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LA VIE PARISIENNE
11 juin 1 S(j!1,
—- Une mine d'or ! Tenez, cher confrère, que
dites-vous de cela?
— Gela ! C'est une, crevette
—Hein! Qu'en ditcs-\uus! Est-ce un sujet celaI
— Plu it-i l '!
— Los Pêcheurs de crevetles! "Voilà, un
litre! Voyez-vous d'ici les épaules nues, les
jupes relevées, la danse aux [lambeaux.—Qu'en
dites-vous ?
— M Oh pardon, mais voici le directeur,
et, j'ai un mot il lui dire.
m IJIHEt:TEun (reconduisant, une petite actrice).—
C'est dit, mon enfant, je vous cubage pour un
an, 100 francs par mois, vous vous habillerez,
mais vous me direz des nouvelles de mon or-
p.hestre avant ou'u soit un an. - Tous bour-
— Mui, j'ai des nmrmts qui m'habillent!...
— Je croyais lo contraire....
siers ! venez m'embraser. —- Tenez, voici Paul, un de nos auteurs,
demandez-lui un rôle et embrassez-le.
— Mais, certes, mademoiselle, avec grand plaisir. (Tl l'embrasse).
Non loin de L't, une discussion :
LE nÍ<:¡¡¡SSEU\. — Vous entrez.
— Oh! mais non !
D'abord vous aurez cinq francs d'amende et puis vous en trez.
~ Non! non! Ah! vous croyez que je laisserai donner ma robe
bleue à Pauline pour en mettre une rose toute passée.
— Qu'est-ce que vous dites de Pa uline, ma-
demoiselle ? Croyez-vous que j'aie besoin
de vos nippes ? — Mais j'ai des amants qui
m'habillent, moi, mademoiselle.
Vraiment! J'aurais cru le contraire.
Plait-il?... insolente! Son costume!
Mais j'y danserais dans votre robe.
— Tu es assez maigre pour ça.
— T o u 11 e m o n d e n e s t p a s 1 a p o r t e S t-D e n i s.
Le directeur veut mettre le holà ! Mlle Pau-
line saute à la figure de son ennemie et lui
griffe la joue. Trouvement mal, brouhaha gé-
nÓral. En ce moment entre le critique !
Eh bien, qu'est-ce? on se bat, ici?... Et
des daines encore ! Est-ce je serais la cause
involontaire ?...
— Gomme tu nous fais mal !
— P inchinette !
— Eh bien! quoi? Vous voyez bien que je
n'ai pas peur de vous. Je suis votre abonm'c, moi!
— Toujours méchante... Tiens, voila notre
Photo. L'mni Photo ! m'apportez-vous mes
cartes, mon petit Photo ?
— Et à moi ! Et à moi !— Un petit monsieur
qui venait d'entrer est immédiatement envahi.
— Il fouille dans la poche droite, de son pa-
letot, eu tire un petit paquet pour I)iii(.Iiiiiette ;
de la poche gauche, il en tire un autre, pour le
premier sujet, puis d'autres pour celui-ci, pour
celle-ci; on dirait Hubert Houdin et sa bou-
teille inépuisable !
— Vous savez, mesdames, que. je vous attends
demain dans le costume (lo la nouvelle, pièce.
— Ah bah ! Et vous nous apportez six cartes ? Vous êtes unlpin-
gre mon bon. l'irai chez Nadar.
— Dans la lune ?
LE r)IIIEC'£EUII. — Ah ! dites-donc, régisseur !
— Monsieur. ? <
— Vous savez qu'on entend le cri d un a ne il la scène 3 ?
— Oui, monsieur.
— Qu'est-ce qui braira... vous?
— Moi, monsieur? — Je ne sais pas faire l'ane.
Les trois coups.
— Comment, vous ne savez pas taire
l'âne? Qui m'a donné un régisseur e0ll11l10
ca? Vous ferez l'ilne, entendez-vous, mon-
sieur, ou YOLlsne pouvez pas être régisseur.
— Mon Dieu, monsieur, je ferai de mon
mieux.
— Etudiez, parbleu vous avez trois scènes.
En scène ! Un commence !
CIiaque femme passe devant la glace,
donne un dernier coup d'œil au costume,
fait son ballon, replace son mullet; celle-ci
allonge un œil avec un petit pinceau, celle-là
marque un signe avec un crayon de nitrate,
l'une se fait un sourire, l'autre essaie un
rond (lo jambe.
