Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1912-05-11
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 164718 Nombre total de vues : 164718
Description : 11 mai 1912 11 mai 1912
Description : 1912/05/11 (Numéro 132). 1912/05/11 (Numéro 132).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG69 Collection numérique : BIPFPIG69
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Description : Collection numérique : France-Brésil Collection numérique : France-Brésil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k2895795
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
LE FIGARO SAMEDI 11 MAf 1912
(Lortiç), 3,500 fr. n° 47, Chants et chansons
populaires de la ïfrance, Paris, 18^3, 3 vol.
gr. in-S (Chambolle-Duru), 1,105 fr. n» 49,
Chevigné (comte de) les Contes rémois,
dessins de E. Meissonier, 1858, in-8 (Mercier >
suce. de Cuzin), première édition illustrée par
Meissonier, 2,500 fr, n° 76, le Diable a
Paris, Paris, 1845-1846, 2 vol. gr. in-8 (Cham-
bollérDûru), 3,000 francs.
**# -.̃•• '•
COLLECTION A. M. DE ZOGHEB
,•̃ (D'ALEXANDRIE)
A la salle 8, les antiquités égyptiennes
et grecques de la collection de M. Alexan-
dre M. Max de Zogheb ont fini d'être
dispersées par le ministère de Me Henri
Baudoin, assiste des experts Feuardent,
sur un total de 43,775 francs. Voici en-
core quelques enchères nouvelles
N° 340, Tètê dé chatte, avec collier ciselé,
i)iio fr.; n» 350, Grande chatte assise, 2,800
francs; h° 35J, Autre, parée d'un collier ci-
selé, l'oeil oudjâ sur la poitrine, 5,500 fr.;
n°3S3, Isis assise sur un trône et allaitant
l'enfant Horus, 625 Fr. n° 354, Isis debout,
880 fr.; h» 474, Lampe façonnée en tête de
nègre, 1,050 francs.
COLLECTION Ï»É Mme ËALLÊTTA
Enfin,' aux salles 9, et 11, Mel Lair-Du-
breuil et Henri Baudoin, asssistés,des ex-
perts Mannheim et Guillaume, ont con-
tinûué la vente de la collection de Mme
Bàlletta, par une vacation qui porte le
total des trois premières journées à
468,479 francs. En voici le détail s
Penduhsf bronzes. No 267, Palmier sur
base à rocailles, en bronze doré du temps de
Louis XV, 1,020 fr. n° 268, Deux petits can-
délabres, en bronze doré, du temps de
Louis XVj ornés d'une figurine en ancienne
porcelaine de Sàxe, 3,600 fr. n° 271, Pen-
dule en bronze doré. Epoque.Louis XV,4,ooofr.;
no.275, Petite pendule en bronze ciselé et doré,
époque Louis XVI, ggo fr.; n° 276, Deux can-
délabres du temps de Louis XVI, en bronze à
patine brune, 1,150 fr.; n° 277, Deux candéla-
bres en bronze, époque Louis XVI, 550 fr.:
n° 278, Deux candélabres formés chacun d'un
vase en marbre blanc, monture en bronze
doré, du temps de Louis XVI, 1,050 fr.; n°27g,
Chien caniche en bronze à patine brune, épo-
que Louis XVI, 2,460 fr. n° 281, Pendule en
bronze patiné et doré, époque Louis XVI,
3,ôôo fr. n° 282, Pendule en marbre blanc,
bronze patiné et doré, du temps de Louis XVI,
ito6o fr.; n° -284, Pendule en albâtre garnie de
bronzes dorés,commencement du dix-neuvième
siècle, 640 fr. n° 285, Deux candélabres, en
bronze patiné et doré, commencement du dix-
neuvième siècle, 600 fr. n° 291, Grand cartel
en bronze doré, 1,600 francs.
Miuhles. N.° 381, Grand guéridon rond,
eh bois incrusté de cuivre, fin du dix-hui-
tième siècle, 1,500 fr.; n" 390, Armoire en
bois. de placage, garnie de bronzes dorés, com-
mencement du dix-neuvième siècle, 700 fr.;
n° 395, Lit en acajou, garni d'appliques en
bronze doré, style Empire, 500 fr; n° 398,
Guéridon rond, en acajou, garnitures de
bronze, style Empire, 620 fr.; n° 401, Petite
étagère en marqueterie dé bois de couleur,
500 fn; n° 402, Petite commode demi-lune,
en marqueterie de couleur, 620 fr.; n° 407,
Deux glaces dans des cadres en bois sculpté
et doré, 580 fr.; n° 408, Table-Rognon, en
marqueterie de bois de couleur, garniture
de cuivre, 520 fr.; n° 427, Vitrine murale à
fond de glace, monture en bronze, 1,000 fr.
Sièges couverts en tapisserie. N° 428,
Mobilier de salon sculpté et doré, époque
Louis XV,45,000 fr, n° 429, Deux fau-
teuils' en bois scuipté et doré, .-converts en
tapisserie âù' temps de XSUisrX'v' 18,506 if.
ne 430, Deux fauteuils en bois sculpté, cou-
verts en tapisserie, époque Louis XV, 5,300
francs; n°' q3r, Canapé-marquise en bois
sculpté et 'doré, Couvert en tapisserie d'Au-
busson du temps de Louis XVI, 13,500 fr.
nb 432, Deux fauteuils en bois sculpté et doré,
couverts en tapisserie d'Aubusson du temps
de Louis XVI, 6,850 fr. n° 433, Fauteuil en
bois sculpté et doré,, couvert en tapisserie
d'Aubusson du temps de Louis XVI, i,i5ofr.;
n* 434, Deux chaises en bois sculpté et doré,
couvertes en tapisserie d'Aubusson du temps
de' Louis XVI, 1,405 fr. n° 435, Banquette
en bois sculpté et doré, couverte en tapisse-
rie, époque. Louis XVI, 2,405 francs.
Tapisserie,^ tapis. N° 437, Tapisserie-ver-
dure ave'ç oiseaux, dix-huitième siècle, 4,050
francs; n° 438, Tapisserie verdure, dix-hui-
tième siècle, 3,250 fr.; n° 442, Grand tapis
d'Orient à fleurs sur fond rouge, 600 francs.
Valemont,
,J r..
Là Oie au£ Cbaçipa
1 Les chiens attelés
Je suis l'un des plus fervents admira-
teurs de Toussenel, et j'ai toujours re-
gretté, pour sa gloire. et.pour. la satisfac-
tion personnelle que j'aurais éprouvée
à admireiypour une fois, un.auteur. sans
arrière-pen'sée, qu'avant' de devenir l'in-
comparable zoologiste que nous aimons
il ait été pûbliciste et publiciste intran-
sigeant. C'est au sfluvènir.dës pamplets
de l'incorrigible élève -dé Fourier que
l'auteur de YEsprit des bêtes et VOrin-
tholoifie "passionnelle doit de n'avoir à
Mon'treuil-Bellay. que .le tiers d'un mo-
nument où son buste figure accolé à
ceux d'un médecin et d'un architecte.
L'œuvré, de ïoussenel valait mieux
que: ce marchandage et il est heureux
qu'elle lui ait élevé par elle-même un
monument impérissable. Toussenel fut
souvent impitoyable.dans les jugements
qu'il a portés sur les hommes. Il a été
aussi, parfois bien "sévère envers les
bêtes. Abusant deTanaldgie, il a trop vo-
lontiers prêté aux animaux tous les dé-
fautsde l'humanité. OnTa cependant ac-
cusé, d'avoir donne, trop, d'éloges au
chien. «Le chien, a-t-il écrit, est la plus
belle conquête que l'homme ait jamais
faite, n'en déplaise' à M: de Bufïon. »
Je dois à Tousseneï, de reconnaître
aujourd'hui que l'avenir lui a donné rai-
son dans une certaine mesure. L'actua-
lité nous prouve, eh effet, que le chien
est un de nos plus utiles auxiliaires,
parée qu'il peut, en bien des occasions,
mettre à notre service, en môme temps
que sa force, son.intelligence et son rai-
sonnement, ce qui n'est pas le cas de la
plupart des autres animaux domesti-
ques..
Les épreuves qui ont eu lieu récem-
ment ùLille établissent péremptoirement
que le chien peut devenir d'une grande
utilité dans l'armée. Nous avions le chien
policier, nous avons maintenant le chien
sanitaire, et le chien « patriotique » celui
qui.sert d'estafette, de porteur, etc.
Ouand je dis que nous avons tout cela,
c'est peut-être aller, un peu loin. Nous
avons trouve, nous autres Français, le
moyen d'employer'le chien comme auxi-
liaire de l'armée, mais l'armée n'emploie
pas encore couramment le chiencomme
auxiliaire. A l'étranger, au contraire, les
chiens sanitaires et les chiens « trac-
teurs » sont maintenant régulièrement
incorporés dans les services de guerre.
En Belgique,on utilise les chiens pour
le transport des mitrailleuses, au liç-u. de
chevaux de bât. En France, on persiste
officiellement à considérer le chien
comme impropre à là traction, ou pour
mieux'dirc, on tient le fait d'atteler un
chien comme un acte de cruauté envers
un animal domestique. C'est contre cette
prévention faussement «humanitaire» »
que je tiens à protester aujourd'hui, et
c'est la lecture d'un récent arrêté préfec-
toral interdisant, sous peine d'amende,»
d'atteler les chiens, qui m'a décidé à
dire un mot de cette question toute d'ac-
tualité.
Depuis longtemps, en effet, beaucoup
d'arrêtés préfectoraux défendent d'atte-
ler les chiens et toute contravention à
cette interdiction est impitoyablement
relevée par la gendarmerie. La défense
d'atteler les chiens serait explicable si
le chien était naturellement réfractaire
au travail de trait et si sa conformation
lui rendait cet exercice pénible.
Mais au contraire, le chien est parfai-
tement établi pour « tirer » dans la me-
sure de ses forces, soit un traîneau, soit
une voiturette.
Il est aussi très disposé à porter un
certain fardeau. Les chiens des contre-
bandiers, les chiens des esquimaux, les
chiens de marchands de lait de Belgi-
que sont toujours bien portants et ne
paraissent pas souffrir de leur emploi
comme porteurs ou tracteurs. Il serait
donc tout naturel, et même très juste,
d'employer le chien aux usages auxquels
le rendent apte ses forces et sa confor-
mation, même si ce travail pouvait lui
déplaire. On fait travailler le cheval, le
bœuf et l'âne, et avec cruauté, parfois 1
on peut de même demander au chien,
en considération des soins qu'on lui
donne, un travail approprié à ses apti-
tudes.
Si l'homme lui-même a le devoir de
travailler pour vivre, il ne devrait pas
paraître choquant aux amis des animaux
de consentir à exiger de leurs protégés
qu'ils fassent comme certains hommes
et acceptent de gagipr leur pitance
journalière. Mais tout n'est qu'illogisme
en notre beau pays de France. On ad-
met parfaitement qu'un berger roue de
coups son chien pour la plus légère
faute, qu'il lui demande une surveil-
lance constante, de jour et de nuit,
qu'il exige qu'il fasse, en galopant
le long du troupeau, chaque jour,
un nombre considérable de kilomè-
tres on trouve tout naturel que, pour
dresser un chien de chasse, on em-
ploie tous les moyens de torture les plus
cruels, le fouet de dressage, le collier de
force, voire même -le coup de fusil
dans. les œuvres Tives on voit avec,'
indifférence, dans. les. domaines ruraux,
de pauvres chiens), des forçats, condam-
nés à aboyer lamentablement toute leur
vie, enchaînés à une loge défoncée qu'ils
ne quittent jamais, .exposés à toutes les
intempéries, nourris de détritus"" sans
nom. Mais on ne saurait voir sans indi-
gnation un chien, qui, Tibre à ses heures,
bien portant et bien nourri, aider à tirer
avec entrain la voiturette que son maître,
pousse avec peine, embricolé dans les,
brancards I Ces réflexions pourront pa-
raître bizarres à ceux qui me connais-
sent comme un des plus fervents pro-
tecteurs des animaux, mais elles ne sont
pas absolument de moi ••̃'̃•̃̃
II y a quelqueS^SÛrs, je suivais.la
charmante route de, Honfleur à Trou-
ville, celle-là même qu'une décision du
Conseil général du Calvados vient de'
sacrifier à des intérêts électoraux, en
décidant de la tranformer en une ba-
nale voie dé tramway qui dénaturera'
ses plus beaux sites. Un brave homme
et sa femme, marchands ambulants,
cheminaient devant moi, poussant péni-;
blemént une *< balladeuse », chargée de'k
ferraille et de vieux chiffons.
