AIGUILLON 41 AIMOIN
et Doris (1729, in-8, et t. XII du Théâtre-Français), pi
puis le l'rince de Noisy(1730), contédie. Il a tlonné,
au Théàtre-ltalien, Colinette (1729), parodie de sa
Tragédie de Polyxène. st
AIGUILLON (Armand-Louis DE WIGNEROD ,DU
PLESSIS, duc D'), né en 1683, mort le 31 janvier ri
1750. Il eut d'abord le titre de marquis de Riche- d,
Jieu, et devint duc et pair en 1731 son fils fut ci
ministre sous Louis XV. Il imprima, dans sa terre il
de Verret, près de Tours, et tira à sept exemplaires si
le Recueil de pièces choisies rassemblées par les e
soins du cosmopolite (Ancône, 1735, in-4.), choix de L
pièces licencieuses et impies. Il eut part, avec l'abbé v
Grécourt, le père Vinot et la princesse de Conti, au ti
livre obscène, intitulé Suite de la nouvelle Cyro-
ltédie (Amsterdam [Rouen], 1728, in-8). y
AIKIN (John), médecin et littérateur anglais, e
né le 15 janvier 1747, mort le 7 décembre 1822. d
Il pratiqua la médecine avec distinction à Yar- d
mouth et se lit en outre un nom littéraire par la a
composition de nombreux essais de biographie, 1,
d'histoire, de critique et même de poésies. Nous p
citerons les Soirées au logis (1793-1795, 6 vol.; c
14e édit., 1827, 4 vol.), plusieurs fois traduites en
français (traduction nouvelle, Genève, 1853, 2 vol.
in-8) Lettres d'un père à son fils sur la littérature s
et la société (1793-1799, 2 vol.); une Biographie
générale (1799-1815, 10 vol. in-4.). Il eut pour col- (
laboratrice sa sœur miss Anna Aikin, depuis mis-
tress liarbauld (voy. ce nom).
Cf. Miss Lucy Aikin Memoirs of J. Aikin, with a selec-
lion of his miscellaneous pieces, etc. (Londres, 1824,
2 vol. in-8).
AILLAUD (Pierre-Toussaint), poëte français,
né en 1759 à Montpellier, mort en 1826. Il cm-
brassa l'état ecclésiastique, fut professeur de rhéto-
rique, puis bibliothécaire Montauban. On a de
lui six longs poëmes sans valcur l'Egyptiade en
12 chants (Toulouse, 1812, 1813, in-8); Apothéose
fie Tltérésine, en 5 chants (lloutauban, 1802, in-8)
le Nouveau Lutrin ou les Banquettes, en 8 chants
(ibid., 1803, in-8); le Triomphe de la révélation,
en 4 chants (ibid 1815, in-8); les Argonautes de
l'humanité, en 2 chants (ibid.1817, in-8); Fastes
poétiques de la RévoLution française (ibid., 1821,
in-8). Il entreprit aussi de refaire la Henriade
« en évitant les défauts du poëme de Voltaire »
mais il n'en publia qu'un chant (ibid, 1826, in-8).
Cf. Quérard la France littéraire.
AILLY (Pierre D'), Petrus de Alliaco, théolo-
gien et philosophe français, né en 1350 à Com-
piègne, mort en 1420 ou 1425. Élève du collége de
Navarre à Paris, il en devint grand-maître, se mit
au premier rang des hommes de son siècle par son
éloquence et son enseignement, et eut pour dis-
ciples Jean Cerson et Nicolas de Clémengis. Chan-
celier de l'Université de Paris en 1389, il fut nommé
confesseur du roi, puis évoque de Cambrai en 1398.
Après le concile de l'ise, dont il guida les délibé-
rations, il devint cardinal; son influence ne fut
pas moins grande au concile de Constance il y
soutint la supériorité des conciles sur les papes et
la nécessité d'une réforme dans l'Église. Ses pen-
sées à ce sujet sont exposées dans l'ouvrage inti-
tulé: Libellus de emendatione Ecclesiœ (Paris, 163
in-8). Ses doctrines théologiques et philosophiques
se trouvent spécialement dans deux écrits un
Commetttaire sur le Livre des sentences, de Pierre
Lombard, et un traité De anima, ouvrages d'un no-
minalisme mitigé. Dans son Traite sur l'âme, il
rapporte les facultés aux cinq divisions que les
anatomistes reconnaissaient alors dans le cerveau.
