32 LA VIE PARISIENNE
trouv4 passablement trop court, je ne sais par suite de quel accident. ; personne,
du reste, ne s'en est plaint, hormis la charmante débutante qui le portait,
MUa Irma Marié.
— Les patineurs peuvent, depuis lundi, se livrer à leurs ébats sur les lacs
du bois .-Je Boulogne.
Parmi les plus ardents et les plus habiles, on remarque 1 Empereur et 1 Im-
pératrice. L'autre jour, sur le petit lac voisin de la cascade, l'Impératrice, pour
la première fois, a patiné seule, et, quand elle a accepté un soutien, c'était
l'épaule d'un charmant petit patineur en béret rouge, bien connu des habitués
du bois pour sa gentillesse, sa pétulance et son aptitude aux exercices du corps.
Sa Majesté a perdu deux fois l'équilibre. A la seconde de ces chutes, faites
avec autant de gaieté que de bonne grâce : « Il faut tout apprendre, aurait-elle
dit. même à bien tomber! » A côté de son costume habituel, tout noir, si
simple à la fois et si élégant, voltigeait familièrement un pardessus rcre garni
de fourrures, du plus étrange effet. Monsieur D 'A.
REVUE PARISIENNE
Les Prennes ont eu un moment brillant mais (ourt et déjà tout rentre dans
l'or-lre. De ce temps heureux et tant étendu, il ne reste plus guère de Ira ce.-z,
sinon quelques ml rceaux de jouets brisés et les indigestions de bonbons iné-
vitable s
Aux préoccupations de cadeaux et de complimfn's vont succéder les préoc-
cupations de toilettes et de rivalités mondaines. De tous < ôtés les acheteurs
préludent et bientôt nous aurons à enregistrer les succès de plus d'une belle
dame... et de sa couturière. En attendant, passons un peu en revue les choses
du jour.
Une erreur s'est glissée dans le dernier article de la mode concernant la
maison de M. Plisson. Sa maison, rue du Bac, porte le no 38 (t non le n° 6.
Puisqu'il est question de M. Plùson, j'ajoutfrai que la magnifique exposi-
lion de fleurs quil a faite dans la dernière semainp de dérerrbre lui a attiré
nombre d'élégantes visiteuses. Ses coffures seront très en vogue cet hiver.
Pour les retardataires, ja rappelle, en fait de cadeaux d'étrennes, les bou-
quets plus ou moins riches et lee vaporeux é crans de cette maison.
Une future marraine ire denuu de quelques renseignements sur une layette a
offrir. Je ne puis mieux recommander que la maison de blanc de Saint hocti
(près l'église Saint-Roch).
La variété des layeltes y est infinie. On peut aussi les commander d'avance.
Ce que je conseillerais toutefois pour l'avoir admirée à Saint-Roch, c'est la
layette de mille francs composée ainn qu'il suit :
48 couches de toile fine. — 6 langes piqués. — 2 garnis. — 4 langes molle-
ton de laine. — 6 laies d'oreiller en toile fine et g ruies. — 2 couvertures de
laine. — 1 couvre-pieds piqué à la wain. — 24 béguins batiste garnis pour
3 âges. — 18 piqués et earnis. — 12 bonnets de nuit assortis. — 12 bonnets
riches.— 24 chemises garnies, de 3 grandeurs.— 18 jolies bmsfières, de trois
grandeurs. — 16 bavoirs, riches. — 4 couvre-langes garnis. — 4 rubes longues
variées, 2 tabliers garnis. — 1 pelisse piquée garnie de bandes brodées. —
1 cappline en piqué. — 6 paires de chaussons en piqué et en fachemire. — Une
robe de baptême. — Une pelisse en cachemire piquée de taffetas b'anc. — Une
capeline en cachemire. — 1 bonnet de baptême tout dentelle.
Pendant qu'il est temps de causer encore un peu Prennes et à la veille de
songer beaucoup aux bals je dois rappeler que les éventails les plus élégants et
les plus fantaisistes sortent de la maison Landrau (27, passage Choiseul).
J en cite un entre autres qui me semble d'un goût très-artistique. C'est une
peinture excessivement jolie sur fond de taffetas noir.
Des bouquets de l1enMle blanche illustrent toit le tour de cet éventail bordé
blanc. La monture noire a fil-1 d'or est des mifux assorties.
C'est fantasque, oyigir al, comme il convient à tout entait bien t'lé, Mettz
celui-là dans de fines mains, finement gantées, cela deviendra l'éventail style
espagnol — le plus charmant, derrière lequel Andalouse ait jamais caché deux
beaux yeux.
Les écrans de la maison Landrau offrent aussi un grand choix ainsi que ses
meubles et sa céramique artistique.