Un chien, vif et alerte, gambadait à
leurs côtés. A chacune des montées qui-,
sur cette route vallonnée, forcent si sou-.
vent les voitures à' ralentir leur allure,
l'homme faisait un signe. Le chien ve-
nait alors gaiement, de lui-même, pas-
ser son cou dans une petite bricole dis-
posée sous la 'voiture et se mettait.à à
tirer avec ardeur en jetant de temps en
temps des cris de satisfaction. Au haut
de chaque côte, il quittait son harnais
volontaire et se remettait à galoper, li-
bre et insouciant, autour du modeste
équipage que continuaient à pousser
l'homme et la femme qui semblaient ce-
pendant en proie à une constante pré-
occupation.
Et comme en passant, je caressais son
chien-,l'homme m'adressa la parole et me
fit part des réflexions' (jui précèdent:
« J'ai .intérêt, ajo.uta-t-il, à bien soigner
mon chien. Il m'aide et je le nourris
bien. Et puis, cela lui fait plaisir de tra-
vailler un peu. C'est pourquoi je risque
la contravention, car si les gendarmes
me rencontraient, je serais pris; il est
défe.ndu d'atteler les chiens, mais il est
permis de les laisser crever de faim » »
L'homme avait-raison. Le chien aime
a nous aider, et Toussenel ne s'est pas
trompé en disant que plus on apprend
à connaître les hommes, plus on apprend
.à estimer le chien. Le chien désire se
rendre utile et ne demande rien, même
pas de la reconnaissance, en échange de
ses services. Les plus fidèles des chiens
sont .souvent les plus maltraités. Les
pauvres gens qui attellent leurs chiens
pour en tirer quelque soulagement dans
leur pénible labeur ont tout intérêt à
bien soigner leurs auxiliaires.
Toute question de sentiment à part, il
semble tout indiqué, dans -l'intérêt
même des chiens,, de permettre que
leurs propriétaires aient avantage a les
bien soigner. N'oublions pas que, dans
le peuple, on maltraite quelquefois les
chieiis-parce qu'on -accepte difficilement
que les chiens puissent être nourris a
lie rien faire, alors" ;t|ue tant d'hommes
qui travaillent sont exposés à mourir de
faim. Le chien est -fier du rôle qu'il
joué auprès de nous"
Il est un peu comme les enfants. Très
humilié serait-il de ne pas être monté
sur le siège à côté du cocher, très froissé
de ne pas marcher en tête du régiment
qui passe, en compagnie des gamins.
Comme les enfants cela l'amuse,
croyez-le bien, de faire « le cheval » et
de tirer une voiturette en compagnie de
son-maître.
C'est l'impression que j'ai eue chaque
foisque j'ai vu un chien « attelé ». C'est
pourquoi je crois inutile de considérer
comme un délit le fait d'employer nos
amis les chiens à un travail qui, lors-
qu'il est proportionné il leurs forces, ne
leur semble, j'en suis convaincu, ni
cruel ni pénible mais qui, au cpntraire,
leur plaît infi nimentmieux que la chaîne
oule-chenil. ••̃'
'• '̃'̃"[ Louis Teraier.
Lia Vie Sportive
–)~«=-r-
COURSES A MAISONS-LAFFITTE
Véritable réunion d'été, hier, à Maisons-
Lafiitte. Soleil et chaleur de juillet. Du
monde comme au printemps. Des chevaux
comme toujours.
Le Biennal, qui constituait le gros mor-
ceau du programme, a donné lieu à une ar-,
rivée très serrée entre Calvados III et
Valmy. Le cheval de M. Kousnetzoff l'a
emporté d'une tête. Quelques bons juges ont
prétendu qu'avec un peu plus de décision le
jockey de Valmy aurait pu gagner. Il est
certain que la course a été tout à l'avantage
de Calvados III qui a pu réserver sa vitesse
pour le moment utile.
Le lot de pouliches qui a 'disputé .le '.prix?
Mondain ne devait contenir qu'une jument
galopant un peu, Faustine II. Elle a gagné
très facilement.
Brou n'a eu- aucune peine à battre quel*
ques vieux débris de gloire daïis le prix
Bizé. La victoire d'Abelard dans le handi-
cap fut également des plus faciles.
Prix de Triel (3,000 fr., 1,900 fr.). ^l,Bo*
cage II, à M. Nash Turner (le propriétaire)
2, Desderhona,' à- M. Fischhof (Garner) 3,
Miladi, à M. G. Brossette (J. Reiff) (2 I. 1/2,
1 long. 1/2).
Non placés Sampielro,' Oamyre, Diabolo,
Ventadour. Retardataire, Los Olivos,- i?aty-
rane, Iowa, Bocquencé, Carmencita III, 'Fpr-
trose, La Fuite, Aviateur Il, Veuve Joyeuse.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 41 fr. 50.
Placés Bocage II, 20 fr. 50 Desdemona,
21 fr. Miladi, 27 fr.
Prix Mondaine (5,000 fr., 2,100 m.). 1,
Faustine II, à M. Jullien-Bouyer (O'Neill)
2, La Dérive, à M. Ed. Blanc (G. Stern} ;'3,
Urbaine, à M. J. de Brémond (Milton Henry)
(4 longueurs, 1 encolure).
Non placés Daphné II, La Topaze, La a
Morellerie, Fantaisie II, Huelva II, Parure,
La Michette, Gyroselle, Sève.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 605 fr. 50.
Placés Faustine II, 70 fr. 50; La Dérive,
15 fr.; Urbaine, 21 fr. 50.
Prix de Chanteloup (3,000 fr., 1,100 m).
1, Révélation, à M. A. Veil-Picard (Mac Gee);
2, Toscana, à M. E. Fischhof (Garner) 3, Gi-
zelle,à M. T.-P.Thorne (Sumter) (2 long., tête).
Non placés Mousliglitj Colonat, Ma Kïlffi
II, Io Premia, Wattignies.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 34 fr. Pla-
cés Révélation, 16 fr. Toscana, 21 fr. 50
.Gizelle, 30 fr. 50..
Prix Biennal de Maisons-Laffûte (20,000 fr.,
2,000 m.): 1, Calvados III, à M. G.-G.
Kousnetzoff (J. Reiff) 2, Valmy V, au duc
Decazes (G. Bartholomew) 3, Prédicateur,
au baron Ed. de Rothschild (A. Woodlahd)
(tête, une longueur);
Non placés Imrak, Bibre, Monsieur Gué-
rin, Gilles de Rais, Gorgorito, Veglione,
Holly Hill, Sole .Sées.
Pari mutuel a-10.fr, Gagnant, 53 fr. Pla-
cés Calvados III-, 20 fr. 50; Valmy V,
25 fr. 50 r Prédicateur, -29 fr. 50.
Prix de la Cltâlait/neraie (6,000 fr., 1,800
mètres).– 1, Abélard, à Ai. Le Bris (Sharpe);
2, Dorade, à M. W. Flatman (T. Robinson)
3, Beda, à M. E. Fischhof (Garner) (3 lon-
gueurs, 2 longueurs).
Non, placés Syphax II, Jeffaro, Coatserho,
Morale.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 33 fr. 50.
Placés Abélard, $0 fr. 50; Dorade, 28 fr.
Prix Bi;i (5,00.0 .fr. 2,400 m.).– 1, Brou,
à M. Fouchard (G. Stern) 2, Bénédictin de
Soulac, à M. Aumont (J. Reiff) 3, Cavallo, à
M. Sol Joël (O'Neill) (1 long., 2 long.).
Non placés Conti la Belle, Traversin, Ani-
sette III,
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 21 fr. 50.
Placés Brou, 14 fr- 50; Bénédictin de Sou-
laç,$yfe,§0. ̃ ̃
t *i»ssa ïb ̃ Sa :> ̃̃ ̃v:v"'i 0. ;«ij«.r^
LES ARMES •
L'assaut de la salle Conta
L'assaut annuel de l'école d'escrime inter-
nationale, que dirige le chevalier Conte, aura
lieu ce soir, à neuf.heures, dans la salle de
la Société des ingénieurs civils.
Citons parmi les tireurs inscrits au pro-
gramme MM. Conte, le marquis dé Ranst,
le prince della Rocca, le baron d'Hernya, le
comte Mariotti, Jacques Hébrard, Bernard
Gravier, P. Breittmayer, le marquis Me Svvi-
ney,.etc.
Jean Septime..
Vermicelles Lucullus
Petites Annonces
TARIFGËNÊRAIi
La ligne 6 francs
Par Dix insertions ou Cinquante lignes 5 francs L
TARIF RÉDUIT '̃
Pour les Annonces concernant Tïndustrie et
̃ les Fonds' de Commerce,' les Occasions, Vèns"
tes, Achats, Echanges, les Locations et le-
pensions bourgeoises, la ligne. 3 francs
PETITES ANNONCES
DU MERCREDI
Cours, Emplois, Gens de maison
La !igne. 1 fr.50
La ligne a trente-six lettres
PLAISIRS PARISIENS.
Programme des Théâtres
MATINÉE
flîMNASE (Tél. 102.65). 3 h. 1/2. Deuxième
II Samedi de Madame »: Mme Guilbert avec
le concours de 25 artistes. Chansons anglai-
se et françaises.
(THEATRE LYRIQUE MUNICIPAL (QAITE)
I (Tél. 1029.20). 1 h. 1/2. Matinée de gala
AntOny.
PALAJS.-ROYAL (Tél. 102.50). 1 h. 1/2.
Première représentation du théâtre de « l'CEu-
vre u Dernière heure
SOIRÉE ̃
OPERA (Tél. 307.05). 8 h. 0/0. La Valkyrie.
Dimanche, deuxième gala Rigoletto.
C~OMEDIE-FRANÇAISE Tél. 102.22). 8 h. 3/4.
Primerose.
OPERA-COMIQUE (Tél. 105.76). 8 h. 1/4.
Don duan.
ODEON (Tél. 811.42). ̃– 8 h. 3/4. L'Honneur
japonais.
îj-ARIÉTES (Tél. 109.92). 8 h. 3/4. Orphée
aux enfers.
l/AUDEVILLE (Tél. 102.09).– 9 h. 0/0. Educa-
tion de prince,
11HEATRE SARAH-BERNHARDT (Tél. 1000.70).
8 h. 0/0. L'Aiglon.
THEATRE, REJANE (Tél. 238.78). 8 h. 1/2.
Ames sauvages.
MORTE SAINT-MARTIN (Tél. 437.53).-8 n.1/2.
1 La Crise:
GYMNASE (Tél. 102.65). 9 h. 0/0. L'Assa"uL
RENAISSANCE (Tél. 437.03). 9 h. 0/0.
M Monsieur Malézieux; Divorçons!
I^HEASPRlS-r LYRIQUE MUNICIPAL (ÛAITEV
^(TéL.ip'S^O). l/2.r Naïl.
TIR
LeFusil de chasse. La société « le Pistolet ».
La société « l'Assaut au pistolet ».
Voici les résultats de la dernière réunion
tenue. par le « Fusil de. chasse » à l'île Se-
guin
Prix: des Rosés, disputé par 39 tireurs, condi-
tion de tir 10 doubles venant en battue. 1,
MM. le baron Jaubert, 7 doublés, 2 pigeons 2,
Rd. Béjot, 5 doublés, 4 pigeons 3, J. Nivière,
4 doublés, 6 pigeons 4, après barrage, M. Buc-
quet, 4 sur 5; 5, Texier, 4 sur 5 6, Lefébure,
4 sur 5.
Réglementaire handicap, tir devant soi, 32
tireurs. 1, MM. J. Nivière, 12 points 18 2, F.
