LA VIE PARISIENNE . 53
pris mon fusil pour le maintenir ou le faire renaître. — Vous êtes Pari-
sien, monsieur, soit dit sans indiscrétion?
LE VOISIN. — Oui monsieur et j'ai la faiblesse d'en être fier, — mon
beau-père vient de sourire, on a dû dire quelque chose de spirituel, c est
fâcheux, je n'ai pas entendu.
— Dites moi donc, je vous prie le nom de ce député qui se peigne les
cheveux en se regardant dans une petite glace qu'il cache dans le fond
de sa main.
LE VOISIN. — Très-volontiers, ça ne sera pas difficile. Où le placez-
vous votre député? Ah ! au bout de votre doigt; très-bien, donnez-moi
votre lorgnette. Je le vois, il se peigne en effet... C'est unique je ne le
connais pas. Voilà les interruptions qui commencent. Avez-vous vu le
geste de mon beau-père? Cet homme-là parle avec une facilité ! et ne
croyez pas qu'il prépare rien d'avance. Tout cela lui vient d'inspiration,
il me l'a assuré. Ces clameurs sont énivrantes. (suivant dos yeux avec anima-
tion). Non, — si, — non, je vous demande pardon, — pas tant que
vous, — pif — paf. — La cloche, les pupitres, les talons de botte, les
couteaux à papier, tout cela fait un tumulte délirant. Ils en ont pour un
bon quart d'heure. Remarquez que c'est mon député, celui pour qui j'ai
voté qui rait le plus de bruit. J'ai un tact pour ces choses-la ! Eh bien,
monsieur je frémis quand je pense qu'on pourrait rendre calmes et froi-
des ces discussions si animées, si pleines de vie et d'entrain.
— Comment, vous avez un moyen et vous ne le dites pas?
LIC VOISIN. — Je m'en garderais. — Je veux bien cependant vous l'in-
diquer. Il consisterait à isoler les membres de l'opposition et à les répar-
tir dans toute la salle.
— Vous plaisantez?
LE votsfx. — Pas le moins du monde. Supposez que dan»un dîner, on
réunisse au bout de la table tous les convives d'un caractère vif et animé,
au bout de cinq minutes, on ne s'entendra plus dans la salle ; ce sera un
feu roulant de rires et de plaisanteries. — Séparez, au contraire, ces
mêmes convives et le silence se rétablira tout-à-coup.
— Vous avez de singulières idées. La séance est suspendue pendant
dix minutes. Sont-ils heureux, les députés, de pouvoir changer un peu
de place.
LE VOISIN. — Ne m'en parlez pas ! Vous savez que j'ai toujours les ge-
noux de ce monsieur dans le dos ? Enfin 1 c'est une admirable séance, et
d'un intérêt capital. Rarement on a fait autant de bruit. — Avez-vous re-
marqué, quand il s'est levé au milieu du tumulte, et qu'en étendant le
bras, il s'est écrié : Jamais. Quel geste, quelle énergie! L'art oratoire est
une belle chose !
— Oui, sans doute, mais son adversaire lui a répondu d'une façon...
diablement verte. Avez-vous entendu lorsqu'il a dit ensuite : C'est tou-
jours, qu'il faut dire, oui, toujours. En disant cela il avait les bras croi-
sés, l'œil en feu... Il était superbe ; ah ! dam, c'était une réplique diable-
ment verte !
LE VOISIN. — Oui, furieusement verte. Eh bien! à sa place, savez-
vous ce que j'aurais répondu? Non pas que je veuille dire qu'il n'a pas
de talent, il en a énormément. Il a tout pour lui : le geste, le port — il
a un port magnifique — la chevelure.., tout enfin, vous voyez que je suis
impartial ; mais à sa place, j'aurais répondu, en frappant sur le bureau :
Petit-êlre , monsieur , ■peut-être ! au lieu de toujours. Vous sentez :
peut-être était plus mordant, plus incisif. Petil-('!Iï,e ! C'était faire appel
d'une façon détournée à tout son passé politique. Néanmoins, toujours est
une belle parole.
(se retournant.) Pour l'amour du bon Dieu, monsieur, ne me mettez pas
vos genoux dans le dos, vous m'incommodez au dernier point.
— Si je vous incommode, j'en suis désolé ; mais où voulez-vous que je
place mes jambes ? Je ne peux pas les mettre sous la banquette ou dans
ma poche.
— Ce n'est pas moi qui m'en plainderais!
— Monsieur a le dos sensible ?
— Je l'ai fatigué, rien de plus.
— (A voix basse.) Il a le dos fatigué, c'est un commissionnaire.
— Vous dites ?
— Je ne dis rien.