Chacun vole il son poste, le foyer est désert.
AI/OUSTE M.
L'INSTITUT SE GRATTE
DERNIÈRES RÉFLEXION S A I'R Ol'OS DU SALON J) E 186 I.
Les plumes les mieux taillées auront beau discuter sur le beau
absolu, causer pompeusement sur les suavités immenses du sublime,
se lancer il corps perdu dans les puretés les plus idéales de l'esthé-
tique, se perdre dans d'ineffables reverics devant 1 'Ot','(Iipe de M • Mo-
reau, ou étaler à l'occasion (les lavis blafards de M. Puvis de Cha-
vannes les plus magistrales dissertations, le public n 'en restera pas
moins fort indifférent à toutes ces questions. Le public (et j'entends
par là tous IcsFrancais qui ne sont ni peintres ni journalistes) n'a plus
le temps d'aller chercher au fond d'une œuvre des beautés idéales;
l'extase n'est plus son fait, les grands élans artistiques de l esprit sont
passés de mode depuis longtemps. — Il est presse, le public, et il veut
qu'on l'amuse ou qu on le touche vite. Son coupé attend a la porte.
il veut des œuvres en rapport avec ses goûts, son genre de vie et la
tournure de ses idées, pas trop grandes, faciles à comprendre, spiri-
tuelles autant que posible un grain de sel ne gàte rien.
Il ne reculera pas cependant devant un tableau historique, mais à
condition que M. G y aura mis son spirituel coup de pouce
et aura mis la chose dans des données gentilles, aimables, qu 'il aura
transposé, pour piano, de sa fine plume, qui court si vite sur son
petit papier satiné.
Les grands prêtres du profond dans l'immense et tous les enfants
de chœur de ces messieurs se rongent les poignets en criant que le
public, est idiot. Ils ont grand tort pour deux raisons : premièrement
parce qu'ils insultent quelqu'un dont ils ne peuvent pas se passer, et
secondement parce que le public n'est pas idiot le moins du monde.
N'est-il pas tout naturel, en effet, que des gens en train de faire leur
fortune, vivant, aimant, pensant au galop, ayant toujours dans les
(I) Pour s'en convaincre, passer devant la façade, qu une dizaine d ouviiers
grattent et regrattent à tour de bras.
Au bout du pont des Arts, rive gauche.
oreilles le si filet dos locomotives et dans l'esprit une, quinzaine do
multiplications en voie d'exécution, ne demandent aux arts que de
rapides et faciles distractions? Le public a les idées qu'il doit avoir et
les arts sont ce qu'ils doivent être. Les esprits qui ne sont pas de
leur temps rêvent un passé qui n'est plus ou un avenir qui ne sera
peut-être jamais et veulent lutter contre le torrent de la fantaisie qui
envahit, manquent seuls de logique; aussi les voyez-vous ne pro-
duire que des œuvres plates et banales ou étrangement maladives.
On ne saurait éluder cette grande vérité que l'histoire constate :
chaque époque a eu une sculpture, une peinture et une architecture
parfaitement en harmonie avec son caractère, et il en sera de même
éternellement.
La Renaissance, Louis XIV, Louis XV, Napoléon 1er ont eu de
grands artistes parce qu'il y avait alors un public sympathique il leur
<>énie. Ces grands artistes ont été la conséquence du milieu dans le-
quel ils vivaient, et c'est parce qu ils étaient 1 expression même du
goût et des tendances de leur époque qu ils ont été grands. En sorte
qu'on pourrait dire que c'est le public qui fait lui-même ses tableaux,
ses monuments et ses statues.
En dehors de cette grande voie, il n'y a que tentatives impuis-
santes, efforts vains, respectables à coup sÙr, puisqu'ils représentent
do grands labeurs, mais dont le succès artificiel, factice, ne dépassera
pas les limites d'un petit cercle de discoureurs avides d'etrangetés
et friands de paradoxes.
Quoi qu'on dise et quoi qu'on fasse, le sentiment artistique que
l'on retrouve dans les catacombes, les pures beautés de la sculpture
antique, les splendeurs de la Renaissance ne sauraient de nos jours
exciter un enthousiasme sincère et national. On entourera d un res-
pect archéologique mérité ces précieuses reliques des siècles passés,
mais rien de plus, et l'idée singulière de placer au milieu de nos vil-
LA VIE PARISIENNE
11 juin 1 S(j!1,
—- Une mine d'or ! Tenez, cher confrère, que
dites-vous de cela?
