- .......... Page(s) .......... 1
- .......... Page(s) .......... 5
- .......... Page(s) .......... 10
- .......... Page(s) .......... 12
- .......... Page(s) .......... 13
- .......... Page(s) .......... 13
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 288
- .......... Page(s) .......... 290
- .......... Page(s) .......... 380
- .......... Page(s) .......... 381
- .......... Page(s) .......... 484
- .......... Page(s) .......... 524
- .......... Page(s) .......... 538
- .......... Page(s) .......... 538
LA FONTAINE LA FORCE
52
plus avisée que lui en tout. Ninon elle-même prêchait la
morale à La Fontaine, qui ne l'écoutait guère et la pratiquait
encore moins. Pourtant, il respecta toujours la religion.
Il y revint même avec une nouvelle ardeur à ses derniers
moments, et mourut dans de grands sentiments de piété,
chez M. Hervart, le 13 avril 1695. Il fut enterré dans le
cimetière des Innocents, et obtint les larmes et les regrets
de Fénelon. Entre beaucoup de mots dignes d'être retenus,
et qui peignent son cœur, on cite celui-ci Après la mort
de Mme de La Sablière, il était sorti de l'hôtel de cette
excellente amie pour n'y plus rentrer, lorsqu'il rencontra
61. Hervart, qui lui dit avec empressement « Mon cher
La Fontaine, je vous cherchais pour vous prier de venir
loger chez moi. J'y allais, » répondit le fabuliste.
P.-F. TlSSOT, de l'Académie Française.
LA FONTAINE (Auguste-Hekbi-Jik.es), fécond ro-
mancier allemand, dont les productions eurent pendant long-
temps la vogue, naquit le 10 octobre 1759, à Brunswiclt, d'un
père peintre habile, descendant d'une de ces familles pro-
testantes françaises que la révocation de l'édit de Nantes
força, sous le règne de Louis XIV, à aller se faire une se-
conde patrie à l'étranger. Après avoir étudié la théologie à
Helmstœdt, il fut appelé en 1786 dans une famille particu-
lière de Halle en qualité de précepteur, puis accompagna
l'armée prussienne en Champagne avec le titre d'aumônier
de régiment. A la paix de Bâle il revint à Halle, où il se
fixa, et où il mourut, le 20 avril 1831.
En composant ses Tableaux de la vie de famille, Auguste
Lafontaine s'attachait plus à toucher son lecteur qu'à le
charmer par le mérite littéraire de ses ouvrages. Une ima-
gination vive, quoique peu riche, des plans sagement conçus,
des caractères facilement tracés, des situations heureusement
trouvées et des sentiments honnêtes, joints à une exposition
habile et facile, valurent à ses premiers ouvrages un nom-
breux public. Il réussit moins dans les romans qu'il publia
à partir de 1808; une sentimentalité quelquefois outrée, la
fréquente répétition des mêmes caractères et des mêmes
situations, indisposèrent alors contre lui la critique et rétré-
t'irent successivement le cercle, d'abord si étendu, de ses lec-
teurs. ils ont tous un tel air de famille et tant de ressem-
blance avec ses premiers ouvrages, que qui a lu l'un a lu les
autres. Le caractère privé d'Auguste La Fontaine présentait
le plus frappant contraste avec les idées qui dominent dans
ses ouvrages; jamais, à le voir si gai et si enjoué dans la
société, on n'eût deviné le larmoyant écrivain.
Dans l'édition des tragédies d'Eschylequ'ila publiée ( 2 vot.
Halle, i822), il a cherché à rétablir des textes qu'il sup-
posait avoir été défigurés par des copistes; mais ses conjec.
tures, trop hasardées, lui attirèrent de rudes critiques.
LA FORCE (Famille de). La seigneurie de La Force, si-
tuée en l'érigord, à 4 kilom. de Bergerac, donna succes-
sivement *on nom à deux branches de la maison deCau-
mo n t. Possédée par Jacques Nompar de Caumont, du chef
de sa mère, Philippe de Beaupoil, dame de La Force, elle
fut érigée, pour lui d'abord en marquisat l'an 1609, par
Henri IV, puis en duché-pairie, par Louis XIII, en 1637.
Jacques Nompah DE Caumokt, premier duc DE La. Fobce,
ami et compagnon de Henri IV, né en 1560, échappa mi-
raculeusement aux massacres de la Saint-Barthélémy. Ja-
mais, dit l'historien De Thou, jamais spectacle ne fut plus
digne de pitié que celui du meurtre de François Nompar
de Caumont, logé près du Louvre; il était couché dans le
même lit avec deux enfants qu'il aimait tendrement. Les
meurtriers, que le zèle de la religion animait beaucoup moins
que l'avidité du butin, avaient résolu de l'égorger, lui et
toute sa famille: ils tuèrent donc le père et un des enfants;
l'autre, qui avait à peine douze ans, montrant en cette oc-
casion une prudence au-dessus de son âge, couvrit son corps
le mieux qu'il put de ceux de son père et de son frère; et
comme il nageait dans te sang, il fit te mort, et les meur-
triers le laissèrent pour tel. 11 vint ensuite une foule de monde
pour piller la maison on parlait diversement du meurtre
de ces trois personnes; plusieurs donnaient de grands éloges
à cette actioii « Ce n'est pas assez, disaient-ils, de tuer
les mauvaises bêtes, il faut étouffer les petits .» D'autres,
moins inhumains, disaient: » A la bonne heure! qu'on ait
tué le père, qui était coupable mais pourquoi égorger des
enfants qui n'avaient aucune part à sa faute, et qui peut-
être un jour se seraient conduits d'une manière toute diffé-
rente ? » Le soir, cet enfant, ayant entendu un de ceux qui
étaient dans la chambre détester cette action barbare, et
dire que Dieu ne la laisserait pas impunie, se remua dans
son lit, et, levant un peu la tête, il dit qu'il n'était pas mort
on lui demanda qui il était. « Je suis, leur dit-il, fils de l'un
de ces deux morts, et frère de l'autre; » et il eut la pru-
dence de ne point dire son nom. Comme on le pressait, il
répondit qu'il le dirait dès qu'on l'aurait mis en lieu de
sûreté: on lui demanda où voûtait qu'on le menât. « A l'ar-
senal, dit-il je suis allié de Biron, grand-maitre de l'artil-
lerie, et vous pouvez compter que vous serez bien payés
du service que vous me rendrez. » L'homme du peuple l'y
conduisit, avec toutes les précautions nécessaires. » Plus
tard il fut capitaine des gardes du roi de Navarre, gouver-
neur du Béarn et vice-roi de Navarre. L'un des grands
chefs protestants pendant la guerre de 1621 il fit lever à
Louis XlII le siége de Montauban, déposa les armes en 1622,
et reçut le bâton de maréchal de France; il commanda avec
succès les armées françaises pendant la guerre de trente ans,
et mourut en 1652. En 1843, M. le marquis de La Grange a
publié ses Mémoires.
Armand Nompar DE Catoiom1, second duc de LA Force,
grand-mattre de la garde-robe du roi et maréchal de France
après la mort de son père, fit les guerres d'Italie sous
Louis XHI comme maréchal de camp, prit Saluces, Yille-
franche et Pancale, signala son courage à Carignan, défit
les Impériaux en Lorraine au combat de Raon, et prit le
comte de Colloredo, leur général. Il mourut en 1675, ne lais-
sant qu'une fille, la maréchale de Turenne.
Chariot Ce- Rosé de La Force, petite-fille du maréchal,
occupe une place distinguée dans l'histoire littéraire du
dix-septième siècle; elle publia successivement Il Histoire
secrète de Bourgogne (2 vol. in-12); V Histoire secrète de
Marie de Bourgogne (2 vol. in-1 ï) V Histoire de Marguerite
de Valois, sœur de François 1er (4 vol. in-12) V Histoire
secrète de Catherine de Bourbon, duchesse de Bar ( in-t2 ).
Toutes ces histoires, prétendues secrètes, ne sont en réalité
que des romans d'amour, dont l'imagination de l'auteur a
fait tous les frais; ils se font remarquer par un style simple,
correct et surtout passionné. Citons encore V Histoire de Gus-
tave Wasa; Les Fées; Le Conte des contes; Le Château
en Espagne, la meilleure de ses productions, etc. Charlotte
de La Force mourut à Paris, en 1724.
Jacques Nohpab deCaumont, quatrième duc DE La Fohcê,
fut le premier catholique de cette branche de la maison de
Caumont; il avaitépousé Suzanne de Beringhen, qui, restée
protestante après sa mort, et voulant échapper aux persé-
cutions que lui attirait sa religion, se retira en Angleterre
en 1699. La duchesse de La Force, dit Saint-Simon, fut ac-
cueillie à Londres avec une grande distinction, et y conserva
même les honneurs réservés à son titre.
Henri-Jacques Nompaii DE Caumont, cinquième duc bk
La Force, fils du précédent, élevé ainsi que ses frères par
ordre du roi dans la religion catholique, joua un rôle assez
important sous la régencedu duc d'Orléans. Successivement
vice-président du conseildes finances et membre du conseil
de régence, intimement lié avec Law, il favorisa l'adoption
de son système, et se lança dans des opérations qui lui at-
tirèrent un grave procès. Il mourut en 1726, sans enfants.
,11 avait été élu membre de l'Académie Française, en 17»ir>.
La seconde branche ducale de La Force provient de Ber-
trand bf. CsusioST DE Bfaovili.a issu d'un rameau éloigné
delà même famillo.
Son fils aine, Louis- Joseph NottMti nr. Causont, premier
duc de La Force de la seconde branche, grand d'ICspagnc
52
plus avisée que lui en tout. Ninon elle-même prêchait la
morale à La Fontaine, qui ne l'écoutait guère et la pratiquait
encore moins. Pourtant, il respecta toujours la religion.
Il y revint même avec une nouvelle ardeur à ses derniers
moments, et mourut dans de grands sentiments de piété,
chez M. Hervart, le 13 avril 1695. Il fut enterré dans le
cimetière des Innocents, et obtint les larmes et les regrets
de Fénelon. Entre beaucoup de mots dignes d'être retenus,
et qui peignent son cœur, on cite celui-ci Après la mort
de Mme de La Sablière, il était sorti de l'hôtel de cette
excellente amie pour n'y plus rentrer, lorsqu'il rencontra
61. Hervart, qui lui dit avec empressement « Mon cher
La Fontaine, je vous cherchais pour vous prier de venir
loger chez moi. J'y allais, » répondit le fabuliste.
P.-F. TlSSOT, de l'Académie Française.
LA FONTAINE (Auguste-Hekbi-Jik.es), fécond ro-
mancier allemand, dont les productions eurent pendant long-
temps la vogue, naquit le 10 octobre 1759, à Brunswiclt, d'un
père peintre habile, descendant d'une de ces familles pro-
testantes françaises que la révocation de l'édit de Nantes
força, sous le règne de Louis XIV, à aller se faire une se-
conde patrie à l'étranger. Après avoir étudié la théologie à
Helmstœdt, il fut appelé en 1786 dans une famille particu-
lière de Halle en qualité de précepteur, puis accompagna
l'armée prussienne en Champagne avec le titre d'aumônier
de régiment. A la paix de Bâle il revint à Halle, où il se
fixa, et où il mourut, le 20 avril 1831.
En composant ses Tableaux de la vie de famille, Auguste
Lafontaine s'attachait plus à toucher son lecteur qu'à le
charmer par le mérite littéraire de ses ouvrages. Une ima-
gination vive, quoique peu riche, des plans sagement conçus,
des caractères facilement tracés, des situations heureusement
trouvées et des sentiments honnêtes, joints à une exposition
habile et facile, valurent à ses premiers ouvrages un nom-
breux public. Il réussit moins dans les romans qu'il publia
à partir de 1808; une sentimentalité quelquefois outrée, la
fréquente répétition des mêmes caractères et des mêmes
situations, indisposèrent alors contre lui la critique et rétré-
t'irent successivement le cercle, d'abord si étendu, de ses lec-
teurs. ils ont tous un tel air de famille et tant de ressem-
blance avec ses premiers ouvrages, que qui a lu l'un a lu les
autres. Le caractère privé d'Auguste La Fontaine présentait
le plus frappant contraste avec les idées qui dominent dans
ses ouvrages; jamais, à le voir si gai et si enjoué dans la
société, on n'eût deviné le larmoyant écrivain.
Dans l'édition des tragédies d'Eschylequ'ila publiée ( 2 vot.
Halle, i822), il a cherché à rétablir des textes qu'il sup-
posait avoir été défigurés par des copistes; mais ses conjec.
tures, trop hasardées, lui attirèrent de rudes critiques.
LA FORCE (Famille de). La seigneurie de La Force, si-
tuée en l'érigord, à 4 kilom. de Bergerac, donna succes-
sivement *on nom à deux branches de la maison deCau-
mo n t. Possédée par Jacques Nompar de Caumont, du chef
de sa mère, Philippe de Beaupoil, dame de La Force, elle
fut érigée, pour lui d'abord en marquisat l'an 1609, par
Henri IV, puis en duché-pairie, par Louis XIII, en 1637.
Jacques Nompah DE Caumokt, premier duc DE La. Fobce,
ami et compagnon de Henri IV, né en 1560, échappa mi-
raculeusement aux massacres de la Saint-Barthélémy. Ja-
mais, dit l'historien De Thou, jamais spectacle ne fut plus
digne de pitié que celui du meurtre de François Nompar
de Caumont, logé près du Louvre; il était couché dans le
même lit avec deux enfants qu'il aimait tendrement. Les
meurtriers, que le zèle de la religion animait beaucoup moins
que l'avidité du butin, avaient résolu de l'égorger, lui et
toute sa famille: ils tuèrent donc le père et un des enfants;
l'autre, qui avait à peine douze ans, montrant en cette oc-
casion une prudence au-dessus de son âge, couvrit son corps
le mieux qu'il put de ceux de son père et de son frère; et
comme il nageait dans te sang, il fit te mort, et les meur-
triers le laissèrent pour tel. 11 vint ensuite une foule de monde
pour piller la maison on parlait diversement du meurtre
de ces trois personnes; plusieurs donnaient de grands éloges
à cette actioii « Ce n'est pas assez, disaient-ils, de tuer
les mauvaises bêtes, il faut étouffer les petits .» D'autres,
moins inhumains, disaient: » A la bonne heure! qu'on ait
tué le père, qui était coupable mais pourquoi égorger des
enfants qui n'avaient aucune part à sa faute, et qui peut-
être un jour se seraient conduits d'une manière toute diffé-
rente ? » Le soir, cet enfant, ayant entendu un de ceux qui
étaient dans la chambre détester cette action barbare, et
dire que Dieu ne la laisserait pas impunie, se remua dans
son lit, et, levant un peu la tête, il dit qu'il n'était pas mort
on lui demanda qui il était. « Je suis, leur dit-il, fils de l'un
de ces deux morts, et frère de l'autre; » et il eut la pru-
dence de ne point dire son nom. Comme on le pressait, il
répondit qu'il le dirait dès qu'on l'aurait mis en lieu de
sûreté: on lui demanda où voûtait qu'on le menât. « A l'ar-
senal, dit-il je suis allié de Biron, grand-maitre de l'artil-
lerie, et vous pouvez compter que vous serez bien payés
du service que vous me rendrez. » L'homme du peuple l'y
conduisit, avec toutes les précautions nécessaires. » Plus
tard il fut capitaine des gardes du roi de Navarre, gouver-
neur du Béarn et vice-roi de Navarre. L'un des grands
chefs protestants pendant la guerre de 1621 il fit lever à
Louis XlII le siége de Montauban, déposa les armes en 1622,
et reçut le bâton de maréchal de France; il commanda avec
succès les armées françaises pendant la guerre de trente ans,
et mourut en 1652. En 1843, M. le marquis de La Grange a
publié ses Mémoires.
Armand Nompar DE Catoiom1, second duc de LA Force,
grand-mattre de la garde-robe du roi et maréchal de France
après la mort de son père, fit les guerres d'Italie sous
Louis XHI comme maréchal de camp, prit Saluces, Yille-
franche et Pancale, signala son courage à Carignan, défit
les Impériaux en Lorraine au combat de Raon, et prit le
comte de Colloredo, leur général. Il mourut en 1675, ne lais-
sant qu'une fille, la maréchale de Turenne.
