Presse et revues
4 pages
Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1872-03-01
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 mars 1872 01 mars 1872
Description : 1872/03/01 (Numéro 61). 1872/03/01 (Numéro 61).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Description : Collection numérique : France-Brésil Collection numérique : France-Brésil
Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
LE FIGARO VENDREDI 1- MARS 1872
«fui se rapportent à l'affaire du pont
d'Aude. M. Letellief, agent voyer, est le
premier de cette nouvelle série. il recon-
naît avoir signé un mandat de 6,206 fr.,
dont il n'a pas touché l'argent.
M. le président, à M. Janvier de la Motte.–
yoilà encore une de vos opérations, un de
'(ces mandats fictifs dont vous vous serviez
pour payer vos dépenses.
M. Janvier de la Motte. Oui, monsieur le
.président, je le reconnais; mais, puisque
•nous sommes arrivés à l'inauguration du
«ont d'Aude, je me permettrai de faire bb-
jaervér à la cour que le conseil général, lors-
jlorsqu'j.1 a été question de l'organisation de
cette fête, n'a fait aucune observation.
M. le président. Oh cela ne prouve rien
db tout; et c'est là'une affaire à régler entre
aies conseillers généraux et les électeurs. La
féte regardait-elle le service vicinal.que vous
en aviez chargé l'agent voyer Boulanger?
Boulanger. Les constructions des bâti-
ments nécessaires à la féte me regardaient
évidemment. Le reste n'était pas mon affaire.
f> M. le président. Ces débats démontrent
d'une façon évidente le système des mandats
fictifs employés par le préfet dans toute son
administration. D'abord on en fit signer aux
chefs; puis, plus tard, à de simples canton-
niers.
M. Godard, l'aéronaute, vient après M.
̃ietellier. On se rappelle que, pour le prix
d'une ascension, il a touché une somme
de 1,200 fr.; seulement, la véritable cause
de cette dépense n'était pas notifiée sur le
mandat.
C'est vrai, répond M. Godard à l'ob-
eervation què lui fait M. le président à ce
sujet sur le mandat de M. le préfet, je
suis désigné comme terrassier, et ce n'est.
pas là du tout mon état.
L'auditoire accueille en riant cette flère
revendication de notre hardi aéronaate,
auquel M. le président Félix répond
Oui. oui. nous savons que la terre vous
«St moins familière que l'air. Le mandat qui
rvons a été remis par ordre du préfet, était de
5.000 fr.
R. Sur lesquels je n'en ai touché qae 1,200.
Boulanger. Le reste de la somme a été
dépensé pour l'inauguration du pont.
Les témoins qui se succèdent ensuite
ïfindb de M» Fuxon, avoué à ANGERS,
rue Haute-du-Mail, n° 6.
BtlNJUGEHENT
BBfcJa par le Tribunal civil d™ ANGERS, en date
i. da vingt-sept novembre 1871, enregistré, il a
it été extrait littéralement ce qui suit
p Entre Madame Jeanne-Marie BRETON,
i.TBUve de Monsieur Pierre Louis Marie
l»AB8M DCWE3, sans profession, demeurant à
^Angers, rue Saint-Aubin,
p DfHAurDERBssE aux fln3 d'un exploit de
i3JmjiiO3(, huissier à Angers, en date du deux
^écembre 1S70, enregistré
p Comparant par M" Fillon, avoué, plaidant,
:jH* jFaibé, avocat,
•- D'une part;
Et 1» monsieur Maurice E^G^LII %ni>.
ancien préfet de Maine-et-Loire, ayant demeuré
à Angers, hôtel de la Préfecture,
V| Défendeur aux fins de l'exploit sus-énoncé,
P Compa-ant par M* BOUHIER, avoué; plaidant,
34° Goitton aîné, avocat, D'autre i
D'autre part;
,2» Monsieur Victor lIARf7H%ND, ancien
garant du journal la Démocratie de l'Ouest, demeu-*
tant à Angers, p]ace Saint-Martin.
Défendeur également aux fins du susdit ex-
]floit.
>- Comparant par M* Bouhier, avoué; plaidant,
M' Rousseau, avocat.
Encore ^l'autre part.
PARTIES COMPARANTES OUÏES et M. LE NOEL,
«nbstitut de M. le procureur de la République
entendu dans ses conclusions, et après en avoir
délibéré
il Attendu que, par un arrêté en date du
tarês novembre mil huit cent soixante-dix
BXGELHARD, alors préfet de Maine-et-Loire, a
ioHité u» bureau d- tabac à Maige, pour réparer
tocant que possible, est-il dit, le préjudice que
fcni ont cause dans sa personne et dans sa for-
ftuno les iniquités accomplies >ovs l'Empire;
f Qu'en tête du susdit arrêté se trouvent quel-
ques phrases ainsi conçues Considérant qu'un
«ureau de tabac est actuellement vacant à An-
gers, dans la rue Saint-A,ubin, par le décès du
:nommé DUNE
Considérant que ce bureau avait été donné au
aomm« DUNE, agent de~ police, en récompense
des services qu'il avait rendus au régime impé-
rial comme dénonciateur
) Que ces phrases sont une injure dommageable
à la mémoire du mari de la demanderesse et à
l'honneur du nom qu'elle porte
v QVen van ENGELHARD et MARCHAND ont
fait plaider que dans la langue du droit le mot
dénonciateur tst synonyme d'agent de police; 11
y Que la langue commune, le contexte de la
phrase où ce mot se trouve, lui donnent un tout
autre sens; et qu'il est évident, d'ailleurs, qu'en
établissant un parallèle entre le sieur MAIGE,
victime de* iniquités de l'Empire, et le sieur DUNE.
récompensé pour des services rendus à ce même
Empire. comme DÉNONCIATEUR. ENGELHaRD
a voulu glorifier le premier et pétrir le second
Attendu que les développements insolites,
l'habile agencement des motifs de l'arrêté du
trois novembre, et surtout de l'inutilité au point
de vue administratif de ceux qui se rapportent
au sieur DUNE; tout démontre que ledit arrêté,
naturellement secret, à raison de son caractère
'¡- ..1JR8811' prem. Plne Plna .Dern.~ 1 Précéd Deru. ¡OnIUI10KI (8UI\IO p°rn; Pr60M
frteëd i | '̃̃ wmmrnàm' Prem. Plu. Pli» Dern. ŒMHMPin» Prtcéd Dirn' > OlUSAtlOMi (WlW ££. Htm
UOtur. m S Mefbredl tt Février 1871 couw. haut bat. cour». u«mi» »* »*̃ 6lotur Mgn. ~eonr>' <"otnr'
U 60 Y D/D «Spt. «75 66 60 oWLiAM. «Opt 870.. 865 HÙiB à lyon 6 0/0.M. 1081 50 10S3 5«
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«88 75 12» J.JuiU. ..(term 687 50 687 50 Communales 3 0/0 867 50 867 50 Emprunt tunisien 1863 158 50 15Î
492 50 ALGSbikitoi .(opt. 498 50 492 50 Foncier colonial (ancien) 425 42S -̃ 1865 152 5(1 lfO
61185 J. mai (term 51125 (nouveau: »i 3î5 emprunt hypothécaire égyptien. 41'2M- 397 50
ViUe de Parie 1852 5 0/0 1125 1125 Ville de Bruxelles 1853 97 50 «7 50
ISS S? •• •• «W?n«* IT AUEH 5 0/0 fept. 6675 66 65 1855-60 885 SHO 1863 99.. 99.
