Titre : Encyclopédie théologique ; 13-14. Dictionnaire universel et complet des conciles tant généraux que particuliers, des principaux synodes diocésains et des autres assemblées ecclésiastiques les plus remarquables.... T. 2 / réd. par M. l'abbé P****** [A.-C. Peltier] ; publ. par l'abbé Migne,...
Auteur : Peltier, Adolphe-Charles. Auteur du texte
Éditeur : Migne (Petit-Montrouge)
Date d'édition : 1846-1847
Contributeur : Migne, Jacques-Paul (1800-1875). Éditeur scientifique
Sujet : Conciles et synodes
Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39116805c
Relation : Titre d'ensemble : Encyclopédie théologique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31077048n
Type : monographie imprimée monographie imprimée
Langue : français
Format : 2 vol. (1332, 1424 col.) ; gr. in-8 2 vol. (1332, 1424 col.) ; gr. in-8
Description : Dictionnaires Dictionnaires
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k209863j
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
- Aller à la page de la table des matières1341
- 200 (Vers l'an). ASIE. I,
- 215 (Vers l'an). AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 217. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 223 ou 231. ALEXANDRIE. I,
- 235 (Vers l'an). ALEXANDRIE ou EGYPTE. I,
- 235 ou 236, ou 255 selon Mansi-ICONE. I,
- .......... Page(s) .......... 919
- .......... Page(s) .......... 555
- 240. AFRIQUE ou LAMBESE. Concile tenu par 90 évêques, contre l'hérétique Privat, et confirmé par le pape S. Fabien. Cypr. ep. 55 au Cornel. On ignore quelles étaient en particulier les erreurs de Privat. On croit qu'il demeura opiniâtre, et qu'il se jeta dans le parti de Félicissime et des autres schismatiques. Hist. des aut. sacr. t. III. Voy. AFRIQUE, l'an 252, t. I, col. 19.
- 242 ou 243. ARABIE ou BOSTRA I,
- 245. ASIE ou EPHESE. I, Au lieu de Noël (p. 851), lisez Noët.
- 246 ou 249. ARABIE. I,
- 249. AFRIQUE. I,
- 250. ACHAIE, I,
- .......... Page(s) .......... 555
- 251. AFRIQUE. I,
- 251 ou 255. ITALIE. I,
- 252. AFRIQUE. I,
- 252. ROME II,
- 253. ANTIOCHE. I,
- 253. CARTHAGE. I,
- 253 ou 254. CARTHAGE. I,
- 255. CARTHAGE. I,
- 255 (Vers l'an). ARSINOE. I,
- 256 (Vers l'an). CARTHAGE. I,
- 256. CARTHAGE. I,
- 256. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 33
- 258. ALEXANDRIE. I,
- 258. ROME. II,
- 260 ou 263. ROME. II,
- 262. AFRIQUE. I,
- 263. ALEXANDRIE. I,
- 264. ANTIOCHE. I,
- 268. ROME. II,
- 270. ANTIOCHE. I,
- 273. ANC
RE en Galatie. I,
- 275. MESOPOTAMIE ou ORIENT. I, , et II,
- 277. ANCYRE en Célésyrie. I,
- .......... Page(s) .......... 169
- 300 ou 301 ou 306. ALEXANDRIE. I,
- 300 (Vers l'an), ou 309 selon Mansi. ELNE ou ELVIRE. I,
- 303. SINUESSE. II,
- 304. AFRIQUE ou ALUTA. I,
- 305. CIRTHE ou ZERTE. I,
- 311 ou 312. CARTHAGE. I,
- 311 ou 312. CARTHAGE. I,
- 313. LATRAN ou ROME. II,
- 314. ANCYRE en Galatie. I,
- 314. ARIES I,
- 314. SE
EUCIE en Perse. II,
- .......... Page(s) .......... 53
- 315. ROME. I,
- 315 ou 320. ALEXANDRIE. I,
- .......... Page(s) .......... 219
- 323. BITHYNIE. I,
- 324. ALEXANDRIE. I,
- .......... Page(s) .......... 561
- .......... Page(s) .......... 63
- .......... Page(s) .......... 561
- 325 ou 326. NICEE en Bithynie. II,
- 326. ALEXANDRIE. I,
- 327 ou 331. ANTIOCHE ou NICOMEDIE. I,
- 330. ALEXANDRIE. Concile tenu contre Ischyras, arien. Lengl. du Fr. d'apr. Hard. seul.
- 332. ANTIOCHE. I,
- 333. CARTHAGE. Concile tenu au sujet des libellatiques. Lengl. du Fr. d'apr. Hard. seul.
- 333 ou 334. CESAREE de Palestine. I,
- 335. JERUSALEM, I,
- 335. MAREOTE, en Egypte, Conciliabule assemblé contre saint Athanase. Lengl. du Fr. d'apr. Fab
icius.
- 335. TYR. II,
- 336. CONSTANTINOPLE. I,
- 337. ROM
II,
- 339. ALEXANDRIE. I,
- 339. ANTIOCHE. I,
- 337 ou 340 selon Mansi. CONSTANTINOPLE. I,
- 341. ANTIOCHE. I,
- .......... Page(s) .......... 563
- 342. ANTIOCHE. I,
- 344 ou 345 ANTIOCHE. I,
- 344. MILAN. I,
- 345 ou 346. COLOGNE. I,
- 346 (Vers). ANTIOCHE. I,
- 347. MILAN. I,
- 347. LATOIPLE. I,
- 347 SARDIQUE. II, er de Nicée.
- .......... Page(s) .......... 801
- 348 ou 349. AFRIQUE. I,
- .......... Page(s) .......... 143
- .......... Page(s) .......... 143
- 349. CORDOUE. I,
- 349 ou 3
6. JERUSALEM. I,
- 349. ROME. II,
- 349 ou 350. ALEXANDRIE. I,
- 349 à 350 (De). JERUSALEM. I,
- 349 ou 350. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 877
- 351. BAZAS. I,
- 351. SIRMICH. II,
- .......... Page(s) .......... 569
- 353 ou 354. ARLES. I,
- 354 ou 356. ANTIOCHE. I,
- 355 (Vers). GAULES ou POITIERS ou TOULOUSE. I,
- 356 ou 358. ANTIOCHE. I,
- 356. BEZIERS. I,
- 357. SIRMICH II,
- 358. ALLEMAGNE. I,
- 358. ANCYRE en Galatie. I,
- 358. MELFTINE. I,
- 358. NEOCESAREE. II,
- .......... Page(s) .......... 569
- 359. NICEE de Bithynie. Le Synodique fait mention de ce conciliabule tenu par les ariens la même année que le suivant, mais qu'il dit avoir été dissipé par un tremblement de terre. Mansi, Conc. t. III.
- 359. NICEE de Thrace. II,
- .......... Page(s) .......... 537
- .......... Page(s) .......... 831
- .......... Page(s) .......... 885
- 3
0 ou 362 (Vers). ACHAIE. I
- 360. CONSTANTINOPLE. II, . Conciliabule.
- 360. ou 361. PARIS. II, er de Paris.
- 361. ANTIOCHE. I,
- 362. ALEXANDRIE. I,
- 362. ANTIOCHE. I,
- 362 (Vers). ESPAGNE. I,
- 362 (Vers). GAULES. I,
- 362. MACEDOINE. I,
- 362. THEVETTE. II,
- 363. ANTIOCHE. I,
- 363 ou 364. EGYPTE. I,
- 363, ou 386 selon Lenglet. ZELE. II,
- 364 ou 375. GANGRES. I,
- 364. LAMPSAQUE. I,
- 364. LAODICEE. I, . Concile.
- .......... Page(s) .......... 569
- 365, ou 367, ou 375. ILLYRIE. I,
- 365. TYANE. II,
- .......... Page(s) .......... 569
- 366. SI
LE. II,
- 367. ANTIOCHE de Carie. I,
- .......... Page(s) .......... 569
- 367. ROME. Concile pour justifier le pape Damase. Lengl.
- 367. SINGIDON. II,
- .......... Page(s) .......... 569
- 369. AFRIQUE I,
- .......... Page(s) .......... 569
- 370 (Vers). ALEXANDRIE. I,
- 370 ou 372. CAPP
DOCE ou CESAREE. I,
- 371. GAULES. I,
- 372 ou 376. CYZIQUE. I,
- 372. N
COPOLIS. II,
- 373 ou 374. VALENCE en Dauph. Conc.
- 374. ROME. II, er de ce nom.
- 375. ANCYRE en Galatie. I,
- 375 ou 368. PAPUZE ou PUZE. II,
- .......... Page(s) .......... 1027
- 376. GAULES. I,
- 377 ou 378. ROME. II,
- 379, ou 377 selon Mansi. ANTIOCHE. I,
- .......... Page(s) .......... 571
- 380 (Vers l'an). ACHAVANS. I,
- 380. MILAN. I,
- 380. SARRAGOSSE. II, er de ce nom.
- 381. AQUILEE. I,
- 381. CONSTANTINOPLE. I, e oecuménique.
- 381. ITALIE. I,
- .......... Page(s) .......... 571
- 382. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 571
- 383 ou 390. ANTIOCHE. I,
- 383, ou 390 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 123, 124
- 383, selon Mansi. SIDE. II,
- 384 ou 385. BORDEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 1159
- 386. CARTHAGE. I,
- 386. GAULES, lieu incertain. II,
- 386. LEPTES, I,
- 386. ROME. II,
- 386. ZELLE. Concile sur la discipline. Lengl. d'apr. Hardouin seul. Voy.
- 388 ou 389. ANTIOCHE. I,
- 389, ou 391 selon Mansi. CAPOUE. I,
- 390. CARTHAGE. I,
- 390. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 573
- .......... Page(s) .......... 953
- .......... Page(s) .......... 773
- 393. AFRIQUE ou HIPPONE. I,
- 393. CABARSUSSE. I,
- 393. CARTHAGE. I,
- 394. ADRUMETE. I,
- 394. BAGAIN. I,
- 394. CONSTANTINOPLE. I,
- 394. CAVERNES. I,
- 395. HIPPONE. I,
- 396 TOLEDE. II,
- 397. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 398. CARTHAGE. I,
- 399. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 399. ALEXANDRIE. I,
- 399 ou 401. CHYPRE. I,
- 399. CONSTANTINOPLE. I, . Concile.
- 399. JERUSALEM. I,
- .......... Page(s) .......... 445
- 399. CARTHAGE. II,
- 400. CARTHAGE. I,
- 400. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 573
- 400 ou 405. TOLEDE. II, e ou 5 e siècle.
- 400 OU 405. FREJUS, I,
- 401. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 401, ou 402 selon Lenglet. EPHESE. I,
- .......... Page(s) .......... 1189
- 402. AFRIQUE ou MILEVE. I,
- .......... Page(s) .......... 573
- 403. AFRIQUE OU CARTHAGE. I,
- 403. CHENE. I,
- 403. CONSTANTINOPLE. I,
- 404. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 404. CONSTANTINOPLE. I,
- 405. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 405. ITALIE ou ROME I,
- 406. TOLEDE. Concile tenu sur quelques plaintes portées contre des évêques. Lengl. d'apr. Fabricius.
- 407. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 408. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 409. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 410. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- .......... Page(s) .......... 845
- 411. BRAGUE. I,
- 411. CARTHAGE. I,
- 411. PTOLEMAIDE. II,
- 412 CARTHE ou ZERTHE. I,
- 414. CARTHAGE. I,
- 414. MACEDOINE. Concile provincial, confirmé par le pape Innocent I er .
- 415. DIOSPOLIS ou PALESTINE. I,
- 415. ILLYRIE. I,
- 415. JERUSALEM. I,
- 415, ou 417 selon Lenglet. TUSDRE. II,
- 416. CARTHAGE. I,
- 416. MILEVE. I,
- 417. CARTHAGE. I,
- 417. ROME. II,
- 418. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 418. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 418 ou 424. ANTIOCHE. I,
- 418. CESAREE de Mauritanie. I,
- 418. HIPPONE. I,
- 418. MARAZENE. I,
- 418. ROME. II,
- 418. SEPTIMUNIQUE. II,
- .......... Page(s) .......... 911
- .......... Page(s) .......... 931
- .......... Page(s) .......... 933
- 419. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 419. RAVENNE. II,
- 419. VALENCE en Dauphiné. II,
- 420. CTESIPHON. I,
- 421. CARTHAGE. I,
- 421 ou 419 selon Lenglet. CORINTHE. I,
- 422. HIPPONE ou NUMIDIE. I,
- 424. CILICIE. I,
- 424. CARTHAGE. I,
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- 426. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 426. CONSTANTINOPLE. I,
- 426. HIPPONE. I,
- 427. ORIENT. II,
- 428 ou 429. CONSTANTINOPLE. I,
- 429. GAULES. I,
- .......... Page(s) .......... 1179
- 430. SAINT-ALBAN. I,
- 430. ALEXANDRIE. I,
- 430. ALEXANDRIE. I,
- 430. ALEXANDRIE. I,
- Année incertaine. QUARQJETON, en Arménie. Concile tenu contre les pélagiens. On y anathématisa ceux qui niaient que les enfants fussent baptisés pour la rémission des péchés, ou qu'ils eussent contracté d'Adam quelque péché originel, dont ils eussent besoin d'être lavés par le sacrement de la régénération. Conc. Armen. anni 1342, in Collect. vet. monum. D. Martene, t. VII.
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- .......... Page(s) .......... 583
- 431. ANAZARBE. I,
- 431 ou 432. ANTIOCHE. I,
- 431. CONSTANTINOPLE. I,
- 431 ou 432. CONSTANTINOPLE. I,
- 431. EPHESE. I, e oecuménique.
- 431. ETHESE. I,
- 431. ROME. II,
- 431 ou 432. TARSE. II,
- 433. ROME. II,
- 432, ou 433 selon Lenglet. ZEUGMA. II,
- 434. ANTIOCHE. Concile tenu contre Nestorius. Lenglet, d'apr. Fabricius.
- 434. CONSTANTINOPLE. I,
- 435. ANAZARBE. I,
- 435 ou 436. ANTIOCHE. I,
- 435. ARMENIE. I,
- 435, ou 434 selon Lenglet. TARSE. II,
- 435. THESSALONIQUE. Concile, peut-être le même que le suivant. Lenglet, d'apr. Baluze.
- 437. ILLYRIE et peut-être THESSALONIQUE. Nous ne connaissons ce concile que par une lettre qu'adressa le pape Sixte III aux évêques qui y étaient assemblés. Mansi, Conc. t. V.
- 438 selon Lenglet, ou 440 selon Mansi. ANTIOCHE. I,
- 438. CONSTANTINOPLE Concile tenu pour la foi catholique. Lenglet, d'apr. Fabricius. C'est peut-être le même que celui que nous rapportons plus bas à l'an 439.
- 439. CONSTANTINOPLE. I,
- 439 et 549 (Entre) FOROJULIENSIS. I, Synodus. Le décret que rapporte Marlène de ce prétendu concile n'est autre que celui du concile de Valence de l'an 374, dans l'affaire d'Acceptus, évêque nommé de Fréjus. Voy. VALENCE, l'an 374.
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- .......... Page(s) .......... 147
- .......... Page(s) .......... 33
- .......... Page(s) .......... 1211
- 443. ARLES. I,
- 443 ou 444. ROME. II,
- 444. BESANCON. I,
- 444. CONSTANTINOPLE. I,
- 444, ou 440 selon Lenglet (Vers). EPHESE. I,
- 444. GAULES ou BESANCON. I,
- 445. ANTIOCHE. I,
- 445 ou 446. ASTORGA. I,
- 445. HIERAPLES ou ORIENT. II,
- .......... Page(s) .......... 585
- 446 (Vers). BRETAGNE ou VERLAMCASTER. II,
- 447. EPHESE. Concile au sujet de Bassien, évêque de cette ville. Lengl. d'apr. Baluze seul.
- 447 ou 448. GALICE, ou ELENENSE, ou ESPAGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 587
- .......... Page(s) .......... 945
- 448. ANTIOCHE. I,
- 448. BERYTE ou TYR. I,
- 448. CONSTANTINOPLE. I,
- 448. CONSTANTINOPLE. I,
- 449. ALEXANDRIE. I,
- 449. CONSTANTINOPLE. I,
- 449. EPHESE. I,
- .......... Page(s) .......... 587
- 450. CONSTANTINOPLE. I,
- 450 ou 456 (Vers). IRLANDE ou SAINT-PATRICE. I,
- 450 ou 456 (Vers). IRLANDE ou SAINT-PATRICE. I,
- 451. ALEXANDRIE. I,
- 451. ANTIOCHE. Concile tenu pour la conversion des eutychiens. Lenglet, d'apr. Baluze.
- 451. CHALCEDOINE. I, e oecuménique.
- 451. CONSTANTINOPLE. Concile tenu pour la conversion des eutychiens. Lengl d'apr. Baluze.
- 451. GAULES. I,
- 451. MILAN. I,
- 451. ROME. II,
- 451. THESSALONIQUE. Concile tenu pour ramener les eutychiens à la foi catholique. Lengl. d'apr Baluze.
- 451, ou 444 selon Lenglet. VIENNE en France. II,
- 452, ou 465, ou 461. ARLES. I,
- 453. ANGERS. I,
- 453. JERUSALEM, I,
- 453. ORIENT. II,
- 454. BOURGES. I,
- .......... Page(s) .......... 933
- 457. ALEXANDRIE. I,
- 457 (Vers). CONSTANTINOPLE. I,
- 458. ROME. II,
- 459. CONSTANTINOPLE I,
- .......... Page(s) .......... 729
- 461, ou 460 selon Lenglet. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 1027
- 461. VANNES. II,
- 462. ROME. II,
- 463. ARLES. I,
- 464 ou 465. ESPAGNE ou TARAGONE. II,
- 465. CAMBRIE. I,
- .......... Page(s) .......... 589
- 467 (Vers). ROME. Concile tenu par le pape Simplice, en confirmation du concile de Chalcédoine. Labbe, t. IV.
- 470. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 472. ANTIOCHE. I,
- 472. BOURGES. I,
- .......... Page(s) .......... 1217
- 474. VIENNE en Dauphiné. II,
- 475 (Vers l'an). ARIES. I,
- 475. LYON. I,
- 476 ou 477. EPHESE. I,
- 477. ALEXANDRIE. I,
- 478. CONSTANTINOPLE. I,
- 478. CYR. I,
- 478. ORIENT ou ANTIOCHE. I,
- 478. ROME. II,
- 481. LAODICEE. On y rétablit sur le siége d'Antioche Etienne que les partisans de Pierre de Foulon avaient accusé faussement de nestoriasisme. Labbe, ex Synodico.
- 482. ALEXANDRIE. I,
- 482. ANTIOCHE. I,
- 482. ANTIOCHE. I,
- 482. TOURS. II,
- 483. ROME. II.
- 484. ALEXANDRIE I,
- 484. CARTHAGE. I,
- .......... Page(s) .......... 591
- .......... Page(s) .......... 591
- 485. ALEXANDRIE. I,
- 485. AESCULIANUM. I,
- 485. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 593
- 485. SELEUCIE. II,
- 485. SELEUCIE. II,
- .......... Page(s) .......... 593
- 490. LYON. I,
- 492. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 595
- 495. GANDISAPOR ou BETH-LAPET. I,
- .......... Page(s) .......... 599
- 495. SELEUCIE. II,
- 496 ou 497 (Vers). CONSTANTINOPLE. I,
- 496 (Vers). CONSTANTINOPLE, I,
- 496. REIMS. II,
- 498. CONSTANTINOPLE I,
- 499. CONSTANTINOPLE. Concile où l'on condamne Nestorius et Eutychès. Lengl. d'apr. Baluze.
- 499. CONSTANTINOPLE. Conciliabule contre le concile de Chalcédoine. Lengl. d'apr. Baluze; peut-être est-ce le même que celui que nous avons rapporté à l'an 498.
- 499. PERSE. II,
- 499. ROME. II,
- 500, ou 499 selon Lenglet. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 601
- 501. ORANGE. II,
- .......... Page(s) .......... 601
- 502. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 605
- .......... Page(s) .......... 609
- 506. AGDE. I,
- .......... Page(s) .......... 1009
- 507, ou 504 selon Lenglet. BYZACENE. I,
- 508. ANTIOCHE. I,
- .......... Page(s) .......... 179
- .......... Page(s) .......... 873
- 512. CONSTANTINOPLE. I,
- 512. LANDAFF ou GRANDE-BRETAGNE. I,
- 515. AGAUNE. I,
- 516. BRETAGNE. II,
- 516. CONSTANTINOPLE. I,
- 516. EPIRE. I,
- 516. GAULES. I,
- 516, ou 515 selon Lenglet. ILLYRIE. I,
- 516. LYON. I,
- 516 ou 517. MANS. II,
- 516. TARRAGONE. II,
- 517. EPAONE. I,
- 517. GIRONE. I,
- 517. LYON. I,
- 517. REIMS. II,
- 518. CONSTANTINOPLE. I,
- 518. JERUSALEM. I,
- .......... Page(s) .......... 933
- 518. TYR. II,
- 519. BREVI. I,
- 519. CONSTANTINOPLE. I,
- 519. CAERLEON. I,
- 519. GRANDE-BRETAGNE. I,
- 519. ROME. II,
- 520. CONSTANTINOPLE. I,
- 520. TOURNAY. II,
- 521. SARDAIGNE ou ANDREA. Il nous reste de ce concile une lettre synodique, souscrite par les évêques d'Afrique exilés en Sardaigne. Labb. IV.
- 523. AGAUNE ou ST-MAURICE. I,
- 523, ou 524 selon Lenglet. JUNQUE. I,
- 524. ARLES. I,
- 524 ou 546. LERIDA. I,
- 524. SUFFETE. II,
- 525. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 525. CLERMONT. I,
- 527. CARPENTRAS. I,
- 527. MAINE. I,
- 527 ou 531. TOLEDE. II,
- 529. ORANGE. II,
- 529. VAISON. II,
- VAISON. C'est par erreur que nous avons donné, t. I, col. Bazas.
- .......... Page(s) .......... 1217
- 530, ou 529 selon Lenglet. ANGERS. I,
- 530 ou 531. LARISSE. I,
- 530. REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 611
- 530 ou 531. CONSTANTINOPLE, I,
- .......... Page(s) .......... 611
- 532 ou 533. CONSTANTINOPLE ou ORIENT. I,
- .......... Page(s) .......... 183, 184
- 534 ou 535. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 534, ou 532 selon Labbe. ROME. II,
- 535. CLERMONT ou AUVERGNE (a). I,
- 536. CONSTANTINOPLE. I,
- 536. JERUSALEM. I,
- 536. SYRIE. II,
- 536. THEVIS, ou THEVIN, ou THIBE.
- 538. GAULES. I,
- 538. ORLEANS. II, e des conciles d'Orléans, fut national comme les deux premiers.
- 540. BARCELONE. I,
- .......... Page(s) .......... 189
- 541. BYZACENE. I,
- 541 ou 542. GAZA. I,
- .......... Page(s) .......... 189
- 542. ANTIOCHE. I,
- 543, ou 538 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- 544. PERSE. II,
- .......... Page(s) .......... 445
- .......... Page(s) .......... 445
- 546. VALLADOLID.
- 546. VALENCE en Espagne. II,
- 547 ou 548. CONSTANTINOPLE. I,
- 549 ou 550. CLERMONT ou AUVERGNE. I,
- 549. ORLEANS. II, e d'Orléans, national comme les quatre premiers.
- 550, ou 551 selon Lenglet. AFRIQUE ou CARTHAGE. I,
- 550. ILLYRIE. I,
- 550. METZ. I,
- 550. MOPSUESTE, I,
- .......... Page(s) .......... 1007
- 551. CONSTANTINOPLE. I,
- 551 ou 552, ou 555 selon Mansi. PARIS. II, e de Paris: il fut général, ou assemblé de plusieurs provinces.
- 552. TIBEN. II,
- Conciliabule, qui paraît être le même que celui que nous avons déjà rapporté à l'an 536, et nommé conciliabule de Thibe avec Lenglet, et Thevis ou Thevin avec le P. Richard. L'ère arménienne, qui date de ce conciliabule, commence à l'an 552 de l'ère chrétienne, si l'on en croit Fréret. Vo. Mém. de l'acad. des inscr. t. XIX.
- 553. CONSTANTINOPLE. I, e oecuménique.
- 553. JERUSALEM. I,
- 553. PERSE. II,
- 554. ARLES. I,
- 555. PETITE-BRETAGNE. I,
- 557, ou 553 selon Lenglet. AQUILEE. I,
- 557. PARIS. II, e de Paris, assemblé de tout le royaume soumis à Childebert.
- 558 (Vers). UZES. II,
- 560. ANTIOCHE. Concile tenu pour la défense du concile de Chalcédoine. Lengl. ex Sinodico veteri.
- 560 ou 563. BRAGUE. I,
- 562 ou 569, ou 572 selon Lenglet.
- LUGO. I,
- 562 ou 563. SAINTES. II,
- 562 (Vers). THEVES ou THEVIN. II, e de ce nom.
- 565, ou 560 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- 566 ou 7. LYON. I,
- 566 ou 7. TOURS. II, e de ce nom.
- 566. TREVES. II,
- 570. LYON. I,
- 572. BRAGUE. I,
- .......... Page(s) .......... 223
- 575. LYON. I,
- 576. PARIS. Concile au sujet d'un différend entre les deux rois Gontran et Chilpéric. Lengt. d'apr. Labb.
- .......... Page(s) .......... 817
- 577. PARIS. II, e de ce nom.
- 578. EGYPTE. I,
- 579. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 579. GRADO. I,
- 579, ou 581, ou 582. MACON. I, er de ce nom.
- 579. SAINTES. II,
- 580. BERNI ou BRAINE. I,
- 581. ALEXANDRIE. I,
- 581. CHALONS-SUR-SAONE ou GAULES. I,
- 581, ou 583, ou 586. LYON. I,
- 581. ORLEANS. II, Voy. LYON, même année.
- .......... Page(s) .......... 949
- .......... Page(s) .......... 687
- .......... Page(s) .......... 1217
- 585, ou 578 selon Lenglet. AUXERRE. I,
- 585, ou 584 selon Lenglet. MACON. I, e de ce nom.
- .......... Page(s) .......... 177
- 587. ANDELOT. I,
- 587, ou 586 selon Lenglet. CLERMONT ou AUVERGNE. I,
- 587. LYON. Concile tenu en faveur des pauvres ladres. Lenglet. Nous croyons que l'abbé Lenglet s'est trompé, en faisant de ce concile un concile différent de celui qu'il a rapporté comme nous à l'an 581, et dont le sixième canon est en faveur des lépreux.
- .......... Page(s) .......... 949
- 587 ou 588. GAULES ou NORMANDIE. I,
- 588. CONSTANTINOPLE. I,
- 588. EMBRUN. I,
- 588. PERSE. II,
- 589. ALEXANDRIE. I,
- 589. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 589. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 419
- 589. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 867
- 589. TOLEDE. II,
- 590. AUTUN. I,
- 590. GAULES ou GEVAUDAN. I,
- 590. MARANO. I,
- 590. METZ. I,
- 590. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 809, 904
- 591. ISTRIE. I,
- 591. NANTERRE. II,
- .......... Page(s) .......... 613
- 591. SALONE. II,
- 592. SARRAGOSSE. II, e de ce nom.
- .......... Page(s) .......... 143
- 594. CARTHAGE. I,
- 594. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- .......... Page(s) .......... 613
- .......... Page(s) .......... 389
- 597, ou 560 selon Lenglet. (Vers). LANDAFF. I,
- 597. TOLEDE. II,
- 598. HUESCA. I,
- 599. BARCELONE. I,
- 599. CONSTANTINOPLE. I,
- 600. ROME. II,
- 601. ROME. II,
- 601. SENS. II,
- 602. BYZACENE. I,
- .......... Page(s) .......... 143
- 603. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 604, ou 601 selon Lenglet. BRETAGNE ou WORCHESTER. II,
- 605. CANTORBERY. I,
- (a) La capitale de l'Auvergne ne prit le nom de Clermont. Clarus Mons, que sous le règne de Pépin le Bref.
- INE OU WORCHESTER. II,
- 605. CANTORBERY. I,
- 605 (Vers). LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 615
- .......... Page(s) .......... 389
- .......... Page(s) .......... 615
- .......... Page(s) .......... 957
- 614 ou 615, ou 618. GAULES, ou BONNEUIL, ou Paris, ou plutôt lieu incertain. I,
- 614 ou 15. TARRAGONE ou EGARA. I,
- .......... Page(s) .......... 225
- 616. CONSTANCE. I,
- 617, ou 616 selon Lenglet. CANTORBERY. I,
- .......... Page(s) .......... 867
- 622. CHARNE. I,
- 623. MACON. Gall. Christ. col.
- 624. MACON. I,
- 625 ou 28, ou 58. CLICHY. I,
- 625, ou 630 selon Lenglet. REIMS. Concile, 1 er de ce nom, assemblé de la partie des Gaules soumise au roi Clotaire.
- 626. CONSTANTINOPLE. I,
- 627. CLICHY. I,
- 630 (Vers). ALEXANDRIE. I,
- 630. ECOSSE. Conciliabule, où l'on voulut que la pâque se célébrât le 14 même de la lune de mars. Lenglet d'après Pagi.
- 630. LENIA. I,
- 630. LECHLEN. I,
- 633. CLICHY. I,
- 633 (Vers). CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 957
- 634. JERUSALEM. I,
- 634 ou 645 (Vers). ORLEANS. II, e d'Orléans, national comme les cinq premiers.
- 636 CLICHY. I,
- 636. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 969
- 637. TOLEDE. Concile où le roi Chintula ou Sintilla décréta l'expulsion des infidèles de ses Etats. Lenglet d'apr. Labb. et Hard.
- 638 ou 639. CONSTANTINOPLE. I,
- 638. JERUSALEM. Concile assemblé pour envoyer à Rome les reliques de saint Ignace, martyr. Lengl. d'apr. Tillemont. Ne serait-ce pas le même que celui que nous avons rapporté à l'an
- .......... Page(s) .......... 227
- .......... Page(s) .......... 969
- 639 ou 640. CONSTANTINOPLE. I,
- C'est le conciliabule tenu par Pyrrhus, et rapporté à l'an 646 dans la collection de Mansi, X,
- 640, ou 641 selon Labbe. ROME. II,
- 643. CHYPRE. Concile tenu contre les monothélites. Lengl. d'apr. Mansi.
- 645. AFRIQUE. I,
- 645. NISIBE. II,
- 646. AFRIQUE ou MAURITANIE. I,
- 646. BYZACENE. I,
- .......... Page(s) .......... 143
- .......... Page(s) .......... 969
- 647 et 650 (Entre). SAINT-SIMEON ou SELEU
IE. II,
- 648. BOURGES. I,
- .......... Page(s) .......... 617
- 649. LATRAN ou ROME. I,
- .......... Page(s) .......... 227
- .......... Page(s) .......... 617
- 650. CHALONS-SUR-SAONE. I, er de ce nom.
- .......... Page(s) .......... 687
- .......... Page(s) .......... 933
- 653. CLICHY. I,
- 653. TOLEDE. II, e de ce nom.
- .......... Page(s) .......... 847
- .......... Page(s) .......... 973
- .......... Page(s) .......... 975
- 657 ou 659. MALAY-LE-ROI. I,
- 657. SENS. II,
- 658. NANTES. II,
- 658 (Vers l'an). PARIS. II,
- 659. CLICHY. I,
- 659. TOLEDE. Concile sur la fête de l'Annonciation. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 391
- 661 ou 663. AUTUN. Concile tenu sous saint Léger. C'est sans doute le même que celui que nous rapportons à l'an 670, quoiqu'il en soit distingué par Lenglet.
- 662. CAEN. II,
- 664. ANGLETERRE ou PHARE. II,
- 664. PARIS. II,
- 664. STRENESHAL. II,
- 664. TREVES. II,
- .......... Page(s) .......... 751
- 666. MERIDA. I,
- 667. CRETE. I,
- .......... Page(s) .......... 617
- 669 ou 90. SENS. II,
- 670. AUTUN I,
- 670. BORDEAUX. I,
- 673. HERFORD. I,
- 675. BRAGUE. I,
- 675. TOLEDE. II, e de ce nom.
- 676. CRECI. I,
- 677, ou 678 selon Lenglet. MARLY ou peut-être MORLAY en Champagne. I,
- .......... Page(s) .......... 177
- 678, ou 685 selon Lenglet. GAULES. I,
- 679. GAULES. I,
- 679. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 617
- 680, ou 679 selon Lenglet. ANGLETERRE ou HERFELD, ou HETFELD. I,
- 680. CONSTANTINOPLE. I, e oecuménique.
- 680. NORTHUMBERLAND, II,
- .......... Page(s) .......... 619
- 681. TOLEDE. II, e de ce nom.
- .......... Page(s) .......... 415
- 683. TOLEDE. II, e de ce nom.
- 684. IRLANDE. II,
- .......... Page(s) .......... 621
- .......... Page(s) .......... 985
- 685. CANTORBERY ou TWIFORD. II,
- .......... Page(s) .......... 1269
- 688. GAULES. I,
- 688. TOLEDE. II, e de ce nom.
- 691. SARAGOSSE. II,
- 692. ANGLETERRE ou BRETAGNE I,
- 692 ou 694 (Vers). BACANCELD. I,
- 692. CONSTANTINOPLE. I, in Trullo.
- .......... Page(s) .......... 687
- 693. ROUEN. II.
- .......... Page(s) .......... 987
- .......... Page(s) .......... 177
- .......... Page(s) .......... 989
- 695 (Vers). AUXERRE. I,
- 696. BERGAMSTEDE. I,
- .......... Page(s) .......... 1207
- 598. AQUILEE. I,
- .......... Page(s) .......... 1293
- 701. ANGLETERRE. I,
- 701, ou 2, ou 4. TOLEDE. II, e de ce nom.
- 703. NESTREFIELD ou ESTREVALD. II,
- .......... Page(s) .......... 621
- 705. ADERBOURN. I,
- 705. MERCIE. I,
- 705. NID ou NODDRE. II. in t. Conc. nat.
- 705. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 1281
- .......... Page(s) .......... 1281
- .......... Page(s) .......... 1001
- 709 ALNE I,
- .......... Page(s) .......... 1001
- 710. LIEGE. I,
- 710. ROME. II,
- 712. CONSTANTINOPLE I,
- 712 ou 714. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1281
- 715. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 1275
- 719. MAESTRICHT. I,
- 721. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 623
- 725. JERUSALEM. I,
- 726 ou 30. ROME. II,
- 726. SYRIE. II,
- 730. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 177
- 731 (Vers). RAVENNE. II,
- 731. ROME. II,
- 732. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 1293
- 740. BAVIERE. I,
- .......... Page(s) .......... 921
- 741. DANOBE, ou RATISBONNE selon Lenglet. I,
- 742. ALLEMAGNE ou AUGSBOURG. I,
- 712. CLOVES
OU. I,
- 743. LESTINES. I,
- 744. ALLEMAGNE ou GERMANIE. I,
- 744, ou 743 selon Labbe. ROME. II
- .......... Page(s) .......... 893
- 745. ALLEMAGNE. I,
- 745, ou 747 selon Lenglet. CLOVESHOU. I,
- 745. ROME. II,
- 747. ALLEMAGNE. I,
- 748. DUREN. I,
- 752 ou 753. MAYENCE. I,
- 753 (Vers). GAULES. II,
- 753. ROME. I,
- .......... Page(s) .......... 1243
- 754. CONSTANTINOPLE. I,
- 754. GRECE. I,
- 753. HIERAPLE en Syrie. II,
- .......... Page(s) .......... 1251
- 756. ANGLETERRE. I,
- 756. CANTORBERY ou KENTERBURY. I,
- 756 ou 757. COMPIEGNE. I,
- 756. LESTINES. I,
- 756, ou 753 selon Lenglet. METZ. I,
- 757 ou 758. COMPIEGNE. I,
- 757. ROME. II,
- 759. CONSTANCE. I,
- 759. GERMANIE ou ALLEMAGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 931
- 761. AS
HEIM. I,
- 761. DUREN. I,
- 761. FREJUS. II,
- 761. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 1275
- 763. NEVERS, Assemblée tenue par Pepin, résolu à punir l'infidélité de Gaffre, duc d'Aquitaine. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 747
- .......... Page(s) .......... 1293
- 765. ATTIGNY. I,
- 765. FREYSINGEN. I,
- .......... Page(s) .......... 219
- 765, ou 755 selon Lenglet. SARUG. II,
- 766, ou 767 selon Lenglet. GENTILLI. I,
- .......... Page(s) .......... 197
- 767. BOURGES. I,
- 767. ROME. Conciliabule tenu par l'antipape Constantin, mais dont les actes furent brûlés par le concile de l'an 769. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 459
- 768. SAINT-DENIS. I,
- 768. SAINT-GOAR. I,
- 769. BOURGES. I,
- .......... Page(s) .......... 627
- 770. DALMA ou SLAVES. II,
- .......... Page(s) .......... 1293
- 771. VALENCIENNES. II,
- 772. BAVIERE ou D
NGELFIND. I,
- .......... Page(s) .......... 1293
- 773. FREYSINGEN. I,
- 773. GENEVE. I,
- 774. DUREN. I,
- .......... Page(s) .......... 627
- 775. DUREN. I,
- .......... Page(s) .......... 1293
- .......... Page(s) .......... 211
- 779. DUREN. I,
- 779. HERISTAL. I,
- .......... Page(s) .......... 211
- .......... Page(s) .......... 627
- .......... Page(s) .......... 1293
- 782. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 211
- 783 ou 787. CALCHUTE. I,
- .......... Page(s) .......... 211
- 786. CONSTANTINOPLE. I,
- 786. WORMS. II, . Assemblée.
- 787. NICEE. II, e Concile oecuménique, II e de Nicée.
- 787. WORMS. II,
- 788. ACLETH. I,
- 788. FINKELEY. I,
- 788. INGELHEIM. I,
- .......... Page(s) .......... 33
- 789. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 791 ou 96. AQUILEE ou FRIOUL. I,
- .......... Page(s) .......... 459
- .......... Page(s) .......... 627
- 793. BETH-BOTEN. I,
- 793. ESPAGNE ou TOLEDE. I,
- 793. VERLAM-CASTER. II,
- 794. CEL
TE ou CALCHUTE. II,
- 794. FRANCFORT. I,
- .......... Page(s) .......... 627
- 794. VERLAM-CASTER. II, . Concile.
- 795. IRLANDE. I,
- 796 ou 798. BACANCELD. I,
- 796. CANTORBERY ou KENTERBERY. I,
- 796. GAULES ou TOURS. I,
- 797. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 798. CLOVESTHOU. I,
- .......... Page(s) .......... 459
- 799. AIX-LA-CHAPELLE I,
- .......... Page(s) .......... 459
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 627
- 799, ou 800 selon Lenglet. URGEL. II,
- 799. YORCK ou FINCKLEY. I,
- 800. CLOVESHOU. I,
- 800 (Après l'an). GAULES. I,
- 800. MANTES I,
- 800 (Vers). MAYENCE. II,
- 800. ROME. II,
- 800. TOURS. II,
- 802. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 802. ALTINO. I,
- 803. CLOVESHOU. I,
- 803. RATISBONNE. II,
- 803. WORMS. II,
- .......... Page(s) .......... 389
- 804. SALZ. II,
- .......... Page(s) .......... 931
- .......... Page(s) .......... 751
- 806, ou 807 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- 806. FRANCE. Assemblée où Charlemagne fait le partage de son royaume.
- .......... Page(s) .......... 763
- 809. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 809, ou 808 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- 809. FREYSINGEN. I,
- 810. CONSTANTINOPLE. I,
- 810. RATISBONNE. II, . Concile.
- .......... Page(s) .......... 629
- 811. MERCIE ou WINCHELCOMBE. II,
- 812. AIX-LA-CHAPELLE. I
- 812. CONSTANTINOPLE. I,
- 813. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 813. ARLES. I, e d'Arles.
- 813 CHALONS-SUR-SAONE. I, e de ce nom.
- 813. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 455
- 813. ROUEN. II,
- 813 TOURS. II, e .
- 814 CONSTANTINOPLE. I,
- 814, ou 816 selon Lenglet. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 139
- 814. THIONVILLE. Concile en faveur des prêtres maltraités. Lengl. d'apr. La b. et Hard.
- 814. TREVES. II,
- 815. CONSTANTINOPLE. I,
- 815. FREYSINGEN. I,
- 815. PADERBORN. II,
- 816. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 816. CELCHYTE. I,
- 816. COMPIEGNE II,
- 816. ROME. II,
- 817. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 817. FREYSINGEN. I,
- 817. INGELHEIM. I,
- .......... Page(s) .......... 461
- 818. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 818. FREYSINGEN. I,
- 818. VANNES. II,
- 818 (Vers). VENISE. II,
- 819. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 819. FREYSINGEN. I, . Synode.
- 820. CANTORBERY. I,
- 820. FREYSINGEN. I,
- .......... Page(s) .......... 197
- 821. CONSTANTINOPLE. I,
- 821. FREYSINGEN. I,
- 821. NIMEGUE. Assemblée. Lenal. d'apr. Chifflet seul.
- 821. OSLAVESHLEM. II,
- .......... Page(s) .......... 935
- 822. ATTIGNY. I,
- 822. CLOVES
OU. I,
- 822. FREYSINGEN. I,
- .......... Page(s) .......... 487
- 822. TRIBUR. II,
- 823. COMPIEGNE. II,
- 823. LATR
N ou ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 433
- 823. ROME. II,
- 824 ou 25. CLOVESHOU. I,
- 825. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 825. PARIS. II,
- 826. INGELHEIM. I,
- .......... Page(s) .......... 633
- 826. UTRECHT ou WALCKEREN. II,
- 827. FREYSINGEN. I,
- 827. MANTOUE. I,
- 828. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 828. FREYSINGEN. I,
- 828. TOULOUSE. II,
- 829. BLAQUE
NES ou CONSTANTINOPLE I, . Conciliabule.
- 829, ou 828 selon Lenglet. LYON. I,
- 829. MAYEN E. I,
- 829. PARIS. II, e du Paris.
- 829. TOULOUSE. II,
- 829. WORMS. II,
- 830. FREYSINGEN. I,
- 830. LANGR S. I,
- .......... Page(s) .......... 123
- 831. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 831. HAMBOURG. I,
- 831. NOYON Concile tenu contre Jessé, évêque d'Amiens. Lenglet.
- 832. CONSTANTINOPLE. Conciliabule tenu contre les saintes images. Lenglet d'après Fabricius.
- 832. ST.-DENIS ou PARIS. I.
- 833. COMPIEGNE. I,
- 833. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1295
- 834 ou 835. ATTIGNY. I,
- 834. METZ. Concile où l'empereur excommunié par Ebbon, archevêque de Reims, est absous. Lengl. d'apr. Labb. et Hard.
- 834. SAINT-DENIS I,
- 835. CREMIEU (Stram niacense) I,
- 835. LYON. II,
- 835. MANTOUE. Concile au sujet du patriarchat de Grade. Lengl. d'apr. Le Cointe, t. VII p.