Poiret, 11 points 3, 0. Vallon, 10 points 63.
Grande poule, handicap, 31 tireurs. 1, MM.
J. Niviere, 11 points 18; 2, F. Poiret, 11 points,
Poule rëgletîienlaire, disUm.ce lixe, 25 tireurs.'
1, MM. A. 'foucas, 7 sur 10 2, ex a'quo, Creuzé
de hesser et Théache.
Voici les résultats des pbuks disputées
hier au tir aux pigeons du Bois de Boulo«
gne. ?'.
Prix de Longchamp (Un pigeon série) MM.
1, ex œquo, marquis de La Ferté, Arab, 16 sur 16.
La poule suivante a été gagnée par MM.
Lainé et L. Gavito.
Etaient présents i
MM. Aclief, Rego'r, F. Colombel, Macomber,
Forismore, Géhair comte G. de Montesquiou,
Jigé, M. Roger, G. Douine, R. Lié vin, Balares-
que, P. Bignon, .Goelet, baron G. de Dorlodot
L, Gavito, F. Gavito, C. Crotto, Nemo, Maze-
Sencier,. Arab, 'Loret de Mola, M. Lainé, Ivan,
comte de Gramedo, R. Darblay, comte de La-
reinty-ïholoïan;, Brosselin, A. Vagliano, Huilier,
Larousse.
Aujourd'hui samedi, à 10 heures du ma*
tin, cha^lenge-çup. A 2 heures, prix des Lo-
bélias (un pigeon, handicap).
(:
<̃ LUTTE
Championnat de lutte
PROFESSIONNELS
Catégorie des 53 kilos: ̃: 'Michel bat L'Huillier
par une ceinture de côté, ,en 4' 45'
Catégorie des 57. kilos Harasse bat Delbort
par une ceinture à rebours, en 8'-25".
Catégorie des 61 kilos Asseman bat Polo par
une double prise de tête à terre, en 11' 10".
Catégorie des .66 kilos Régnier bat Marsoin
par un bras roulé, en 3' 8".
Catégorie des 72 kilos Maudet bat Georges
le Marin par une ceinture de côté, en 25".
Prunier vinqueur de Didier aux points, en 30".
Catégorie des 79 kilos Berthod vainqueur de
Yves le Boulanger, forfait par suite d'une bles-
sure.
C. Prunier bat Lacasse par une prise do tête
à terre, en 1' 55".
Catégorie des 88 kilos Hillmann vainqueur
de Henry, qui abandonne à la deuxième reprise,
se trouvant blessé à un genou.
Simon vainqueur de Ely (forfait).
Catégorie des 100 kilos Rosset bat Rossi par
une prise de bras, en 6' 40".
Vance vainqueur de Deroua qui se tombe tout
seul en portant une ceinture à rebours.
Ce.soir, finale des championnats à 9 heu*
res, à la salle Wagram.
AUTOMOBILISME
M.le baron de .Meslay, vient de prendre'
livraison d'un 12. HP Charron de grand luxe
pour visiter sa nombreuse clientèle.
Les usines Léon Bollée sont les plus an-
ciennes du monde pour la construction des
automobiles.
Elles comptent parmi les plus belles et les
plus grandes de France.
Succursale de Paris, 49, rue de Villiers, à
Neuilly-sur-Seine.
M.Wladimir Sursock,. de Bassioun-Machal
(Egypte), vient de faire' poser une installa-
tion électrique complète alimentée par une
dynamo Phi »'sur sa voiture 16. HP- -]
• li"é'l?ctri,citt, si luxueuse et si' co,mniod!e,"
est en effet devenue le complément indispen-
sable de toute voiture vraiment confortable.
Notice F spéciale sur les dynamos « Phi » a
la Société Blériot, 16, rue Duret, Paris.
Sans vouloir faire de l'alpinisme avec
son auto, le touriste veut pouvoir faire une
belle moyenne sur n'importe quelles routés
et confortablement, dans ce but le châssis
20 HP. 4-cylindres à 10,500 fr., Clément-
Bayard, n'a pas son pareil.
] a'
Louer une voiture automobile au piois,
c'est supprimer d'un seul coup les ennuis de
ATHENEE. (Tél. 282.23). -.8 h. 1/2. Le Journal
de l'Athénée le Cœur dispose.
THEATRE ANTOINE (Tél. 436.33) –8 h. 3/4.–
1 Impression d'Afrique.
rpHEÂTRË MICHEL (Tél. 163.30). 8h. 3/4.
1 l'Avocate Madame en aura un. On purge
..bébé; le Tiers porteu^.ou l'Honneur de Désiré.
THEATRE APOLLO (TéTTèTS.Sl). 8 h. 3/4.
I • 'Le Comte de Luxembourg.
PAIiAIS-ROYAL • (Tél. 102.50). 9 h.- O/0. ̃
Le Petit Café.
fTHEATRE FEMINA (Tél. 528.68). 8 h. 1/2.–
Le deuxième larron à 9 h.: Les Fils Touffe
sont à Paris.
HEATRE DE LA SCALA (Téléph. 435.86).
8 h, 3/4. Les Trois Amoureuses.
CHATELET. Relàche.
BOUFFES-PARISIENS-CORA-LAPARCERIE.
9 h. 0/0 l'Amourrpropre; à 9 h. 1/2, la Cote
d'amour.
CAPUCINES (Tél. 156.40). 9 h. 0/0. Ce qif on
peut dire l'Autre mari la Surprise.
f\OMEDIE ROYALE. (Tél. 3O7.3Ô). 9 h. 0/0.
Quand il y en a pour deux; l'Inoubliable
Nuit; Jean III.
A~MBÏGU (Tél. 436.31). 8 h. 1/2. Les Deux
Orphelines.
THEATRE DES ARTS (Tél. 586.03). 8 h. 3/4.
La Profession de Mme W'aren.
eRAND-GUIGNOL. Tél. 228. 34. 9 h. 0/0.–
Le Beau régiment; l'Obsédé le Carnaval de
Puce et de Plock les Ingrats; Une nuit
d'amour.
TRIANON-LYRIQUE (Tél. 433.62). 8 h, 1J2.–
t Don César de Bazan.
DEJAZET (Té!. 1,016.80). S h. 1/2. Tire'au
flanc; On opère sans douleur.
CLUNY (Tél. S07.7S). 8 h. 1^2. Les Sœurs
Zigoteau; le Trésor d'Evariste.
Nouveau THEATRE DU CHATEAU d'eau.–
II .(T. 439.05). 8 h.. 1/2. La Revue du Chà-
( .^eau-d'Eau.
Spectacles, Plaisirs du jour
FOLIES-BERGERE ^r$Èiïù%
LA REPI1L~ DE
PRINTE.\fPS Morton, Marise Barry
Lupino, Elise Graven, Yane, Anie Porrey, L.
Darbelle, Brouett. riAT TOQ_T)PPP PDl?
Max et Moritz. Uliilllij D£jKu1MI_j
OLYMPIA GRAND SUCCÈS
t-h u or/ ra LOUISE BALTHY, NAPIERKOWSKA
Teléph. 244.68 Maurel, DorviUe, Montel
AT VlîDTi Chris Richards
UJ-ilMi 1A et le DANSEUR MASQUÉ???
If A'DTfYTV GABY DESLYS et son danseur
ilIAlilulN I HARRY PILCER, dans
THEATRE LA REVUE DE MARIGXY
(ChPs-Elysées). avec Lina Ruby, Mado Minty,
Tél. 101.89. Régine Flory, Perriat
Malin, le dim. et VILBERT.– Attract. diverses.
AMBASSADEURS (Tél. 244.S4;. 8"l/2 Polin,
A Boucot, Y. Yma, A. Rivière, L. Valsy.B. Nalbon,
Royno, Parisette. Attractions. Les4Levandowsky.
fTP il T T? Plan! Ralaplan- gà'.rev. d'été. Mmes
"IG 1LE Pla>z!RataLtan.'gderev d'été.~imes
IjHjAIju Spinelly, Sahary-Djeli, Lueette de
(Tél. 407.60), Landy, Savelli, MM.Claudius.Sinoël..
l'automobile, pneumatiques, accidents aux
tiers, mécaniciens, etc. S'adresser pour la
locationdes automobilesau «Champs-Elysées-
Garage appartenant à M. F. Charron,
34, avenue des Champs-Elysées.
M. le comte L. de Bertier, qui depuis trois
ans utilise les fameuses roues métalliques
Rudge Whitworth, vient de passer com-
mande à la Société française Rudge Whit-
worth d'un train de roues pour sa nouvelle
voiture.
Tout cycliste renseigné sait que la vèfita*
ble enveloppe Dunlop comporte une garantie
d'un an. Mais pour être tout à fait averti,
il doit savoir que seules les enveloppes de
premier choix jouissent de cette garantie
et qu'elles doivent être payées au prix du
tarif de 13 fr. 50. Toute offre à un prix
inférieur expose donc l'acheteur aux incon-
vénients de l'acquisition d'une enveloppe de
second choix ou même d'un solde sans
aucune garantie.
,Le beau temps, qui se maintient aVèô la
nouvelle saison, a causé une satisfaction gé-
nérale parmi les sportsmen qui peuvent en-
fin se livrer à leur plaisir favori l'auto. On
s'en rend compte par l'affluence des clients
que Strôm, le célèbre tailleur sportif, reçoit
dans ses salons du 16, Chaussée d'Antin et
auxquels il montre sa nouvelle collection de
vêtements établis avec infiniment de recher-
che, et d'une légèreté qui permet de se livrer
confortablement à tous les sports, même par
les plus fortes chaleurs. Catalogue franco.
Stroni n'habille que sur mesure.
Paris, 16, Chaussée d'Antin. Nice, 33,
avenue de la Gare.
II y 1 a, à Derby, un autodrome en minia-
ture sur lequel lés châssis Rolls Royce font
des centaines de kilomètres avant d'être re-
mis au service des livraisons.
Ces essais en ordre de marche ne sont que
la suite d'une série d'épreuves d'une extrême
sévérité auxquelles sont soumises les moin-
dres parties de ces si parfaites automobiles,
et finalement le châssis subit de nouvelles et
longues épreuves sur route. Magasins d'ex-
position, 102, avenue des Champs-Elysées.
Bureaux, ateliers et garage, 83,- boulevard
Gouvion-Saint-Cyr. • i.
« :•- ^jj. ̃ •*
La mode est, quoi qu'on dise, personne rai-
sonnable. Il est très chic aujourd'hui de
mettre après une auto des pneus « Diamond ».
Mais si cette mode est gracieuse, elle est
aussi pratique car les «Diamond ont l'exis-
tence double ».
On trouve des Diamond dans tous les ga-
rages et 5, rue Denis-Poisson, s Paris.
aviation
En l'honneur du capitaine Madiotv Dé Villa-
coublay Chartres. Saint-Paul à Rio-de-
Janeiro. De Hendon à Weymouth. A
l'école Morane. A l'école Nieuport.
Le 23 octobre 1910, le capitaine Madiot,
attaché au centre militaire d'aviation de
Douai, faisait,' près de la Brayelle, à
« l'Homme-Mort », une terrible chute d'aé-
roplane. et se tuait sur le. coup.
Sur l'initiative de M. Paul Hénin, vice-
consul de Belgique, quelques Douaisiens
décidèrent de commémorer le tragique évé-
nement.
Ils viennent de faire ériger à l'endroit où
tomba l'afficier dont on se rappelle les ex-
périences de trains de cerfs-volants un
monument composé d'une pyramide en grès
reposant sur un soubassement en briques,
le tout entouré d'une grille en fer forgé.
Ce monument .sera inauguré sans bruit,
d'ici peuy en présence de. quelques personna-,
Utés 'Militaires et !c£yiLos.;( v' 'vi
Hier matin, à Villacoublay, le comte Ho-
noré de Lareinthy-Tholozan, pilotant un
monoplan Morane, a fait une série de vols
remarquables.
Après une promenade au-dessus de la
campagne, il est venu atterrir à Chartres.
