Titre : La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. Tome 1 / par une société de savants et de gens de lettres ; sous la dir. de MM. Berthelot,... Hartwig Derenbourg,... F.-Camille Dreyfus,... A. Giry,... [et al.]
Éditeur : H. Lamirault (Paris)
Éditeur : [puis] Société anonyme de "La Grande encyclopédie" (Paris)
Date d'édition : 1885-1902
Contributeur : Dreyfus, Camille (1851-1905). Éditeur scientifique
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb377013071
Type : monographie imprimée monographie imprimée
Langue : français
Format : 31 vol. : ill. ; 31 cm 31 vol. : ill. ; 31 cm
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Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : France-Japon Collection numérique : France-Japon
Description : Collection numérique : Bibliothèque Rosalis... Collection numérique : Bibliothèque Rosalis (Toulouse)
Description : Collection numérique : Déodat de Séverac Collection numérique : Déodat de Séverac
Description : Contient une table des matières Contient une table des matières
Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Microformes et reprints
Identifiant : ark:/12148/bpt6k246360
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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ABRI ABRICOTIER
140
fensifs, c.-à-d. organisés de manière à permettre le
tir, tels que les tr.anchées-abris, les retranchements, les
coffres flanquants, les blockhaus, les réduits, les capon-
nières, etc. (V. ces mots); et les abris passifs, ou abris
proprement dits, comme les plis de terrain, les tranchées
sans banquette, les abris blindés et les casemates. Les
plis de terrain, et les tranchées sans banquette, comme les
Russes en installèrent à Plewna, sont les seuls abris pas-
sifs auxquels on puisse avoir recours sur un champ de
bataille ils ne peuvent d'ailleurs être utilisés que par les
réserves. Dans les positions organisées quelque temps à
l'avance, dans les lignes d'investissement, dans les sièges,
on peut se servir d'abris blindés que l'on installe soit
sous les parapets ou les traverses des ouvrages de fortifi-
cation passagère, soit dans les batteries, soit enfin dans
des terrains en talus, tournant le dos à la place. Pour ré-
sister aux projectiles de campagne, il convient de former
le ciel de ces abris de gros rondins jointifs, ou de rails de
chem. de fer, surmontés d'un rang de fascines recouverts
de lm,50 de terre; le tout doit être supporté par une char-
pente en bois de fort équarrissage. Quand on a à craindre les
canons de place, on forme le ciel de gros corps d'arbres,
ou de deux assises de rails, et on porte l'épaisseur de la
couche de terre à 3 mètres. Enfin, dans les ouvrages de
fortification permanente, on emploie à peu près exclusive-
ment comme abris des casemates en maçonnerie, com-
posée d'une voûte à laquelle on donne lm d'épaisseur,
et qu'on recouvre au minimum de 3m à 3m,50 de
terre Ces casemates sont le plus habituellement super-
posées sur plusieurs étages, et placées sous le parapet.
L'abri de tirailleur est une tranchée à profil triangu-
laire de lm,30 de largeur et de 0m,30 de profondeur au
revers; la hauteur de son parapet n'est que de 0m,25 et
son épaisseur de 0m,50. Cet abri couvre bien les hom-
mes couchés, et se transforme facilement en tranchée-
abri il suffit de 12 à 1S minutes à une demi-compa-
gnie pour l'exécuter sur une longueur de 100 mètres.
ABRI (Droit d') (V. Marchés).
ABRI-TENTE (V. TENTE-ABRI).
ABRIAL (André-Joseph, comte), magistrat et pair de
France, né à Annonay le 19 mars 17oO, mort à Paris
le 14 novembre 1828, fut d'abord avocat au Parlement
où il obtint quelque succès. A la révolution parlementaire
faite par le chancelier Maupeou, on le chargea de la ges-
tion d'un comptoir au Sénégal, d'où il revint bientôt repren-
dre à Paris l'exercice de sa première profession. Lorsque, en
1791, furent organisés les nouveaux tribunaux, il y entra
comme commissaire du roi au sixième arrondissement de
Paris et passa presque aussitôt au tribunal de cassation où
il succéda à Hérault de Séchelles. Doué de beaucoup de
tact et homme d'une grande prudence, il sut, par ce temps
de révolution, conserver son poste jusqu'en 1799 et l'on
prétend qu'à cette époque Duport du Tertre lui fit offrir le
ministère de la justice, qu'il refusa.