- 835. METZ. I,
- 835. THIONVILLE. II,
- 836. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 836. FRISE ou UTRECHT. Synode tenu par saint Frédéric, évêque d'Utrecht, qui y dressa un symbole sur le modèle de celui de saint Athanase contre l'erreur arienne qui était reparue dans ces contrées. Conc. Germ. t. II.
- 83
. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 838. KINGSTOWN. I,
- 838, ou 837 selon Lenglet. QUERCY (arisiacum). II,
- .......... Page(s) .......... 1007
- 839. CHALONS-SUR-SAONE I,
- .......... Page(s) .......... 933
- 839. MANS. II,
- 839. TEROUANNE. II,
- 840. INGHELHEIM. I,
- 841. ALLEMAGNE OU FONTENAI. I,
- .......... Page(s) .......... 103
- 841. AUXERRE OU TOURY. II,
- 842. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 842. BOURGES. I,
- 842. CONSTANTINOPLE. I,
- 842. GERMIGNY. I,
- .......... Page(s) .......... 721
- 842. QUERCY. II,
- 843. COULAINE. I,
- 843. FREYSINGEN. I,
- 843. GERMIGNY. I,
- 843. LOIRE. I,
- .......... Page(s) .......... 937
- 844. TOULOUSE. II,
- .......... Page(s) .......... 1253
- 845. BEAUVAIS. I,
- 845. MEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 211
- 846. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 239
- 846. SENS. II,
- 847. CONSTANTINOPLE. I,
- 847, ou 848. EPERNAY. I,
- 847. MAYENCE. I,
- 847. PARIS. II, ms et de Tours.
- 848. LIMOGES. I,
- 848. LYON. I,
- 848. MAYENCE. I,
- 848, ou 846 selon Lenglet. PETITE-BRETAGNE, ou RENNES, ou REDON, ou VANNES. I,
- .......... Page(s) .......... 635
- 849. CHARTRES. I,
- .......... Page(s) .......... 241
- .......... Page(s) .......... 455
- .......... Page(s) .......... 635
- 850. GERMAINE. I,
- 850. MORET. I,
- .......... Page(s) .......... 377
- .......... Page(s) .......... 635
- 850. SENS ou MORET. II,
- 851, ou 850 selon Lenglet. BENINGDON. I,
- 851. KINGSBURY. I,
- 851. SOISSONS. II,
- 852. CORDOUE. I,
- 852. MAYENCE. I,
- 852, ou 853 SELON Lenglet. SENS. II,
- 853. GERMIGNY. II,
- 853. PARIS. II,
- 853. PAVIE. II,
- .......... Page(s) .......... 455
- .......... Page(s) .......... 635
- 853. SENS. II,
- 853. SOISSONS. II,
- 853. VERBERIE. II,
- 855. BONNEUIL. I,
- 855. PAVIE. II,
- 855. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 1217
- 855. WINCHESTER. II,
- .......... Page(s) .......... 751
- 856. ROME. II,
- 857. MAYENCE. I,
- 857 ou 859 selon Lenglet. METZ. I,
- 857. QUERCY. II,
- .......... Page(s) .......... 1295
- 858 ou 859. CONSTANTINOPLE. I,
- 858. QUERCY. II,
- 858. SOISSONS. II,
- .......... Page(s) .......... 1057
- 858. TOURS. II,
- 859. LANGRES ou SAINT-JAUMES. I,
- .......... Page(s) .......... 811
- .......... Page(s) .......... 891
- 860. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 860. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 860. COBLENTZ. I,
- 860. FREYSINGEN. I,
- 860. GAULES. I,
- 860. MAYENCE. I,
- 860. MILAN. I,
- 860. ROME. II,
- 860, ou 866 selon Lenglet. TOUL ou TOUSY. II,
- 861. CONSTANTINOPLE I,
- .......... Page(s) .......... 637
- .......... Page(s) .......... 849
- 861. SOISSONS. II,
- 862. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 862. PITRES. II,
- 862. ROME. II, . Concile.
- 862. SABLONNIERES. II,
- 862. SENS. II,
- 862. SOISSONS. II,
- 862. JUSTENSIS. I, Conventus.
- 863. AQUITAINE. I,
- 863. Convicinum. I,
- 863. METZ. I,
- .......... Page(s) .......... 637
- .......... Page(s) .......... 637
- .......... Page(s) .......... 849
- 863. VERBERIE. II,
- 864. CONSTANCE. I,
- 864. LATRAN ou ROME. II,
- 864. PITRES. II,
- 864, ou 863 selon Lenglet. SCHIRVAN. II,
- 865. ATTIGNY. I,
- .......... Page(s) .......... 639
- .......... Page(s) .......... 381
- 866. SOISSONS. II,
- 867. CONSTANTINOPLE. I,
- 867. CONSTANTINOPLE. I,
- 867. TROYES. II,
- 868. GAULES ou BOURGOGNE. I,
- 868. PITRES. II,
- 868. QUERCY. II,
- .......... Page(s) .......... 639
- 868. ROME. II,
- 868. TREVES. II,
- 868. WORMS. II,
- 869. COLOGNE. I,
- 869. CONSTANTINOPLE. I, e oecuménique.
- 869. LAON. II, init. . Synode diocésain.
- 869. METZ. I,
- 869. ORIENT. II,
- 869. PITRES. II,
- 869. ROME ou MONT-CASSIN. I,
- 869. VERBERIE. II,
- 870. ATTIGNY. I,
- 870. COLOGNE. I,
- 870. SPALATRO. II,
- 870. VIENNE en Dauphiné. II,
- 871. COMPIEGNE. I,
- 871. DOUZI. I,
- .......... Page(s) .......... 197
- 872. ROME. II,
- 873. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 873. COLOGNE. I,
- 873. FRANCFORT. I,
- .......... Page(s) .......... 203
- .......... Page(s) .......... 849
- .......... Page(s) .......... 445
- 874. DOUZI. I,
- 874. RAVENNES. II,
- 874. REIMS. II,
- 875. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 875. ROME. II,
- 876. LAON. II, init. Syn. diocésain.
- .......... Page(s) .......... 381
- 876. PONTION. II,
- 876. REIMS. II,
- 876. ROME. II,
- 877. COLOGNE. Concile. Les évêques de la province s'étant réunis à Cologne pour la dédicace de l'église métropolitaine de Saint-Pierre qui venait d'être achevée, Alfred, évêque d'Hildesheim, profita de cette occasion pour faire approuver de tous ses collègues les priviléges du couvent de religieuses d'Asnide, qu'il venait lui-même de fonder. Cette pièce paraît à D. Mabillon supposée, et Mansi, qui rapporte les raisons du savant bénédictin, ne dit rien pour les réfuter. Mansi, Conc. t. VIII; Mab., Ann. Ord. S. Bened. ad hunc ann.
- 877. COMPIEGNE. I,
- 877. RAVENNE. II,
- 877. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 57
- 878, ou 877 selon Lenglet. PAVIE. II,
- 878. ROME. II,
- 878 (Vers). ROUEN. II,
- 878. TROYES. II,
- 879. ALEXANDRIE. I,
- 879. ANTIOCHE. I,
- 879. CONSTANTINOPLE. I,
- 879. JERUSALEM. I,
- 879. MANTE en Dauphiné. I,
- 879. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 489
- 879. ROME. II,
- 879. ROME. II,
- 879 (Vers). TOULOUSE. II,
- 880. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- sur la foi de M. de Mas-Latrie; mais nous n'en avons trouvé de traces nulle part, pas même dans le Gallia Christiana, où il renvoie son lecteur.
- 880. GERMANIE. I,
- .......... Page(s) .......... 721
- .......... Page(s) .......... 641
- 881. FIMES. I,
- .......... Page(s) .......... 641
- .......... Page(s) .......... 641
- 881. ROME. II, e concile.
- 882, ou 881 selon Lenglet. RAVENNE. II,
- 883. ROME. II,
- 883. TOULOUSE. II,
- 884. ROME. II,
- 885. ITALIE. I.
- 886 ou 87. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 886. ITALIE, I,
- 886 ou 887 (Vers). LANDAFF. I,
- 886. LONDRES. II,
- 887 (Vers). CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 887. COLOGNE. I,
- 887 (Vers). LANDAFF. I,
- 887 (Vers). NIMES ou PORT. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- 887. TOURS. II,
- 887. URGEL. II,
- 888. AGAUNE ou SAINT-MAURICE. I,
- 888. MAYENCE. I,
- 888. METZ. I,
- 889. PAVIE. II,
- 889. VARENNES. II,
- 890. FORCHEIM. I,
- 890. VALENCE en Dauphiné. II,
- .......... Page(s) .......... 1299
- 891. MEHUN. I,
- 892. ANGLETERRE. I,
- 892. FRANCFORT. I,
- .......... Page(s) .......... 489
- 892. VIENNE en Dauphiné. II,
- .......... Page(s) .......... 743
- 893. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 489
- 893. ROME II,
- 894. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 894. FLAVIGNY. I,
- 894. JONQUIERES (apud Juniarias). I,
- 895 (Vers). ANGLETERRE. I,
- 895. TRIBUR. II,
- 896 ou 897. ROME. II,
- 897 ou 898. NIMES ou PORT. II,
- 898. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 898 ou 902. RAVENNE. II,
- 898. ROME. II,
- 898. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 643
- 898. TREVES. II,
- .......... Page(s) .......... 763
- 900. COMPOSTELLE. I,
- 900. (Vers). LANDAFF. II,
- 900 ou 903. LATRAN ou ROME. I,
- 900 ou environ. NORMANDIE. Concile dont le lieu et le temps sont incertains, mais que l'on croit du neuvième au dixième siècle, sur la discipline. Lenglet, d'apr. Bessin.
- .......... Page(s) .......... 489
- .......... Page(s) .......... 643
- 900 ou 903. ROME ou LATRAN. I,
- 901, ou 899 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- 902. ATTILLY ou NARBONNE. I, Lengl. d'apr. Martène, Thes. anecd. IV.
- 903. BAVIERE ou OTTINGEN. I,
- 903. FORCHEIM. I,
- .......... Page(s) .......... 645
- 905, ou 904 selon Lenglet. ANGLETERRE. I,
- 905. GIRONE. I,
- 906. BARCELONE. I,
- 906. BAVIERE. I,
- 906. HOLTZEKIRICH. I,
- 906. MACON ou SAINT-OYANT. II,
- .......... Page(s) .......... 645
- 906. SCONE. II,
- 907. CESSERON, au diocèse d'Agde. Gall. Chr. t. VI, col. 23.
- 907. NARBONNE ou SAINT TIBERI. II,
- .......... Page(s) .......... 1261
- 908. BERGAME. II,
- 908. FREYSINGEN. I,
- 909. JONQUIERES ou MAGUELONE. I,
- 909. SOISSONS. Sur la discipline. Lengl. d'apr. Labb. et Hard.
- 909. TROLI. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- 910. ROME. II,
- 911. CONSTANTINOPLE. I,
- 911. FONTAINE-COUVERTE ou NARBONNE. II,
- 912. HALBERSTADT. I,
- 912. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 853
- 912. TOURS. II,
- 913. PARIS ou FRANCE. II,
- 915. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 916. ALTHEIM. I,
- .......... Page(s) .......... 1007
- 918. CONSTANTINOPLE. Contre le schisme. Longl. d'apr. Mansi. Voyez
- 920. CONSTANTINOPLE. I,
- 920. LIEGE. I,
- 921. BONN. I,
- .......... Page(s) .......... 1179
- 922. COBLENTZ. I,
- .......... Page(s) .......... 489
- .......... Page(s) .......... 1179
- .......... Page(s) .......... 725
- 925. TOURS. II,
- 926. CHARLIEU. I,
- 927, ou 926 selon Lenglet. DUISBOURG. I,
- 927. TREVES. II,
- .......... Page(s) .......... 1179
- 928. GRATELEAN. I,
- 931. ALTHEIM. I,
- 932. DINGELFIND. I,
- 932. ERFURTH. I,
- .......... Page(s) .......... 461
- 933. CHATEAU-THIERRY. I,
- 934 ou 35. FIMES. I,
- 935. WALLES. II,
- 936. REIMS. II,
- 937. AUSEDE. I,
- 937. PAVIE. II,
- .......... Page(s) .......... 419
- 938. COMPOSTELLE ou SAINT-JACQUES. I,
- 940. CAMBRIDGE. Lengl. d'apr. Spelman, t. I.
- 940. ELNE, ou FONTAINE, ou NARBONNE. II,
- 941. REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 897
- 942. BONN. I,
- 943. BUNDEN. II,
- 943. CANTORBERY. II,
- 943 ou 50. LANDAFF. I,
- 944. CONSTANTINOPLE, I,
- 944. DUISBOURG. I,
- 944. LONDRES. I,
- 944. TOURNUS. II,
- 946, ou 947 selon Lenglet. ASTORGA. I,
- 947 ou 944. ELNE ou FONTAINE. Concile peut-être le même que le précédent.
- 947. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 1249
- 947. C
LOGNE. I,
- 948. INGELHEIM . I,
- 948. LAON. I,
- 948. LONDRES. I,
- 948. MOUZON. I,
- 948. TREVES. II,
- 949. ROME. II,
- 949. TOURNUS. II,
- 952. AUGSBOURG I,
- 952. FRANCFORT. I,
- .......... Page(s) .......... 935
- .......... Page(s) .......... 467
- 955. BOURGOGNE. I,
- 955 ou 950 selon Lenglet. LANDAIE. I,
- .......... Page(s) .......... 213
- 956. ROME. II,
- 958. ISGELHEIM. I,
- 959. QUEDLIMBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 461
- 962. MEAUX ou MARNE. I,
- 962. ROME. II,
- 963. CONSTANTINOPLE. I,
- 963. LAON. I,
- 963. ROME. II,
- 964, ou 959 selon Lenglet. BRANDORFORD. I,
- .......... Page(s) .......... 647
- 964. ROME. II,
- 965. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 447
- 965. WINCHESTER. II,
- .......... Page(s) .......... 467
- .......... Page(s) .......... 649
- .......... Page(s) .......... 1249
- 967. VERONE. II,
- 968. LIEGE. I,
- .......... Page(s) .......... 467
- .......... Page(s) .......... 649
- 968. SAINT-GALL. I,
- 969. ANGLETERRE ou CANTORBERY. I,
- 969. CONSTANTINOPLE. I,
- 969 (Vers). MAYENCE. I,
- 969. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 649
- .......... Page(s) .......... 649
- 970. MAGDEBOURG. I,
- 970. METZ. I,
- 971. COMPOSTELLE. I,
- 971. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 649
- .......... Page(s) .......... 1007
- 972. ANDREA ou MONT-SAINTE-MARIE I,
- 97. INGELHEIM. I,
- .......... Page(s) .......... 649
- 973. ANDREA ou MONT-SAINTE-MARIE, I,
- 973. BATH. I,
- 973. MARZAILLE. I,
- 973. MODENE. I,
- 973. ROME. II,
- 974 ou 975 CONSTANTINOPLE. I,
- 975. REIMS. II,
- 975. ROME. II,
- 975. WINCHESTER. II,
- 976. LAUREACUM ou LORC. I,
- .......... Page(s) .......... 467
- 977, ou 978 selon Lenglet. AMBRES-BIRE. I,
- 977, ou 978 selon Lenglet. CALN. I,
- 977. KYRTLINGTON. I,
- .......... Page(s) .......... 553
- 978. KETLING ou ABBENDON. II,
- 979 ou 980. INGELHEIM. I,
- 979. ROME. II,
- 980. LIEGE. I,
- 980. SENS. II,
- 980 et 982 (Entre). REIMS. II,
- 981. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 1161
- 982. ROME. II,
- 982. TOUL. II,
- 983 (1er juin). CHARROUX. Ce concile paraît ne devoir pas être confondu avec celui de l'an 989 cité plus bas. Gall. chr. t. II, p.
- 983. ROME. II,
- 983. TOUL. II,
- 985. LAUREACUM ou LORC. I,
- 985. REIMS. II,
- 986. SENS. II,
- 987. REIMS. II,
- 988, ou 982 selon Lenglet. LANDAFF. I,
- .......... Page(s) .......... 849
- 989. CHARROUX. I,
- .......... Page(s) .......... 491
- 990. FECAMP. I,
- 990 ou 994 (Vers). NARBONNE. II,
- 991. CANTORBERY. I,
- 991. HALBERSTADT. I,
- .......... Page(s) .......... 491
- 991. URGEL. II,
- 992. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 993. REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 651
- 994 ANSE. I,
- 994. PUY. Gull. Chr. t. VI, col. Aniciense, concile du Puy, pour Ansanum, concile d'Anse, le seul qui ait eu lieu. Les auteurs eux-mêmes du Gallia Christiana ont commis cette faute, et l'ont répétée à l'an 990, dans l' Index generatis du tome VI.
- 995. GANDERSHEIM. I,
- 995. MOUZON. I,
- 995. REIMS. II,
- 994 ou 995. VERONE. II,
- .......... Page(s) .......... 651
- 996, ou 997 selon Lenglet. SAINT-DENIS. I,
- 996, ou 995 selon Lenglet. SENS. II,
- 997. CONSTANTINOPLE, sur les mariages. Lengt. d'après Mansi, dit-il (t. II, Append. col. 58). Pour nous, il nous a été impossible de trouver ce concile, à une date semblable, dans la grande collection de Mansi.
- 997. CORMERY. I,
- 997. PAVIE. II,
- .......... Page(s) .......... 467
- 998 ou 999. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 653
- 999. GNESNE. I,
- 999. MAGDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 653
- 1000. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 1000 (Vers). FORLI. I,
- 1000. GANDERSHEIM. I,
- 1000 (Vers). ITALIE. I,
- .......... Page(s) .......... 419
- .......... Page(s) .......... 447
- 1000 (Vers). ROUEN. II,
- 1001. FRANCFORT. I,
- .......... Page(s) .......... 411
- 1001. ROME. II,
- 1001. TODI. II,
- 1002. FAENZA. I,
- 1002. FRANCE ou GAULE. I,
- 1002. ROME. II,
- 1002. TUDERTINA. II,
- .......... Page(s) .......... 937
- 1005. ARNEBORCH ou BRANDEBOURG. I,
- 1005. CONSTANCE. I,
- 1005. DORTMONT. I,
- 1005. TOULOUSE. Concile convoqué de concert par Raimond, évêque de Toulouse, et par le comte Guillaume. Gall. Chr. t. VI, col.
- 1006. FECAMP. I,
- 1006. PARIS. II,
- 1007 (Vers). ACUILEE. I,
- 1007. FALAISE.
- 1007. FRANCFORT. I,
- 1007. MAGDEBOURG ou HALLE. I,
- .......... Page(s) .......... 411
- .......... Page(s) .......... 651
- 1008. CHELLES I,
- 1008. WERLE. II,
- 1009. BARCELONE. I,
- 1009. ENHAM. I,
- 1009. GOSLAR. I,
- 1009 (Vers). MILAN. I,
- 1010. COME. II,
- 1010 OU 1011. POITIERS. Gall. Christ. t. II, col.
- 1011. MAYENCE. I,
- 1012, ou 1011 selon Lenglet. BAMBERG. I,
- 1012. COBLENTZ. I,
- 1012 (Vers l'an). HABA. Assemblée. Vers ce temps-là, Ethelrède, roi des Anglais, fit à Haba un code de lois, divisé en quatre parties, dont la quatrième concernait les matières ecclésiastiques. Il y est ordonné, entre autres choses, que tous les chrétiens en âge de jeûner jeûneront trois jours avant la fête de saint Michel, le lundi, le mardi et le mercredi, en ne mangeant ces jours-là que du pain et des herbes crues, et ne buvant que de l'eau; qu'ils iront à l'église nu-pieds pour se confesser; qu'il se fera pendant ces trois jours des processions, auxquelles les prêtres, comme le peuple, assisteront nu-pieds. Il y a un autre réglement qui porte que l'on chantera chaque jour dans toutes les assemblées du matin la messe intitulée: Contre les Païens, dans laquelle on priera en particulier pour le roi; et que, à chaque heure de l'office, on chantera, le corps étendu sur la terre, le psaume Domine, quid multiplicati sunt, avec la collecte contre les païens; ce que l'on continuera de faire tant qu'il y aura nécessité. Hist. des Aut. sacrés, t. XXIII.
- 1012. LEON. I,
- 1012 ou 1020. PAVIE. II,
- 1014. RAVENNE. II,
- 1014. ROME. II,
- 1014. VERONE. II,
- 1015. AQUILEE. I,
- 1015 (Vers). MILAN. I,
- 1015. REIMS. II,
- 1015. ROME. II,
- 1016. RAVENNE. II,
- 1017. LANGRES. I,
- 1017. LIETZGO. I,
- 1018. GOSLAR. I,
- .......... Page(s) .......... 123
- 1019. GIRONE. I,
- 1020 (Vers). AIRAC ou AIRY, I,
- 1020. BAMBERG. I,
- 1020. BEAUNE. I,
- 1020. DIJON. I,
- 1020. FRITZLAR. I,
- 1020. LYON. I,
- 1020. TOULOUSE. II,
- 1021. WINCHESTER. II,
- 1022. RODEZ. Gall. Chr. t. VI, col.
- .......... Page(s) .......... 847
- 1022 ou 23, ou 1021 selon Lenglet. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 1022. ALLEMAGNE. I,
- 1022 ou 1023. FRANCE, lieu incertain. II,
- 1022. GRONINGUE. I,
- 1022. LEYRA. I,
- 1022. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 687
- 1023. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 419
- 1024. PARIS. II,
- 1025. ANSE. I,
- 1025. ARRAS. I,
- 1025. PUY. Gall. Chr. t. VI, col.
- .......... Page(s) .......... 849
- 1027. AUSONE. I,
- 1027 ou 28. CHARROUX. I,
- 1027. CONSTANTINOPLE. I,
- 1027. ELNE ou TULUJES. I,
- 1027. FRANCFORT. I,
- 1027 ou 28. GEISLAR ou MAYENCE. I,
- 1027. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 419
- 1027 et 1031 (Entre), ou l'an 1030, selon Lenglet. VIENNE en Dauphiné. Synode, dans lequel l'archevêque Léodegaire assura aux moines de Saint-Pierre la possession de l'église de Cédran. Mansi, Conc. t. XIX.
- WOBMS. II,
- 1028. LIMOGES. I,
- 1028. MAYENCE. I, Hist. des Aut. sacr., t. XXIII.
- 1028. MERSEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 655
- 1029. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 411
- .......... Page(s) .......... 199
- 1029. PADERBORN. II,
- .......... Page(s) .......... 655
- .......... Page(s) .......... 419
- 1031. AUCH. I,
- 1031 (Vers). BOURGES. I,
- 1031. COMPOSTELLE. I,
- 1031 (Vers). FRANCE. Conciles. Le dérangement de saisons, vers l'an 1030, occasionna une famine si affreuse qu'en plusieurs endroits on mangea de la chair humaine. Les coupables furent punis; et on tâcha de subvenir à la misère publique en vendant les ornements des églises, en vidant leur trésor. La stérilité fut suivie de l'abondance. Alors les évêques et les abbés commencèrent, premièrement en Aquitaine, à ass mbler des conciles, dans l'assurance que la mémoire toute récen e des calamités et la considération des bienfaits de Dieu engageraient les hommes à la convers on de leurs moeurs. On en assembla ensuite dans la province d'Arles, dans celle de Lyon, par toute la Bourgogne, et jusqu'aux extrémités de la France. On portait à toutes ces assemblées les reliques des saints. Les seigneurs furent invités de s'y trouver, et les peuples y accouraient avec joie, parce qu'il s'opérait plusieurs miracles par la vertu de ces reliques. Tous, grands et petits, témoignèrent être disposés à écouter les évêques, et à exécuter leurs ordres comme s'ils venaient du ciel. On déclara par articles tous les crimes que l'on devait éviter, et les bonnes oeuvres que chacun s'engageait à f ire. L'article principal regardait la paix que l'on devait observer inviolablement, et il y était dit que les hommes, soit libres, soit serfs, marcheraient sans armes, quelques différends qu'i s eus ent eus ensemble auparavant; que les voleu s, ou usurpateurs du bien d'autrui, seraient punis, selon les lois, de peines pécuniaires ou corporelles. Il fut ordonné que les églises seraient des lieux de sûreté pour ceux qui s'y réfugieraient pour quelque crime que ce fût, hors celui de violement de la paix, do t les coupables pouvaient être pris même à l'autel; qu'il ne serait fait aucune insulte aux clercs et aux moines, ni aux religieuses, ni à ceux qui les accompagneraient dans leurs voyages; que chaque semaine on s'abstiendrait de vin le vendredi, et de chair le samedi, sinon en cas de maladie considérable ou de fête solennelle, et que celui qui en serait dispensé pour cause d'infirmité nourrirait trois pauvres. Vers le même temps un évêque de France qui disait avoir reçu des lettres du ciel pour le renouvellement de la paix, envoya à ses confrères les statuts suivants pour les publi r à leurs peuples: Personne ne prendra les armes, soit pour répéter ce qui lui aura été pris, soit pour venger le sang de son parent, mais il pardonnera aux meurtri rs. On jeûnera tous les vendredis au pain et à l'eau, et le samedi on s'abstiendra de chair. Ceux qui refuseront d'accomplir cette ordonnance seront excommuniés; on ne les visitera point à la mort, et ils seront privés de la sépulture. Ces réglements paraissant trop sévères, divers évêques refusèrent de les recevoir. Hist. des Aut. sacr. et eccl., t. XXIII.
- 1031. BEAULIEU OU LIMOGES. I,
- 1031. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 1175
- 1032 ou 33. PAMPELUNE. II,
- .......... Page(s) .......... 419
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 1283
- 1033. AUXERRE. I,
- 1033. CONSTANCE. I,
- .......... Page(s) .......... 655
- 1034 ou 1035. AQUITAINE, ou ARLES, ou BOURGES. I,
- .......... Page(s) .......... 725
- 1034. LANDAFF. I,
- 1834. LYON ou FRANCE. I,
- .......... Page(s) .......... 1061
- .......... Page(s) .......... 1175
- 1036. HILDESHEIM. I,
- 1035 ou 1036. POITIERS. II,
- .......... Page(s) .......... 1175
- 1037. MAGUELONNE, II,
- .......... Page(s) .......... 655
- .......... Page(s) .......... 1161
- 1038. AUSONE. Concile à l'occasion de la dédicace de l'église du Vie d'Ausone. On s'y occupa des limites de l'évêché de cette ville. M. de Mas-Lairie.
- 1038. GIRONE. I,
- 1038. ITALIE OU ROME. I,
- .......... Page(s) .......... 655
- 1040. BOURGES. I,
- 1040. MARSEILLE, I,
- .......... Page(s) .......... 1235
- 1040. VENDOME. II,
- 1040. VENISE. II,
- L'abbé Lenglet distingue deux conciles de Venise tenus en cette même année.
- 1041. BESANCON. I,
- 1041. FRANCE. I,
- 1041. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 1189
- 1042 ou 47. CAEN. I,
- 1042, ou 1041 selon Lenglet. CESENE. I,
- 1042. SAINT-GILLES. I,
- 1843, ou 1044 selon Lenglet. CONSTANCE. I,
- 1043. NARBONNE. II, s biens de l'abbaye de Saint-Michel de Cuxa en Roussillon. Lenglet d'après Martène.
- 1043. NARBONNE. II, Lenglet d'après Martène.
- .......... Page(s) .......... 655
- 1045. FLUVIANENSE. I,
- .......... Page(s) .......... 37
- 1046 ou 1047. ARLES, ou
LNE, ou TULU
ES. II,
- 1046. ROME OU SUTRI. II,
- .......... Page(s) .......... 655
- 1047. ALLEMAGNE. I,
- 1047. CONSTANCE. I,
- .......... Page(s) .......... 655
- .......... Page(s) .......... 737
- 1048. SENLIS. II,
- 1048. SENS. II,
- 1048. WORMS. II,
- 1049. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 383
- 1049. REIMS. II,
- 1049. ROME. II,
- 1049 (Vers). ROME. II,
- 1049 ou 50. ROUEN. II,
- 1050. BRIONNE. I,
- 1050. COYANCA. I,
- 11e siècle. FORLI. I,
- 1051. NARBONNE. Pour les biens de l'abbaye d'Arlas en Roussillon. Lengt.
- 1050. PARIS. II,
- 1050. ROME. II,
- 1050. SAINT-GILLES. I,
- 1050 ou 1056. SAINT-GILLES. 1,
- 1050. SAINT-TIBERI. II,
- .......... Page(s) .......... 877
- 1050. TOUL. II,
- .......... Page(s) .......... 1039
- 1050 (Vers). TREVISE. II,
- 1050. VERGEIL. II,
- 1051. GOSLAR. I,
- 1051. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 657
- 1051. SUBLAC. II,
- 1052. BAMBERG. I,
- 1052. LIMOGES. I,
- 1052 ou 53. SAINT-DENIS. I,
- 1052. WORMS. II,
- .......... Page(s) .......... 737
- 1053. GOZEK. I,
- 1053, ou 1052 selon Lenglet. MANTOUE. I
- .......... Page(s) .......... 657
- 1054. BARCELONE. I,
- 1054. CONSTANTINOPLE. I, nc.
- .......... Page(s) .......... 37
- .......... Page(s) .......... 415
- 1055. AUTUN. I,
- 1055. FLORENCE. I,
- 1055. LIEGE. I,
- 1055. LISIEUX. I,
- 1055. LYON. I,
- 1055. MAYENCE. I,
- 1055. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 1039
- 1056. CHALONS-SUR-SAONE. I, . Concile.
- 1056, ou 1055 selon Lenglet. COLOGNE. I,
- 1056. COMPOSTELLE. I,
- 1056. FONTANETO. I,
- .......... Page(s) .......... 691
- 1056. TOULOUSE. I,
- 1056. TOULOUSE. II, Lenglet, d'après Martène.
- 1057. NOVARRE. II, init. Concile réprouvé.
- 1057. ROME. II,
- 1058. BAMBERG. I,
- 1058. BARCELONE. I,
- 1038. ELNE. I,
- 1058. GRADO. Sur divers droits, Lenglet, d'apr. Mansi, dit-il; mais nous ne voyons pas qu'il soit question de ce concile dans la grande collection de Mansi.
- 1058. NARBONNE. II,
- 1058. ROME. II,
- 1058. SARAGOSSE. Sur une ligue contre les Mores. Lengl. d'apr. Aguirr t. .
- .......... Page(s) .......... 873
- 1059. ARLES. I,
- 1059. BENEVENT. I,
- 1059. LANDAFF. I,
- 1059. MELFI. I,
- .......... Page(s) .......... 721
- 1059. REIMS. II,
- 1059. ROM. II,
- 1059. ROME. II,
- 1059 ou 1060. S
ALATRO. II,
- .......... Page(s) .......... 919
- 1060, ou 1061 selon Lenglet. AVIGNON. I,
- 1060 ou 1063. JACCA. I,
- 1060. ROUEN. Synode.
- 1060. TOULOUSE. II,
- .......... Page(s) .......... 1039, 1261
- .......... Page(s) .......... 1261
- 1061. AUTUN. I,
- 10
1. BALE. I,
- 1061. BENEVENT. I,
- 1061. CAEN. I,
- 1061. ROME. II,
- 1061. SLESWICK. II,
- 1062. ANGERS I,
- 1062. BENEVENT. I,
- 1062. FLORENCE. Contre l'anti-pape Cadaloüs. Lengl.
- 1062. GERMANIE. I,
- .......... Page(s) .......... 385
- 1062. LUCQUES. I,
- .......... Page(s) .......... 201
- 1062. PARME. II,
- 1062. PAVIE. Contre l'anti-pape Cadaloüs. Lengl.
- .......... Page(s) .......... 661
- .......... Page(s) .......... 397
- 1063. CAHORS. I,
- 1063. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 1063. MOISSAC. I,
- .......... Page(s) .......... 661
- .......... Page(s) .......... 1207
- 1064. BARCELONE. I,
- 1064. BARI. Sous Arnoul, vicaire du pape Alexandre II. Lengl.
- 1064. BARI. Sous l'archevêque André. Lengl. ex anonym. Barrensi.
- 1064. CAMBRAI. I,
- 1064. CHALONS-SUR-SAONE. Gal'. chr. t. IV, col. 443. Ce concile où un évêque de Lodève souscrivit à une charte donnée par l'évêque de Nevers en faveur de l'abbaye de Saint-Etienne, est peut-être, sauf erreur de date, le même que celui que nous avons rapporté à l'an 1063.
- 1064. MANTOU. I,
- .......... Page(s) .......... 691
- 1065. AUTUN. I,
- .......... Page(s) .......... 1189
- .......... Page(s) .......... 661
- 1065. WESTMINSTER. II,
- 1066. COMPIEGNE. II,
- 1066. CONSTANTINOPLE. I,
- 1066. GRADO. II,
- 1066. LILLEBONNE. I,
- 1066. LONDRES OU WESTMINSTER. Assemblée ou parlement où se trouvèrent, avec le roi Edouard et les principaux seigneurs, les deux archevêques de Cantorbery et d'Yorck, et la plus grande partie des évêques de l'Angleterre. On s'y occupa de la dotation et des priviléges de l'église de Saint-Pierre de Westminster, qui venait d'être rebâtie et consacrée de nouveau. Labb. IX.
- 1067. CONSTANTINOPLE. I,
- 1067. JUMIEGES. II,
- 1067. MANTOUE. I,
- .......... Page(s) .......... 735
- 1067. POITIERS. II,
- .......... Page(s) .......... 757
- 1068. AUCH. I,
- 1068. AUCH. Concile autre que le précédent, selon Lenglet. Voyez Ma
Ann., t. V, p.
- 1068. AUSONE. I,
- 1068. BORDEAUX. I,
- 1068 (Vers l'an). ESPAGNE OU LEYRA. Concile tenu par le cardinal légat Hugues le Blanc. On y abolit le rite gothique ou mozarabique, pour y substituer le rite romain.
- 1068. GIRONE. I,
- 1068. ROUEN. II,
- 1068. TOULOUSE. II,
- 1069. MAYENCE. I,
- 1069. RENNES. II,
- 1069. SOISSONS. II,
- 1069. WORMS. II,
- 1070. ANSE. I,
- 1070. LEYRA en Espagne. Sur les priviléges de cette abbaye. Lenglet, d'apr. Mab. Ann., t. V, p.
- 1070. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 133
- .......... Page(s) .......... 661
- .......... Page(s) .......... 1275
- .......... Page(s) .......... 1283
- 1070. WINDSOR. II,
- 1071 (Vers). AUTUN. Concile présidé par Hugues, archevêque de Lyon, et auquel assistèrent les évêques de Besançon, de Mâcon et de Châlons avec celui d'Autun. Grâce à la médiation de saint Hugues, abbé de Cluny, le concile put amener Robert, duc de Bourgogne, à faire satisfaction à l'évêque d'Autun qui avait à se plaindre de ses vexations. Gall. chr., t. IV, col.
- 1071. GERMANIE OU MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 385
- 1071. SENS. II,
- 1072. ANGLETERRE. I,
- 1072. CHALONS-SUR-SAONE I,
- 1072. PARIS. II,
- 1072. ROME. II, Concile.
- 1072. ROUEN. II,
- 1072. TOUL. II,
- 1073. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 1073. ERFURTH. I,
- .......... Page(s) .......... 139
- 1073. ORRE dans le Bigorre. Conc. provincial d'Auch, pour l'abbaye de Simorra, à la juridiction de laquelle les moines de Sainte-Dode prétendaient se soustraire. On ne put les mettre à la raison qu'au moyen de l'épreuve de l'eau froide.
- 1073. POITIERS. II,
- .......... Page(s) .......... 435
- .......... Page(s) .......... 693
- .......... Page(s) .......... 1161
- 1074. ANGLETERRE. Conciliabule où l'on déposa injustement saint Wulstan. Lengl. d'apr. Hard.
- 1074. ER
URTH. I,
- 1074. LIEGE. I,
- .......... Page(s) .......... 243
- .......... Page(s) .......... 375
- 1074. POITIERS. II,
- 1074. REIMS. II,
- 1074. ROME. II,
- 1074. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 695
- 1074 ou 1075. SAINTES. II,
- 1074. TOUL. II,
- 1075. ANGLETERRE. I,
- 1075. BENEVENT. I,
- 1075. LONDRES. I,
- 1075. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 461
- 1075. ROME. II,
- 1075, ou 1074 selon Lenglet. SAINT-MAIXENT OU POITIERS. I,
- 1075. SALONE. II,
- 1075. SPALATRO. II,
- 1075. TOULOUSE. II,
- 1076. BURGOS. Gall. chr. t. VI, col. 44. Ce concile, sauf une erreur de date, paraît être le même que celui de 1080, tenu par le même légat et pour le même objet.
- 1076 (Vers). COLOGNE. Un homme qui avait perdu ses deux yeux en blasphémant contre Dieu et saint Annon, et qui les avait recouvrés en invoquant le même saint, rendit témoignage devant ce concile de la vérité du miracle dont il avait été le sujet. Gall. chr. t. III, col.
- 1076. ECOSSE. I,
- 1076 ou 1077. LYON OU ANSE. I,
- .......... Page(s) .......... 147
- .......... Page(s) .......... 383
- 1076. POITIERS. II,
- 1076. ROME. II,
- 1076. SALONE. II,
- 1076. TOUL. II,
- .......... Page(s) .......... 1175
- .......... Page(s) .......... 1283
- 1076. WORMS. II,
- 1077. AUTUN. I,
- 1077. BEC. II,
- 1077. BESALU. I,
- 1077. CAEN. II,
- 1077. CLERMONT. I,
- 1077. COLOGNE. I,
- 1077. COLOGNE. I,
- 1077. DIJON. I,
- 1077. FORCHEIM. I, . Concile.
- 1077. GRECE. II,
- .......... Page(s) .......... 1279
- 1078. BORDEAUX. I,
- 1078. GIRONE. I,
- 1078. LONDRES. I,
- 1078. POITIERS. II,
- 1078. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 665
- 1078. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 897
- 1079 et 1080. BORDEAUX. I,
- 1079. PETITE BRETAGNE OU RENNES. I,
- 1079. ROME. II,
- 1079. SAINT-GENES. I,
- 1079. TOULOUSE. II,
- .......... Page(s) .......... 1207
- 1080. AVIGNON. I,
- 1080. BRIXEN. I,
- 1080. BURGOS. I,
- 1080 (Vers). CHARROUX. I,
- 1080. LANGRES. I,
- 1080. LILLEBONNE. I,
- 1080. LYON. I, , comme le porte notre Dictionnaire par une erreur d'impression.
- 1080. MAYENCE. I,
- 1080. PAMPELUNE. II,
- .......... Page(s) .......... 667
- 1080. SAINTES. II,
- 1080. SENS. II,
- .......... Page(s) .......... 1249
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1081. BOURGES OU ISSOUDUN. I,
- .......... Page(s) .......... 383
- .......... Page(s) .......... 667
- 1081. SAINTES. II,
- .......... Page(s) .......... 753
- .......... Page(s) .......... 751
- 1082. CHARROUX. I,
- 1082. LYON. II,
- 1082. MEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 143
- 1083. HUZILLOS. I,
- .......... Page(s) .......... 667
- .......... Page(s) .......... 753
- .......... Page(s) .......... 667
- 1085. BERBAC. II,
- 1085. COMPIEGNE ou SAINT-CORNEILLE. I,
- 1085 ou 1087. GLOCESTER. I, . Concile.
- 1085. LONDRES. I,
- 1085. MAYENCE. I,
- 1085. PETERSTADT. II, . Assemblée mixte.
- 1085. QUEDLIMBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 667
- .......... Page(s) .......... 1285
- .......... Page(s) .......... 725
- 1086. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 469
- 1087. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 1087. BAMBERG. I, . Synode dioc.
- 1087. BENEVENT. I,
- 1087. CAPOUE. I,
- .......... Page(s) .......... 753
- 1088. PALENCIA ou HUZILLOS. II,
- .......... Page(s) .......... 1161
- 1089. MELFI. I,
- .......... Page(s) .......... 667
- 1089. SAINTES. II,
- .......... Page(s) .......... 1001
- 1090. ARRAS. I,
- 1090. BEZIERS. I,
- 1090. MAYENCE. I,
- 1090. TOLEDE. II,
- 1090. TOUL. II,
- 1090. TOULOUSE. II,
- 1090. TOURNAY. II,
- 1091. BENEVENT. I,
- 1091, ou 1092 selon Lenglet. ETAMPES. I,
- 1091. LEON. I,
- 1091. NARBONNE. II,
- 1091. ROUEN. II,
- 1091. TOUL. II,
- 1092. COMPIEGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 213
- 1992. REIMS. II,
- 1092. REIMS. II, . Autre concile au sujet de l'élection de l'évêque d'Arras.
- .......... Page(s) .......... 897
- 1092. SZABOLCHS. II,
- .......... Page(s) .......... 1293
- 1093. BORDEAUX. I,
- 1093. CANTORBERY. I,
- 1093. HEILIGENSTADT. I,
- 1093. ROME. Concile où le pape Urbain II excommunia Obert, évêque de Liége, comme coupable de simonie et de l'usurpation de plusieurs églises. Gall. Christ., t. III, p. in Instrumentis.
- .......... Page(s) .......... 697
- 1093 ou 1108. TROIA. II,
- .......... Page(s) .......... 1205
- 1094. AUTUN. I,
- 1094. AUTUN. I,
- 1094. BRIOUDE ou BRIVES. I,
- 1094. CONSTANCE. I,
- 1094. DOL. I,
- 1094 ou 1095. MAYENCE. I,
- 1094. POITIERS. Conc. de la province de Bordeaux. Gall. Chr., t. II, col.
- 1094. REIMS. II,
- 1094. ROCKINGHAM. II,
- 1095. ANGLETERRE. I,
- 1095. AUVERGNE. Pour établir une trève dans le royaume. Martène, Thes. anecd. IV. Ce concile, distingué par Lenglet de celui de Clermont, n'est autre que celui-ci.
- 1095. CLERMONT. I,
- 1095. COMPIEGNE. I,
- 1095. GLOCESTER. Sur les libertés ecclésiastiques. Lengl. d'apr. Mansi, t. II, Suppl. Nous n'avons pu trouver ce concile dans la grande collection de Mansi.
- 1095. LIMOGES. I,
- .......... Page(s) .......... 409
- 1095. ARRAS. II,
- 1096. CLERMONT, I,
- 1096. NIMES. II,
- .......... Page(s) .......... 693
- .......... Page(s) .......... 753
- .......... Page(s) .......... 1039
- 1097. ARRAS. I, init. Synode diocésain.
- 1097. GIRONE. I,
- 1097. IRLANDE. I,
- 1097. REIMS. II,
- 1098. ARRAS. I,
- 1098. BARI. I,
- 1098. BORDEAUX. I,
- 1098 ou 99. LYON. I,
- 1098. MILAN. Concile assemblé sous la présidence de l'archevêque Anselme, et où se trouvèrent des évêques tant de France que d'Italie, entre autres l'archevêque d'Arles. On s'y occupa de la réforme du clergé et de l'expulsion de certains ambitieux qui avaient envahi plusieurs siéges épiscopaux. Mansi. Conc., t. XX.
