Titre : Le Charivari : publiant chaque jour un nouveau dessin
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1850-01-04
Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication
Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Directeur de publication
Contributeur : Véron, Pierre (1831-1900). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34452332k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 359 Nombre total de vues : 359
Description : 04 janvier 1850 04 janvier 1850
Description : 1850/01/04 (A19,N4). 1850/01/04 (A19,N4).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k30497427
Source : Bibliothèque nationale de France, département Fonds du service reproduction, 4-Lc2-1328
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 20/05/2019
DIX-NEUVIEME ANNEE. - N" 4.
VENDREDI 4 JANVIER 1850.
Bureau de la rédaction et de [administration, à Paria,
RUE DU CROISSANT, 16 (HOTEL COLARAt).
AB0SrHnS&IHff8«
Trois mois.
Six mois...
Un an
PARIS.
la fr.
34 l
48
bImit.
18 fr.
30
CO
Les aboime/nens datent des 1 er et 10 do chaque mois.
—088S©—
On s’abonne : à Lyon, chez Mme Phiiippe-Baudier,
11, rue St-Dominique; à Bordeaux, chez Mme Delpech,
libr.; à Marseille, chez M. Michelet-Peyron et chez
Unie Camoin, libr.; à Rouen, chez Mme Watré, 30, rue
du Vieux-Palais; à Londres, chez Cowie et son, P. News
Paper odice; dans tous les bureaux des Messageries
nationales et générales, et chez les libraires.
Pütliant chaque jour un nouveau i^sin en lithographie
OU GRAVURES, ET VIGNETTES SUR BOIS.
PARIS. DÉPART.
Trois mois 12 fr. f » fr.
Six mois 24 30
Un an 48 ü»
Les abonnemens datent des 1 er et 16 de chaque ni \i
On reçoit en paiement des abonnemens, les man
dats à vue sur le Trésor et sur la Poste, et les ell'ets
sur les maisons de Banque de Paris. — Tout ee qui
concerne l’administration du Journal doit être adressé
(franco) au Directeur, rue du Croissant, 16 (ancien
hôtel Colbert). — Les lettres non affranchies seront
rigoureusement refusées.
LE CHARIVARI.
ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE.
Séance du 3 janvier.
Toute la séance s’est passée à la recherche de la
majorité. Les chaberts, les cliaptal, les affranchis de
l’Elysée, Narcisse, Paris, Agaton, Filoseille, Coque-
ilicot de Blaguigny, Lustucru, Rissolé, Tristapatte,
et les autres amis du ministère d’action entouraient
le cher Parieu et s’efforçaient de le consoler en lui
disant : la majorité ne peut pas être perdue; on la
retrouvera.
— Hélas ! hélas ! hélas !
— Allons, chaptal, de l’énergie, du courage, du
caoutchouc, de la force, du moelleux et de l’action !
la plainte est pour les sots, l’action pour les chaberts.
Vous êtes-vous mis en quatre, en dix et en cent?
lavez-vous fait placarder des affiches? On se remue,
mon tendre ami ! Avez-vous fait tambouriner par la
ville :« La majorité a été perdue hier; cinquante
destitutions de républicains à qui la rapportera. »
— Toute la nuit nous sommes restés sur pied;
nous avons couru et recouru les couloirs avec des
lanternes ; nous avons fouillé au coin de toutes les
I bornes, dans les débris oratoires ; nous avons remué
"la droite de fond en comble, retourné le centre, visi
té les hottes des chiffonniers qui emportent les bul
letins; la majorité n’est point encore retrouvée ; ce
pendant, comme on a déposé sur le bureau, dans
l’espoir de la récompense honnête, une foule d’objets
et notamment de bulletins qui n’ont pas été exami
nés, nous conservons quelque espoir.
En ce moment le vice-président Baroche excitait
au plus haut point l’attention de l’assemblée par son
air affairé. — Huissiers, faites faire silence !
— Messieurs les représentais, veuillez faire si
lence !
— Messieurs, d’après la lecture du procès-verbal
que vous venez d’entendre, mais conformément à
des conclusions subsidiaires, le tribunal ouï les se
crétaires en leurs réquisitions, a l’honneur de vous
faire part qu’il a réformé son premier jugement...
je veux dire scrutin... Enfin, messieurs, la majorité
est retrouvée. Plaise à nos procureurs, huissiers et
gendarmes d’y prêter main forte.
5 — Allons donc ! allons donc ! allllllons donc !
