L’ANCIENNE COLLÉGIALE NOTRE-DAME DE BEAUNE : LES CAMPAGNES DES XII' ET XIII' SIÈCLES
201
Vézelay, Paris-Genève, 1984, p. 7-8). Le portail de Saint-Lazare d’Avallon n’est, pour sa part, pas daté (Jean Vallery-Radot, L’iconographie
et le style des trois portails de Saint-Lazare d’Avallon, dans Gazette des Beaux-Arts, 52, 1958, p. 23-34; Roland Recht, Sculptures découvertes à Saint-Lazare
d’Avallon, dans Bulletin Monumental, 1983, p. 149-164).
(63) Lucien Perriaux, Les chapiteaux de Notre-Dame de Beaune, Beaune, 1949 (compte rendu de Francis Salet, dans Bulletin Monumental,
1950, p. 220-221).
(64) François Pasumot, Notice sur les Antiquités de la ville de Beaune, publ. dans Dissertations et mémoires sur différents sujets d’antiquité et d’his
toire, par C. M. Grivaud de La Vincelle, Paris, 1810-1813 (Annales des voyages, publ. Malte-Brun, cahier XXXVII, t. XIII, p. 29-30). Cf.
Pierre Quarré, Les portails..., op. cil., supra, n. 11.
(65) La statue de la Vierge à l’Enfant qui occupe actuellement le trumeau du portail central date de 1839-1840 (Paris, Arch. du Patri
moine, dossier 618, 1 (rapport de Viollet-le-Duc, daté du 20 décembre 1844, qui qualifie l’œuvre de « monstrueuse »). Arch. dép. Côte-d’Or,
2 O 57 16 (devis de Sagot pour les réparations au portail et au porche).
(66) Pierre Quarré, Les portails..., op. cit., supra, n. 11, p. 9-10.
(67) Ibid. Les deux têtes ont été publiées par Willibald Sauerlânder, Von Sens bis Strasbourg, Berlin, 1966, fig. 197 et 198.
(68) Pierre Maurice-Garçon, Notre-Dame de Beaune « en paille », dans Recueil de travaux, Centre beaunois d’Etudes historiques, t. 8, 1989,
p. 9-19. Il s’agit d’une maquette démontable en bois tapissé de paille, mesurant environ 2 m de longueur et représentant l’église dans ses
moindres détails, à l’intérieur comme à l’extérieur (cf. fig. 13). D’abord placée dans la bibliothèque du chapitre, elle suivit les tribulations
de celle-ci après la Révolution avant d’être reléguée, en 1907, dans les combles de l’Hôtel-Dieu ou elle resta jusqu’en 1971. Elle est actuelle
ment présentée dans les salles d’exposition de l’Hôtel-Dieu.
(69) Ni le chanoine Estienne dans sa Chronique (éd. Voillery, op. cit., supra, n. 3) ni l’abbé Gandelot (Histoire de Beaune..., op. cit., supra,
n. 24) n’y font allusion. L’abbé Courtépée {Description..., op. cit., supra, n. 19) semble avoir été le premier à affirmer que le « portail » avait
été fait en 1332 aux frais du chapitre. Cette assertion est reprise par l’abbé Bredeault {Supplément..., op. cit., supra, n. 7, p. 100) et François
Pasumot {Notice..., op. cit., supra, n. 64) avant d’être unanimement répétée par les auteurs du XIX e siècle. André Rhein {Congrès archéologique
de France. Dijon, 1928, op. cit., supra, n. 1, p. 281-282) déduisit cependant de l’observation de l’édifice que l’ensemble du porche devait avoir
été construit, « au moins pour sa plus grande partie, à la deuxième moitié du XIII e siècle ».
(70) Arch. dép. Côte-d’Or, G 2759*, fol. 3-8 (comptes de la fabrique, 1343-1346 : « Missions faites pour la fabrique dou portai de
l’église Notre-Dame de Beaune ». Les articles principaux concernent l’exécution et la pose de treize « images » pour le portail, le blanchisse
ment des murs et la mise en place de « degrés »). Je n’ai pu trouver trace d’un texte concernant l’année 1332, mais il est possible que l’abbé
Courtépée (voir note précédente) ait eu connaissance d’un document aujourd’hui disparu. Je n’ai pas davantage trouvé trace des dons qu’auraient
faits en 1348 Gui le Changeur et Girard Baudouin « ad opus fabrice portalis », dons cités sans indication de sources par André Rhein {Congrès
archéologique, 1928, op. cit., supra, p. 281).