- 1098. ROME. II,
- 1098. ROME II,
- 1099. Ansillae (apud Portum). I,
- 1099. CONTANTINOPLE. I,
- 1099. ETAMPES. I,
- 1099. FRANCE, lieu incertain. II, Voy. aussi LYON, l'an 1098 ou 1099.
- 1099. GISSONE, I,
- 1099. JERUSALEM. I,
- .......... Page(s) .......... 717
- 1099. ROME. II,
- 1099. SAINT-OMER. II,
- 1100. ANSE. I,
- 1100. LAMBETH. I,
- 1100. MELFI. I,
- 1100. POITIERS. II, . Concile légatin.
- 1100. SOISSONS. II,
- .......... Page(s) .......... 1221
- 1101. ARRAS. I,
- 1101. GIRONE. II,
- 1102. LATRAN ou ROME, II,
- 1102. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1269
- 1103. LONDRES. I,
- 1103. MARSEILLE. I,
- 1103 ou 1101, selon Lenglet. MILAN. I,
- 1103. PADERBORN. II,
- .......... Page(s) .......... 671
- 1104. BEAUGENCI. I,
- 1104. FUSSEL ou HUZILLOS, ou PALEN CIA. I,
- .......... Page(s) .......... 425
- .......... Page(s) .......... 461
- .......... Page(s) .......... 671
- 1104. TROYES. II,
- .......... Page(s) .......... 671
- .......... Page(s) .......... 671
- 1105. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 17
- .......... Page(s) .......... 243
- .......... Page(s) .......... 449, 138
- .......... Page(s) .......... 501
- 1105. SENS. II,
- .......... Page(s) .......... 937
- 1105. TOUL. II,
- 1106. FECAMP. I,
- 1106 ou 1105, selon Lenglet. FLORENCE. I,
- 1106. GUASTALLA. I,
- 1106. LISIEUX. I,
- 1106. MODENE. II,
- .......... Page(s) .......... 425
- 1107. JERUSALEM. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- 1107. LESTINES. II,
- 1107. LISIEUX. I,
- 1107. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 17
- .......... Page(s) .......... 409
- .......... Page(s) .......... 431
- 1107. SAINT-BENOIT-SUR-LOIRE. I,
- .......... Page(s) .......... 1161
- 1107. TROYES. II,
- 1108. BENEVENT. I,
- 1108. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1251
- 1109. LONDRES. I,
- 1109. LOUDUN. I,
- .......... Page(s) .......... 425
- .......... Page(s) .......... 501
- 1110. CLERMONT. I,
- 1110. COLOGNE. I,
- 1110. CONSTANTINOPLE. I,
- 1110. COROGNE. II,
- 1110. LATRAN. I,
- 1110. MAGDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 671
- 1110. SAINT-BENOIT-SUR LOIRE. I,
- 1110. SOISSONS. II,
- 1110. TOULOUSE. II,
- 1111. CAPOUE. II,
- 1111. JERUSALEM. I,
- 1111. LATRAN ou ROME. I,
- 1111. TOUL. II,
- .......... Page(s) .......... 1255
- 1112. Aix en Provence. I,
- .......... Page(s) .......... 737
- 1112. ANSE, I,
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1112. C MBRAI. I, . Syn. diocés.
- 1112. JERUSALEM. I,
- 1112. L
TRAN OU ROME. I,
- .......... Page(s) .......... 1207
- .......... Page(s) .......... 1261
- 1113. BENEVENT. I,
- 1113. CHALONS-SUR-MARNE. II,
- 1113. REIMS. II,
- 1114. BEAUVAIS. I,
- 1114. CEPERANO. I,
- 1114. COMPOSTELLE. I,
- 1114. DALONE. I,
- 1114. ELNE. I,
- 1114. GRAN. I,
- 1114. LEON. I,
- 1114. PALENCIA. II,
- .......... Page(s) .......... 383
- 1114. REIMS. II,
- 1114. STRIGONIE ou GRAN. I,
- 1114. WINDSOR. II,
- 1115. CHALONS-SUR-MARNE. I,
- .......... Page(s) .......... 459
- 1115. COLOGNE. I,
- 1115. GOSLAR. I,
- 1115. OVIEDO. II,
- 1115. REIMS. II,
- 1115. SOISSONS. II,
- 1115. SYRIE. II,
- 1115. TOURNUS. II,
- 1115. TROIA. II,
- 1115. VIENNE en Dauphiné. II, . Concile.
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1116. COLOGNE. Sur l'archevêque de Mayence. Lengl. d'apr. Usperg. in Chron.
- 1116 ou 1117, selon Lenglet. DIJON. 1,
- 1116. LANGRES ou L x. I,
- 1116. LATRAN ou ROME. I,
- .......... Page(s) .......... 671
- 1116. SALISBURY. Serberianum Conc. II,
- 1116 TOUL. II,
- 1117. ANGOULEME. I,
- 1117. BENEVENT. I,
- 1117. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 1027
- 1118. ANGOULEME. II,
- 1118. CAPOUE. I,
- 1118. FRITZLAR. I,
- 1118. ROUEN. II,
- 1118. TOULOUSE. II,
- 1118. VIENNE en Dauphiné. II,
- Concile tenu par le pape Gélase II.
- 1118. WORMS. II,
- 1119. AUGSBOURG. I,
- 1119. BENEVENT. I,
- 1119 ou 1118, selon Lenglet. COLOGNE. I,
- 1119. LISIEUX. I,
- 1119. REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 507
- 1119. ROUEN. II,
- 1119. TOULOUSE. II,
- 1120 ou 1119, selon Lenglet. BEAUVAIS. I,
- 1120. HALBERSTADT. I,
- 1120. NANTES. II,
- .......... Page(s) .......... 33
- 1120. VIENNE. II,
- 1121. AVRANCHES. I,
- 1121. ERFURTH. I,
- 1121. HALBERSTADT. I,
- 1121. QUEDLIMBOURG. Assembl. mixte, où se trouva l'empereur Henri V. au sujet des différends qu'il avait avec l'Eglise. Anselm. Gemblac. Cette assemblée est peut-être la même que celle qu'un autre écrivain du temps a placée à Wirtzbourg. Usperg. Labb. X.
- .......... Page(s) .......... 671
- .......... Page(s) .......... 899
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1122. GLOCESTER. I,
- 1122 MAYENCE. I,
- 1122. ROME. II,
- 1122. TOUL. II,
- .......... Page(s) .......... 1301
- 1123. BOURGES. II,
- 1123. LATRAN ou ROME. I, er général de L tran, 9 e oecuménique.
- 1124. BEAUVAIS. I,
- 1124. BESANCON. I,
- 1124. CHARTRES. I, ile légatin.
- 1124. CLERMONT. Concile mentionné par la Chronique de Maillezais. Labb. X .
- 1124. LIEGE. I,
- 1124. MAYENCE. I,
- 1124. TOULOUSE. II,
- 1124. VIENNE en Dauphiné. II,
- .......... Page(s) .......... 713
- 1125. LONDRES. I,
- 1125. NARBONNE. II,
- 1126. BARCELONE. II,
- 1126. LYON. I,
- 1126. MAGDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 553
- 1126. ROME. II,
- 1126. ROUEN. II,
- 1126. SEEZ. II,
- 1127. LONDRES. I,
- 1127. MAYENCE. I,
- 1127. NAN
ES. II,
- 1127. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 905
- 1127. TORZELLO. II,
- 1127. TROIA. II,
- .......... Page(s) .......... 1211
- .......... Page(s) .......... 1287
- .......... Page(s) .......... 1301
- 1128. ARRAS. I,
- 1128. BORDEAUX. I,
- 1128. BOURG-DEOLS. I,
- 1128. DOL. I,
- 1128. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 383
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 507
- 1128. ROUEN. II,
- 1128. ROME. II,
- 1128. TROYES. II,
- 1129. CHALONS-SUR-MARNE. I,
- 1129. LAUFFEN. I,
- 1129. LONDRES. I,
- 1129. NARBONNE. Concile où l'archevêque Arnauld de Levezon assura aux chanoines de sa cathédrale la possession de diverses églises, pour les encourager eux-mêmes à la pratique de la vie régulière. Gall. Chr., t. IV, col.
- .......... Page(s) .......... 199
- 1129. PALENCIA. II,
- .......... Page(s) .......... 243
- 1129. REIMS. Ce concile est douteux. Gall. Chr., t. III, col. 86.
- 1129. ROME. Concile où Otton, évêque d'Halberstadt, fut déposé par le pape Honorius II, pour crime de simonie Conc. germ., t. III.
- 1130. C
ERMONT. I,
- 1130. ETAMPES. I,
- 1130. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 435
- .......... Page(s) .......... 447
- 11 0. REIMS. II, . Conc. provinc
- 1130. SAINT-GILLES. II,
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1131. HILDESHEIM. I,
- 1131. LIEGE. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1131. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 507
- .......... Page(s) .......... 1161
- 1132. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 1132. COLOGNE. I,
- 1132. CREIXAN. I,
- 1132. HILDESHEIM. I,
- 1132. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 409
- .......... Page(s) .......... 509
- .......... Page(s) .......... 937
- 1
33. JOUARRE. I, que nous ayons dit le contraire au t. I.
- .......... Page(s) .......... 445
- 1133. REDON. II,
- 1153. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1134. MONTPELLIER. I,
- 1134. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 399
- .......... Page(s) .......... 397
- 1135. AUGSBOURG. I,
- 1135. BAMBERG. I,
- 1135. LEON. I,
- 1135. M
LAN. I,
- 1135. NAN
ES. II,
- 1135. TOURNAY. II,
- 1135. TREVES. II,
- 1135. VERDUN. II, . Synode.
- 1136. ANTIOCHE. I,
- 1136. BURGOS. I, . Assem. mixte.
- 11
6. JERUSALEM. I,
- .......... Page(s) .......... 1279
- 1136. MAGDEBOURG. I,
- 1136 ou 1138. NORTHAMPTON. II,
- 1136. TOUL. II,
- 1136. TREVES. II,
- .......... Page(s) .......... 1279
- 1136. WIRTZBOURG. II,
- 1137. BORDEAUX. I,
- 1137. HALBERSTADT. I,
- 1137. HERFORD. I,
- 1137. MELFI. I,
- 1137. VALLADOLID. II,
- 1137. WIRTZBOURG. II,
- 1137. SALERNE. Conférence pour l'extinction du schisme d'Anaclet. Voy. Hist. de S. Bernard par l'abbé Ratisbonne.
- 1138. ARRAS. I,
- 1138. COLOGNE. I,
- 1138. KARLEL. I,
- 1138. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1279
- .......... Page(s) .......... 1279
- 1139. LATRAN ou ROME, I, e général de Latran, 10 e oecuméniq.
- 1139. MAGDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 1005
- 1139. UZES II,
- .......... Page(s) .......... 1285
- 1140. CONSTANTINOPLE. I,
- 1140. FREYSINGEN. I,
- 1140. NARBONNE. Pour les captifs. G tl. Chr., t. VI, col. 316.
- .......... Page(s) .......... 461
- 1140. SENS. II,
- 1141, ou 1142 selon Lenglet. ANTIOCHE. I,
- 1141. HALBERSTADT. I,
- 1141. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 131
- 1141. REGGIO. II,
- .......... Page(s) .......... 509
- .......... Page(s) .......... 763
- .......... Page(s) .......... 1255
- 1141. VIENNE en Dauphiné. Concile.
- .......... Page(s) .......... 1, 80
- .......... Page(s) .......... 1285
- 1142. LAGNY. I,
- 1142 ou 43. LONDRES. I,
- 1142. TREVES. II,
- 1142. WESTMINSTER. II,
- 1142. WINCHESTER. II,
- 1143. CONSTANTINO LE. I,
- 1143. FREYSINGEN. I,
- 1143. GIRONE. I,
- 1143. JERUSALEM. I,
- 1143. LINCOLN. I,
- 1143. MAYENCE. I,
- 1143. WINCHESTER. II,
- 1144. CONSTANTINOPLE. I,
- 1144. LIEGE. I,
- 1144. ROME. II,
- .......... Page(s) .......... 933
- 1145. BOURGES. I,
- 1145. HALL. I,
- 1146. BAVIERE. Pour la croisade contre les Turcs. Lenglet.
- 1146. CHARTRES. I,
- 1146. COLOGNE, I,
- 1146. FULGINE. II,
- 1146. HALL. I,
- 1146. HILDESHEIM. I,
- 1146. LAON. I,
- 1146. TARAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1147. CONSTANTINOPLE. I,
- 1147. ETAMPES. I,
- 1147. FRANCFORT. I,
- 1147. HALBERSTADT. I,
- 1147. HILDESHEIM. J,
- .......... Page(s) .......... 243
- .......... Page(s) .......... 763
- 1148. LINCOPING. I,
- 1148. MARSI. I,
- .......... Page(s) .......... 215
- .......... Page(s) .......... 509
- 1148. TREVES. II,
- 1149. BORDEAUX. I,
- 1149. HILDESHEIM. I,
- 1149. MAYENCE ou ERFURTH. I,
- .......... Page(s) .......... 905
- 1150. BAMBERG. I,
- 1150. HALBERSTADT. I,
- 1150. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 461
- .......... Page(s) .......... 763
- .......... Page(s) .......... 1205
- 1151. LONDRES. I,
- 1151. LIEGE. I,
- 1151 ou 1152, selon Lenglet. METZ. I,
- 1151 ou 1152. BEAUGENCI.
- .......... Page(s) .......... 521
- .......... Page(s) .......... 735
- 1152. CONSTANCE. I,
- 1152. GRADO. II,
- 1152. IRLANDE ou MELLIFONT. I,
- .......... Page(s) .......... 735
- 1152. TREVES. II,
- .......... Page(s) .......... 1241
- .......... Page(s) .......... 139
- 1153. CONSTANCE. I,
- 1153 ou 54. CONSTANTINOPLE. I,
- 1153. MACON. I, e de MACON.
- 1153 ou 54. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 1301
- 1154. AUGSBOURG. I,
- 1154 ou 1152, selon Lenglet. BOURGUEUIL. I,
- 1154. HALBERSTADT. I,
- 1154. LONDRES. I,
- 1154. MORET. I,
- 1154. NOGAROL. II,
- .......... Page(s) .......... 699
- 1154. SALAMANQUE. II,
- 1155. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 901
- 1155. VALLADOLID. II,
- 1156. CONSTANTINOPLE. I,
- 1156. TORRE. II,
- 1157 ou 61. ANGERS. I,
- 1157. ARLAS ou ROUSSILLON. Assemblée d'évêques pour la dédicace de l'église d'Arles.
- 1157. CASTRO-MORELLO en Aragon. Concile ou les évêques rassemblés, sous la présidence de l'archevêque de Tarragone, confirmèrent, en présence du comte Raymond, de la reine d'Aragon, comtesse de Barcelone, et d'un grand nombre de seigneurs, les priviléges du monastère de Saint-Ruf du diocèse de Valence en Dauphiné. Mansi, Conc. t. XXI.
- 1157. CHICHESTER. I,
- 1157. HALBERSTADT. I,
- 1157. MAGDEBOURG. I,
- 1157. NORTHAMPTON. II,
- .......... Page(s) .......... 521
- .......... Page(s) .......... 521
- .......... Page(s) .......... 687
- 1158. WATERFORD. II,
- 1159. EMBRUN. I,
- 1159. MAYENCE. I,
- 1160. ANAGNI. I,
- 1160. CREMONE. I,
- 1160. FRISAC. I,
- 1160. NAZARETH. II,
- 1160 ou 1161, selon Lenglet. OXFORD. II,
- 1160 et non 1159, comme le prétend Lenglet. Voy. Gall. Chr. III,
- .......... Page(s) .......... 383
- 1161. BEAUVAIS. I,
- 1161. ERFURTH. I,
- 1161. FRANCFORT. I,
- 1161. LODI. I,
- .......... Page(s) .......... 57
- 1161. RODEZ. II,
- 1161. TOULOUSE. II,
- 1162. BESANCON. I,
- 1162 LONDRES. I,
- 1162. MAGDEBOURG. I,
- 1162. MONTPELLIER. I,
- .......... Page(s) .......... 1205
- 1162. WESTMINSTER. II,
- 1163. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 747
- .......... Page(s) .......... 1039
- 1163. TREVES. II,
- 1164. CLARENDON. I,
- 1164. NORTHAMPTON. II,
- .......... Page(s) .......... 243
- .......... Page(s) .......... 521
- 1164. VIENNE en Dauphiné. II,
- 1165 ou 1167, selon Lenglet. CHINON. I,
- 1165. SALAMANQUE. II,
- .......... Page(s) .......... 857
- 1165. WIRTZBOURG. II,
- 1166. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 1166. CONSTANTINOPLE. I,
- 1166. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- .......... Page(s) .......... 205
- 1167. ANGLETERRE. I,
- 1167. LATRAN. I,
- 1167. SAINT-FELIX. I,
- 1168. CONSTANTINOPLE. I,
- 1168. LAVAUR. I,
- 1169. NORWICH, II,
- 1169. STRIGONIE. II,
- 1169 WIRTZBOURG. II,
- 1170. ANGOULEME. I,
- 1170. BOISSE. I,
- 1170. CONSTANTINOPLE. I,
- 1170. FREYSINGEN. I,
- 1170. LONDRES. I,
- 1170. PARIS. II,
- 1171. ARMACH. I,
- 1171. CONSTANTINOPLE. I,
- 1171. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 763
- 1172. AVRANCHES. I,
- 1172. CASHEL ou LIMERICK. I,
- 1173. CAEN. I,
- 1173. LONDRES ou WESTMINSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 1207
- .......... Page(s) .......... 1293
- 1174. NAUMBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 461
- 1175. HALL de Magdebourg. I,
- 1175. LONDRES. I,
- 1175. SALAMANQUE. II,
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1176. ALBI. Concile où assista un évêque de Poitiers. Gall. Chr. t. II, col.
- 1176. DUBLIN. I,
- .......... Page(s) .......... 747
- 1176 ou 1165. LOMBERS. I,
- 1176. NORTHAMPTON. II,
- 1176. RENNES. II,
- 1176. WESTMINSTER. II,
- 1177. BEC. II,
- 1177. ECOSSE ou Castellum puellarum. I,
- 1177. EDIMBOURG. I,
- 1177 MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 919
- .......... Page(s) .......... 931
- .......... Page(s) .......... 1211
- 1177. WESTMINSTER. II,
- 1178. HALBERSTADT. I,
- 1178. HILDESHEIM. I,
- 1178. HOCHENAU. I,
- .......... Page(s) .......... 1015
- 1179. HALBERSTADT. I,
- 1179. LATRAN ou ROME I, e général de Latran, 11 e oecuménique.
- 1179. TREVES. II,
- .......... Page(s) .......... 763
- 1180. TARRAGONE. II,
- 1181. AQUILEE. I,
- 1181. BA
AS. I,
- 1181. PUY. II,
- 1182. CAEN. I,
- 1182. LIMOGES. I,
- 1182. MER EBOURG. I,
- 1182. MARLEBERG. I,
- .......... Page(s) .......... 831
- 1183. ANGLETERRE. I,
- 1183. ARRAS. I,
- 1183. DUBLIN. I,
- 1183. HALBERSTADT. I,
- 1184. AQUILEE. I,
- 1184. HALBERSTADT. I,
- 1184. VERONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1185. LONDRES. I,
- 1185. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 901
- 1186. CHARROUX. I,
- 1186. COLOGNE. I,
- 1186. CONSTANTINOPLE. I,
- 1186. DUBLIN. I,
- 1186. EGENESHAM. I,
- 1186. HALBERSTADT. I,
- 1186 ou 87. MOUZON. I,
- 1187. COLOGNE. I,
- 1187. LIBNITZ. I,
- .......... Page(s) .......... 375
- 1187. TREVES. II,
- 1188. ANGLETERRE. I,
- 1188. GISORS. I,
- 1188. GUNTINGTON. I,
- 1188. LANCISKI. I,
- 1188. LIEGE. I,
- 1188. MANS. I,
- 1188. MAYENCE. I,
- 1188. PARIS. II,
- 1189. CANTORBERY. I,
- 1189. CRACOVIE. I,
- 1189. HALBERSTADT. I,
- 1189. PADERBORN. II,
- .......... Page(s) .......... 393
- .......... Page(s) .......... 609
- 1189. TREVES. II,
- 1190. FREYSINGEN. I,
- 1190. GLOCESTER (Glavornensis syn.). I,
- 1190. SALAMANQUE. II,
- .......... Page(s) .......... 1255
- 1190. WESTMINSTER. II,
- 1190 WESTMINSTER II,
- 1191. HILDES
IM. I,
- 1191. LONDRES. I,
- 1191. MAYENCE. I,
- 1192. TOUL. II,
- 1193. CANTORBERY. I,
- 1193, ou 1195 selon Mansi. COMPIEGNE ou REIMS. I,
- 1193. HILDESHEIM. I,
- 1193. ROME. II,
- 1195. FRANCFORT. I,
- 1195. LAUFFEN ou SALTZBOURG. I,
- 1195. MONTPELLIER. I,
- .......... Page(s) .......... 199
- .......... Page(s) .......... 1301
- 1196. BAMBERG. I,
- 1196. LIE
E. I,
- 1196 MAYENCE. I,
- 1196. PARIS. II,
- 1196. WORMS. II,
- 1197. FERDEN (Verdensis). II,
- 1197. GIRONE. I,
- 1197. LANCISKI. I,
- 1198. AIX-LA-CHAPELLE. I,
- 1199. ANTIVARI ou DALMATIE I,
- 1199. DIJON. I,
- 1199. DIOCLEE en Dalmatie. Concile légatin et national, où il se publia douze décrets. Le 1 er défend aux évêques de recevoir de l'argent des clercs qu'ils ordonnent. Le 2 e rappelle aux prêtres et aux diacres l'obligation du célibat. Le 4 e recommande le secret de la confession sous des peines sévères. Le 10 e excommunie les hommes mariés qui divorcent: vec leurs épouses sans y être autorisés par les juges ecclésiastiques. Le 12 e et dernier fixe à trente ans l'âge requis pour pouvoir être promu au sacerdoce. Labb. XI.
- 1199. FRANCE. I,
- .......... Page(s) .......... 133
- .......... Page(s) .......... 857
- 1199. WESTMINSTER. II,
- 1200 (Vers). FRITZLARD. II,
- 1200. HALBERSTADT. I,
- 1200. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 53
- 1200 (Vers l'an). PARIS. II,
- 1200. ROME. II,
- 1200. VIENNE en Dauphiné. II,
- 1201. COMPIEGNE. I,
- 1201. PARIS. II,
- 1201. PERTH ou ECOSSE. II,
- 1201. SOISSONS. II, . Concile.
- 1202. LONDRES. Sur la discipline. Lenglet.
- 1203. ANTIOCHE. I,
- .......... Page(s) .......... 375
- 1204. ANTIOCHE. Contre le roi d'Arménie. Lengl. d'apr. Raynaldi.
- 1204. CAMIN. I,
- 1204. MEAUX. I,
- 1205. ANDREA. I,
- 1205. ARLES. I,
- 1205. HALBERSTADT. I,
- 1205, ou 1204 selon Mansi. LAMBETH. I,
- 1205. MONTELIMAR. I,
- 1206. HALBERSTADT. I,
- 1206. PERTH. II,
- .......... Page(s) .......... 481
- 1206. SAINT-ALBAN. II,
- 1207. AUGSB URG. I,
- 1207 ou 8. LAVAL. I,
- 1207. LONDRES. I,
- 1207. NARBONNE ou MONTPELLIER I,
- 1207. MONTREAL I,
- 1207. OXFORD. I,
- 1208. HALBERSTADT. I,
- 1208. SAINT-SE
ER-CAP. II,
- 1209. AVIGNON. I,
- 1209. CANTORBERY. I,
- 1209. GOSLAR. I,
- 1209. MONTELIMAR. I,
- .......... Page(s) .......... 247
- 1209. SAINT-GILLES. I,
- .......... Page(s) .......... 1207
- .......... Page(s) .......... 1201
- 1209. WIRTZBOURG. II,
- 1210. AVIGNON. I,
- 1210. GNESNE. I,
- 1210. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 463
- 1210. ROME. II,
- 1210. SAINT-GILLES. I,
- 1211. ARLES. I,
- 1211, ou 1210 selon Lenglet. KEL MELEK. I,
- 1211. LINCOLN. I,
- 1211. MONTPELLIER. I,
- .......... Page(s) .......... 39
- .......... Page(s) .......... 137
- 1211. PERTH. II,
- .......... Page(s) .......... 905
- 1212. LAVAUR. Gall. Chr. t. VI, col. 444. Voy.
- .......... Page(s) .......... 219
- 1212. NARBONNE. Concile légatin et provincial, où l'archevêque Arnauld Amauri donna au chapitre de sa métropole l'église de Coussy (de Cuxi co). Ga'l. Chr. t VI, col.
- .......... Page(s) .......... 249
- 1213. BOURGES. I,
- 1213. LAVAUR. I,
- 1213. LONDRES. I,
- 1213. MURET en Languedoc. I,
- .......... Page(s) .......... 481
- 1213. SAINT-ALBAN. I,
- 1213. WESTMINSTER. II,
- 1214. BOURGES. I,
- 1214. DUNSTAPLE. I,
- 1214. LONDRES. I,
- 1214. MONTPELLIER. I,
- 1214. MONTPELLIER. Concile présidé par Pierre, archevêque de Bénévent et légat du saint-siége, et où se trouvèrent les cinq archevêques de Narbonne, d'Auch, d'Embrun, d'Atles et d'Aix, avec vingt-huit évêques et grand nombre d'abbés et d'autres prélais. On y adjugea à Simon, comte de Montfort, le territoire de Toulouse et toutes les autres terres qui appartenaient jusque-là au comte de Toulouse, excommunié à cause de la protection qu'il accordait aux Albigeois. Le concile députa à Rome l'archevêque d'Embrun, pour faire ratifier cet acte par le souverain pontife. On publia de plus trente décrets.
- 1. On enjoint aux archevêques et évêques de ne paraître jamais qu'en habit ecclésiastique et propre à leur ordre.
- 2. On défend aux chanoines et en général à tous les clercs l'usage d'éperons ou de freins dorés.
- 3 et 6. On leur interdit également les habits de couleur rouge ou verte.
- 4 et 20. On leur prescrit de porter la tonsure plus ou moins grande selon l'ordre de chacun.
- 5. On leur défend de percevoir le revenu de ce qu ls auraient reçu en gage, aussi bien que toute autre pratique usuraire.
- 7. On leur défend de nourrir des oiseaux de proie.
- 8 et 9. On défend de refuser aux laïques la part qu'ils prétendraient aux prébendes canoniales.
- 10 et suiv. On continue à recommander aux évêques et aux abbés, et en général à tous les prélats, l'esprit de pauvreté et de désintéressement, et l'on condamne la propriété dans les moines et les chanoines réguliers.
- 18. On défend à ces derniers l'office d'avocat, à moins d'une permission s éciale de l'évêque ou de l'abbé.
- 19. On leur fait une loi de distribuer aux pauvres ce qui reste de chacun de leurs repas.
- 21. On leur recommande la stabilité.
- 25. On frappe d'excommunication ux qui accorderaient les sacrements ou la sépulture ecclésiastique à des usuriers, à des excommuniés ou à des interdits.
- 27. On ordonne à tous les seigneurs, avec menace des ce sures ecclésiastiques, d'observer la paix que les archevêques t l s évêques devront sous quinze jours publier dans leurs diocèses.
- 28. On proscrit toute confrérie qui n'aurait pas l'approbation de l'évêque diocésain.
- 29. On oblige les prélats, sous peine d'être eux-mêmes excommuniés, d'établir chacun dans son diocèse un prêtre et plusieurs laïques chargés de dénoncer à leur tribunal, ainsi qu'aux tribunaux séculiers, les hérétiques et fauteurs d'hérétiques qu'ils viendraient à découvrir.
- 30. On ordonne la publication de ces statuts dans tous les diocèses et toutes les paroisses. Baluze, Conc. Gall. Narbon. Le concile de l'an 1215, rapporté au tome 1 er de notre Dictionnaire, col. 1322 et suiv., ne fit que reproduire dans ses 30 premiers canons les canons de ce concile.
- .......... Page(s) .......... 701
- 1215. BORDEAUX. I,
- 1215. BOURGES. I,
- 1215 (Après). ESPAGNE. II,
- .......... Page(s) .......... 715
- 1215. LATRAN ou ROME. I, e général de Latran, 12 e oecuménique.
- 1215. MONTPELLIER. I,
- 1215. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 537
- 1216. AQUILEE. I,
- 1216. BRISTOL I,
- 1216. GENES. I,
- 1216, ou 1217 selon Lenglet. MELUN. I,
- 1216 (Vers l'an). NANTES. II,
- .......... Page(s) .......... 735
- .......... Page(s) .......... 763
- .......... Page(s) .......... 859
- 1217. DUBLIN. I,
- .......... Page(s) .......... 463
- 1217. SALISBURY. II,
- 1219. HALBER TADT. I,
- .......... Page(s) .......... 763
- .......... Page(s) .......... 1015
- 1220. CANTORBERY. I,
- 1220. DURHAM. I,
- 1220. GRECE. I,
- 1220 (Vers). MAGUELONE. I,
- .......... Page(s) .......... 375
- .......... Page(s) .......... 673
- .......... Page(s) .......... 425
- 1221. PERTH. II,
- 1222. CANTORBERY. I,
- 1222. COLOGNE. I,
- 1222. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 205
- 1222. PUY. II,
- 1222. SLESWICK. II,
- 1223. ERFURTH. I,
- .......... Page(s) .......... 255
- .......... Page(s) .......... 701
- 1223. TOULON. II,
- 1224. HALBERSTADT. I, . Synode.
- 1224. HILDESHEIM. I,
- 1224. MONTPELLIER. I,
- 1224. PADERBORN. II,
- .......... Page(s) .......... 255
- .......... Page(s) .......... 537
- .......... Page(s) .......... 859
- 1224. VAUCOULEURS (apud Vallem Coloris). Mansi, qui fait mention de cette assemblée, en la qualifiant de Concilium, n'en rapporte cependant pas autre chose que des pourparlers entre le roi de France et le fils de l'empereur d'Allemagne sur les affaires de leurs Etats. Mansi, Conc., t. XXII.
- 1224. WORMS. II,
- 1225. ALLEMAGNE ou GERMANIE. I,
- 1225. BEZIERS. Concile provincial. Gall. Chr., t. VI, col.
- 1225. BOURGES. I,
- 1225. COLOGNE. I,
- 1225. ECOSSE. I,
- 1225. LONDRES et WESTMINSTER. II,
- 1225. MAGDEBOURG. I,
- 1225. MAYENCE. I,
- 1225. MELUN. I,
- 1225. PARIS. II,
- 1225. SAINT-QUENTIN. Concile au sujet des reliques de saint Quentin, martyr, patron de cette vide. M. de Mas Latrie.
- 1226. CREMONE. I,
- 1226. FOIX. I,
- 1226. LIECE. I,
- 1226. LONDRES. I,
- 1226. MONT-LUCON. I,
- 1226. PARIS. II,
- 1226. PARIS. II,
- 1226. WESTMINSTER. II,
- 1227. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 39
- .......... Page(s) .......... 673
- 1226, ou 1277 selon Martène. TREVES. II,
- 1228. BOURGES. I,
- 1228. PORTUGAL. II,
- .......... Page(s) .......... 673
- 1229, ou 1228 selon Lenglet. BASSEGE, ou MEAUX, ou PARIS. I,
- 1229. GRECE ou ORIENT, lieu incertain. II,
- 1229. LERIDA. I,
- 1229. ORANGE. II, . Concile.
- 1229 ou 1239. SODORE. II,
- 1229. TARRACONA. II,
- 1229. TOULOUSE. II,
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1230. FRANCE: sur les guerres du royaume. Lengl. d'apr. Raynaldi.
- 1230. HILDESHEIM. I,
- 1230. TARRAGONE. II,
- 1231. CHATEAU-GONTHIER. I,
- 1231. LIEGE. I,
- 1231. MEISSEN. I,
- .......... Page(s) .......... 521
- .......... Page(s) .......... 701
- 1231. SAINT-ALBAN. II,
- 1231. TREVES. II,
- 1232. BEAUVAIS. II,
- 1232. CONSTANTINOPLE. I,
- 1232. GRECE OU ORIENT. II,
- 1232. LONDRES. I,
- 1232. MELUN. I,
- 1232. NICEE. II,
- .......... Page(s) .......... 449
- 1233. BEAUVAIS. II,
- 1233. LAON. I,
- 1233. LAON, I,
- 1233. MAYENCE. I,
- 1233. NOYON. II,
- .......... Page(s) .......... 449
- 1233. SAINT-QUENTIN. II,
- 1233. SAINT-BRIEUC. II,
- 1233. TARRACONE: sur la discipline. Lengl. d'apr. Martène, col. nov. t. VII.
- 1233. TOURS. II,
- 1234. ARLES. I,
- 1234. BEZIERS. I,
- 1234. FRANCFORT. I,
- 1234. NYMPHEE. II,
- .......... Page(s) .......... 673
- .......... Page(s) .......... 905
- 1234. TARRAGONE. II,
- 1235. COMPIEGNE. I,
- 1235. MAYENCE. Conciliabule où les hérétiques appelés stigands furent abs ns, et les meurtriers de Conrad, évêque de Marbourg, renvoyés sans autre peine au jugement du saint-siége. Mansi, t. XXII.
- 1235 ou 1244. NARBONNE. II,
- 1235. ORIENT. II,
- 1235. PARIS. II,
- 1235. SAINT-QUENTIN OU REIMS. II,
- 1235. SCHERUNG, en Danemarck sur la discipline. Lengl d'apr. Olaüs Mag. Hist. Col. lib. XIX.
- 1235. SENLIS, ou province de Reims. II,
- 1236. ARLES. I,
- 1236. CANTORBERY. I,
- 1236. MARBOURG. I,
- 1236 et 1253 (Entre). ROUEN. I
- 1236. TOURS. II,
- 1237. COWENTRY. I,
- 1237. LERIDA I,
- 1237. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- 1237. MANS, Cenamanense. Concile provincial de Tours, tenu au Mans, dont les actes sont perdus. Martène, Vet. monum. ampl. collect., t. VII.
- 1238. COGNAC. I,
- 1238. LONDRES. I,
- 1238. PARIS. II,
- 1238. TREVES. II,
- 1239. BOURGES. I,
- 1239. CAIRE. II,
- 1239. EDIMBOURG. I,
- 1239. LONDRES. I,
- 1239. MAYENCE. I,
- 1239. SAINT-QUENTIN. II,
- .......... Page(s) .......... 859
- 1239. STROUBINGEN. II,
- .......... Page(s) .......... 1043
- .......... Page(s) .......... 1293
- 1240 (Vers). ANGERS. I,
- 1240 (Vers). COUTANCES. I,
- 1240. FERNES. I,
- 1240. MEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 137
- 1240. PARIS. Assemblée où l'on condamna des propositions erronées. Lengl.
- .......... Page(s) .......... 481
- 1240. ROME OU LATRAN. Gall. Chr., t. IV, col. 993. Concile général, convoqué par le pape Grégoire IX, mais qui ne put avoir lieu à cause des obstacles qu'y mit l'empereur Frédéric.
- 1240. SENLIS. II,
- 1240. TARRAGONE OU VALENCE en Espagne. II,
- .......... Page(s) .......... 209
- 1242. BAMBERG. I,
- 1242. LAVAL. I,
- 1242. PERTH. II,
- .......... Page(s) .......... 925
- 1243. BEZIERS. I,
- 1243. MAYENCE. I,
- 1243. SAUMUR. II,
- 1243. TARRAGONE. I,
- 1244. LONDRES. I,
- 1244. NARBONNE. Gall. Chr., t VII, col. 70.
- 1244. ROCHESTER: sur la discipline. Angl. I.
- .......... Page(s) .......... 925
- .......... Page(s) .......... 1293
- 1245. LYON. I, er général de Lyon, 13 e oecuménique.
- .......... Page(s) .......... 143
- .......... Page(s) .......... 703
- 1246. ARLES. I,
- 1246. BEZIERS. I,
- 1246. CHICHESTER. I,
- 1246. FRITZLAR. I,
- 1246. HALBERSTADT. I,
- 1246. LANCISKI. I,
- 1246. LERIDA. I,
- 1246. LONDRES. I,
- 1246. MEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 925
- .......... Page(s) .......... 735
- 1247. ETAMPES. II,
- 1247. NUYS. II,
- .......... Page(s) .......... 925
- 1248. BRESLAU. I,
- 1248. EMBRUN. I.
- 1248. FREYSINGEN. I,
- 1248. MONTELIMAR OU VALENCE. II,
- 1218. PARIS. II,
- 1218. PROVINS. Lengl. d'apr. Mansi. Nous ne voyons pas cependant que Mansi en ait parié dans sa grande collection.
- 1248. SCHENNING. II,
- .......... Page(s) .......... 925
- 1249. MILDORF OU SALTZBOURG. I,
- 1249. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1207
- 1250. NICEE. II,
- 1250. OXFORD. II, . Concile national d'Angleterre.
- 1250. YORCK. Concile que Mansi prétend avoir été tenu par Walter Gray, archevêque d'Yorck, quoiqu'il ne cite à l'appui qu'une constitution de ce prélat, donnée à l'occasion de sa visite dans la province, et qui a pour objet le mobilier dont chaque église devait se pourvoir pour la décence du culte. Mansi, Conc., t. XXIII.
- .......... Page(s) .......... 723
- 1251. ARLES OU LILLE. I,
- 1251. NARBONNE. II,
- 1251. PROVINS. II,
- 1252. LONDRES. I,
- 1252. SENS. II,
- 1252. VITERBE. II,
- 1253. CHATEAU-GONTIER. I,
- .......... Page(s) .......... 119
- .......... Page(s) .......... 731
- 1253. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 469
- 1253. SAUMUR. II,
- 1253. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1253. WORMS. II,
- 1254. SYRIE. II,
- 1255. ALBI. I,
- 1255. BEZIERS. I,
- 1255. BORDEAUX. I,
- 1255, ou 1256 selon Lengl. DURHAM. I,
- 1255. LONDRES. I,
- 1255. NORWICH. II,
- 1255. PARIS OU SENS. II,
- 1255. VALENCE en Espagne. II,
- 1256. COMPIEGNE. I,
- 1256. MAYENCE I,
- 1256. PARIS. II,
- 1256. ROUEN. II,
- 1256. SAINT-QUENTIN. II,
- 1256. SALISBURY. II,
- 1256. SENS. II,
- 1256. STRIGONIE. II,
- 1256. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1257. COMPIEGNE. I,
- 1257. DANEMARCK. I,
- 1257. GIRONE. I,
- 1257. LANCISKI. I,
- 1257. LERIDA. I,
- 1257. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 119
- 1257. NORWICH. II,
- 1257. PONT-AUDEMER. II,
- 1258 (Vers l'an). COGNAC. I,
- 1258. MERTON. I,
- 1258. MONTPELLIER. I,
- .......... Page(s) .......... 209
- .......... Page(s) .......... 469
- 1258. RUFFEC. II,
- 1259. ECOSSE ou PERTH. I,
- 1259. HILDESHEIM. I,
- 1259. MAYENCE. I,
- 1240 et 126
(Entre). ANGERS. I,
- 1260. ARLES. I,
- 1260. BORDEAUX. I,
- 1260. CHYPRE. I,
- 1260. COGNAC. I,
- 1260. C
LOGNE. I,
- 1260. GIRONE. I,
- 1260. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 723
- 1261. ANGERS. I,
- 1261. BEVERLEY. I,
- 1261. CONSTANTINOPLE. Conciliabule où l'on déposa injustement le patriarche Arsène. Lengl.
- 1261. GIRONE. I,
- 1261. LAMBETH. I,
- 1261. LONDRES. I,
- 1261. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 375
- .......... Page(s) .......... 469
- 12
2. ANGERS. I,
- 1262, ou 1263 selon Lenglet. BORDEAUX. I,
- 1262. COGNAC. I,
- 1262. PONTANUM en Irlande. II,
- 1263. ANGERS. I,
- 1263. BOURGES. Conc. douteux. Gall. Chr., t. II, col. 70.
- 1263. CLERMONT. Concile qui se tint dans l'église des Dominicains de cette ville. Gall. Chr., t. II, col. 340.
- .......... Page(s) .......... 139
- 1263. PADERBORN. II,
- 1263. PARIS. II,
- 1263. SARDAIGNE ou BONARCADA. II,
- .......... Page(s) .......... 1165
- 1263. VITERBE. Assemblée où le pape Urbain IV accorda le royaume de Sicile à Charles d'Anjou, frère de saint Louis. S. Antonin Hist., 3 e part., tit. 19.
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1264. BOULOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 19
- .......... Page(s) .......... 261
- 1265. ANGERS. I,
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1266. ANGERS I,
- 1266, ou 1255 selon Lenglet. BREME. I,
- 1266. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 751
- 1266. MAGDEBOURG. I,
- 1266. MONT-LUCON. I,
- .......... Page(s) .......... 137
- 1266. TARRAGONE. II,
- 1267. BRESLAU. I,
- 1267. DANEMARCK. I,
- .......... Page(s) .......... 745
- 1267. GIRONE. I,
- 1267. PONT-AUDEMER. II, . Concile de la province de Rouen.
- 1267. SEYME. II, eu de cet unique concile, Sedenensis, est du diocèse de Digne et de l'ancienne province d'Embrun.
- .......... Page(s) .......... 1259
- 1268. CHATEAU-GONTIER. I,
- .......... Page(s) .......... 743
- 1268. LONDRES. I,
- 1268. PERTH. II,
- 1269. ANGERS. I,
- 1269. ANGERS. I,
- 1269. ANGLETERRE. I,
- 1269. MONTPELLIER. Conc. provincial Gall. Chr., t. VI, col. 391.
- 1269. SENS. II,
- 1270. ANGERS. I,
- 1270. AVIGNON. I,
- 1270. COMPIEGNE. I,
- 1270. LANGEAIS. II,
- .......... Page(s) .......... 429
- .......... Page(s) .......... 469
- 12
1. ANGERS. I,
- 1271. BEZIERS. Synode diocésain, où l'évêque Ponce de Saint-Just lança l'excommunication contre tous ceux qui mépriseraient sa juridiction, soit spirituelle, soit temporelle. Gall. Chr., t. VI, col 338.
- 1271. LANGEAIS. I,
- 1271. NOYON. I ,
- .......... Page(s) .......... 481
- 1271. SAINT-QUENTIN. II,
- 1272. ANGERS. I,
- 1272. CANTORBERY. I,
- 1272. LONDRES. I,
- 1272. NARBONNE. Concile provincial. Gall. Chr., t. VI, col 408.
- 1272. NORWICH. II,
- 1273. ANG
RS. I,
- 1273. LIEGE. I,
- .......... Page(s) .......... 531
- 1261 à 1273 (De l'an). VALENCE en Espagne. II,
- 1273. TARRAGONE. II,
- 1274. ANGERS. I,
- 1274. GIRONE. I,
- 1274. LYON. I, e général de Lyon, 14 e oecuménique.