JI'\ l'ai dit maintes fois, c'est un petit musée où tout véritable amateur re-
vi'ndra fouvent.
* *
Chacun songe aussi à son rajeunissement, tout comme à sa beauté, à cette
heure de bals et de fêtes.
L'Eau. de la Floride est très-recherchée, et c'est à peine si M. Guislain
peut suffire à toutes les commandes adressées rue Richelieu.
Aujourd'hui les têtes grises sont une exception, dans le monde, où l'on ne
voit plus que des cheveux bruns, blonds et quelquefois... roux. Dernièrement,
une dame de province s'extasiait, a. ce sujet, en faisant, à son cavalier, la re-
marque que l'on ne vieillissait pas à Paris.
— Cependant, dit ce dernier, il me semble que Mme X, qui nous fait vis-à-
vis, est d'un extérieur déjà respfctable.
— Sans doule... à bien regarder, répondit la dame ingénue, mais avec sa
figure fatiguée, il y a dix ans que les femmes de mon pays seraient grises.
Cette étrangère ignore à coup sûr le secret de l'eau de la Floride. Cepen-
dant, pour la dame aux cheveux teints, il y a une remarque contrariante à faire
c'est qu'une chevelure éternellement jeune ne suffit pas toujours à masq-er les
injures du temps.
Reconnaissons toutefois qu'elle y contribue.
Le choix deq rubans et des passementeries devient de plus en plus grave,
car les robes arrivent à une splendeur d'ornements désespérante pour beau-
coup de femmes.
En revanche les vraies élégantes n'ont rien ri regretter. Le goût de nos
couturières françaises est sûr de même que celui des maisons spéciales qui
livrent toutes ces nouveautés fantaisistes.
Entre toutes ces maisons, hl Châtelaine (34, rue du Bac) est la plus re-
nommée. Là se trouvent les fil bans aux nuances les mieux adoptées et les
ornements les plus ingénieux en passementerie et en jais. On y remarque aussi
les mille fantaisies si indispensables à une femme telles que résilles, coif-
fures, bijoux, voilettes, ceintures, etc. Chacun de ces objets off'ent ce cachet
si particulier aux femmes du monde et que les prétentieuses et fausses élé-
gantes n'arriveront jamais à imiter où à copier entièrement.
Du reste un mot suffirait pour catégoriser la Châtelaine; c'est la maison
de mercerie adoptée par les dames du faubourg Saint-Germain et du faubourg
Saint-Honoré. '
*
* *
Un accident arrivé ces jours derniers, dans un de nos théâtres de genre, m'en-
gage à inviter de nouveau les femmes à porter sur elles un petit flacon d'eau
de*mélisse des Carmes. Que l'on ne rie pas à cette recommandation vraiment
sage. On peut très-bien dissimuler un flacon dans les profondeurs d'une poche
invisible, et l'on évite ainsi de s'évanouir tout-à-fait en public; ce qui n'est
pas commode.
La dame, dont je veux parler, était sans doute un peu trop impressionnable,
car les morceaux de la comédie l'avaient incommodés dans un temps où le
public Fe cuirasse passablement devant toutes les élucubrations modernes. Heu-
reusement quelqu'un de ses voisins tendit un flacon d'eau de mélisse des
Carmes — de la vraie — celle de M. Boyer de la rue de Taranne, et la belle
évanouie reprit aussitôt ses sens et se trouva calmée comme par enchantement.
On dit que le bon office rendu a rapproché fortuitement un jeune s ou s-pré f,.t
et une riche et jolie veuve. Si cela menait, par exemple, jusqu'à un mariage,
on pourrait ajouter une nouvelle vertu à toutes celles déjà tant réputées de la
fameuse eau de mélisse... Je me tais prudemment ici à cause des agents ma-
trimoniaux qui pourraient lui intenter un procès. Jeanne d'E.
Sommaire dit numéro dqu 9 janvier.
•
Ma femme va au bal, par Z., dessins par E. Morin.
Lp. parfait cuisinier dramatique, recette pour faire une comédie
pour le Théâtre-Français, texte et dessins par Eustache Lorsay.
Devant un album, à propos du journal l'Autogral)he, par Edouard Siebreker
Les Rois, dessins par Hadol.
Les Cartes de visite, par H. de Hem.
Entretiens du moment, par Henri Maret.
Le jour de l'an à Rome, par F. d'A.
Le patinage, texte et dessins par Crafty.
Un chenil, par Crafty, dessins par Edouard Morin.
La semaine, par monsieur d'A.