• • •
L'aviateur Chavez, pil'Otant un monoplan
Bîériot, qui effectua, il 'y" '.a. trois jours, le
raid de Santos à Saint-Paul, vient de réussir
le voyage Saint-Paul à Rio-de-Janeiro, soit
un parcours de plus de 400 kilomètres au-
dessus des Cordillères et vallées profondes
OITE 58, rue Pigalle (Tél, 285.10). 9 h. 1/2.
A £(at'ecca?rev.en2actes: GabyBoissy,
KiTTpQV René.e Baltha.Mary May,Bussy,Rivers,
rUilOl L. Michel et les chansonrs Fursy, etc.
llfittT TO-PnTTPB1 REtA.ÇHE;
lïIUUljllN llUUuEj pour répëtiti'ons de
THEATRE (Tél. 508.63) | la Belle de New-York.
NOUVEAU-CIRQUE ÎS5^
.Spectacle, entièrement ren.ouye.lé..T- Mercradis,
jeudis, dimanches et fêtes, matinée à 2 h. 1/2.
PALAIS DE GLACE. Clôture annuelle.
LA« LUNE ROUSSE «,36, Bd Clichy (Tél. 587.48)
(D°nD.BoNNAUDetNuMA Blés). 9h.l/2. Domi-
nique Bonnaud, Reine Derns,L.Boyer, G. Baltha.
II A PTP-riI'rY' Pont de l'Alma (Tél. 707.65).–
Ouvert par tous les temps de midi
à minuit. Ëntr. 1 franc donn' droit à une attraction.
CONCERT MAYOL. Clôture annuelle.
~TMtt'MAfnT 19
ftliNlliJîlAuUJLUli 2"l/4 à6"l/2(2séan.).8»i;/4
à minuit (2 séan.). Apothéose des Indes. 2 francs.
AT U\ MÏRB A ~M,r:deMalteO!.m.lO).e,Hf2.
HLHt~IVII)RA JO'`deMalte(T.900.10~.8~~lp2.
A1J11AMDJA.A Oswald Williams, Théâtre des
singes, E.Pantzer, 7 Bram usas', les Yamagatas, etc.
GRANDS nTTEIjlVIPÏ CONCERT ET CI
GR4~D~ DCFH1EL ~,CER1' ET Ct-
MAGASINS JJUr AI ïhU NEMATOGRAPHE
t» les jours, de 2h à6h sauf le dim Buff Nomb. att"«.
/tIRQUE R.d.uartyrs(T.240.G5).
Cirque MEDRANO ^SSrn»a
Matinées à 2 h. 1/2 les jeudis, dimanches et fêtes.
GAUMONT-PALACE^S^S:
lU B Clichy (3'.51G.73).
8hl/2, le Château de la Peur. Filmparl" Gaumont.
HEATRE GRE VIN, 10M Montmartre.– A 3" et
à 9h l'Ane de Buridan; k5h la Suite à demain
etles Trois D. Fauteuil 2f, entr. du musée compr.
SKATING RINK S'-DIDIER. Clôture annuelle.
BA-TA-CLAN (Tél. 930.12). Ça grise.' revue.
CkRlLLON,30,biBonne-NouveHe(T.28l.bO).9bm.
tj J.Moy,Ferreot,Marinier,Mad.Guitty,M'<'Magdy.
/1AITE-ROCHECHOUART (T.406.23). h. 3/4.
Il L'Evasion du capitaine, drame en 5 actes.
E»LECTRIC-PALA CE (5,-i" des Italiens). Cinéma
j en salle éclairée, de 2h à minuit sans interrupt.
TABARIN BAL. (Tél. 267,92). Ce soir
Bal des Modèles.
Mn
MnqtftfP Pl?FTMLe Palais des Mirages Dan-
USbEij-lCi.Vll\seslumin.Acrual.g-'Cinéma.
TfiTTD T?TUI?I?T OuvertedelOl'matàlanuit.
R,1IFH1~~ ~uvertedeiDhmat.âlanuit.
ly Utl Mr £ Elll 1er et., Restaûr.-Brasserie.:
Déjeun.4'etàlacarte.Matin.authéât. dim.fêt.,à3h.
I TTM h -P A PF (Bols DE Boulogne). D'Akoun!
LU1\ A I AtlPUTél. 562. 44). 14 Attract. nouv.
JARDIN D'ACCLIMATATION Ouvert t' lesjoura.
ENGHIEN.– Sources sulfureuses. Etablisse-
ment thermal.– Concerts symphoniques dans
le Jardin des Roses.
JUMELLES FLAMMARION
LA ire MARQUE DU MONDE
,Mon FISCHER, 12, Boulevard V 9|Y
Paris »(G.d-HÔTEL). DES •̃ri "V:
(Catalogue fmnao) Capvcwb8. ,V ^fe^c^
couvertes de forêts peu accueillantes auxi'
aviateurs. ̃
•
Hier, M. C.-B- Hucks, associé de M. Gra-;
liame White, s'était rendu de Hendon, près;
de Londres, à Weymouth par la voie des
airs et avait figure la revue navale passée
par le roi d'Angleterre..
M. Hucks, sur son Blériot, a regagné l'aé-
rodrome de Hendon, couvrant sans escale là
distance de 215 kilomètres en deux heures
environ, sans autre difficulté que la gêne'ap-
portée par le brouillard.
̃ ̃ j
A Villacoublay, à i'aèrodïome Môrànë ̃–
près le,haras les élèves s'entraînent cliâ-
que jour sous la direction de Badel", chef-
tjrlote. ̃• .-̃ t
Chaumet, DUplessis-Quinqui, ,Cftvascô, lé
marquis et le comte de Lareihty-T'holozan;
Godet, etc., font de rapides progrès; le comté
Honoré de Lareihty-Tholôzan exécute des!
vols positivement merveilleux. il s'est réndti
à Bue et est revenu atterrir à l'aédromej.
réussissant des atterrissages qui surprennent
les pilotes les plus expérimentés. Robert Mo-
rane marche sur les traces de son frère Léoft
qui, lui, exécute des descentes en vol plané*
moteur arrêté, d'une hauteur de 1,500 mè»
très. Tabuteau vole aussi, tous les jours il
doit partir ce soir pour Marseille pour e$ni-
bitioliner.
A l'école Nieuport, à Mourmelon, le lieu* ̃
tenant roumain Zoriliano venant réception»
ner un appareil Nieuport destiné à l'arméô
roumaine, a fait une sortie pour s'habituer
aux commandes du Nieuport; il s'est dirigé
ensuite sur Reims, a doublé la Cathédrale,
et est revenu atterrir à Mourmelon, après
avoir effectué le parcours en 35 minutes. >
Trois délégations aéronautiques se sont
rendues hier matin, à onze heures à l'ins-
pection .perjnanente de l'aéronautique mili-
taire (hôtel des Invalides), pour présenter à
M. le colonel Hirschauer, nommé dernière-'
ment à ces hautes fonctions, toutes les fèli*
citations des membres de ces Sociétés.
Ces représentants étaient, pour l'Aéro-Glub
de France M. Soreau, président de la com-
mission d'aviation Georges Besançon, secré» f
taire-général. Pour la Chambre syndicale des
industries aéronautiques MM. Louis Go-
dard, président; Georges Juchmès, vice-pré-*
sident Alfred Leblanc et Henri Kapferôré
Pour l'Association aéronautique MM. Jac-
ques Balsan président Dubois Le Cour»
secrétaire-général.
Le colonel Hirschauer a été très touché
des marques de grande sympathie que lui
ont apportées ces messieurs et il les a âssu-
rés de tout son appui pour continuer l'œu-
vre si brillamment commencée par le géné-
ral Roques.
Les délégués ant remis deux pétitions soU3
forme de vœux pour l'inscription au tableau
de la Légion d'honneur de M. Georges
Juchmès, lieutenant de réserve aux aérosta-
tiers, le premier pilote et professeur de di-
rigeables militaires depuis 1903, et de M.
Lucien Chaùvière, le créateur des hélices en
bois qui ont permis la grande évolution et
les grands sliccés des dirigeables et des aéro-
planes.Y.
panes.
GYMNASTIQUE
la Sorbpnne
Demain dimanche aura lieu à la SorbûnSS,
la distribution des récompenses aux lauréats
du concours interscolaire de gymnastique.
RUGBY
Finale du Championnat militaire
Demain dimanche aura lieu à Colombes li
finale du championnat militaire ,dç Rugby
entre l'école de Saint-Cyr et le 50° d'infan-
terie de Périgueux,
Rappelons que l'équipe de Saint-Cyr: a
battu avant-hier le 1" régiment d'artillerie.
*», COURSE A pied
Circuit de l'Est ™ ».̃
Arrivée à Nancy ̃
1", Devienne, à 5 h. 50; 2e, RQbert, à 6 h, 35;
3-, Orphée, 6 6 h. 50; 4% Adijady. à 7 h. 10.
Frantz-Reichel.
LA ROSE FRANGE B(a.aL,
SAVOM FOUGERE ROYALE «.fô^^J-iiJ `':
Rivoire
&
Carret
AVIS MOMDAIMS
Déplacements et Villégiatures
des Abonnés du « Figara »
EN FRANCE
M. le comte François de Beauchamps, à Bourges.
Mme Marthe Costallat, à Châtel-Guyon.'
Mme Maurice Carmier, ù.' Lille.
M. Maurice Delphin, à Aix-les-Bains.
•M. Edouard Dreyfus, au château d'e Thlmécoùrt,
à Luzarches.
Mme Ed. Fontaine de Laveleye, à Salies-de-
Béarn.
Mme Gellibert des Seguins, au château de
Champrose, par Montmoreau.
Mme la princesse d'Hénin, au château de Bour-
lémont, à Neufchâteau.
M. Joflnart, au chat, de Mauvières, païDampierrs.
Mme Louys, à Maisons-Laffitte,
Mme Ch. Leleu, a Montmorency.
M. Gaston Poulenc, à Vichy.
M. F. Simon, à Saint-Germain-en-Laye.
Mme Charles Torchon, à Bellevue.
A L'ETRANGER
S. Exe. la princesse S. N. Obolensky, à Pach-
kowo.
Mlle Fox-Powys, à Mulhouse.
M. Henry Hérault, à Lausanne, •
M. Fernand Halphën, à Ouchy.
M. Alfred Maier, à Baden-Baden..
Mme Auguste Mendl, à Venise.
Mme la comtesse' Olga Méraviglia, à Prague.
Mme Osterrieth, à Anvers.
M. Georges Rubinstein, à Saint-Pétersbourg.
Mme Romanos, à Rome.
Mme Théodère Reinach, à Wiesbaden.
M: Charles Schwartz, à Belgrade.
ARRIVÉES À PARIS
M. Louis Houbart, ;Mme Anna Held, Mme Paul
Mersch, M. H. Noack-Dollfus, M. le comte de
Puységur, Mme la baronne de Robécourt.M.'
Henry Simon.
Correspondance personnelle
Pour simplifier ̃ l'envoi des
insertions de Correspondance
AVIS PERSONNELLE, wows délivrons
des BONS DE 6 Francs. Chaque
BON représente une Liane.
Tosca. T'embrasse et t'aime follement.
OFFICIERS- MINISTÉRIELS
A ces annonces est appliqud
AVIS un Tarif dégressif, dont. les
prix diminuent en raison de
l'intportance des ordres.
ADJUDICATIONS
Paris
HOTEL AVEC JARDIN FSE ÉTOILE ~l
HOTEL A PARIS P ÉTOILE
angle r.de Presbourg,6 bis et av.Klèber,l.Ccé 837™.
M. p.i MILLION. A adj. Ch. not. Paris 21 mai 1912.
S'adr. M" Armand Aron, not. Paris, 28, av. Opéra.
D BErmpDDAQC'P '7MAISON.Cant~SI3"69.
RDEmppp » nnp 7 MAISON.Cont«2i3n>69.
.la li_ltliAijD£i» Revenu 15,552 fr.M.àp'
20Q,OOO[; A,lldj. s.ieaett.Ch.not. Paris,.le 2i..mai.