- 1274. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 763
- 1275. ANGERS. II,
- 1275. ARLES. I,
- 1275. CONSTANTINOPLE. I,
- 1275. PERTH. II,
- 1275. ROUEN. II,
- 1276, ou 1278 selon D. Martène. .
- AURILLAC. I,
- 1276. BOURGES. I,
- 1276. DURHAM. I,
- 1276. SAUMUR. Concile, peut-être le même que le suivant: sur l'abbé de Saint-Florent. Lengl.
- .......... Page(s) .......... 807
- .......... Page(s) .......... 1045
- 12 6. TRIBUR. Sur la discipline. Lambert d'Aschaffenbourg.
- 1277. ANGERS. I,
- 1277. BEZIERS. II, Gall. Chr., t. VI, col. 447.
- 1277. CONSTANTINOPLE. I,
- 1277. CONSTANTINOPLE, I,
- 1277. NARBONNE. Concile provincial. Gall. Chr., t. VI, col. 195.
- 1277. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1045
- 1278. COMPIEGNE. I,
- 1278. LANGEAIS I,
- 1278. LONDRES. I,
- 1278 ou 1279. WEDDEL. II,
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1279. ANGERS. I,
- 1279, ou 1278 selon Lenglet. AUCH. I,
- 1279. AVIGNON. I,
- 1279. BEZI
RS. I,
- 12
9. BUDE. I,
- 1279. LONDRES. I,
- 1279. MUNSTER. I,
- 1279. MINDEN. I, .
- .......... Page(s) .......... 429
- .......... Page(s) .......... 481
- 1279. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1061
- 1280. BEZIERS. I,
- 1280. BOURGES. I,
- 12
0. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- 1280. CONSTANTINOPLE. I,
- 1280. LAMBETH. I, ile provincial de Cantorbery.
- 1280. LONDRES. I,
- 1280. NARBONNE. II,
- 1280. NOYON. II,
- 1280. PERTH. II,
- .......... Page(s) .......... 425
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 753
- 1280. SENS. II,
- 13e siècle. COUTANCES. I,
- 1281. CANTORBERY. I,
- 1281. LAMBETH. I,
- .......... Page(s) .......... 261
- .......... Page(s) .......... 767
- 1282. AQUILEE. I,
- 1282. ARLES ou AVIGNON. I,
- 1282. ASCHAFFENBOURG. I,
- 1282. BESANCON. I,
- 1282. HALBERSTAD. I,
- 1282. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 753
- 1282. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1045
- 1283. BLAQUERNES ou CONSTANTINOPLE. I,
- 1283 ou 84. CONSTANTINOPLE. I,
- 1283. LONDRES. I,
- 1284. BREME. I, . Synode.
- 1284. MELFI. I,
- .......... Page(s) .......... 129
- .......... Page(s) .......... 261
- .......... Page(s) .......... 375
- .......... Page(s) .......... 425
- 1284. SAINT-HIPPOLYTE ou PASSAU. II,
- 1285. AGEREN. I,
- 1285. CONSTANTINOPLE. I,
- 1285. LANCISKI, I,
- 1286. BOURGES. I,
- 1286. LONDRES. I,
- 1286. MACON. I,
- 1286 NAUMBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 535
- 1287. ERFURTH. I,
- 1287. EXCESTER. I, oc.
- 1287. LIEGE. I,
- 1287. LONDRES. I,
- 1287. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 521
- 1287. REIMS. Autre concile. Martène. Thes. anecd. IV.
- 1287. SALTZBOURG. II,
- 1287. WURTZBOURG. II,
- 1288. ARLES ou LILLE. I,
- .......... Page(s) .......... 119
- 1288. SALTZBOURG. II,
- 1289. CAHORS. I,
- 1289. CHICHESTER. I,
- 1289. RODEZ. II,
- 1289. VIENNE en Dauphiné. II,
- 1290. BRESLAU. I,
- 1290. BRESLAU. I,
- 1290. ELY. I,
- 1290. EMBRUN. I,
- .......... Page(s) .......... 131
- .......... Page(s) .......... 261
- 1290. SAINT-LEONARD-LE-NOBLAT, I,
- 1291. LONDRES. I,
- 1291. MILAN. I,
- 1291. REIMS. II,
- 1291. SALTZBOURG. II,
- 1291. SODORE. II,
- 1291. TARRAGONE. II,
- 1291. UTRECHT. II,
- 1292. ANGERS. Concile provincial de Tours, dont les actes sont perdus. Marlène Vet. monum. ampliss. coll. infol. t. VII, col.
- 1292. ANGERS. I,
- 1292. ASCUAFFENBOURG. I,
- 1292. BREME. I,
- 1292. CHICHESTER. I,
- 1292. GENES. I,
- 1292. LYON. Sur la discipline. Lenglet.
- 1292, ou 1293 selon Lenglet. SPALATRO. II,
- 1292. TARRAGONE. II,
- 1293. FRANCFORT. I,
- 1293. PASSAU. II,
- 1293. UTRECHT. II,
- 1294. ANGERS. I,
- 1294. AURILLAC. I,
- 1294. BEZIERS. Concile tenu par Pierre de Montbrun, archev que de Narbonne. Gall. Chr. t. VI, col. 83.
- 1294. COUTANCES. I,
- 1294. CRAN OU STR
GONIE. I,
- 1294. PASSAU. II,
- 1294. PONS. II,
- 1294. SALTZBOURG. II,
- 1294. SAUMUR. II,
- .......... Page(s) .......... 927
- 1294. UTREC
T. II,
- 1295. BEZIERS. Concile tenu par Pierre de Montbrun, archevêque de Narbonne. Gall. Chr. t. VI, col. 83.
- 1295. CLERMONT. I,
- 1296. CANTORBERY. I,
- 1296. GRADO. I,
- 1296 HALBERSTADT. I,
- 1296, jeudi avant la Saint-Jean. PARIS. Concile national. Gall. Chr. t. II, col.
- .......... Page(s) .......... 1005
- 1297. CONSTANT.NOPLE. I,
- 1297. LIMOGES. I, Gall. Chr. II.
- 1297. LONDRES. I,
- 1297. LONDRES. I,
- 1297. LYON. I,
- 1297. PARIS, II,
- 1297 ou 1298. SAINTES. II,
- 1297. UTRECHT. II, . Synode diocésain.
- .......... Page(s) .......... 119
- 1298. PONS. II,
- .......... Page(s) .......... 1291
- 1299. ANSE. II,
- .......... Page(s) .......... 723
- 1299. BEZIERS. I,
- 1299. CHATEAU-GONTIER.
- 1299. CONSTANTINOPLE. I,
- 1299. LYON. Concile. Gall. Chr. t. IV, col.
- 1299. MACON. Concile. Gall. Chr. t. IV, col.
- 1299. MINDEN. I,
- 1299 (Vers l'an). NANTES. II,
- 1299. N.-D. du PRE OU ROUEN. II,
- 1299. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 1009
- 1300. AUCH. I,
- .......... Page(s) .......... 723
- 1300 (Vers). BAYEUX. I,
- 1300. CAMBRAI. I,
- 1300. CANTORBERY. I,
- 1300. COLOGNE. I,
- 1300. COUTANCES. I,
- 1300. MELUN. I,
- 1300. MERTON. I, (Suppl. III) , a rapporté ce concile à l'an 1303, ou plutôt en a fait deux, tenus l'un en 1300, et l'autre en 1303. C'est une méprise. Ces deux prétendus conciles se réduisent à un seul, qui ne s'est tenu, ni en 1300, ni en 1303, mais en 1305. Voy. Mansi, Conc. t. XXV.
- 13
0. SALTZBOURG. II,
- 1390. SAUMUR. II,
- .......... Page(s) .......... 891
- .......... Page(s) .......... 905
- 13e ou 14e siècle. CREMONE. I,
- 13e siècle ou commencement du 14e. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 723
- 1301. CAMERAI. I,
- 1301. COMPIEGNE. I,
- 1301. MAYENCE. I,
- 1301. REIMS. II,
- 1302. MINDEN. I,
- 1302. NIMES. II,
- 1302. NIMES. II,
- 1302. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 383
- .......... Page(s) .......... 523
- .......... Page(s) .......... 673
- 1303. AUCH. Concil provincial, tenu par Amanée d'Armagnac. Gall. Chr. t. I, col.
- 1303. CAMBRAI. I,
- 1303. HUESCA. I,
- 1303. MONTPELLIER. I,
- .......... Page(s) .......... 131
- .......... Page(s) .......... 263
- 1303. REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 531
- 1304. BEZIERS. I,
- 1304. COMPIEGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 21
- 1304. PARIS. II,
- 1304. PINTERVILLE OU ROUEN. II,
- 1304. POITIERS. II,
- .......... Page(s) .......... 717
- 1305. BRESLAU. I,
- 1305. DEVILLE. I,
- 1305. LONDRES I,
- .......... Page(s) .......... 431
- 1305. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 927
- .......... Page(s) .......... 135
- 1306. COLOGNE. I,
- 1306. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 553
- 1307. AQU
LEE. I,
- 1307. CAMBRAI. I,
- 1307. COLOGNE. I,
- 1307. RAVENNE. II,
- 1307. SISE. II,
- .......... Page(s) .......... 927
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1308. AUCH. I,
- 1308. CAMBRAI. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- 1308. MINDEN. I,
- .......... Page(s) .......... 405
- 1308 (Vers). WINCHESTER. II,
- 1309. BUDE. I,
- 1309. CAMBR
I. I,
- 1309. DUNDEE. I,
- 1309. LONDRES. I,
- 1309. NARBONNE. II,
- 1309. PRESBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 1205
- 1310. ASCHAFFENBOURG. I,
- 1310. BEZIERS. I,
- 1310. CAMBRAI. I,
- 1310. CANTORBERY. I,
- 1310. COLOGNE. I,
- 1310. MAYENCE. I,
- 1310. MUNSTER. I,
- 1310. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 431
- 1310. RAVENNE. II,
- 1310. RAVENNE. II,
- 1310. ROUEN. II,
- 1310. SALAMANQUE. II,
- 1310. SALTZBOURG. II,
- 1310, et non 1313, comme l'a prétendu Lenglet. SENLIS. II,
- .......... Page(s) .......... 1165
- .......... Page(s) .......... 1203
- 1310. UTRECHT. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1311. AQUILEE. I,
- 1311. BERCAME ou MILAN. I,
- 1311. BOURGES. Concile provincial. G
. Chr., t. II, col.
- 1311. CAMBRAI. I,
- 1311. CANTORBERY. I,
- 1311. LONDRES I,
- .......... Page(s) .......... 471
- 1311. ROUEN. II,
- 1311. STRASBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 1263
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1312. BOURGES. I,
- 1312. CAMBRAAI. I,
- 1312. DURHAM. I,
- 1312. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 717
- 1312. SALAMANQUE. II,
- 1312. TARRAGONE. II,
- 1313. CAMBRAI. I,
- 1313. MAGDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 119
- 1313 (Vers l'an). PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 705
- 1314. ANGERS. I,
- 1314. CAMBRAI. I,
- .......... Page(s) .......... 199
- 1314. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 473
- 1314. WURTZBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 723
- 1315. BEZIERS. I,
- 1315. BOURGES. II,
- 1315. CAMBRAI. I,
- 1315. NOUGAROL. II,
- .......... Page(s) .......... 533
- .......... Page(s) .......... 705
- .......... Page(s) .......... 809
- 1315 et 1316. SENLIS. II,
- .......... Page(s) .......... 861
- 1316. ADANA. I,
- .......... Page(s) .......... 723
- 1316. CAMBRAI. I,
- 1316. MAYENCE. I,
- 1316. WESTMINSTER. Ce concile, que l'abbé Lenglet prétend avoir trouvé dans Labbe, t. XI, nous n'avons pu le trouver nulle part. Ce peut donc être une erreur, et ce ne serait pas la seule, de l'abbé Lenglet.
- 1317. BEZIERS. I,
- 1317. BOLOGNE ou RAVENNE. I,
- 1317. CAMBRAI. I,
- 1317. MAYENCE. I,
- 1317. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 433
- 1317. RAVENNE. II,
- 1317. T
RRAGONE. II,
- 1318. CANTORBERY. I,
- 1318. MAYENCE. I,
- 1318. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 143
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 851
- 1318. UTRECHT. II,
- 1319. CAMBRAI. I,
- .......... Page(s) .......... 1019
- 1320. ADANA. I, Lenglet, d'apr. Galanus. Voy. 1316.
- 1320. BEZIERS. I, . Concile.
- 1320. CAHORS. II,
- 1320. CAMBRAI. I,
- 1320. HALL DE MAGDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 203
- 1320. PEROUSE. II,
- .......... Page(s) .......... 809
- .......... Page(s) .......... 861
- .......... Page(s) .......... 1189
- 1320. VITERBE. II,
- 1321. CAMBRAI. I,
- 1321. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1321 COLOGNE. I,
- 1321. GRADO. II,
- 1321. LISIEUX. I,
- 1321. LONDRES. I,
- 1321. MONTPELLIER. Concile provincial de Narbonne. Gall. Chr., t. VI, col.
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 133
- 1321. PERTH. II,
- .......... Page(s) .......... 705
- .......... Page(s) .......... 723
- 1322. BORGOLI. I,
- 1322, ou 1323 selon Lenglet. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1322. COLOGNE. I,
- 1322. MAGDEBOURG. I,
- 1322. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 209
- 1322. PALENCIA ou VALLADOLID. II,
- 1322. PALENCIA ou VALLADOLID. II,
- 1322. PRAGUE. II,
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1323. AUTUN. II,
- 1323. CAMBRAI. I,
- 1323 ou 24. VITERBE. II,
- 1323. TARRAGONE. II,
- 1323. TOLEDE. II,
- 1324. AUCH. I,
- 1324. CAMBRAI. I,
- 1324. COMPIEGNE: Concile imaginaire et supposé par Lenglet, qui s'appuie à tort du témoignage des auteurs du Gallia Christiana. Gall. Car., t. VI, col.
- 1324. ICONE ou SCHONE. II,
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 199
- .......... Page(s) .......... 265
- .......... Page(s) .......... 993
- 1325. ALCALA. I,
- 1325. CAMBRAI. I,
- 1325. LODEVE. I, archevêque, Bernard de la Guionie, quoiqu'il ne fût qu'évêque de Lodève, qui au surplus n'a jamais été un archevêché.
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1326. ALCALA. I,
- 1326. AVIGNON. I,
- 1326. BEZIERS. I,
- 1326. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1326. MARCIAC ou AUCH. I,
- .......... Page(s) .......... 851
- 1327. AVIGNON. I,
- 1327. BEZIERS. Concile provincial. Gall. Chr., t. VI, col.
- 1327. COLOGNE. I,
- 1327. CONSTANCE. I,
- 1327. MAYENCE. Concile provincial, tenu par l'archevêque Mathias et ses suffragants, pour la réformation du clergé. La mort de l'archevêque, survenue bientôt après, empêcha l'exécution des règlements qui y avaient été arrêtés. Conc. Germ., t. IV.
- .......... Page(s) .......... 717
- 1327. TOSCANE ou FLORENCE. Concile où furent publiées les constitutions du cardinal Jean, légat du saint-siége, pour toute cette province. On y recommande à tous les clercs l'habit ecclésiastique et l'usage de la tonsure, et on leur défend le port des armes. On y déclare privés de leurs bénéfices par le seul fait les clercs concubinaires. On leur prescrit sous des peines sévères la résidence et l'assiduité aux offices du choeur. On y ordonne de refuser la sépulture ecclésiastique aux usurpateurs de bénéfices, quand même ils seraient repentants de leur crime, jusqu'à ce que l'injustice commise par eux soit entièrement réparée. On y déclare dévolue à l'évêque diocésain l'exécution des testaments qu'on aurait négligé d'exécuter dans l'année. On s'y élève aussi avec vigueur contre les patrons des églises, qui s'en appropriaient les revenus, au lieu de les distribuer à qui de droit. On y défend aux laïques, sous peine d'excommunication, de mettre les églises à contribution pour des repas ou des pots-de-vin. On y déclare excommuniés par le seul fait les ecclésiastiques qui célébreraient dans des lieux interdits: Enfin, on y oblige les bénéficiers à charge d'âmes de se faire promouvoir dans l'année aux ordres sacrés. Mansi, Conc., t. XXV.
- .......... Page(s) .......... 1019
- 1328. ANGERS. I,
- .......... Page(s) .......... 1019
- 1328. ANGERS. I,
- 1328. ASCHAFFENBOURG. I,
- 1328. BREME. I,
- 1328. HALBERSTADT. I,
- .......... Page(s) .......... 735
- .......... Page(s) .......... 43
- .......... Page(s) .......... 777
- 1329. COMPIEGNE. I,
- 1329. LONDRES. I,
- 1329 ou 30. MARCIAC. I,
- 1329 et 30. PARIS et Vincennes. II,
- 1329. TARRAGONE. II,
- 1329. WINCHESTER. II,
- 1330. CAMBRAI. I,
- 1330. CHARNE. I,
- 1330. COLOGNE. I,
- 1330. GRADO. I,
- 1330. LAMBETH. I,
- .......... Page(s) .......... 1057
- 1331. BENEVENT. I,
- 1331. BRESLAU I,
- 1331. BRESLAU. I,
- 1331. PADERBORN. II,
- 1331. TARRAGONE. II,
- 1331. WORMS. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1332. BARCELONE. II,
- 1332. CANTORBERY OU LONDRES. I,
- 1332. FERRARE. II, . Syn. capit.
- 1332. MAGHFELD. I,
- .......... Page(s) .......... 929
- 1333. AGEREN. I,
- 1333. ALCALA. I,
- 1333 CAMBRAI. I,
- 1333. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 1249
- 1333 et 34. PARIS et VINCENNES. II,
- 1334. AGEREN. I,
- 1334. AVIGNON. I,
- 1334. CAMBRAI. I,
- 1334. GIRONE. I,
- 1334. SOISSONS. II,
- 1334. TREGUIER, II.
- 1335. CAMBRAI. I,
- 1335. ELNE. I,
- .......... Page(s) .......... 199
- .......... Page(s) .......... 705
- .......... Page(s) .......... 755
- 1335. STRASBOURG. II,
- 1336. BOURGES. I,
- 1336. CAMBRAI. I,
- 1336. CHATEAU-GONTIER. I,
- 1336. COLOGNE. I,
- 1336. GIRONE. I,
- 1336. LIEGE. I,
- 1336. RODEZ. II,
- .......... Page(s) .......... 929
- .......... Page(s) .......... 1061
- .......... Page(s) .......... 1269
- 1337. AVIGNON. I,
- 1337. COLOGNE. I,
- 1337. ELNE. I,
- 1337. GIRONE. I,
- 1337. LIEGE. I,
- 1337. MONTAUBAN. II,
- .......... Page(s) .......... 1165
- 1338. COLOGNE. I,
- 1338. EINE. I,
- 1338. FRANCFORT. II,
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1165
- 1339. AGEREN. I,
- 1339. AQUILEE. I,
- 1339. BARCELONE. I,
- 1339. ELNE. I,
- 1339. GIRONE. I,
- 1339. MONTPELLIER. I, vestem propriam qua sepeliantur). Gall. Chr., t. VI, 383, in instrum.
- .......... Page(s) .......... 213
- .......... Page(s) .......... 993
- 1339. TREVES. II,
- 1340. AVIGNON. II,
- 1340. ELNE. I,
- .......... Page(s) .......... 21
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 769
- 1341. AVIGNON. II,
- 1341 (Vers). CANTORBERY. I,
- 1341, ou 1340 selon Lenglet. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 555
- .......... Page(s) .......... 717
- 1342, ou 44, ou 45. ARMENIE. I,
- 1342. BEZIERS. I,
- 1342. LONDRES. I,
- 1342. LONDRES. I,
- 1342. LUBECK. I,
- .......... Page(s) .......... 145
- 1342. ROUEN. II,
- 1342. SIS OU PETITE ARMENIE. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 809
- 1343. CAMBRAI. I,
- 1343. GIRONE. I,
- 1343. PADERBORN. II,
- 1343. UTRECHT. II,
- 1344. AVIGNON. II,
- 1344. CANTORBERY. I,
- 1344. GIRONE. I,
- 1344. MAGDEBOURG. I,
- 1344. NOYON. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1345. AVIGNON. II,
- 1345. CONSTANTINOPLE. I,
- 1345. CANTORBERY. I,
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1346. COLOGNE. I,
- 1346. FLORENCE. II,
- 1346. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1347. ALCALA OU TOLEDE. II,
- 1347. CANTORBERY. I,
- 1347. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 271
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1347. VITERBE. II,
- 1348. CAMBRAI. I,
- 1348. DUBLIN. I,
- 1348. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1349. SAINT-QUENTIN. II,
- 1350. AREZZO. II,
- 1350. BREME. I,
- 1350. CONSTANTINOPLE. Conciliabule où l'on approuva les erreurs de Grégoire Palamas. Hardouin, t. VII; Mansï, Conc. t. XXVI.
- 1350. NAUMBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 213
- 1350. SAINT-MALO. I,
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1351. BEZIERS. I,
- 1351. CONSTANTINOPLE. I,
- 1351. DUBLIN. I,
- 1351. LAMBETH. I,
- .......... Page(s) .......... 1209
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1352. LIEGE. I,
- 1352. SABINE. II,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1352, ou 1351 selon Lengl. SEVILLE. II,
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1353. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1354. AICHSTOEDT. I,
- 1354. ARRAS. I,
- 1354. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 1209
- 1354. TARRAGONE. II,
- 1355. ARRAS. I,
- 1355. CANTORBERY. I,
- 1355. GIRONE. I,
- 1355. PRAGUE. II,
- 1355. TOLEDE. II,
- 1355. UTRECHT. II.
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1356. COLOGNE. I,
- 1356. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 905
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1357. COLOGNE. I,
- 1357. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1358. CAMIN. I,
- .......... Page(s) .......... 721
- 1359. LONDRES. I,
- 1359. TOUL. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1361. PRAGUE. II,
- 1361. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1362. CANTORBERY. I,
- 1362. LAMBETH. I,
- 1362. MAGDEBOURG. I,
- 1362. MAGHFELD. I,
- 1363. LONDRES. I,
- 1363. MARSEILLE. I,
- 1363. REIMS. Sous l'archevêque Jean de Craon. Lenglet.
- 1364. AICHSTOEDT. I,
- 1364. ARRAS. I,
- 1364. AUCH. I,
- 1364. NIMES. II,
- 1364. TARRAGONE. II,
- 1365. AVIGN
N. II,
- 1365. ANGERS. I,
- 1365. APT. I, s provinces.
- 1365. FRANCE. I,
- 1365. PERIGUEUX. II,
- 1365. PRAGUE. II,
- 1365 (Vers). S.-RUF. II,
- 1365. TREGUIER. II, sain.
- .......... Page(s) .......... 737
- 1366. AV
GNON. II,
- .......... Page(s) .......... 21
- 1367. POITIERS. Lenglet.
- 1367. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1368. BEZIERS. II,
- 1368. CANTORBERY. I, in.
- 1368. GIRONE. I,
- 1368. LAMBETH. On trouve, datée de cette ville, qu'il s'y soit tenu un concile ou simplement une assemblée de docteurs, la condamnation de trente propositions erronées prononcées par Simon Langham, archevêque de Cantorbéry. Mansi, Conc. t. XXVI.
- 1368. LAVAUR. I,
- 1569. BEZIERS. I,
- 1369. CAMBRAI. I,
- 1369. CRACOVIE ou POLOGNE. II, le.
- 1369. LONDRES. I,
- 1369. TARRAGONE. Sur la discipline. Martène, Coll. t. VII. C'est ce que dit Lenglet dans ses Tablettes chro
ologiques; mais nous n'avons pu trouver l'article dans tout l'ouvrage indiqué.
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1370 (Avant). BAYEUX. II,
- 1370. BAYEUX. II,
- 1370. BEZIERS. I,
- .......... Page(s) .......... 741
- 1370. COLOGNE. I,
- 1370. MAGDEBOURG. I,
- 1370. MUNSTER. I,
- 1371. COLOGNE. I,
- 1371. LONDRES. I,
- 1371. TREGUIER. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1372. COLOGNE
I,
- 1372 COUTANCES. I,
- 1372. TREGUIER. II,
- 1373. LONDRES. I,
- 1373. WURTZBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1374. AIX en Provence I,
- 1374. BENEVENT. I,
- 1374. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 43
- .......... Page(s) .......... 1059
- 1375. ARRAS. I,
- .......... Page(s) .......... 741
- 1375. BEZIERS. I,
- 1375. COLOGNE. I,
- 1375. COUTANCES. I,
- .......... Page(s) .......... 1287
- 1376. CANTORBERY. I,
- 1376. LONDRES. I,
- 1376. LYON. II,
- 1377. AUGSBOURG. I,
- 1377. LONDDRES. I, ince de Cantorbery.
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1303
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1378. BENEVENT. I,
- 1378. GLOCESTER. I,
- 1379. ALCALA. I,
- 1379. BURGOS. I,
- 1379. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1379. ILLERAS. I,
- 1379. PARIS. II,
- 1379. PONTEFR CT. II,
- 1379. TOLEDE ou ALCALA. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1380. BRANDEBOURG. I,
- .......... Page(s) .......... 137
- 1380. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1380. ELNE. I,
- 1380 et 81. MEDINA-CAMPO et SALAMANQUE. II,
- 1380. OLMUTZ. II,
- .......... Page(s) .......... 769
- .......... Page(s) .......... 1059
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1381. GIRONE. I,
- 1381. PRAGUE. II,
- 1381. SALAMANQUE. Concile présidé par l'archevêque de Tolède, avec beaucoup d'autres rélats, où l'on déci a en faveur de l'antipape Clément VII. .
- 1381. SANTAREN en Portugal. Conciliabule tenu par Pierre de Lune Lenglet d'apr. Raynaldi.
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1382. GIRONE. I,
- 1382. GRAN ou STRIGONIE. I,
- 1382. LONDRES. I
- .......... Page(s) .......... 209
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1383. CAMBRAI. I,
- 1383. ELNE. I,
- 1383. LONDRES. I,
- 1384. LILLE en Flan
re. Concile à l'occasion du schisme. Il ne paraît pas certain que ce concile ait été réellement tenu. Hist. de l'univ. de Paris, t. III, p.
- 1384. PRAGUE. II,
- 1384. SALISBURY. II,
- 1384. WORMS. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1385. ELNE. I, e diocés.
- 1385. L
NDRES. I, ovincial de Cantorbery.
- .......... Page(s) .......... 21
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1386. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 769
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1387. BARCELONE. I,
- 1387. LONDRES I,
- 1387. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 21
- 1387. NAVARRE. II,
- 1387. PO TIERS. Lengl. d'apr. l'éd. du Louvre. .
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1388. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 215
- 1388. PALERME. II,
- .......... Page(s) .......... 779
- .......... Page(s) .......... 1303
- .......... Page(s) .......... 21
- 1389. S.-TIBERY. II,
- 1390. COLOGNE. I,
- 1391. LONDRES. I,
- 1391. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1392. LONDRES. I,
- 1392. PRAGUE. II,
- .......... Page(s) .......... 1209
- .......... Page(s) .......... 1303
- .......... Page(s) .......... 743
- 1393. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1394. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1395. OXFORD. II,
- 1395. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1396. ARBOGEN. I,
- .......... Page(s) .......... 735
- 1396. POITIERS. II,
- 1396. TOURS. II,
- 1397. AVIGNON. II,
- 1397. LONDRES. I,
- 1397. ROME. On répond à des ambassadeurs. Lengl. d'apr. Rayn.
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1398. CAMBRAI. I,
- 1398. LONDRES. I,
- 1398. OXFORD. II,
- 1398. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1399. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1399. TROYES. II,
- 1400. ALCALA. Concile tenu en présence de Henri, roi de Castille. On y décida qu'on cesserait de reconnaître le soi-disant Benoît XIII, et on renvoya au futur concile oecuménique l'élection d'un pape certain. D'Aguirre, Conc. Hist., t. III.
- 1100. ANGLETERRE. Sur une décime et demie accordée au roi. Angl. III.
- .......... Page(s) .......... 741
- 1400. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1401. LONDRES. I,
- 1401. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 939
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1402. LONDRES I,
- .......... Page(s) .......... 851
- 1402. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1403, ou 1402 selon Lenglet. LONDRES. I,
- 1403. MAGDEBOURG. I,
- 1403. ROUEN. II,
- 1403 SOISSONS. II,
- 1403. VALLADOLID. II,
- 1404. ANGLETERRE. En faveur de l'antipape Benoît XIII. Lenglet.
- 1404. LANGRES. I,
- 1404. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 275
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1405. LONDRES. I,
- 1405. NANTES. II,
- 1405. POITIERS. II,
- 1405. PRAGUE. II,
- .......... Page(s) .......... 741
- 1406. LONDRES. I,
- 1406. NANTES. II,
- .......... Page(s) .......... 275
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1407. OXFORD. II,
- .......... Page(s) .......... 275
- 1407. WIRTZBOURG. II,
- 1408. ARAGON. Conciliabule en faveur de l'antipape Benoît XIII. Mansi, Conc., t. XXVI.
- 1408. HALBERSTADT. I,
- 1408. LONDRES. I,
- 1408. NANTES. II,
- 1408. OXFORD. II,
- .......... Page(s) .......... 275
- .......... Page(s) .......... 387
- 1408. PRAGUE. II,
- .......... Page(s) .......... 523
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1409. AGEREN. I,
- .......... Page(s) .......... 445
- .......... Page(s) .......... 1203
- 1409. AUTRICHE. Concile assemblé, dit Lenglet, contre le concile de Pise. Nous n'en avons trouvé aucune trace dans la collection de Labbe, pas plus qu'ailleurs, où l'abbé Lenglet renvoie son lecteur.
- 1409. BEZIERS. I,
- 1409. FLORENCE. I,
- 1409. FRANCFORT. I,
- 1409. LONDRES. I,
- 1409. NANTES. II,
- .......... Page(s) .......... 387
- .......... Page(s) .......... 399
- .......... Page(s) .......... 1203
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1410. ARRAS. I,
- 1410. CALAHORA. I,
- 1410. NANTES. II,
- 1410. NUREMBERG. II,
- 1410. POITIERS. II,
- 1410. SALAMANQUE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1411. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 23
- .......... Page(s) .......... 199
- 1411. PADERBORN. II,
- 1411. ROME. Concile convoqué par Balthasar Cossa, dit Jean XXIII, mais qui ne put avoir lieu. Marlène, Vet. Monum., t. VII.
- 1411. TARRAGONE. II,
- 1411. WIRTZBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1412. CASPES. I,
- 1412. LONDRES. I,
- 1412. PETRIKOVIC en Pologne. Sur la discipline. Lenglet.
- 1412 et 13. ROME. II,
- 1412. SALAMANQUE. Concile non approuvé, en faveur de Pierre de Lune. Mansi, Conc., t. XXVII.
- 1412. SEVILLE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1413. LONDRES. I,
- 1415. MEISSEN. I,
- 1413. OLMUTZ ou VISCHAU. II,
- 1413. PRAGUE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1414. AUGSBOURG ou LAVING. I,
- 1414 à 1418 (De). CONSTANCE. I,
- 1414. DIGNE. I,
- 1414. LONDRES. I,
- 1414. PARIS. II,
- 1414. WORMS. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1415. BOURGES. I,
- 1415. LONDRES. I,
- 1415. NOVOGRODEK. II, init. Concile provincial.
- 1415. PENISCOLA en Espagne. Conciliabule présidé par Pierre de Lune. Raynaldi.
- 1415. ROUEN. II,
- 1415. WARMIE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- .......... Page(s) .......... 443
- 1416. BRESLAU. I,
- 1416. LONDRES. I,
- 1416. PERTH. II,
- .......... Page(s) .......... 1019
- 1416. TOURNAY. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1417. CANTORBERY ou LONDRES. I,
- 1417. COLOGNE. I,
- 1417. LONDRES. I,
- 1417. PARIS. II, Mém. du Clergé.
- 1417. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1418. COLOGNE. I,
- 1418 à 1420. SALTZBOURG. II,
- 1419. CANTORBREY ou LONDRES. I,
- 1419. HALBERSTADT. I,
- 1419. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1303
- 1420. CALISKE. I,
- 1420. LUBECK. I,
- 1420. MAYENCE. Sur la discipline. Serrar. Hist. Mog. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 391
- 1420. SALTZBOURG. II,
- 1421. LANGRES. I,
- 1421. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 443
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1422. LONDRES. I,
- 1422. SABINE. II,
- .......... Page(s) .......... 1235
- 1423. ANGERS (SAINT-MAURICE D'). I,
- 1423. COLOGNE. I,
- 1423. LANCISKI ou prov. de GNESNE. Conc. tenu contre les Hussites. Mansi, Conc., t. XXVIII. C'est à tort que l'abbé Lenglet fait de cet unique concile deux conciles distincts, l'un de Gnesne, l'autre de Lanciski.
- 1423. MAYENCE. I,
- 1423. NUREMBERG. II,
- 1423. PAVIE. II,
- 1423. PISE. C'est le même concile de Pavie transféré à Pise. Gall. Chr., t. III, col.
- .......... Page(s) .......... 873
- .......... Page(s) .......... 1059
- 1423. TREVES. II,
- 1424. LIEGE. I,
- 1424. LYON. Contre quelques impostures. Lengl. d'apr. Raynaldi.
- 1424. TARRAGONE. II,
- 1425. COPENHAGUE. I,
- 1426. BEZIERS. I,
- 1426. CASTELNAUDARY. I,
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 1059
- 1426. YORK. II,
- 1427. CASTELNAUDARY. I,
- 1427. TROYES. II,
- 1428. CANTORBERY OU LONDRES. I,
- 1428. LICHTFIELD. I,
- 1428. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 537
- 1428. YORK. II,
- 1429. LONDRES. I,
- 1429. PARIS. II,
- 1429. TORTOSE. II,
- 1430. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 43, 741
- 1430. TARRAGONE. Sur la liberté de l'Eglise. Lengl. d'apr. Raynaldi.
- 1430. YORK. II,
- 1431. BALE. I,
- .......... Page(s) .......... 23
- 1431 ou 1435. STRASBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 1059
- 1432. BOURGES. I,
- 1432. LONDRES. I,
- 1432. YORK. II,
- 1433. LONDRES. I,
- 1434. COUTANCES. I,
- 1434. LONDRES. I,
- 1434. PRAGUE. Pour la réunion des Hussites. Lenglet.
- 1435 (Vers). CASTELNAUDARY. I,
- 1435. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1059
- 1436. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 391
- .......... Page(s) .......... 1059
- .......... Page(s) .......... 1059, 1060
- 1436. YORK. II,
- .......... Page(s) .......... 741
- 1437. LONDRES. I,
- 1437. TREGUIER. II,
- 1437. YORK. II,
- 1438. BOURGES. I,
- 1438. CANTORBERY OU LONDRES. I,
- 1438. FERRARE. I,
- 1438. FREYSINGEN. I,
- 1438. YORK. II,
- 1439. CANTORBERY OU LONDRES.
- 1439. FLORENCE. I, e oecuménique, terminé le 26 avril 1442.
- 1439. M YENCE. I,
- 1439. MOSCOVIE. Conciliabule où l'on arrêta comme prisonnier Isidore, évêque de Kiovie et légat du saint-siége. Lengl. d'apr. Raynaldi.
- 1439. TREGUIER. II,
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1440. BOURGES. I,
- 1140. FREYSINGEN. I,
- 1440. SALTZBOURG. II,
- 1440. TREGUIER. II,
- 1440. YORK. II,
- 1441. AVIGNON. I,
- 1441. BARCELONE. II,
- 1441. LANGRES. I,
- 1441. ROUEN. II,
- 1441. YORK. II,
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1442. BEZIERS. Synode diocésain. Gall. Chr., t. VI, col. 359.
- 1442. CANTORBERY OU LONDRES. I,
- 1442. CONSTANT NOPLE. Conciliabule, mentionné par Lenglet, sur la réunion des Grecs; mais il est supposé, ajoute cet écrivain.
- 1442. YORK. II,
- 1443. BARCELONE. II,
- 1443. CONSTANTINOPLE. Conciliabule où le patriarche Métrophane fut déposé. Lengl. d'apr. Allatius, in Consensione, I.
- 1444. FREYSINGEN. I,
- 1444. LATRAN. On dépose l'évêque de Grenoble. Lenglet, d'après Raynaldi.
- 1444. LONDRES. I,
- 1444. YORK. II,
- .......... Page(s) .......... 745, 814
- 1445. NANTES. II,
- 1445. ROUEN. II,
- 1445. TOURNAY. II,
- 1445. YORK. II,
- 1446. BRESLAU. I,
- 1446. LAMBETH. I,
- 1446. LIEGE. I,
- 1446. LONDRES. I,
- 1446. NANTES. II,
- 1446. WIRTZBOURG. II,
- 1447. AICHSTAEDT. I,
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1447. LONDRES. I,
- 1448. ANGERS OU TOURS. I,
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1448. LISIEUX. I,
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1449. LAUSANNE. I,
- 1449. LONDRES. I,
- 1449. LYON. I,
- 1450. CONSTANTINOPLE. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1450. TREGUIER. II,
- 1450. YORK. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- .......... Page(s) .......... 1271
- 1451. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 707
- 1451. SALTZBOURG. II,
- 1452. AVIGNON. II,
- 1452. COLOGNE. I,
- 1452. LANGRES. I,
- 1452. LONDRES. I,
- 1452, ou 1451 selon Lenglet d'après Raynaldi. MAGDEBOURG. I,
- 1452. TOULOUSE. II,
- 1452. WIRTZBOURG. II,
- 1452. YORK. II,
- 1453. AICHSTAEDT. I,
- 1453. CASHEL OU LIMERICK. I,
- 1453. WIRTZBOURG. II,
- 1453. YORK. II,
- 1454. CALAHORRA. I,
- 1454. CAMIN. I,
- 1454. COUTANCES. I,
- 1454. LICHTFIELD. I,
- 1455. ASCHAFFENBOURG. I,
- 1455. LANGRES. I,
- 1455 ou 1456. SOISSONS. II,
- 1455 TOURS OU VANNES. II,
- 1455. TREGUIER. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- 1456. LANGRES. I,
- 1456. PETRIKOVIC. Sur la discipline. Lenglet.
- 1456. SALTZBOURG. II,
- 1456. TREGUIER. II,
- 1457. AVIGNON. I,
- 1457. LAMBETH. I,
- 1457. TREGUIER. II,
- 1459. LANGRES. I,
- 1459. MANTOUE. I,
- .......... Page(s) .......... 391
- 1459. TREGUIER. II,
- 1460. LANGRES. I,
- 1460. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 861
- 1461. YONK. II,
- 1462. AVIGNON. II,
- 1462. LANCISKI. Sur la discipline. Lenglet.
- 1462. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1462. TREGUIER. II,
- 1462. YORK. II,
- 1463. CANTORBERY OU LONDRES. I,
- 1463. CONSTANCE. I,
- 1463. YORK. II,
- 1464. CANTORBERY (KENTERBURY). I,
- 1464. LANGRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1293
- 1464. YORK. II,
- 1465. AICHSTAEDT. I,
- 1465. PADERBORN. II,
- 1466. LANCISKI. Sur les moeurs. Lenglet.
- 1466. LYON. I,
- 1466. MAGDEBOURG. I,
- 1466. OSNABRUCK. II,
- 1466. YORK. II,
- 1467. TREGUIER. II,
- 1468. AUTUN (HEDUENSIS). I,
- 1468. LONDRES. I,
- 1469. TREGUIER. II,
- 1470. BENEVENT. I,
- 1470. COLOGNE. Concile tenu par l'archevêque Robert, sur les formalités à observer dans les procédures ecclésiastiques. Labb. XIII.
- 1470. PASSAU. II,
- 1470. YORK. II,
- 1471. CANTORBERY (KENTERBURY). I,
- 1472. CANTORBERY (KENTERBURY). I,
- 1472. YORK. II,
- 1473. BRESLAU. I,
- 1473. CANTORBERY (KENTERBURY). I,
- 1473. MADRID. I,
- 1473. TOLEDE ou ARANDA. II,
- 1474. CANTORBERY. I,
- 1474. YORK. II,
- 1475. BRESLAU. I,
- 1475. FREYSINGEN. I,
- 1475. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1476 CONSTANCE. I,
- 1476. LAMBETH. Contre les erreurs de Regnauld, évêque de Ches er. Lenglet, qui fait mention de ce concile, à son appui Labbe et Hardouin. Nous n'avons pu l'y trouver.
- 1476. ROUEN. II,
- 1477. YORK. II,
- 1478. CANTORBERY. I,
- 1478. NANTES. II,
- .......... Page(s) .......... 199
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1479. ALCALA. Assemblée de théologiens, où furent condamnées les erreurs de Pierre d'Osma. D'Aguirre, Conc. Hisp. t. III.
- 1479. COUTANCES. I,
- 1479. LANGRES. I,
- 1479. LYON. II,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1480. BESANCON. I,
- 1480. CALAHORRA. I,
- 1480. FREYSINGEN. I,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1481. BESANCON. I,
- 1481. COUTANCES. I,
- 1481. LONDRES. I,
- 1481. NANTES. II,
- 1481. TOURNAY. II,
- 1483. CANTORBERY. I,
- 1483. COLOGNE. I,
- 1483. CONSTANCE. I,
- 1484. AICHSTAEDT. I,
- 1484. CANTORBERY. I,
- .......... Page(s) .......... 757
- .......... Page(s) .......... 1049
- 1485. CANTORBERY. I,
- 1485. PETRIKOVIE. en POLOGNE. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 863
- 1485. TREGUIER. II,
- 1486. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1487. COUTANCES. I,
- 1487. SAINT-ANDRE. I,
- .......... Page(s) .......... 777
- 1488. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1489. GIRONE. I, és.
- 1489. MAGDEBOURG. I,
- 1490. ARRAS. Sous l'évêque Pierre de Ranchicourt. Lenglet.
- 1490. SALTZBOURG. II,
- 1491. BAMBERG. I,
- 1491. CANTORBERY. I,
- 1491. LANGRES. I,
- 1491. PETRIKOVIE. Sous Frédéric, cardinal de Gnesne.
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1492. CALAHORRA. I,
- 1492. CAMIN. I,
- .......... Page(s) .......... 919
- 1493. ANGERS. I,
- 1493. MEAUX. I,
- 1493. STRIGONIE. Lenglet, d'apr. la collection des Conc. de Hongrie.
- 1493. TREGUIER. II,
- .......... Page(s) .......... 719
- .......... Page(s) .......... 1061
- 1495. BESANCON. Sous Charles de Neufchâtel. Lenglet.
- 1495. CANTORBERY. I,
- .......... Page(s) .......... 279
- .......... Page(s) .......... 777
- 1495. TOULOUSE. Sous le cardinal de Joyeuse. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 1061
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1496. BRESLAU. I,
- 1496. CANTORBERY. I,
- 1497. BRESLAU. I,
- 1497. WARMIE. II,
- .......... Page(s) .......... 1303
- .......... Page(s) .......... 777
- 1498. TALAGA. Sous le cardinal Ximenès, sur les moeurs. Lenglet, d'apr. Raynaldi.