Pierre d'Ailly avait une grande puissance de dia-
lectique qui le fit surnommer « l'Aigle de France et
le Marteau des hérétiques ». Les ouvrages cités,
ainsi que d'autres Traités et des Sermons, ont été
publiés soit séparément, soit dans les œuvres de
;erson et la collection des conciles d'Hardouin.
Cf. Histoire littéraire de la France; Dinaux Notice
sur P. d'Ailly (Cambrai, 1824, in-8).
AIMARA ou AYMARA, langue de l'Amérique mé-
ridionale de la région sud du Pérou, du nord-ouest
de la République argentine et de la Bolivie, spé-
cialement parlée dans le pays de la Paz, par les
indigènes Aimaras ou Aymares. Elle comprend plu-
sieurs dialectes dont ceux des peuplades pacasas
et lupacas sont les plus purs et les mieux connus.
L'aimara participe du quichua (voy. ce mot) pour le
vingtième de son vocabulaire. Les règles gramma-
ticales des deux langues ont aussi beaucoup d'ana-
logies le verbe être y est régulier, les prépositions
y précèdent toujours leurs régimes, etc. Dans l'une
et l'autre langue, les verbes sont très-nombreux;
dans l'aimara surtout, où il n'y a pas moins de
douze verbes pour rendre l'action de porter. Les
articulations b, d, f, g manquent dans tous les dia-
lectes aimaras. Elle a donné lieu, surtout de la
part des jésuites, à de nombreux travaux de lexi-
cologie et de grammaire dont 51. Il. Ludevig donne
l'énumération.
Cf. H.-E. Ludevig the Literature of american abori-
ginai lanpuapes (Londres, 1858, in-8).
AIMER APRÈS LA MORT, drame de Calderon
(voy. ce nom).
AIMER SANS SAVOIR QUI, comédie de Lope de
Vega, imitée par P. Corneille (voy. ce nom).
AIMERI DE NARBONNE, troisième branche de
la geste de Guillaume au court nez (voy. ces mots).
AIMERIC, nom de troubadours des XIIe et
XIIIe siècles. Deux d'entre eux, AIMERIC DE PFGUI-
LAIN et AIMERIC DE SARLAT, ont laissé quelques poé-
sies qui ont été insérées dans plusieurs recueils.
Cf. Ilochegude le Parnasse occitanien (Toulouse, 18i9,
in-8) Raynouard Choi.x des poésies des troubadours,
tome V —Fauriel Hist. de la poésie provençale,
AIMERICH (le père Mathieu), jésuite espa-
gnol, né au Bordil en 1715, mort à Ferrarc en
1799. On lui doit, outre des écrits théologiques,
d'intéressantes recherches de philologie et d'his-
toire littéraire, des dissertations sur les Para
doxes philologiques de Censorinus (Ferrare, 1780,
in-8) Specimen veteris romanœ littératurœ dtper
ditœ, vel latentis (ibid., 1781, in-4); Novum lexi-
conhistoricum et criticum antiquœ romanœ litte-
raturœ diperditœ, etc. (Bassano, 1787, in-8).
AIMES DE VARENNES OU DE VARENTINES,
ou DE CHATILLON, trouvère du XIIe siècle, au-
teur de Florimont roman des ancêtres d'Alexan-
dre le Grand, écrit en 1128. Aimes déclare avoir
trouvé cette histoire à Philippopolis. Il y a dans
cette composition moins de combats que dans les
autres romans du cycle de l'antiquité, mais un
plus grand nombre d'aventures amoureuses. La
Bibliothèque nationale possède trois Florimont ma-
nuscrits, dont un intitulé le roi Philippe de Ma-
cédoine.
Cf. Histoire littéraire de la France, t. XV; Paulin
Paris les Manuscrits français de la bibliothèque du Roi,
t. Ili.
AIMOIN chroniqueur français, né vers 950
à Villefranche (Périgord), mort en 1008. Élève
d'Albon, abbé de Fleury, il devint abbé du même
monastère. On a de lui une Histoire de France,
depuis l'origine de la nation jusqu'en 654, conti-
nuée jusqu'en 11G5 par un religieux de Saint-Ger-
main-des-Prés. C'est une compilation, mal ordon-
née, de fables et de légendes; mais le style en est
pur et élégant pour l'époque. Publiée d'abord sous
le titre d'Historta Francorum (Paris, 1514, in-folio
et 1567, in-8), elle se trouve aussi dans les recueils
de Duchesne et de Bouquet.