LE VOISIN. — Chut ! chut! L'orateur reprend son discours. — Avez-
vous vu comme je l'ai remis à sa place cet animal qui m'enfonce ses ro-
tules dans le dos? Je commençais à m'échauffer. Pourquoi diable mon
beau père remue-t-il les mâchoires? — Je n'entends pas sa voix, lui qui
a un si bel organe! (Regardunt avec attention.) J'y suis il achève son petit
pain. Lorsque les séances sont un peu longues il est obligé de prendre
quelque chose. Tous mes parents du côté de ma femme sont ainsi. Des
estomacs d'une exigence surprenante.— Il y a des familles comme cela.
Les Bourbons, vous savez ? — fourchettes infatigables !
PLUSIEURS VOIX. — Chut 1 chut !
(Abaissant la voix..)- Vous vous demandez d 'où vient cette lueur jaunâtre
qui pénètre dans la salle déjà sombre ? Regardez au plafond, — on a
adopté ici le système des nouveaux théâtres, et, à un coup de sonnette, la
clarté du gaz remplace celle du jour.
— C'est fort ingénieux et d'un effet ravissant.
Vers cinq heures et demie le voisin regarde à sa montre.
— Diable 1 dit-il, je désirerais vivement la lin de la séance. Je demeure
fort loin et je n'ai pris que mon café au lait ce matin. Je me sens des
inquiétudes.
— Vous n'êtes pas le seul et la majorité s'agite terriblement en de.
mandant la clôture.
LE VOISIN. — Dans cette tribune, je me fais l'effet d'une sardine au
fond de sa boîte. — Enfin, la séance est levée! J'ai un besoin d'air!
Monsieur, charmé d'avoir fait votre connaissance. Mille pardons de passer
devant, mais je voudrais rejoindre mon beau-père. — Garçon, n° 87, —
un paletot, un cache-nez et une canne.
Y.
LE VRAI PATINAGE
Malgré sa latitude, il ne gèle pas plus en Angleterre qu'à Paris, peut-
être moins; il n'y a ni grands lacs, ni grands canaux, et à Londres, la
Serpentine de Hyde-Park n'est pas plus grande que le lac du^ bois de
Boulogne. Aussi le patinage n'est en Angleterre, comme ici, qu'un sport
momentané, et les Anglais s'appliquent exclusivement à faire le plus de
fioritures possibles. Leurs patins sont courts et convexes, ne dépassant
pas le bout du pied, à lame très-haute, arrondis au talon pour pouvoir
voiler avec facilité et dessiner sur la glace les paraphes les plus osés.
En Russie, et dans l'extrême nord, le patin est peu de mode grâce au
froid excessif et surtout grâce à la neige qui, pendant des mois entiers,
couvre les fleuves glacés aussi bien que les plaines. Le patinage n'y est
qu'un sport restreint aux pièces d'eau balayées avec soin. Le seul pati-
nage populaire se passe sur la neige glacée avec des patins en bois,
longs de trois pieds, qu'on chausse au milieu, — quelque chose comme
des podoscaphes en miniature. Cela rentre dans le Lapon et le Samoyède
et n'a rien à faire avec ce qui nous occupe.
En Hollande, seulement, on patine pour de bon; le patinage n'y est
pas un simple sport, mais bien un moyen de locomotion et de transport
même, comme le traînage en Russie.
Le pays est entièrement sillonné de canaux, les hivers y sont longs ou
plutôt il n'y dégèle pas au-dessus de zéro; en effet, les eaux de Hollande
sont saumâtres, presque salées, sans aucun courant, et quand elles gè-
lent ce n'est pas de quelques pouces seulement mais bien jusqu'au fond.
Je me rappelle qu'un cerlain hiver, M. Van der Hoop, le grand banquier
d'Amsterdam, paria de traverser l'Amstel, avec son phaéton attelé de ses
deux chevaux frisons, le jour de Pâques qui était assez avancé dans le
printemps cette année-là. Il gagna son pari, malgré le dégel commencé
depuis huit jours, en ayant de l'eau jusqu'au moyeu. — La mer aussi, en
Hollande est prise et bien prise. Rappelez-vous la flotte Hollandaise prise à
l'abordage par un escadron de hussards. Pour ma part j'ai bien souvent
traversé il patin l'Y qui est, s'il vous plaît, un bel et bon bras de mer.
Je suis même parti un jour avec quelques amis pour aller en Frise en
traversant sur la glace le ïuyderzee, lorsqu'arrivés au Texel, après avoir
traversé à patins toute la Nord-Hollande, nous avons été surpris par le
dégel et forcés de revenir à Amsterdam tout prosaïquement en dili-
gence.
Pendant presque tout l'hiver on vit en Hollande plus sur l'eau que sur'
la terre.