66 ? .05 i. jattT (term 66 77 66 77 66 65 88 7U 1865 445.. «3 75 Belge 4 1/8 0/0. 104 104
47*50 TABACS rrAlŒH» Ccpt. 47125 472 50 1869. 272. 271 M» ̃/ Différée convertie. 38.. 32..
47150 J. ianv .Uerm 472 50 472 80 1871(3 0/0). 849.. 8J8 75 a » PaswTe nouvelle. •"•••• »-• 88
81 EMPBmrr PEBDvmi (ont. 15 .t> m 50 quarts 3 0/0. 61.75 6175 »{ 3 0/0 extérieure 1841-1869. 311/4 81 1 .'4
figA «– f»n– |cpt. 81^. S o/O (libéré). 24T 75 848 f ||3O/O intérieure. 26 1/2 S6 1/2
re su J. lanv tterm m 50 quarts 30/0 (Hb.) 61.. 61 15 JfVPetites coupures 861/2 «il/2
«S- • CAMJSTHAKSA– ..FKAHCAIS.|cpt. 615 615.. Seine 1857. 210. JK5 fomain. Emprunt. 65. 65.
105 1/2 BTATS-IJJB». lopt. 105 J. 104 1/2 IMe. 97.. 97., Piémont Emprunt 184940/0.. 800.. 800..
» «0 HO-DUBAS ..lept. 198 25 197 50 O*16»*» *• "̃••• l™ •• «g •• ta^at unMt^m ^*°/5- JS iSS
~M au ..< Mo~MUNAN.tcpt. too~ la? a 1848 ~50 950 Emorunt autrichien 18BO 1900 ii40
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6090 op MM S030 ,1865 8 0/0. 195.i95., 1865. 99050 89115
89(1- emtobht kcsss 1867 lopt 390. 390.. Central. 292 50 292., Obligat. Domaniales d'Autriohe.. 275.. 275..
888 75 kmpkowt bosse 1869 lopt. 3». S88 75 Ardennes 281 883 50 Emprunt Ottoman l|60 8jn 319
95 3 t i 1lf ..I oo'. Hsrrxrex. 7 010, l8AS.lopt. .l · I ·:l. 81 .l. _1 !189.. 5tai Obtigationa 1863. 1127 50 9tà 35
85 3 4 11/4 b». EarpTnw,7 0/0,18e8 icpt. 87. 87. Lyon-MêdUérrànéêTé/Ô" 600 5«0 Obligations ottomanes isSu"" S12 50 SU 25
845. 1 KM». HOH6BOIS, obi. 306 f. (unités).. 245. 246.. 3 0/0 S!»7 50 3J0 Bons Ott. 6 0/0 r. 6 500 f. av. 1872 500.. 5U0
145. grosses oonpurea 245.. Fusion 30/0 2S7 .w *«8 5fl oot. 1872 «80.. 490..
885.. S 50 CAHALDB TOB» .fept. *8» Ï9S7S 200., 2J2 80 1868 3 0/0 «89 50 Ï89 75 -r JV^ 1873 4W (M..
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n'ont qu'une importance relative: ce sont
des fournisseurs dont les métnoires ont
été augmentés, diminués, payés ou non
payés, selon sans douteque le préfet de
l'Eure avait ou n'avait pas à faire face à
des dépenses pressantes. Pas un d'entre
eux, d'ailleurs, n'a un seul, mot de repro-
ches pour l'accusé.
Ces dépositions secondaires conduisent
ainsi l'audience jusqu'à cinq heures, mo-
ment où l'heure de la poste me force à
clore ma correspondance.
` René de Pont-Jest.
♦ .̃
COURRIER DES THÉÂTRES
Ce soir
Au Théâtre-Français, première représenta-
tion de l'A utre Motif, comédie en un acte,
de M. Pailleron. Reprise de Turcaret.
Aux Folies-Dramatiques, représentation au
bénéfice de M. Thibault, chef d'orchestre du
théâtre.
Voici le titre de l'opéra-comique en un acte
de M. Bozet:
Djamileh, chanté par madame Prèlly, MM.
Dnchesne et Potel.
En répétition également à l'Opéra-Comique
La Princesse jaune, un acte' japonais, de
M. Saint-Saens, par mademoiselle Ducasse et
M. Lhérie..
Rien n'est sacré pour ùn."i. confrère. M. Al-
bert Fix raconte dans le Soir la nouvelle
que n'a pas voulu me donner madame Prelly
et que j'ai arrachée Dieu sait à quel prix!
à la nourrice de la gracieuse artiste de
l'Opéra-Comique.
Laissons parler d'abord notre aimable con-
frère
Mon confrère Lafargue, qui a eu, dit-il,
l'honneurd'étre présenté à madame Prelly,
en a reçu un écho de théâtre de Ja plus
grande importance, dont il est obligé de faire
mystère.
Comme je n'ai pas les mêmes raisons,
n'ayant pas été présenté, je ne vois rien qui
m'empéche de lancer la susdite nouvelle en-
core absolument inédite.
privé, était néanmoins destiné par son auteur à
la publicité qu'il a, en effet, reçue dans la Démo-
cratie de l'Ouest;
Attendu qu'en l'insérant dans ce journal,
MARCHAND s'est associé au (ait et a la pensée
d'ENGELHARD, qu'il a en tous cas accompli un
acte dommageable à la demanderesse, ce qui
suffit pour engager sa responsabilité civile.
Sur la demande reconventionnelle du sieur
ENGELHARD:
Attendu que si Mo BIGOT, avocat de la dame
DUNE, a dit, lors des premières plaidoiries,
que ENGELHARD se derobait à la justice,
comme il s'était dérobé à l'ennemi la veille de
l'investissement de Strasbourg cesparoles, im-
provisées au milieu d'un incident d'audience,
n'ont pas pu être concertées avec sa cliente, qui
n'en saurait dés lors être reponsable;
Attendu, quant au chiffre des dommages-inté-
rêts,, que ENGELH»RD et MARCHAND, par la
modération de leur défense, ont amoindri le tort
causé à la dame veuve DUNE par la publication
de l'arrêté du trois novembre.