Cf. Histoire Littéraire de la France.
et Doris (1729, in-8, et t. XII du Théâtre-Français), pi
puis le l'rince de Noisy(1730), contédie. Il a tlonné,
au Théàtre-ltalien, Colinette (1729), parodie de sa
Tragédie de Polyxène. st
AIGUILLON (Armand-Louis DE WIGNEROD ,DU
PLESSIS, duc D'), né en 1683, mort le 31 janvier ri
1750. Il eut d'abord le titre de marquis de Riche- d,
Jieu, et devint duc et pair en 1731 son fils fut ci
ministre sous Louis XV. Il imprima, dans sa terre il
de Verret, près de Tours, et tira à sept exemplaires si
le Recueil de pièces choisies rassemblées par les e
soins du cosmopolite (Ancône, 1735, in-4.), choix de L
pièces licencieuses et impies. Il eut part, avec l'abbé v
Grécourt, le père Vinot et la princesse de Conti, au ti
livre obscène, intitulé Suite de la nouvelle Cyro-
ltédie (Amsterdam [Rouen], 1728, in-8). y
AIKIN (John), médecin et littérateur anglais, e
né le 15 janvier 1747, mort le 7 décembre 1822. d
Il pratiqua la médecine avec distinction à Yar- d
mouth et se lit en outre un nom littéraire par la a
composition de nombreux essais de biographie, 1,
d'histoire, de critique et même de poésies. Nous p
citerons les Soirées au logis (1793-1795, 6 vol.; c
14e édit., 1827, 4 vol.), plusieurs fois traduites en
français (traduction nouvelle, Genève, 1853, 2 vol.
in-8) Lettres d'un père à son fils sur la littérature s
et la société (1793-1799, 2 vol.); une Biographie
générale (1799-1815, 10 vol. in-4.). Il eut pour col- (
laboratrice sa sœur miss Anna Aikin, depuis mis-
tress liarbauld (voy. ce nom).
Cf. Miss Lucy Aikin Memoirs of J. Aikin, with a selec-
lion of his miscellaneous pieces, etc. (Londres, 1824,
2 vol. in-8).
AILLAUD (Pierre-Toussaint), poëte français,
né en 1759 à Montpellier, mort en 1826. Il cm-
brassa l'état ecclésiastique, fut professeur de rhéto-
rique, puis bibliothécaire Montauban. On a de
lui six longs poëmes sans valcur l'Egyptiade en
12 chants (Toulouse, 1812, 1813, in-8); Apothéose
fie Tltérésine, en 5 chants (lloutauban, 1802, in-8)
le Nouveau Lutrin ou les Banquettes, en 8 chants
(ibid., 1803, in-8); le Triomphe de la révélation,
en 4 chants (ibid 1815, in-8); les Argonautes de
l'humanité, en 2 chants (ibid.1817, in-8); Fastes
poétiques de la RévoLution française (ibid., 1821,
in-8). Il entreprit aussi de refaire la Henriade
« en évitant les défauts du poëme de Voltaire »
mais il n'en publia qu'un chant (ibid, 1826, in-8).
Cf. Quérard la France littéraire.
AILLY (Pierre D'), Petrus de Alliaco, théolo-
gien et philosophe français, né en 1350 à Com-
piègne, mort en 1420 ou 1425. Élève du collége de
Navarre à Paris, il en devint grand-maître, se mit
au premier rang des hommes de son siècle par son
éloquence et son enseignement, et eut pour dis-
ciples Jean Cerson et Nicolas de Clémengis. Chan-
celier de l'Université de Paris en 1389, il fut nommé
confesseur du roi, puis évoque de Cambrai en 1398.
Après le concile de l'ise, dont il guida les délibé-
rations, il devint cardinal; son influence ne fut
pas moins grande au concile de Constance il y
soutint la supériorité des conciles sur les papes et
la nécessité d'une réforme dans l'Église. Ses pen-
sées à ce sujet sont exposées dans l'ouvrage inti-
tulé: Libellus de emendatione Ecclesiœ (Paris, 163
in-8). Ses doctrines théologiques et philosophiques
se trouvent spécialement dans deux écrits un
Commetttaire sur le Livre des sentences, de Pierre
Lombard, et un traité De anima, ouvrages d'un no-
minalisme mitigé. Dans son Traite sur l'âme, il
rapporte les facultés aux cinq divisions que les
anatomistes reconnaissaient alors dans le cerveau.
