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NANTEUIL NANTHILDE 746
le crédit énorme dont jouissaient alors les Coligny. Henri, 1 Colbert,
son fils, hérita du comté de Nnntpnil dmif 1(\ l'hûtpau Tk en re
le crédit énorme dont jouissaient alors les Coligny. Henri,
son fils, hérita du comte de Nanteuil, dont le château
continua à servir de rendez-vous aux conciliabules des
catholiques. Le roi, voulant mettre un terme à ces menées,
donna secrètement au duc de Guise l'ordre de vendre ou
d'échanger Nanteuil. Le Balafré obéit et remit le domaine,
en 4576, entre.les mains du roi qui le garda deux ans
et le donna ensuite au maréchal de Schomberg, après lequel
son fils et son petit-fils, aussi maréchaux de France, conti-
nuèrent à embellir Nanteuil, qui fut vendu en -1658 au
maréchal d'Estrées, de la maison duquel il passa, en 1746,
à celle de Bourbon-Condé qui le posséda jusqu'à 1789.
Ce château fut démoli à la Révolution il en reste cepen-
dant des pavillons et de belles terrasses dans un parc.
L'église actuelle est d'un style composite (façade et
nef du xmc siècle portail latéral des xv° etxvn siècles)
elle était fortifiée, et le portail est encore crénelé et flanque
de tourelles. II y avait autrefois à Nanteuil un prieuré de
l'ordre de Cluny qui avait remplacé une basilique fondée
par saint Valbert. La chapelle de Notre-Dame des Marais,
reconstruite en 4821, avait remplacé une ancienne léproserie
et était devenue un petit prieuré dépendant de Juilly, puis
réuni en -1726 à la cure de Chantilly. Enfin, il y avait
encore une petite chapelle de Saint-Julien, dépendant de
l'ancien hospice, et dont les restes sont aujourd'hui propriété
particulière. Vicomte DE C.ux DE Saint-Aymour.
NANTEUIL-lks-Meaux. Com. du dép. de Seine-et-
Marne, arr. et cant. de Meaux; 4.358 hah.
NANTEUIL-Nothe-Dame. Com. du dép. de l'Aisne, arr.
de Château-Thierry, cant. de la Fère-en-Tardenois 4 4 hab.
NANTEUIL-sor-Maene. Com. du dép. de Seine-et-
Marne, arr. de Meaux, cant. de la Ferté-sous-Jouarre
387 hab. Stat. du chem. de fer de l'Est.
NANTEUIL (Robert), graveur français, né à Reims
vers 4623, mort à Paris en 1678. Il était fils d'un mar-
chand qui lui fit donner une éducation distinguée. Pas-
sionné dès l'enfance pour les arts et particulièrement pour
la gravure, il s'inspira, dans ses premiers essais, de Cal-
lot et de Michel Lasne; mais ses professeurs, les jésuites,
n'encouragèrent point sa vocation naissante après avoir
terminé ses études chez les bénédictins, il reçut des leçons
de son compatriote, Nicolas Regnesson en collaboration
avec lui, il fit en 4 644 la gravure d'un Mariage spiri-
tuel de sainte Catherine; bientôt après, il épousait la
sœur de son maitre, puis il venait tenter la fortune à
Paris, muni des recommandations des bénédictins de Reims
pour divers religieux de la capitale il trouva d'abord à
exercer son talent dans le genre du portrait « à la plume
et à la pierre de mine » ainsi qu'au pastel. Mais, à partir
de 1648, il reprit son burin, grava divers portraits avec
le plus vif succès, et dès lors il se fixa définitivement à
Paris. C'est de cette période de son existence que datent
les plus belles œuvres de Robert Nanteuil. Devenu célèbre,
il reçut du roi la charge de graveur et dessinateur de son
cabinet (4658) avec une pension de mille livres. On attri-
bue à l'influence de l'artiste l'édit rendu par Louis XIV à
Saint-Jean-de-Luz, par lequel la gravure, distinguée dé-
sormais des arts mécaniques, était aflranchie des entraves
qui en gênaient le développement et mise au rang des
arts libéraux. D'un esprit très fin et d'un commerce agréable,
Nanteuil fut très recherché par les seigneurs de son temps;
leur fréquentation le conduisit malheureusement à dis-
siper dans les plaisirs la fortune qu'il avait acquise. Il eut
plusieurs collaborateurs, parmi lesquels son beau-frère
Regnesson, Nicolas Pitau, P. Simon et Corneille Vermeu-
len. Son œuvre est très considérable il ne comprend
pas moins de 243 pièces, dont 246 portraits, et se trouve
en un superbe exemplaire à notre Bibliothèque nationale.