- 1499. BURGOS. Sous l'évêque Pascal. Lenglet, d'apr. d'Aguirre.
- .......... Page(s) .......... 139
- 1499. MAYENCE. I,
- 1499. NANTES. II,
- 1500. CAMIN. I,
- 1500. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 1191
- 1501. LONDRES. I,
- 1501. MEAUX. I,
- 1501. TROYES. II,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1502. CALAHORRA. I,
- 1502. GIRONE. I,
- 1503. ANGERS. I,
- 1503. GIRONE. I,
- 1503. LONDRES. I,
- 1503 (Après l'an). PARIS. II,
- 1504. ANGERS. I,
- .......... Page(s) .......... 743
- 1504. MEISSEN. I,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1505 et 1516 (Entre). CLERMONT. I,
- 1505. MAGDEBOURG. I,
- 1506. COUTANCES. I,
- 1506. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1509. AVIGNON. I,
- 1509. BRESLAU. I,
- 1509. TOURNAY. II,
- 1510. LISIEUX I,
- .......... Page(s) .......... 391
- 1510. TOURS. II,
- 1511. AUGSBOURG. Assemblée contre le conciliabule de Pise. Lenglet.
- 1511. CANTORBERY. I,
- 1511. FLORENCE. Sur la discipline. Lenglet, d'apr. Mansi, Suppl. t. V.
- 1511. HAVELBERG. I,
- 1511. LIMERICK ou CASHEL. I,
- 1511. LYON. I,
- 1511. MILAN ou PISE. II,
- 1511. SAINT-PONS, sancti Pontii Tomeriarum. Synode diocésain, tenu par le cardinal évêque Philippe de Luxembourg. M. de Mas Latrie, que nous avons eu la simplicité de copier (tom. I, 1218 de ce Dictionnaire), a fait de ce simple synode un concile du Mans!!!
- 1512. BRANDEBOURG. I,
- 1512. CANTORBERY. I,
- 1512. GIRONE. I,
- 1512 à 1517 (De). LATRAN ou ROME. I, e général de Latran, 18 e oecuménique.
- .......... Page(s) .......... 461
- 1512. SEVILLE. II,
- 1512. TOURS. II,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1513. COLOGNE. I,
- 1514. CASHEL. II,
- 1514. LONDRES. I,
- .......... Page(s) .......... 1191
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1515. GIRONE. I,
- 1515. LONDRES. I,
- 1515. ROME. Nous ne citons ce prétendu concile que pour relever une bévue de Lenglet, qui a lu 1515, au lieu de 1215, dans le Gallia Christiana. Gall. Chr. t. IV, col.
- 1515. TOUL. Synode diocésain, tenu par l'évêque comte de Toul, Hugues des Hasards. Nous ne cit rons des statuts de ce prélat que le dernier, qui pourra donner quelque idée du style du temps. "Pour le dernier statut en voulant cloure la boutique et remettre dedans les outiz. Nous statuons et ordonnons et de faict commendons a tous et a chascung de noz doyens ruralz et a tous nos aultres subjetz curez vicaires mercenaires. Et generalement a tous ceulx qui ont charge ou qui desservent a parroches en chiefz ou en membre de noz cité et diocese. Que doresenavant et au temps advenir ilz se prouvoyent et facent diligence davoir ces presens noz statuz sinodaulx. Toutettoys cnangees et innovees en aulcunes choses et adjoutees selon la variete du temps. Et quilz les tiennent devers eulx ou en leurs eglises. Affin que ne eulx ne leurs successeurs puissent alleguer cause dignorance en leur besoingnes et affaires. Car ignorance se dit mère de toutes faultes et erreurs... Donnez et ordonnez en nostre soyne de saint Luc soubz le seel de nostre court de Toul et le signet manuel de nostre clerc de chambre jure." Stat. synod. olim per rev. Patres Tullen. Eccl. proesules edita.
- 1515. VIENNE en Autriche. Assemblée pour la paix entre les princes chrétiens. Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1517 et 1518. FLORENCE. I,
- 1517. GIRONE. I,
- 1517. TARRAGONE. II,
- 1518. BAYEUX. II,
- 1518. DUBLIN. I,
- 1518. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1519. HERFORD. I,
- 1519. LIMOGES. I,
- 1520. PETERKAU. II,
- 1520. TOURNAI. II,
- 1521. PARIS. II,
- 1522. LANCISKI. I,
- 1522. ROUEN. Sur la discipline. Lenglet, d'apr. Bessin Conc. Norm. Voy.
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1523. ANGERS. I,
- 1523. LANCISKI. I,
- 1523. LONDRES. I,
- 1523. MEAUX. I,
- 1523. PARIS. II,
- 1523. ROUEN. II,
- 1524. RATISBONNE. Assemblée ou l'archiduc Ferdinand publia un édit contre les luthériens. Raynaldi, Lenglet.
- .......... Page(s) .......... 819
- 1524. SENS. II,
- 1525. MEXIQUE. Sur la discipline. Lenglet, d'apr. Raynaldi.
- .......... Page(s) .......... 199
- 1526. CHARTRES. I,
- 1526. ORLEANS. II,
- 1527. ALBI. II,
- 1527. COLOGNE. I,
- 1527. LANCISKI. I,
- 1527. MAYENCE. I,
- .......... Page(s) .......... 709
- 1528. BOURGES. I,
- 1528. COLOGNE. I,
- .......... Page(s) .......... 545
- 1528, ou 1527 selon Lenglet. LYON. I,
- 1528. PARIS ou SENS. II,
- .......... Page(s) .......... 461
- 1529. CALAHORRA. I,
- 1529. CANTORBERY ou LONDRES. Concile provincial, où l'on fit quelques décrets contre le luxe et autres désordres des clercs et pour la répression de l'hérésie. Wilkins, t. III.
- .......... Page(s) .......... 25
- 1529. TROYES. II,
- 1530 (Vers). AUTUN. I,
- 1530. BOULOGNE. II,
- 1530. CANTORBERY. I,
- 1530. PETERKAU. II,
- 1530. VIENNE en Dauphiné. II,
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1531. BEAUVAIS. I,
- 1531. CUENCA. I,
- .......... Page(s) .......... 903
- .......... Page(s) .......... 1021
- .......... Page(s) .......... 1305
- 1532. PETERKAU. II,
- 1533. ANGERS. I,
- 1533. ANGERS. I,
- 1533. GAP. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1533. OSNABRUCK. II,
- 1534. ANGERS. I,
- 1534. GAP. I,
- 1534. LOMBEZ. I,
- 1534. LONDRES. I,
- 1534. PETERKAU. II,
- 1535. AGDE. Synode diocésain. Gall. Chr. t. VI, col. 241. Ce synode est sans doute le même que celui que nous allons rapporter à l'an 1537.
- 1535. BOLOGNE. I,
- 1535. GIRONE. I,
- 1536. COLOGNE. I,
- 1536. HOMBOURG. Synode luthérien contre les anabaptistes. Presque tous les ministres présents y opinèrent contre ces misérables pour la confiscation des biens, l'exil et la mort, en cas d'impénitence. Mélanchton lui-même, le Fénélon de la réforme, dit élégamment M. Audin, opina pour la peine capitale contre tout anabaptiste qui persisterait dans ses erreurs, ou qui romprait son ban sur la terre d'exil où les magistrats l'auraient déporté. Voici le texte de la résolution prise par l'assemblée.
- Les ministres de la parole évangélique exhorteront d'abord les peuples à prier le Seigneur pour la conversion des rebaptisés: qu'une punition exemplaire soit infligée à ceux de nos frères dont les déréglements scandaliseront les consciences; que les ivrognes, les adultères, les joueurs soient réprimandés; que nos moeurs se réforment. Qui rejette le baptême des enfants, qui transgresse les ordres des magistrats, qui prêche contre les impôts, qui enseigne la communauté des biens, qui usurpe le sacerdoce, qui tient des assemblées illicites, qui prêche contre la foi, soit puni de mort. Voici comment on procédera contre les coupables: on amènera devant le surintendant tout chrétien soupçonné d'anabaptisme; le ministre le reprendra et l'exhortera avec douceur et charité; s'il se repent, on écrira aux magistrats et au pasteur de sa résidence qu'on peut lui pardonner et l'admettre à la communion des fidèles. Le coupable abjurera ses erreurs, confessera ses fautes, en demandera pardon à l'Eglise et promettra de vivre en fils soumis. S'il retombe, et qu'il veuille se réconcilier de nouveau avec Dieu, il sera frappé d'une amende dont on devra distribuer le produit aux pauvres. Tout étranger qui s'obstinera dans ses erreurs sera banni du pays; s'il rompt son ban, on le fera mourir. Quant aux simples qui n'auront ni prêché, ni administré le baptême, mais qui, séduits, se seront laissé entraîner aux assemblées des hérétiques, s'ils ne veulent pas renoncer à l'anabaptisme, ils seront battus de verges, exilés à jamais de leur patrie, et mis à mort, s'ils reviennent par trois fois au lieu d'où ils auront été chassés." M. Audin, Hist. de Luther.
- 1537. AODE. I,
- 1537. ANGERS. I,
- .......... Page(s) .......... 743
- 1537. LANCISKI. I,
- 1537. LANGRES. I,
- 1537. TOURS. II,
- 1538. CLERMONT. I,
- 1538. MAYENCE. Contre les hérétiques. Lenglet, d'apr. Laur. Surins. in Comm.
- 1538. MUNSTER. Même objet. Lenglet, d'apr. Laur. Surins. in Comm.
- 1538. OSNABRUCK. Même objet. Lenglet, d'apr. Laur. Surins. in Comm.
- 1538. ROME. Assemblée de cardinaux et d'autres prélats pour la réforme de l'Eglise. Elle ne se trouve pas mentionnée ailleurs que dans l'édition de Crabbe, de l'an 1551. Lenglet.
- 1539. CALAHORRA. I,
- 1539. HILDESHEIM. I,
- 1539. MANS. I, . Syn. diocés.
- .......... Page(s) .......... 393
- 1540. PETERKAU. Contre les erreurs de Luther. Lenglet. Ce concile est sans doute le même que le précédent.
- 1540. ANGERS. I,
- 1541. ANGERS. I,
- 1541. BOURGES. II,
- 1542. ANGERS. I,
- 1542. LANCISKI. I,
- 1542. NAPLES. II,
- 1542. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 393
- 1542. VERONE. II,
- 1543. ANGERS. I,
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1543. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 393
- 1544. SALTZBOURG. II,
- 1545. BENEVENT. I,
- 1545. CALAHORRA. I,
- 1545 à 1563 (De). TRENTE. I,
- 1546. AMIENS. I,
- 1516. CALAHORRA. I,
- 1546. LIEGE. I,
- .......... Page(s) .......... 725
- 1547. ANGERS. I,
- 1547. GNESNE. Pour députer au concile de Trente. Lengl. d'apr. Raynaldi: voir le suivant.
- 1547. LANCISKI. I,
- 1548. AUGSBOURG. I,
- 1548. BOULOGNE.
- 1548. COLOGNE. I,
- 1548. MELUN. I,
- Les évêques assemblés y émirent l'avis que la Provence et la Bretagne devaient être soustraites au droit concernant les réserves et les expectatives, etc., pour passer sous le droit particulier de la France. Baluze, Miscellan., t. VII.
- 1548. TREVES. II,
- 1548. VALENCE en Espagne. II,
- 1549. COLOGNE. I,
- 1549. COLOGNE. I,
- 1549. EDIMBOURG. I,
- 1549. MAYENCE. I,
- 1549. SALTZBOURG. II,
- .......... Page(s) .......... 907
- 1549. TREVES. II,
- 1550. AVRANCHES. II,
- 1550. CAMBRAI. I,
- 1550. CHARTRES. I,
- 1550. COLOGNE. I,
- 1551. COLOGNE. I,
- 1551. EDIMBOURG. I,
- 1551. NARBONNE. II,
- .......... Page(s) .......... 393
- 1552. AUXERRE. I,
- 1552. CALAHORRA. I,
- 1552. LESCAR ou LESCURE. I,
- 1552. LIMA. I,
- 1552. NOVARE. Sous e cardinal Jean de Moron. Lenglet.
- 1552 (Avant). SAINT-FLOUR. I,
- 1552. VERONE. II,
- 1553. CALAHORRA ou LOGRONO. I,
- 1554. ALGARVE. I,
- 1554. ANGERS. I,
- 1554. BEAUVAIS. II,
- 1554. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 1554. MEAUX. I,
- 1554. NAUMBOURG. Conventicule luthérien, présidé par Mélanchthon. On y soutint la nécessité de la dépendance de l'Eglise vis-à-vis des princes par les deux textes bibliques: Attollite portas principes vestras, et: Erunt reges nutritii lui.
- .......... Page(s) .......... 393
- 1554. SENS. II,
- 1555. CHARTRES. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 1281
- 1556. CANTORBERY ou ANGLETERRE. I,
- 1556. LANCISKI. I,
- 1556. LEOPOLD ou LOVICZ. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1557. CANTORBERY. I,
- 1557 (Vers). CHALONS-SUR-MARNE. I
- 1557. VIENNE. II,
- 1558. ANGERS. I,
- 1558. CHARTRES I,
- 1558. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1558. ORLEANS. II,
- 1559. EDIMBOURG. I,
- 1559. FLORENCE. Sur la doctrine et la discipline. Lenglet, d'apr. Mansi. Suppl., t. V.
- 1559. GLATZ. I,
- 1559, 25 mai. PAR S. 1 er Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y dressa 40 articles dont voici les plus remarquables.
- 1. "Aucune Eglise ne pourra prétendre primauté ni domination sur l'autre, ni pareillement les ministres d'une Eglise les uns sur les autres, ni les anciens ou diacres les uns sur les autres."
- 9. "Ceux qui seront élus (comme députés aux synodes ) signeront la confession de foi entre nous, tant dans les Eglises où ils seront élus que dans les autres où ils seront envoyés; et leur élection sera confirmée par les prières et l'imposition des mains des ministres; toutefois sans aucune superstition."
- 10. "Ceux qui s'ingéreront au ministère dans les lieux où quelque ministre de la parole de Dieu serait déjà établi seront suffisamment avertis de s'en désister, et au cas qu'ils n'en veuillent rien faire ils seront déclarés schismatiques: et quant à ceux qui les suivront, on leur f ra le même avertissement; et, s'ils sont contumaces et obstinés, ils seront aussi déclarés schismatiques."
- 29. "Les ministres ni autres personnes de l'Eglise ne pourront faire imprimer aucun livre composé par eux ou par autrui touchant la religion, ni en publier sur d'autres matières, sans les communiquer à deux ou trois ministres de la parole, non suspects."
- 37. "Les fidèles qui auront leurs parties convaincues de paillardise, seront exhortés de se réunir avec elles: et s'ils ne le veulent pas faire, on leur déclarera la liberté qu'ils ont selon la parole de Dieu. Mais les Eglises ne dissoudront point les mariages, afin de n'entreprendre rien sur l'autorité du magistrat."
- 38. "Nul ne pourra contracter mariage sans le consentement de ses père et mère. Toutefois quand ils auraient des pères et mères si déraisonnables que de ne vouloir pas consentir à une chose si sainte et si profitable, ce sera au consistoire d'y aviser."
- 1560. BESANCON. I,
- 1560. IENA. Synode luthérien, où les Zuingliens furent condamnés. Voyez Bossuet, Hist. des var., liv. VIII
- 1560. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 297
- 15 0, 10 mars. POITIERS. 2 e Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y dressa un mémoire pour être présenté aux Etats de France, et on arrêta quelques modifications à faire à plusieurs articles du 1 er synode, autres que ceux que nous avons rapportés.
- 1561. CASSEL. Conférence où l'accord fut réciproque entre les calvinistes de Marbourg et les luthériens de Rintel. Hist. des var., I.
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- .......... Page(s) .......... 1239
- 1562, 25 avril. ORLEANS. 3 e Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y abolit l'empêchement de mariage provenant d'affinité spirituelle, et on y prononça quelques nouvelles excommunications.
- 1562. SAZTBOURG. II,
- 1563, 10 août. LYON. 4 e Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y déclara, art. 3, stables et valides à l'avenir toutes les sentences d'excommunication confirmées par le Synode provincial.
- Art. 19. "Les ministres ne peuvent ni ne doivent marier des papistes jusqu'à ce qu'ils aient renoncé à leur religion, à leur superstition, et à la messe, et qu'ils fassent profession de notre foi, quand même le mari serait de la religion réformée. "
- Art. 22. "Le jugement du Synode est qu'un homme qui aura quitté sa femme pour cause de lèpre, et qui en aura épousé une autre, sa première étant encore vivante, le second mariage est nul devant Dieu; et qu'ainsi il ne pourra être admis à la table du Seigneur qu'il ne se soit séparé de sa seconde femme."
- Les actes de ce synode calviniste contiennent une réponse curieuse des frères de Genève au sujet des baptêmes administrés par des personnes privées. En voici l'article 1 er : "Nous, ministres et docteurs de l' Eglise de Genève, accompagnés de nos frères, venus au synode de Lyon, nous étant assemblés au nom du Seigneur, après avoir examiné ce cas de conscience qui nous a été proposé, si le baptême administré par une personne privée, c'est-à-dire qui n'a aucun office dans l'Eglise de Dieu, doit être réitéré ou non, nous déclarons que notre jugement unanime est qu'un tel baptême ne s'accordant pas avec l'institution de Notre-Seigneur Jésus-Christ, est par conséquent de nulle validité ou effet, et que l'enfant doit être apporté à l' église de Dieu pour y être baptisé; parce que séparer l'administration des sacrements de l'office du pasteur, c'est comme si on détachait un sceau pour vouloir s'en servir sans la commission des lettres patentes auxquelles il était apposé, et en pareil cas nous devons nous servir de la maxime de Notre-Seigneur, lorsqu'il dit que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a conjoint. "
- 1564. ANGERS. I,
- .......... Page(s) .......... 139
- 1564. FORLI. I,
- 1564. HARLEM. I,
- 1564. REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 1241
- 1564. VITERBE. II,
- 1564. TARRAGONE ou BARCELONE. II,
- 1565. BRAGUE. I,
- 1565. CAMBRAI. I,
- 1565. CONSTANTINOPLE. I,
- 1565. EVORA. I,
- 1565. GRENADE. II,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1565. MILAN. I, er sous saint Charles.
- 1565. MODENE. I,
- 1565. NAPLES. II,
- 1565 (Vers). PARIS, I,
- 1565. PARIS. 5 e Syn. nat. des Eglises réformées. On y déclara, art. 22: "Sur 1 le fait des divorces pour la cause d'adultère, vérifiée devant le magistrat, les consistoires pourront bien déclarer à la partie innocente la liberté qu'elle a de se remarier selon la parole de Dieu; mais ils ne se trouveront point à l'exécution du contrat, ni à la dissolution du mariage, pour recevoir ladite partie dans son nouveau ménage, parceque cela appartient au magistrat."
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- 1565. ST.-MALO. I,
- 1565 et 1566. SALAMANQUE. Concile provincial de Compostelle, te u à Salamanque du 8 septembre 1565 au 28 avril 1566, et non 1565, comme nous l'avions dit par erreur au tome I er de ce Dictionnaire. Ce concile, présidé par Gaspar, archevêque de Compostelle, eut trois sessions.
- Dans la première on lut le décret du concile de Trente concernant la tenue des conciles provinciaux; on récita la formule de profession de foi prescrite par Pie IV, et l'on reçut solennellement le concile de Trente.
- Dans la seconde on porta quarante-deux décrets.
- Les premiers ont pour objet les règles à suivre dans l'élection et la promotion des sujets aux bénéfices ecclésiastiques. Le 4 e recommande d'ériger au plus tôt des colléges et des séminaires. Les deux suivants rappellent les décrets du concile de Trente relatifs aux images et aux reliques. Le 7 e fixe à une fois par semaine la tenue des chapitres. Le 8 e prescrit de renouveler toutes les semaines les saintes espèces. Le 9 e et le suivant recommandent la célébrité des fêtes de Noël et du saint Sacrement. Le 11 e remet à la discrétion de l'évêque de permettre ou de défendre la représentation théâtrale de la Passion de Jésus-Christ dans les jours de la semaine sainte. Le 12 e a pour objet de éprimer les désordres qui se commettaient à l'occasion des processions de la confrérie de la Vraie Croix ou des flagellations faites en public. Les suivants condamnent les superstitions dans le culte divin, et prescrivent l'uniformité des rites. Le 20 e fait un devoir à tous les bénéficiers de chanter aux offices où ils sont tenus de se trouver. Les deux suivants prescrivent le silence et l'assiduité au choeur, sous peine de perdre son droit aux distributions. Le 23 e ne permet d'entremêler alternativement avec le chant le son de l'orgue qu'au Sanctus et à l' Agnus Dei, et le défend pour le Gloria, le Credo, la Préface et le Pater. Les suivants sont de même relatifs à la décence de l'office divin, ordonnent de créer dans chaque diocèse des prébendes de théologal et de pénitencier, et d'élever partout des colléges et des séminaires.
- La troisième session contient de même quarante-deux décrets, relatifs la plupart aux obligations particulières des évêques et des curés, à qui l'on recommande la résidence et le désintéressement dans l'exercice de leurs fonctions.
- Ce concile, souscrit de tous les évêques de la province, fut confirmé par le saint pape Pie V, le 12 octobre 1559. D'Aguirre, Conc. Hisp., t. IV.
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- .......... Page(s) .......... 1209
- 1565. VALENCE. II,
- .......... Page(s) .......... 1277
- 1566, ou 1567 selon Lenglet. NAPLES. II,
- 1566. PAVIE. II,
- .......... Page(s) .......... 1229
- 1566. VIGENCE. II,
- 1567. AUGSBOURG. I,
- 1567. BENEVENT. I,
- 1567. BENEVENT. I,
- 1567. CAMBRAI. I,
- 1567. CONSTANCE. I,
- 1567. LIMA. I,
- .......... Page(s) .......... 877
- 1567. TERNI. II,
- 1567. VERTEUIL en Angoumois. 6 e Syn. nat. des Eglises réformées. On y dit, art. 9: "Nos frères ayant proposé un doute, savoir, si une personne, autre que le ministre, pouvait délivrer la coupe au peuple dans le sacrement, ce synode, ayant dûment pesé les raisons de part et d'autre, décide que le 14 e article décrété au concile de Lyon restera en son entier, qui est que nul autre, sinon le ministre, ne délivrera la coupe, s'il est possible."
- Au titre: Avertissements sur diverses matières, on lit, art. 2: "Les femmes desquelles les maris s'en seront allés dans les pays étrangers, et ab entés tort longtemps pour quelque négoce ou autre chose, se pourvoiront par-devant leur magistrat si elles désirent de se remarier."
- 1568. LUNE OU SARZANA. II,
- 1568. ULMUTZ. II,
- .......... Page(s) .......... 1209
- .......... Page(s) .......... 1241
- 1568. WLADISLAW. Synode diocésain tenu par l'évêque Stanislas Carncowski, qui y publia les constitutions de son diocèse, rangées sous divers titres et divisées en trois parties.
- 1569. AVIGNON. I,
- 1569. BESANCON. I,
- 1569. CAPOUE. I,
- 1569. FAENZA. I,
- 1569. GIRONE. I,
- 1569. MILAN. I, e sous saint Charles.
- .......... Page(s) .......... 479
- .......... Page(s) .......... 717
- .......... Page(s) .......... 1205
- 1570. ARRAS. I,
- 1570. LEUWARDE. I,
- 1570. MALINES. I,
- .......... Page(s) .......... 9
- .......... Page(s) .......... 409
- .......... Page(s) .......... 717
- 1570. SANDOMIR, en Pologne. Conventicule protestant, où fut dressé le Concordat des Eglises polonaises.
- 1570. TREVES. II,
- 1571. ALBENGA. I,
- 1571. ALERIA. I,
- 1571. BENEVENT. I,
- 1571. BESANCON. I,
- .......... Page(s) .......... 385
- 1571. BRUGES. I,
- 1571. CUENCA. I,
- 1571. GAND. I,
- 1571. HARLEM. I,
- 1571. LA ROCHELLE. 7 e Syn. nat. des Eglises réformées. Dans ce synode, ou Théodore de Bèze fut elu pour modérateur, on soutint la vérité de la nature divine et de la nature humaine unies en Jésus-Christ, contre les nouveaux hérétiques de Transylvanie et de Pologne.
- 1571. LUGO. I,
- 1571. OSNABRUCK. II,
- 1572. NIMES. 8 e Syn. nat. des Eglises réformées. Il y fut déclaré, Matières gé nérales, art. 7: "En cas que les enfants des fidèles contractent mariage avec d'autres d'une religion contraire, contre la volonté de leurs parents, les parents ne leur alloueront aucun douaire par acte public, ni ne feront rien par où ils pourraient consentir ou approuver de tels mariages."
- .......... Page(s) .......... 717
- 1573. BESANCON. I,
- 1573. FLORENCE. I,
- 1573. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 717
- .......... Page(s) .......... 773
- .......... Page(s) .......... 1247
- .......... Page(s) .......... 1273
- 1574. BRESCIA. I,
- 1574. CUENCA. I,
- 1574. GENES. I,
- 1574. LOUVAIN. Concile provincial de Malines. Martène ( Thes. anecd., t. IV) a publié le premier les actes de ce concile, tenu par l'évêque d'Ypres, président, par les évêques d'Anvers, de Ruremonde, de Gand, de Bruges et de Bois-le-Duc, et par le vicaire général de l'archevêque. Ce concile eut principalement pour objet certaines difficultés relatives à l'exécution des décrets du concile de Trente.
- 1574. PLAISANCE. II,
- .......... Page(s) .......... 1025
- .......... Page(s) .......... 1247
- .......... Page(s) .......... 1249
- 1575. BARBASTRO. I,
- 1575. CAMBRAI OU VALENCIENNES. II,
- 1575. TORTOSE. II,
- .......... Page(s) .......... 1191
- .......... Page(s) .......... 1247
- .......... Page(s) .......... 1277
- 1576. ANVERS. I,
- 1576. EVREUX. I,
- 1576. MILAN. I, e sous saint Charles.
- 1576. NAPLES. II,
- .......... Page(s) .......... 1247
- 1577. CAPOUE. I,
- 1577. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 39
- .......... Page(s) .......... 551
- .......... Page(s) .......... 1277
- 1577. YPRES. II,
- 1578. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 395
- 1578. RIMINI. II,
- .......... Page(s) .......... 709
- 1578. SAINTE-FOI. 9 e Syn. nat. des Eglises réformées. On y dit, art. 11 des Matières générales: "Vu la calamité des temps, et les afflictions qui menacent l' Eglise, avec les vices et corruptions qui naissent et augmentent de plus en plus au milieu de nous, ce présent synode publie un jeûne universel, pour milier le peuple devant Dieu, par toutes les églises de ce royaume, en un même jour, qui sera le mardi 25 de mars prochain, et le dimanche suivant on administrera la sainte Cène par toutes les églises, s'il est possible." Art. 19. "Quoique ce soit une chose indifférente de tenir à ferme le temporel des bénéfices, néanmoins les ministres seront avertis de ne s'entremêler pas beaucoup de tels trafics, à cause des mauvaises et dangereuses conséquences, dont les consis oires et colloques jugeront prudemment." On dressa dans ce même synode un projet de réunion entre toutes les Eglises réformées et protestantes du monde chrétien.
- .......... Page(s) .......... 1229
- 1578. VENISE. II,
- .......... Page(s) .......... 1247
- 1579. AGEREN. I,
- 1579. BITONTO. I,
- 1579. COMACCHIO. I,
- 1579. COSENCE. I,
- 1579. FIGEAC, 10 e Synode des Eglises réformées. On y porta l'article suivant, qui est le 2 e des Matieres générales: "Aucun ne pourra épouser la tante de sa femme, un tel mariage étant incestueux."
- 1579. MELUN. I, er , et le rétablissement des élections. Le roi répondit, au sujet du concile de Trente, qu'il en délibérerait plus mûrement, et au sujet du concordat, que les évêques, dont la plupart lui devaient leurs siéges, ne devaient pas envier la même faveur à ceux qui auraient plus tard à leur succéder. C'est ainsi que se traitaient a ors dans les antichambres des rois les affaires ecclésiastiques.
- 1579. MILAN. I, e sous saint Charles.
- .......... Page(s) .......... 213
- 1579. SALERNE. II,
- 1579. SEBENICO. II,
- .......... Page(s) .......... 1217
- 1579. ZARA. II,
- 1580. BRESLAU. I,
- 1580. LEON. I,
- 1580. LUGO. I,
- 1580. RAVENNE. II,
- 1580. RIMINI. II,
- 1580. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 1229
- .......... Page(s) .......... 1247
- 1580 et années suivantes. VERONE. II,
- 1581. BALE OU THELESPERG.
- 1581. LA ROCHELLE. 11 e Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y porta l'article ou le décret suivant, qui est le 42 e des Matières générales: "Toutes usures excessives et scandaleuses seront absolument défendues et abolies." Art. 46. "Les fidèles seront exhortés, tant dans les prêches qu'en particulier, de ne laisser pas longtemps leurs enfants sans les faire baptiser, s'il n'y a quelque grande nécessité, ou des raisons importantes pour cela." Art. 48. "Les ministres et les fidèles ne publieront à l'avenir aucuns de leurs écrits imprimés ou autrement sur les matières de religion, de politique, de conseils ou autres choses de quelque importance, sans la permission expresse et l'approbation du colloque de leurs Eglises."
- 1581. LYON. I,
- .......... Page(s) .......... 709
- 1581. TREVISE. II,
- .......... Page(s) .......... 1247
- 1581. VLADISLAU. Synode protestant.
- 1582. ANDRIA. I,
- 1582, et non 1583, comme l'ont prétendu les auteurs du Gallia Christiana.
- EMBRUN. Concile provincial.
- Trompé par un renseignement inexact puisé dans le Gallia Christiana (t. III, col. 1095), nous avions cru que les actes de ce concile étaient restés inédits, et qu'ils ne se trouveraient que difficilement parmi les manuscrits de la Bibliothèque royale. Nous sommes enfin désabusé, et nous pouvons présenter ici une courte analyse de ce concile remarquable, dont les décrets ont été imprimés à Lyon en 1600.
- On y lit en tête la lettre du roi Henri III à l'archevêque d'Embrun, qui était à cette époque Guillaume d'Avanson, pour inviter ce prélat à nir son concile provincial. "Avons bien voulu, lui dit-il dans cette lettre, vous en admonester par la présente, prier et ordonner soigneusement, comme des-ja ont fait aucuns d'entre vous à leur grand honneur et à notre contentement: et que pour le plus long terme ladicte celebration se face pour le moys d'Octobre prochain, si ferez chose que nous aurons tres-agreable." La lettre est datée du dixième jour de Juillet, mille cinq cens huictante deux. On ne peut donc douter que ce concile n'ait été tenu en 15 2, ainsi que le porte le titre même.
- Les décrets du concile commencent par la réception solennelle et absolue du concile de Trente. "Il nous a semblé bon, disent les Pères, rassemblés que nous sommes au nom de Notre-Seigneur Jésus Christ, de faire serment d'admettre le concile de Tren e, d'adopter sa doctrine et ses sentiments, de le recevoir en tout, et d'observer à l'avenir chacun de ses décrets. C'est notre unanime, c'est le serment que nous avons fait d'une commune voix, bien convaincus qu'une aussi petite partie qu'un concile provincial du corps mystique de l'Eglise, ne doit pas se séparer d'un concile général qui est comme le corps entier, puisqu'autrement ce serait pour ce membre malheureux se condamner à mourir. Il est surtout de notre devoir de ne pas souffrir que tant et de si grands travaux entrepris dans le concile général de Trente, et soutenus jusqu'à la fin par cette Eglise universelle de Jésus-Christ, soient rendus vains et inutiles par notre lâcheté, en particulier à l'égard de cette France, depuis si longtemps affligée de tant de maux, et dont le soulagement a été certainement l'objet des travaux endurés avec tant de charité, de patience et de longanimité par cette Eglise principale, mère pleine d'affection pour les royaumes, les Etats et les provinces qu'elle renferme dans son vaste sein (a)." Les prélats font ensuite leur profession de foi dans la forme prescrite par Pie IV, et déclarent tous les bénéficiers, les professeurs même d'arts libéraux, et leurs sous-maîtres ou leurs aides obligés de la faire aussi. Ils veulent qu'on ait un soin particulier d'éloigner des paroisses les maîtres d'école dont la conduite serait scandaleuse ou la foi suspecte. Ils ordonnent l'érection de deux séminaires pour toute la province, l'un dans la ville d'Embrun pour ce diocèse et ceux de Digne, de Senez et de Nice, l'autre à Grasse pour ce diocèse également et les deux autres diocèses de Vence et de Glandève. Ils font un devoir à tous les curés de faire le catéchisme tous les dimanches et tous les jours de fêtes d'obligation de l'année. Ils veulent qu'on établisse une prébende pour l'enseignement public de la théologie dans chaque cathédrale et dans chaque collégiale, et qu'on crée de même pour chaque diocèse, autant que possible, une charge de pénitencier. Ils recommandent aux prédicateurs de ne point discuter en chaire contre les hérétiques en faisant imprudemment connaître leurs arguments au peuple qui les ignore, de ne point y traiter des questions difficiles ou des sujets propres seulement à leur donner à eux-mêmes une vaine réputation d'éloquence; de ne point se permettre d'invectives contre des ordres, ou des genres de vie, ou des états approuvés de l'Eglise; de ne désigner personne, en termes exprès ou couverts, dans la peinture qu'ils font des vices; de ne censurer publiquement ni les évêques ou d'autres prélats, ni même les magistrats civils, mais d'enseigner plutôt à leurs auditeurs l'obéissance qu'ils doivent à leurs supérieurs même fâcheux, aussi bien que leurs autres devoirs, soit de pères, soit d'enfants, d'époux ou d'épouses, de maîtres ou de serviteurs, de clercs ou de laïques, de magistrats ou de pe sonnes privées, et de les porter à la détestation de leurs péchés et à la pratique de toutes les vertus par la considération des peines éternelles et des récompenses célestes.
- En exhortant les fidèles à honorer les images exposées dans les temples avec l'approbation de l'évêque, ils défendent aux peintres eux-mêmes d'en peindre aucunes sous une forme insolite sans l'avis de leur curé, quand même ces images ne seraient pas destinées à un culte public. Ils donnent de même des règles pour la vénération des reliques; qu'on ne doit point exposer à la vue des fidèles sans flambeaux allumés, et ils condamnent pour l'avenir toute représentation comique ou tragique des mystères de Notre-Seigneur ou de la sainte Vierge, ou de la vie et de la mort des saints, à moins d'une permission particulière de l'évêque.
- Ils portent des peines sévères contre les magiciens, les blasphémateurs, les usuriers, les concubinaires, etc. Les clercs coupables du crime de blasphème perdront, pour une première fois, le revenu d'un an de leurs bénéfices, pour une seconde, leurs bénéfices mêmes, et pour une troisième, ils seront déposés et envoyés en exil. S'ils n'ont pas de bénéfices, ils subiront, pour une première fois, une peine corporelle ou pécuniaire, pour une seconde, celle de la prison, et pour la troisième ils seront dégradés. Les laïques coupables du même crime seront condamnés pour une première fois à une amende de vingt-cinq ducats, pour une seconde au double de cette amende, et pour une troisième au quadruple, à une note d'infamie et à l'exil. Mais s'ils sont roturiers et qu'ils ne puissent payer l'amende, ils seront, pour une première fois, exposés, les mains liées derrière le dos, un jour entier à la porte de l'église; pour une seconde, ils seront fouettés à travers la ville, et pour la troisième, on leur percera la langue et on les mettra aux galères.
- Les contrats de réméré sont proscrits comme usuraires, et on condamne de même les ventes de marchandises portées à un plus haut prix sous prétexte de délai de payement, ou à un prix moins élevé sous le prétexte contraire. On défend également, comme pratique usuraire, de recevoir en gage des objets qui dépassent la valeur de ce qui serait dû, sous la condition de se les approprier à défaut de remboursement. Dans les contrats de cheptel, on exige que ce soit le bailleur qui supporte la perte des bestiaux qui dépérissent ou qui meurent sans que ce soit la faute de celui qui en a pris le soin. Les contrats où le vendeur serait obligé de racheter, ou ne pourrait racheter ce qu'il aurait vendu qu'après un certain temps, sont rigoureusement interdits. Si un prix de ferme ou de loyer doit se payer en choses consomptibles, telles que du vin, du blé, etc., on doit en réduire la quantité à l'équivalent du numéraire ou à un juste prix, selon la coutume du lieu. Enfin on ne doit rien exiger au delà du capital pour prêt ou dépôt, même de la part d'un juif.
- On ordonne la fermeture des boutiques les jours de fêtes, et la remise à un autre jour des marchés ou des foires qui tomberaient ces jours-là. On proscrit absolument les danses, soit publiques, soit privées.
- D'autres décrets, et en grand nombre, sont relatifs aux sacrements. On défend les messes sèches, au point qu'à l'avenir on ne devra plus même en prononcer le nom. On ne permettra à aucun laïque de toucher au saint chrême. Dans l'administration des sacrements, les exorcismes, les bénédictions des fonts, celles des époux, et les autres rites et cérémonies, on se conformera exactement à la pratique de l'Eglise romaine.
- Dans les processions on aura soin que les laïques soient séparés des clercs, et les femmes des hommes, sous peine de réprimande et d'autres peines même plus sévères.
- (a) "Nobis omnibus, in nomine Domini nostri Jesu Christi congregatis, visum est ab initio statim in sacrosanctam synodum Tridentinam verba et mentem jurare, eam agnoscere et recipere, omnia atque singula ejus scita et decreta in posterum observaré. In quam quidem sententiam omnes unanimes descendimus, ipsumque generale concilium et recepimus et juravimus, perspicue intelligentes non debere particulam corporis mystici a toto corpore, id est hoc concilium provinciale a concilio generali sejunctum esse: cum infelix et moribunda marcescat omnis pars quae suo corpori non cohoereat: illud etiam nobis potissimum esse debere ducentes, ne patiamur tot tantosque in Tridentina generali synodo susceptos, et ab illa universali Ecclesia exandatos
, ignuvia nostra jucere, vanosque et
esse, haic prousertim tandiu, tamque misere rexatae, et afflictae Galliae, in cujus max me levamen et aux lium, Ecclesiam illum inc ytam, Regno
, Ditionum et Provinciarum orbis Christiani piissiman matrem libentissime, flagrants ac longanimi caritate, et patienti, eosdem ilos
bores pertulisse constat." Decr. syn. prov. habitae Ebredoni.
- Les chantres ne feront point entendre de modulations qui ressentent la mollesse, et qui semblent plutôt sortir de la gorge, que d'être articulées par la bouche; ils feront entendre distinctement les paroles, auxquelles ils ne feront qu'accommoder leurs voix. Toutes les fois que le Credo devra se dire et se chanter après l'Evangile, on le chantera d'un bout à l'autre, sans l'interrompre par les sons de l'orgue.
- Les autres décrets qu'il resterait à analyser regardent la collation des bénéfices, l'examen de ceux qui doivent être promus à l'épiscopat, la sainteté de vie requise dans les évêques, les pretres et les autres ecclésiastiques, les obligations des vicaires forains, la visite des diocèses, la discipline à observer dans les églises métropolitaines, cathédrales et collégiales, l'ordre des offices, la conservation et l'administration des biens d'église, la juridiction ecclésiastique, la conduite à observer à l'égard des réguliers, le soin des hôpitaux, la sépulture des évêques, celle des fidèles, et en particulier celle des pauvres, qui doit toujours se faire aux frais du curé de l'endroit, les précautions à prendre par rapport aux juifs, etc.
- Tous ces décrets, au bas desquels nous sommes étonné de ne pas voir d'autres signatures que celle de l'archevêque d'Embrun, furent confirmés par le pape Grégoire XIII, le 26 janvier 1585.
- 1582. GIRONE. I,
- 1582. LEON. I,
- 1582. LIMA. I,
- 1582. LUNE. I,
- 1582. MEMPHIS. I,
- 1582. MILAN. I, e sous saint Charles.
- 1582. PARIS. Assemblée du clergé de France. Regnaud de Beaune, archevêque de Bourges, fut l'orateur de cette assemblée, et demanda au roi la publication du concile de Trente et le rétablissement des élections canoniques. Le roi répondit sur ce double sujet comme il l'avait fait à Melun.
- .......... Page(s) .......... 387
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 1005
- 1582. VERCEIL. II,
- 1582. VERONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1277
- 1583. ALBENGA. I,
- 1583. ANGERS ou TOURS. II,
- 1583. BORDEAUX. I,
- 1583. CULM. I,
- 1583. LEON. I,
- 1582 à 1583, LIMA. I,
- 1583. RAVENNE. II,
- .......... Page(s) .......... 527
- .......... Page(s) .......... 147
- .......... Page(s) .......... 905
- 1583. VERCEIL. II,
- 1583. VERONE. II,
- 1583. VICENCE. II,
- 1583. VITRE. 12 e Syn. national des Eglises réformées. On y rédigea cet article, qui est le 12 e : Quand il vient à la connaissance du consistoire, par l'un de ses membres, quelque crime énorme, et méritant la mort exemplaire de celui qui aura commis ledit crime, et qui n'a pas pu être appelé au consistoire, et ne s'est pas découvert lui-même pour demander conseil, on demande si on le déclarera au magistrat? La compagnie a été d'avis que le consistoire ne le dénoncera point, si ce n'est au magistrat fidèle, et seulement par manière d'avertissement, et non pas comme délateur."
- Art. 16: "Touchant la question proposée par les députés d'Anjou, s'il est licite d'accompagner une épouse de l'Eglise papiste jusqu'au temple? on a dit que cela ne doit se faire que le plus rarement qu'il sera possible, et pourvu qu'il n'y ait dans cette compagnie ni dissolution, ni violons, ni aucunes autres choses qui tendent à la vanité et au débordement accoutumé. Et on a ordonné que la même chose se doit observer touchant les convois des funérailles de ceux de l'Eglise romaine jusqu'au sépulcre, à savoir qu'il n'est pas licite d'y assister, s'il y a quelque espèce d' idolâtrie ou de superstition."
- Par l'article 21, la Compagnie ordonne un jeûne général.
- Art. 23. "Quant à la question proposée par les députés de l'Ile-de-France, comment il faut procéder contre ceux qui sont ingrats envers leurs ministres, et ceux qui doivent contribuer aux frais ecclésiastiques, la Compagnie a été d'avis qu'ayant égard aux blâmes et calomnies que l' Eglise pourrait s'attirer en cela, ils seront seulement avertis et exhortés de faire leur devoir envers leurs pasteurs, et en cas de besoin qu'on tâchera de les y porter, en leur fa t de vives remontrances sur cette obligation, devant les principaux chefs de famille, sans qu'on puisse néanmoins leur interdire les sacrements pour le seul refus de ces contributions."