— Silence, messieurs ! Il me sera facile de vous
expliquer les considérans. C’est la faute de M. Gillon
— i .liTSiii»
qui a voté deux fois ! Quant au citoyen Croque-au-
Sel, trois bulletins de son chef! il n’en fait jamais
d’autres. Total, 308 voix pour l’urgence et 307 con
tre. Qu’en pensez-vous?
le citoyen gillon, vivement ému. — Les Gil
lon sont des hommes qui sait toujours ce qu’il fait,
messieurs et honorables citoyens collègues ! Il m’est
pénible qu’on ait confondu mon nom de Gillon avec
celui de Grillon duquel je suis sans aucuns rapports
avec lui, quoiqu’étant mon voisin.
Le chabert regnauld saint-jean d’angély. —
Quoi, oh quoi ! c’est, d’m e voix de tonnerre que je
me proclame incapable d’altérer les sources pures
d’une majorité dont je me plais à faire l’ornement
par des clameurs épouvantables, propres à terrifier
l’anarchie. Yoillà.
Allons donc ! allons donc !
le président. — Fort bien, tout est fini. Je mets
la clôture aux voix.
On vote la clôture.
— Quelle clôture? quelle clôture?
— Lacaze il va tout vous expliquer... arrêtez un
peu... Eh je puis bien vous donner des détails sur
l’opération. Il y en avait 310 bleus et d’un autre côté
313 blancs. Et puis nous en avons retrouvé un petit
dans l’urne, où ce jeune imprudent il se tenait isolé.
C’est là ce que l’affirme moi, Lacaze, foi d’honnête
homme, la main sur mon cûr, en présence de Dieu
et des hommes, et de toutes ces dames honorables
que j’aperçois dans les tribunes.
— Allons donc ! — non jamais, — oui, monsieur!
— vous en êtes un autre — je ne souffrirai pas...
— tout est expliqué, embrassons-nous !
au centre, sur les hauteurs. —On dit donc que
la majorité est retrouvée?
— Oui certainement.
— Et où l’a-t-on retrouvée?
— Chez Mimi-Véron qui l’avait mise en boîte par
mégarde.
le président.—Je mets la clôture aux voix.
La clôture est prononcée.
— J’y consens, s’écrie le citoyen Combiès, à la
condition qu’on ne changera rien au résultat du
scrutin d’hier.
— Mais puis-que-l’on-vous-dit-que-la-majori-té
est-re-trou-vée, na !
— Quoi, na !
— Na, donc.
le président. — Je mets de nouveau la clôture
aux voix.
— Permettez... permettez... c’est votre ami mous
su Baze qui vient vous demander avec quelque impé
tuosité ce dont il s’agit. Il y a mal donne, mes
sieurs...; c’est un mot dont nous nous servons au
piquet d’Agen. Quand il y a mal donne, on recom
mence. Il est impossible, dans une circonstance pa
reille, de permettre au gagnant de compter quinte,
quatorze et \q point. Quant à moi je ne veux pas être
capot.
le président.—Bon ! alors battez les cartes ; je
ferai couper de nouveau... C’est-à-dire, que diable
barbottai-je là avec votre piquet?... je voulais dire
je mettrai la clôture aux voix.
La clôture est prononcée.
— Je ne l’accepterai jamais ! s’écrie M. Dufouge-
rais.
— Nous non plus ! ajoutent deux cents voix.
C’est alors que la discussion qui avait été d’une si
grande clarté depuis le commencement de cette la
borieuse séance, s’est embrouillée. On a cru que M.
Parieu avait reperdu la majorité.
Enfin l’infatigable vice-président Baroche, aidé
des huissiers priseurs, s’est écrié : — Je mets de
nouveau la clôture aux voix... une fois... deux
fois... Personne ne dit mot... adjugé !
De ce coup l’annulation du scrutin d’hier a été
votée, puis on a procédé au vote sur l’urgence de la
proposition Parieu.
0 bonheur ! ôjoiel ô transports! ô propriété! ô
famille ! ôMimi Véron ! ô cher Mousqueton, et vous,
Clarinette, sa fille, type arùto si délicieux ! la majo
rité était au fond de l’urne.
Rien n’a manqué à ce beau dénouement, hormis
une demi-douzaine déboulés que les secrétaires n’ont
pas pu retrouver. Sans doute que le jeune Estance-
lin les ayant prises pour des billes, jouait avec
elles derrière le bureau.
LE DRAME-JELLACHICH.
Les journaux allemands reçus hier à Paris nous
apportent une grande nouvelle.