Nanteuil reproduisit plusieurs fois les traits de Louis XIV
de la reine mère Anne d'Autriche, du ministre Colbert,
de Le Tellier et de Mazarin. Ses principaux chefs-d'œuvre
sont les portraits de Pomponne de Bellièvre, du maréchal
de Castelnau, de La motte Le Vayer, de Louis XIV, de
Colbert, indue d'Orléans, exécutés entre 4658 et4674,
1 Ils se recommandent par l'expression très vivante des
s physionomies, le naturel des poses, le caractère précis,
doux et calme de l'exécution. Gaston CouGNY.
BIBL. Robert Dumiïsnil, te Peinire-Gi'aveur français
le Magasin pittoresque, oct. 1859. Georges Duplessis,
Histoire de la gravure en France; Paris, 1861, in-8. Ch.
LE BLANC, Manuel de l'amateur d'estampes. Ch. Loiu-
quet, Robert Nanteuil, sa vie et son œuvre, 1885, in-4.
NANTEUIL (Célestin), peintre et lithographe français,
né à Rome en 4813 de parents français, mort à Mar-
lotte en 4873. Conduit à Paris par son père, il étudia
la peinture d'abord à l'Ecole des Beaux-Arts et dans
l'atelier de Langlois mais il ne tarda pas à abandonner
l'enseignement classique, et le « cénacle » romantique
devint sa véritable école. Il exécuta, de 1840 à 4856,
pour les œuvres de Victor Hugo, d'Alexandre Dumas, de
Théophile Gautier, de très nombreuses illustrations et
gravures qui convenaient à merveille aux personnages de
poème, de drame et de roman des éditions romantiques.
C'était une élégance, en ce temps-là, d'avoir une vignette,
un frontispice, une eau-forte de Célestin Nanteuil, et la
fantaisie inépuisable de l'artiste excellait à encadrer ses
héros favoris dans des ornements semblables à des châsses
gothiques avec triples colonnettes, ogives, niches à dais,
statuettes, figurines, saints et saintes sur fond d'or. Notre-
Dame de Paris fut naturellement l'objet de sa plus fer-
vente admiration, et il en tira le motif d'un grand nombre
de dessins d'un caractère étonnant. On lui doit également,
durant cette période, des lithographies dont il orna la
musique d'Hippolyte Monpeou. Enfin, il fournit de nom-
breuses eaux-fortes aux Evangiles de Bida.
Comme peintre, Célestin Nanteuil se montra moins ori-
ginal son premier tableau fut une Sainte Famille, expo-
sée en 1833. Président, en 4848, d'un comité chargé de
réorganiser les beaux-arts, il reparut au Salon de cette
année avec la Source, Dans les vignes, Un Rayon de
soleil. Puis il donna encore Une Tentation (1851)
la Vigne (4853) Phœbé Séduction, Perdition,
Ivresse (1859); le Printemps ramène les amours
(1863), etc. En 4867, Célestin Nanteuil succéda à Louis
Boulanger comme conservateur du musée et directeur de
l'Ecole des Beaux-Arts de Dijon. Gaston Cougny.
BIBL. Théophile Gautier, Histoire du romantisme
Paris, 1874, in-12.
NANTEUIL-Gaugiran (Charles), peintre français, né à
Paris en 1811. Il fut élève de Ingres et s'inspira cons-
tammentde la tradition classique dans une suite de tableaux
de genre, d'une facture soignée, mais peu originale. M. Nan-
teuil-Gaugiran voyagea en Algérie et en Espagne. On peut
citer parmi ses principaux ouvrages Tentes arabes aux
environs d'Oran la Porte d'un ca fé dans une rue
d'Alger (1830) Un Marché en Afrique (1840) Halte
de troupes en Espagne (1838) une Razzia (1844)
les Suites d'un rabbat; Battue en plaine (4866);
Affût au renard (1878) Retour du marché (1870).
NANTEY. Com. du dép. du Jura, arr. de Lons-le-Sau-
nier, cant. de Saint-Amour; 191 hab.
NANTHIAT. Com. du dép. de la Dordogne, arr. de
Nontron, cant. de Lanouaille 631 hab.