Ce fut lui qui en 1800 fut envoyé à Naples pour y or-
ganiser le gouvernement républicain il s'y lia intimement
avec le maréchal Macdonald et son administration y fut
sage, au point que le roi des Deux-Siciles conserva à sa
rentrée quelques-unes des améliorations apportées par
Abrial. Rentré de sa mission, il ne resta que peu de temps
au tribunal de cassation le 18 Brumaire vint et Bona-
parte lui dit en lui confiant le ministère de la justice, qu'il
accepta cette fois « Je ne vous connais pas, mais on
m'a dit que vous êtes le plus honnête homme de la
magistrature; ainsi vous devez en avoir la première
place. » Ministre, il travailla à dissiper le désordre et la
confusion qui régnaient dans l'administration de la justice
laquelle, en l'absence de codes, flottait incertaine entre
les anciennes lois et les nouvelles; avec un discernement
sûr, Abrial, par de savantes circulaires, dirigea les tribu-
naux vers l'unité de la jurisprudence. Plus tard il prit
une grande part à la discussion des codes et il faut aussi
rappeler son honneur qu'il s'employa utilement à faire
rayer des noms sur la liste des émigrés. En 1802 il quitta
le ministère, fut nommé sénateur, puis grand-officier de
la Légion d'honneur au Sénat il vota, trop docilement
peut-être, avec la majorité. En 1808, rendant hommage
à son talent d'administrateur, l'empereur l'envoya à Gênes,
à Milan, en Piémont pour y organiser la justice et intro-
duire le code Napoléon. Quand il revint, il fut nommé
comte et grand-croix de l'ordre de la Réunion, ce qui ne
l'empêcha pas de voter en 1815 pour le gouvernement
provisoire et la déchéance de Napoléon. Louis XV1H s'em-
pressa de le nommer pair de France et c'est pour ce motif
que l'empereur, à son retour de l'île d'Elbe, le laissa de
côté. Redevenu pair après les Cent jours, il fit partie à
la Chambre haute de plusieurs commissions importantes.
C'est lui notamment qui fut rapporteur de la loi sur
l'abolition du divorce, et son éloquence et son autorité
ne contribuèrent pas peu à la faire adopter. Un peu plus
tard, en 1819, il devint aveugle et il venait à peine de
se guérir lorsqu'il mourut.
Esprit froid, lucide et circonspect, si sa prudence alla
quelquefois jusqu'à la pusillanimité, Abrial sut éviter les
excès qui marquèrent ces temps troublés d'un talent un
peu grave, il fut surtout un savant jurisconsulte et un
grand administrateur.
Biel. Eloge d'Abrial prononcé par le comte Lemercier
à la Chambre des pairs, le2mars 1829. Locré, Lèqisla-
tion de la France, tome I.
AB RIANI (Paul), poète italien du xvn" siècle, né à Viceme
en 1607, mort à Venise en 1699. Il entra, fort jeune, dans
l'ordre des carmes, sous le nom de frère François; mais la
vocation lui manquait, et il déposa sa robe en 1654. Il a
traduit V Art poétique, d'Horace (Venise, 1663-64, in-12)
la Pharsale, de Lucain (Venise, 1668, in-12) et les Odes,
d'Horace (Venise, 1680, in-12). Auparavant il avait publié
ses propres poésies sous le titre de Canzoni (Venise,
1663-64, in-12). 11 est aussi l'auteur d'ouvrages en prose:
ses discours académiques qu'il intitula modestement Funghi
(champignons) (Venise, 1657, in-12), et un ouvrage de
critique sur le Tasse dont le titre est il Vaglio (le crible)
(Venise, 1687, in-4).
ABRIC (Charles), architecte, né à Montpellier en 1799,
mort dans cette ville en 1871. Elève remarqué des cours
publics de dessin de Montpellier, Abric fut envoyé aux
frais de cette ville à Paris pour étudier l'architecture dans
l'atelier de Debret (V. ce nom) où il eut pour condis-
ciples MM. Bailly, Duban, Alexandre du Bois, Constant-
Dufeux, Jules Bouchet et Albert Lenoir, et à l'Ecole royale
des beaux-arts où il obtint plusieurs médailles et une
mention au concours du Grand-Prix en 1828. Après un
voyage de deux années en Italie, Abric, revenu à Montpel-
lier, fut nommé, dès 1830, architecte de cette ville et,
en 1833, architecte du département de l'Hérault. Il con-
struisit dans cette région, depuis cette époque jusqu'en
1858, de nombreux édifices publics, tels que prisons
départementales dans le système cellulaire pensylvanien
temple de l'Eglise réformée de Ganges, édifice de style
roman, sur un plan heptagonal avec deux étages de ga-
leries au pourtour; Ecole normale d'institutrices; Hôtel
de succursale de la Banque de France, etc. Mais les
principales œuvres de Charles Abric sont, à Montpellier
la Maison centrale, édifice d'un caractère très imposant,
le Palais de Justice, vaste ensemble de services très bien
agencés, et le Conservatoire anatomique de la Faculté
de médecine, grande galerie heureusement inspirée du
style florentin. Charles LUCAS.