PAR CES MOTIFS
Le Tribunal déclare ENGELHARD mal fondé
dans sa demande reeonventionnelle et l'en dé-
boute,
Condamne ENGELHARD et MARCHAND à
payer à la dame veuve DUNE, solidairement, à
titre de réparation civile, une somme de cinq
cents francs, laquelle sera pour les quatre cin-
quièmes à la charge personnelle d'ENGELHARD
et pour le surplus à celle de MARCHAND
Autorise la dame DUNE, pour compléter la
réparation qui lui est due, a faire insérer le
present JuotMENT dans le Maine -et- Loire
l'Union de l'Ouest, le Patriote et un quatrieme
journal à son choix; le tout aux frais de
ENGELHARD et MARCHAND;
Condamne les défendeurs solidairement aux
dépens, sauf ceux de la demande reconvention-
nelle, qui seront à la charge persounelie de
ENGELHARD;
Donne acte a la dame veuve DUNE de la ré-
serve qu'elle fait de se pourvoir devant qui de
droit pour demander la nullité do l'arrêté du
trois novembre.
Ainsi jugé et prononcé en audience publique
du Tribunal civil d'Angers, le 27 novembre 1871,
par MM. Chvrles Lelièvke, président, cheva,
lier de la Légion d'honneur; Victor-M*rie
Peltier et Pierre Huguet. juges; en présence
de M. Louis LE Noël,, substitut de M. le procu-
reur de la République, et assistés a» M.
ÔNÉsiaiE Tarin, greffiei;
,f pre(~·, Pour extrait
A. FILLON.
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notaire a Nanterre, et chez M. Doiaingen fils,
passage des Princes (escalier C).
Madame Prelly quitterait VOpëra-Comiqua m
pour les Italiens.
Cette petite nouvelle coïncide avec celle de
l'achat par un entrepreneur millionnaire du
théâtre de la place Ventadour.
On parle d'un prix d'acquisition fabuleux.
C'est là, si je ne m'abuse, l'écho de mon
confrère Lafargùe.
Puisse-t-il me pardonner de l'avoir ébruité
avant lui!
••• s ••
Voici maintenant le récitmadame Prelly
Un gentilhomme par les écus veut
payer le dédit de cinquante mille francs qui
lie ma maîtresse à l'Opéra-Comique il veut
la faire débuter aux Italiens, son nom en ve-
dette dans un carré blanc, tout comme M.
Mélingue. Et, a ajauté ce brave monsieur,
dusse-je dépenser deux millions, acheter
rîmmeubie, le directeur et les ouvreùses, cela
sera.
De tout ceci, la vérité est que, la semaine
prochaine; madame Prelly chantera la Dame
blanche à. l'Opéra-Comique.
•••'
Comme vengeance pour l'indiscrétion de
notre confrère Albert Fix, nous lui emprun-
tons la nouvelle suivante
Hier au soir, M. Perrin, administrateur gé-
néral de la Comédie-Française, donnait un
grand dîner dans son hôtel de la rue de la
Victoire.
Les convives étaient MM. Jules Simon, Ch.
Blanc, de Beyens, Nigra, Ambroise Thomas,
Got, Bressant, Beulé, Legouvé, Vautrain et
Gérôme.
S'il a été question au dîner de la situation
pécuniaire de la Société. M. Perrin a pu rendre
de sa gestion des comptes particulièrement sa-
tisfaisants,si l'on songe que, depuis son séjour
à 'la Comédie-Française, lé théâtre à payé
400,000 francs de dettes arriérées, les artistes
ont reçu l'intégralité de leurs appointements
et de leurs bénéfices ordinaires, même pour
tout le temps où ils n'ont point joué. et
qu'enfin il reste encore suffisamment d'ar-
gent en caisse.
C'est à croire que M. Perrin a volé un bout
de corde de pendu.
Samedi, au Château-d'Eau, première re-
présentation du drame fantastique en 5 actes
et 9 tableaux de M. Cadol.
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par l'entrcmisa des eonsulats. Dépôts à la ph. Heyerfaeer, 3, r. Meyerbeer. F«nfe, Comm. Exportât.
Voici, le titre définitif de cet ouvrage
Le Spectre de Patrick,
Voici le programme du concert, avec or-
chestre et chœurs," qui sera donné aux Ita-
liens, le 5 mars, au profit de l'œuvre des
Femmes de France
PREHIÈRE PARTIE
1. Ouverture de la Gazza la Ara (Rossini).
2. Air de Niobé (Pacini), chanté par ma-
dame Rossetti.
3. « Arri », duo des Muletiers (Masini),chanté
par MM. Gardoni et Verger.
4. Air de la Favorite (Donizetti), chanté par
mademoiselle Sanz.
5. Romance du Ballo in Maschera (Verdi),
chanté par M. Delle Sedie.
6. Adagio du. duo de Semiramide (Rossini),
chanté par mesdames Penco et Alboni.
7. Romance de Martha (Flotow), chantée
par Gardoni.
8..Duo de Don Pasquale (Donizetti), chanté
par madame Ramirez et Verger.
9. Air de Carita (Mercadente), chanté par
madame Alboni.
10. Finale d'Ernani (Donizetti), .chanté par
mademoiselle Ramirez, MM. Urio, Verger et
les choeurs.
DEUXIÈMB PARTIE.
1. Prélude d'orchestre.
2. Air de la Traviata (Verdi), chanté par
madame Ramirez.
3. Quintetto de Cosi fan tutte (Mozart),
chantée par mesdames-Penco et Alboni, Délie
Sedie, Morcuriali.
4. Air deDon Giovanni (Mozart), chanté par
M. Urio.
5. Trio du Alatrimonto segreto (Cimarosa),
chanté par mesdames Penco, Alboni et Ra-
mirez.
6. Air à' II Bar bière (Rossini)i chanté par
M. Verger.
7. Bolero des Vêpres siciliennes (Verdi),
chanté par madame Penco.
8. Quatuor de Itigoletto (Verdi), chanté par
mesdemoiselles Ramirez et Sanz, MM. Urio
et Delle Sedie.
9. Prière de \Moïse (Rossini), chantée par
tous les artistes et les chœurs.
On a lu hier aux artistes des Folies-Drama-
tiques deux petites pièces qui ont obtenu un
succès de fou rire à la lecture: Dans le mou-
vement, vaudeville en un acte, de MM. Bus-
Etude de Me Plassàhd, avoué à Paris, rue de
la Monnaie, 11.
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du Jeudi 29 Février 18T2
FBAMÇAIS, 7 h. 13
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dr. 1 acte et en vers, E. Manuel.