— Gela ! C'est une, crevette
—Hein! Qu'en ditcs-\uus! Est-ce un sujet celaI
— Plu it-i l '!
— Los Pêcheurs de crevetles! "Voilà, un
litre! Voyez-vous d'ici les épaules nues, les
jupes relevées, la danse aux [lambeaux.—Qu'en
dites-vous ?
— M Oh pardon, mais voici le directeur,
et, j'ai un mot il lui dire.
m IJIHEt:TEun (reconduisant, une petite actrice).—
C'est dit, mon enfant, je vous cubage pour un
an, 100 francs par mois, vous vous habillerez,
mais vous me direz des nouvelles de mon or-
p.hestre avant ou'u soit un an. - Tous bour-
— Mui, j'ai des nmrmts qui m'habillent!...
— Je croyais lo contraire....
siers ! venez m'embraser. —- Tenez, voici Paul, un de nos auteurs,
demandez-lui un rôle et embrassez-le.
— Mais, certes, mademoiselle, avec grand plaisir. (Tl l'embrasse).
Non loin de L't, une discussion :
LE nÍ<:¡¡¡SSEU\. — Vous entrez.
— Oh! mais non !
D'abord vous aurez cinq francs d'amende et puis vous en trez.
~ Non! non! Ah! vous croyez que je laisserai donner ma robe
bleue à Pauline pour en mettre une rose toute passée.
— Qu'est-ce que vous dites de Pa uline, ma-
demoiselle ? Croyez-vous que j'aie besoin
de vos nippes ? — Mais j'ai des amants qui
m'habillent, moi, mademoiselle.
Vraiment! J'aurais cru le contraire.
Plait-il?... insolente! Son costume!
Mais j'y danserais dans votre robe.
— Tu es assez maigre pour ça.
— T o u 11 e m o n d e n e s t p a s 1 a p o r t e S t-D e n i s.
Le directeur veut mettre le holà ! Mlle Pau-
line saute à la figure de son ennemie et lui
griffe la joue. Trouvement mal, brouhaha gé-
nÓral. En ce moment entre le critique !
Eh bien, qu'est-ce? on se bat, ici?... Et
des daines encore ! Est-ce je serais la cause
involontaire ?...
— Gomme tu nous fais mal !
— P inchinette !
— Eh bien! quoi? Vous voyez bien que je
n'ai pas peur de vous. Je suis votre abonm'c, moi!
— Toujours méchante... Tiens, voila notre
Photo. L'mni Photo ! m'apportez-vous mes
cartes, mon petit Photo ?
— Et à moi ! Et à moi !— Un petit monsieur
qui venait d'entrer est immédiatement envahi.
— Il fouille dans la poche droite, de son pa-
letot, eu tire un petit paquet pour I)iii(.Iiiiiette ;
de la poche gauche, il en tire un autre, pour le
premier sujet, puis d'autres pour celui-ci, pour
celle-ci; on dirait Hubert Houdin et sa bou-
teille inépuisable !
— Vous savez, mesdames, que. je vous attends
demain dans le costume (lo la nouvelle, pièce.
— Ah bah ! Et vous nous apportez six cartes ? Vous êtes unlpin-
gre mon bon. l'irai chez Nadar.
— Dans la lune ?
LE r)IIIEC'£EUII. — Ah ! dites-donc, régisseur !
— Monsieur. ? <
— Vous savez qu'on entend le cri d un a ne il la scène 3 ?
— Oui, monsieur.
— Qu'est-ce qui braira... vous?
— Moi, monsieur? — Je ne sais pas faire l'ane.
Les trois coups.
— Comment, vous ne savez pas taire
l'âne? Qui m'a donné un régisseur e0ll11l10
ca? Vous ferez l'ilne, entendez-vous, mon-
sieur, ou YOLlsne pouvez pas être régisseur.
— Mon Dieu, monsieur, je ferai de mon
mieux.
— Etudiez, parbleu vous avez trois scènes.
En scène ! Un commence !
CIiaque femme passe devant la glace,
donne un dernier coup d'œil au costume,
fait son ballon, replace son mullet; celle-ci
allonge un œil avec un petit pinceau, celle-là
marque un signe avec un crayon de nitrate,
l'une se fait un sourire, l'autre essaie un
rond (lo jambe.