ABRICOT. Fruit de l'Abricotier (V. ce mot).
ABRICOTIER. I. Botanique. Arbre de la famille des
Rosacées, pour lequel Tournefort a établi un genre particu
lier sous lenom d'Armeniaca, mais qu'à l'exemple de Linné,
on s'accorde à considérer comme une simple section du grand
genre Prunier (V. ce mot). C'est dès lors sous la dénomina-
tion de Prunus armeniaca L. qu'il figure aujourd'hui dans
la plupart des ouvrages descriptifs. L'Abricotier peut at-
140
fensifs, c.-à-d. organisés de manière à permettre le
tir, tels que les tr.anchées-abris, les retranchements, les
coffres flanquants, les blockhaus, les réduits, les capon-
nières, etc. (V. ces mots); et les abris passifs, ou abris
proprement dits, comme les plis de terrain, les tranchées
sans banquette, les abris blindés et les casemates. Les
plis de terrain, et les tranchées sans banquette, comme les
Russes en installèrent à Plewna, sont les seuls abris pas-
sifs auxquels on puisse avoir recours sur un champ de
bataille ils ne peuvent d'ailleurs être utilisés que par les
réserves. Dans les positions organisées quelque temps à
l'avance, dans les lignes d'investissement, dans les sièges,
on peut se servir d'abris blindés que l'on installe soit
sous les parapets ou les traverses des ouvrages de fortifi-
cation passagère, soit dans les batteries, soit enfin dans
des terrains en talus, tournant le dos à la place. Pour ré-
sister aux projectiles de campagne, il convient de former
le ciel de ces abris de gros rondins jointifs, ou de rails de
chem. de fer, surmontés d'un rang de fascines recouverts
de lm,50 de terre; le tout doit être supporté par une char-
pente en bois de fort équarrissage. Quand on a à craindre les
canons de place, on forme le ciel de gros corps d'arbres,
ou de deux assises de rails, et on porte l'épaisseur de la
couche de terre à 3 mètres. Enfin, dans les ouvrages de
fortification permanente, on emploie à peu près exclusive-
ment comme abris des casemates en maçonnerie, com-
posée d'une voûte à laquelle on donne lm d'épaisseur,
et qu'on recouvre au minimum de 3m à 3m,50 de
terre Ces casemates sont le plus habituellement super-
posées sur plusieurs étages, et placées sous le parapet.
L'abri de tirailleur est une tranchée à profil triangu-
laire de lm,30 de largeur et de 0m,30 de profondeur au
revers; la hauteur de son parapet n'est que de 0m,25 et
son épaisseur de 0m,50. Cet abri couvre bien les hom-
mes couchés, et se transforme facilement en tranchée-
abri il suffit de 12 à 1S minutes à une demi-compa-
gnie pour l'exécuter sur une longueur de 100 mètres.
ABRI (Droit d') (V. Marchés).
ABRI-TENTE (V. TENTE-ABRI).
ABRIAL (André-Joseph, comte), magistrat et pair de
France, né à Annonay le 19 mars 17oO, mort à Paris
le 14 novembre 1828, fut d'abord avocat au Parlement
où il obtint quelque succès. A la révolution parlementaire
faite par le chancelier Maupeou, on le chargea de la ges-
tion d'un comptoir au Sénégal, d'où il revint bientôt repren-
dre à Paris l'exercice de sa première profession. Lorsque, en
1791, furent organisés les nouveaux tribunaux, il y entra
comme commissaire du roi au sixième arrondissement de
Paris et passa presque aussitôt au tribunal de cassation où
il succéda à Hérault de Séchelles. Doué de beaucoup de
tact et homme d'une grande prudence, il sut, par ce temps
de révolution, conserver son poste jusqu'en 1799 et l'on
prétend qu'à cette époque Duport du Tertre lui fit offrir le
ministère de la justice, qu'il refusa.