Gravures de GILLOT, 15, Faubourg Saint-Martîh. Paris.- Typ. VALLÉE. 15, rue Breda.
trouv4 passablement trop court, je ne sais par suite de quel accident. ; personne,
du reste, ne s'en est plaint, hormis la charmante débutante qui le portait,
MUa Irma Marié.
— Les patineurs peuvent, depuis lundi, se livrer à leurs ébats sur les lacs
du bois .-Je Boulogne.
Parmi les plus ardents et les plus habiles, on remarque 1 Empereur et 1 Im-
pératrice. L'autre jour, sur le petit lac voisin de la cascade, l'Impératrice, pour
la première fois, a patiné seule, et, quand elle a accepté un soutien, c'était
l'épaule d'un charmant petit patineur en béret rouge, bien connu des habitués
du bois pour sa gentillesse, sa pétulance et son aptitude aux exercices du corps.
Sa Majesté a perdu deux fois l'équilibre. A la seconde de ces chutes, faites
avec autant de gaieté que de bonne grâce : « Il faut tout apprendre, aurait-elle
dit. même à bien tomber! » A côté de son costume habituel, tout noir, si
simple à la fois et si élégant, voltigeait familièrement un pardessus rcre garni
de fourrures, du plus étrange effet. Monsieur D 'A.
REVUE PARISIENNE
Les Prennes ont eu un moment brillant mais (ourt et déjà tout rentre dans
l'or-lre. De ce temps heureux et tant étendu, il ne reste plus guère de Ira ce.-z,
sinon quelques ml rceaux de jouets brisés et les indigestions de bonbons iné-
vitable s
Aux préoccupations de cadeaux et de complimfn's vont succéder les préoc-
cupations de toilettes et de rivalités mondaines. De tous < ôtés les acheteurs
préludent et bientôt nous aurons à enregistrer les succès de plus d'une belle
dame... et de sa couturière. En attendant, passons un peu en revue les choses
du jour.
Une erreur s'est glissée dans le dernier article de la mode concernant la
maison de M. Plisson. Sa maison, rue du Bac, porte le no 38 (t non le n° 6.
Puisqu'il est question de M. Plùson, j'ajoutfrai que la magnifique exposi-
lion de fleurs quil a faite dans la dernière semainp de dérerrbre lui a attiré
nombre d'élégantes visiteuses. Ses coffures seront très en vogue cet hiver.
Pour les retardataires, ja rappelle, en fait de cadeaux d'étrennes, les bou-
quets plus ou moins riches et lee vaporeux é crans de cette maison.
Une future marraine ire denuu de quelques renseignements sur une layette a
offrir. Je ne puis mieux recommander que la maison de blanc de Saint hocti
(près l'église Saint-Roch).
La variété des layeltes y est infinie. On peut aussi les commander d'avance.
Ce que je conseillerais toutefois pour l'avoir admirée à Saint-Roch, c'est la
layette de mille francs composée ainn qu'il suit :
48 couches de toile fine. — 6 langes piqués. — 2 garnis. — 4 langes molle-
ton de laine. — 6 laies d'oreiller en toile fine et g ruies. — 2 couvertures de
laine. — 1 couvre-pieds piqué à la wain. — 24 béguins batiste garnis pour
3 âges. — 18 piqués et earnis. — 12 bonnets de nuit assortis. — 12 bonnets
riches.— 24 chemises garnies, de 3 grandeurs.— 18 jolies bmsfières, de trois
grandeurs. — 16 bavoirs, riches. — 4 couvre-langes garnis. — 4 rubes longues
variées, 2 tabliers garnis. — 1 pelisse piquée garnie de bandes brodées. —
1 cappline en piqué. — 6 paires de chaussons en piqué et en fachemire. — Une
robe de baptême. — Une pelisse en cachemire piquée de taffetas b'anc. — Une
capeline en cachemire. — 1 bonnet de baptême tout dentelle.
Pendant qu'il est temps de causer encore un peu Prennes et à la veille de
songer beaucoup aux bals je dois rappeler que les éventails les plus élégants et
les plus fantaisistes sortent de la maison Landrau (27, passage Choiseul).
J en cite un entre autres qui me semble d'un goût très-artistique. C'est une
peinture excessivement jolie sur fond de taffetas noir.
Des bouquets de l1enMle blanche illustrent toit le tour de cet éventail bordé
blanc. La monture noire a fil-1 d'or est des mifux assorties.
C'est fantasque, oyigir al, comme il convient à tout entait bien t'lé, Mettz
celui-là dans de fines mains, finement gantées, cela deviendra l'éventail style
espagnol — le plus charmant, derrière lequel Andalouse ait jamais caché deux
beaux yeux.
Les écrans de la maison Landrau offrent aussi un grand choix ainsi que ses
meubles et sa céramique artistique.