S ad, à M« PÈEE,no,tsir«, 9j place des fetitg-Pè'.efc-
(Lortiç), 3,500 fr. n° 47, Chants et chansons
populaires de la ïfrance, Paris, 18^3, 3 vol.
gr. in-S (Chambolle-Duru), 1,105 fr. n» 49,
Chevigné (comte de) les Contes rémois,
dessins de E. Meissonier, 1858, in-8 (Mercier >
suce. de Cuzin), première édition illustrée par
Meissonier, 2,500 fr, n° 76, le Diable a
Paris, Paris, 1845-1846, 2 vol. gr. in-8 (Cham-
bollérDûru), 3,000 francs.
**# -.̃•• '•
COLLECTION A. M. DE ZOGHEB
,•̃ (D'ALEXANDRIE)
A la salle 8, les antiquités égyptiennes
et grecques de la collection de M. Alexan-
dre M. Max de Zogheb ont fini d'être
dispersées par le ministère de Me Henri
Baudoin, assiste des experts Feuardent,
sur un total de 43,775 francs. Voici en-
core quelques enchères nouvelles
N° 340, Tètê dé chatte, avec collier ciselé,
i)iio fr.; n» 350, Grande chatte assise, 2,800
francs; h° 35J, Autre, parée d'un collier ci-
selé, l'oeil oudjâ sur la poitrine, 5,500 fr.;
n°3S3, Isis assise sur un trône et allaitant
l'enfant Horus, 625 Fr. n° 354, Isis debout,
880 fr.; h» 474, Lampe façonnée en tête de
nègre, 1,050 francs.
COLLECTION Ï»É Mme ËALLÊTTA
Enfin,' aux salles 9, et 11, Mel Lair-Du-
breuil et Henri Baudoin, asssistés,des ex-
perts Mannheim et Guillaume, ont con-
tinûué la vente de la collection de Mme
Bàlletta, par une vacation qui porte le
total des trois premières journées à
468,479 francs. En voici le détail s
Penduhsf bronzes. No 267, Palmier sur
base à rocailles, en bronze doré du temps de
Louis XV, 1,020 fr. n° 268, Deux petits can-
délabres, en bronze doré, du temps de
Louis XVj ornés d'une figurine en ancienne
porcelaine de Sàxe, 3,600 fr. n° 271, Pen-
dule en bronze doré. Epoque.Louis XV,4,ooofr.;
no.275, Petite pendule en bronze ciselé et doré,
époque Louis XVI, ggo fr.; n° 276, Deux can-
délabres du temps de Louis XVI, en bronze à
patine brune, 1,150 fr.; n° 277, Deux candéla-
bres en bronze, époque Louis XVI, 550 fr.:
n° 278, Deux candélabres formés chacun d'un
vase en marbre blanc, monture en bronze
doré, du temps de Louis XVI, 1,050 fr.; n°27g,
Chien caniche en bronze à patine brune, épo-
que Louis XVI, 2,460 fr. n° 281, Pendule en
bronze patiné et doré, époque Louis XVI,
3,ôôo fr. n° 282, Pendule en marbre blanc,
bronze patiné et doré, du temps de Louis XVI,
ito6o fr.; n° -284, Pendule en albâtre garnie de
bronzes dorés,commencement du dix-neuvième
siècle, 640 fr. n° 285, Deux candélabres, en
bronze patiné et doré, commencement du dix-
neuvième siècle, 600 fr. n° 291, Grand cartel
en bronze doré, 1,600 francs.
Miuhles. N.° 381, Grand guéridon rond,
eh bois incrusté de cuivre, fin du dix-hui-
tième siècle, 1,500 fr.; n" 390, Armoire en
bois. de placage, garnie de bronzes dorés, com-
mencement du dix-neuvième siècle, 700 fr.;
n° 395, Lit en acajou, garni d'appliques en
bronze doré, style Empire, 500 fr; n° 398,
Guéridon rond, en acajou, garnitures de
bronze, style Empire, 620 fr.; n° 401, Petite
étagère en marqueterie dé bois de couleur,
500 fn; n° 402, Petite commode demi-lune,
en marqueterie de couleur, 620 fr.; n° 407,
Deux glaces dans des cadres en bois sculpté
et doré, 580 fr.; n° 408, Table-Rognon, en
marqueterie de bois de couleur, garniture
de cuivre, 520 fr.; n° 427, Vitrine murale à
fond de glace, monture en bronze, 1,000 fr.
Sièges couverts en tapisserie. N° 428,
Mobilier de salon sculpté et doré, époque
Louis XV,45,000 fr, n° 429, Deux fau-
teuils' en bois scuipté et doré, .-converts en
tapisserie âù' temps de XSUisrX'v' 18,506 if.
ne 430, Deux fauteuils en bois sculpté, cou-
verts en tapisserie, époque Louis XV, 5,300
francs; n°' q3r, Canapé-marquise en bois
sculpté et 'doré, Couvert en tapisserie d'Au-
busson du temps de Louis XVI, 13,500 fr.
nb 432, Deux fauteuils en bois sculpté et doré,
couverts en tapisserie d'Aubusson du temps
de Louis XVI, 6,850 fr. n° 433, Fauteuil en
bois sculpté et doré,, couvert en tapisserie
d'Aubusson du temps de Louis XVI, i,i5ofr.;
n* 434, Deux chaises en bois sculpté et doré,
couvertes en tapisserie d'Aubusson du temps
de' Louis XVI, 1,405 fr. n° 435, Banquette
en bois sculpté et doré, couverte en tapisse-
rie, époque. Louis XVI, 2,405 francs.
Tapisserie,^ tapis. N° 437, Tapisserie-ver-
dure ave'ç oiseaux, dix-huitième siècle, 4,050
francs; n° 438, Tapisserie verdure, dix-hui-
tième siècle, 3,250 fr.; n° 442, Grand tapis
d'Orient à fleurs sur fond rouge, 600 francs.
Valemont,
,J r..
Là Oie au£ Cbaçipa
1 Les chiens attelés
Je suis l'un des plus fervents admira-
teurs de Toussenel, et j'ai toujours re-
gretté, pour sa gloire. et.pour. la satisfac-
tion personnelle que j'aurais éprouvée
à admireiypour une fois, un.auteur. sans
arrière-pen'sée, qu'avant' de devenir l'in-
comparable zoologiste que nous aimons
il ait été pûbliciste et publiciste intran-
sigeant. C'est au sfluvènir.dës pamplets
de l'incorrigible élève -dé Fourier que
l'auteur de YEsprit des bêtes et VOrin-
tholoifie "passionnelle doit de n'avoir à
Mon'treuil-Bellay. que .le tiers d'un mo-
nument où son buste figure accolé à
ceux d'un médecin et d'un architecte.
L'œuvré, de ïoussenel valait mieux
que: ce marchandage et il est heureux
qu'elle lui ait élevé par elle-même un
monument impérissable. Toussenel fut
souvent impitoyable.dans les jugements
qu'il a portés sur les hommes. Il a été
aussi, parfois bien "sévère envers les
bêtes. Abusant deTanaldgie, il a trop vo-
lontiers prêté aux animaux tous les dé-
fautsde l'humanité. OnTa cependant ac-
cusé, d'avoir donne, trop, d'éloges au
chien. «Le chien, a-t-il écrit, est la plus
belle conquête que l'homme ait jamais
faite, n'en déplaise' à M: de Bufïon. »
Je dois à Tousseneï, de reconnaître
aujourd'hui que l'avenir lui a donné rai-
son dans une certaine mesure. L'actua-
lité nous prouve, eh effet, que le chien
est un de nos plus utiles auxiliaires,
parée qu'il peut, en bien des occasions,
mettre à notre service, en môme temps
que sa force, son.intelligence et son rai-
sonnement, ce qui n'est pas le cas de la
plupart des autres animaux domesti-
ques..
Les épreuves qui ont eu lieu récem-
ment ùLille établissent péremptoirement
que le chien peut devenir d'une grande
utilité dans l'armée. Nous avions le chien
policier, nous avons maintenant le chien
sanitaire, et le chien « patriotique » celui
qui.sert d'estafette, de porteur, etc.
Ouand je dis que nous avons tout cela,
c'est peut-être aller, un peu loin. Nous
avons trouve, nous autres Français, le
moyen d'employer'le chien comme auxi-
liaire de l'armée, mais l'armée n'emploie
pas encore couramment le chiencomme
auxiliaire. A l'étranger, au contraire, les
chiens sanitaires et les chiens « trac-
teurs » sont maintenant régulièrement
incorporés dans les services de guerre.
En Belgique,on utilise les chiens pour
le transport des mitrailleuses, au liç-u. de
chevaux de bât. En France, on persiste
officiellement à considérer le chien
comme impropre à là traction, ou pour
mieux'dirc, on tient le fait d'atteler un
chien comme un acte de cruauté envers
un animal domestique. C'est contre cette
prévention faussement «humanitaire» »
que je tiens à protester aujourd'hui, et
c'est la lecture d'un récent arrêté préfec-
toral interdisant, sous peine d'amende,»
d'atteler les chiens, qui m'a décidé à
dire un mot de cette question toute d'ac-
tualité.
Depuis longtemps, en effet, beaucoup
d'arrêtés préfectoraux défendent d'atte-
ler les chiens et toute contravention à
cette interdiction est impitoyablement
relevée par la gendarmerie. La défense
d'atteler les chiens serait explicable si
le chien était naturellement réfractaire
au travail de trait et si sa conformation
lui rendait cet exercice pénible.
Mais au contraire, le chien est parfai-
tement établi pour « tirer » dans la me-
sure de ses forces, soit un traîneau, soit
une voiturette.
Il est aussi très disposé à porter un
certain fardeau. Les chiens des contre-
bandiers, les chiens des esquimaux, les
chiens de marchands de lait de Belgi-
que sont toujours bien portants et ne
paraissent pas souffrir de leur emploi
comme porteurs ou tracteurs. Il serait
donc tout naturel, et même très juste,
d'employer le chien aux usages auxquels
le rendent apte ses forces et sa confor-
mation, même si ce travail pouvait lui
déplaire. On fait travailler le cheval, le
bœuf et l'âne, et avec cruauté, parfois 1
on peut de même demander au chien,
en considération des soins qu'on lui
donne, un travail approprié à ses apti-
tudes.
Si l'homme lui-même a le devoir de
travailler pour vivre, il ne devrait pas
paraître choquant aux amis des animaux
de consentir à exiger de leurs protégés
qu'ils fassent comme certains hommes
et acceptent de gagipr leur pitance
journalière. Mais tout n'est qu'illogisme
en notre beau pays de France. On ad-
met parfaitement qu'un berger roue de
coups son chien pour la plus légère
faute, qu'il lui demande une surveil-
lance constante, de jour et de nuit,
qu'il exige qu'il fasse, en galopant
le long du troupeau, chaque jour,
un nombre considérable de kilomè-
tres on trouve tout naturel que, pour
dresser un chien de chasse, on em-
ploie tous les moyens de torture les plus
cruels, le fouet de dressage, le collier de
force, voire même -le coup de fusil
dans. les œuvres Tives on voit avec,'
indifférence, dans. les. domaines ruraux,
de pauvres chiens), des forçats, condam-
nés à aboyer lamentablement toute leur
vie, enchaînés à une loge défoncée qu'ils
ne quittent jamais, .exposés à toutes les
intempéries, nourris de détritus"" sans
nom. Mais on ne saurait voir sans indi-
gnation un chien, qui, Tibre à ses heures,
bien portant et bien nourri, aider à tirer
avec entrain la voiturette que son maître,
pousse avec peine, embricolé dans les,
brancards I Ces réflexions pourront pa-
raître bizarres à ceux qui me connais-
sent comme un des plus fervents pro-
tecteurs des animaux, mais elles ne sont
pas absolument de moi ••̃'̃•̃̃
II y a quelqueS^SÛrs, je suivais.la
charmante route de, Honfleur à Trou-
ville, celle-là même qu'une décision du
Conseil général du Calvados vient de'
sacrifier à des intérêts électoraux, en
décidant de la tranformer en une ba-
nale voie dé tramway qui dénaturera'
ses plus beaux sites. Un brave homme
et sa femme, marchands ambulants,
cheminaient devant moi, poussant péni-;
blemént une *< balladeuse », chargée de'k
ferraille et de vieux chiffons.