Ce fut lui qui en 1800 fut envoyé à Naples pour y or-
ganiser le gouvernement républicain il s'y lia intimement
avec le maréchal Macdonald et son administration y fut
sage, au point que le roi des Deux-Siciles conserva à sa
rentrée quelques-unes des améliorations apportées par
Abrial. Rentré de sa mission, il ne resta que peu de temps
au tribunal de cassation le 18 Brumaire vint et Bona-
parte lui dit en lui confiant le ministère de la justice, qu'il
accepta cette fois « Je ne vous connais pas, mais on
m'a dit que vous êtes le plus honnête homme de la
magistrature; ainsi vous devez en avoir la première
place. » Ministre, il travailla à dissiper le désordre et la
confusion qui régnaient dans l'administration de la justice
laquelle, en l'absence de codes, flottait incertaine entre
les anciennes lois et les nouvelles; avec un discernement
sûr, Abrial, par de savantes circulaires, dirigea les tribu-
naux vers l'unité de la jurisprudence. Plus tard il prit
une grande part à la discussion des codes et il faut aussi
rappeler son honneur qu'il s'employa utilement à faire
rayer des noms sur la liste des émigrés. En 1802 il quitta
le ministère, fut nommé sénateur, puis grand-officier de
la Légion d'honneur au Sénat il vota, trop docilement
peut-être, avec la majorité. En 1808, rendant hommage
à son talent d'administrateur, l'empereur l'envoya à Gênes,
à Milan, en Piémont pour y organiser la justice et intro-
duire le code Napoléon. Quand il revint, il fut nommé
comte et grand-croix de l'ordre de la Réunion, ce qui ne
l'empêcha pas de voter en 1815 pour le gouvernement
provisoire et la déchéance de Napoléon. Louis XV1H s'em-
pressa de le nommer pair de France et c'est pour ce motif
que l'empereur, à son retour de l'île d'Elbe, le laissa de
côté. Redevenu pair après les Cent jours, il fit partie à
la Chambre haute de plusieurs commissions importantes.
C'est lui notamment qui fut rapporteur de la loi sur
l'abolition du divorce, et son éloquence et son autorité
ne contribuèrent pas peu à la faire adopter. Un peu plus
tard, en 1819, il devint aveugle et il venait à peine de
se guérir lorsqu'il mourut.
Esprit froid, lucide et circonspect, si sa prudence alla
quelquefois jusqu'à la pusillanimité, Abrial sut éviter les
excès qui marquèrent ces temps troublés d'un talent un
peu grave, il fut surtout un savant jurisconsulte et un
grand administrateur.
Biel. Eloge d'Abrial prononcé par le comte Lemercier
à la Chambre des pairs, le2mars 1829. Locré, Lèqisla-
tion de la France, tome I.
AB RIANI (Paul), poète italien du xvn" siècle, né à Viceme
en 1607, mort à Venise en 1699. Il entra, fort jeune, dans
l'ordre des carmes, sous le nom de frère François; mais la
vocation lui manquait, et il déposa sa robe en 1654. Il a
traduit V Art poétique, d'Horace (Venise, 1663-64, in-12)
la Pharsale, de Lucain (Venise, 1668, in-12) et les Odes,
d'Horace (Venise, 1680, in-12). Auparavant il avait publié
ses propres poésies sous le titre de Canzoni (Venise,
1663-64, in-12). 11 est aussi l'auteur d'ouvrages en prose:
ses discours académiques qu'il intitula modestement Funghi
(champignons) (Venise, 1657, in-12), et un ouvrage de
critique sur le Tasse dont le titre est il Vaglio (le crible)
(Venise, 1687, in-4).
ABRIC (Charles), architecte, né à Montpellier en 1799,
mort dans cette ville en 1871. Elève remarqué des cours
publics de dessin de Montpellier, Abric fut envoyé aux
frais de cette ville à Paris pour étudier l'architecture dans
l'atelier de Debret (V. ce nom) où il eut pour condis-
ciples MM. Bailly, Duban, Alexandre du Bois, Constant-
Dufeux, Jules Bouchet et Albert Lenoir, et à l'Ecole royale
des beaux-arts où il obtint plusieurs médailles et une
mention au concours du Grand-Prix en 1828. Après un
voyage de deux années en Italie, Abric, revenu à Montpel-
lier, fut nommé, dès 1830, architecte de cette ville et,
en 1833, architecte du département de l'Hérault. Il con-
struisit dans cette région, depuis cette époque jusqu'en
1858, de nombreux édifices publics, tels que prisons
départementales dans le système cellulaire pensylvanien
temple de l'Eglise réformée de Ganges, édifice de style
roman, sur un plan heptagonal avec deux étages de ga-
leries au pourtour; Ecole normale d'institutrices; Hôtel
de succursale de la Banque de France, etc. Mais les
principales œuvres de Charles Abric sont, à Montpellier
la Maison centrale, édifice d'un caractère très imposant,
le Palais de Justice, vaste ensemble de services très bien
agencés, et le Conservatoire anatomique de la Faculté
de médecine, grande galerie heureusement inspirée du
style florentin. Charles LUCAS.
ABRICOT. Fruit de l'Abricotier (V. ce mot).
ABRICOTIER. I. Botanique. Arbre de la famille des
Rosacées, pour lequel Tournefort a établi un genre particu
lier sous lenom d'Armeniaca, mais qu'à l'exemple de Linné,
on s'accorde à considérer comme une simple section du grand
genre Prunier (V. ce mot). C'est dès lors sous la dénomina-
tion de Prunus armeniaca L. qu'il figure aujourd'hui dans
la plupart des ouvrages descriptifs. L'Abricotier peut at-
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