-Morin Maubant
Marcel Coquelin
Jeanne mesd. Nathalie
Hélène Reichemberg
Première représentation
Turcaret
Frontin Got
le marquis Bressant
Turearet Barré
le chevalier Prudhon
Furet Rime
'Flamand Coquelin cad
Rafle Mazoudier
Mme Turcaret mesd.Nathaiie
Mme Jacob Jouassain
Marine P. Ponsin
Lisette B.Félix,
la baronne Royer
Prologue et Epilogue
Don Chisas Boucher
Asmodée mad.Lloyd
Première représentation.
L'autre Motif
Georges Febvre
Claire mesd.P. Ponsin
Emma A. Plessy
©P.-COMf ©ÎJE, 8 h. 0/0
lies Noees de Figaro
op.-c. 4 a J. Bar'àer et M. Carré,
mus. de Mozart.
Almaviva Melchissedec
Figaro Bouhy
Bazile Potel
Bartholo Nathan
Antonio Thierry
Chérubin mesd.M.-Carvalho
la comtesse M. Battu
Suzanne Cico
Marceline Decroix
Barberine Ducasse
ODÉOft, 1 h. 3/4
But Blas
dr. 5 a., Victor. Hugo.
Euy Blas Lafontaine
don Saluste Geffroy `
don CésardeBazanMélingue
don Guritan Tallien
un laquais E. Provost
Camporéal Roger aîaô
Priego Martin
Santa-Cruz Laut«
Covadenga Richard
la reine mesd. S. Bernhardt
duch.ë'Albukerque RameUi
Casilda E. BroiMt
laduéff&a Umbquin
naoh et Bordat, joué par,Vavasseur. Speck,
Lauret. mesdames Cuinet et Rose-Thé; et
Trick et Track, opérette .en un acte, de MM.
Henri Chabrillat et Ph.Dupin, musique de
M. Ch. Pourny, jouée par MM. Girardot, Gar-
del, Gatinais, mesdames Bade et Toudouze.
Dans le mouvement servira de lever de ri-
deau aux Chevaliers de la" Table-Ronde, qui
passent définitivement samedi 2 mars.
̃ ̃̃' t •
Comme nous l'avons annoncé, la réouver-
ture des Folies-Nouvelles aura lieu, sous la
direction Huart et Bridauit. 1» 15 mars pro-
chain voici la composition du spectacle _de la"
soirée
Un Drame en 1779. d'Hervé Toinette et
son Carabinier, d'Hervé l'Ile de Calypso, de
Pilati, et un ballet, de Grévin, très original,
d'un genre tout à fait nouveau, intitulé
la Famille des lapins savants, pour lequel
on a engagé tout le corps de ballet du Chà-
teau-d'Eau, qui cesse de danser dans la revue
à partir d'aujourd'hui.
Valci le programme du Concert populaire
qui sera donné dimanche prochain au Cirque
d'hiver
Symphonie en ut majeur (Beethoven)
Adagio de la symphonie l'Océan (Ant. Ru-
Mnstein);
Andante et finale (Haydn) ~"w .01"
Septuor pour violon, violoncelle, alto, con-
trebasse, cor, clarinette et basson (Beetho-
ven), exécuté par MM. Allard, Franchomme,
Trombetta, de Bailly, Mohr, Grisez et La-
lànde;
Ouverture des Joyeuses Commères de Wind-
sor (Nicolaï). -0 `
Nouvelles de Vienne.
Fantasto vient d'obtenir un succès im-
mense au théâtre An der Wien. Six mor-
ceaux bissés. La pièce en est à sa quatrième
représentation. v,
Hier, madame la vicomtesse Vigier a chanté
dans un concert à Cannes voici la dépêche
que nous recevons ̃'••' ~`t
Succès immense, grand enthousiasme, mor-
ceaux composés par madame la vicomtesse
Vigier admirablement chantés, voix et talent
plus remarquables que jamais.
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1871, et dont le payement avait été annonce
pour le 1er juillet 1872, sera payé le 6 mars pro-
chain, au siège administratif de. la Compagnie,
9 rue Clary, et chez les correspondants.
Les obligations appelées au remboursement,
avec primes ou lots par les tirages des 15 sep-
tembre et 15 décembre 1871, dont le payement
avait été annoncé pour le 1er juillet 1872, seront
également remboursées le 6 mars.
Lss obligations à sortir au tirage du 15 mars,
et le coupon d'obligation ^à écheoir le 1er avril
prochain, seront exactement payés à cette, der-
nière date.
Désormais, le service des obligations aura
lieu, comme celui des bons trentenaires, aux
dates réglementaires.
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jouée par Perrin; et enfin, la Lettré d'un en-
fant, de Delormel, Villemer et JBenza, dite
avec beaucoup de talent par mademoisella
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La Princesse Georges n'aura plus que quel-
ques repréaentations.
Le prochain spectacle se composera de la
pièce nouvelle en trois actes de M.Edmond
Gondinet, précédée d'un acte du répertoire
et suivie de A la 'Bastille.
L'orchestre Pasdeloup a répété la troisième
symphonie de Samuel David.
̃ #V-
Dimanche, l'orchestre Danbé jouera, pour
la troisième fois, la deuxième symphonie du
même auteur.
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Toas lw soira à ri keww
V-Mea-s ém mUém êê Part*
«fui se rapportent à l'affaire du pont
d'Aude. M. Letellief, agent voyer, est le
premier de cette nouvelle série. il recon-
naît avoir signé un mandat de 6,206 fr.,
dont il n'a pas touché l'argent.
M. le président, à M. Janvier de la Motte.–
yoilà encore une de vos opérations, un de
'(ces mandats fictifs dont vous vous serviez
pour payer vos dépenses.
M. Janvier de la Motte. Oui, monsieur le
.président, je le reconnais; mais, puisque
•nous sommes arrivés à l'inauguration du
«ont d'Aude, je me permettrai de faire bb-
jaervér à la cour que le conseil général, lors-
jlorsqu'j.1 a été question de l'organisation de
cette fête, n'a fait aucune observation.
M. le président. Oh cela ne prouve rien
db tout; et c'est là'une affaire à régler entre
aies conseillers généraux et les électeurs. La
féte regardait-elle le service vicinal.que vous
en aviez chargé l'agent voyer Boulanger?
Boulanger. Les constructions des bâti-
ments nécessaires à la féte me regardaient
évidemment. Le reste n'était pas mon affaire.
f> M. le président. Ces débats démontrent
d'une façon évidente le système des mandats
fictifs employés par le préfet dans toute son
administration. D'abord on en fit signer aux
chefs; puis, plus tard, à de simples canton-
niers.
M. Godard, l'aéronaute, vient après M.
̃ietellier. On se rappelle que, pour le prix
d'une ascension, il a touché une somme
de 1,200 fr.; seulement, la véritable cause
de cette dépense n'était pas notifiée sur le
mandat.