(71) L’abbé Courtépée signale que deux famines, en 1347, succédèrent à des tremblements de terre et des épidémies de peste {Descrip
tion..., op. cit., supra, n. 19, t. II, p. 575).
(72) Martyrologe, n° 1291 (Gilebertus Arbanz, chanoine, 1254), n° 1654 (Geliot, clerc, 1255), n° 422 (Elvis Hospitatris, 1260), n° 1401
(Damerons, 1267), n os 115 et 1854 (Adelina, 1269), n° 667 (Benvenuta, 1272), n° 1142 (Johannes de Anceyo, 1272), n os 537 et 698 (Perrane-
tus, 1273), n° 1171 (Galterus Gaveauz, 1275), n° 1728 (Renaudus Poilevauz, 1278), n° 468 (Nycholaus, 1280), n° 866 (Constantius Charter,
1275), n° 817 (Bartholomeus presbiter, 1283), n° 1651 (Johannes, 1287), n° 804 (Renauda, 1292), n° 817 (Guido de Angulavento, chanoine,
1292), n° 100 (Floreta, 1293), n° 1161 (Nicolaus de Cultiz, 1293).
(73) Martyrologe, n° 151 (Maria Arbaude, 1204) et n° 153 (Gilbertus Berberius, 1229).
(74) Martyrologe, n° 55 (Petrus de Barro, 1300), n° 1124 (Petrus, 1307), n° 1761 (Henricus de Velars, 1334), n° 437 (Hugo de Tronor-
chio, 1365), n° 1594 (Bernarda de Nova villa, 1379).
(75) Arch. dép. Côte-d’Or, G 2735, n° 6 et Cart. 92, n° 220 (1265, anniversaire de l’archiprêtre Robert de Bouze) ; Cart. 92, n° 555
(1266, Parisius reconnaît qu’il tient du chapitre la maison qu’il habite paroisse Saint-Martin, moyennant 51 s. 1 d. de cens pour l’anniversaire
de Robert de Bouze, archiprêtre de Beaune).
(76) Charles Bigarne, Tombes et inscriptions de la collégiale de Beaune, dans Mémoires de la Société historique et archéologique de Beaune, 1879,
p. 231-250. Charles Aubertin, Les fouilles du portail de Notre-Dame de Beaune, dans Archives de la Société d’Histoire et d’Archéologie, 1886; id., Notes
sur les sépultures..., op. cit., supra, n. 7, et Sépultures de l’insigne collégiale Notre-Dame de Beaune, dans Mémoires de la Société historique et archéologique
de Beaune, 1890, p. 145-198.
(77) Notre-Dame était jusqu’au début du XIII e siècle la seule paroisse de la ville.
(78) La lettre à l’archevêque de Lyon par laquelle les chanoines demandent de suspendre la construction de l’église de La Madeleine
n’est pas datée. Elle nous apprend seulement que les travaux étaient commencés depuis moins de dix ans. Par ailleurs, on sait que le chantier
était en activité en 1245 grâce à un don pour l’œuvre de l’église (cit. Cl. Rossignol, Histoire de Beaune..., op. cit., supra, n. 24, p. 178).
(79) L’église des Cordeliers était en cours de construction en 1248. Si, dans un premier temps, les chanoines obtinrent satisfaction,
ils durent finalement accepter en 1303 un compromis imposé par Boniface VIII (les défunts qui seront enterrés dans le cimetière des Cordeliers
passeront d’abord par Notre-Dame, et les frères mineurs devront reverser un tiers des bénéfices aux chanoines : ibid., p. 179-181).
(80) Beaune devait rester la capitale judiciaire du duché même lorsque la ville cessa d’être la résidence principale des ducs. Le parle
ment ne fut transféré à Dijon que sous Louis XI, pour punir le loyalisme des beaunois à l’égard de Marie de Bourgogne. L’existence du cha
pitre de Notre-Dame semble avoir favorisé la pérennité de cette fonction de capitale judiciaire, les ouvrages juridiques conservés dans la biblio
thèque étant utilisés pour argumenter les décisions de la cour (Jean Richard, Le pays de Beaune..., op. cit., supra, n. 27 ; id., Le parlement de Beaune,
dans Mémoires de la Société d’archéologie de Beaune, t. 57, 1973-1974, p. 16-17).