Un chien, vif et alerte, gambadait à
leurs côtés. A chacune des montées qui-,
sur cette route vallonnée, forcent si sou-.
vent les voitures à' ralentir leur allure,
l'homme faisait un signe. Le chien ve-
nait alors gaiement, de lui-même, pas-
ser son cou dans une petite bricole dis-
posée sous la 'voiture et se mettait.à à
tirer avec ardeur en jetant de temps en
temps des cris de satisfaction. Au haut
de chaque côte, il quittait son harnais
volontaire et se remettait à galoper, li-
bre et insouciant, autour du modeste
équipage que continuaient à pousser
l'homme et la femme qui semblaient ce-
pendant en proie à une constante pré-
occupation.
Et comme en passant, je caressais son
chien-,l'homme m'adressa la parole et me
fit part des réflexions' (jui précèdent:
« J'ai .intérêt, ajo.uta-t-il, à bien soigner
mon chien. Il m'aide et je le nourris
bien. Et puis, cela lui fait plaisir de tra-
vailler un peu. C'est pourquoi je risque
la contravention, car si les gendarmes
me rencontraient, je serais pris; il est
défe.ndu d'atteler les chiens, mais il est
permis de les laisser crever de faim » »
L'homme avait-raison. Le chien aime
a nous aider, et Toussenel ne s'est pas
trompé en disant que plus on apprend
à connaître les hommes, plus on apprend
.à estimer le chien. Le chien désire se
rendre utile et ne demande rien, même
pas de la reconnaissance, en échange de
ses services. Les plus fidèles des chiens
sont .souvent les plus maltraités. Les
pauvres gens qui attellent leurs chiens
pour en tirer quelque soulagement dans
leur pénible labeur ont tout intérêt à
bien soigner leurs auxiliaires.
Toute question de sentiment à part, il
semble tout indiqué, dans -l'intérêt
même des chiens,, de permettre que
leurs propriétaires aient avantage a les
bien soigner. N'oublions pas que, dans
le peuple, on maltraite quelquefois les
chieiis-parce qu'on -accepte difficilement
que les chiens puissent être nourris a
lie rien faire, alors" ;t|ue tant d'hommes
qui travaillent sont exposés à mourir de
faim. Le chien est -fier du rôle qu'il
joué auprès de nous"
Il est un peu comme les enfants. Très
humilié serait-il de ne pas être monté
sur le siège à côté du cocher, très froissé
de ne pas marcher en tête du régiment
qui passe, en compagnie des gamins.
Comme les enfants cela l'amuse,
croyez-le bien, de faire « le cheval » et
de tirer une voiturette en compagnie de
son-maître.
C'est l'impression que j'ai eue chaque
foisque j'ai vu un chien « attelé ». C'est
pourquoi je crois inutile de considérer
comme un délit le fait d'employer nos
amis les chiens à un travail qui, lors-
qu'il est proportionné il leurs forces, ne
leur semble, j'en suis convaincu, ni
cruel ni pénible mais qui, au cpntraire,
leur plaît infi nimentmieux que la chaîne
oule-chenil. ••̃'
'• '̃'̃"[ Louis Teraier.
Lia Vie Sportive
–)~«=-r-
COURSES A MAISONS-LAFFITTE
Véritable réunion d'été, hier, à Maisons-
Lafiitte. Soleil et chaleur de juillet. Du
monde comme au printemps. Des chevaux
comme toujours.
Le Biennal, qui constituait le gros mor-
ceau du programme, a donné lieu à une ar-,
rivée très serrée entre Calvados III et
Valmy. Le cheval de M. Kousnetzoff l'a
emporté d'une tête. Quelques bons juges ont
prétendu qu'avec un peu plus de décision le
jockey de Valmy aurait pu gagner. Il est
certain que la course a été tout à l'avantage
de Calvados III qui a pu réserver sa vitesse
pour le moment utile.
Le lot de pouliches qui a 'disputé .le '.prix?
Mondain ne devait contenir qu'une jument
galopant un peu, Faustine II. Elle a gagné
très facilement.
Brou n'a eu- aucune peine à battre quel*
ques vieux débris de gloire daïis le prix
Bizé. La victoire d'Abelard dans le handi-
cap fut également des plus faciles.
Prix de Triel (3,000 fr., 1,900 fr.). ^l,Bo*
cage II, à M. Nash Turner (le propriétaire)
2, Desderhona,' à- M. Fischhof (Garner) 3,
Miladi, à M. G. Brossette (J. Reiff) (2 I. 1/2,
1 long. 1/2).
Non placés Sampielro,' Oamyre, Diabolo,
Ventadour. Retardataire, Los Olivos,- i?aty-
rane, Iowa, Bocquencé, Carmencita III, 'Fpr-
trose, La Fuite, Aviateur Il, Veuve Joyeuse.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 41 fr. 50.
Placés Bocage II, 20 fr. 50 Desdemona,
21 fr. Miladi, 27 fr.
Prix Mondaine (5,000 fr., 2,100 m.). 1,
Faustine II, à M. Jullien-Bouyer (O'Neill)
2, La Dérive, à M. Ed. Blanc (G. Stern} ;'3,
Urbaine, à M. J. de Brémond (Milton Henry)
(4 longueurs, 1 encolure).
Non placés Daphné II, La Topaze, La a
Morellerie, Fantaisie II, Huelva II, Parure,
La Michette, Gyroselle, Sève.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 605 fr. 50.
Placés Faustine II, 70 fr. 50; La Dérive,
15 fr.; Urbaine, 21 fr. 50.
Prix de Chanteloup (3,000 fr., 1,100 m).
1, Révélation, à M. A. Veil-Picard (Mac Gee);
2, Toscana, à M. E. Fischhof (Garner) 3, Gi-
zelle,à M. T.-P.Thorne (Sumter) (2 long., tête).
Non placés Mousliglitj Colonat, Ma Kïlffi
II, Io Premia, Wattignies.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 34 fr. Pla-
cés Révélation, 16 fr. Toscana, 21 fr. 50
.Gizelle, 30 fr. 50..
Prix Biennal de Maisons-Laffûte (20,000 fr.,
2,000 m.): 1, Calvados III, à M. G.-G.
Kousnetzoff (J. Reiff) 2, Valmy V, au duc
Decazes (G. Bartholomew) 3, Prédicateur,
au baron Ed. de Rothschild (A. Woodlahd)
(tête, une longueur);
Non placés Imrak, Bibre, Monsieur Gué-
rin, Gilles de Rais, Gorgorito, Veglione,
Holly Hill, Sole .Sées.
Pari mutuel a-10.fr, Gagnant, 53 fr. Pla-
cés Calvados III-, 20 fr. 50; Valmy V,
25 fr. 50 r Prédicateur, -29 fr. 50.
Prix de la Cltâlait/neraie (6,000 fr., 1,800
mètres).– 1, Abélard, à Ai. Le Bris (Sharpe);
2, Dorade, à M. W. Flatman (T. Robinson)
3, Beda, à M. E. Fischhof (Garner) (3 lon-
gueurs, 2 longueurs).
Non, placés Syphax II, Jeffaro, Coatserho,
Morale.
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 33 fr. 50.
Placés Abélard, $0 fr. 50; Dorade, 28 fr.
Prix Bi;i (5,00.0 .fr. 2,400 m.).– 1, Brou,
à M. Fouchard (G. Stern) 2, Bénédictin de
Soulac, à M. Aumont (J. Reiff) 3, Cavallo, à
M. Sol Joël (O'Neill) (1 long., 2 long.).
Non placés Conti la Belle, Traversin, Ani-
sette III,
Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 21 fr. 50.
Placés Brou, 14 fr- 50; Bénédictin de Sou-
laç,$yfe,§0. ̃ ̃
t *i»ssa ïb ̃ Sa :> ̃̃ ̃v:v"'i 0. ;«ij«.r^
LES ARMES •
L'assaut de la salle Conta
L'assaut annuel de l'école d'escrime inter-
nationale, que dirige le chevalier Conte, aura
lieu ce soir, à neuf.heures, dans la salle de
la Société des ingénieurs civils.
Citons parmi les tireurs inscrits au pro-
gramme MM. Conte, le marquis dé Ranst,
le prince della Rocca, le baron d'Hernya, le
comte Mariotti, Jacques Hébrard, Bernard
Gravier, P. Breittmayer, le marquis Me Svvi-
ney,.etc.
Jean Septime..
Vermicelles Lucullus
Petites Annonces
TARIFGËNÊRAIi
La ligne 6 francs
Par Dix insertions ou Cinquante lignes 5 francs L
TARIF RÉDUIT '̃
Pour les Annonces concernant Tïndustrie et
̃ les Fonds' de Commerce,' les Occasions, Vèns"
tes, Achats, Echanges, les Locations et le-
pensions bourgeoises, la ligne. 3 francs
PETITES ANNONCES
DU MERCREDI
Cours, Emplois, Gens de maison
La !igne. 1 fr.50
La ligne a trente-six lettres
PLAISIRS PARISIENS.
Programme des Théâtres
MATINÉE
flîMNASE (Tél. 102.65). 3 h. 1/2. Deuxième
II Samedi de Madame »: Mme Guilbert avec
le concours de 25 artistes. Chansons anglai-
se et françaises.
(THEATRE LYRIQUE MUNICIPAL (QAITE)
I (Tél. 1029.20). 1 h. 1/2. Matinée de gala
AntOny.
PALAJS.-ROYAL (Tél. 102.50). 1 h. 1/2.
Première représentation du théâtre de « l'CEu-
vre u Dernière heure
SOIRÉE ̃
OPERA (Tél. 307.05). 8 h. 0/0. La Valkyrie.
Dimanche, deuxième gala Rigoletto.
C~OMEDIE-FRANÇAISE Tél. 102.22). 8 h. 3/4.
Primerose.
OPERA-COMIQUE (Tél. 105.76). 8 h. 1/4.
Don duan.
ODEON (Tél. 811.42). ̃– 8 h. 3/4. L'Honneur
japonais.
îj-ARIÉTES (Tél. 109.92). 8 h. 3/4. Orphée
aux enfers.
l/AUDEVILLE (Tél. 102.09).– 9 h. 0/0. Educa-
tion de prince,
11HEATRE SARAH-BERNHARDT (Tél. 1000.70).
8 h. 0/0. L'Aiglon.
THEATRE, REJANE (Tél. 238.78). 8 h. 1/2.
Ames sauvages.
MORTE SAINT-MARTIN (Tél. 437.53).-8 n.1/2.
1 La Crise:
GYMNASE (Tél. 102.65). 9 h. 0/0. L'Assa"uL
RENAISSANCE (Tél. 437.03). 9 h. 0/0.
M Monsieur Malézieux; Divorçons!
I^HEASPRlS-r LYRIQUE MUNICIPAL (ÛAITEV
^(TéL.ip'S^O). l/2.r Naïl.
TIR
LeFusil de chasse. La société « le Pistolet ».
La société « l'Assaut au pistolet ».
Voici les résultats de la dernière réunion
tenue. par le « Fusil de. chasse » à l'île Se-
guin
Prix: des Rosés, disputé par 39 tireurs, condi-
tion de tir 10 doubles venant en battue. 1,
MM. le baron Jaubert, 7 doublés, 2 pigeons 2,
Rd. Béjot, 5 doublés, 4 pigeons 3, J. Nivière,
4 doublés, 6 pigeons 4, après barrage, M. Buc-
quet, 4 sur 5; 5, Texier, 4 sur 5 6, Lefébure,
4 sur 5.
Réglementaire handicap, tir devant soi, 32
tireurs. 1, MM. J. Nivière, 12 points 18 2, F.
Poiret, 11 points 3, 0. Vallon, 10 points 63.
Grande poule, handicap, 31 tireurs. 1, MM.
J. Niviere, 11 points 18; 2, F. Poiret, 11 points,
Poule rëgletîienlaire, disUm.ce lixe, 25 tireurs.'
1, MM. A. 'foucas, 7 sur 10 2, ex a'quo, Creuzé
de hesser et Théache.
