peu-
vent découler prochainement des étu-
des et des négociations que suscite ce
grand problème urgent, soit qu'il
s'agisse de compensations à établir
entre nations pour les .produits de la
terre, soit que se développe entre les
divers éléments de notre activité un
équilibre plus juste, soit enfin que l'on
en vienne pour l'agriculture à une
fiscalité mieux adaptée comme suite à
la revision cadastrale en cours.
La propriété rurale en France porte
en soi-même les meilleures garanties
de la durée. Rien ne lui est compara-
ble à ce Doin t de vue.
C. BRIVAL
LES FAITS DIVERS
Tentative de cambriolage. — Dans la
nuit du 1er au 2 courant, un ou plusieurs
malfaiteurs ont tenté de pénétrer par ef-
fraction, dans l'établissement de M.
Georges Bertrand, chocolatier, 13, place
Olivier.
Une fenêtre donnant sur la rue du
Chapeau-Rouge a été forcée et un car-
reau brisé. Les malfaiteurs n'ont pu ren-
trer à l'intérieur de cet établissement,
car ils se sont trouvés en face d'un mur
la fenêtre ne donnant pas accès avec
l'intérieur.
Sur plainte, une enquête est ouverte
au 7e arrondissement.
Un vélo disparaît. — M. René Laborde,
maçon, demeurant à Lardonne, a porté
plainte contre inconnu, au 7e arrondis-
sement, pour vol de sa bicyclette, com-
mis le 1er mars entre 15 heures et
19 h. 30, devant le café du Commerce, à
Lardenne.
Les vols sur les autos. — M. Jean Fo-
restier, pharmacien, à Preign-ae (Gi-
ronde), de passage à Toulouse, a porté
plainte contre inconnu, au premier ar-
rondissement pour vol d'un appareil
photographique et de deux bouteilles de
muscat, commis dans la nuit du 1er au 2
courant sur son automobile en station-
nement'dans la cour de l'affenage, 5, rue
Mirepoix.
Mort subite. — Hier matin, vers 9 heu-
res, M. Jean-Marie Deau, demeurant, rue
des Sept-Deniers, 82, passait avec sa
femme rue de La Pomme lorsqu'il est
tombé inanimé sur le trottoir.
Transporté aussitôt dans un magasin,
il a été examiné par le docteur Pérès,
qui n'a pu que constater le décès, sur-
venu à la suite d'une crise cardiaque.
Le corps a été transporté au domicile
de la famille par les soins des Pompes
funèbres.
Une automobile disparaît. — M. Geor-
ges Py. âgé de 32 ans, mécanicien-den-
tiste, demeurant 17, rue d'Aubuisson,
a porté pta.inte contre inconnu à la per-
manence de police pour vol die son au-
tomobile commis hier soir, vers 21 h. 15,
devant son domicile.
Un pardessus noir usagé se trouvait
sur le siège avant de la voiture.
La sûreté, la huitième brigade mobile
et la gendarmerie ont été avisées.
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AU JOUR LE JOUR
CERCLE LAIQUE PIERRE-MAURY
(Faubourg Bonnefoy)
Les membres du conseil d'adminis-
tration qui font partie des colonies de
vacauices et de la tombola sont priés
de bien vouloir assister aux réunions
qui auront Iteu le mercredi 4 courant,
à l'écolo maternelle, à 21 heures.
Tous les membres du Cercle libres
die lleur temps ce jour-là et que ces
questions intéressent sont cordialement
mviiés à assister à ces deux réunions.
Ils, n? peuvent que tirer profit des
diisdus"slOr¡,: qui auront- vieu et pour-
lont rime rendre service au conseil
d'administration pour la constitution
des organismes en vue de la. bonne
,marche des colonies de; vacances ou de
,la'-vente des billets de tombola.
ASSOCIATION DES ANCIENS
ETUDIANTS DE LA FACULTE
DE DROIT DE TOULOUSE
ET DES ECOLES ANNEXES
L'Association des anciens étudiants
de la Facilité de droit de Toulouse et
des écoles annexes (Ecole de notariat,
Ecole pratique de droit) a tenu ces
jours derniers son assemblée générale
annuelle.
Son conseil d'administration a été
complété par l'élection de MM. Pierre
Dasté, notaire; Henri Duran,, Gabriel
Gardés, avoué au tribunal; André
Haon, avocat à la cour, et Gabriel
Marty, professeur à la Faculté.
Le bureau de l'Association se com-
pose pour l'année 1936 de la façon sui-
vante :
Président, Me Camille Forgues, avoué
à la cour; vice-présidents, MM. Joseph
Magnol, professeur à la Faculté, et
Georges Servat, directeur des contri-
butions indirectes de la Haute-Garonne;
secrétaire général, Me Pierre de Gorsse,
iavocat à la cour; secrétaire adjoint,
•Me Marcel Dutot, avocat à la cour;
trésorier, M8 Pierre Duffaud, avoué à
ïa cour; trésorier adjoint, Me André
iBribes, avocat stagiaire à la cour.
; L'Association a fixé au samedi
17 mars, à 22 heures, dans les salons
•du Grand-Hôtel le bal annuel, dit « bal
du droit », dont les bénéfices permet-
tent l'attribution de bourses d'études
et de prix.
Le samedi suivant 14 mars, à 20 heu-
res, au restaurant Lafayette aura lieu
le dîner annuel de l'Association.
CERCLE LAIQUE DU CANTON
OUEST
Le mercredi 19 février, à 21 heures,
à la cantine scolaire de la. rue Coupe-
Fer, le Cercle laïque du canton Ouest
fêtait dans t'intimité la récente élection
de M. Massip, vice-président de la
Caisse des écoles de Toulouse.
Une nombreuse assistance avait ré-
•pondu à l'appel discret adressé à tous
iles amis de l'œuvre.
Parmi les personnalités présentes,
(auxquelles s'était joint le conseil
'■d'administration du Cercle réuni au
complet, citons, au risque de commettre
vquelque oubli dont nous nous excusons
par avance :
MM. Rogalle, adjoint au maire;
Auriol, conseiller municipal, président
du Cercle; Desbals, conseiller munici-
pal; MM. Massip, Rauzy, Lasserre,
Goret, MM. Brustes et Saby, présidents
d'honneur; Bernard, trésorier de la Fé-
dération départementale des œuvres
laïques; Marcel Billières, secrétaire
général des hospices; Belbèze, président
du Patronage du docteur Bach.
Prenant le premier la parole, le prési-
dent souligne le caractère intime de
cette manifestation, et félicite Massip.
Il engage les auditeurs à se grouper
toujours plus .nombreux autour d'une
école qu'on attaque toujours, mais qu'on
n'abattra jamais.
Parlant au nom de l'Amicale Fabre,
qui est reçue avec bienveillance sur le
terrain de jeux du Cercle et au nom de
la Fédération départementale dont il
est le trésorier, M. Bernard apporte à
Massip le témoignage d'estime de tous
les laïques et profite de l'occasion qui
lui est offerte pour rappeler que le
Cercle laïque figure parmi les premières
associations qui ont contribué à la
constitution de la Fédération.
M. Bernard se réjouit à son tour de
l'adhésion du Tookey-Club au Cercle
laïque du canton Ouest.
Enfin, M. Belvèze, président du Pa-
tronage du docteur Bach, manifeste sa
sympathie pour Massip et, dans une
allocution émouvante, il nous dit
combien furent précieux pour lui les
conseils que lui donna notre ami lors de
la fondation du Patronage Bach.
ASSOCIATION
DES ANCIENNES ELEVES DU LYCEE
DE JEUNES FILLES DE TOULOUSE
Jeudi prochain 5 courant, l'Association
des anciennes élèves du lycée cl jeunes
filles tiendra sa réunion mensuelle dans
le cadre harmonieux de la salle des
professeurs du Lycée de jeunes filles.
Mme caa.ba.yrac, agrégée en philoso-
phie, professeur au lycée, a bien voulu
honorer l'Association d'une causerie sur
un sujet particulièrement attrayant.
Les professeurs honoraires, profes-
seurs et adhérents sont invités à venir
écouter en nombre la distinguée confe-
rencière.
La causerie de M"' Calbayrac Sera
suivie d'un concours de suggestions
ouvert à tous les membres de l'Associa-
tion et doté de plusieurs prix.
PATRONAGE LAIQUE
DE L'ECOLE DU SUD
Le comité des Anciens élèves de
l'école du Sud, chargé de l'érection d'un
buste à M. Dupont, invite tous les an-
ciens élèves et les amis de l'école à as-
sister à la réunion qui aura lieu le mer-
credi 4 mars, à 21 heures, à l'école du
Sud, dans laquelle il rendra compte de
son mandat.
Une causerie sera. faite sur le cente-
naire de l'école du Sud,
DISTINCTION HONORIFIQUE
Parmi les nouveaux promus au grade
d'officier de l'Instruction publique, nous
relevons une des personnalités les plus
sympathiques dans le monde mutualiste,
M. Joseph Delieux, chevalier de la
Légion d'honneur, commissaire spécial,
chef de service hors classe honoraire des
chemins de fier, ancien chef de bureau
à la, direction de la sûreté publique de
Tunisie.
