FONTANINI 812 — FONTENELLE
FONTANINI (Giusto), archéologue et publiciste
italien, né à Saint-Daniel, dans lé Frioul, en 1666,
mort à Rome en 1736. Il étudia sous les Jésuites,
qu'il attaqua plus tard tràs-violemment, et entra
dans le clergé séculier. Une défense de l'Aminta
du Tasse le fit connaître comme critique puis de
savants travaux de paléographie, entrepris sous la di-
rection de Fabretti, ecclésiastique, le recomman-
dèrent aux faveurs du saint siège. Mais sa violence
comme publiciste lui attira des disgrâces, et après
avoir été bibliothécaire du cardinal Imperiali, ca.
mérier apostolique, titulaire de plusieurs bénéfices,
et, en dernier lieu, évêque d'Ancyre in partibus, il
mourut à peu près dépouillé de toutes ses charges.
Sa réputation d'érudit est justifiée par de nom-
breux ouvrages en italien et en latin. Les deux
plus célèbres, purement littéraires, sont Oratio de
usu et prœstantia bonarum litterarum (Rome,1704,
in-4) et Ragionamento della eloquenza italiana
(Rome, 1706; 2' édition très-augmentée, 1736,
in-4). Apostolo Zeno fit à ce dernier ouvrage une
réponse célèbre et qui se réimprima à la suite
(1755, 2 vol. in-4). Les deux écrits de Fontanini
se réunissent sous le titre de Bibliotheca dell' elo-
quenza italiana et ont eu de nombreuses éditions,
dont la plus complète est celle de Parme (1803-
1810, 2 vol. in-.t). Citons encore parmi ses tra-
vaux Della masnade ed altri servi secondo l'uso
dei Loagobardi (Venise, 1698, in-4); Vindiciœ anti-
quorum diplomatum una libri II (Rome, 1705, in-4);
De antiquitatibus Hortœ, colonies Etruscorum
(1713, in-4); De Corona ferrea Longobardorum
(1717, in-4); et surtout le Cataloque de la Biblio-
thèque Imperiali (Rome, 1711, in-folio), les Ilis-
toriœ litterariœ Aquileiensis libri V, publiés par
son neveu après sa mort (Rome, 1742, in-4) et des
Discorsi academici, également posthumes (Venise,
1758, in-4). Il faut y joindre une série d'ouvrages
d'histoire ou de polémique ecclésiastiques, entre
autres l'édition des Décrets de Gratien (Rome,
172R, 2 vol. in-folio), et une Vita; arcana di Paolo
Sayi (Venise, 1803, in-8).
Cf. Domenico Fontanini Nemorie dtlla vila di monai-
gnor G. Fontanini (Venise, 1755, in-4) Fabroni Vite
Italorum doctrina excellenlium, t. XIII, p. 202.
FONTENAY-MAREUIL (François DU VAL, mar-
quis DE), maréchal des camps et armées du roi,
conseiller d'Etat, né en 1595, mort après 1647. Il
a été ambassadeur en Angleterre et deux fois à
Homme. On a de lui d'intéressants Mémoires
[1609-1647], retraçant la fin du règne de Henri IV
et le règne de Louis XIII jusqu'en 1624, et com-
plétés par diverses pièces et relations. Ils ont été
publiés d'après le manuscrit autographe de la Bi-
bliothèque nationale, par Petitot et Monmerqué
(t. XXII et XXIII, 2' série), et réimprimés dans la
Collection de Michaud-Poujoulat, t. XIX.
FONTENAY (Louis-Abel DE BONAFOUS, abbé DE),
littérateur français, né en 1737 près de Castres,
mort en 1806. Membre de la Société de Jésus, il
professa au collége de Tournon. Il a laissé plu-
sieurs compilations Antilogies et fragments phi-
losophiques (Paris, 1774, 4 vol. in-12) collection
d'extraits reproduite sous le titre d'Esprit des
livres défendus (1777) Dictionttaire des artistes
(Paris, 1777, 2 vol. in-8); Abrégé de la vie des
peintres (Paris, 1786, in-fol.); l'Ame des Bour-
bons, ou Tableau historique des princes (Paris,
1783-1790, 4 vol. in-12), etc.
Cf. Quérard la France littéraire.