Chariot Ce- Rosé de La Force, petite-fille du maréchal,
occupe une place distinguée dans l'histoire littéraire du
dix-septième siècle; elle publia successivement Il Histoire
secrète de Bourgogne (2 vol. in-12); V Histoire secrète de
Marie de Bourgogne (2 vol. in-1 ï) V Histoire de Marguerite
de Valois, sœur de François 1er (4 vol. in-12) V Histoire
secrète de Catherine de Bourbon, duchesse de Bar ( in-t2 ).
Toutes ces histoires, prétendues secrètes, ne sont en réalité
que des romans d'amour, dont l'imagination de l'auteur a
fait tous les frais; ils se font remarquer par un style simple,
correct et surtout passionné. Citons encore V Histoire de Gus-
tave Wasa; Les Fées; Le Conte des contes; Le Château
en Espagne, la meilleure de ses productions, etc. Charlotte
de La Force mourut à Paris, en 1724.
Jacques Nohpab deCaumont, quatrième duc DE La Fohcê,
fut le premier catholique de cette branche de la maison de
Caumont; il avaitépousé Suzanne de Beringhen, qui, restée
protestante après sa mort, et voulant échapper aux persé-
cutions que lui attirait sa religion, se retira en Angleterre
en 1699. La duchesse de La Force, dit Saint-Simon, fut ac-
cueillie à Londres avec une grande distinction, et y conserva
même les honneurs réservés à son titre.
Henri-Jacques Nompaii DE Caumont, cinquième duc bk
La Force, fils du précédent, élevé ainsi que ses frères par
ordre du roi dans la religion catholique, joua un rôle assez
important sous la régencedu duc d'Orléans. Successivement
vice-président du conseildes finances et membre du conseil
de régence, intimement lié avec Law, il favorisa l'adoption
de son système, et se lança dans des opérations qui lui at-
tirèrent un grave procès. Il mourut en 1726, sans enfants.
,11 avait été élu membre de l'Académie Française, en 17»ir>.
La seconde branche ducale de La Force provient de Ber-
trand bf. CsusioST DE Bfaovili.a issu d'un rameau éloigné
delà même famillo.
Son fils aine, Louis- Joseph NottMti nr. Causont, premier
duc de La Force de la seconde branche, grand d'ICspagnc
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 93.46%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 93.46%.
- Sujets similaires Français langue Français langue /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Français langue "Larousse du XXe siècle en six volumes. Tome 5 / publié sous la direction de Paul Augé /ark:/12148/bd6t542063502.highres Monde primitif analysé et comparé avec le monde moderne considéré dans son génie allégorique et dans les allégories auxquelles conduisit ce génie ; précédé du Plan général des diverses parties qui composeront ce Monde primitif. Volume 9 / par M. Court de Gébelin,... /ark:/12148/bd6t57839334.highresConversation Conversation /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Conversation" Lecture Lecture /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=dc.subject adj "Lecture"
- Collections numériques similaires Arts de la marionnette Arts de la marionnette /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Pam1"Paris, Sèvres, Saint-Cloud, Versailles, Saint-Germain, Fontainebleau, Saint-Denis, Chantilly : avec la liste des rues de Paris / par Paul Joanne... /ark:/12148/bd6t5774757r.highres La comédie à la cour : les théâtres de société royale pendant le siècle dernier, la duchesse du Maine et les grandes nuits de Sceaux, Mme de Pompadour et le théâtre des petits cabinets, le théâtre de Marie-Antoinette à Trianon / Adolphe Jullien /ark:/12148/bd6t5773930r.highres
- Auteurs similaires Duckett William Duckett William /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Duckett William" or dc.contributor adj "Duckett William")Histoire de la littérature ancienne et moderne. Tome 2 / , par F. Schlegel, traduite de l'allemand, sur la dernière édition, par William Duckett... /ark:/12148/bd6t5781060p.highres Dictionnaire de conversation à l'usage des dames et des jeunes personnes, ou complément nécessaire de toute bonne éducation / publié sous la direction de M. W. Duckett,... /ark:/12148/bpt6k30443140.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 56/804
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k30811f/f56.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k30811f/f56.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k30811f/f56.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k30811f/f56.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k30811f
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k30811f
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k30811f/f56.image × Aide