Nous prions M. Delieux de trouver
ici l'assurance de nos sincères félicita-
tions pour la juste récompense qu'il
vient de recevoir et qui est si bien mé-
ritée.
ELECTION
DE LA REINE DES FETES
DE TOULOUSE
Le comité des fêtes de Toulouse invite
les jeunes filles toulousaines ou habi-
tant notre ville ou sa région, qui dési-
reraient briguer le titre de Reine des
Fêtes de Toulouse, à vouloir bien poser
sans retard leurs candidature.
La demande, obligatoirement apos-
tillée par deux personnes honorable-
ment connues de la ville, comprendra
les nom, prénoms, âge et adresse de la
candidate, et sera accompagnée d'une
photographie récente. Elle devra être
adressée à M. le président du comité des
fêtes, 2 bis, rue d'Alsace-Loi .t ine (cham-
bre de commerce), Toulouse.
. La signature de la postulante sera
légalisée par M. le maire dr Toulouse ,
(4e bureaux. j
En outre, la demande des jeunes filles
mineures devra être accompagnée de
l'autorisation écrite de le - père, mère
ou tuteur.
Les jeunes filles présentées directe-
ment au comité par leur employeur se-
ront dispensées de ces diverses forma-
lités.
La liste d'inscription sera alise le 12
mars courant. -
SOCIETE D'ORTICULTURE
DE LA HAUTE-GARONNE
Mercredi 4 mars, & 14 h. 30, 8JU jar-
dlilIl d'essais, rue du Midi, M. le pro-
fesseur Lapédagne donnera une séance
de démonstration de taille des arbres
fruitiers et parlera de la greffe en
fente simple.
Le public est admis.
CONCERT-BAL
Le CM) russe de Toulouse nous
informe qu'il organise le samedi 7 mars,
à 21 h. 30, 15, place Wilson, un con-
cert-bal au profit des oeuvres de bien-
faisance de l'Eglise orthodoxe russe
Saint-Nicolas.
LA VAILLANTE TOULOUSAINE
La Vaillante toulousaine, qui a tenu
son assemblée statutaire le 23 février
1936, en présence de tous ses membres
honoraires, a composé ainsi son bu-
reau :
Président, M. Artigue; vice-prési-
dents, MM. Basset et Troy; secrétaire
général, M. Louis Lapasset; secrétaire
adjoint, M. Claude Laffont; trésorier
général, M. Louis Lajous; trésorier ad-
joint, M. Jean Toulouse.
Vice-présidents honoraires : MM. de
Lacvivier, Franc.
Membres d'honneur : MM. Gomard,
Fitte.
Membres du conseil : MM. Pagès,
Néron, Barthès, Besset, Jean Lenfant,
Paul Redon, Enjalbal père, Marceau
Clergue, Roques, Dini.
Directeur, M. Albert Barada; profes-
seur, M. Marius Plantade; moniteurs
adjoints ; MM. Toulouse, Barthez, La-
font.
La reprise officielle des cours aura
lieu les mardis et vendredis pour les
adultes; professeur M. Barada; les
mercredis, pour les pupilles, professeur
M. Plantade.
Préparation en vue des prochaines
sorties.
MOUVEMENT DES PORTS AERIENS
Ligne France-Espagne-Maroc. — Le
courrier aérien d'Air-France parti de
Toulouse le 2 mars 1936, à 6 heures, est
arrivé à Casablanca, le 2 mars 1936,
vers 18 h. 45. ,
L'avion d'Air-France parti de Casa-
blanca le 2 mars 1936, à 6 h. 40, est ar-
rivé à Toulouse le 2 mars 1936, à
16 h. 28.
Ligrne France-Indochine. — L'avion
d'Air-France parti d'Hanoï et Saigon le
23 février 1936 est arrivé à Marseille
le 1er mars 1936, à 15 h. 40.
Désirez-vous faire un déplacement à
l'étranger?
Avez-vous un colis pressé à envoyer?
N'oubliez pas que les avions d'Air-
France, qui desservent les principales
villes d'Europe, vous feront gagner un
temps précieux 1
MARCHE AUX GRAINS
Toulouse, 2 mars. — Bladette et blés
fins supérieurs, 78 fr. les 80 kilos; avoine,
40 fr. les 50 kilos; maïs 35 fr. les 75 ki-
los; farine, 142 fr.; gruaux, 155 fr.; re-
passe, 45 fr. son, 45 fr. le tout les 100
kilos.