Il s’agit sans doute, me direz-vous, de la consti
tution du parlement allemand, ou de l’invasion de
la Saxe par l’Autriche? Nullement; la politique est
complètement étrangère à l’événement.
Le ban Jellachich vient de faire représenter un
drame à Leybach.
VENDREDI 4 JANVIER 1850.
Bureau de la rédaction et de [administration, à Paria,
RUE DU CROISSANT, 16 (HOTEL COLARAt).
AB0SrHnS&IHff8«
Trois mois.
Six mois...
Un an
PARIS.
la fr.
34 l
48
bImit.
18 fr.
30
CO
Les aboime/nens datent des 1 er et 10 do chaque mois.
—088S©—
On s’abonne : à Lyon, chez Mme Phiiippe-Baudier,
11, rue St-Dominique; à Bordeaux, chez Mme Delpech,
libr.; à Marseille, chez M. Michelet-Peyron et chez
Unie Camoin, libr.; à Rouen, chez Mme Watré, 30, rue
du Vieux-Palais; à Londres, chez Cowie et son, P. News
Paper odice; dans tous les bureaux des Messageries
nationales et générales, et chez les libraires.
Pütliant chaque jour un nouveau i^sin en lithographie
OU GRAVURES, ET VIGNETTES SUR BOIS.
PARIS. DÉPART.
Trois mois 12 fr. f » fr.
Six mois 24 30
Un an 48 ü»
Les abonnemens datent des 1 er et 16 de chaque ni \i
On reçoit en paiement des abonnemens, les man
dats à vue sur le Trésor et sur la Poste, et les ell'ets
sur les maisons de Banque de Paris. — Tout ee qui
concerne l’administration du Journal doit être adressé
(franco) au Directeur, rue du Croissant, 16 (ancien
hôtel Colbert). — Les lettres non affranchies seront
rigoureusement refusées.
LE CHARIVARI.
ASSEMBLÉE NATIONALE LÉGISLATIVE.
Séance du 3 janvier.
Toute la séance s’est passée à la recherche de la
majorité. Les chaberts, les cliaptal, les affranchis de
l’Elysée, Narcisse, Paris, Agaton, Filoseille, Coque-
ilicot de Blaguigny, Lustucru, Rissolé, Tristapatte,
et les autres amis du ministère d’action entouraient
le cher Parieu et s’efforçaient de le consoler en lui
disant : la majorité ne peut pas être perdue; on la
retrouvera.
— Hélas ! hélas ! hélas !
— Allons, chaptal, de l’énergie, du courage, du
caoutchouc, de la force, du moelleux et de l’action !
la plainte est pour les sots, l’action pour les chaberts.
Vous êtes-vous mis en quatre, en dix et en cent?
lavez-vous fait placarder des affiches? On se remue,
mon tendre ami ! Avez-vous fait tambouriner par la
ville :« La majorité a été perdue hier; cinquante
destitutions de républicains à qui la rapportera. »
— Toute la nuit nous sommes restés sur pied;
nous avons couru et recouru les couloirs avec des
lanternes ; nous avons fouillé au coin de toutes les
I bornes, dans les débris oratoires ; nous avons remué
"la droite de fond en comble, retourné le centre, visi
té les hottes des chiffonniers qui emportent les bul
letins; la majorité n’est point encore retrouvée ; ce
pendant, comme on a déposé sur le bureau, dans
l’espoir de la récompense honnête, une foule d’objets
et notamment de bulletins qui n’ont pas été exami
nés, nous conservons quelque espoir.
En ce moment le vice-président Baroche excitait
au plus haut point l’attention de l’assemblée par son
air affairé. — Huissiers, faites faire silence !
— Messieurs les représentais, veuillez faire si
lence !
— Messieurs, d’après la lecture du procès-verbal
que vous venez d’entendre, mais conformément à
des conclusions subsidiaires, le tribunal ouï les se
crétaires en leurs réquisitions, a l’honneur de vous
faire part qu’il a réformé son premier jugement...
je veux dire scrutin... Enfin, messieurs, la majorité
est retrouvée. Plaise à nos procureurs, huissiers et
gendarmes d’y prêter main forte.
5 — Allons donc ! allons donc ! allllllons donc !