- Art. 25. "Quant à la question proposée par les députés de Poitou, s'il est expédient que les ministres aillent visiter les malades pestif rés? la Compagnie a remis cela à la prudence des consistoires, estimant néanmoins que CELA NE DOIT PAS ETRE FAIT SANS UNE TRES-URGENTE NECESSITE, puisqu'on exposerait à un grand danger toute une Eglise pour quelques particuliers: si ce n'est que le ministre puisse consoler ces malades en leur parlant de loin, sans risquer d'en être infecté."
- Sous le titre de Matières particulières, on lit, art. 33: Plusieurs s'étant plaints de la censure faite par le dernier synode de La Rochelle sur l' Exposition du livre de la Genèse, par Brocard, auquel synode elle fut condamnée d'impiété, parce que la sainte parole de Dieu y est profanée, et les choses interprétées trop à la lettre: quoique quelques-uns voulussent excuser l'auteur, à cause qu'il convient avec nous sur tous les articles de notre foi, cette assemblée confirme néanmoins la censure faite par ledit synode... "
- 1584 ARRAS. II,
- 1584 BOURGES. I,
- 1584 (Vers). CREMONE. I,
- 1584. IMOLA. I,
- 1584. LIMA. I,
- 1584. TARRAGONE ou BARCELONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1229
- 1584. VERONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1273
- .......... Page(s) .......... 445
- 1585. COLOGNE. I,
- 1585. LIEGE. I,
- 1585. LIMA. I,
- 1585. MEXIQUE. I,
- .......... Page(s) .......... 297
- .......... Page(s) .......... 147
- 1585. SAINTE-AGATHE-DES-GOTS ou ARGENTI. I,
- 1585. VERONE. II,
- 1586. ANGERS. I,
- 1586. BARBASTRO. I,
- 1586. CAMBRAI ou MONS. I,
- 1586. LIMA. I,
- 1586. MASSA. I,
- .......... Page(s) .......... 217
- .......... Page(s) .......... 297
- 1586. SAVONE. II,
- 1587. CAMERINO. I,
- 1587. CHARTRES. I,
- 1587. CONCORDIA. I,
- 1587. GAP. II,
- 1587. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 405
- 1587. SAINTE-AGATHE-DES-GOTS ou ARGENTI. I,
- 1587. VERONE. II,
- 1588. ANGERS. I,
- 1588. ASTI. I,
- 1588. BAULME-LIZ-S STERON ou GAP. I,
- 1588. BESANCON. I,
- 1588. CALVI. I,
- 1588. GAP. I,
- 1588. GENES. I,
- 1588. LIMA. I,
- 1588. METZ. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 133
- 1588. VERONE, II,
- 1589. BESANCON. I,
- 1589. FLORENCE. I,
- 1589. ORLEANS. II, . Syn. diocés.
- 1589. PLAISANCE. II,
- 1589. SAVONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1589. THANI. II,
- .......... Page(s) .......... 1243
- 1589. VERONE. II,
- 1590. BESANCON. I,
- 1590. CESENE. I,
- 1590. CREMA. I,
- 1590. FERMO. I,
- 1590. LIMA. I,
- .......... Page(s) .......... 139
- .......... Page(s) .......... 719
- .......... Page(s) .......... 1021
- 1590. VALENCE. II,
- 1590. VALENCE. II,
- .......... Page(s) .......... 1275
- 1591. COIMBRE. I,
- 1591. LIMA. I,
- 1591. LUNE. I,
- 1591. MONT-CASSIN. I,
- 1591. MONTEFIASCONE. I,
- 1591. OLMUTZ. II,
- 1591. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1259
- 1592. ATRI ou ADRIA. I,
- 1592. BESANCON. I,
- 1592. BRESLAU. I,
- 1592. COIMBRE. I,
- 1592. CUENCA. I,
- 1592. FERETRI. I,
- 1592. FERRARE. I,
- 1592. LIMA. I,
- 1592. MONTREAL. I,
- 1592. SAVONE. II, . Syn. diocés.
- 1592. TARRAGONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1005
- 1592. TREVISE II,
- 1592. VENISE, II,
- 1593. BESANCON. I,
- 1593. GIRONE. I,
- 1593. HIERACEN. I,
- 1593. MONT-VIERGE. I,
- 1593. OSIMO. II,
- 1593. RIMINI. II,
- .......... Page(s) .......... 719
- .......... Page(s) .......... 1159
- 1594. ATRI (Adria). I,
- 1594. AMALFI. I,
- 1594. ANGER
. I,
- 1594. AVERSE. I,
- 1594. AVIGNON. I,
- 1594. BENEVENT. I,
- 1594. COLLE. I,
- 1594. LIMA. I,
- 1594. LYON. I,
- 1594. MONTAUBAN. 13 e Syn. nat. des Eglises réformées. On y dit, Matières générales, art. 3: "La liberté demeurera à l' Eglise de rendre toujours plus parfaite la traduction de la sainte Bible: e nos Eglises, à l'exemple de la primitive, sont exhortées de recevoir la dernière traduction qui en a été faite par les pasteurs et les professeurs de l' Eglise de Genève."
- Art. 6: "Sur la proposition faite par les députés de Saintonge, suivant la résolution prise au synode de Vitré, si l'on doit changer le formulaire du catéchisme de monsieur Calvin, il a été résolu qu'on le retiendra, et qu'il ne sera pas permis auxdits ministres d'en exposer un autre."
- .......... Page(s) .......... 133
- .......... Page(s) .......... 719
- 1594. SAVONE. II,
- 1594. VALENCE II,
- 1594. VENISE. II,
- 1595. AMEL A. I, . Syn. dioc.
- 1595. ANGERS. I,
- 1595. ANGERS. I,
- 1595 AQUILEE. I,
- 1595. ASTORGA. I,
- 1595. CASTELLANETO. I,
- 1595. LUNE. I,
- .......... Page(s) .......... 719
- 1595. TORTONE. II,
- 1596. ANAGNI. I,
- 1596. AQUILEE. I,
- 1596. LIBAN. I,
- 1596. LIMA. I,
- 1596. RIMINI. II,
- .......... Page(s) .......... 753
- 1596. SAUMUR. 14 e S. nat. des Eglises refermées. On y fit entre autres l'article suivant, qui est le 19 e des Matières particulières: "A la requête des Eglises du haut Languedoc, on écrira à M. de la Force, gouverneur du pays de Béarn, et à messieurs de la cour du parlement de Pau, qu'ils empêchent PAR TOUTES SORTES DE MOYENS que la messe ne soit remise en Béarn."
- .......... Page(s) .......... 1023
- 1597. AMALFI. I,
- 1597. BESANCON. I,
- 1597. CONZA. I,
- .......... Page(s) .......... 719
- .......... Page(s) .......... 773
- .......... Page(s) .......... 811
- 1598. COLOGNE. I,
- 1598. LIMA. I,
- 1598. MONTPELLIER. 15 e Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y déclara, Matières générales, art. 2: "Sur la plainte des Eglises de Genève, Berne, Bâle, du Palatinat et autres, touchant plusieurs écrits mis en lumière, sous prétexte de la réunion des chrétiens en une même doctrine, au préjudice de la vérité de Dieu, et entre autres un ouvrage intitulé: Apparatus ad fidem catholicam, et un autre avec cette inscription: Avis pour la paix de l'Eglise et du royaume de France; le Synode, après avoir lu et examiné les lits écrits, et entendu l'avis du colloque de Nîmes, assisté des députés d'un autre colloque de la même province, ensemble les censures des Eglises nommées pour en faire l'examen, les a condamnés, comme contenant plusieurs propositions erronées, à savoir que la vérité de la doctrine a toujours demeuré en son entier entre tous ceux qui se disent chrétiens, que ceux de l'Eglise romaine ont les mêmes articles de foi, les mêmes commandements de Dieu, les mêmes formulaires de prières, le baptême et les mêmes moyens que nous pour parvenir au salut, et que par conséquent ils ont la vraie Eglise; que la dispute n'est que de mots, et non pas de choses, et que les anciens conciles et les écrits des Pères doivent être les juges de nos différends." Cet article, du moins en ce qu'il a de relatif au livre intitulé: Apparatus ad fidem catholicam, paraît avoir été révoqué par le conventicule de Gergeau, tenu en 1601, et par celui de Gap de l'an 1603; car voici ce que dit ce dernier ( Observ. sur le synode nat. de Gergeau, art. 10): "L' Eglise de Paris est censurée de n'avoir pas reçu le livre intitulé: Apparatus ad fidem catholicam, ni les autres, dont elle était chargée par le synode de Gergeau. La province qui convoquera le synode national prochain est nommée pour examiner lesdits livres."
- 1601. GERGEAU. 16 e Synode national des Eglises prétendues réfo mées de France. Sous le titre de Révision de la discipline ecclésiastique, on y déclara, art. 21: "Les disputes de lig on avec les adversaires seront réglées en telle sorte que les nôtres ne seront point agresseurs: et s'ils sont engagés en disputes verbales, ils ne parleront que suivant la règle de l'Ecriture sainte et n'emploieront point les écrits des anciens docteurs pour le jugement et la décision de la doctrine."
- 1598. VERDUN. II,
- 15
9. BENEVENT. I,
- 1599. BESANCON. I,
- 1599. CLERMONT. I,
- 1599. CREMONE. I,
- 1599. DIAMPER. I,
- 1599. FERRARE. I,
- 1599. ISCHIA. I,
- .......... Page(s) .......... 419
- .......... Page(s) .......... 873
- 1599. VALENC
. II,
- 1600. ANGERS I,
- .......... Page(s) .......... 747
- 1600. AVRANCHES. II,
- 1600. BESANCON. I,
- 1600. BORDEAUX. I,
- 1600 (Vers). BRINDES. I,
- 1600. GIRONE I,
- 1600. LIMA. I, . Syn. dioc.
- 1600. OR
IUELA. II,
- .......... Page(s) .......... 387
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1601. GIRONE. I,
- 1601. LIMA. I,
- 1601. LEIRIA. I,
- .......... Page(s) .......... 1001
- 1602. CUENCA. I,
- 1602. LIMA. I,
- .......... Page(s) .......... 375
- 1602. RIMINI. II,
- 1603. BESANCON. I,
- 1603. BORDEAUX. I,
- 1603. BRIXEN. I,
- 1603. CAPOUE. I,
- 1603. CHIOZA. I,
- 1603. GAP. 17 e Synode national des Eglises réformées de France. Outre les ministres députés de toutes les provinces de France, il s'y trouva des étrangers, contre les défenses que le roi en avait faites en 1598, et même des luthériens allemands; mais ceux-ci ne purent convenir avec les calvinistes sur aucun des points contestés entre eux. Ce prétendu synode déclara que le baptême conféré par un proposant, c'est-à-dire par un de ceux qui aspirent à l'emploi de ministre, est invalide, et conséquemment doit être réitéré, comme il avait déjà été décidé à Poitiers; que les ministres devaient employer plus rarement le témoignage des Pères et des docteurs scolastiques dans leurs sermons, pour s'en tenir à la pure parole de Dieu; que les disputes scolastiques ne seraient plus traitées dans les consistoires, mais renvoyées aux écoles ainsi qu'on l'avait réglé à Saumur; que le roi serait prié d'employer son intercession auprès du duc de Savoie, pour obtenir la liberté de conscience aux protestants du marquisat de Saluces; qu'on supplierait encore Sa Majesté de trouver bon qu'on n'employat plus dans les actes judiciaires les termes de religion prétendue réformée, les ministres ayant déclaré qu'ils ne pouvaient s'en servir en conscience. Tous ces articles regardent la discipline, et sont peu importants, à la réserve du premier, auquel on ne peut faire la plus légère attention sans apercevoir la contradiction manifeste qui règne dans la conduite et dans la doctrine des sacramentaires. Ces messieurs font profession de suivre en tout la pure parole de Dieu, et les voilà qui prononcent hardiment sur la nullité du baptème conféré par tout autre que par un ministre, quoique certainement cette décision soit aussi peu fondée dans les Ecritures que leur sentiment sur la nécessité du baptême en général y est opposé. Jésus-Christ a dit, en termes exprés, que nul ne peut entrer dans le royaume de Dieu, s'il ne renaît de l'eau e de l'Esprit-Saint; cependant, comme si cet oracle ne renfermant qu'une menace vaine et frivole, les calvinistes laissent tous les jours périr des enfants plutôt que de leur administrer le baptême hors de leurs assemblées. Au contraire, par qui le baptême doit-il être conféré? C'est ce que Jésus-Christ ne détermine point absolument, et les sectaires veulent que ce soit par un ministre, sans quoi ils soutiennent qu'il est de nulle valeur, tant il est difficile d'agir conséquemment, et de suivre des principes certains quand on est hors de la voie. L'assemblée de Gap s'occupa longtemps à examiner la doctrine de Jean Piscator de Strasbourg. Ce professeur de théologie dans l'académie d'Herborne s'était mis dans la tête de se faire une réputation par la singularité de ses sentiments, et il en publiait de fort extraordinaires et de très-éloignés de ceux de sa secte. Il enseignait entre autres choses que la fraction du pain était si essentielle à la Cène, que sans cela elle ne pouvait subsister; que la loi de Moïse n'avait point été aboie quant aux préceptes judiciaires ni aux peines qu'ils prescrivent, et qu'ainsi on devait les garder. Il n'était pas plus d'accord avec ses confrères sur les articles de la prédestination, de la pénitence et de la satisfaction de Jésus-Christ. Il soutenait que nous sommes justifiés par l'imputation de la mort seule du rédempteur, et non pas de ses autres oeuvres méritoires, par lesquelles il n'avait mérité que pour lui, ayant été assujetti à l'observation de la loi comme fils d'Adam et d'Abraham. Le conciliabule s'attacha à discuter cette dernière opinion, et, après un long examen, les ministres déclarèrent que toute l'obéissance de Christ en sa vie et en sa mort nous est imputée pour l'entière, rémission de nos péchés, comme n'étant qu'une seule et même obéissance. Les synodes de La Rochelle en 1607, de Privas en 1612, et de Tonneins en 1614, confirmèrent ce qui avait été fait à Gap, et déclarèrent pareillement la doctrine de Piscator détestable. Pierre du Moulin, si fameux dans son parti, et le synode d'Ay jugèrent au contraire qu'il ne s'agissait que d'une bagatelle pour laquelle on n'aurait pas dû troubler la paix de l'Eglise. Ils pouvaient ajouter qu'on avait fort crié contre le professeur d'Herborne, mais que dans le fond on n'avait rien prouvé contre lui par les Ecritures. Ce que le synode fit de plus considérable fut un article de loi, qui, pour avoir été omis dans les confessions précédentes, n'en était pas, disait-on, moins fondé sur la parole de Dieu, ni moins scellé par le sang des martyrs de la réforme. Il concerne le pape, qu'on déclare être proprement l'Antechrist et le fils de perdition marqué dans la parole de Dieu, et la tête vêtue d'écarlate que le Seigneur déconfira comme il l'a promis, et comme il commençait déjà. Calvin, à l'exemple de Luther, avait honoré le pape du beau nom d'Antechrist, et avancé qu'on pouvait lui appliquer ce que Daniel en dit aux chapitres 7, 8, 25, et saint Paul dans la seconde épître aux Thessaloniciens, ch. 2, v. 4; mais il n'avait jamais pensé d'en faire un article de foi. On le jugea nécessaire alors pour appuyer le ministre Ferrier qui venait de soutenir dans une thèse que Clément VIII était l'Antechrist, et rassurer quelques scrupuleux qui se reprochaient d'avoir parlé comme lui. Ce fut l'occasion du décret, qui ne fut pas du goût de tous les calvinistes: le marquis de Rosni ne put s'empêcher de dire que c'était l'ouvrage d'une troupe de bigots (car il y a des gens de cette espèce dans toutes les sectes); Il écrivit de plus à l'assemblée pour l'obliger à retrancher le nouvel article; mais elle eut d'autant moins d'égard à ses remontrances, qu'elle ne le regardait pas comme un homme fort dévot. Il ne le devint, comme la plupart des autres courtisans, que sur la fin de ses jours, au rapport d'un historien reçu et fort estimé dans son parti. Le roi, n'ayant rien gagné par la douceur, ordonna la suppression de l'article, que les bigots tirent néanmoins revivre en 1607, au synode de La Rochelle, où l'on régla que comme très-véritable et conforme à ce qui était prédit dans l'Ecriture, et que nous voyons en nos jours clairement accompli, il serait imprimé des exemplaires de la confession de foi, qui serait mise de nouveau sous la presse. Cet ordonnance, qui demeura sans effet, parce qu'Henri IV défendit encore d'y avoir aucun égard, fait voir l'invincible opiniâtreté des sectaires à mettre en usage tout ce qu'ils ont jugé de plus propre à inspirer au peuple de la haine et de l'horreur pour la religion catholique. D'AVRIGNY.
- 1603. GIRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 811
- 1603. VALVE. II,
- 1604. BARBASTRO. I,
- 1604. BESANCON. I,
- 1604. BORDEAUX. I,
- 1604. CAMBRAI I,
- 1604. GENES. I,
- 1604. GIRONE. I,
- 1604. LIMA. I,
- 1604. METZ. I,
- .......... Page(s) .......... 9
- 1604. SALAMANQUE. II,
- 1604. TREVISE. II,
- 1605. AGEREN. I,
- 1605. ANGERS. I,
- 1605. ASTI. I,
- 1605. BESANCON. I,
- 1605. COIRE. I,
- 1605. POLOGNE. I,
- 1605. CULM. I,
- 1605. FERENTINO. I,
- 1605. GIRONE. I,
- 1605. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 443
- 1606. AVIGNON. I,
- 1606. BORDEAUX. I,
- 1606. ORLEANS. II,
- 1606. PESCHIA. II,
- .......... Page(s) .......... 435
- .......... Page(s) .......... 711
- 1606. VALLADOLID. II,
- 1607. BARI. I,
- 1607. BESANCON. I,
- 1607. LA ROCHELLE. 18 e Syn. nat. des Eglises réformées. On y confirma ce qui avait été arrêté à Gap, l'an 1603, par rapport au livre de Piscator et au nom d' Antechrist appliqué au pape. On y fit aussi les articles suivants:
- Art 20. "Les femmes de ceux qui sont absents pour crime ne peuvent pas contracter mariage en bonne conscience avec d'autres, pendant que leurs maris seront vivants."
- Art. 21. "La Compagnie, suivant les avis des Synodes précédents de Lyon et de Vitré, déclare nuls les mariages de ceux qui en auront contracté avec d'autres du vivant de leurs parties, quoiqu'elles soient séquestrées pour cause de lèpre."
- 1607. MALINES. I,
- .......... Page(s) .......... 395
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- 1607. ROME. Congrégations dites de Anxiliis, à l'occasion des disputes qui s'étaient élevées entre les dominicains et les jésuites sur les matières de la grâce. Ces disputes avaient commencé dès 1581. Le père Prudence de Monte-Major, jésuite, théologien dans l'université de Salamanque, fronda dans les thèses la prédétermination physique qui ne faisait guère que d'éclore, du moins telle qu'on la soutenait en ce temps-là et qu'on l'a enseignée depuis, et il établit la prescience divine des futurs contingents conditionnels indépendamment d'aucun décret absolu précédent. Dominique Bagnez, jacobin, qui était regardé comme le père de la prédétermination, entra dans l'assemblée lorsqu'on y soutenait la thèse, et fit grand bruit. Il appela ensuite ses amis, et chercha avec eux les moyens de couper pied à une doctrine qui sapait la sienne par les fondements. Pour cela, de leur avis, il composa un écrit dans lequel il réfutait seize propositions établies, selon lui, dans la thèse, et l'envoya à l'inquisition de Vallado id. Malheureusement pour lui, il se trouva que les propositions qu'il s'était donné la peine de réfuter étaient toutes différentes de celles qu'on avait soutenues. La doctrine de Monte-Major n'en eut que plus de cours, et le chagrin de Bagnez augmenta par la nouvelle qu'il reçut que Louis Molina, autre jésuite, préparait un ouvrage où il traitait de la concorde du libre arbitre avec les secours de la grâce. Bagnez regarda comme un coup de parti d'empêcher le débit du livre. Il ne l'avait pas vu; mais il ne doutait pas qu'il ne fût pélagien, dès là qu'il combattait sa prémotion, et comme tel il le déféra au cardinal Albert d'Autriche, inquisiteur général. Bagnez et ses compagnons dit un célèbre père feuillant (Pierre de Saint-Joseph), voyant que leur prédétermination est ruinée si le livre de Molina subsiste, et qu'il y a danger qu'ils ne soient calvinistes, si celui-ci n'est pas pélagien, cela les porta à commencer leurs plaintes. L'édition achevée, le livre de la Concorde paraît avec une ample approbation du père Barthélemy Ferreira, dominicain, l'un des inquisiteurs de Portugal, qui avait été chargé de l'examiner. Ferreira n'était pas prédéterminant, non plus que tant d'autres savants dominicains, qui ont regardé la prémotion physique comme un enfant supposé, dont on avait tort de faire saint-Thomas le père. Cependant Bagnez se plaint, et propose des objections; Molina y répond, et son livre se débite avec tout le succès qu'il pouvait souhaiter. Les pères cordeliers et les augustins se déclarèrent presque aussitôt pour la science des futurs conditionnels ou la science moyenne, et la défendirent dans les thèses publiques; on la soutint dans différentes universités: à Saragosse, à Grenade, à Séville, à Tolède et ailleurs. La prémotion physique n'était pas mieux traitée en France, en Allemagne et en Lorraine, où l'on n'en parlait guère que comme d'une opinion qui blesse également et la raison et la liberté de l'homme. Il n'en fallait pas tant pour mettre Bagnez de mauvaise humeur, aussi bien que ceux de ses confrères qui étaient dans son parti. Il était triste pour eux de voir renverser tout à coup la fortune des décrets prédéterminants qu'ils avaient pris tant de peine à établir. Ils présentent requêtes sur requêtes à l'inquisition et au nonce du pape, qui aboutirent à leur faire défendre de traiter à l'avenir d'hérétique ou Molina ou sa doctrine.
- Cependant quelques cardinaux et quelques évêques écrivirent à Rome que les dominicains troublaient toute l'Espagne par leurs invectives contre la société des jésuites, à laquelle ils avaient déclaré une guerre aussi vive que scandaleuse. Leurs lettres arrivèrent un peu tard; Clément VIII était déjà prévenu. Le cardinal Alexandrin, autrefois enfant et alors protecteur de l'ordre de Saint-Dominique, lui avait fait entendre que le livre de Molina mettait toute l'Espagne en combustion que ses opinions reçues avec tant de succès pourraient être fatales à la doctrine du docteur de la grâce et de l'Ange de l'école, qu'elles renversaient de fond en comble; et qu'il serait bon de faire examiner à Rome, non-seulement les questions sur lesquelles on avait disputé en Espagne, mais encore le livre entier de la Concorde. C'est ce que Bagnez avait fait solliciter auprès du cardinal protecteur par Didaque Alvarez, qui avait fait exprès le voyage d'Italie. Le pape y consentit, et, après avoir nommé des consulteurs, il défendit aux parties de disputer des matières controversées, et de se noter d'aucune censure jusqu'à ce qu'il eût décidé. L'ordre fut mal gardé, quoiqu'il eût été porté sous peine d'excommunication majeure contre les contrevenants. Il y a toujours dans les corps les mieux policés des hommes vifs, inquiets, turbulents, intraitables, qui ne cedent ni à la raison, parce qu'ils ne la connaissent pas, ni à l'autorité, parce que l'indocilité de leur humeur ne respecte aucune barrière; esprits dangereux, surtout lorsqu'ils viennent à se persuader que, dans ce qu'ils font, ils n'ont point d'autre objet que la gloire de Dieu et l'intérêt de son Eglise. Le père Alphonse Avendano se distingua entre tous ceux qui avaient pris à tâche de déchirer les jésuites. Il était prédicateur de profession, et il fit de la chaire de vérité un théâtre d'où il déclamait contre eux avec une espèce de fureur. Il croyait avoir reçu mission immédiatement du Saint-Esprit pour renverser la société; il disait bonnement qu'il ne participait jamais aux saints mystères sans se sentir vivement pressé de travailler à sa destruction, et qu'il était résolu de s'y employer jusqu'à la mort. Voilà ce qui s'appelle profiter des sacrements. L'effet en était sensible. Un jour qu'il prêchait à Salamanque, pendant l'avent, il tomba sur les religieux de la compagnie, et il les représenta comme des hypocrites, qui ne s'étaient établis en Espagne que pour la trahir et la livrer à ses ennemis. Avendano intentait cette accusation bizarre aux jésuites au delà des Pyrénées, dans le temps qu'on les accusait en France de vouloir rendre les Espagnols maîtres de l'Etat. Saragosse, Medina de Campo, Alcala, retentirent des déclamations du jacobin. Les jésuites faisaient toujours le beau morceau de ses sermons. Tantôt ils étaient les suppôts de l'Antechrist et les instruments du diable; tantôt c'étaient des illuminés qui séduisaient ceux qui s'attachaient à eux. Le père n'était pas plus épargné que les enfants; Ignace et ses premiers compagnons étaient, selon ce bon religieux, des hérétiques qui faisaient tourner la tête aux gens simples par leurs maléfices et leurs enchantements. Avendano n'était pas le seul qui parlât de la sorte: quelques-uns de ses confrères, qui avaient reçu la même mission, le secondaient de leur mieux. Les jésuites perdirent enfin patience; et le nonce, à qui ils portèrent leurs plaintes, fit instruire le procès des plus coupables, qu'on punit. Cependant Bagnez ayant fait présenter au pape une requête, pour demander qu'il fût permis aux dominicains, à l'exclusion des jésuites, de traiter des matières de la grâce, Sa Sainteté leva les défenses qu'elle avait faites aux deux partis d'agiter ces questions, et leur rendit la liberté de soutenir leurs sentiments. Il s'était passé à Rome des choses fort considérables par rapport au livre de Molina. Nous avons dit qu'Alvarez avait représenté au cardinal protecteur combien il importait à tout l'ordre que l'ouvrage de la Concorde fût flétri. Le cardinal Alexandrin, appuyé du cardinal Ascoli, qui avait été dominicain comme lui, et de François Pegna, auditeur de Rote fort accrédité, avait prié le pape de nommer des consulteurs pour l'examen du livre. Clément en avait marqué huit au mois de novembre 1597, tous à la dévotion de ceux qui pressaient la conclusion de cette affaire, à la réserve de deux, qui
urent toujours pour Molina. Les autres censurèrent, en janvier et février 1598, soixante et une propositions du livre de la Concorde, en beaucoup moins de temps qu'il n'en fallait pour le parcourir; aussi n'en avaient-ils vu que les extraits que Bagnez et Alvarez leur avaient fournis; et ils avaient si peu pris la peine de les confronter avec l'original, qu'ils déclarèrent que Molina donnait pour raison et pour motif particulier de la prédestination, le bon usage que Dieu prévoyait que l'homme ferait du libre arbitre, quoique cet auteur, dans les endroits mêmes où ils supposaient qu'il établit ce principe demi-pélagien, le réfute expressément et d'une manière très-solide, n'attribuant la prédestination qu'à la volonté libre de Dieu, qui distribue ses dons quand il veut et à qui il veut. C'est ce qu'on peut voir à la question 23, art. 1 et 5, disp. t, membr.
- Clément VIII s'aperçut bientôt qu'il n'était pas possible de faire fond sur un jugement si précipité, et quelques égards qu'il eût pour ceux qui avaient instruit la cause, il crut devoir en ordonner la révision. Les consulteurs ne changèrent point d'avis, quoiqu'on leur eût communiqué les actes de tout ce qui s'était passé en Espagne, aussi bien que les sentiments d'un grand nombre de docteurs et d'universités la plupart déclarés pour Molina. Tout allait au gré de Bagnez, lorsque son indiscrétion ruina ses affaires. Il sut par Alvarez qu'il était à la veille de triompher de son adversaire, et la joie qu'il en eut fut telle que, n'en pouvant contenir l'excès, il voulut la partager avec ceux de ses amis sur qui il comptait le plus. Ce ne fut pas sans exiger le secret, car on le lui avait recommandé, et il était infiniment important dans la conjoncture; on le lui promit, et on le garda comme il l'avait gardé lui-même, c'est-à-dire qu'il courut bientôt toute l'Espagne. Le pape ne fut pas longtemps sans apprendre, par les écrits que lui présentèrent les jésuites, que les sentiments traités d'hérétiques par les consulteurs avaient été déclarés orthodoxes par des jugements contradictoires de l'inquisition de Portugal, et qu'on ne pouvait censurer la doctrine de Molina sans envelopper dans sa condamnation quantité d'évêques et de docteurs. Sur cela il prit le parti d'engager les généraux des deux ordres à voir si l'on ne pourrait pas terminer cette affaire à l'amiable. On s'assembla chez le cardinal Madruce le 22 février 1599. Les jésuites y développèrent le système de la prédestination tel que l'enseigne Molina, et marquèrent en même temps ce qui les choquait dans celui des décrets prédéterminants. Les dominicains eurent assez de peine à se résoudre à exposer ces décrets, parce qu'ils n'étaient pas, disaient-ils, les accusés, mais les accusateurs, et que d'ailleurs ils ne pouvaient parler de la prémotion physique comme d'une doctrine qui fût commune à l'ordre, avant d'avoir pris l'avis de toutes leurs provinces. On voit qu'alors on pouvait être dominicain sans être bagnésien, thomiste sans être prédéterminant. Les choses changèrent avec le temps. Le pape, à qui on fit le rapport de cette conférence, voulut que les assemblées continuassent, et qu'on y traitât des secours de la grâce en général, sans s'arrêter à l'ouvrage du jésuite espagnol. Le cardinal Alexandrin était mort, c'était une perte pour les dominicains; le P. Robert Bellarmin venait d'être revêtu de la pourpre, c'était un appui pour la société. Le nouveau cardinal proposa de la part de Sa Sainteté aux généraux des deux ordres quelques points de doctrine qui renfermaient toute la controverse, et sur lesquels il leur était ordonné de répondre par écrit. Le général des dominicains refusa absolument ce qu'on exigeait. Cependant la mort du cardinal Madruce qui survint laissa les consulteurs maîtres du champ de bataille, et alors ils ne pensèrent qu'à dresser leur censure. Le P. Claude Aquaviva, qui gouvernait la société, montra qu'ils attribuaient à Molina des erreurs qu'il n'avait jamais enseignées, et qu'ils notaient des propositions ou vraies ou communément reçues dans les écoles, et il le fit voir si clairement, que les consulteurs, qui avaient condamné soixante et une propositions, en restreignirent le nombre à quarante neuf, ensuite à quarante et une, puis à vingt. Tant de variations n'étaient pas un préjugé favorable pour la censure. Le pape en parla aux consulteurs le 23 janvier 1601, et l'on peut juger quel effet cela fit sur leurs esprits. Les PP. Grégoire de Valentia et Christophe de Los Cobos s'étant présentés pour justifier leur confrère, on en vint à des disputes réglées, où, au rapport des écrivains de la société, les défenseurs de Molina eurent proprement affaire aux consulteurs, qui se déclaraient plus ouvertement leurs parties que les dominicains mêmes. Ils ne laissèrent pas de prouver que les accusateurs de Molina déguisaient sa doctrine pour le faire pélagien, ou condamnaient Pélage et les demi-Pélagiens dans des points sur lesquels l'Eglise ne les a jamais condamnés. Les PP. Plumbino et Bovio, l'un augustin et l'autre carme et du nombre des consulteurs, en tombèrent d'accord; aussi n'étaient-ils nullement pour la censure. Leurs collègues qui la pressaient furent fort étonnés quand ils apprirent de la bouche du pape que la cause n'était pas en état d'être jugée, et qu'on n'avait pas fait assez d'attention aux défenses des jésuites. Tout ce qu'ils purent dire ne le fit pas changer de sentiment; il prit même le parti de présider aux disputes, pour décider ensuite avec connaissance de cause; mais il voulut que les disputes se bornassent à la discussion des sentiments de saint Augustin sur le libre arbitre et sur la grâce, et à examiner si ceux de Molina lui étaient conformes.
- Ce fut le 20 mars 1602 que se tint la première congrégation dans une salle du Vatican: le pape y était en personne. Il avait à ses côtés deux cardinaux, Pompée Perigonius et Camille Borghèse. Les consulteurs furent placés sur des siéges plus bas. Les généraux des deux ordres ayant été introduits dans la salle avec Alvarez et Valentia, qui devaient entrer en lice, le pape fit un petit discours pour montrer l'importance de l'affaire sur laquelle il s'agissait de prononcer, et exhorter les assistants à s'acquitter fidèlement de leur devoir; il finit en s'adressant à Grégoire de Valentia, à qui il ordonna de parler sur le premier des deux articles qu'il lui avait fait communiquer, savoir lequel de saint Augustin ou de Molina donne le plus au libre arbitre quand l'homme fait le bien. Valentia avança d'abord que le théologien dont il se faisait l'avocat n'accorde rien à la liberté que saint Augustin lui conteste, et que tout ce que ce Père lui refuse lui est également ôté par Molina, ce qu'il prouva assez au long. Alvarez ne répliqua qu'en alléguant quelques passages du jésuite espagnol, qui ne faisaient rien à la question. Son général en fut si peu content, qu'il lui substitua le P. Thomas Lemos.
- Lemos était fait pour la dispute: il avait de la santé, et autant de voix et de poitrine pour le moins que d'érudition; il en donna des preuves dans les congrégations suivantes. Valentia succomba bientôt au travail: il se trouva si faible le 30 septembre, que se tenait la neuvième, qu'à peine pouvait-il se soutenir; en sorte que Sa Sainteté, qui le considérait particulièrement, lui fit l'honneur de le faire asseoir. Si l'on en croit les actes de Lemos, Valentia ne se trouva si mal que parce qu'il fut convaincu d'avoir honteusement falsifié un passage de saint Augustin. L'évidence de la supercherie, et surtout le reproche amer que lui en fit le Saint-Père, fut le coup de foudre qui le fit tomber à ses pieds sans pouls et sans mouvement. Par malheur, ni Pegna, ni les deux secrétaires, qui recueillaient avec tant de soin tout ce qui était favorable aux dominicains, ne parlent ni de la corruption du passage, du souverain pontife, ni du vertige prétendu de Valentia, circonstance assez singulière néanmoins pour n'être pas omise. A dire vrai, je ne vois pas, ni ce que le théologien jésuite pouvait espérer de gagner en falsifiant un texte que ses adversaires n'auraient eu garde de lui passer sans le vérifier s'il leur eût été contraire, ni quel crime on aurait pu lui faire d'une simple méprise, quand il serait vrai qu'il se serait trompé dans l'allégation du passage. Mille ouvrages composés à l'ombre et dans le loisir du cabinet sont pleins de fausses citations, sans qu'on impute autre chose aux auteurs qu'un manque d'attention et une inadvertance pardonnable. Est-il nécessaire que pour une seule on ait traité comme un scélérat un homme qui dans l'intervalle des congrégations avait à peine le temps de consulter les livres et de préparer les matières sur lesquelles il devait répondre? Si ce théologien, l'un des plus subtils, des plus exacts et des plus célèbres de l'école, avait été saisi de frayeur, ç'aurait été sans doute à la vue du miracle perpétuel que Dieu opérait en faveur de son adversaire. Car à l'ouverture de la dispute Lemos paraissait environné d'un cercle de rayons brillants de lumière qui lui faisaient une espèce de couronne dont les yeux des cardinaux étaient éblouis. C'est le R. P. Chouquet, dominicain, qui nous a appris ce prodige dans son livre curieux des Entrailles maternelles de la sainte Vierge pour l'ordre des frères prêcheurs; livre imprimé en 1634, et presque aussitôt condamné comme plein de fables et de faussetés.
- Pierre Arrubal, professeur de théologie au collége romain, ayant été choisi par les jésuites pour faire tête au chef des troupes prédéterminantes, on examina le 18 novembre la conformité des sentiments de Mol na avec ceux de Cassien sur les forces naturelles qu'a l'homme pour faire le bien. Le combat recommença à diverses reprises jusqu'au 10 novembre 1603, que se tint la vingtième congrégation, et ce fut La Bastide qui parla pour Molina. Arrubal n'en pouvait déjà plus: l'infatigable Lemos se trouva mal de son côté, quoiqu'il eût infiniment moins à travailler: mais il fut bientôt en état de reprendre le commandement, qui avait été donné par interim à Didaque Alvarez. Les disputes continuèrent jusqu'à la mort de Clément VIII, à laquelle on crut qu'elles n'avaient pas peu contribué. On convient assez généralement que ce pape penchait du côté des dominicains, et ce que lui dit un jour le cardinal du Perron, que si l'on faisait un décret en faveur de la prédétermination physique, il se faisait fort d'y faire souscrire tous les protestants de l'Europe, en est une bonne preuve... Quoi qu'il en soit, Clément VIII mourut bien instruit de la cause de Molina, et par les disputes précédentes, et par la lecture de son ouvrage, dont il parcourut une partie peu avant sa mort, mais ne connaissant guère les prédéterminations physiques des jacobins, dont l'examen était réservé au successeur de Léon XI, lequel tint trop peu de temps le siége pontifical pour pouvoir entrer dans ces disputes
- Paul V, n'étant encore que le cardinal Camille Borghèse, avait assisté aux congrégations; ainsi il était parfaitement au fait. Son premier soin cependant fut de consulter différents docteurs voulut avoir le sentiment sur les matières présentes, et sur la manière dont on pouvait les terminer. Le saint évêque de Genève François de Sales fut un de ceux dont on prit l'avis, qui a toujours été tenu fort secret, aussi bien que celui de tous les autres; mais, comme le remarque l'élégant écrivain de sa vie (le P. Marsollier), on peut juger de sa réponse par la doctrine répandue dans ses livres, où qui que ce soit jusqu'ici ne s'est imaginé voir la prédétermination. Le pape ne fut pas longtemps sans s'apercevoir que toutes les disputes n'ayant roulé que sur le livre de la Concorde, il restait quelque chose de plus essentiel à faire; que le point capital était d'examiner la nature même de la grâce efficace et les prédéterminations physiques, dont la discussion était tout autrement importante à l'Eglise entière que celle qui avait occupé jusque là. Les dominicains avaient paré le coup sous Clément VIII; mais enfin il fallut céder, et se mettre sur la défensive: il s'en fallut bien que le personnage fût aussi aisé à jouer.
- La Bastide commença son discours, dans la seconde congrégation tenue en présence du nouveau pape, par établir l'état de la question, après quoi il avança que la prédétermination physique renverse la liberté, détruit la grâce suffisante, fait Dieu auteur du péché; qu'elle a été inconnue à saint Augustin et à saint Thomas; que la plupart des théologiens la regardent comme une opinion dangereuse qui approche du calvinisme, et déjà condamnée dans le saint concile de Trente; qu'elle est contraire à l'Ecriture, à la doctrine des Pères, aux décisions de l'Eglise et aux principes de la foi: ce qu'il s'efforça de prouver par les arguments qu'on emploie encore aujourd'hui dans l'école. Ces arguments sont certainement invincibles quand on les emploie contre les thomistes, qui ont fait consister la prémotion dans une entité ou qualité active séparée de la volonté qu'elle détermine à l'action, parce que cette entité, déterminant activement la volonté, ne peut faire autrement que d'en ruiner la liberté. C'est ce qu'Alvarez a reconnu lui-même ( Disput. 24, 37), et ce que Lemos reconnut comme lui ( Hist. congr. de Aux. disp. 3). Ces deux théologiens ne parlèrent dans les congrégations de leur prédétermination que comme d'un concours prévenant, d'un complément de la vertu active par lequel la cause seconde agit actuellement, de manière cependant qu'elle peut agir sans cela, se déterminer, choisir entre deux partis, embrasser l'un préférablement à l'autre, refuser même la prémotion lorsqu'elle lui est offerte, ne pas s'en servir quand elle l'a; en sorte que, si elle ne fait pas une action qui lui est commandée, cela ne tient pas à Dieu, mais à elle. Telle est la prédétermination physique qu'Alvarez et Lemos défendirent dans une occasion où il s'agissait de justifier leur foi et celle de leur école. On trouvera peut-être, à l'examiner de près, qu'après bien des détours, ces théologiens se rapprochaient fort de ce qu'on appelle molinisme; car enfin un secours toujours prêt pour quiconque en veut, que le libre arbitre admet ou rejette à son gré, qu'est-ce autre chose qu'un concours simultané? Si ce n'en est pas un, ce n'est rien. Mais les thomistes les plus radoucis veulent que ce soit quelque chose, et quelque chose de distingué du concours, sans pouvoir néanmoins en expliquer la nature, et c'est ce qui fait toute la difficulté... Lemos fit valoir habilement le sens divisé et le sens composé. distinction d'un grand usage pour toutes les difficultés qui embarrassent, et d'une ressource infinie dans la déroute. Il prouva en deux mots que la prémotion physique n'est point contraire à la doctrine de saint Augustin: c'est, dit-il, que les pélagiens n'étaient hérétiques que parce qu'ils n'admettaient pas les décrets prédéterminants. La conséquence était évidente et sans réplique, supposé la vérité du principe sur lequel Lemos n'eut garde d'appuyer. Il se tira pareillement des arguments pris de l'autorité d'Origène, de saint Grégoire de Nysse, de saint Jérôme, de saint Jean Chrysostome, de saint Cyrille, de saint Léon, de saint Anselme et de quelques autres Pères, en disant qu'on était pélagien si l'on n'était pas prédéterminant. Le parallèle que le théologien de la société fit en vingt articles de la doctrine des décrets bagnésiens avec celle de Calvin sur la grâce efficace et le libre arbitre aurait pu embarrasser Lemos, si Lemos avait été homme à paraître embarrassé; mais il était de ces grands capitaines qui ne font jamais meilleure contenance que quand le péril est le plus pressant. Il répliqua avec beaucoup de force que les jésuites étaient pélagiens. C'était le refrain ordinaire et la solution de toutes les objections. Cependant, comme les juges l'auraient peut-être trouvée par trop générale, il voulut bien en donner une plus précise et plus particulière. Il avoua donc que Calvin avait enseigné comme les jacobins que la grâce était éfficace par elle-même, indépendamment de la volonté; mais il ajouta qu'en cela ce sectaire n'avait rien dit que de vrai, que son erreur consistait dans la conséquence qu'il avait tirée de ce principe, savoir, que le consentement de la volonté s'ensuivait nécessairement par une nécessité de conséquence, comme on parle dans l'école, au lieu que les jacobins soutenaient qu'il n'était besoin que d'une nécessité de conséquence. Il distingua ensuite trois sortes de prédéterminations physiques dont il attribua l'une aux pélagiens, l'autre à Calvin, et la troisième, seule vraie et catholique, à l'incomparable Baguez. Lemos fut si content de cette invention, qu'il s'en applaudissait encore longtemps après. Tous les assistants, selon lui, admirèrent la fécondité de ce génie qui trouvait sur-le-champ de si belles choses, mais il en référait toute la gloire à celui de qui il croyait tenir ces rares découvertes et loin de s'en faire honneur, il s'écriait avec l'Apôtre: "C'est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis." Que n'aurait-il pas dit, si le Ciel lui avait découvert alors que mystère tout à fait curieux qui depuis a été révélé à ses confrères, que les anges n'ont été rebelles que pour avoir rejeté le dogme de la prédétermination physique, lorsque Dieu le leur proposa pour les épouver? Au reste, le système de la prédétermination ayant révolté les anges mêmes, faut-il s'étonner qu'il ait jusqu'à présent fait si peu de fortune parmi les hommes, et qu'il n'ait guère pu étendre ses conquêtes hors des cloîtres des dominicains? Simon le Magicien, dit encore un auteur de cet ordre, combattit ce système à l'exemple de Lucifer, et ce fut le sujet des disputes de saint Pierre contre cet imposteur. C'est grand dommage que le saint-siége ait laissé perdre cette tradition. Dans les dernières congrégations l'on discuta le sentiment des docteurs de l'école. La Bastide ne pouvait avoir le champ plus libre, ni triompher à moins que frais; car il ne s'était point encore fait de ligue en faveur de la prédétermination physique, et elle n'avait guère de protecteurs que ses pères et ses proches. La cause était suffisamment instruite, le pape pensa a prononcer: pour cela il ordonna aux consulteurs de lui donner leur sentiment par écrit, et de marquer sur quoi il était appuyé. Il leur défendit en même temps, sous peine d'excommunication, d'en communiquer avec qui que ce fût. Les consulteurs n'étaient pas devenus plus favorables aux jésuites; mais la difficulté était de soutenir leur jugement par le bonnes raisons. Ils furent quatre mois à en chercher; après quoi il se trouva tant d'incertitudes et de variations dans leurs écrits, que Paul V fut obligé de leur ordonner de couférer ensemble pour voir s'ils ne pourraient pas de cette manière faire quelque chose de mieux lié, de plus suivi, et de plus raisonnable que ce qu'ils avaient fait chacun en particulier; ils conférèrent, et n'en tirent pas mieux. Sa Sainteté leur avait recommandé de marquer précisément en quoi les catholiques diffèrent des hérétiques sur la matière de la grâce et du libre arbitre; c'était le point capital, et ils n'y avaient pas touché. Paul V pensa donc à prendre d'autres mesures, et, persuadé que les décisions du concile de Trente contre les luthériens et les calvinistes devaient servir de base à la sienne, il fit remettre secrètement tous les actes manuscrits de ce concile au cardinal du Perron, l'un des plus grands théologien de son siècle, qu'il chargea de les parcourir, pour se régler ensuite sur son rapport, et voir s'il serait conforme au jugement des censeurs. Néanmoins, comme les brouilleries de la cour de Rome avec les Vénitiens devinrent plus sérieuses, il eut d'autres occupations; quand il les eut accommodées, il pensa à terminer les disputes théologiques qui ne lui donnaient guère moins de peine. C'est à quoi n'a pas fait attention un critique qui publie sur la fin du dix-septième siècle une lettre à un abbé prétendu qui préparait une histoire de Auxiliis. Il dit que le pape, se trouvant assez occupé des affaires qu'il avait à démêler avec les Vénitiens, résolut de se délivrer une bonne fois du soin que lui donnaient les différends des jésuites et les jacobins; que pour cela il fit assembler les cardinaux le 28 d'août 1607. L'accommodement de Paul V avec le sénat avait précédé de quatre mois la tenue de cette congrégation. Tous les cardinaux à qui on avait communiqué les avis des consulteurs y assistèrent; mais on n'a jamais su ce qui s'y passa, et elle a toujours été un mystère que la curiosité de ceux qui aiment le plus à devinier n'a pu pénétrer jusqu'ici. On n'a point laissé de répandre la copie d'une bulle que l'on veut que Paul V ait dressée, et à laquelle il n'a manqué que d'être promulguée. Mais l'unique fait constant, c'est que, peu de jours après la congrégation, le pape fit dire, tant aux consulteurs qu'aux avocats des parties, qu'ils pouvaient s'en retourner chacun chez eux, et qu'il publierait sa décision dans un temps convenable; qu'il défendait cependant très-sérieusement qu'en traitant les questions de la grâce l'on se donnât la liberté de censurer l'opinion de ses adversaires. Les généraux des dominicains et des jésuites furent chargés de tenir la main à l'exécution des ordres de Sa Sainteté. Ainsi cette dispute, qui avait été agitée avec tant de contention et d'animosité, qui avait occupé les plus précienx moments de deux grands papes, et sur la décision de laquelle toute l'Europe avait les yeux ouverts, finit comme finissent la plupart des disputes, c'est-à-dire, qu'on ne termina rien, que les deux partis chantèrent victoire, et que chacun d'eux demeura dans son sentiment. D'AVRIGNY.