JI'\ l'ai dit maintes fois, c'est un petit musée où tout véritable amateur re-
vi'ndra fouvent.
* *
Chacun songe aussi à son rajeunissement, tout comme à sa beauté, à cette
heure de bals et de fêtes.
L'Eau. de la Floride est très-recherchée, et c'est à peine si M. Guislain
peut suffire à toutes les commandes adressées rue Richelieu.
Aujourd'hui les têtes grises sont une exception, dans le monde, où l'on ne
voit plus que des cheveux bruns, blonds et quelquefois... roux. Dernièrement,
une dame de province s'extasiait, a. ce sujet, en faisant, à son cavalier, la re-
marque que l'on ne vieillissait pas à Paris.
— Cependant, dit ce dernier, il me semble que Mme X, qui nous fait vis-à-
vis, est d'un extérieur déjà respfctable.
— Sans doule... à bien regarder, répondit la dame ingénue, mais avec sa
figure fatiguée, il y a dix ans que les femmes de mon pays seraient grises.
Cette étrangère ignore à coup sûr le secret de l'eau de la Floride. Cepen-
dant, pour la dame aux cheveux teints, il y a une remarque contrariante à faire
c'est qu'une chevelure éternellement jeune ne suffit pas toujours à masq-er les
injures du temps.
Reconnaissons toutefois qu'elle y contribue.
Le choix deq rubans et des passementeries devient de plus en plus grave,
car les robes arrivent à une splendeur d'ornements désespérante pour beau-
coup de femmes.
En revanche les vraies élégantes n'ont rien ri regretter. Le goût de nos
couturières françaises est sûr de même que celui des maisons spéciales qui
livrent toutes ces nouveautés fantaisistes.
Entre toutes ces maisons, hl Châtelaine (34, rue du Bac) est la plus re-
nommée. Là se trouvent les fil bans aux nuances les mieux adoptées et les
ornements les plus ingénieux en passementerie et en jais. On y remarque aussi
les mille fantaisies si indispensables à une femme telles que résilles, coif-
fures, bijoux, voilettes, ceintures, etc. Chacun de ces objets off'ent ce cachet
si particulier aux femmes du monde et que les prétentieuses et fausses élé-
gantes n'arriveront jamais à imiter où à copier entièrement.
Du reste un mot suffirait pour catégoriser la Châtelaine; c'est la maison
de mercerie adoptée par les dames du faubourg Saint-Germain et du faubourg
Saint-Honoré. '
*
* *
Un accident arrivé ces jours derniers, dans un de nos théâtres de genre, m'en-
gage à inviter de nouveau les femmes à porter sur elles un petit flacon d'eau
de*mélisse des Carmes. Que l'on ne rie pas à cette recommandation vraiment
sage. On peut très-bien dissimuler un flacon dans les profondeurs d'une poche
invisible, et l'on évite ainsi de s'évanouir tout-à-fait en public; ce qui n'est
pas commode.
La dame, dont je veux parler, était sans doute un peu trop impressionnable,
car les morceaux de la comédie l'avaient incommodés dans un temps où le
public Fe cuirasse passablement devant toutes les élucubrations modernes. Heu-
reusement quelqu'un de ses voisins tendit un flacon d'eau de mélisse des
Carmes — de la vraie — celle de M. Boyer de la rue de Taranne, et la belle
évanouie reprit aussitôt ses sens et se trouva calmée comme par enchantement.
On dit que le bon office rendu a rapproché fortuitement un jeune s ou s-pré f,.t
et une riche et jolie veuve. Si cela menait, par exemple, jusqu'à un mariage,
on pourrait ajouter une nouvelle vertu à toutes celles déjà tant réputées de la
fameuse eau de mélisse... Je me tais prudemment ici à cause des agents ma-
trimoniaux qui pourraient lui intenter un procès. Jeanne d'E.
Sommaire dit numéro dqu 9 janvier.
•
Ma femme va au bal, par Z., dessins par E. Morin.
Lp. parfait cuisinier dramatique, recette pour faire une comédie
pour le Théâtre-Français, texte et dessins par Eustache Lorsay.
Devant un album, à propos du journal l'Autogral)he, par Edouard Siebreker
Les Rois, dessins par Hadol.
Les Cartes de visite, par H. de Hem.
Entretiens du moment, par Henri Maret.
Le jour de l'an à Rome, par F. d'A.
Le patinage, texte et dessins par Crafty.
Un chenil, par Crafty, dessins par Edouard Morin.
La semaine, par monsieur d'A.
Gravures de GILLOT, 15, Faubourg Saint-Martîh. Paris.- Typ. VALLÉE. 15, rue Breda.
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