Une foule de constructions s'élèvent sur la glace : des boutiques, des
cafés, des restaurants, des baraques de bateleurs, des échoppes de
gauffres et de potft rtjes (espèce de beignets) dont les garçons sont de
pris mon fusil pour le maintenir ou le faire renaître. — Vous êtes Pari-
sien, monsieur, soit dit sans indiscrétion?
LE VOISIN. — Oui monsieur et j'ai la faiblesse d'en être fier, — mon
beau-père vient de sourire, on a dû dire quelque chose de spirituel, c est
fâcheux, je n'ai pas entendu.
— Dites moi donc, je vous prie le nom de ce député qui se peigne les
cheveux en se regardant dans une petite glace qu'il cache dans le fond
de sa main.
LE VOISIN. — Très-volontiers, ça ne sera pas difficile. Où le placez-
vous votre député? Ah ! au bout de votre doigt; très-bien, donnez-moi
votre lorgnette. Je le vois, il se peigne en effet... C'est unique je ne le
connais pas. Voilà les interruptions qui commencent. Avez-vous vu le
geste de mon beau-père? Cet homme-là parle avec une facilité ! et ne
croyez pas qu'il prépare rien d'avance. Tout cela lui vient d'inspiration,
il me l'a assuré. Ces clameurs sont énivrantes. (suivant dos yeux avec anima-
tion). Non, — si, — non, je vous demande pardon, — pas tant que
vous, — pif — paf. — La cloche, les pupitres, les talons de botte, les
couteaux à papier, tout cela fait un tumulte délirant. Ils en ont pour un
bon quart d'heure. Remarquez que c'est mon député, celui pour qui j'ai
voté qui rait le plus de bruit. J'ai un tact pour ces choses-la ! Eh bien,
monsieur je frémis quand je pense qu'on pourrait rendre calmes et froi-
des ces discussions si animées, si pleines de vie et d'entrain.
— Comment, vous avez un moyen et vous ne le dites pas?
LIC VOISIN. — Je m'en garderais. — Je veux bien cependant vous l'in-
diquer. Il consisterait à isoler les membres de l'opposition et à les répar-
tir dans toute la salle.
— Vous plaisantez?
LE votsfx. — Pas le moins du monde. Supposez que dan»un dîner, on
réunisse au bout de la table tous les convives d'un caractère vif et animé,
au bout de cinq minutes, on ne s'entendra plus dans la salle ; ce sera un
feu roulant de rires et de plaisanteries. — Séparez, au contraire, ces
mêmes convives et le silence se rétablira tout-à-coup.
— Vous avez de singulières idées. La séance est suspendue pendant
dix minutes. Sont-ils heureux, les députés, de pouvoir changer un peu
de place.
LE VOISIN. — Ne m'en parlez pas ! Vous savez que j'ai toujours les ge-
noux de ce monsieur dans le dos ? Enfin 1 c'est une admirable séance, et
d'un intérêt capital. Rarement on a fait autant de bruit. — Avez-vous re-
marqué, quand il s'est levé au milieu du tumulte, et qu'en étendant le
bras, il s'est écrié : Jamais. Quel geste, quelle énergie! L'art oratoire est
une belle chose !
— Oui, sans doute, mais son adversaire lui a répondu d'une façon...
diablement verte. Avez-vous entendu lorsqu'il a dit ensuite : C'est tou-
jours, qu'il faut dire, oui, toujours. En disant cela il avait les bras croi-
sés, l'œil en feu... Il était superbe ; ah ! dam, c'était une réplique diable-
ment verte !
LE VOISIN. — Oui, furieusement verte. Eh bien! à sa place, savez-
vous ce que j'aurais répondu? Non pas que je veuille dire qu'il n'a pas
de talent, il en a énormément. Il a tout pour lui : le geste, le port — il
a un port magnifique — la chevelure.., tout enfin, vous voyez que je suis
impartial ; mais à sa place, j'aurais répondu, en frappant sur le bureau :
Petit-êlre , monsieur , ■peut-être ! au lieu de toujours. Vous sentez :
peut-être était plus mordant, plus incisif. Petil-('!Iï,e ! C'était faire appel
d'une façon détournée à tout son passé politique. Néanmoins, toujours est
une belle parole.
(se retournant.) Pour l'amour du bon Dieu, monsieur, ne me mettez pas
vos genoux dans le dos, vous m'incommodez au dernier point.
— Si je vous incommode, j'en suis désolé ; mais où voulez-vous que je
place mes jambes ? Je ne peux pas les mettre sous la banquette ou dans
ma poche.
— Ce n'est pas moi qui m'en plainderais!
— Monsieur a le dos sensible ?
— Je l'ai fatigué, rien de plus.
— (A voix basse.) Il a le dos fatigué, c'est un commissionnaire.
— Vous dites ?
— Je ne dis rien.