C'est vrai, répond M. Godard à l'ob-
eervation què lui fait M. le président à ce
sujet sur le mandat de M. le préfet, je
suis désigné comme terrassier, et ce n'est.
pas là du tout mon état.
L'auditoire accueille en riant cette flère
revendication de notre hardi aéronaate,
auquel M. le président Félix répond
Oui. oui. nous savons que la terre vous
«St moins familière que l'air. Le mandat qui
rvons a été remis par ordre du préfet, était de
5.000 fr.
R. Sur lesquels je n'en ai touché qae 1,200.
Boulanger. Le reste de la somme a été
dépensé pour l'inauguration du pont.
Les témoins qui se succèdent ensuite
ïfindb de M» Fuxon, avoué à ANGERS,
rue Haute-du-Mail, n° 6.
BtlNJUGEHENT
BBfcJa par le Tribunal civil d™ ANGERS, en date
i. da vingt-sept novembre 1871, enregistré, il a
it été extrait littéralement ce qui suit
p Entre Madame Jeanne-Marie BRETON,
i.TBUve de Monsieur Pierre Louis Marie
l»AB8M DCWE3, sans profession, demeurant à
^Angers, rue Saint-Aubin,
p DfHAurDERBssE aux fln3 d'un exploit de
i3JmjiiO3(, huissier à Angers, en date du deux
^écembre 1S70, enregistré
p Comparant par M" Fillon, avoué, plaidant,
:jH* jFaibé, avocat,
•- D'une part;
Et 1» monsieur Maurice E^G^LII %ni>.
ancien préfet de Maine-et-Loire, ayant demeuré
à Angers, hôtel de la Préfecture,
V| Défendeur aux fins de l'exploit sus-énoncé,
P Compa-ant par M* BOUHIER, avoué; plaidant,
34° Goitton aîné, avocat, D'autre i
D'autre part;
,2» Monsieur Victor lIARf7H%ND, ancien
garant du journal la Démocratie de l'Ouest, demeu-*
tant à Angers, p]ace Saint-Martin.
Défendeur également aux fins du susdit ex-
]floit.
>- Comparant par M* Bouhier, avoué; plaidant,
M' Rousseau, avocat.
Encore ^l'autre part.
PARTIES COMPARANTES OUÏES et M. LE NOEL,
«nbstitut de M. le procureur de la République
entendu dans ses conclusions, et après en avoir
délibéré
il Attendu que, par un arrêté en date du
tarês novembre mil huit cent soixante-dix
BXGELHARD, alors préfet de Maine-et-Loire, a
ioHité u» bureau d- tabac à Maige, pour réparer
tocant que possible, est-il dit, le préjudice que
fcni ont cause dans sa personne et dans sa for-
ftuno les iniquités accomplies >ovs l'Empire;
f Qu'en tête du susdit arrêté se trouvent quel-
ques phrases ainsi conçues Considérant qu'un
«ureau de tabac est actuellement vacant à An-
gers, dans la rue Saint-A,ubin, par le décès du
:nommé DUNE
Considérant que ce bureau avait été donné au
aomm« DUNE, agent de~ police, en récompense
des services qu'il avait rendus au régime impé-
rial comme dénonciateur
) Que ces phrases sont une injure dommageable
à la mémoire du mari de la demanderesse et à
l'honneur du nom qu'elle porte
v QVen van ENGELHARD et MARCHAND ont
fait plaider que dans la langue du droit le mot
dénonciateur tst synonyme d'agent de police; 11
y Que la langue commune, le contexte de la
phrase où ce mot se trouve, lui donnent un tout
autre sens; et qu'il est évident, d'ailleurs, qu'en
établissant un parallèle entre le sieur MAIGE,
victime de* iniquités de l'Empire, et le sieur DUNE.
récompensé pour des services rendus à ce même
Empire. comme DÉNONCIATEUR. ENGELHaRD
a voulu glorifier le premier et pétrir le second
Attendu que les développements insolites,
l'habile agencement des motifs de l'arrêté du
trois novembre, et surtout de l'inutilité au point
de vue administratif de ceux qui se rapportent
au sieur DUNE; tout démontre que ledit arrêté,
naturellement secret, à raison de son caractère
'¡- ..1JR8811' prem. Plne Plna .Dern.~ 1 Précéd Deru. ¡OnIUI10KI (8UI\IO p°rn; Pr60M
frteëd i | '̃̃ wmmrnàm' Prem. Plu. Pli» Dern. ŒMHMPin» Prtcéd Dirn' > OlUSAtlOMi (WlW ££. Htm
UOtur. m S Mefbredl tt Février 1871 couw. haut bat. cour». u«mi» »* »*̃ 6lotur Mgn. ~eonr>' <"otnr'
U 60 Y D/D «Spt. «75 66 60 oWLiAM. «Opt 870.. 865 HÙiB à lyon 6 0/0.M. 1081 50 10S3 5«
vu-vu u. 4" uv So.5 8J 1 018 tV5 6750
88 50 .85 .# 1/8 0/8 jopt 83 40 M 75 KOBD lopt., jWO 968 75 3 o/o" S81 «W K
M.4 t.Mpt.tterm t.. J. jenr.tterm 975.. 97~50 8 0/0.. i.Y.. 187 50 M9.
ti.l *T J. sept. Uei– ·· 8* J. JanT. (term 075 974 50 Bourbonnais. HB7 50 286
90 30 80 e 0/0 BBPS– IT 1871 (cpt 90 80 90 10 tst.. jopt. 401 iM -̃ Ouest 18ôï-à8-55 9H0 MU ̃̃
10 a0 ,10 5 (DOn DP&mn' 1871.fept. 90 15 9~ IS 90 90 SD DT.{o\>t. 49).. 400.. Ouest 116f..68.55.. 1. 1fiO. HBO,
B0 80 v> (non libéré) item «0«5 90 45 9085 8030 j. mai iterm 493 50 492 50 80/0..> m 56 186 50
M15 C5E 0/0 MptONT 187t.(opt. 8930 Mit) e~u-cTOxatfmt2nan~xn.(cpt 870.. 875 ~oa4<'eMyel857. ~i0
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>«0 10 V. iaj»od« db nuwci. J.lanT.lopt. 3605 3600.. J-oot Itenn 505.. 50». r. de 1877. aw 50 sïlîi
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7M50 8 58 j. août iterm 7f 8 50 700.. J. août Uerm *> 4*8 Romains. m au «o
6C.750 i85W«ÉTE.toEHAI; oPt. 608 w «o «osa, «™™ jfpt. g» • « » SSKSrîwîê: *»' ™
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9«" 5 CBtorr l^«'.ini!iopt. 930 985. TORMOMT-AI-MCHI iopt t95 495- ^VoUSe pïrSS'" «8 75 «7 50
835. 1. iaav item 93i 93».. bomaws lept. 1».. 1*125 l^^S. «| I »5S
510. 7 50 cbesii AfiBlcou 1. ]anv.|opt 510 502 56 hobd db l'espaske. ,.|cpt 103.. 105.. (obligations) 450 450..
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S S } «o»^»?™ n™°w[U*B».jopt S8 7S 56 25 ̃ obligat. Usines à gaz Téunies. s*) ̃̃ M»..
57 50 18j i. janT. Uerm 56 S5 S6 85 55.. 56 25 = Voitures de place. 208 75 210.
B25 150 CBfeDiT «obiukh KSPASROL.fopt. 525 527 50 583 75 .12' M mnraiTTnNx · Caisse Mirés 86 50 27 50
630. 8 50 50 .Jany (term 5Î7 50 527 50 >25 5i7 50 50 UBUiiAXiUK» lias. Maberly 410.. 410..
605 5- bauqos oitomakb (cpt. «S 75 610 695.. 610.. Obligation» foncière» 1000 fr. 80/0.. 820.. 825.. C'générale des Baux. 380.. 380..
6MSO 1SS 7. Janv.term MO. 6M:5 fonci6r6!l1000fr. 80/0.. St.. M.. On gat.-G générale dee 3ënJt. !85. Sh_:
«07 '.50 125 J.jaay .[term «10. Il m 25 ooupuréi mti.td'/O. 91.. 91.. OhRgat-c. généra ede« Bani. 885 fflj
4Bm .uniii mi nn.ui
î$!g "»™ '̃ tlm m lo "• -îwao Soft 4 0>0 4^t II 462 50 Magasins généraux 825. sas. a
?5! J: nov: at~ il 50 590 tr. a 0/0., t69 462.50 50 lIaga8Ïl1s généraux ?5. 8~
191~50 .J.tlov.oc. -term 19750 69ù fJO fr. 8 ff/O'to.. 111 91 rGNDS BTièNGBBB
2iTS •" } |5 »J«0D«.lraA1«»-fe|WTI5-jçpu 69ÏS0 690 im coupures 500 b. 4 S/C «. «S- FONDS BT1UNGKM
«88 75 12» J.JuiU. ..(term 687 50 687 50 Communales 3 0/0 867 50 867 50 Emprunt tunisien 1863 158 50 15Î
492 50 ALGSbikitoi .(opt. 498 50 492 50 Foncier colonial (ancien) 425 42S -̃ 1865 152 5(1 lfO
61185 J. mai (term 51125 (nouveau: »i 3î5 emprunt hypothécaire égyptien. 41'2M- 397 50
ViUe de Parie 1852 5 0/0 1125 1125 Ville de Bruxelles 1853 97 50 «7 50
ISS S? •• •• «W?n«* IT AUEH 5 0/0 fept. 6675 66 65 1855-60 885 SHO 1863 99.. 99.
66 ? .05 i. jattT (term 66 77 66 77 66 65 88 7U 1865 445.. «3 75 Belge 4 1/8 0/0. 104 104
47*50 TABACS rrAlŒH» Ccpt. 47125 472 50 1869. 272. 271 M» ̃/ Différée convertie. 38.. 32..
47150 J. ianv .Uerm 472 50 472 80 1871(3 0/0). 849.. 8J8 75 a » PaswTe nouvelle. •"•••• »-• 88
81 EMPBmrr PEBDvmi (ont. 15 .t> m 50 quarts 3 0/0. 61.75 6175 »{ 3 0/0 extérieure 1841-1869. 311/4 81 1 .'4
figA «– f»n– |cpt. 81^. S o/O (libéré). 24T 75 848 f ||3O/O intérieure. 26 1/2 S6 1/2
re su J. lanv tterm m 50 quarts 30/0 (Hb.) 61.. 61 15 JfVPetites coupures 861/2 «il/2
«S- • CAMJSTHAKSA– ..FKAHCAIS.|cpt. 615 615.. Seine 1857. 210. JK5 fomain. Emprunt. 65. 65.
105 1/2 BTATS-IJJB». lopt. 105 J. 104 1/2 IMe. 97.. 97., Piémont Emprunt 184940/0.. 800.. 800..
» «0 HO-DUBAS ..lept. 198 25 197 50 O*16»*» *• "̃••• l™ •• «g •• ta^at unMt^m ^*°/5- JS iSS
~M au ..< Mo~MUNAN.tcpt. too~ la? a 1848 ~50 950 Emorunt autrichien 18BO 1900 ii40
50» .30-B..TOTITOC1860 icpt so 20 50 3o m.. .gg «ô^ »» .SS :̃ ^p™™*™ & ^è» "m u
6090 op MM S030 ,1865 8 0/0. 195.i95., 1865. 99050 89115
89(1- emtobht kcsss 1867 lopt 390. 390.. Central. 292 50 292., Obligat. Domaniales d'Autriohe.. 275.. 275..
888 75 kmpkowt bosse 1869 lopt. 3». S88 75 Ardennes 281 883 50 Emprunt Ottoman l|60 8jn 319
95 3 t i 1lf ..I oo'. Hsrrxrex. 7 010, l8AS.lopt. .l · I ·:l. 81 .l. _1 !189.. 5tai Obtigationa 1863. 1127 50 9tà 35
85 3 4 11/4 b». EarpTnw,7 0/0,18e8 icpt. 87. 87. Lyon-MêdUérrànéêTé/Ô" 600 5«0 Obligations ottomanes isSu"" S12 50 SU 25
845. 1 KM». HOH6BOIS, obi. 306 f. (unités).. 245. 246.. 3 0/0 S!»7 50 3J0 Bons Ott. 6 0/0 r. 6 500 f. av. 1872 500.. 5U0
145. grosses oonpurea 245.. Fusion 30/0 2S7 .w *«8 5fl oot. 1872 «80.. 490..
885.. S 50 CAHALDB TOB» .fept. *8» Ï9S7S 200., 2J2 80 1868 3 0/0 «89 50 Ï89 75 -r JV^ 1873 4W (M..
8^375 12» 1. janv.. |térm ï8» 885.. 280 I. 288 50 Nord a>m 480.. 4W>
1«7 -6 S 68 MLBSATIOM DE SDK».JOUI. '87 50 190 C
Ï9I50 9 50 J.ianv ..Itertn 187 50 190 T_OT DB l"H8Ca_PX_ HATIKRBS D'OR ET D'AReSNT
IBt SO « «> nwTeATiOHi a~B I nitt i«n» i/io ma ai «un ii»k Paris». 50/0 > Or en b~ft 160/1000.– le k. 8,484 f. 44.. 7* 8
lm\l i « 0WJ6AHOIW h-1 ll'ow-'2r «S"i2î!»5« met» des avance». «e/e Or (pièce* de» fr .),8.U1/1
TO7» ï»* jept «g j. T05 • 697 50 700 londw. 8 0/e Argeot en bure à 1000/000» a. I*
W* 968 J. OCt.it«rm 7W58 707P0 T«è T08 50 CHANGB.- Lojldrei. 96 40 à « 85 kUT«% fr. 89 C. H i 8»
n'ont qu'une importance relative: ce sont
des fournisseurs dont les métnoires ont
été augmentés, diminués, payés ou non
payés, selon sans douteque le préfet de
l'Eure avait ou n'avait pas à faire face à
des dépenses pressantes. Pas un d'entre
eux, d'ailleurs, n'a un seul, mot de repro-
ches pour l'accusé.