— Silence, messieurs ! Il me sera facile de vous
expliquer les considérans. C’est la faute de M. Gillon
— i .liTSiii»
qui a voté deux fois ! Quant au citoyen Croque-au-
Sel, trois bulletins de son chef! il n’en fait jamais
d’autres. Total, 308 voix pour l’urgence et 307 con
tre. Qu’en pensez-vous?
le citoyen gillon, vivement ému. — Les Gil
lon sont des hommes qui sait toujours ce qu’il fait,
messieurs et honorables citoyens collègues ! Il m’est
pénible qu’on ait confondu mon nom de Gillon avec
celui de Grillon duquel je suis sans aucuns rapports
avec lui, quoiqu’étant mon voisin.
Le chabert regnauld saint-jean d’angély. —
Quoi, oh quoi ! c’est, d’m e voix de tonnerre que je
me proclame incapable d’altérer les sources pures
d’une majorité dont je me plais à faire l’ornement
par des clameurs épouvantables, propres à terrifier
l’anarchie. Yoillà.
Allons donc ! allons donc !
le président. — Fort bien, tout est fini. Je mets
la clôture aux voix.
On vote la clôture.
— Quelle clôture? quelle clôture?
— Lacaze il va tout vous expliquer... arrêtez un
peu... Eh je puis bien vous donner des détails sur
l’opération. Il y en avait 310 bleus et d’un autre côté
313 blancs. Et puis nous en avons retrouvé un petit
dans l’urne, où ce jeune imprudent il se tenait isolé.
C’est là ce que l’affirme moi, Lacaze, foi d’honnête
homme, la main sur mon cûr, en présence de Dieu
et des hommes, et de toutes ces dames honorables
que j’aperçois dans les tribunes.
— Allons donc ! — non jamais, — oui, monsieur!
— vous en êtes un autre — je ne souffrirai pas...
— tout est expliqué, embrassons-nous !
au centre, sur les hauteurs. —On dit donc que
la majorité est retrouvée?
— Oui certainement.
— Et où l’a-t-on retrouvée?
— Chez Mimi-Véron qui l’avait mise en boîte par
mégarde.
le président.—Je mets la clôture aux voix.
La clôture est prononcée.
— J’y consens, s’écrie le citoyen Combiès, à la
condition qu’on ne changera rien au résultat du
scrutin d’hier.
— Mais puis-que-l’on-vous-dit-que-la-majori-té
est-re-trou-vée, na !
— Quoi, na !
— Na, donc.
le président. — Je mets de nouveau la clôture
aux voix.
— Permettez... permettez... c’est votre ami mous
su Baze qui vient vous demander avec quelque impé
tuosité ce dont il s’agit. Il y a mal donne, mes
sieurs...; c’est un mot dont nous nous servons au
piquet d’Agen. Quand il y a mal donne, on recom
mence. Il est impossible, dans une circonstance pa
reille, de permettre au gagnant de compter quinte,
quatorze et \q point. Quant à moi je ne veux pas être
capot.
le président.—Bon ! alors battez les cartes ; je
ferai couper de nouveau... C’est-à-dire, que diable
barbottai-je là avec votre piquet?... je voulais dire
je mettrai la clôture aux voix.
La clôture est prononcée.
— Je ne l’accepterai jamais ! s’écrie M. Dufouge-
rais.
— Nous non plus ! ajoutent deux cents voix.
C’est alors que la discussion qui avait été d’une si
grande clarté depuis le commencement de cette la
borieuse séance, s’est embrouillée. On a cru que M.
Parieu avait reperdu la majorité.
Enfin l’infatigable vice-président Baroche, aidé
des huissiers priseurs, s’est écrié : — Je mets de
nouveau la clôture aux voix... une fois... deux
fois... Personne ne dit mot... adjugé !
De ce coup l’annulation du scrutin d’hier a été
votée, puis on a procédé au vote sur l’urgence de la
proposition Parieu.
0 bonheur ! ôjoiel ô transports! ô propriété! ô
famille ! ôMimi Véron ! ô cher Mousqueton, et vous,
Clarinette, sa fille, type arùto si délicieux ! la majo
rité était au fond de l’urne.
Rien n’a manqué à ce beau dénouement, hormis
une demi-douzaine déboulés que les secrétaires n’ont
pas pu retrouver. Sans doute que le jeune Estance-
lin les ayant prises pour des billes, jouait avec
elles derrière le bureau.
LE DRAME-JELLACHICH.
Les journaux allemands reçus hier à Paris nous
apportent une grande nouvelle.
Il s’agit sans doute, me direz-vous, de la consti
tution du parlement allemand, ou de l’invasion de
la Saxe par l’Autriche? Nullement; la politique est
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Le ban Jellachich vient de faire représenter un
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