Voici les résultats des pbuks disputées
hier au tir aux pigeons du Bois de Boulo«
gne. ?'.
Prix de Longchamp (Un pigeon série) MM.
1, ex œquo, marquis de La Ferté, Arab, 16 sur 16.
La poule suivante a été gagnée par MM.
Lainé et L. Gavito.
Etaient présents i
MM. Aclief, Rego'r, F. Colombel, Macomber,
Forismore, Géhair comte G. de Montesquiou,
Jigé, M. Roger, G. Douine, R. Lié vin, Balares-
que, P. Bignon, .Goelet, baron G. de Dorlodot
L, Gavito, F. Gavito, C. Crotto, Nemo, Maze-
Sencier,. Arab, 'Loret de Mola, M. Lainé, Ivan,
comte de Gramedo, R. Darblay, comte de La-
reinty-ïholoïan;, Brosselin, A. Vagliano, Huilier,
Larousse.
Aujourd'hui samedi, à 10 heures du ma*
tin, cha^lenge-çup. A 2 heures, prix des Lo-
bélias (un pigeon, handicap).
(:
<̃ LUTTE
Championnat de lutte
PROFESSIONNELS
Catégorie des 53 kilos: ̃: 'Michel bat L'Huillier
par une ceinture de côté, ,en 4' 45'
Catégorie des 57. kilos Harasse bat Delbort
par une ceinture à rebours, en 8'-25".
Catégorie des 61 kilos Asseman bat Polo par
une double prise de tête à terre, en 11' 10".
Catégorie des .66 kilos Régnier bat Marsoin
par un bras roulé, en 3' 8".
Catégorie des 72 kilos Maudet bat Georges
le Marin par une ceinture de côté, en 25".
Prunier vinqueur de Didier aux points, en 30".
Catégorie des 79 kilos Berthod vainqueur de
Yves le Boulanger, forfait par suite d'une bles-
sure.
C. Prunier bat Lacasse par une prise do tête
à terre, en 1' 55".
Catégorie des 88 kilos Hillmann vainqueur
de Henry, qui abandonne à la deuxième reprise,
se trouvant blessé à un genou.
Simon vainqueur de Ely (forfait).
Catégorie des 100 kilos Rosset bat Rossi par
une prise de bras, en 6' 40".
Vance vainqueur de Deroua qui se tombe tout
seul en portant une ceinture à rebours.
Ce.soir, finale des championnats à 9 heu*
res, à la salle Wagram.
AUTOMOBILISME
M.le baron de .Meslay, vient de prendre'
livraison d'un 12. HP Charron de grand luxe
pour visiter sa nombreuse clientèle.
Les usines Léon Bollée sont les plus an-
ciennes du monde pour la construction des
automobiles.
Elles comptent parmi les plus belles et les
plus grandes de France.
Succursale de Paris, 49, rue de Villiers, à
Neuilly-sur-Seine.
M.Wladimir Sursock,. de Bassioun-Machal
(Egypte), vient de faire' poser une installa-
tion électrique complète alimentée par une
dynamo Phi »'sur sa voiture 16. HP- -]
• li"é'l?ctri,citt, si luxueuse et si' co,mniod!e,"
est en effet devenue le complément indispen-
sable de toute voiture vraiment confortable.
Notice F spéciale sur les dynamos « Phi » a
la Société Blériot, 16, rue Duret, Paris.
Sans vouloir faire de l'alpinisme avec
son auto, le touriste veut pouvoir faire une
belle moyenne sur n'importe quelles routés
et confortablement, dans ce but le châssis
20 HP. 4-cylindres à 10,500 fr., Clément-
Bayard, n'a pas son pareil.
] a'
Louer une voiture automobile au piois,
c'est supprimer d'un seul coup les ennuis de
ATHENEE. (Tél. 282.23). -.8 h. 1/2. Le Journal
de l'Athénée le Cœur dispose.
THEATRE ANTOINE (Tél. 436.33) –8 h. 3/4.–
1 Impression d'Afrique.
rpHEÂTRË MICHEL (Tél. 163.30). 8h. 3/4.
1 l'Avocate Madame en aura un. On purge
..bébé; le Tiers porteu^.ou l'Honneur de Désiré.
THEATRE APOLLO (TéTTèTS.Sl). 8 h. 3/4.
I • 'Le Comte de Luxembourg.
PAIiAIS-ROYAL • (Tél. 102.50). 9 h.- O/0. ̃
Le Petit Café.
fTHEATRE FEMINA (Tél. 528.68). 8 h. 1/2.–
Le deuxième larron à 9 h.: Les Fils Touffe
sont à Paris.
HEATRE DE LA SCALA (Téléph. 435.86).
8 h, 3/4. Les Trois Amoureuses.
CHATELET. Relàche.
BOUFFES-PARISIENS-CORA-LAPARCERIE.
9 h. 0/0 l'Amourrpropre; à 9 h. 1/2, la Cote
d'amour.
CAPUCINES (Tél. 156.40). 9 h. 0/0. Ce qif on
peut dire l'Autre mari la Surprise.
f\OMEDIE ROYALE. (Tél. 3O7.3Ô). 9 h. 0/0.
Quand il y en a pour deux; l'Inoubliable
Nuit; Jean III.
A~MBÏGU (Tél. 436.31). 8 h. 1/2. Les Deux
Orphelines.
THEATRE DES ARTS (Tél. 586.03). 8 h. 3/4.
La Profession de Mme W'aren.
eRAND-GUIGNOL. Tél. 228. 34. 9 h. 0/0.–
Le Beau régiment; l'Obsédé le Carnaval de
Puce et de Plock les Ingrats; Une nuit
d'amour.
TRIANON-LYRIQUE (Tél. 433.62). 8 h, 1J2.–
t Don César de Bazan.
DEJAZET (Té!. 1,016.80). S h. 1/2. Tire'au
flanc; On opère sans douleur.
CLUNY (Tél. S07.7S). 8 h. 1^2. Les Sœurs
Zigoteau; le Trésor d'Evariste.
Nouveau THEATRE DU CHATEAU d'eau.–
II .(T. 439.05). 8 h.. 1/2. La Revue du Chà-
( .^eau-d'Eau.
Spectacles, Plaisirs du jour
FOLIES-BERGERE ^r$Èiïù%
LA REPI1L~ DE
PRINTE.\fPS Morton, Marise Barry
Lupino, Elise Graven, Yane, Anie Porrey, L.
Darbelle, Brouett. riAT TOQ_T)PPP PDl?
Max et Moritz. Uliilllij D£jKu1MI_j
OLYMPIA GRAND SUCCÈS
t-h u or/ ra LOUISE BALTHY, NAPIERKOWSKA
Teléph. 244.68 Maurel, DorviUe, Montel
AT VlîDTi Chris Richards
UJ-ilMi 1A et le DANSEUR MASQUÉ???
If A'DTfYTV GABY DESLYS et son danseur
ilIAlilulN I HARRY PILCER, dans
THEATRE LA REVUE DE MARIGXY
(ChPs-Elysées). avec Lina Ruby, Mado Minty,
Tél. 101.89. Régine Flory, Perriat
Malin, le dim. et VILBERT.– Attract. diverses.
AMBASSADEURS (Tél. 244.S4;. 8"l/2 Polin,
A Boucot, Y. Yma, A. Rivière, L. Valsy.B. Nalbon,
Royno, Parisette. Attractions. Les4Levandowsky.
fTP il T T? Plan! Ralaplan- gà'.rev. d'été. Mmes
"IG 1LE Pla>z!RataLtan.'gderev d'été.~imes
IjHjAIju Spinelly, Sahary-Djeli, Lueette de
(Tél. 407.60), Landy, Savelli, MM.Claudius.Sinoël..
l'automobile, pneumatiques, accidents aux
tiers, mécaniciens, etc. S'adresser pour la
locationdes automobilesau «Champs-Elysées-
Garage appartenant à M. F. Charron,
34, avenue des Champs-Elysées.
M. le comte L. de Bertier, qui depuis trois
ans utilise les fameuses roues métalliques
Rudge Whitworth, vient de passer com-
mande à la Société française Rudge Whit-
worth d'un train de roues pour sa nouvelle
voiture.
Tout cycliste renseigné sait que la vèfita*
ble enveloppe Dunlop comporte une garantie
d'un an. Mais pour être tout à fait averti,
il doit savoir que seules les enveloppes de
premier choix jouissent de cette garantie
et qu'elles doivent être payées au prix du
tarif de 13 fr. 50. Toute offre à un prix
inférieur expose donc l'acheteur aux incon-
vénients de l'acquisition d'une enveloppe de
second choix ou même d'un solde sans
aucune garantie.
,Le beau temps, qui se maintient aVèô la
nouvelle saison, a causé une satisfaction gé-
nérale parmi les sportsmen qui peuvent en-
fin se livrer à leur plaisir favori l'auto. On
s'en rend compte par l'affluence des clients
que Strôm, le célèbre tailleur sportif, reçoit
dans ses salons du 16, Chaussée d'Antin et
auxquels il montre sa nouvelle collection de
vêtements établis avec infiniment de recher-
che, et d'une légèreté qui permet de se livrer
confortablement à tous les sports, même par
les plus fortes chaleurs. Catalogue franco.
Stroni n'habille que sur mesure.
Paris, 16, Chaussée d'Antin. Nice, 33,
avenue de la Gare.
II y 1 a, à Derby, un autodrome en minia-
ture sur lequel lés châssis Rolls Royce font
des centaines de kilomètres avant d'être re-
mis au service des livraisons.
Ces essais en ordre de marche ne sont que
la suite d'une série d'épreuves d'une extrême
sévérité auxquelles sont soumises les moin-
dres parties de ces si parfaites automobiles,
et finalement le châssis subit de nouvelles et
longues épreuves sur route. Magasins d'ex-
position, 102, avenue des Champs-Elysées.
Bureaux, ateliers et garage, 83,- boulevard
Gouvion-Saint-Cyr. • i.
« :•- ^jj. ̃ •*
La mode est, quoi qu'on dise, personne rai-
sonnable. Il est très chic aujourd'hui de
mettre après une auto des pneus « Diamond ».
Mais si cette mode est gracieuse, elle est
aussi pratique car les «Diamond ont l'exis-
tence double ».
On trouve des Diamond dans tous les ga-
rages et 5, rue Denis-Poisson, s Paris.
aviation
En l'honneur du capitaine Madiotv Dé Villa-
coublay Chartres. Saint-Paul à Rio-de-
Janeiro. De Hendon à Weymouth. A
l'école Morane. A l'école Nieuport.
Le 23 octobre 1910, le capitaine Madiot,
attaché au centre militaire d'aviation de
Douai, faisait,' près de la Brayelle, à
« l'Homme-Mort », une terrible chute d'aé-
roplane. et se tuait sur le. coup.
Sur l'initiative de M. Paul Hénin, vice-
consul de Belgique, quelques Douaisiens
décidèrent de commémorer le tragique évé-
nement.
Ils viennent de faire ériger à l'endroit où
tomba l'afficier dont on se rappelle les ex-
périences de trains de cerfs-volants un
monument composé d'une pyramide en grès
reposant sur un soubassement en briques,
le tout entouré d'une grille en fer forgé.
Ce monument .sera inauguré sans bruit,
d'ici peuy en présence de. quelques personna-,
Utés 'Militaires et !c£yiLos.;( v' 'vi
Hier matin, à Villacoublay, le comte Ho-
noré de Lareinthy-Tholozan, pilotant un
monoplan Morane, a fait une série de vols
remarquables.
Après une promenade au-dessus de la
campagne, il est venu atterrir à Chartres.
• • •
L'aviateur Chavez, pil'Otant un monoplan
Bîériot, qui effectua, il 'y" '.a. trois jours, le
raid de Santos à Saint-Paul, vient de réussir
le voyage Saint-Paul à Rio-de-Janeiro, soit
un parcours de plus de 400 kilomètres au-
dessus des Cordillères et vallées profondes
OITE 58, rue Pigalle (Tél, 285.10). 9 h. 1/2.