Ces dépositions secondaires conduisent
ainsi l'audience jusqu'à cinq heures, mo-
ment où l'heure de la poste me force à
clore ma correspondance.
` René de Pont-Jest.
♦ .̃
COURRIER DES THÉÂTRES
Ce soir
Au Théâtre-Français, première représenta-
tion de l'A utre Motif, comédie en un acte,
de M. Pailleron. Reprise de Turcaret.
Aux Folies-Dramatiques, représentation au
bénéfice de M. Thibault, chef d'orchestre du
théâtre.
Voici le titre de l'opéra-comique en un acte
de M. Bozet:
Djamileh, chanté par madame Prèlly, MM.
Dnchesne et Potel.
En répétition également à l'Opéra-Comique
La Princesse jaune, un acte' japonais, de
M. Saint-Saens, par mademoiselle Ducasse et
M. Lhérie..
Rien n'est sacré pour ùn."i. confrère. M. Al-
bert Fix raconte dans le Soir la nouvelle
que n'a pas voulu me donner madame Prelly
et que j'ai arrachée Dieu sait à quel prix!
à la nourrice de la gracieuse artiste de
l'Opéra-Comique.
Laissons parler d'abord notre aimable con-
frère
Mon confrère Lafargue, qui a eu, dit-il,
l'honneurd'étre présenté à madame Prelly,
en a reçu un écho de théâtre de Ja plus
grande importance, dont il est obligé de faire
mystère.
Comme je n'ai pas les mêmes raisons,
n'ayant pas été présenté, je ne vois rien qui
m'empéche de lancer la susdite nouvelle en-
core absolument inédite.
privé, était néanmoins destiné par son auteur à
la publicité qu'il a, en effet, reçue dans la Démo-
cratie de l'Ouest;
Attendu qu'en l'insérant dans ce journal,
MARCHAND s'est associé au (ait et a la pensée
d'ENGELHARD, qu'il a en tous cas accompli un
acte dommageable à la demanderesse, ce qui
suffit pour engager sa responsabilité civile.
Sur la demande reconventionnelle du sieur
ENGELHARD:
Attendu que si Mo BIGOT, avocat de la dame
DUNE, a dit, lors des premières plaidoiries,
que ENGELHARD se derobait à la justice,
comme il s'était dérobé à l'ennemi la veille de
l'investissement de Strasbourg cesparoles, im-
provisées au milieu d'un incident d'audience,
n'ont pas pu être concertées avec sa cliente, qui
n'en saurait dés lors être reponsable;
Attendu, quant au chiffre des dommages-inté-
rêts,, que ENGELH»RD et MARCHAND, par la
modération de leur défense, ont amoindri le tort
causé à la dame veuve DUNE par la publication
de l'arrêté du trois novembre.
PAR CES MOTIFS
Le Tribunal déclare ENGELHARD mal fondé
dans sa demande reeonventionnelle et l'en dé-
boute,
Condamne ENGELHARD et MARCHAND à
payer à la dame veuve DUNE, solidairement, à
titre de réparation civile, une somme de cinq
cents francs, laquelle sera pour les quatre cin-
quièmes à la charge personnelle d'ENGELHARD
et pour le surplus à celle de MARCHAND
Autorise la dame DUNE, pour compléter la
réparation qui lui est due, a faire insérer le
present JuotMENT dans le Maine -et- Loire
l'Union de l'Ouest, le Patriote et un quatrieme
journal à son choix; le tout aux frais de
ENGELHARD et MARCHAND;
Condamne les défendeurs solidairement aux
dépens, sauf ceux de la demande reconvention-
nelle, qui seront à la charge persounelie de
ENGELHARD;
Donne acte a la dame veuve DUNE de la ré-
serve qu'elle fait de se pourvoir devant qui de
droit pour demander la nullité do l'arrêté du
trois novembre.
Ainsi jugé et prononcé en audience publique
du Tribunal civil d'Angers, le 27 novembre 1871,
par MM. Chvrles Lelièvke, président, cheva,
lier de la Légion d'honneur; Victor-M*rie
Peltier et Pierre Huguet. juges; en présence
de M. Louis LE Noël,, substitut de M. le procu-
reur de la République, et assistés a» M.
ÔNÉsiaiE Tarin, greffiei;
,f pre(~·, Pour extrait
A. FILLON.
A VENDRE A. L'AMIABLE-
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S'adr., pour tous renseignem., à Me G-autibr,
notaire a Nanterre, et chez M. Doiaingen fils,
passage des Princes (escalier C).
Madame Prelly quitterait VOpëra-Comiqua m
pour les Italiens.
Cette petite nouvelle coïncide avec celle de
l'achat par un entrepreneur millionnaire du
théâtre de la place Ventadour.
On parle d'un prix d'acquisition fabuleux.
C'est là, si je ne m'abuse, l'écho de mon
confrère Lafargùe.
Puisse-t-il me pardonner de l'avoir ébruité
avant lui!
••• s ••
Voici maintenant le récit
Un gentilhomme par les écus veut
payer le dédit de cinquante mille francs qui
lie ma maîtresse à l'Opéra-Comique il veut
la faire débuter aux Italiens, son nom en ve-
dette dans un carré blanc, tout comme M.
Mélingue. Et, a ajauté ce brave monsieur,
dusse-je dépenser deux millions, acheter
rîmmeubie, le directeur et les ouvreùses, cela
sera.
De tout ceci, la vérité est que, la semaine
prochaine; madame Prelly chantera la Dame
blanche à. l'Opéra-Comique.
•••'
Comme vengeance pour l'indiscrétion de
notre confrère Albert Fix, nous lui emprun-
tons la nouvelle suivante
Hier au soir, M. Perrin, administrateur gé-
néral de la Comédie-Française, donnait un
grand dîner dans son hôtel de la rue de la
Victoire.
Les convives étaient MM. Jules Simon, Ch.
Blanc, de Beyens, Nigra, Ambroise Thomas,
Got, Bressant, Beulé, Legouvé, Vautrain et
Gérôme.
S'il a été question au dîner de la situation
pécuniaire de la Société. M. Perrin a pu rendre
de sa gestion des comptes particulièrement sa-
tisfaisants,si l'on songe que, depuis son séjour
à 'la Comédie-Française, lé théâtre à payé
400,000 francs de dettes arriérées, les artistes
ont reçu l'intégralité de leurs appointements
et de leurs bénéfices ordinaires, même pour
tout le temps où ils n'ont point joué. et
qu'enfin il reste encore suffisamment d'ar-
gent en caisse.
C'est à croire que M. Perrin a volé un bout
de corde de pendu.
Samedi, au Château-d'Eau, première re-
présentation du drame fantastique en 5 actes
et 9 tableaux de M. Cadol.
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Voici, le titre définitif de cet ouvrage
Le Spectre de Patrick,
Voici le programme du concert, avec or-
chestre et chœurs," qui sera donné aux Ita-
liens, le 5 mars, au profit de l'œuvre des
Femmes de France
PREHIÈRE PARTIE
1. Ouverture de la Gazza la Ara (Rossini).
2. Air de Niobé (Pacini), chanté par ma-
dame Rossetti.
3. « Arri », duo des Muletiers (Masini),chanté
par MM. Gardoni et Verger.
4. Air de la Favorite (Donizetti), chanté par
mademoiselle Sanz.
5. Romance du Ballo in Maschera (Verdi),
chanté par M. Delle Sedie.
6. Adagio du. duo de Semiramide (Rossini),
chanté par mesdames Penco et Alboni.
7. Romance de Martha (Flotow), chantée
par Gardoni.
8..Duo de Don Pasquale (Donizetti), chanté
par madame Ramirez et Verger.
9. Air de Carita (Mercadente), chanté par
madame Alboni.
10. Finale d'Ernani (Donizetti), .chanté par
mademoiselle Ramirez, MM. Urio, Verger et
les choeurs.
DEUXIÈMB PARTIE.
1. Prélude d'orchestre.
2. Air de la Traviata (Verdi), chanté par
madame Ramirez.
3. Quintetto de Cosi fan tutte (Mozart),
chantée par mesdames-Penco et Alboni, Délie
Sedie, Morcuriali.
4. Air deDon Giovanni (Mozart), chanté par
M. Urio.
5. Trio du Alatrimonto segreto (Cimarosa),
chanté par mesdames Penco, Alboni et Ra-
mirez.
6. Air à' II Bar bière (Rossini)i chanté par
M. Verger.
7. Bolero des Vêpres siciliennes (Verdi),
chanté par madame Penco.
8. Quatuor de Itigoletto (Verdi), chanté par
mesdemoiselles Ramirez et Sanz, MM. Urio
et Delle Sedie.
9. Prière de \Moïse (Rossini), chantée par
tous les artistes et les chœurs.
On a lu hier aux artistes des Folies-Drama-
tiques deux petites pièces qui ont obtenu un
succès de fou rire à la lecture: Dans le mou-
vement, vaudeville en un acte, de MM. Bus-
Etude de Me Plassàhd, avoué à Paris, rue de
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-Morin Maubant
Marcel Coquelin
Jeanne mesd. Nathalie
Hélène Reichemberg
Première représentation
Turcaret
Frontin Got
le marquis Bressant
Turearet Barré
le chevalier Prudhon
Furet Rime
'Flamand Coquelin cad
Rafle Mazoudier
Mme Turcaret mesd.Nathaiie
Mme Jacob Jouassain
Marine P. Ponsin
Lisette B.Félix,
la baronne Royer
Prologue et Epilogue
Don Chisas Boucher
Asmodée mad.Lloyd
Première représentation.
L'autre Motif
Georges Febvre
Claire mesd.P. Ponsin
Emma A. Plessy
©P.-COMf ©ÎJE, 8 h. 0/0
lies Noees de Figaro
op.-c. 4 a J. Bar'àer et M. Carré,
mus. de Mozart.
Almaviva Melchissedec
Figaro Bouhy
Bazile Potel
Bartholo Nathan
Antonio Thierry
Chérubin mesd.M.-Carvalho
la comtesse M. Battu
Suzanne Cico
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Barberine Ducasse
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Camporéal Roger aîaô
Priego Martin
Santa-Cruz Laut«
Covadenga Richard
la reine mesd. S. Bernhardt
duch.ë'Albukerque RameUi
Casilda E. BroiMt
laduéff&a Umbquin
naoh et Bordat, joué par,Vavasseur. Speck,
Lauret. mesdames Cuinet et Rose-Thé; et
Trick et Track, opérette .en un acte, de MM.
Henri Chabrillat et Ph.Dupin, musique de
M. Ch. Pourny, jouée par MM. Girardot, Gar-
del, Gatinais, mesdames Bade et Toudouze.
Dans le mouvement servira de lever de ri-
deau aux Chevaliers de la" Table-Ronde, qui
passent définitivement samedi 2 mars.
̃ ̃̃' t •
Comme nous l'avons annoncé, la réouver-
ture des Folies-Nouvelles aura lieu, sous la
direction Huart et Bridauit. 1» 15 mars pro-
chain voici la composition du spectacle _de la"
soirée
Un Drame en 1779. d'Hervé Toinette et
son Carabinier, d'Hervé l'Ile de Calypso, de
Pilati, et un ballet, de Grévin, très original,
d'un genre tout à fait nouveau, intitulé
la Famille des lapins savants, pour lequel
on a engagé tout le corps de ballet du Chà-
teau-d'Eau, qui cesse de danser dans la revue
à partir d'aujourd'hui.
Valci le programme du Concert populaire
qui sera donné dimanche prochain au Cirque
d'hiver
Symphonie en ut majeur (Beethoven)
Adagio de la symphonie l'Océan (Ant. Ru-
Mnstein);
Andante et finale (Haydn) ~"w .01"
Septuor pour violon, violoncelle, alto, con-
trebasse, cor, clarinette et basson (Beetho-
ven), exécuté par MM. Allard, Franchomme,
Trombetta, de Bailly, Mohr, Grisez et La-
lànde;
Ouverture des Joyeuses Commères de Wind-
sor (Nicolaï). -0 `
Nouvelles de Vienne.
Fantasto vient d'obtenir un succès im-
mense au théâtre An der Wien. Six mor-
ceaux bissés. La pièce en est à sa quatrième
représentation. v,
Hier, madame la vicomtesse Vigier a chanté
dans un concert à Cannes voici la dépêche
que nous recevons ̃'••' ~`t
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ceaux composés par madame la vicomtesse
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1871, et dont le payement avait été annonce
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chain, au siège administratif de. la Compagnie,
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Les obligations appelées au remboursement,
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tembre et 15 décembre 1871, dont le payement
avait été annoncé pour le 1er juillet 1872, seront
également remboursées le 6 mars.
Lss obligations à sortir au tirage du 15 mars,
et le coupon d'obligation ^à écheoir le 1er avril
prochain, seront exactement payés à cette, der-
nière date.
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