FONTENELLE (Bernard LE BOVIER DE), écrivain
français, né le 11 février 1657 à Rouen, mort le
9 janvier 1757. Il était fils d'un avocat et neveu
des Corneille par sa mère. Il fit de brillantes études
chez les Jésuites de Rouen, où il laissa le renom
d'un « jeune homme parfait sous tous les rap-
ports n. Il entra ensuite au barreau, y plaida une
seule cause, la perdit, et vint auprès de Thomas
Corneille, à Paris, débuter dans la littérature.
Après des pièces de vers insérées dans le Mercure,
il donna la tragédie d'Aspar (1680), dont la chute
fut complète et dont le nom subsiste par l'épi-
gramme de Racine, sur l'origine des sifflets
Boyer apprit an parterre à bâiller.
Mais quand sifflets prirent commencement,
C'est (j'y jouais, j'en suis témoin fidèle),
C'est à l'Aspar du sieur de Fontenelle.
D'autres tentatives faites par Fontenelle au théâtre
ne furent guère plus heureuses. Les tragédies de
Bellérophon et de Brutus, la tragédie en prose
d'Idahe, la pastorale héroïque d'Endymion, furent
oubliées presque en naissant. Les opéras de Psy-
ché, de Lavinie, de Thélis et Pélée, eurent plus
de succès, mais servirent peu à la réputation de
l'auteur, Il tenta d'autres genres, publia des Dia-
logues des morts (1683), des Poésies pastorales
(1688), et trouva sa véritable voie dans la litté-
rature scientifique, qu'il aborda par des Entre-
tiens sur la pluralité des mondes (1686). Nommé
membre de l'Académie française en 1691, et se-
crétaire perpétuel de l'Académie des sciences en
1697, il fit aussi partie de l'Académie des ins-
criptions. Se trouvant par là mêlé à toutes les
questions du jour, il porta de tous côtés un
parti pris de tranquillité, d'égalité d'humeur, qui
lui donna le repos et lui épargna les discussions
violentes. La crainte égoïste de troubler sa quié-
tude d'esprit s'exprime par ce mot resté fameux
« Si j'avais la main pleine de vérités, je me gar-
derais de l'ouvrir. » II réussit à ne pas se faire
d'ennemis, et fut recherché dans les sociétés
où le talent et l'esprit tenaient le premier rang,
chez la duchesse du Maine, chez la marquise
de Lambert, chez Mme de Tencin et Mme Geof-
frin mais il ne connut pas l'amitié vraie, et put
s'appliquer ces mots d'une de ses églogues « Il
me manqua d'aimer. » Mme de Tencin, qui sut
bien l'apprécier, lui disait en montrant sa poi-
trine « Ce n'est pas un coeur que vous avez
là; c'est de la cervelle, comme dans la tète. »
ne faut pas oublier toutefois, à la louange
de son caractère, que dans l'Académie française
il vota seul contre l'exclusion de l'abbé de Saint-
Pierre. On raconte aussi que le duc d'Ortéans, de-
puis régent, lui ayant dit « Fontenelle, je ne crois
pas à la vertu, » il lui répondit « Il y a d'hon-
nêtes gens, monseigneur, mais ils ne viennent pas
vous trouver. »
Par sa longue vie, Fontenelle appartient en
même temps au xvii- siècle et au XVIIIe. Il forme
en quelque sorte le lien entre l'un et l'autre
Cependant, malgré sa prudence et sa circonspec-
tion, il montre déjà, vers la fin du premier, un
penchant au goût littéraire et aux préoccupations
philosophiques du second. Ses Dialogues des morts
affectent le paradoxe. Ses Poésies pastorales rem-
placent le naturel et le sentiment par l'ingé-
nieux et la finesse; on sait qu'il trouvait les ber-
gers de Théocrite « trop bergers et sentant trop
la campagne ». En philosophie, il resta cartésien,
mais avec cette restriction « Il faut admirer
toujours Descartes, et le suivre quelquefois. »
Dans la querelle des Anciens et des Modernes,
il fut, avec La Motte, pour les modernes. Suivant
lui, si les arbres qui étaient autrefois dans nos
campagnes n'étaient pas plus grands que ceux
d'aujourd'hui, il n'y a pas de raison pour qu'Ho-
mère, Platon, Démoahène, ne puissent être égalés.
Racine et Boileau s'irritèrent contre lui à cette oc-
casion. La Bruyère écrivit le fameux portrait de
Cydias, le Bel-Esprit, et Fontenelle n'entra à l'Aca-
démie française qu'en 1691, après avoir essuyé
quatre refus.
FONTANINI (Giusto), archéologue et publiciste
italien, né à Saint-Daniel, dans lé Frioul, en 1666,
mort à Rome en 1736. Il étudia sous les Jésuites,
qu'il attaqua plus tard tràs-violemment, et entra
dans le clergé séculier. Une défense de l'Aminta
du Tasse le fit connaître comme critique puis de
savants travaux de paléographie, entrepris sous la di-
rection de Fabretti, ecclésiastique, le recomman-
dèrent aux faveurs du saint siège. Mais sa violence
comme publiciste lui attira des disgrâces, et après
avoir été bibliothécaire du cardinal Imperiali, ca.
mérier apostolique, titulaire de plusieurs bénéfices,
et, en dernier lieu, évêque d'Ancyre in partibus, il
mourut à peu près dépouillé de toutes ses charges.
Sa réputation d'érudit est justifiée par de nom-
breux ouvrages en italien et en latin. Les deux
plus célèbres, purement littéraires, sont Oratio de
usu et prœstantia bonarum litterarum (Rome,1704,
in-4) et Ragionamento della eloquenza italiana
(Rome, 1706; 2' édition très-augmentée, 1736,
in-4). Apostolo Zeno fit à ce dernier ouvrage une
réponse célèbre et qui se réimprima à la suite
(1755, 2 vol. in-4). Les deux écrits de Fontanini
se réunissent sous le titre de Bibliotheca dell' elo-
quenza italiana et ont eu de nombreuses éditions,
dont la plus complète est celle de Parme (1803-
1810, 2 vol. in-.t). Citons encore parmi ses tra-
vaux Della masnade ed altri servi secondo l'uso
dei Loagobardi (Venise, 1698, in-4); Vindiciœ anti-
quorum diplomatum una libri II (Rome, 1705, in-4);
De antiquitatibus Hortœ, colonies Etruscorum
(1713, in-4); De Corona ferrea Longobardorum
(1717, in-4); et surtout le Cataloque de la Biblio-
thèque Imperiali (Rome, 1711, in-folio), les Ilis-
toriœ litterariœ Aquileiensis libri V, publiés par
son neveu après sa mort (Rome, 1742, in-4) et des
Discorsi academici, également posthumes (Venise,
1758, in-4). Il faut y joindre une série d'ouvrages
d'histoire ou de polémique ecclésiastiques, entre
autres l'édition des Décrets de Gratien (Rome,
172R, 2 vol. in-folio), et une Vita; arcana di Paolo
Sayi (Venise, 1803, in-8).
Cf. Domenico Fontanini Nemorie dtlla vila di monai-
gnor G. Fontanini (Venise, 1755, in-4) Fabroni Vite
Italorum doctrina excellenlium, t. XIII, p. 202.
FONTENAY-MAREUIL (François DU VAL, mar-
quis DE), maréchal des camps et armées du roi,
conseiller d'Etat, né en 1595, mort après 1647. Il
a été ambassadeur en Angleterre et deux fois à
Homme. On a de lui d'intéressants Mémoires
[1609-1647], retraçant la fin du règne de Henri IV
et le règne de Louis XIII jusqu'en 1624, et com-
plétés par diverses pièces et relations. Ils ont été
publiés d'après le manuscrit autographe de la Bi-
bliothèque nationale, par Petitot et Monmerqué
(t. XXII et XXIII, 2' série), et réimprimés dans la
Collection de Michaud-Poujoulat, t. XIX.
FONTENAY (Louis-Abel DE BONAFOUS, abbé DE),
littérateur français, né en 1737 près de Castres,
mort en 1806. Membre de la Société de Jésus, il
professa au collége de Tournon. Il a laissé plu-
sieurs compilations Antilogies et fragments phi-
losophiques (Paris, 1774, 4 vol. in-12) collection
d'extraits reproduite sous le titre d'Esprit des
livres défendus (1777) Dictionttaire des artistes
(Paris, 1777, 2 vol. in-8); Abrégé de la vie des
peintres (Paris, 1786, in-fol.); l'Ame des Bour-
bons, ou Tableau historique des princes (Paris,
1783-1790, 4 vol. in-12), etc.
Cf. Quérard la France littéraire.
FONTENELLE (Bernard LE BOVIER DE), écrivain
français, né le 11 février 1657 à Rouen, mort le
9 janvier 1757. Il était fils d'un avocat et neveu
des Corneille par sa mère. Il fit de brillantes études
chez les Jésuites de Rouen, où il laissa le renom
d'un « jeune homme parfait sous tous les rap-
ports n. Il entra ensuite au barreau, y plaida une
seule cause, la perdit, et vint auprès de Thomas
Corneille, à Paris, débuter dans la littérature.
Après des pièces de vers insérées dans le Mercure,
il donna la tragédie d'Aspar (1680), dont la chute
fut complète et dont le nom subsiste par l'épi-
gramme de Racine, sur l'origine des sifflets
Boyer apprit an parterre à bâiller.
Mais quand sifflets prirent commencement,
C'est (j'y jouais, j'en suis témoin fidèle),
C'est à l'Aspar du sieur de Fontenelle.
D'autres tentatives faites par Fontenelle au théâtre
ne furent guère plus heureuses. Les tragédies de
Bellérophon et de Brutus, la tragédie en prose
d'Idahe, la pastorale héroïque d'Endymion, furent
oubliées presque en naissant. Les opéras de Psy-
ché, de Lavinie, de Thélis et Pélée, eurent plus
de succès, mais servirent peu à la réputation de
l'auteur, Il tenta d'autres genres, publia des Dia-
logues des morts (1683), des Poésies pastorales
(1688), et trouva sa véritable voie dans la litté-
rature scientifique, qu'il aborda par des Entre-
tiens sur la pluralité des mondes (1686). Nommé
membre de l'Académie française en 1691, et se-
crétaire perpétuel de l'Académie des sciences en
1697, il fit aussi partie de l'Académie des ins-
criptions. Se trouvant par là mêlé à toutes les
questions du jour, il porta de tous côtés un
parti pris de tranquillité, d'égalité d'humeur, qui
lui donna le repos et lui épargna les discussions
violentes. La crainte égoïste de troubler sa quié-
tude d'esprit s'exprime par ce mot resté fameux
« Si j'avais la main pleine de vérités, je me gar-
derais de l'ouvrir. » II réussit à ne pas se faire
d'ennemis, et fut recherché dans les sociétés
où le talent et l'esprit tenaient le premier rang,
chez la duchesse du Maine, chez la marquise
de Lambert, chez Mme de Tencin et Mme Geof-
frin mais il ne connut pas l'amitié vraie, et put
s'appliquer ces mots d'une de ses églogues « Il
me manqua d'aimer. » Mme de Tencin, qui sut
bien l'apprécier, lui disait en montrant sa poi-
trine « Ce n'est pas un coeur que vous avez
là; c'est de la cervelle, comme dans la tète. »
ne faut pas oublier toutefois, à la louange
de son caractère, que dans l'Académie française
il vota seul contre l'exclusion de l'abbé de Saint-
Pierre. On raconte aussi que le duc d'Ortéans, de-
puis régent, lui ayant dit « Fontenelle, je ne crois
pas à la vertu, » il lui répondit « Il y a d'hon-
nêtes gens, monseigneur, mais ils ne viennent pas
vous trouver. »
Par sa longue vie, Fontenelle appartient en
même temps au xvii- siècle et au XVIIIe. Il forme
en quelque sorte le lien entre l'un et l'autre
Cependant, malgré sa prudence et sa circonspec-
tion, il montre déjà, vers la fin du premier, un
penchant au goût littéraire et aux préoccupations
philosophiques du second. Ses Dialogues des morts
affectent le paradoxe. Ses Poésies pastorales rem-
placent le naturel et le sentiment par l'ingé-
nieux et la finesse; on sait qu'il trouvait les ber-
gers de Théocrite « trop bergers et sentant trop
la campagne ». En philosophie, il resta cartésien,
mais avec cette restriction « Il faut admirer
toujours Descartes, et le suivre quelquefois. »
Dans la querelle des Anciens et des Modernes,
il fut, avec La Motte, pour les modernes. Suivant
lui, si les arbres qui étaient autrefois dans nos
campagnes n'étaient pas plus grands que ceux
d'aujourd'hui, il n'y a pas de raison pour qu'Ho-
mère, Platon, Démoahène, ne puissent être égalés.
Racine et Boileau s'irritèrent contre lui à cette oc-
casion. La Bruyère écrivit le fameux portrait de
Cydias, le Bel-Esprit, et Fontenelle n'entra à l'Aca-
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