LE VOISIN. — Chut ! chut! L'orateur reprend son discours. — Avez-
vous vu comme je l'ai remis à sa place cet animal qui m'enfonce ses ro-
tules dans le dos? Je commençais à m'échauffer. Pourquoi diable mon
beau père remue-t-il les mâchoires? — Je n'entends pas sa voix, lui qui
a un si bel organe! (Regardunt avec attention.) J'y suis il achève son petit
pain. Lorsque les séances sont un peu longues il est obligé de prendre
quelque chose. Tous mes parents du côté de ma femme sont ainsi. Des
estomacs d'une exigence surprenante.— Il y a des familles comme cela.
Les Bourbons, vous savez ? — fourchettes infatigables !
PLUSIEURS VOIX. — Chut 1 chut !
(Abaissant la voix..)- Vous vous demandez d 'où vient cette lueur jaunâtre
qui pénètre dans la salle déjà sombre ? Regardez au plafond, — on a
adopté ici le système des nouveaux théâtres, et, à un coup de sonnette, la
clarté du gaz remplace celle du jour.
— C'est fort ingénieux et d'un effet ravissant.
Vers cinq heures et demie le voisin regarde à sa montre.
— Diable 1 dit-il, je désirerais vivement la lin de la séance. Je demeure
fort loin et je n'ai pris que mon café au lait ce matin. Je me sens des
inquiétudes.
— Vous n'êtes pas le seul et la majorité s'agite terriblement en de.
mandant la clôture.
LE VOISIN. — Dans cette tribune, je me fais l'effet d'une sardine au
fond de sa boîte. — Enfin, la séance est levée! J'ai un besoin d'air!
Monsieur, charmé d'avoir fait votre connaissance. Mille pardons de passer
devant, mais je voudrais rejoindre mon beau-père. — Garçon, n° 87, —
un paletot, un cache-nez et une canne.
Y.
LE VRAI PATINAGE
Malgré sa latitude, il ne gèle pas plus en Angleterre qu'à Paris, peut-
être moins; il n'y a ni grands lacs, ni grands canaux, et à Londres, la
Serpentine de Hyde-Park n'est pas plus grande que le lac du^ bois de
Boulogne. Aussi le patinage n'est en Angleterre, comme ici, qu'un sport
momentané, et les Anglais s'appliquent exclusivement à faire le plus de
fioritures possibles. Leurs patins sont courts et convexes, ne dépassant
pas le bout du pied, à lame très-haute, arrondis au talon pour pouvoir
voiler avec facilité et dessiner sur la glace les paraphes les plus osés.
En Russie, et dans l'extrême nord, le patin est peu de mode grâce au
froid excessif et surtout grâce à la neige qui, pendant des mois entiers,
couvre les fleuves glacés aussi bien que les plaines. Le patinage n'y est
qu'un sport restreint aux pièces d'eau balayées avec soin. Le seul pati-
nage populaire se passe sur la neige glacée avec des patins en bois,
longs de trois pieds, qu'on chausse au milieu, — quelque chose comme
des podoscaphes en miniature. Cela rentre dans le Lapon et le Samoyède
et n'a rien à faire avec ce qui nous occupe.
En Hollande, seulement, on patine pour de bon; le patinage n'y est
pas un simple sport, mais bien un moyen de locomotion et de transport
même, comme le traînage en Russie.
Le pays est entièrement sillonné de canaux, les hivers y sont longs ou
plutôt il n'y dégèle pas au-dessus de zéro; en effet, les eaux de Hollande
sont saumâtres, presque salées, sans aucun courant, et quand elles gè-
lent ce n'est pas de quelques pouces seulement mais bien jusqu'au fond.
Je me rappelle qu'un cerlain hiver, M. Van der Hoop, le grand banquier
d'Amsterdam, paria de traverser l'Amstel, avec son phaéton attelé de ses
deux chevaux frisons, le jour de Pâques qui était assez avancé dans le
printemps cette année-là. Il gagna son pari, malgré le dégel commencé
depuis huit jours, en ayant de l'eau jusqu'au moyeu. — La mer aussi, en
Hollande est prise et bien prise. Rappelez-vous la flotte Hollandaise prise à
l'abordage par un escadron de hussards. Pour ma part j'ai bien souvent
traversé il patin l'Y qui est, s'il vous plaît, un bel et bon bras de mer.
Je suis même parti un jour avec quelques amis pour aller en Frise en
traversant sur la glace le ïuyderzee, lorsqu'arrivés au Texel, après avoir
traversé à patins toute la Nord-Hollande, nous avons été surpris par le
dégel et forcés de revenir à Amsterdam tout prosaïquement en dili-
gence.
Pendant presque tout l'hiver on vit en Hollande plus sur l'eau que sur'
la terre.
Une foule de constructions s'élèvent sur la glace : des boutiques, des
cafés, des restaurants, des baraques de bateleurs, des échoppes de
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