- 1607. VALENCE. II,
- 1608. BORDEAUX. I,
- 1608. BOURGES. II,
- 1608 (Vers). VINTIMILLE. II,
- 1609. BORDEAUX. I,
- 1609. CONSTANCE. I,
- 1609. MILAN. I,
- 1609. NARBONNE. II,
- 1609. SAINT-MAIXENT. 19 e Synode national des Eglises réformées. On y ordonna un jeûne général, qu'on fixa au 5 novembre de cette même année.
- 1609. SIGUENCA. II,
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- 1609. YPRES. II,
- 1610. ANVERS. I,
- 1610. AUGSBOURG. I,
- 1610. GRASSE. I,
- 1610. METZ. I,
- 1610 (Vers). MILAN. I, e syn.
- 1610. PLAISANCE. II,
- .......... Page(s) .......... 1277
- 1611. BORDEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 537
- .......... Page(s) .......... 903
- 1612. AGEREN. I,
- 1612. AIX. I,
- .......... Page(s) .......... 385
- 1612. BORDEAUX. I,
- 1612. COLOGNE. I,
- 1612. FERRARE. I,
- 1612. MESOPOTAMIE. I,
- 1612. PARIS ou SENS. II,
- 1612. PAVIE. II,
- 1612. PRIVAS. 20 e Syn. nat. des Eglises réformées. On y prêta le serment suivant: "Nous avons, au nom de toutes nos Eglises, pour leur bien commun, et pour le service de Leurs Majestés (le roi et la reine régente), juré et protesté, jurons et protestons de demeurer inséparablement unis dans la confession de foi des Eglises réformées de ce royaume."
- Quel est aujourd'hui le calviniste qui pourrait faire ce serment?
- L'article suivant, le 22 e des Appellations, est curieux sous un autre rapport: "On a confirmé le jugement rendu par le Synode national de Saint-Maixent, qui porte que les anciens et les diacres, en cas de nécessité, pourront distribuer la coupe, mais sans parler, cela étant fondé sur l'exemple de Notre-Seigneur Jésus-Christ lequel, avant parlé seul, a néanmoins permis que les apôtres se donnassent le pain et la coupe l'un et l'autre, et de main en main." Avec cette manière d'interpréter l'Ecriture, on peut y voir tout ce qu'on veut.
- Une division avait éclaté à la dernière assemblée de Saumur entre les chefs des prétendus réformés de France. Le conventicule, dit synode national de Privas, dressa un acte de réunion, pour être envoyé aux maréchaux de Bouillon et de Lesdiguières d'une part, et aux ducs de Rohan, de Sully, de Soubise, de la Force, du Plessis, de l'autre.
- Dans ce même prétendu synode, on rejeta le décret du synode de Saint-Maixent de l'an 1609, par lequel il avait été ordonné que le baptême serait administré sans prédication en cas de besoin, et l'on réfuta au long la doctrine de Piscator touchant la satisfaction de Jésus-Christ, doctrine déjà condamnée dans deux conventicules précédents. Enfin, on excommunia Jérémie Ferrier, ministre de Nîmes, pour avoir, conséquemment aux principes mêmes de la prétendue réforme, refusé de reconnaître l'autorité de ces assemblées.
- 1613. BERGAME. I,
- 1613 (Vers). BRESCIA. I,
- 1613 (Vers). BRINDES. I,
- 1613. GAND. I,
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- 1614. LYON. I,
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- 1614. TONNEINS. 21 e S. n des Eglises réformées. On y dressa sur la matière de la justification, cette formule de profession de foi: "Que l'homme ne trouvant en soi-même, devant ni après sa justification, aucune justice par laquelle il puisse subsister au jugement de Dieu, ne peut être justifié qu'en Jésus-Christ notre Sauveur, lequel étant venu, a été obéissant a Dieu son Père, depuis son entrée au monde jusqu'à la mort ignominieuse de la croix, ayant accompli parfaitement en sa vie et en sa mort toute la loi donnée aux hommes, et le commandement de souffrir et de donner son âme en rançon pour plusieurs. Par laquelle obéissance parfaite nous sommes rendus justes, en tant qu'elle nous est imputée par la grâce de Dieu, et embrassée par la foi qu'il nous donne, par laquelle nous sommes assurés que, par le mérite de toute cette obéisssance, nous avons la rémission de tous nos péchés, et sommes rendus dignes de la vie éternelle." Pour les sens équivoques de cette confession de foi, voy. l' Hist. des variations.
- Ce formulaire de foi avait été dressé à l'occasion des démêlés qu'avaient ensemble Tilenus et Dumoulin, ces deux coryphées du parti. Le roi de la Grande-Bretagne écrivit au synode pour l'improuver. "Nous avons trouvé bon, dit-il dans sa lettre, de vous envoyer M. Home, l'un de nos sujets, chargé de cette lettre, pour vous exhorter, de notre part, que les esprits de vos pasteurs et professeurs ne s'aigrissent pas les uns contre les autres, touchant des questions plus subtiles que profitables, plus curieuses que nécessaires; mais de tâcher de modérer ces animosités, qui se sont déjà trop augmentées avec tant de chaleur parmi vos ministres; et que vous éteigniez ces bluettes de dissension, lesquelles se rencontrant avec le bois, le foin, le chaume et des matières légères, plutôt que graves et solides, pourront vous embraser et causer un schisme parmi vous, qui vous consumera tous."
- Le synode répondit humblement au roi, dont il ambitionnait l'alliance: "Nous sommes forcés, à notre très-grand regret, de reconnaître qu'il s'était glissé quelque chose de mauvais parmi nous; mais aussi nous pouvons assurer Votre Majesté que cela n'a pas eu de suite."
- Le synode concerta un projet de réunion avec l'Eglise établie d'Angleterre et les luthériens d'Allemagne. A l'égard de l'Eglise établie, la chose paraissait facile: "Les parties qui seraient en traité étant les Eglises réformées, qui conviennent dans les articles fondamentaux de la foi, et qui ne diffèrent l'une de l'autre que touchant des vétilles de cérémonies et le gouvernement de l' Eglise. "
- Mais, par rapport aux luthériens, l'accord devait souffrir plus de difficulté. "Les points dans lesquels nous différons d'avec les luthériens, dirent les ministres assemblés, sont de deux sortes: il y en a qui seraient fort aisés à accorder; les cérémonies des Eglises luthériennes sont de cette nature, qu'on les peut facilement excuser et tolérer, parce qu'elles regardent plutôt la bienséance qu'aucune nécessité: aussi ne leur en attribue-t-on pas; comme aussi certaines opinions touchant la prédestination, sur lesquelles on pourrait dresser un article particulier dans notre confession commune, qu'on approuverait sans difficulté, pourvu que l'on pût éviter d'être trop curieux. Il y a aussi quelque différence entre eux et nous touchant la nécessité du baptême, que l'on peut en bon sens dire être nécessaire à salut, c'est-à-dire que le baptême doit être célébré dans l'Eglise, et qu'il est nécessaire qu'il ne sont pas méprisé, sans pousser plus loin sa nécessité.
- "Il y a, en second lieu, cet article de la cène du Seigneur, dans lequel nous ne nous rencontrerons pas si aisément, parce qu'il y a deux branches capitales: 1° l'ubiquité du corps de Jésus-Christ; 2° la réception du corps de Christ, et la communion au corps de Christ, dans le sacrement.
- "Pour ce qui est du premier de ces points, nous pouvons fort bien convenir dans ces choses, 1° que Jésus-Christ prit dans les flancs de la sainte vierge Marie un vrai corps humain semblable aux nôtres en toutes choses, excepté seulement le péché; 2° que son corps avait une vraie chair, sa quantité et ses dimensions; 3° que quand son corps était dans le sein de la sainte Vierge, quand il pendait à la croix et quand il était dans le tombeau, il n'était pas ailleurs en ce temps-là, ni en divers lieux à la fois; 4° que le Fils éternel de Dieu est présent en tous lieux; 5° qu'il est monté au ciel, qu'il est assis à la droite de Dieu, que le Père lui a donné tout pouvoir dans le ciel et sur la terre; que la glorification a éloigné de lui toute infirmité, mais qu'elle n'a pas détruit la vérité de sa nature humaine; 7° qu'il viendra au dernier jour avec cette même chair qu'il a prise dans le ventre de la sainte Vierge, pour juger les vivants et les morts. Et si, outre ces choses, ils ont encore des opinions différentes, touchant lesquelles nous ne puissions pas nous accorder, il faut que les deux parties conviennent de ne pas se condamner ou damner l'une l'autre pour ces différences, et que dans la suite on n'écrira plus de livres touchant cette controverse, et que l'on ne déclamera plus l'un contre l'autre dans les chaires; mais que nous vivrons dans une amitié fraternelle, en attendant que Dieu nous éclaire, lequel ne refuse pas sa lumière à ceux qui la lui demandent de bonne foi.
- "Touchant le sacrement et notre participation au corps de Notre-Seigneur Jésus-Christ, nous pouvons être d'accord avec eux en ces points: 1° que les éléments sacrementaux ne sont pas des signes nus et vides, ni des symboles dépouillés, et de simples figures destituées de la vérité; 2° que dans le repas du Seigneur, nous participons réellement et en effet au corps de notre Seigneur Jésus-Christ; 3° que le pain n'est pas transubstantié, et qu'il ne cesse pas d'être pain après la consécration; d'où il s'ensuit, 4° que le sacrement ne doit pas être adoré, mais que nous devons élever nos coeurs à Jésus-Christ, qui est dans le ciel. Pour ce qui est de la manière de notre participation au corps de Notre-Seigneur Jésus-Christ, nous ne devons pas nous en informer scrupuleusement, mais seulement conclure, avec l'Apôtre, que Jésus-Christ demeure dans nos coeurs par la foi; d'où il suit nécessairement qu'il n'habite aucunement dans les coeurs des incrédules (a). Mais si quelqu'un est d'un sentiment contraire, qu'il tolère et supporte la faiblesse de ses frères, sans les persécuter d'une manière violente et cruelle. Et dans les matières touchant lesquelles nous sommes d'accord, donnons-nous la main...
- "Nous savons qu'il y a deux sortes d'erreurs; quelques-unes regardent les articles de la foi, et les autres les actions extérieures et la pratique. Celles-là sont de la première classe, et concernent la nature de Jésus-Christ, la prédestination et le libre arbitre; et celles de la seconde regardent la communion sous une seule espèce, l'adoration de l'hostie consacrée, les prières que l'on fait en une langue que l'on n'entend pas. Quoique les erreurs de cette dernière classe soient moindres en elles-mêmes, cependant il arrive très-souvent qu'elles causent des divisions très-dangereuses, en aigrissant et en envenimant les esprits, d'où les schismes suivent immédiatement. Car si un homme communie à la table du Seigneur avec une personne qui soit dans l'erreur touchant la prédestination ou la nature de Jésus-Christ, ou qui croie que le corps de Notre-Seigneur est partout en même temps, quoique à la vérité cette erreur soit fort considérable, cependant celui qui communie avec lui ne doit pas s'en embarrasser. Mais si nous communions avec celui qui rendrait un culte religieux au pain et prétendrait sacrifier Notre-Seigneur, cette action nous scandaliserait et nous ferait abandonner sa communion, à moins que nous ne voulussions participer avec lui à l'idolâtrie et à un faux sacrifice. Mais nous avons cet avantage avec les Eglises luthériennes, que tous nos différends sont du premier genre; et à l'égard des cérémonies extérieures qui sont pratiquées parmi eux, le différend n'est pas si considérable que l'on ne puisse l'ajuster, et même très-facilement."
- Ainsi, au jugement de cette assemblée, des prières faites en latin rendaient nos calvinistes plus difficiles à se réunir que la monstrueuse opinion de l'ubiquité. Mais c'est qu'au fond on savait bien qu'on n'obtiendrait aucune transaction de nous, et qu'on pouvait espérer d'en obtenir une des luthériens.
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- 1615. ANGERS. I,
- 1615. AY. Synode calviniste de l'Ile-de-France. Le ministre Dumoulin s'y moqua, aux applaudissements de ses confrères, des décisions portées contre la doctrine de Piscator dans quatre synodes précédents. Hist. des var., I.
- 1615. BORDEAUX. I,
- 1615. BORDEAUX. I,
- 1615. BRINDES. I,
- 1615. FAENZA. I,
- 1615. PALERME. II,
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- .......... Page(s) .......... 759
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- 1616. CHIOZA. I,
- 1616. LANGRES. I,
- 1616. LUNE. I,
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- 1616. VERDUN. II,
- 1617. AJACCIO. I,
- 1617. ANGERS. I,
- 1617. BARBASTRO, I,
- 1617. BRINDES. I,
- 1617. CAMBRAI. I,
- 1617. CAPACCIO. I,
- 1617. MONDONEDO. I,
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- 1617. VITRE. 22 e S. n. des Eglises réf.
- Les actes de ce nouveau conventicule ne présentent rien de plus remarquable que des révisions de comptes et de nouvelles subventions pour les académies et les colléges calvinistes. La province calviniste de la basse Guyenne avait demandé que toutes leurs académies fussent réduites à deux: la Compagnie ne trouva pas a propos d'accéder à cette demande.
- 1618. AJACCIO. I,
- 1618. ALBENCA. I,
- 1618. BESANCON. I,
- 1618. BRINDES. I,
- 1618. CIFALU. I,
- 1618. DORDRFCHT. Synode ou assemblée générale des Eglises réformées et anglicanes, contre les sentiments d'Arminius, opposés à ceux de Luther et de Calvin. Lenglet.
- 1618. LIEGE. I,
- 1618. PARIS. II,
- 1618. PERTH. ASS. des presbytériens.
- Jacques 1 er , roi d'Angleterre, s'était rendu en Ecosse l'année précédente, en partie pour introduire dans ce royaume quelques coutumes de l' Eglise anglicane dans ce pays de sa naissance où elles n'étaient point en usage. Ce fut dans cette vue qu'il y convoqua le parlement pour le 13 juin. La première chose qu'on y proposa concernait l'autorité du roi dans les matières ecclésiastiques: le prince soutint que prélats et laïques étaient également subordonnés à sa puissance dans les choses qui n'étaient pas évidemment contraires à l'Ecriture sainte; et comme le parti de la cour ne manque guère de prévaloir dans les assemblées, on dressa un acte qui portait que tout ce qui serait résolu par Sa Majesté touchant le gouvernement de l'Eglise, de l'avis et du consentement des évêques et d'un certain nombre de ministres aurait force de loi. Les presbytériens firent grand bruit dans la crainte que de la discipline on ne passât ins blement au dogme, et ils protestèrent contre l'acte. Jacques en fut extrêmement piqué; mais il ne laissa pas de leur permettre de convoquer une assemblée pour délibérer sur cinq articles auxquels il voulait les assujettir: le premier, de recevoir l'Eucharistie à genoux; le second de la donner en particulier dans certains cas; le troisième, d'administrer le baptême dans les maisons particulières; le quatrième, de conférer la confirmation aux enfants; le cinquième, d'observer certaines fêtes pendant l'année. La plupart des ministres avaient beaucoup de répugnance à se soumettre à ces articles; cependant l'archevêque de Saint-André si bien, qu'ils passèrent dans l'assemblée qui se tint à Perth le 25 août 1618. On y apporta néanmoins quelques modifications; mais quelques mesures qu'on eût prises pour faire goûter cette innovation au peuple, elle fut rejetée par plusieurs Eglises particulières qui ne se soumirent qu'après une proclamation que le roi fit publier pour obliger tout le monde à adhérer au résultat de l'assemblée de Perth. Les presbytériens firent tant de bruit après la mort de Jacques I er , que le roi, son fils, révoqua en 1638 l'édit donné par son père pour l'observation des cinq articles.
- D'AVRIGNY.1618 et 1619. DORT OU DORDRECHT.
- (a) Tout ce qui s'ensuit nécessairement, c'est que Jésus-Christ n'habite pas par la foi dans les coeurs des incrédules. Mais ne peut-il pas y habiter d'une autre manière?
- 1618 et 1619. DORT ou DORDRECHT. Synode de calvinistes.
- François Gomar et Jacques Arminius se trouvèrent en même temps professeurs de théologie à Leyde, l'an 1663. De collègues ils devinrent bientôt rivaux: le premier était o iniâtrément attaché à Calvin, l'autre pensait différemment sur la prédestination, l'universalité de la rédemption, la corruption de l'homme, sa conversion et sa persévérance; et il était persuadé que la doctrine reçue dans la Réforme sur ces articles était contraire à la sagesse de Dieu, à sa bonté et à sa justice; qu'elle ne pouvait subsister ni avec l'usage de la prédication et des sacrements, ni avec les devoirs du chrétien. C'est ce qu'il prouva dans des thèses publiques et des conversations particulières, qui lui firent beaucoup de partisans. Gomar en fit grand bruit, et l'on en vint bientôt à une division ouverte. Un synode tenu à Rotterdam, le 30 août 1605, ordonna à tous les ministres de souscrire de nouveau le catéchisme et la confession de foi reçue parmi les réformés; les ministres arminiens l'ayant refusé pour la plupart, le synode présenta une requête aux Etats généraux pour faire voir la nécessité d'en assembler un national. Les lettres de convocation furent envoyées à toutes les Eglises; et les Etats, après en avoir conféré avec les principaux théologiens du pays, réglèrent en 1608 qu'on s'assemblerait à Utrecht, et que les députés auraient un plein pouvoir de définir tout ce qui serait agité, à condition qu'on ne déciderait rien que conformément à la parole de Dieu contenue dans les saintes Ecritures. Arminius s'obstina avec quelques-uns de ses partisans à vouloir qu'on revît la confession et le catéchisme flamand des Eglises prétendues réformées; les autres ministres s'y opposèrent: ce qui retarda la tenue du synode. Arminius, qui s'était fort échauffé, tant dans les disputes qu'il avait eues avec Gomar que dans les discours qu'il avait prononcés en présence des Etats, mourut le 19 octobre 1609 (a); mais sa mort ne termina pas la querelle. Ses disciples, dont le nombre était fort augmenté, présentèrent une requête aux magistrats où ils exposaient leur sentiment sur les décrets de Dieu: ce qui leur fit donner le nom de Remontrants. Les gomaristes firent leurs remontrances contre la requête, d'où on les appela Contre-Remontrants. Les Etats indiquèrent une nouvelle conférence à la Havre pour 1611, dans la pensée qu'on pourrait y finir les contestations. Cependant Vorstius, fameux arminien, fut installé professeur à Leyde, et sa nomination augmenta les brouilleries. Après sa disgrâce, survenue en 1611, le prince Maurice se déclara ouvertement pour les gomaristes, qu'il soutint avec d'autant plus de hauteur, que l'avocat général Barnevelt, son ennemi, appuyait les arminiens. Les choses en vinrent à un tel point, qu'il ne paraissait plus possible de rétablir la tranquillité publique. On ne voyait qu'écrits pour ou contre la doctrine d'Arminius, que satires sanglantes, que libelles diffamatoires contre les magistrats. Les ministres se déchiraient dans les prêches; et les ouailles, épousant la querelle des pasteurs dans les familles, dans les places publiques, dans les repas, chez le bourgmestre, chez le marchand, on n'entendait parler que de la grâce et de la prédestination. Grotius, à qui une lecture attentive des Pères avait dessillé les yeux sur la plupart des erreurs de Calvin, agit si puissamment auprès du roi d'Angleterre, qu'il l'engagea à écrire aux Etats généraux pour les exhorter à tolérer les deux partis. En conséquence de ses lettres, on publia en Hollande un décret par lequel il était enjoint aux ministres d'enseigner que le principe et l'accroissement de la foi venaient de la grâce que Jésus-Christ nous a méritée; que Dieu n'a créé personne pour le damner, qu'il n'impose à personne la nécessité de pécher, et qu'il a la volonté de sauver tous les fidèles: du reste il leur était défendu de traiter les questions obscures qui partageaient si fort les esprits. Cette ordonnance accommodait fort les arminiens, qu'elle maintenait dans la possession d'enseigner leurs sentiments, et leur ouvrait une voie pour augmenter le nombre de leurs partisans. Dans toutes les querelles, les plus faibles gagnent toujours quand ils gagnent du temps. Les gomaristes ne l'ignoraient pas: on les entendit bientôt crier que le remède aigrissait le mal au lieu de le guérir, et que tout était perdu; puisqu'on renversait les fondements de la Réforme. Enfin, persuadés qu'ils étaient dans une de ces circonstances où la religion dominante est ruinée, si l'on en vient aux dernières extrémités, ils rompirent tout commerce avec les Remontrants. Ce coup était d'un grand é , mais il était nécessaire, et il sauva le calvinisme rigide dans les Provinces-Unies. Les arminiens ne manquèrent pas de déclamer à leur tour contre cette démarche, qu'ils représentaient comme la plus violente entreprise qu'on pût jamais faire; ils parlaient des gomaristes comme de gens entreprenants qui étaient capables de tout, séditieux et turbulents, qui, ne voulant entrer dans aucun tempérament, aimaient mieux voir le feu allumé dans toutes les Eglises que de se conformer aux sages règlements des magistrats, dont l'exacte observance pouvait seule rétablir et conserver la paix. De ces plaintes réciproques on en vint aux injures, des injures aux coups, des coups aux émeutes populaires et aux armes; chacun pensa à se rendre le plus fort dans les villes, selon qu'elles tenaient pour les anciennes ou les nouvelles opinions: tout paraissait disposé pour une guerre civile, lorsque Carleton ambassadeur d'Angleterre, représenta à l'assemblée générale qui se tenait à la Haye, que leur république était sur le penchant de sa ruine, si l'on ne faisait au plus tôt cesser les divisions qui la désolaient; qu'au reste la connaissance de ces affaires n'appartenait point aux magistrats, mais au synode national, suivant l'ancien usage de l'Eglise; que c'était à lui de décider laquelle de ces deux opinions était la plus conforme à la parole divine, ou du moins de quelle façon l'une et l'autre pouvaient être tolérées. Ces raisons, et encore plus l'appréhension d'une guerre intestine, firent résoudre les Etats à prendre ce parti. Les arminiens déclarèrent inutilement qu'ils ne se soumettraient qu'à ce qui serait réglé dans un concile oecuménique: on leur répondit qu'ils se soumettraient par provision à ce qui serait réglé dans le concile national, et on l'indiqua pour le 1 er novembre 1618.
- Quelque mauvaise que fût la situation où se trouvait alors l'arminianisme, peut-être n'aurait-il pas manqué de ressources, si l'homme le plus puissant de la république n'avait pas entrepris de l'abattre. Je parle du comte Maurice, devenu prince d'Orange par la mort de Philippe-Guillaume de Nassau, son frère, décédé le 21 février de cette année 1618. Sa puissance, ses emplois, ses services relevés par ceux de ses ancêtres lui avaient acquis un crédit qui n'aurait peut-être point eu de bornes, si l'habileté de Barneveld n'avait pas su lui en donner. L'émultion et la jalousie d'autorité ne pouvait être plus grande entre eux. L'un tenant la noblesse et la milice dans sa main; l'autre disposait des bourgmestres et de la plupart des magistrats. Ceux qui cherchaient à faire fortune à la guerre étaient dévoués au prince; ceux qui aimaient la forme du gouvernement établi par les lois demeuraient attachés à l'avocat général. Chacun avait son parti assez grand pour faire une espèce d'équilibre à la puissance de son adversaire; mais enfin la hardiesse du prince fit pencher la balance de son côté, et s'il n'osa attenter à la république, il eut du moins la douce consolation de sacrifier à son ressentiment le premier des républicains. Il s'était déclaré gomariste: le bien de l'Etat avait été le prétexte de cette déclaration; les mouvements présents lui servirent de raison pour agir contre les arminiens, plus en souverain indépendant qu'en capitaine général et gouverneur d'une république libre. Il leva des troupes, avec lesquelles il parcourut la plupart des villes, destituant les magistrats qui favorisaient les nouvelles opinions, renvoyant chez eux les soldats enrôlés sans son ordre. Tout pliant sous son autorité, il obtint le consentement des Etats généraux pour faire arrêter Barneveld: ce qui s'exécuta le 24 août à l'issue de leur assemblée, aussi tranquillement que s'il n'eût été question que d'un scélérat ou d'un simple bourgeois. On se saisit en même temps d'Hogerbertz et de Grotius, amis particuliers de l'avocat général, et après lui les plus forts appuis de l'arminianisme.
- (*) Le 6 octobre 1608 selon Maimbourg, dans sa Méthode pacifique
- Cependant le temps fixé pour la tenue du synode approchait. Chacune des provinces unies choisit six députés d'entre les plus habiles théologiens; le roi d'Angleterre, l'électeur Palatin, le tandgrave de Hesse, les cantons de Zurich, de Berne, de Bâle et de Schaffouse, les comtés de Vétéravie, les républiques de Genève, de Brême et d'Embden y députèrent de leur côté, à la prière des Etats-généraux. Langherack, leur ambassadeur, sollicita inutilement Sa Majesté très-chrétienne de permettre à quelques ministres de son royaume de se rendre à Dordrecht. Henri IV avait défendu en 1598 aux protestants de France d'envoyer personne à ces sortes d'assemblées, et de recevoir aucun étranger aux leurs; Louis XIII n'eut garde de déroger à une ordonnance si sage, dont l'exact observation ne contribuait pas peu à maintenir la tranquilité de ses Etats: ainsi les principaux ministres se contentèrent d'envoyer leur avis sur les matières contestées. Celui de Dumoulin fut lu publiquement dans la sess on 143 e du synode, aux décisions duquel il est très-conforme. L'ouverture s'en fit le 13 novembre par deux sermons, l'un en flamand et l'autre en français; après quoi l'on tint la première séance. Les remontrants protestèrent solennellement dès le 11 décembre contre l'autorité du synode, qui ne pouvait, disaient-ils, passer pour légitime et canonique, puisqu'ils n'y avaient point de voix délibérative, et que les gomaristes, leurs ennemis, étaient en même temps juges et parties: en cela ils ne faisaient que suivre la route que leur avaient ouverte les premiers réformateurs, qui avaient récusé sur ce seul fondement les Pères assemblés à Trente: cependant on n'eut point d'égard à leurs plaintes, qui furent jugées nulles par tout ce qu'il y avait de députés. Les théologiens anglais soutinrent que la protestation était contre l'usage des premiers conciles de Nicée, de Constantinople, d'Ephèse et de Chalcédoine, où les évêques qui s'étaient opposés les premiers aux erreurs d'Arius, de Macédonius, de Nestorius et d'Eutychès, n'avaient pas laissé d'être juges. Ceux de Hesse dirent que si l'on y avait égard, on ne pourrait jamais assembler de conciles légitimes, parce que les pasteurs et les docteurs sont toujours les premiers à s'opposer aux hérésies; les théologiens de Hesse ajoutèrent que s'il fallait demeurer neutre dans les contestations qui s'élèvent touchant la doctrine, pour ne pas perdre le droit de devenir juge, il n'y aurait point d'hérésie qui ne s'établit sans résistance; qu'on ne pouvait pas dire pour cela qu'on fût juge dans sa propre cause, parce que, lorsqu'il est question de définir quelle est la doctrine orthodoxe, il ne s'agit point de la cause de chaque particulier, mais de celle de Dieu et de son Eglise. Les autres députés étrangers parlèrent dans le même sens: ceux de Genève avancèrent de plus que les remontrants ne pouvaient adhérer à leur protestation sans renoncer à la communion des Eglises réformées, et qu'en ce cas c'était aux puissances souveraines à voir ce qu'elles avaient à faire. Sur cela les députés des Provinces-Unies sommèrent les arminiens de reconnaître la validité de l'assemblée, et de se soumettre à ce qu'elle prononcerait, permis à eux au surplus de dire ce qu'ils pouvaient alléguer pour la défense de leurs articles. Les remontrants avaient réduit leur doctrine à cinq points capitaux, qu'il est bon de rapporter ici, puisqu'ils donnèrent lieu aux contestations, et qu'ils furent l'objet des délibérations ou synode.
- 1. Que Dieu, par un décret éternel et immuable, a ordonné en Jésus-Christ son Fils, avant la création du monde, de sauver en Christ, pour l'amour de Christ, et par Christ, ceux du genre humain déchu et tombé en péché, qui croient par la grâce du Saint-Esprit en ce même Fils, et lesquels par la même grâce persévèrent jusqu'à la fin dans la foi et l'obéissance; de laisser au contraire ceux qui ne se convertissent pas et demeurent infidèles, dans le péché, sujets à la colère de Dieu, et les condamner comme ennemis de Christ, selon cette parole de l'Evangile en saint Jean III, v. 36: Qui croit au Fils a la vie éternelle; mais celui qui n'y croit pas ne jouira point de la vie, et la colère de Dieu ne se retirera point de dessus lui.
- 2. Conséquemment, que Jésus-Christ, Sauveur du monde, est mort pour tous en général et chacun en particulier, en sorte que par sa mort il a obtenu à tous la réconciliation et la rémission de leurs péchés; à condition cependant que personne ne jouira de ce bienfait, s'il n'est fidèle; et cela comme il est encore marqué en saint Jean III, 16: Dieu a aimé le monde jusqu'à donner son Fils unique, afin que tout homme qui croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Et encore dans sa première épître, II, 2: Il est lui-même victime de propitiation pour nos péchés; et non-seulement pour les nôtres, mais pour ceux du monde entier.
- 3. Que l'homme n'a pas la foi salutaire, ni de lui-même, ni par les forces de son franc arbitre, vu que dans l'état de la nature corrompue il ne peut rien faire ni penser qui soit vraiment bon, comme la foi salutaire; mais qu'il est nécessaire que Dieu en Christ le régénère et le renouvelle par son esprit dans son entendement, dans sa volonté et dans toutes ses facultés, pour qu'il puisse comprendre, penser, vouloir et achever quelque chose de bien, selon la parole de Jésus-Christ en saint Jean, XV, 5: Sans moi vous ne pouvez rien faire.
- 4. Que cette grâce de Dieu est le commencement, le progrès et la perfection de tout bien, jusque-là que l'homme même régénéré sans cette grâce précédente ou excitante, conséquente ou coopérante, ne peut penser, ni vouloir, ni faire aucun bien, pas même résister à aucune tentation qui le porte au mal; de manière que toutes les bonnes oeuvres, sans en excepter aucune, doivent être attribuées à la grâce de Dieu en Christ; mais que pour la manière de l'opération de la grâce, elle n'est pas irrésistible, puisqu'il est écrit de plusieurs qu'ils ont résisté au Saint-Esprit, comme il est dit au chapitre 7 des Actes.
- 5. Que ceux qui sont entés en Jésus-Christ par la vraie foi, et en conséquence de cette incorporation, participant de son Esprit vivifiant, ont assez de force pour combattre le démon, le péché, le monde, leur propre chair, et en triompher, toutefois avec le secours du Saint-Esprit, et que Jésus-Christ leur tend la main dans toutes ces tentations; que pourvu qu'ils soient préparés au combat et qu'ils sollicitent son secours, ne manquant à rien de ce qui dépend d'eux, il les assiste et les fortifie de manière qu'ils ne peuvent ni être séduits par l'artifice ou par la force du démon, ni être arrachés des mains de Jésus-Christ, suivant ce qui est dit en saint Jean, X: Qui que ce soit ne me les arrachera d'entre les mains; mais qu'il faudrait examiner avec so n par les saintes Ecritures, avant d'enseigner avec une parfaite assurance, si ceux-là mêmes ne peuvent pas par leur négligence abandonner Jésus-Christ, se livrer de nouveau au monde, renoncer à la saine doctrine qu'ils ont embrassée, perdre leur conscience et la grâce.
- Voilà le précis de la doctrine des arminiens, qui, comme il est aisé de le voir, ne tenaient point d'élection absolue, ni de préférence par laquelle Dieu préparât certains moyens à ses élus, et à eux seuls, pour les conduire à la gloire; mais seulement une volonté générale de sauver tous les hommes, surtout ceux à qui l'Evangile était annoncé, en conséquence de laquelle ils avaient tous des moyens suffisants de se convertir, dont ils pouvaient user à leur gré. Il s'ensuivait de là qu'on pouvait perdre la grâce tout entière et sans retour, et qu'on n'avait nulle assurance de son salut. Ces deux conséquences sont directement opposées aux principes de Calvin, qui veut que le fidèle soit assuré qu'il a la grâce actuellement, et qu'il ne la perdra jamais. Tout le monde sent à quels excès porte cette doctrine; mais enfin, toute monstrueuse qu'elle est, c'était celle des gomaristes. Ainsi Episcopius, professeur de théologie à Leyde, harangua inutilement pour faire goûter les sentiments de son parti au synode. Ils furent condamnés tout d'une voix après plus de cent cinquante séances, dans lesquelles on établit de nouveau la certitude du salut et l'inamissibilité de la grâce. Ce fut le 6 mai 1619 que la sentence définitive fut portée. "Le synode, dit-on, après l'invocation du saint nom de Dieu, bien persuadé de son autorité par la parole de Dieu même, suivant les traces de tous les synodes légitimes, tant anciens que nouveaux, et muni de l'autorité des Etats généraux, déclare et juge que les pasteurs qui se sont faits chefs de parti dans l'Eglise et maîtres de l'erreur, ont corrompu la religion, déchiré l'unité de l'Eglise et causé de très-grands scandales. C'est pourquoi le synode les déclare incapables de toute charge ecclésiastique, leur ôte leurs emplois, et les juge même indignes de toute fonction académique, jusqu'à ce qu'ayant satisfa t à l'Eglise par un retour sincère, dont leurs paroles, leurs actions et leur conduite soient de sûrs garants, ils soient parfaitement réconciliés et reçus à sa communion." Les ministres étaient ensuite exhortés à veiller sur leur troupeau, et à empêcher l'établissement ou le cours des nouveautés. On examina ensuite la confe sion de foi des Eglises belgiques, et le catéchisme du Palatinat, dont on se servait dans les Pays-Bas, et l'on n'y trouva rien que de conforme à la doctrine orthodoxe; puis la doctrine de Vorstius, qui fut proscrite comme hérétique, et propre à ébranler les fondements du christianisme et à renouveler les impiétés de Socin. Après quoi l'assemblée se sépara le 9 mai. Les Etats généraux ratifièrent le 2 juillet les 93 canons dressés à Dordrecht avec ordre à tous les ministres, professeurs et docteurs, de s'y conformer, et ils firent exécuter leur ordonnance avec une sévérité qui n'avait point d'exemple dans la république. On avait promis aux remontrants que s'ils se trouvaient lésés par le synode national, ils auraient leur recours libre à un concile oecuménique; cependant on les trans non seulement comme des hérétiques, mais comme des rebelles. Barneveld, la première victime de l'arminianisme, avait été sacrifié, dès le 13 mai, à la haine du prince d'Orange. Les services les plus importants rendus à sa patrie, la considération dont il jouissait dans toutes les cours étrangères, intercession du roi très-chrétien, son âge enfin, n'avaient pu lui sauver la vie; ses amis particuliers étaient en prison, le reste des arminiens ne fut pas plus épargné; on déposa les uns de leurs emplois, on bannit les autres. Ce fut un crime irrémissible de n'être pas, ou du moins de ne paraître pas calviniste rigide dans cette révolution, ou l'on exerça contre les sectateurs du professeur de Leyde plus de rigueurs que n'en ont exercé contre les sec aires les princes les plus catholiques, qu'il plaît aux pr testants de traiter de persécuteurs. D'AVRIGNY.
- .......... Page(s) .......... 1023
- 1619. AVERSE. I,
- 1619. BRINDES. I,
- 1619. FLORENCE. I,
- 1619. LIMOGES. I,
- 1619. SAINT-MALO. I,
- .......... Page(s) .......... 1023
- .......... Page(s) .......... 1169
- 1620. ALAIS. 23 e Syn. calv. national
- 1620. Pendant qu'on faisait valoir en Hollande le synode de Dordrecht, les religionnaires de France travaillaient à en faire recevoir les décisions dans leurs synodes nationaux. Dans celui qui se tint à Alais, on ne se contenta pas de les approuver, mais on obligea encore les ministres et les anciens qui avaient été députés à l'assemblée de jurer qu'ils en embrassaient la doctrine comme entièrement conforme à la parole de Dieu et à la confession de foi de leurs Eglises; qu'ils la professeraient toute leur vie et la défendraient de tous leurs pouvoirs; qu'ils condamnaient, au contraire, la doctrine des arminiens, vu qu'elle fait dépendre l'élection de Dieu de la volonté de l'homme, dont elle relève le franc arbitre aux dépens de la grâce qu'elle anéantit; qu'elle ramène le pélagianisme, déguise le papisme, et renverse toute la certitude du salut. Pierre Dumoulin, ministre de Paris, qui avait un grand crédit dans toutes les Eglises de son parti, s'était déclaré pour Gomar, dès le commencement des disputes, parce qu'il ne pouvait souffrir qu'un fidèle doutât de sa béatitude éternelle, ni qu'on avançât qu'il y a des justifiés qui perdent la grâce et sont damnés. Avec tout cela, néanmoins, il s'est trouvé des ministres célèbres, comme Cameron, Amiraut, Daillé, et des universités entières, qui ont donné un asile à la grâce universelle proscrite en Hollande. Elle trouva des défenseurs en Angleterre du vivant même de Jacques, qui avait tant fulminé contre l'arminianisme; et depuis elle a pénétré dans tous les Etats où il y a de ces sectaires. D'AVR.
- 1620. CLERMONT. I,
- .......... Page(s) .......... 743
- 1620. FAENZA. I,
- 1620. PAMIERS. II,
- 1620. SAINT-MALO. I,
- .......... Page(s) .......... 851
- .......... Page(s) .......... 1001
- .......... Page(s) .......... 1023
- 1621. BRINDES. I,
- 1621. LANGRES. I,
- .......... Page(s) .......... 395
- .......... Page(s) .......... 811
- .......... Page(s) .......... 725
- 1622. BORDEAUX. I.
- 1622. BRINDES. I,
- 1622. CAS
L. I,
- 1622. IMOLA. I,
- 1622. LANGRES. I,
- 1622. MILAN. I, e syn. dioc.
- 1622. MONTEFIASCONE. I,
- 1622. MONTREAL. I,
- 1622. PALERME. II,
- 1622. TREVES. II,
- 1623. AGEREN. I,
- 1623. BARBASTRO. I,
- 1623. BORDEAUX. I,
- 1623. CHARENTON, 24 e Syn. national des Eglises réformées. On y confirma les décrets du prétendu synode de Dordrecht; et l'on condamna, sous les titres d'erreurs particulières, un grand nombre de propositions opposées à la doctrine contenue dans ces décrets.