NANTHILDE (Nantechildis), reine de France, femme
de Dagobert 1er. L'an 629, Dagobert, roi des Francs,
abandonnant la reine Gomatrude, épousa une jeune fille
du service royal, nommée Nanthilde. Après la mort de
son époux, celle-ci gouverna la Neustrie et la Bourgogne
de concert avec le maire jEga pendant la minorité de
son fils Clovis II. Sigebert, que son père Dagobert avait
précédemment établi comme roi en Austrasie, réclama le
partage du trésor de Dagobert qui eut lieu à Compiègne
en présence de Cunibert, évêque de Cologne, et de Pépin,
maire du Palais d'Australie, délégués par Sigebert; le
tiers des acquêts de Dagobert fut attribué à Nanthilde, et
le reste partagé également entre Clovis et Sigebert. Après
la mort d'jEga, Erchinoald lui succéda comme maire en
le crédit énorme dont jouissaient alors les Coligny. Henri, 1 Colbert,
son fils, hérita du comté de Nnntpnil dmif 1(\ l'hûtpau Tk en re
le crédit énorme dont jouissaient alors les Coligny. Henri,
son fils, hérita du comte de Nanteuil, dont le château
continua à servir de rendez-vous aux conciliabules des
catholiques. Le roi, voulant mettre un terme à ces menées,
donna secrètement au duc de Guise l'ordre de vendre ou
d'échanger Nanteuil. Le Balafré obéit et remit le domaine,
en 4576, entre.les mains du roi qui le garda deux ans
et le donna ensuite au maréchal de Schomberg, après lequel
son fils et son petit-fils, aussi maréchaux de France, conti-
nuèrent à embellir Nanteuil, qui fut vendu en -1658 au
maréchal d'Estrées, de la maison duquel il passa, en 1746,
à celle de Bourbon-Condé qui le posséda jusqu'à 1789.
Ce château fut démoli à la Révolution il en reste cepen-
dant des pavillons et de belles terrasses dans un parc.
L'église actuelle est d'un style composite (façade et
nef du xmc siècle portail latéral des xv° etxvn siècles)
elle était fortifiée, et le portail est encore crénelé et flanque
de tourelles. II y avait autrefois à Nanteuil un prieuré de
l'ordre de Cluny qui avait remplacé une basilique fondée
par saint Valbert. La chapelle de Notre-Dame des Marais,
reconstruite en 4821, avait remplacé une ancienne léproserie
et était devenue un petit prieuré dépendant de Juilly, puis
réuni en -1726 à la cure de Chantilly. Enfin, il y avait
encore une petite chapelle de Saint-Julien, dépendant de
l'ancien hospice, et dont les restes sont aujourd'hui propriété
particulière. Vicomte DE C.ux DE Saint-Aymour.
NANTEUIL-lks-Meaux. Com. du dép. de Seine-et-
Marne, arr. et cant. de Meaux; 4.358 hah.
NANTEUIL-Nothe-Dame. Com. du dép. de l'Aisne, arr.
de Château-Thierry, cant. de la Fère-en-Tardenois 4 4 hab.
NANTEUIL-sor-Maene. Com. du dép. de Seine-et-
Marne, arr. de Meaux, cant. de la Ferté-sous-Jouarre
387 hab. Stat. du chem. de fer de l'Est.
NANTEUIL (Robert), graveur français, né à Reims
vers 4623, mort à Paris en 1678. Il était fils d'un mar-
chand qui lui fit donner une éducation distinguée. Pas-
sionné dès l'enfance pour les arts et particulièrement pour
la gravure, il s'inspira, dans ses premiers essais, de Cal-
lot et de Michel Lasne; mais ses professeurs, les jésuites,
n'encouragèrent point sa vocation naissante après avoir
terminé ses études chez les bénédictins, il reçut des leçons
de son compatriote, Nicolas Regnesson en collaboration
avec lui, il fit en 4 644 la gravure d'un Mariage spiri-
tuel de sainte Catherine; bientôt après, il épousait la
sœur de son maitre, puis il venait tenter la fortune à
Paris, muni des recommandations des bénédictins de Reims
pour divers religieux de la capitale il trouva d'abord à
exercer son talent dans le genre du portrait « à la plume
et à la pierre de mine » ainsi qu'au pastel. Mais, à partir
de 1648, il reprit son burin, grava divers portraits avec
le plus vif succès, et dès lors il se fixa définitivement à
Paris. C'est de cette période de son existence que datent
les plus belles œuvres de Robert Nanteuil. Devenu célèbre,
il reçut du roi la charge de graveur et dessinateur de son
cabinet (4658) avec une pension de mille livres. On attri-
bue à l'influence de l'artiste l'édit rendu par Louis XIV à
Saint-Jean-de-Luz, par lequel la gravure, distinguée dé-
sormais des arts mécaniques, était aflranchie des entraves
qui en gênaient le développement et mise au rang des
arts libéraux. D'un esprit très fin et d'un commerce agréable,
Nanteuil fut très recherché par les seigneurs de son temps;
leur fréquentation le conduisit malheureusement à dis-
siper dans les plaisirs la fortune qu'il avait acquise. Il eut
plusieurs collaborateurs, parmi lesquels son beau-frère
Regnesson, Nicolas Pitau, P. Simon et Corneille Vermeu-
len. Son œuvre est très considérable il ne comprend
pas moins de 243 pièces, dont 246 portraits, et se trouve
en un superbe exemplaire à notre Bibliothèque nationale.