A £(at'ecca?rev.en2actes: GabyBoissy,
KiTTpQV René.e Baltha.Mary May,Bussy,Rivers,
rUilOl L. Michel et les chansonrs Fursy, etc.
llfittT TO-PnTTPB1 REtA.ÇHE;
lïIUUljllN llUUuEj pour répëtiti'ons de
THEATRE (Tél. 508.63) | la Belle de New-York.
NOUVEAU-CIRQUE ÎS5^
.Spectacle, entièrement ren.ouye.lé..T- Mercradis,
jeudis, dimanches et fêtes, matinée à 2 h. 1/2.
PALAIS DE GLACE. Clôture annuelle.
LA« LUNE ROUSSE «,36, Bd Clichy (Tél. 587.48)
(D°nD.BoNNAUDetNuMA Blés). 9h.l/2. Domi-
nique Bonnaud, Reine Derns,L.Boyer, G. Baltha.
II A PTP-riI'rY' Pont de l'Alma (Tél. 707.65).–
Ouvert par tous les temps de midi
à minuit. Ëntr. 1 franc donn' droit à une attraction.
CONCERT MAYOL. Clôture annuelle.
~TMtt'MAfnT 19
ftliNlliJîlAuUJLUli 2"l/4 à6"l/2(2séan.).8»i;/4
à minuit (2 séan.). Apothéose des Indes. 2 francs.
AT U\ MÏRB A ~M,r:deMalteO!.m.lO).e,Hf2.
HLHt~IVII)RA JO'`deMalte(T.900.10~.8~~lp2.
A1J11AMDJA.A Oswald Williams, Théâtre des
singes, E.Pantzer, 7 Bram usas', les Yamagatas, etc.
GRANDS nTTEIjlVIPÏ CONCERT ET CI
GR4~D~ DCFH1EL ~,CER1' ET Ct-
MAGASINS JJUr AI ïhU NEMATOGRAPHE
t» les jours, de 2h à6h sauf le dim Buff Nomb. att"«.
/tIRQUE R.d.uartyrs(T.240.G5).
Cirque MEDRANO ^SSrn»a
Matinées à 2 h. 1/2 les jeudis, dimanches et fêtes.
GAUMONT-PALACE^S^S:
lU B Clichy (3'.51G.73).
8hl/2, le Château de la Peur. Filmparl" Gaumont.
HEATRE GRE VIN, 10M Montmartre.– A 3" et
à 9h l'Ane de Buridan; k5h la Suite à demain
etles Trois D. Fauteuil 2f, entr. du musée compr.
SKATING RINK S'-DIDIER. Clôture annuelle.
BA-TA-CLAN (Tél. 930.12). Ça grise.' revue.
CkRlLLON,30,biBonne-NouveHe(T.28l.bO).9bm.
tj J.Moy,Ferreot,Marinier,Mad.Guitty,M'<'Magdy.
/1AITE-ROCHECHOUART (T.406.23). h. 3/4.
Il L'Evasion du capitaine, drame en 5 actes.
E»LECTRIC-PALA CE (5,-i" des Italiens). Cinéma
j en salle éclairée, de 2h à minuit sans interrupt.
TABARIN BAL. (Tél. 267,92). Ce soir
Bal des Modèles.
Mn
MnqtftfP Pl?FTMLe Palais des Mirages Dan-
USbEij-lCi.Vll\seslumin.Acrual.g-'Cinéma.
TfiTTD T?TUI?I?T OuvertedelOl'matàlanuit.
R,1IFH1~~ ~uvertedeiDhmat.âlanuit.
ly Utl Mr £ Elll 1er et., Restaûr.-Brasserie.:
Déjeun.4'etàlacarte.Matin.authéât. dim.fêt.,à3h.
I TTM h -P A PF (Bols DE Boulogne). D'Akoun!
LU1\ A I AtlPUTél. 562. 44). 14 Attract. nouv.
JARDIN D'ACCLIMATATION Ouvert t' lesjoura.
ENGHIEN.– Sources sulfureuses. Etablisse-
ment thermal.– Concerts symphoniques dans
le Jardin des Roses.
JUMELLES FLAMMARION
LA ire MARQUE DU MONDE
,Mon FISCHER, 12, Boulevard V 9|Y
Paris »(G.d-HÔTEL). DES •̃ri "V:
(Catalogue fmnao) Capvcwb8. ,V ^fe^c^
couvertes de forêts peu accueillantes auxi'
aviateurs. ̃
•
Hier, M. C.-B- Hucks, associé de M. Gra-;
liame White, s'était rendu de Hendon, près;
de Londres, à Weymouth par la voie des
airs et avait figure la revue navale passée
par le roi d'Angleterre..
M. Hucks, sur son Blériot, a regagné l'aé-
rodrome de Hendon, couvrant sans escale là
distance de 215 kilomètres en deux heures
environ, sans autre difficulté que la gêne'ap-
portée par le brouillard.
̃ ̃ j
A Villacoublay, à i'aèrodïome Môrànë ̃–
près le,haras les élèves s'entraînent cliâ-
que jour sous la direction de Badel", chef-
tjrlote. ̃• .-̃ t
Chaumet, DUplessis-Quinqui, ,Cftvascô, lé
marquis et le comte de Lareihty-T'holozan;
Godet, etc., font de rapides progrès; le comté
Honoré de Lareihty-Tholôzan exécute des!
vols positivement merveilleux. il s'est réndti
à Bue et est revenu atterrir à l'aédromej.
réussissant des atterrissages qui surprennent
les pilotes les plus expérimentés. Robert Mo-
rane marche sur les traces de son frère Léoft
qui, lui, exécute des descentes en vol plané*
moteur arrêté, d'une hauteur de 1,500 mè»
très. Tabuteau vole aussi, tous les jours il
doit partir ce soir pour Marseille pour e$ni-
bitioliner.
A l'école Nieuport, à Mourmelon, le lieu* ̃
tenant roumain Zoriliano venant réception»
ner un appareil Nieuport destiné à l'arméô
roumaine, a fait une sortie pour s'habituer
aux commandes du Nieuport; il s'est dirigé
ensuite sur Reims, a doublé la Cathédrale,
et est revenu atterrir à Mourmelon, après
avoir effectué le parcours en 35 minutes. >
Trois délégations aéronautiques se sont
rendues hier matin, à onze heures à l'ins-
pection .perjnanente de l'aéronautique mili-
taire (hôtel des Invalides), pour présenter à
M. le colonel Hirschauer, nommé dernière-'
ment à ces hautes fonctions, toutes les fèli*
citations des membres de ces Sociétés.
Ces représentants étaient, pour l'Aéro-Glub
de France M. Soreau, président de la com-
mission d'aviation Georges Besançon, secré» f
taire-général. Pour la Chambre syndicale des
industries aéronautiques MM. Louis Go-
dard, président; Georges Juchmès, vice-pré-*
sident Alfred Leblanc et Henri Kapferôré
Pour l'Association aéronautique MM. Jac-
ques Balsan président Dubois Le Cour»
secrétaire-général.
Le colonel Hirschauer a été très touché
des marques de grande sympathie que lui
ont apportées ces messieurs et il les a âssu-
rés de tout son appui pour continuer l'œu-
vre si brillamment commencée par le géné-
ral Roques.
Les délégués ant remis deux pétitions soU3
forme de vœux pour l'inscription au tableau
de la Légion d'honneur de M. Georges
Juchmès, lieutenant de réserve aux aérosta-
tiers, le premier pilote et professeur de di-
rigeables militaires depuis 1903, et de M.
Lucien Chaùvière, le créateur des hélices en
bois qui ont permis la grande évolution et
les grands sliccés des dirigeables et des aéro-
planes.Y.
panes.
GYMNASTIQUE
la Sorbpnne
Demain dimanche aura lieu à la SorbûnSS,
la distribution des récompenses aux lauréats
du concours interscolaire de gymnastique.
RUGBY
Finale du Championnat militaire
Demain dimanche aura lieu à Colombes li
finale du championnat militaire ,dç Rugby
entre l'école de Saint-Cyr et le 50° d'infan-
terie de Périgueux,
Rappelons que l'équipe de Saint-Cyr: a
battu avant-hier le 1" régiment d'artillerie.
*», COURSE A pied
Circuit de l'Est ™ ».̃
Arrivée à Nancy ̃
1", Devienne, à 5 h. 50; 2e, RQbert, à 6 h, 35;
3-, Orphée, 6 6 h. 50; 4% Adijady. à 7 h. 10.
Frantz-Reichel.
LA ROSE FRANGE B(a.aL,
SAVOM FOUGERE ROYALE «.fô^^J-iiJ `':
Rivoire
&
Carret
AVIS MOMDAIMS
Déplacements et Villégiatures
des Abonnés du « Figara »
EN FRANCE
M. le comte François de Beauchamps, à Bourges.
Mme Marthe Costallat, à Châtel-Guyon.'
Mme Maurice Carmier, ù.' Lille.
M. Maurice Delphin, à Aix-les-Bains.
•M. Edouard Dreyfus, au château d'e Thlmécoùrt,
à Luzarches.
Mme Ed. Fontaine de Laveleye, à Salies-de-
Béarn.
Mme Gellibert des Seguins, au château de
Champrose, par Montmoreau.
Mme la princesse d'Hénin, au château de Bour-
lémont, à Neufchâteau.
M. Joflnart, au chat, de Mauvières, païDampierrs.
Mme Louys, à Maisons-Laffitte,
Mme Ch. Leleu, a Montmorency.
M. Gaston Poulenc, à Vichy.
M. F. Simon, à Saint-Germain-en-Laye.
Mme Charles Torchon, à Bellevue.
A L'ETRANGER
S. Exe. la princesse S. N. Obolensky, à Pach-
kowo.
Mlle Fox-Powys, à Mulhouse.
M. Henry Hérault, à Lausanne, •
M. Fernand Halphën, à Ouchy.
M. Alfred Maier, à Baden-Baden..
Mme Auguste Mendl, à Venise.
Mme la comtesse' Olga Méraviglia, à Prague.
Mme Osterrieth, à Anvers.
M. Georges Rubinstein, à Saint-Pétersbourg.
Mme Romanos, à Rome.
Mme Théodère Reinach, à Wiesbaden.
M: Charles Schwartz, à Belgrade.
ARRIVÉES À PARIS
M. Louis Houbart, ;Mme Anna Held, Mme Paul
Mersch, M. H. Noack-Dollfus, M. le comte de
Puységur, Mme la baronne de Robécourt.M.'
Henry Simon.
Correspondance personnelle
Pour simplifier ̃ l'envoi des
insertions de Correspondance
AVIS PERSONNELLE, wows délivrons
des BONS DE 6 Francs. Chaque
BON représente une Liane.
Tosca. T'embrasse et t'aime follement.
OFFICIERS- MINISTÉRIELS
A ces annonces est appliqud
AVIS un Tarif dégressif, dont. les
prix diminuent en raison de
l'intportance des ordres.
ADJUDICATIONS
Paris
HOTEL AVEC JARDIN FSE ÉTOILE ~l
HOTEL A PARIS P ÉTOILE
angle r.de Presbourg,6 bis et av.Klèber,l.Ccé 837™.
M. p.i MILLION. A adj. Ch. not. Paris 21 mai 1912.
S'adr. M" Armand Aron, not. Paris, 28, av. Opéra.
D BErmpDDAQC'P '7MAISON.Cant~SI3"69.
RDEmppp » nnp 7 MAISON.Cont«2i3n>69.
.la li_ltliAijD£i» Revenu 15,552 fr.M.àp'
20Q,OOO[; A,lldj. s.ieaett.Ch.not. Paris,.le 2i..mai.
S ad, à M« PÈEE,no,tsir«, 9j place des fetitg-Pè'.efc-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 74.4%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 74.4%.
- Collections numériques similaires Fonds régional : Centre-Val de Loire Fonds régional : Centre-Val de Loire /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Centre1"
- Auteurs similaires Fonds régional : Centre-Val de Loire Fonds régional : Centre-Val de Loire /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Centre1"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 7/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k2895795/f7.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k2895795/f7.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k2895795/f7.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k2895795/f7.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k2895795
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k2895795
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k2895795/f7.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest