DESESSARTS 615 DESFONTAINES-LA VALLÉE
rires, lorsque Dugazon, ayant tracé à la craie un
rond sur le ventre de son adversaire, dit que,
pour égaliser la partie, tous les coups portés en
dehors ne compteraient pas. Desessarts mourut
suffoqué en apprenant l'arrestation de ses cama-
rades du Théâtre-Français.
Cf. Mémoires de Dugazon.
DESESSARTS (Nicolas-Toussaint LEmoYNE, dit),
littérateur français, né en 1744 à Coutances, mort
le 5 octobre 1810. Il fut avocat, puis libraire à
Paris. On a de lui de nombreuses compilations,
faites à la hâte et superficielles. La seule qui soit
encore consultée a pour titre les Siècles litté-
raires de la France, ou Nouveau dictionnaire de
tous les écrivains (Paris, 1800-1803, 7 vol. jn-8).
Les autres sont Catsses célèbres (Paris, 1773-1789,
19G vol. in-12); Choix de nouvelles causes célèbres
(Paris, 1785-1787, 15 vol. in-12); Essai sur l'his-
toire générale des tribunaux anciens et modernes
(Paris, 1778-1784, 9 vol. in-8) Procès fameux
(Paris, 1786-1789, 10 vol. in-12); Dictionnaire uni-
versel de police (Paris, 1786-1790, 8 vol. in-4)
Nouveau dictionnaire bibliographique (Paris, 1798,
in-8); Nouvelle bibliotkèque d'un homme de goût
(Paris, 1797-1799, 4 vol. in-8), rééditée avec le
concours d'A. Barbier (Paris, 1808-1810,5 vol. in-8);
Galerie des orateurs grecs et latins (Paris, 1806,
in-8), etc. Desessarts a édité la Bibliothèque orien-
tale de D'Herbelot et diverses autres œuvres.
Cf. Qudrard la France littéraire.
nE stze (Raymond, comte) avocat français, né
à Bordeaux le 26 septembre 1748, mort à Paris le
2 mai 1828. Fils d'un avocat, il suivait avec dis-
tinction la même carrière dans sa ville natale,
lorsqu'il fut appelé à Paris par le comte Vergennes
et choisi comme conseil par la reine Alaric-An-
toinette. Diverses affaires qu'il plaida, entre autres
celle des filles d'Helvétius (1784), fixèrent sur lui
l'attention et lui donnèrent une des premières
places au barreau de Paris. Lors du procès de
Louis XVI, désigné par Malesherbes pour défen-
seur du roi, il accepta cette difficile tâche et la
remplit avec le courage dont témoignent ces pa-
roles célèbres « Citoyens, dit-il aux convention-
nels, je vous parlerai avec la franchise d'un homme
libre je cherche parmi vous des juges, et je n'y
vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer
sur le sort de Louis, et c'est vous-mêmes qui l'ac-
cusez Vous voulez prononcer sur le sort de Louis,
et vous avez déjà émis votre vœu! Louis sera donc
le seul Français pour lequel il n'existera aucune
loi ni aucune forme?. » Après une courte dé-
tention pendant la Terreur, De Sèze vécut dans la
retraite jusqu'à la Restauration. Il fut alors fait
comte, pair de France, élu à l'Académie française
en remplacement de Ducis et décoré de différents
ordres. Sa Défense du roi Louis XVI (Paris,
in-8; 2' édit., 1793; 3= édit., 1824) n'avait été
insérée qu'en abrégé dans le Moniteur.
Cf. Chateaubriand Eloge du comte De Sèze (Paris,
1831, in-18); Barante Discours de réception d l'Aca-
démie française (1828).
DESFAUCHERETS (Jean-Louis BROUSSE), auteur
dramatique français, né en 1742 à Paris, mort le
18 février 1808. D'une riche famille de robe, il
n'aborda le théâtre qu'à l'âge de quarante-deux
ans. Sous la Révolution, il fut membre du direc-
toire du département de la Seine, puis adminis-
trateur des hospices. Sous l'Empire, il devint cen-
seur au ministère de la police. Son meilleur ou-
vrage est le Alariage secret, comédie en trois actes
en vers, représentée en 1786 au Théâtre-Français,
à laquelle on croit que le comte de Provence col-
labora. Malgré la faiblesse du plan et des carac-
tères, elle eut beaucoup de succès et resta long-
temps au répertoire, grâce à la gaieté et à l'esprit
du dialogue. Des qualités et des défauts analogues
se retrouvent dans l'Avare cru bienfaisant, en
cinq actes en vers (1784); le Portrait, en un acte
envers (1786); les Dangers de la présomption, en
cinq actes en vers (1798); la Pièce en répétition,
en deux actes en prose, avec Roger (1801), etc.
Cf. Quérard la France littéraire.
DESFONTAINES (Pierre-François GUYOT, abbé),
littérateur français, né en 1685 à Rouen, mort le
16 décembre 1745. Elève des Jésuites, il entra dans
leur ordre et enseigna la rhétorique à Bourges,
puis se livra tout entier à la littérature. Chargé en
1724 d'écrire au Journal des Savants, il évita dans
ses articles la sécheresse et le pédantisme, et s'ef-
força d'unir la justesse des jugements à un style
facile. Il publia ensuite, avec divers collaborateurs,
Fréron, Destrée, Granet, etc., des ouvrages de cri-
tique, paraissant périodiquement le Nouvelliste
du Parnasse (1731-1734, 5 vol. in-12); Observa-
tions sur les écrits modernes (1735 et suiv.). Ces
recueils, faits avec précipitation et absolument dé-
pourvus d'élégance, se faisaient remarquer par la
partialité et le ton tranchant. Desfontaines atta-
qua les œuvres dramatiques de Voltaire, lorsque
sa position personnelle lui faisait une loi de mé-
nager cet écrivain. Celui-ci l'avait sauvé du dés-
honneur, en obtenant que le silence fùt fait sur
une accusation de honteuse immoralité, punie alors
par la peine de mort ou par celle des galères. Des-
fontaines, sorti de prison, avait témoigné sa re-
connaissance à son sauveur par une lettre qui
subsiste. Voltaire, blessé de ses critiques, lança
contre lui un cruel pamphlet, intitulé le Pré-
servatif, ou Critique des Observations sur les écrits
modernes (1738, in-12). Desfontaines répondit par
un libelle anonyme, intitulé la Voltairomanie (1738,
in-12), dans lequel étaient accumulées toutes les
anecdotes scandaleuses que la calomnie avait pu
inventer contre son adversaire. Voltaire intenta
une action criminelle, qui ne fut abandonnée
qu'après le désaveu écrit de Desfontaines, publié
dans la Gazette d'Amsterdam (4 avril 1739). La
guerre continua encore quelque temps, au détri-
ment de l'abbé, qui n'est plus guère connu aujour-
d'hui que par les traces de cette querelle dans la
vie et les œuvres de Voltaire.
Outre les écrits cités plus haut, et que l'on peut
consulter encore avec quelque profit, on a de
l'abbé Desfontaines Dictionnaire néologique (1726,
in-12, plusieurs fois réimpr.) une traduction de
Gulliver (1727, in-12); Racine vengé, ou Examen
des remarques de L'abbé d'Olivet sur les œuvres de
Racine (1739, in-12); la traduction en prose de
Virgile (1743,-4 vol. in-8 et in-12). L'abbé de La
Porte a publié, sous le titre d'Esprit de l'abbé Des-
fontaines (1757, 4 vol. in-12), des extraits de ses
ouvrages, avec un abrégé de sa vie.
Cf. Moréri Crand dictionnaire historique; Charles
Nisard les Ennemis de Vollaire (1853, in-8).
DESFONTAINES-LAVALLÉE (Guillaume-François
FOUQUES DES HAYES), auteur dramatique français,
né en 1733 à Caen, mort le 21 novembre 1825. Il
fut avant 1789 censeur royal, inspecteur de la
librairie et secrétaire de Monsieur. L'un des fon-
dateurs des Dîners du Vaudeville, il fit un grand
nombre de chansons, aujourd'hui oubliées, et
donna aux théâtres de second ordre des pièces
amusantes et spirituelles, soit seul, soit en colla-
boration avec Barré et Radet. Il fut aussi un des
auteurs de la Nouvelle bibliothèque des romans.
On cite principalement de lui la Dot, comédie
en trois actes mêlée d'ariettes (Paris, 1785, in-8);
le Distrait de village, vaudeville en un acte (Paris,
1790, in-8); le Diner imprévu (1792); Arlequin-
Afficheur (1792), comédie-parade, qui eut un im-
mense succès L Union villageoise, scène patrio-
rires, lorsque Dugazon, ayant tracé à la craie un
rond sur le ventre de son adversaire, dit que,
pour égaliser la partie, tous les coups portés en
dehors ne compteraient pas. Desessarts mourut
suffoqué en apprenant l'arrestation de ses cama-
rades du Théâtre-Français.
Cf. Mémoires de Dugazon.
DESESSARTS (Nicolas-Toussaint LEmoYNE, dit),
littérateur français, né en 1744 à Coutances, mort
le 5 octobre 1810. Il fut avocat, puis libraire à
Paris. On a de lui de nombreuses compilations,
faites à la hâte et superficielles. La seule qui soit
encore consultée a pour titre les Siècles litté-
raires de la France, ou Nouveau dictionnaire de
tous les écrivains (Paris, 1800-1803, 7 vol. jn-8).
Les autres sont Catsses célèbres (Paris, 1773-1789,
19G vol. in-12); Choix de nouvelles causes célèbres
(Paris, 1785-1787, 15 vol. in-12); Essai sur l'his-
toire générale des tribunaux anciens et modernes
(Paris, 1778-1784, 9 vol. in-8) Procès fameux
(Paris, 1786-1789, 10 vol. in-12); Dictionnaire uni-
versel de police (Paris, 1786-1790, 8 vol. in-4)
Nouveau dictionnaire bibliographique (Paris, 1798,
in-8); Nouvelle bibliotkèque d'un homme de goût
(Paris, 1797-1799, 4 vol. in-8), rééditée avec le
concours d'A. Barbier (Paris, 1808-1810,5 vol. in-8);
Galerie des orateurs grecs et latins (Paris, 1806,
in-8), etc. Desessarts a édité la Bibliothèque orien-
tale de D'Herbelot et diverses autres œuvres.
Cf. Qudrard la France littéraire.
nE stze (Raymond, comte) avocat français, né
à Bordeaux le 26 septembre 1748, mort à Paris le
2 mai 1828. Fils d'un avocat, il suivait avec dis-
tinction la même carrière dans sa ville natale,
lorsqu'il fut appelé à Paris par le comte Vergennes
et choisi comme conseil par la reine Alaric-An-
toinette. Diverses affaires qu'il plaida, entre autres
celle des filles d'Helvétius (1784), fixèrent sur lui
l'attention et lui donnèrent une des premières
places au barreau de Paris. Lors du procès de
Louis XVI, désigné par Malesherbes pour défen-
seur du roi, il accepta cette difficile tâche et la
remplit avec le courage dont témoignent ces pa-
roles célèbres « Citoyens, dit-il aux convention-
nels, je vous parlerai avec la franchise d'un homme
libre je cherche parmi vous des juges, et je n'y
vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer
sur le sort de Louis, et c'est vous-mêmes qui l'ac-
cusez Vous voulez prononcer sur le sort de Louis,
et vous avez déjà émis votre vœu! Louis sera donc
le seul Français pour lequel il n'existera aucune
loi ni aucune forme?. » Après une courte dé-
tention pendant la Terreur, De Sèze vécut dans la
retraite jusqu'à la Restauration. Il fut alors fait
comte, pair de France, élu à l'Académie française
en remplacement de Ducis et décoré de différents
ordres. Sa Défense du roi Louis XVI (Paris,
in-8; 2' édit., 1793; 3= édit., 1824) n'avait été
insérée qu'en abrégé dans le Moniteur.
Cf. Chateaubriand Eloge du comte De Sèze (Paris,
1831, in-18); Barante Discours de réception d l'Aca-
démie française (1828).
DESFAUCHERETS (Jean-Louis BROUSSE), auteur
dramatique français, né en 1742 à Paris, mort le
18 février 1808. D'une riche famille de robe, il
n'aborda le théâtre qu'à l'âge de quarante-deux
ans. Sous la Révolution, il fut membre du direc-
toire du département de la Seine, puis adminis-
trateur des hospices. Sous l'Empire, il devint cen-
seur au ministère de la police. Son meilleur ou-
vrage est le Alariage secret, comédie en trois actes
en vers, représentée en 1786 au Théâtre-Français,
à laquelle on croit que le comte de Provence col-
labora. Malgré la faiblesse du plan et des carac-
tères, elle eut beaucoup de succès et resta long-
temps au répertoire, grâce à la gaieté et à l'esprit
du dialogue. Des qualités et des défauts analogues
se retrouvent dans l'Avare cru bienfaisant, en
cinq actes en vers (1784); le Portrait, en un acte
envers (1786); les Dangers de la présomption, en
cinq actes en vers (1798); la Pièce en répétition,
en deux actes en prose, avec Roger (1801), etc.