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Vézelay, Paris-Genève, 1984, p. 7-8). Le portail de Saint-Lazare d’Avallon n’est, pour sa part, pas daté (Jean Vallery-Radot, L’iconographie
et le style des trois portails de Saint-Lazare d’Avallon, dans Gazette des Beaux-Arts, 52, 1958, p. 23-34; Roland Recht, Sculptures découvertes à Saint-Lazare
d’Avallon, dans Bulletin Monumental, 1983, p. 149-164).
(63) Lucien Perriaux, Les chapiteaux de Notre-Dame de Beaune, Beaune, 1949 (compte rendu de Francis Salet, dans Bulletin Monumental,
1950, p. 220-221).
(64) François Pasumot, Notice sur les Antiquités de la ville de Beaune, publ. dans Dissertations et mémoires sur différents sujets d’antiquité et d’his
toire, par C. M. Grivaud de La Vincelle, Paris, 1810-1813 (Annales des voyages, publ. Malte-Brun, cahier XXXVII, t. XIII, p. 29-30). Cf.
Pierre Quarré, Les portails..., op. cil., supra, n. 11.
(65) La statue de la Vierge à l’Enfant qui occupe actuellement le trumeau du portail central date de 1839-1840 (Paris, Arch. du Patri
moine, dossier 618, 1 (rapport de Viollet-le-Duc, daté du 20 décembre 1844, qui qualifie l’œuvre de « monstrueuse »). Arch. dép. Côte-d’Or,
2 O 57 16 (devis de Sagot pour les réparations au portail et au porche).
(66) Pierre Quarré, Les portails..., op. cit., supra, n. 11, p. 9-10.
(67) Ibid. Les deux têtes ont été publiées par Willibald Sauerlânder, Von Sens bis Strasbourg, Berlin, 1966, fig. 197 et 198.
(68) Pierre Maurice-Garçon, Notre-Dame de Beaune « en paille », dans Recueil de travaux, Centre beaunois d’Etudes historiques, t. 8, 1989,
p. 9-19. Il s’agit d’une maquette démontable en bois tapissé de paille, mesurant environ 2 m de longueur et représentant l’église dans ses
moindres détails, à l’intérieur comme à l’extérieur (cf. fig. 13). D’abord placée dans la bibliothèque du chapitre, elle suivit les tribulations
de celle-ci après la Révolution avant d’être reléguée, en 1907, dans les combles de l’Hôtel-Dieu ou elle resta jusqu’en 1971. Elle est actuelle
ment présentée dans les salles d’exposition de l’Hôtel-Dieu.
(69) Ni le chanoine Estienne dans sa Chronique (éd. Voillery, op. cit., supra, n. 3) ni l’abbé Gandelot (Histoire de Beaune..., op. cit., supra,
n. 24) n’y font allusion. L’abbé Courtépée {Description..., op. cit., supra, n. 19) semble avoir été le premier à affirmer que le « portail » avait
été fait en 1332 aux frais du chapitre. Cette assertion est reprise par l’abbé Bredeault {Supplément..., op. cit., supra, n. 7, p. 100) et François
Pasumot {Notice..., op. cit., supra, n. 64) avant d’être unanimement répétée par les auteurs du XIX e siècle. André Rhein {Congrès archéologique
de France. Dijon, 1928, op. cit., supra, n. 1, p. 281-282) déduisit cependant de l’observation de l’édifice que l’ensemble du porche devait avoir
été construit, « au moins pour sa plus grande partie, à la deuxième moitié du XIII e siècle ».
(70) Arch. dép. Côte-d’Or, G 2759*, fol. 3-8 (comptes de la fabrique, 1343-1346 : « Missions faites pour la fabrique dou portai de
l’église Notre-Dame de Beaune ». Les articles principaux concernent l’exécution et la pose de treize « images » pour le portail, le blanchisse
ment des murs et la mise en place de « degrés »). Je n’ai pu trouver trace d’un texte concernant l’année 1332, mais il est possible que l’abbé
Courtépée (voir note précédente) ait eu connaissance d’un document aujourd’hui disparu. Je n’ai pas davantage trouvé trace des dons qu’auraient
faits en 1348 Gui le Changeur et Girard Baudouin « ad opus fabrice portalis », dons cités sans indication de sources par André Rhein {Congrès
archéologique, 1928, op. cit., supra, p. 281).