Nanteuil reproduisit plusieurs fois les traits de Louis XIV
de la reine mère Anne d'Autriche, du ministre Colbert,
de Le Tellier et de Mazarin. Ses principaux chefs-d'œuvre
sont les portraits de Pomponne de Bellièvre, du maréchal
de Castelnau, de La motte Le Vayer, de Louis XIV, de
Colbert, indue d'Orléans, exécutés entre 4658 et4674,
1 Ils se recommandent par l'expression très vivante des
s physionomies, le naturel des poses, le caractère précis,
doux et calme de l'exécution. Gaston CouGNY.
BIBL. Robert Dumiïsnil, te Peinire-Gi'aveur français
le Magasin pittoresque, oct. 1859. Georges Duplessis,
Histoire de la gravure en France; Paris, 1861, in-8. Ch.
LE BLANC, Manuel de l'amateur d'estampes. Ch. Loiu-
quet, Robert Nanteuil, sa vie et son œuvre, 1885, in-4.
NANTEUIL (Célestin), peintre et lithographe français,
né à Rome en 4813 de parents français, mort à Mar-
lotte en 4873. Conduit à Paris par son père, il étudia
la peinture d'abord à l'Ecole des Beaux-Arts et dans
l'atelier de Langlois mais il ne tarda pas à abandonner
l'enseignement classique, et le « cénacle » romantique
devint sa véritable école. Il exécuta, de 1840 à 4856,
pour les œuvres de Victor Hugo, d'Alexandre Dumas, de
Théophile Gautier, de très nombreuses illustrations et
gravures qui convenaient à merveille aux personnages de
poème, de drame et de roman des éditions romantiques.
C'était une élégance, en ce temps-là, d'avoir une vignette,
un frontispice, une eau-forte de Célestin Nanteuil, et la
fantaisie inépuisable de l'artiste excellait à encadrer ses
héros favoris dans des ornements semblables à des châsses
gothiques avec triples colonnettes, ogives, niches à dais,
statuettes, figurines, saints et saintes sur fond d'or. Notre-
Dame de Paris fut naturellement l'objet de sa plus fer-
vente admiration, et il en tira le motif d'un grand nombre
de dessins d'un caractère étonnant. On lui doit également,
durant cette période, des lithographies dont il orna la
musique d'Hippolyte Monpeou. Enfin, il fournit de nom-
breuses eaux-fortes aux Evangiles de Bida.
Comme peintre, Célestin Nanteuil se montra moins ori-
ginal son premier tableau fut une Sainte Famille, expo-
sée en 1833. Président, en 4848, d'un comité chargé de
réorganiser les beaux-arts, il reparut au Salon de cette
année avec la Source, Dans les vignes, Un Rayon de
soleil. Puis il donna encore Une Tentation (1851)
la Vigne (4853) Phœbé Séduction, Perdition,
Ivresse (1859); le Printemps ramène les amours
(1863), etc. En 4867, Célestin Nanteuil succéda à Louis
Boulanger comme conservateur du musée et directeur de
l'Ecole des Beaux-Arts de Dijon. Gaston Cougny.
BIBL. Théophile Gautier, Histoire du romantisme
Paris, 1874, in-12.
NANTEUIL-Gaugiran (Charles), peintre français, né à
Paris en 1811. Il fut élève de Ingres et s'inspira cons-
tammentde la tradition classique dans une suite de tableaux
de genre, d'une facture soignée, mais peu originale. M. Nan-
teuil-Gaugiran voyagea en Algérie et en Espagne. On peut
citer parmi ses principaux ouvrages Tentes arabes aux
environs d'Oran la Porte d'un ca fé dans une rue
d'Alger (1830) Un Marché en Afrique (1840) Halte
de troupes en Espagne (1838) une Razzia (1844)
les Suites d'un rabbat; Battue en plaine (4866);
Affût au renard (1878) Retour du marché (1870).
NANTEY. Com. du dép. du Jura, arr. de Lons-le-Sau-
nier, cant. de Saint-Amour; 191 hab.
NANTHIAT. Com. du dép. de la Dordogne, arr. de
Nontron, cant. de Lanouaille 631 hab.
NANTHILDE (Nantechildis), reine de France, femme
de Dagobert 1er. L'an 629, Dagobert, roi des Francs,
abandonnant la reine Gomatrude, épousa une jeune fille
du service royal, nommée Nanthilde. Après la mort de
son époux, celle-ci gouverna la Neustrie et la Bourgogne
de concert avec le maire jEga pendant la minorité de
son fils Clovis II. Sigebert, que son père Dagobert avait
précédemment établi comme roi en Austrasie, réclama le
partage du trésor de Dagobert qui eut lieu à Compiègne
en présence de Cunibert, évêque de Cologne, et de Pépin,
maire du Palais d'Australie, délégués par Sigebert; le
tiers des acquêts de Dagobert fut attribué à Nanthilde, et
le reste partagé également entre Clovis et Sigebert. Après
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