Cf. Quérard la France littéraire.
DESFONTAINES (Pierre-François GUYOT, abbé),
littérateur français, né en 1685 à Rouen, mort le
16 décembre 1745. Elève des Jésuites, il entra dans
leur ordre et enseigna la rhétorique à Bourges,
puis se livra tout entier à la littérature. Chargé en
1724 d'écrire au Journal des Savants, il évita dans
ses articles la sécheresse et le pédantisme, et s'ef-
força d'unir la justesse des jugements à un style
facile. Il publia ensuite, avec divers collaborateurs,
Fréron, Destrée, Granet, etc., des ouvrages de cri-
tique, paraissant périodiquement le Nouvelliste
du Parnasse (1731-1734, 5 vol. in-12); Observa-
tions sur les écrits modernes (1735 et suiv.). Ces
recueils, faits avec précipitation et absolument dé-
pourvus d'élégance, se faisaient remarquer par la
partialité et le ton tranchant. Desfontaines atta-
qua les œuvres dramatiques de Voltaire, lorsque
sa position personnelle lui faisait une loi de mé-
nager cet écrivain. Celui-ci l'avait sauvé du dés-
honneur, en obtenant que le silence fùt fait sur
une accusation de honteuse immoralité, punie alors
par la peine de mort ou par celle des galères. Des-
fontaines, sorti de prison, avait témoigné sa re-
connaissance à son sauveur par une lettre qui
subsiste. Voltaire, blessé de ses critiques, lança
contre lui un cruel pamphlet, intitulé le Pré-
servatif, ou Critique des Observations sur les écrits
modernes (1738, in-12). Desfontaines répondit par
un libelle anonyme, intitulé la Voltairomanie (1738,
in-12), dans lequel étaient accumulées toutes les
anecdotes scandaleuses que la calomnie avait pu
inventer contre son adversaire. Voltaire intenta
une action criminelle, qui ne fut abandonnée
qu'après le désaveu écrit de Desfontaines, publié
dans la Gazette d'Amsterdam (4 avril 1739). La
guerre continua encore quelque temps, au détri-
ment de l'abbé, qui n'est plus guère connu aujour-
d'hui que par les traces de cette querelle dans la
vie et les œuvres de Voltaire.
Outre les écrits cités plus haut, et que l'on peut
consulter encore avec quelque profit, on a de
l'abbé Desfontaines Dictionnaire néologique (1726,
in-12, plusieurs fois réimpr.) une traduction de
Gulliver (1727, in-12); Racine vengé, ou Examen
des remarques de L'abbé d'Olivet sur les œuvres de
Racine (1739, in-12); la traduction en prose de
Virgile (1743,-4 vol. in-8 et in-12). L'abbé de La
Porte a publié, sous le titre d'Esprit de l'abbé Des-
fontaines (1757, 4 vol. in-12), des extraits de ses
ouvrages, avec un abrégé de sa vie.
Cf. Moréri Crand dictionnaire historique; Charles
Nisard les Ennemis de Vollaire (1853, in-8).
DESFONTAINES-LAVALLÉE (Guillaume-François
FOUQUES DES HAYES), auteur dramatique français,
né en 1733 à Caen, mort le 21 novembre 1825. Il
fut avant 1789 censeur royal, inspecteur de la
librairie et secrétaire de Monsieur. L'un des fon-
dateurs des Dîners du Vaudeville, il fit un grand
nombre de chansons, aujourd'hui oubliées, et
donna aux théâtres de second ordre des pièces
amusantes et spirituelles, soit seul, soit en colla-
boration avec Barré et Radet. Il fut aussi un des
auteurs de la Nouvelle bibliothèque des romans.
On cite principalement de lui la Dot, comédie
en trois actes mêlée d'ariettes (Paris, 1785, in-8);
le Distrait de village, vaudeville en un acte (Paris,
1790, in-8); le Diner imprévu (1792); Arlequin-
Afficheur (1792), comédie-parade, qui eut un im-
mense succès L Union villageoise, scène patrio-
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