(71) L’abbé Courtépée signale que deux famines, en 1347, succédèrent à des tremblements de terre et des épidémies de peste {Descrip
tion..., op. cit., supra, n. 19, t. II, p. 575).
(72) Martyrologe, n° 1291 (Gilebertus Arbanz, chanoine, 1254), n° 1654 (Geliot, clerc, 1255), n° 422 (Elvis Hospitatris, 1260), n° 1401
(Damerons, 1267), n os 115 et 1854 (Adelina, 1269), n° 667 (Benvenuta, 1272), n° 1142 (Johannes de Anceyo, 1272), n os 537 et 698 (Perrane-
tus, 1273), n° 1171 (Galterus Gaveauz, 1275), n° 1728 (Renaudus Poilevauz, 1278), n° 468 (Nycholaus, 1280), n° 866 (Constantius Charter,
1275), n° 817 (Bartholomeus presbiter, 1283), n° 1651 (Johannes, 1287), n° 804 (Renauda, 1292), n° 817 (Guido de Angulavento, chanoine,
1292), n° 100 (Floreta, 1293), n° 1161 (Nicolaus de Cultiz, 1293).
(73) Martyrologe, n° 151 (Maria Arbaude, 1204) et n° 153 (Gilbertus Berberius, 1229).
(74) Martyrologe, n° 55 (Petrus de Barro, 1300), n° 1124 (Petrus, 1307), n° 1761 (Henricus de Velars, 1334), n° 437 (Hugo de Tronor-
chio, 1365), n° 1594 (Bernarda de Nova villa, 1379).
(75) Arch. dép. Côte-d’Or, G 2735, n° 6 et Cart. 92, n° 220 (1265, anniversaire de l’archiprêtre Robert de Bouze) ; Cart. 92, n° 555
(1266, Parisius reconnaît qu’il tient du chapitre la maison qu’il habite paroisse Saint-Martin, moyennant 51 s. 1 d. de cens pour l’anniversaire
de Robert de Bouze, archiprêtre de Beaune).
(76) Charles Bigarne, Tombes et inscriptions de la collégiale de Beaune, dans Mémoires de la Société historique et archéologique de Beaune, 1879,
p. 231-250. Charles Aubertin, Les fouilles du portail de Notre-Dame de Beaune, dans Archives de la Société d’Histoire et d’Archéologie, 1886; id., Notes
sur les sépultures..., op. cit., supra, n. 7, et Sépultures de l’insigne collégiale Notre-Dame de Beaune, dans Mémoires de la Société historique et archéologique
de Beaune, 1890, p. 145-198.
(77) Notre-Dame était jusqu’au début du XIII e siècle la seule paroisse de la ville.
(78) La lettre à l’archevêque de Lyon par laquelle les chanoines demandent de suspendre la construction de l’église de La Madeleine
n’est pas datée. Elle nous apprend seulement que les travaux étaient commencés depuis moins de dix ans. Par ailleurs, on sait que le chantier
était en activité en 1245 grâce à un don pour l’œuvre de l’église (cit. Cl. Rossignol, Histoire de Beaune..., op. cit., supra, n. 24, p. 178).
(79) L’église des Cordeliers était en cours de construction en 1248. Si, dans un premier temps, les chanoines obtinrent satisfaction,
ils durent finalement accepter en 1303 un compromis imposé par Boniface VIII (les défunts qui seront enterrés dans le cimetière des Cordeliers
passeront d’abord par Notre-Dame, et les frères mineurs devront reverser un tiers des bénéfices aux chanoines : ibid., p. 179-181).
(80) Beaune devait rester la capitale judiciaire du duché même lorsque la ville cessa d’être la résidence principale des ducs. Le parle
ment ne fut transféré à Dijon que sous Louis XI, pour punir le loyalisme des beaunois à l’égard de Marie de Bourgogne. L’existence du cha
pitre de Notre-Dame semble avoir favorisé la pérennité de cette fonction de capitale judiciaire, les ouvrages juridiques conservés dans la biblio
thèque étant utilisés pour argumenter les décisions de la cour (Jean Richard, Le pays de Beaune..., op. cit., supra, n. 27 ; id., Le parlement de Beaune,
dans Mémoires de la Société d’archéologie de Beaune, t. 57, 1973-1974, p. 16-17).
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