MARCHE DES VINS
DE LA HAUTE-GARONNE
Cotation du 24 au 29 février 1936 :
Vins rouges : 8 degrés et au-dessus :
6 fr. 50 à 6 fr. 75; 9 degrés et au-des-
sus : 6 fr. 75 à 7 framcs; 10 diegrés et
au-dessus : 7 francs à 7 fr. 10, pour
vms loyaux et marchands.
Vins blancs : Pas d'affaires.
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la Trinité.
La Vie syndicale
Fédération nationale des tabacs et al-
lumettes. — La. section de Toulouse In-
vite tous ses membres à assister A la
réunion générale du syndicat qi.i aura
lieu le 4 mars, à 17 heures, dans la gran-
de salle de la Bourse du travail.
Le syndicat lance un pressant e.pjpel
auprès des retraités, quel que soit le e-.
gims de retraite auquel Ils sont fyssmjat-
tis, pour assister nombreux à cetl, ■ grar.-
de réunion où prendront la parole, outre
la secrétaire générale Delabit, t,>uâ les
militants responsables de notre
tion.
Un repas fraternel devant suivre cette
importante réunion, les camarades re-
traités qui voudraient y assister i5cmt
invités à se faire inscrire au secrétariat
du syndicat. — Le conseil syndical.
C. G. T. 8. R. — Union locale. — A60
semblée générale de l'Union locale au-
jourd'hui mardi 3 mars, à 21 heures, au
siège.
Cartel des services publics. j— Les IDe-
orétai
réunion d'information du camarade Gi-
ron, secrétaire du Cartel central, tesadl
2 mars, à 21 heures, Bourse du toavall
(salle 13).
Intersyndicale des employés de eem.--
merce et de l'Industrie membres de if
C. P. — Réunion aujourd'hui 2 mars, S
19 heures. Bourse du travail. RéCl;;:;.>'t.:.);.:r,
des membres de la Fédération.
' • i
• ■
L'Initersynidilcale invite tous les adîîé"
reruts à assister au meeting qui aura lieu
mercredJ1 4 mars, à 21 heures, ranoioiuio
salle de lIS. Faculté des lettres, avec 0
Gapooci, président du conseil dss pru-
d'hommes de la Seine; Duiisabou, secré-
taire du Syndicat parisien des voyageurs
et représentants; Marty-RoIlan, ancien
secrétaire du Syndicat des employés.
SOCIÉTÉS DIVERSES
Orphelinat des chemins de ter fraa*
cals. — Les membres de la section de
Toulouse sont priés d'assister à la "ëu-
nion qui aura lieu le jeudi 5 mars
dans une salle du café Victoria, pour
l'examen des questions portées à tordre
du jour de l'assemblée générale statu-
taire.
Chorale Réveil Bonnefoy. — Noif
mardi 3 mars et vendredi, répétition, &
21 heures précises au siège. Etude vu
programme du concours de Satot Ra<-
phaël.
Avenir musical de Bonhoure. — Ge <
Alerte toulousaine. — Ce soir réfp.n.l«
tion générale au siège. Présence iiïdlBîK:
sable. Sortie de dimanche matin.
Club taurin toulousain. — - Amsi iblfe
générale ce soir, à 21 heures, a n eiAge,
arcades du Capitole. Tirage au sert pour
Barcelone.
Clémence-Isaure. — Répétition, d'en-
semble mardi 3 et vendredi 6 mars, à
21 heures, au siège.,
Audition au poste Toulouse-Pyrénées
samedi 7 mars.
TROUVAILLES
Réclamer : à M. Troupel, 16, rue Puy-
maurin, un gant; è M. Dejfour, 5 pue
Pouzonville une reconnaissance du Cré-
ddt municipal; à Mu« Coyne 54 bis, rue
Alsace, un portefeuille; à M. Du«foii.,-
EWenue des Hortensias, une mo'n!hreQH't;
oelet de dame; à M. Jamot, 7, rue te;-A
poix, un sac à main de fillette, à i,,.
Besrgutereau chemin de Lespànet, tif,
trousseau de clés; à M. Grossac, 14, Xj
Saint-Erembent, un gprte-monnjaie: à " X.
Gracia, chemin de ronde des 1 -
nes, 5, une médaille avec écrit ,; ;
Sentenac, marché des Carmes, • >
monnaie.
LE RUGBY A ST-CYPRIEN
L'Avenir Saint-Cyprien a battu dimanche, sur le terrain des Turres, "f'
objatoise par 6 points à 0. Voici une phase de ce match qui représe, - 16
demi de mêlée toulousain ouvrant sur fies tTOle-quarts.
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