Pierre d'Ailly avait une grande puissance de dia-
lectique qui le fit surnommer « l'Aigle de France et
le Marteau des hérétiques ». Les ouvrages cités,
ainsi que d'autres Traités et des Sermons, ont été
publiés soit séparément, soit dans les œuvres de
;erson et la collection des conciles d'Hardouin.
Cf. Histoire littéraire de la France; Dinaux Notice
sur P. d'Ailly (Cambrai, 1824, in-8).
AIMARA ou AYMARA, langue de l'Amérique mé-
ridionale de la région sud du Pérou, du nord-ouest
de la République argentine et de la Bolivie, spé-
cialement parlée dans le pays de la Paz, par les
indigènes Aimaras ou Aymares. Elle comprend plu-
sieurs dialectes dont ceux des peuplades pacasas
et lupacas sont les plus purs et les mieux connus.
L'aimara participe du quichua (voy. ce mot) pour le
vingtième de son vocabulaire. Les règles gramma-
ticales des deux langues ont aussi beaucoup d'ana-
logies le verbe être y est régulier, les prépositions
y précèdent toujours leurs régimes, etc. Dans l'une
et l'autre langue, les verbes sont très-nombreux;
dans l'aimara surtout, où il n'y a pas moins de
douze verbes pour rendre l'action de porter. Les
articulations b, d, f, g manquent dans tous les dia-
lectes aimaras. Elle a donné lieu, surtout de la
part des jésuites, à de nombreux travaux de lexi-
cologie et de grammaire dont 51. Il. Ludevig donne
l'énumération.
Cf. H.-E. Ludevig the Literature of american abori-
ginai lanpuapes (Londres, 1858, in-8).
AIMER APRÈS LA MORT, drame de Calderon
(voy. ce nom).
AIMER SANS SAVOIR QUI, comédie de Lope de
Vega, imitée par P. Corneille (voy. ce nom).
AIMERI DE NARBONNE, troisième branche de
la geste de Guillaume au court nez (voy. ces mots).
AIMERIC, nom de troubadours des XIIe et
XIIIe siècles. Deux d'entre eux, AIMERIC DE PFGUI-
LAIN et AIMERIC DE SARLAT, ont laissé quelques poé-
sies qui ont été insérées dans plusieurs recueils.
Cf. Ilochegude le Parnasse occitanien (Toulouse, 18i9,
in-8) Raynouard Choi.x des poésies des troubadours,
tome V —Fauriel Hist. de la poésie provençale,
AIMERICH (le père Mathieu), jésuite espa-
gnol, né au Bordil en 1715, mort à Ferrarc en
1799. On lui doit, outre des écrits théologiques,
d'intéressantes recherches de philologie et d'his-
toire littéraire, des dissertations sur les Para
doxes philologiques de Censorinus (Ferrare, 1780,
in-8) Specimen veteris romanœ littératurœ dtper
ditœ, vel latentis (ibid., 1781, in-4); Novum lexi-
conhistoricum et criticum antiquœ romanœ litte-
raturœ diperditœ, etc. (Bassano, 1787, in-8).
AIMES DE VARENNES OU DE VARENTINES,
ou DE CHATILLON, trouvère du XIIe siècle, au-
teur de Florimont roman des ancêtres d'Alexan-
dre le Grand, écrit en 1128. Aimes déclare avoir
trouvé cette histoire à Philippopolis. Il y a dans
cette composition moins de combats que dans les
autres romans du cycle de l'antiquité, mais un
plus grand nombre d'aventures amoureuses. La
Bibliothèque nationale possède trois Florimont ma-
nuscrits, dont un intitulé le roi Philippe de Ma-
cédoine.
Cf. Histoire littéraire de la France, t. XV; Paulin
Paris les Manuscrits français de la bibliothèque du Roi,
t. Ili.
AIMOIN chroniqueur français, né vers 950
à Villefranche (Périgord), mort en 1008. Élève
d'Albon, abbé de Fleury, il devint abbé du même
monastère. On a de lui une Histoire de France,
depuis l'origine de la nation jusqu'en 654, conti-
nuée jusqu'en 11G5 par un religieux de Saint-Ger-
main-des-Prés. C'est une compilation, mal ordon-
née, de fables et de légendes; mais le style en est
pur et élégant pour l'époque. Publiée d'abord sous
le titre d'Historta Francorum (Paris, 1514, in-folio
et 1567, in-8), elle se trouve aussi dans les recueils
de Duchesne et de Bouquet.
Cf. Histoire Littéraire de la France.
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