Chacun vole il son poste, le foyer est désert.
AI/OUSTE M.
L'INSTITUT SE GRATTE
DERNIÈRES RÉFLEXION S A I'R Ol'OS DU SALON J) E 186 I.
Les plumes les mieux taillées auront beau discuter sur le beau
absolu, causer pompeusement sur les suavités immenses du sublime,
se lancer il corps perdu dans les puretés les plus idéales de l'esthé-
tique, se perdre dans d'ineffables reverics devant 1 'Ot','(Iipe de M • Mo-
reau, ou étaler à l'occasion (les lavis blafards de M. Puvis de Cha-
vannes les plus magistrales dissertations, le public n 'en restera pas
moins fort indifférent à toutes ces questions. Le public (et j'entends
par là tous IcsFrancais qui ne sont ni peintres ni journalistes) n'a plus
le temps d'aller chercher au fond d'une œuvre des beautés idéales;
l'extase n'est plus son fait, les grands élans artistiques de l esprit sont
passés de mode depuis longtemps. — Il est presse, le public, et il veut
qu'on l'amuse ou qu on le touche vite. Son coupé attend a la porte.
il veut des œuvres en rapport avec ses goûts, son genre de vie et la
tournure de ses idées, pas trop grandes, faciles à comprendre, spiri-
tuelles autant que posible un grain de sel ne gàte rien.
Il ne reculera pas cependant devant un tableau historique, mais à
condition que M. G y aura mis son spirituel coup de pouce
et aura mis la chose dans des données gentilles, aimables, qu 'il aura
transposé, pour piano, de sa fine plume, qui court si vite sur son
petit papier satiné.
Les grands prêtres du profond dans l'immense et tous les enfants
de chœur de ces messieurs se rongent les poignets en criant que le
public, est idiot. Ils ont grand tort pour deux raisons : premièrement
parce qu'ils insultent quelqu'un dont ils ne peuvent pas se passer, et
secondement parce que le public n'est pas idiot le moins du monde.
N'est-il pas tout naturel, en effet, que des gens en train de faire leur
fortune, vivant, aimant, pensant au galop, ayant toujours dans les
(I) Pour s'en convaincre, passer devant la façade, qu une dizaine d ouviiers
grattent et regrattent à tour de bras.
Au bout du pont des Arts, rive gauche.
oreilles le si filet dos locomotives et dans l'esprit une, quinzaine do
multiplications en voie d'exécution, ne demandent aux arts que de
rapides et faciles distractions? Le public a les idées qu'il doit avoir et
les arts sont ce qu'ils doivent être. Les esprits qui ne sont pas de
leur temps rêvent un passé qui n'est plus ou un avenir qui ne sera
peut-être jamais et veulent lutter contre le torrent de la fantaisie qui
envahit, manquent seuls de logique; aussi les voyez-vous ne pro-
duire que des œuvres plates et banales ou étrangement maladives.
On ne saurait éluder cette grande vérité que l'histoire constate :
chaque époque a eu une sculpture, une peinture et une architecture
parfaitement en harmonie avec son caractère, et il en sera de même
éternellement.
La Renaissance, Louis XIV, Louis XV, Napoléon 1er ont eu de
grands artistes parce qu'il y avait alors un public sympathique il leur
<>énie. Ces grands artistes ont été la conséquence du milieu dans le-
quel ils vivaient, et c'est parce qu ils étaient 1 expression même du
goût et des tendances de leur époque qu ils ont été grands. En sorte
qu'on pourrait dire que c'est le public qui fait lui-même ses tableaux,
ses monuments et ses statues.
En dehors de cette grande voie, il n'y a que tentatives impuis-
santes, efforts vains, respectables à coup sÙr, puisqu'ils représentent
do grands labeurs, mais dont le succès artificiel, factice, ne dépassera
pas les limites d'un petit cercle de discoureurs avides d'etrangetés
et friands de paradoxes.
Quoi qu'on dise et quoi qu'on fasse, le sentiment artistique que
l'on retrouve dans les catacombes, les pures beautés de la sculpture
antique, les splendeurs de la Renaissance ne sauraient de nos jours
exciter un enthousiasme sincère et national. On entourera d un res-
pect archéologique mérité ces précieuses reliques des siècles passés,
mais rien de plus, et l'idée singulière de placer au milieu de nos vil-
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