- 1623. MAILLEZAIS. I,
- .......... Page(s) .......... 1023
- .......... Page(s) .......... 1259
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1624. BARI. I,
- 1624. BORDEAUX. I,
- 1624. BORGO-SAN-DONINO. I,
- 1624. CORTONA. I,
- 1624. GUDSTADT. I,
- 1624. MELFI. I,
- .......... Page(s) .......... 213
- 1624. RIMINI. II,
- .......... Page(s) .......... 1273
- 1625. LUGO. I,
- 1625. NARNI. II,
- .......... Page(s) .......... 9
- 1625. OSNABRUCK. II,
- .......... Page(s) .......... 405
- 1625. TORRE. II,
- 1626. AGER N. I,
- 1626. ASCOLI. I,
- 1626. BARBASTRO. I,
- 1626. CASTELLANETO. I,
- 1626. CASTRES. 25 e syn. nat. des Eglises réformées de France. On y ordonna un jeûne général. A la fin des actes de ce synode se trouve un catalogue de toutes les Eglises réformées de France, qui porte à 623 le nombre total des ministres distribués à cette époque dans les quinze provinces de Bourgogne, de l'Ile-de-France, de Bretagne, de Touraine, Anjou, Maine, Vendomois et grand Perche, de Poitou, de Saintonge, Aunis et Angoumois, de basse Guyenne, de haute Guyenne et haut Languedoc, de bas Languedoc, des Cévennes, de Dauphiné, de Vivarais, de Provence, d'Orléanais et Berry, et de Normandie. Les députés du Béarn n'avaient pas apporté avec eux le rôle des pasteurs de leur province.
- 1626. CUENCA. I,
- 1626. LORETO. I,
- 1626. MONT-CASSIN. I,
- .......... Page(s) .......... 9
- .......... Page(s) .......... 201
- .......... Page(s) .......... 3
- 1626. SION. II,
- 1626. SOANA. II,
- 1627. BORDEAUX. I,
- 1627. FLORENCE. I,
- 1627. LOMBEZ. II,
- 1627. MASSA. I,
- 1627. MILAN. I, e synode.
- 1627. NAMUR. II,
- .......... Page(s) .......... 481
- .......... Page(s) .......... 715
- .......... Page(s) .......... 811
- 1627. SINIGAGLIA. II,
- .......... Page(s) .......... 1203
- 1628. AGEREN. I,
- 1628. BERGAME. I,
- 1628. FARPENSIS. I,
- 1628. IMOLA. I,
- 1628. LANGRES. I,
- 1628. MAILLEZAIS. I,
- 1628. OSNABRUCK. II,
- 1628. PETERKAU. II,
- .......... Page(s) .......... 713
- .......... Page(s) .......... 1023
- .......... Page(s) .......... 1005
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1629. AGEREN. I,
- 1629. BELLUNE. I,
- 1629. CAPACCIO. I,
- 1629. FOSSOMBRONE. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1629. METZ. I,
- .......... Page(s) .......... 203
- 1629. S.-POL-DE-LEON. I,
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1629. YPRES. II,
- 1630. BOULOGNE. II,
- 1630. CAMERINO. I,
- 1630. GIRGENTI. I,
- .......... Page(s) .......... 203
- 1630. PAMIERS. II,
- 1630. RIMINI. II,
- .......... Page(s) .......... 713
- 1630. S.-POL-DE-LEON. I,
- 1630. YPRES. II,
- 1631. BESANCON. I,
- 1631. CAMBRAI. I,
- 1631. CHARENTON. 26 e Synode national des Eglises prétendues réformées.
- Le sieur Galand présida à ce synode, comme aux deux précédents, de la part de Louis XIII, pour empêcher qu'il ne s'y fît aucune proposition qui ne concernât pas leur croyance, et les obliger d'ordonner qu'il ne se ferait plus d'assemblées nationales qu'en présence d'un commissaire du roi, et que ceux qui ne seraient pas français seraient exclus du ministère.
- Le synode condamna un livre de Berraut, dans lequel il soutenait que les ministres avaient une vocation particulière de Dieu pour porter les armes; mais le règlement le plus considérable que fit ce synode, fut celui par lequel il reçut à sa communion tous ceux de la confession d'Augsbourg, comme convenant avec les calvinistes sur les points fondamentaux de la vraie religion. Personne n'ignore les efforts que les calvinistes ont faits dans tous les temps depuis le commencement de la prétendue réforme, pour se rapprocher des luthériens, dans la vue de donner du crédit à la secte par le nombre des sectateurs. Bèze et ses collègues avaient déclaré au colloque de Poissy, qu'ils étaient prêts à admettre la confession d'Augsbourg, au dixième article près, qui regarde la Cène. Dans la plupart de leurs confessions de foi, qui ont si souvent varié, ils ont toujours évité avec soin de rien dire qui pût choquer les protestants d'Allemagne. Plus d'une fois ils ont nommé des députés pour travailler à cette union si désirée; tout avait été inutile: enfin ils se résolurent à Charenton à faire les dernières avances sur le bruit des victoires du grand Gustave, dont ils ne doutaient pas que la religion ne dut devenir la religion de la plus grande partie de l'Europe, comme l'annonçaient grand nombre de prophètes. Leur complaisance fut mal payée. Les luthériens persistèrent à regarder comme excommuniés les sacramentaires qui voulaient bien les tenir pour frères. D'AVRIGNY.
- .......... Page(s) .......... 713
- .......... Page(s) .......... 1023
- 1631. VALENCE. II,
- 1631. YPRES. II,
- 1632. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 387
- 1632. PLAISANCE. II,
- 1632. PULICASTRO. II,
- .......... Page(s) .......... 713
- .......... Page(s) .......... 719
- .......... Page(s) .......... 921
- 1632. URGEL. II,
- 1633. AUXERRE. II, . Syn dioc.
- 1633. BORDEAUX. I,
- 1633. ELVAS. I,
- 1633. METZ. I,
- 1633. ORLEANS. II,
- 1633. PALERME. II,
- 1633. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1634. BOLOGNE. I,
- 1634. CERVIA. I,
- 1634. CORTONA. I,
- 1634. GNESNE.
- 1634. MENDE. I,
- 1634. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1634. VENAFRE. II,
- 1635. CIFALU, I,
- 1635. MELFI. I,
- .......... Page(s) .......... 51
- 1635. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 303
- 1636. BORDEAUX. I,
- 1636. MAJORQUE. I,
- 1636. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 939
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1637. ALENCON en Normandie. 27 e S. p. des Eglises réform. Le commissaire du roi, y fit une vive remontrance aux deputés assemblés sur l'insubordination de leurs commettants. Dans cette même assemblée, les calvinistes du Béarn furent incorporés à ceux de France.
- 1637. COUTANCES. I,
- 1637. FERRARE. I,
- 1637. FLORENCE. I,
- 1637. GLASCOW. Syn. presbytérien. Ce synode s'ouvrit le 1 er décembre, et le duc d'Hamilton le rompit le 8, sur la protestation de nullité faite par les évêques, et qu'il jugea valide: ce qui n'empêcha pas la plupart des députés de continuer leurs séances, et ne dégrader tous les prélats sans exception. Les archevêques de Saint-André et de Glascow, les évêques d'Edimbourg, de Galloway, de Ross, de Bréchan, d'Aberden et de Dumblen, furent non-seulement privés de leur dignité, mais encore déclarés incapables d'exercer aucune fonction ministérielle, excommuniés, livrés à Satan, pires que les païens et les publicains. La conclusion de tout cela fut l'abolition de l'épiscopat, et la condamnation de la liturgie. D'AVRIGNY.
- 1638. BORDEAUX. I,
- 1638. CAHORS. II,
- 1638. CESENE. I,
- 1638 CONSTANTINOPLE. I,
- 1638. IMOLA. I,
- .......... Page(s) .......... 385
- 1638. MINIATO. I,
- 1638. MONTREAL. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1638. PULICASTRO. II,
- .......... Page(s) .......... 713
- 1639. AGEREN. I,
- 1639. AMALFI. I,
- 1639. FORLI. I,
- 1639. GIUVENAZZO. I,
- 1639. NAMUR. II,
- .......... Page(s) .......... 303
- .......... Page(s) .......... 405
- .......... Page(s) .......... 533
- .......... Page(s) .......... 713
- 1639. VITERBE. II,
- 1640. BESANCON. I,
- 1640. LISBONNE. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- 1640. MILAN. I,
- 1640. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 303
- .......... Page(s) .......... 713
- 1641. CIFALU. I,
- 1641. COMMINGES. II,
- 1641. CULM. I,
- 1641. MAZARA. I,
- 1641. ROUEN. II,
- 1641. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- 1642. CENE
A. I,
- 1642. CORDOUE. I,
- 1642. GENES. I,
- 1642. GIAS ou JASSI ou MOLDAVIE. I,
- 1642. LUNE. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1642. NAPLES. II,
- 1642. ORLEANS. II,
- .......... Page(s) .......... 383
- 1642. ROUEN. II,
- 1642. ROUEN. II,
- 1642. TREVISE. II,
- .......... Page(s) .......... 1193
- 1643. ANVERS. I,
- 1643. AVRANCHES. II,
- 1643. MARSI. I,
- 1643. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 1025
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1644. AGEREN. I,
- 1644. CITTANOVA. I,
- 1644. CONSTANTINOPLE. I,
- 1644. EVREUX. I,
- .......... Page(s) .......... 731
- 1644. NAPLES. II,
- 1644. ORLEANS. II,
- 1644. PADERBORN. II,
- 1644. ROUEN. II,
- 1644. ROUEN. II,
- 1644. SENS. II,
- .......... Page(s) .......... 1023
- 1644. VENCE. II,
- 1645. ALBA. I,
- 1645. BARBASTRO. I,
- 1645. BESANCON. I,
- 1645. CHARENTON. 28 e Synode national des Eglises prétendues réformées de France. Sous le titre de Révision de la discipline ecclésiastique, on y lit les articles suivants:
- Art. 3. "Le dixième canon du treizième chapitre de notre discipline sera entendu en ce sens, qu'un homme ne pourra pas épouser la mère de son épouse défunte sans que le magistrat civil en octroie la permission, que le pasteur demandera, et les deux parties contractantes."
- Art. 4. "Le douzième canon sera conçu en ces termes: que, quoique la civilité et la bienséance ne permettent pas à un homme de se marier avec la veuve du frère de sa femme, néanmoins au cas que le magistrat civil autorise ce mariage, nos Eglises ne feront aucune difficulté de le bénir."
- 1645. FLORENCE. I,
- 1645. ROUEN. II,
- 1645. THORN. II,
- .......... Page(s) .......... 1275
- 1646. AVRANCHES. II,
- 1646. (Vers). BEAUVAIS. I,
- 1646. NAPLES. II,
- 1646. PLAISANCE. II,
- 1646. ROUEN. II, . Synode dioc.
- 1647. AVRANCHES. II,
- 1647. CAHORS. II,
- 1647. CONZA. I,
- 1647. FAENZA. I,
- 1647. MARSEILLE. I,
- 1647. MODENE. I,
- 1647. MONT-VIERGE. I,
- .......... Page(s) .......... 201
- 1647. PADOUE. II,
- 1647. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 1193
- .......... Page(s) .......... 1259
- 1648. AGEREN. I,
- 1648. BARBASTRO. I,
- 1648. BESANCON. I,
- 1648. CHIOZA. I,
- 1648. FIESOLI. I,
- 1648. MANTOUE. I,
- .......... Page(s) .......... 773
- .......... Page(s) .......... 831
- .......... Page(s) .......... 1005
- .......... Page(s) .......... 1025
- .......... Page(s) .......... 1205
- 1648. VANNES II,
- 1649. FAENZA. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1650. BESANCON. I,
- 1650. CREMA. I,
- 1650. FERMO. I,
- 1650. GAND. I,
- 1650. L
S EUX. I,
- 1650. MILAN. I,
- 1650. ROUEN. II,
- 1651. ANGERS. I,
- 1651. CALLER. I,
- 1651. FAENZA. I,
- 1651. LEON, en Espagne. Syn. diocésain, tenu par l'évêque D. Barthélemi Santa de Rissoba, qui y publia ses constitutions synodales, en y joignant celles de ses prédécesseurs.
- 1651. LISIEUX. II,
- 1651. MACERATA. I,
- 1651. SAINT-ANGE-DES-LOMBARDS. I,
- 1651. SARAGOCA. II,
- 1652. ALERIA ou CAMPOLORO. I,
- 1652. ANGERS. I,
- 1652. HILDESHEIM. I,
- 1652. MONT-CASSIN. I,
- 1652. MONTREAL. I,
- 1652. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 219
- 1652. ROUEN. II,
- 1652. ROUEN. II,
- 1652. RUREMONDE. II,
- 1652. TORTONE. II,
- .......... Page(s) .......... 1187
- 1653. ALERIA ou CAMPOLORO. I,
- 1653. BEAUVAIS. II,
- 1653. BOULOGNE. II,
- 1653. CLERMONT. II,
- .......... Page(s) .......... 303
- 1653 SEEZ. II,
- 1653. VENISE II,
- 1653. VENISE. II,
- 1654. ANGERS. I,
- 1654. AVELLINO. I,
- 1654. FAENZA. I, . Synode dioc.
- 1654. MEAUX. I,
- 1654. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 757
- 1654. SORRENTO. II,
- 1655. ANGERS. I,
- 165
. BESANCON. I,
- 1655. CHALONS-SUR-MARNE.
- 1655. GIRGENTI. I,
- 1655. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 447
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1656. BARBASTRO. I,
- 1655. BAYEUX. II,
- 1656. BENEVENT. I,
- 1656. CASTRO. I,
- 1656. FLORENCE. I,
- 1656. GLANDEVE II,
- 1656. LANGRES. I,
- 1656. PARIS II,
- 1657. ANGERS. I
- 1657. ATRI (Adria). I,
- 1657. BESANCON. I,
- 1657. FAENZA. I,
- 1657. LANGRES. I,
- 1657. MARIANA. I,
- .......... Page(s) .......... 307
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1231
- 1658. BARI. I,
- 1658. BESANCON. I,
- 1658. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 133
- 1658. SENS. II,
- 1658. TIVOLI. II,
- .......... Page(s) .......... 1001
- .......... Page(s) .......... 1009
- 1659. BESANCON. I,
- 1659. IMOLA. I,
- 1659. MUNSTER. I,
- 1659. NAMUR. II,
- 1659. SIGUENCA. II,
- 1659. TOULOUSE. II,
- 1660. AQUAPENDENTE. I,
- 1660. CHARTRES. II,
- 1660. CONVERSANO. I,
- 1660. FAENZA, I,
- 1660. LOUDUN. 29 e et dernier Synode national des Eglises prétendues réformées de France. On y défendit d'administrer la cène un jour ouvrier.
- .......... Page(s) .......... 203
- .......... Page(s) .......... 307
- .......... Page(s) .......... 463
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1661. CAMBRAI. I,
- 1661. GALLIPOLI. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 307
- 1661. ROUEN. II,
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1662. AMIENS. I,
- 1662 et suiv. BAYEUX. II,
- 1662. CAHORS. II,
- 1662. COLOGNE. Synode diocésain.
- .......... Page(s) .......... 27
- 1662. PRAGUE. II,
- 1662. PRATO. II,
- 1663. ANGERS. I,
- 1663. BESANCON. I,
- 1663. BORGO-SAN-DONINO I,
- 1663. CONDOM. II,
- 1663. FAENZA. I,
- 1663. MACERATA. I,
- .......... Page(s) .......... 179
- .......... Page(s) .......... 201
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1664. BESANCON. I,
- 1664. CAMBRAI. I,
- 1664. EVREUX. I,
- 1664. FLORENCE OU I,
- .......... Page(s) .......... 201
- .......... Page(s) .......... 1025
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1665. BESANCON. I,
- 1665. MUNSTER. I,
- 1665. NARNI. II,
- .......... Page(s) .......... 715
- .......... Page(s) .......... 1025
- .......... Page(s) .......... 1257
- 1666 à 73. AGEN. I,
- 1666. AQUAPENDENTE. I,
- 1666. BESANCON. I,
- 1666. METZ. I,
- 1666. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 201
- 1666. VERCEIL. II,
- 1667. ANGERS. I,
- 1667. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 51
- 1667. TOULOUSE. II,
- 1667. VENISE. II,
- 1668. ANGERS. I,
- 1668. AVIGNON. I,
- 1668. CATANE. I,
- 1668. FAENZA. I,
- 1668. MUNSTER. I,
- 1668. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 773
- 1668. SAN-SEVERINO. II,
- .......... Page(s) .......... 831
- .......... Page(s) .......... 1187
- 1669. BESANCON. I,
- 1669. MUNSTER. I,
- 1669. MUNSTER. I,
- 1669 REIMS. II,
- .......... Page(s) .......... 1193
- 1670. ALET. I,
- 1670. MILAN. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1670. TREVISE. II,
- 1670. VERCEIL. II,
- 1671. ALBENGA. I,
- 1671. BA
AJOZ. I,
- 1671. LEON, en Espagne. Synode dioc. tenu par Don Fray Joan de Toledo, qui y publia de nouvelles constitutions avec celles de ses prédécesseurs.
- .......... Page(s) .......... 749
- 1671. MALAGA. I,
- 1671. METZ. I,
- 1671. MUNSTER. I,
- 1671. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 51
- .......... Page(s) .......... 919
- 1672. AIX en Provence. I,
- 1672. ANNECY. II,
- 1672. CAMERINO. I,
- 1672. CONSTANTINOPLE. I,
- 1672. JERUSALEM. I,
- 1672. MUNSTER. I,
- 1672. TOURNAY. II,
- 1673. AJACCIO. I,
- 1673. MARSEILLE. I,
- 1673. MARSI. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1673. NOYON. II,
- 1673. PARIS. II,
- 1673. TORTONE. II,
- 1673. VELLETRI. II,
- 1674. AUXERRE. I,
- 1674. BARBASTRO. I,
- 1674. BESANCON. I,
- 1674. CAHORS. II,
- 1674. FAENZA. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1674. LUNE. I,
- 1674. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 139
- .......... Page(s) .......... 375
- .......... Page(s) .......... 823
- 1674. SUBIACO. II,
- 1675. MEAUX. I,
- 1675. MUNSTER I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1676. ANGERS. I,
- 1676. BESANCON. I,
- 1676. COUTANCES. I,
- 1676. MONTALTO. I,
- 1676. MUNSTER. I,
- 1676. MUNSTER. I,
- 1677. ANGERS. I,
- 1677. BESANCON. I,
- 1677. MUNSTER. I,
- 1677. PLAISANCE. II,
- 1677. TOULOUSE. II,
- .......... Page(s) .......... 1025
- 1677. VERCEIL. II,
- 1678. ANGERS. I,
- 1678. ARRAS. II,
- 1678. BESANCON. I,
- 1678. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 215
- 1678. TOURNAY. II,
- 1678. TREVES. II,
- 1679. ANGERS. I,
- 1679. BESANCON. I,
- 1679. LANGRES. I,
- 1679. METZ. I,
- .......... Page(s) .......... 25
- 1679. TOURNAI. II,
- 1680. ANVERS. I,
- 1680. BESANCON. I,
- 1680. BOURGES. II,
- 1680. CAVAILLON. II,
- 1680. MUNSTER. I,
- 1680. TOURNAI. II,
- 1680. TROYES. II,
- 1681 (Vers). GRENOBLE. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1681. MESSINA. I,
- .......... Page(s) .......... 309
- 1681. SAINTE-AGATHE-DES-GOTHS. I,
- 1681. TOURNAI. II,
- 1682. AVRANCHES. II,
- 1682. BITONTO. I,
- 1682. MUNSTER. I,
- 1682. NANTES. II,
- .......... Page(s) .......... 309
- 1682. TOURNAI. II,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1683. TOURNAI. II,
- 1684. BORDEAUX. I,
- 1684. LUCON. I,
- 1685. CAHORS. II,
- 1685. FARFA. Synode diocésain. Farfa était une abbaye de l'ordre de Saint-Benoît, dont l'abbé jouissait d'une juridiction diocésaine et exempte de toute autre juridiction que de celle du souverain pontife. Nous avons rapporté au tome 1er, col. 901, un premier synode tenu dans cette abbaye l'an 1628. Celui-ci, présidé par un nouveau cardinal Barberini, abbé commendataire, ne présente rien de plus remarquable que le premier. Syn. dioec. insign abbat. S. Mar. Farf., Romae,
- 1685. LUCON. I,
- .......... Page(s) .......... 317
- 1686. MINDEN. Syn. diocésain.
- 1687. ALBANO. I,
- 1687. ARRAS. II,
- 1687. STRASBOURG. II,
- 1688. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 213
- 1688. TOURNAI. II,
- 1688. TROYES. II,
- .......... Page(s) .......... 1193
- 1689. LODI. I,
- 1689. MUNSTER. I,
- 1691 ARRAS. II,
- 1691 (Avant). LERIDA. I,
- 1691. MEAUX. I,
- 1691. MUNSTER. I,
- 1692. BESIGLIA (Vigiliensis). II,
- .......... Page(s) .......... 135
- 1693. BESIGLIA. II,
- 1693. BENEVENT. I,
- 1693. BRUGES. I,
- 1693. CESENE. I,
- 1693. CHARTRES. II,
- 1693. LUCON. I,
- 1693. MUNSTER. I,
- 1694. BESIGLIA. II,
- 1694. LANGERS. I,
- 1694. MUNSTER. I,
- 1694. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 27
- 1695. ALBI. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- .......... Page(s) .......... 1255
- .......... Page(s) .......... 397
- 1696. LAON. II,
- .......... Page(s) .......... 317
- .......... Page(s) .......... 777
- .......... Page(s) .......... 1239
- 1698. BOLOGNE. I,
- 1698. DIE. II,
- 1698. EVREUX. II,
- 1698. NAMUR. II,
- 1698 NOYON. II,
- 1699. BEAUVAIS. I,
- 1699. CASTRES. II,
- 1699. CHALONS-SUR-SAONE. I,
- 1699. METZ. I,
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 51
- 1700. AICHSTAEDT. I,
- 1700. NANTES. II,
- 1700. SAINT-GERMAIN-EN-LAYE. II,
- 1701. BOULOGNE. II,
- 1702. MUNSTER. I,
- 1703. ALBANIE. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1703. MALTE. I,
- 1703. MUNSTER. I,
- 1704. BORDEAUX. I,
- .......... Page(s) .......... 1009
- 1705. LYON. I,
- 1705. PARIS. II,
- 1706. SAINT-POL-DE-LEON, I,
- 1706. TROYES. II,
- 1707. BESANCON. I,
- 1707. HELMSTADT. Assemblée de docteurs luthériens.
- La princesse Elisabeth-Christine Wolfembuttel, étant sur le point d'épouser l archiduc d'Autriche, depuis empereur, jugea à propos pour la tranquillité de sa conscience de s'informer des luthériens mêmes si elle pouvait abandonner la confession d'Augsbourg en considération de ce mariage. Elle leur fit donc demander si les catholiques errent dans le fond ou le principe de la foi, et si leur doctrine est telle qu'on puisse se sauver en la suivant. Les docteurs assemblés à Helmstadt répondirent que les catholiques ne sont point dans l'erreur pour le fond de la doctrine, et qu'on peut se sauver dans leur religion: 1° parce qu'ils ont le même principe de la foi que les luthériens, croyant en Dieu le Père qui nous a créés, au Fils de Dieu, le Messie qui nous a sauvés, et au Saint-Esprit qui nous a éclairés, ayant le même décalogue et faisant les mêmes prières; 2° parce que l'Eglise catholique est véritable Eglise, étant une assemblée qui écoute la parole de Dieu, et qui reçoit les sacrements institués de Jésus-Christ, de même que les protestants. C'est ce que personne ne peut nier, ajoutent les docteurs; autrement il faudrait dire que tous ceux qui ont été ou qui sont encore dans l'Eglise catholique seraient damnés: ce que nous n'avons jamais dit ni écrit, non plus que Méla chthon, qui montre dans son Abrégé de l'examen que l'Eglise catholique a toujours été la vraie Eglise. L'Eglise catholique, dit-il, enseigne qu'on ne peut être sauvé que par Jésus-Christ, médiateur entre Dieu et les hommes, que les péchés ne peuvent être remis que par ses mérites et par sa passion. A l'égard de la pénitence et des bonnes oeuvres, je crois que les protestants et les catholiques conviennent de toutes ces choses, et ne diffèrent que dans la manière de s'exprimer. La conclusion de tout ceci est que la princesse peut épouser Charles d'Autriche, et embrasser sa religion.
- Assez de luthériens ont voulu se scandaliser de cette décision; et même Pictet, ministre de Genève, dans un ouvrage imprimé en 1714 et intitulé: La religion des protestants justifiée d'hérésie, avance que la consultation des théologiens de l'université d'Helmstadt est une pièce supposée, sur quoi il produit le certificat de quelques luthériens. Le fait ne laisse pas d'être certain, et, après tout, ces docteurs ont eu autant de raison de dire que les catholiques n'errent pas dans les points fondamentaux, que les calvinistes en ont eu d'établir que les luthériens n'errent pas dans ces mêmes points, ainsi qu'ils firent dans le fameux synode de Charenton où ils les reconnurent pour frères et les admirent à leur communion. Les théologiens d'Helmstadt pouvaient citer non-seulement Melanchthon, mais Luther lui-même, qui parle de la sorte dans ses ouvrages: "Nous savons que dans la papauté se trouve la vraie Ecriture sainte, le vrai vrai baptême, les vrais sacrements, le vrai pouvoir des clefs pour remettre les péchés, le vrai ministère de la parole de Dieu, la vraie mission pour l'annoncer, le vrai catéchisme, le véritable christianisme, bien plus le noyau du vrai christianisme." D'AVRIGNY, Mém. chronol. t. IV.
- 1707. MUNSTER. I,
- SAN-MIN
ATO. Synode diocésain, tenu par Jean-François-Marie Poggi. Les constitutions publiées dans ce synode sont divisées en quatre parties. La première, outre la lettre d'indiction et le discours d'ouverture, contient à proprement parler les constitutions synodales, qui ont principalement pour objet la profession de foi, l'administration des sacrements, les règles de la liturgie, la discipline cléricale, et la vigilance à exercer sur les confréries et le soin des hôpitaux. La deuxième renferme diverses instructions pour les curés, avec les avis qu'ils doivent adresser au peuple les jours de dimanche et de fête. La troisième est un recueil de constitutions apostoliques et de décrets émanés des congrégations romaines. La quatrième, enfin, contient les pièces qui n'avaient pu trouver leur place dans les trois autres. Synodus dioec. Miniatensis, Lucoe,
- 1708. MUNSTER. I,
- 1708. MUNSTER. I,
- 1710. MONTEFIASCONE. I,
- 1711. MUNSTER. I,
- 1712. MARSEILLE. I,
- 1712. MUNSTER. I,
- 1712. MUNSTER. I,
- 1713. AICHSTAEDT. I,
- 1714. MUNSTER. I,
- 1714. PARIS. II,
- 1716. MUNSTER. I,
- 1718. MUNSTER. I,
- 1720. RUSSIE. II,
- 1721. LUCON. I,
- 1721. MUNSTER. I,
- 1721. MUNSTER. I,
- 1722. MUNSTER. I,
- 1722. SAINT-BRIEUC. I,
- 1723. MUNSTER. I,
- 1724. MEAUX. I,
- 1725. AVIGNON. I,
- 1725. LANGRES. I,
- 1725. MONTPELLIER. I,
- .......... Page(s) .......... 319
- 1725. ROME. II,
- 1726. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 321
- 1726. WARMIE. II,
- 1727. EMBRUN. I,
- 1727. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 321
- 1727. SARAGOCA. II,
- 1728. PARIS. II,
- 1730. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 323
- 1732. MUNSTER. I,
- 1732. MUNSTER. I,
- 1733. LANGRES. I,
- .......... Page(s) .......... 411
- 1735. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 201
- .......... Page(s) .......... 719
- 1736. SYRIE. II,
- .......... Page(s) .......... 725
- 1738. MENDE. I,
- 1740. MUNSTER. I,
- 1741. LANGRES. I,
- 1741. MUNSTER. I,
- 1741. MUNSTER. I,
- 1742. CHARTRES. II,
- 1744. DIJON. II,
- 1744. MUNSTER. I,
- 1745. CULM et POMESEN. I, er .
- 1745. MUNSTER. I,
- 1745. PARIS. II,
- 1746. BELLEY. II,
- 1747. BELLEY. II,
- 1747. MUNSTER. I,
- 1748. BELLEY. II,
- 1748. MUNSTER. II,
- 1749. BELLEY. II,
- 1749. MUNSTER. I,
- 1740. MUNSTER. I,
- 1750. MUNSTER. I,
- 1750. MUNSTER. II,
- .......... Page(s) .......... 325
- 1752. MUNSTER. I,
- 1752. PARIS. II,
- 1753. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 327
- 1754. MUNSTER. I,
- 1755. PARIS. II,
- 1757. MUNSTER. I,
- .......... Page(s) .......... 331
- .......... Page(s) .......... 331
- 1762. ALBI. I,
- 1762. PARIS. II,
- 1763. TUSCULUM ou FRASCATI. II
- .......... Page(s) .......... 1209
- .......... Page(s) .......... 335
- .......... Page(s) .......... 339
- 1770. PARIS. II,
- .......... Page(s) .......... 333
- 1778. FREJUS. I,
- .......... Page(s) .......... 345
- 1783. LANGRES. I,
- .......... Page(s) .......... 405
- .......... Page(s) .......... 1001
- .......... Page(s) .......... 347
- 1791. BALTIMORE. I,
- 1793. LIBAN ou MARONITES. Synode
- .......... Page(s) .......... 1257
- .......... Page(s) .......... 347
- .......... Page(s) .......... 353
- .......... Page(s) .......... 911
- .......... Page(s) .......... 737
- 1808. IRLANDE. II,
- 1810. BALTIMORE. I,
- .......... Page(s) .......... 733
- 1810. PARIS. II,
- 1811. PARIS. II,
- 1815. DUBLIN. II,
- 1818. VELLETRI. II,
- 1821. HONGRIE ou PRESBOURG. II,
- 1829. BALTIMORE. I, er Concile provincial.
- 1833. BALTIMORE. I, e Concile provincial.
- 1837. BALTIMORE. I, e Concile provincial.
- 1838. AIX. I,
- 1840. BALTIMORE. I, e Concile provincial.
- 1841. LANGRES. I,
- 1842. LANGRES. I,
- 1843. BALTIMORE. I, e Concile provincial.
- 1843. LANGRES. I,
- .......... Page(s) .......... 57
- 1844. AUSTRALIE. II,
- 1844. LANGRES. I,
- 1844. PONDICHERY. II,
- 1845. LANGRES. I,
- .......... Page(s) .......... 749
- 1846. BALTIMORE. I, e Concile provincial.
- 1846. LANGRES. I,
- FIN DU SECOND ET DERNIER VOLUME.
DfCTIONNAtRE DES CONCILES.
<2!t
évéqucs. On approuva et adopta les cinq ar-
ticles présentés, en 1C63, à M. de Choiseul
par quelques théologiens jansénistes, et
adressés à Alexandre VII les articles théo-
logiques présentés à Innocent XI, enl677,
par l'université de Louvain; et les douze ar-
ticles envoyés,en 1725, à Benoit X!H par le
cardinal de Noailles, quoique les uns ni les
autres n'eussent jamais été autorisés. Mais
on était bien aise de faire revivre ce que
l'on regardait comme favorable aux préjugés
du parti. On rendit ensuite douze décrets
contre les erreurs de Leclerc, contre les jé-
suites Hardouin, Berruyer et Pichon, et con-
tre la morale reMc/~e des casuistes moder-
nes. Le concile déclara indignes de partici-
per aux sacrements ceux qui soutiendraient
la doctrine qu'il avait condamnée. Le reste
des décrets regarde les matières de disci-
pline et de sacrements. La dernière session
se tint le 20 septembre. Le lendemain, les
décrets furent lus publiquement, approuvés
et confirmés par tous les Pères, qui les signè-
rent tous en se servant également, évêques
et prêtres, de cette formule réservée jusque-là
aux premiers pasteurs ~Escripsi. Les actes de cette assemblée sont si-
gnés de trois évêques et de seize prêtres. H
y assista en outre plusieurs Français, d'Ete-
mare, de Bellegarde, Duhamel, Rivière, plus
connu sous le nom de Pelvert, Clément, etc.
~m. pour serv. d l'hist. eccl., t. Il.
UZEDOM (Synode d') ou Uznoym en Po-
méranie, Uzedomense, l'an 1127, le jour de
la Pentecôte. Saint Otton, évêque de Bam-
berg et apôtre de la Poméranie, y fit un dis-
cours aux nouveaux convertis, à qui il ex-
pliqua sans art, mais avec autant d'onction
que de ctarté, la doctrine de l'Eglise sur les
VAGAIS (Conciliabule de), l'an 394. Voy.
BAGAtE, même année
VAISON (Concile de), l'an 350. Labbe et
Sinnond traitent ce concile de concile imagi-
naire Hardouin, qui le cite, n'en dit rien
davantage. Conc. Nar~. t. Xi, Suppl.
VAtSON (Concile de), Vasense, l'an ~2.
Le concile qui devait s'assembler le 18 oc-
tobre de l'an ~42 à Lucienne, dans le dio-
cèse d'Orange, se tint le 13 novembre, non
dans le diocèse d'Orange, mais dans celui de
Vaison, et à Vaison même, chez Auspidus,
évêque de l'église catholique de cette ville,
ainsi qu'il est marqué dans le titre de ce
concile. On ne sait point d'autres motifs de
sa convocation que la résolution formée
dans les conciles précédents, d'en tenir un
ou deux chaque année. On ne sait non plus
ni le nom ni le nombre des évêques qui y
assistèrent, parce que nous n'en avons point
les souscriptions. Adon, évêque de Vienne,
qui parle de ce concile sur la Cn de l'an
337, dit que Nectaire, l'un de ses prédéces-
seurSf présida à ce concile, et qu'il y prêcha
publiquement dans t'égHse que le Père, le
Fils et le Saint-Esprit n'ont qu'une nature,
sept sacrements. Le saint évoque employa la
semaine entière à baptiser les uns, à récon-
cilier les autres, à les instruire tous, el it ne
se sépara point de ce peuple, avant de lui
avoir fait part de tous les dons spirituels.
~e/)-ed. Ft
UZES (Synode d'), dans la Gaule Narbon-
n:iise, Uceliensis, t'an 858 ou environ. Saint
Ferréol, évoque d'Uzès, avait été accusé au-
près du roi Childebert à cause de sa bonté
pour les juifs, et déporté à Paris où il de-
meura trois ans. De retour dans son diocèse
en 558, il assembla un synode dans l'église
de Saint-Théodoric, y réunit tous les juifs de
la ville et des environs, les instruisit de la
foi catholique, et les engagea à abjurer leurs
erreurs. Quelques-uns se convertirent et re-
çurent le baptême. Pour les autres, ils fu-
rent forcés de sortir de la ville. La mention
de ce concile se trouve dans la vie de saint
Ferréol, chez les Bollandistes, au 18 sep-
tembre. Les Bénédictins l'ont porté dans leur
nouvelle collection des conciles de France.
UZES (Concile d'), l'an 1139. Ce concile so
tint dans l'église cathédrale d'Uzès, par or-
dre du pape Innocent il, vers le conmen-
cempnt de l'an 1139. Gui, cardinal-diacre, et
Guillaume archevêque d'Arles y prési-
dèrent en qualité de légats du saint-siégc.
On termina dans ce concile le différend qui
régnait depuis plusieurs années entre l'ab-
baye de la Chaise-Dieu et celle de Saint-
Tibéri, au sujet de l'église de Bessan, et qui
avait donné lieu à un plaid dix ans aupara-
vant. Cette église fut adjugée au monastère
de Saint-Tibéri, moyennant une rente an-
nuelle de quinze sols metgoriens envers celui
de la Chaise-Dieu. Ménard, 77t~. de ~m~.
v
une puissance, une divinité et une vrtu.
On y fit dix canons
Le 1" « Les évêques des Gaules, passant
d'une province à une autre dans t'etcndua
du royaume, n'auront point bes0!n de témoi-
gnage, c'est-à-dire apparemment de lettres
formées, pourvu qu'iîs ne soient point ex-
communiés, le voisinage les faisant assez
connaître. »
On voit par ce canon que les lettres for-
mées, ou de recommandation, n'étaient né-
cessaires aux évêques que quand ils voya-
geaient dans les pays étrangers.
Le 2' ordonne de prier pour ceux qui
meurent subitement, et sans avoir reçu la
communion, dans le cours de la pénitence
qu'ils accomplissaient. avec CdéHté. I! veut
aussi qu'on reçoive leur oblation, et qu'on
fasse mémoire d'eux à l'autel la raison
qu'il en donne est que s'ils eussent vécu,
on ne leur eût pas refusé l'eucharistie.
La même chose avait été ordonnée dans
le quatrième concile de Carthage, can. 7*),
et dans le onzième de Tolède, cati. 12.
Le 3'. « Les prêtres et les diacres ne s'a-
dresseront qu'à t'évoque diocésain pour
<2!t
évéqucs. On approuva et adopta les cinq ar-
ticles présentés, en 1C63, à M. de Choiseul
par quelques théologiens jansénistes, et
adressés à Alexandre VII les articles théo-
logiques présentés à Innocent XI, enl677,
par l'université de Louvain; et les douze ar-
ticles envoyés,en 1725, à Benoit X!H par le
cardinal de Noailles, quoique les uns ni les
autres n'eussent jamais été autorisés. Mais
on était bien aise de faire revivre ce que
l'on regardait comme favorable aux préjugés
du parti. On rendit ensuite douze décrets
contre les erreurs de Leclerc, contre les jé-
suites Hardouin, Berruyer et Pichon, et con-
tre la morale reMc/~e des casuistes moder-
nes. Le concile déclara indignes de partici-
per aux sacrements ceux qui soutiendraient
la doctrine qu'il avait condamnée. Le reste
des décrets regarde les matières de disci-
pline et de sacrements. La dernière session
se tint le 20 septembre. Le lendemain, les
décrets furent lus publiquement, approuvés
et confirmés par tous les Pères, qui les signè-
rent tous en se servant également, évêques
et prêtres, de cette formule réservée jusque-là
aux premiers pasteurs ~E
gnés de trois évêques et de seize prêtres. H
y assista en outre plusieurs Français, d'Ete-
mare, de Bellegarde, Duhamel, Rivière, plus
connu sous le nom de Pelvert, Clément, etc.
~m. pour serv. d l'hist. eccl., t. Il.
UZEDOM (Synode d') ou Uznoym en Po-
méranie, Uzedomense, l'an 1127, le jour de
la Pentecôte. Saint Otton, évêque de Bam-
berg et apôtre de la Poméranie, y fit un dis-
cours aux nouveaux convertis, à qui il ex-
pliqua sans art, mais avec autant d'onction
que de ctarté, la doctrine de l'Eglise sur les
VAGAIS (Conciliabule de), l'an 394. Voy.
BAGAtE, même année
VAISON (Concile de), l'an 350. Labbe et
Sinnond traitent ce concile de concile imagi-
naire Hardouin, qui le cite, n'en dit rien
davantage. Conc. Nar~. t. Xi, Suppl.
VAtSON (Concile de), Vasense, l'an ~2.
Le concile qui devait s'assembler le 18 oc-
tobre de l'an ~42 à Lucienne, dans le dio-
cèse d'Orange, se tint le 13 novembre, non
dans le diocèse d'Orange, mais dans celui de
Vaison, et à Vaison même, chez Auspidus,
évêque de l'église catholique de cette ville,
ainsi qu'il est marqué dans le titre de ce
concile. On ne sait point d'autres motifs de
sa convocation que la résolution formée
dans les conciles précédents, d'en tenir un
ou deux chaque année. On ne sait non plus
ni le nom ni le nombre des évêques qui y
assistèrent, parce que nous n'en avons point
les souscriptions. Adon, évêque de Vienne,
qui parle de ce concile sur la Cn de l'an
337, dit que Nectaire, l'un de ses prédéces-
seurSf présida à ce concile, et qu'il y prêcha
publiquement dans t'égHse que le Père, le
Fils et le Saint-Esprit n'ont qu'une nature,
sept sacrements. Le saint évoque employa la
semaine entière à baptiser les uns, à récon-
cilier les autres, à les instruire tous, el it ne
se sépara point de ce peuple, avant de lui
avoir fait part de tous les dons spirituels.
~e/)-ed. Ft
UZES (Synode d'), dans la Gaule Narbon-
n:iise, Uceliensis, t'an 858 ou environ. Saint
Ferréol, évoque d'Uzès, avait été accusé au-
près du roi Childebert à cause de sa bonté
pour les juifs, et déporté à Paris où il de-
meura trois ans. De retour dans son diocèse
en 558, il assembla un synode dans l'église
de Saint-Théodoric, y réunit tous les juifs de
la ville et des environs, les instruisit de la
foi catholique, et les engagea à abjurer leurs
erreurs. Quelques-uns se convertirent et re-
çurent le baptême. Pour les autres, ils fu-
rent forcés de sortir de la ville. La mention
de ce concile se trouve dans la vie de saint
Ferréol, chez les Bollandistes, au 18 sep-
tembre. Les Bénédictins l'ont porté dans leur
nouvelle collection des conciles de France.
UZES (Concile d'), l'an 1139. Ce concile so
tint dans l'église cathédrale d'Uzès, par or-
dre du pape Innocent il, vers le conmen-
cempnt de l'an 1139. Gui, cardinal-diacre, et
Guillaume archevêque d'Arles y prési-
dèrent en qualité de légats du saint-siégc.
On termina dans ce concile le différend qui
régnait depuis plusieurs années entre l'ab-
baye de la Chaise-Dieu et celle de Saint-
Tibéri, au sujet de l'église de Bessan, et qui
avait donné lieu à un plaid dix ans aupara-
vant. Cette église fut adjugée au monastère
de Saint-Tibéri, moyennant une rente an-
nuelle de quinze sols metgoriens envers celui
de la Chaise-Dieu. Ménard, 77t~. de ~m~.
v
une puissance, une divinité et une vrtu.
On y fit dix canons
Le 1" « Les évêques des Gaules, passant
d'une province à une autre dans t'etcndua
du royaume, n'auront point bes0!n de témoi-
gnage, c'est-à-dire apparemment de lettres
formées, pourvu qu'iîs ne soient point ex-
communiés, le voisinage les faisant assez
connaître. »
On voit par ce canon que les lettres for-
mées, ou de recommandation, n'étaient né-
cessaires aux évêques que quand ils voya-
geaient dans les pays étrangers.
Le 2' ordonne de prier pour ceux qui
meurent subitement, et sans avoir reçu la
communion, dans le cours de la pénitence
qu'ils accomplissaient. avec CdéHté. I! veut
aussi qu'on reçoive leur oblation, et qu'on
fasse mémoire d'eux à l'autel la raison
qu'il en donne est que s'ils eussent vécu,
on ne leur eût pas refusé l'eucharistie.
La même chose avait été ordonnée dans
le quatrième concile de Carthage, can. 7*),
et dans le onzième de Tolède, cati. 12.
Le 3'. « Les prêtres et les diacres ne s'a-
dresseront qu'à t'évoque diocésain pour
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