Titre : La Vie parisienne : moeurs élégantes, choses du jour, fantaisies, voyages, théâtres, musique, modes / par Marcellin
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1864
Contributeur : Marcelin, Émile (1825-1887). Fondateur de la publication. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328892561
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 1864 1864
Description : 1864 (A2,N1)- (A2,N25). 1864 (A2,N1)- (A2,N25).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1256583w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LC13-81
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/06/2016
LA VIE PARISIENNE 277
leurs ce sont tous des objets donnés et le prix intégral revient à la
caisse de l'Œuvre. Qu'importe alors! De plus, et avant tout, elles veu-
lent vendre plus que leurs voisines. J'en ai vu, dans l'embarras,
se laisser baiser la main pour un louis. Une autre mettait la
même marchandise à l'encan! — Honni soit qui mal y pense; la cha-
rité purifie tout. — Souvent aussi une véritable concurrence s'établit
entre marchandes de la même partie, si bien qu'on peut quelquefois
faire de bonnes affaires. J'ai connu un homme fort rangé qui ache-
tait ses étrennes de premier de l'an aux ventes de charité qui avaient
lieu au mois de décembre, avant la rentrée. Il prétendait s'en
trouver mieux pour sa bourse, et c'étaient deux polilesses pour une;
et puis, un objet, acheté à une vente de ce genre, fait. ti,ès-biei ; on
est censé l'avoir payé le triple de sa valeur. Cependant, la meilleure
et la plus agréab'e manière de se tirer à bon marché d'une vente
de charité, est d aller s'adresser aux jolies mwhrmdes de baisers sur la
main: avec cinq baisers il un louis, on se fait plus d'honneur qu'avec
vingt-cinq louis de bibelots de pacotille. Ce n'est pas tout de les
acheter, il faut encore les emporter, ces rossignols !
Au milieu de ces deux premiers salons, se promènent celles qui
n ont pu obtenir de boutiques, un éventaire passé autour du col,
garni de petits objets de verre fi lé ou autres, ou de boutons de roses
dont elles fleurissent les boutonnières pour cent sols; - ce n'est vrai-
ment pas cher : le prix d un cigare. La jeune lady Titania Drum-
borough colporte un de ces tambours de fer-blanc pour faire tirer des
plaisirs, et pousse son cri : « Via l' plaisir, mesdames, v'la l' plaisir 1 »
comme une vraie marchande des Champs-Élysées.
« rs'est-ce pas, me dit-elle en me proposant une partie, que je suis
assez... chic » ?
Pdrdon, — mais je cite. Les jeunes personnes anglaises parlent
assez généralement, dans le monde, à Londres, une forte d argot an-
glais appelé slang, et s'imaginent pouvoir en faire autant en français;
elles croient naïvement que rien n'est de meilleur ion.
Dans le dernier salon se trouvent les objets qui, par leur valeur —
ou leur origine, — ont un prix excepfiounel. Ceux-là ne sont pas
vendus, mais sont mis en loterie. Une dame garde l'entrée et offre
des billets.
A sept heures, lors de la fin de la vente, c'est le jeune fils du
Prince de X..., de six ans à peine, vêtu en Amour, qui a tiré les lots
gagnants.
Comme toujours, le gros lot, un service en vermeil, est échu au
banquier Slifhausen, auquel sa grande fortune avait permis de ne
prendre qu'un seul billet! De sa part, cela ne pouvait passer pour de
l'avarice.
Et l'on s'en alla comme on était venu, salué majestueusement par
le suisse bavarois, la bourse plus légère, mais une charité de plus à
son avoir.
Ce sont les pauvres qui profitent, en dernier lieu, de toutes ces
fêtes de la richesse et de l'élégance. Donc, vendez, vendez, mesdames,
et quand vous ne pourrez pas vendre, dansez pour les pauvres. Ache-
teurs ou valseurs, nous sommes toujours et tout à vous.
CHRISTOPHE.
MENUS CONSEILS
AUX ORATEURS QUI MANQUENT DE FACILITÉ
ne es choses les plus importantes à obtenir est sans contredit la
gravité du visage. Vous seriez sourd et muet, qu'avec une tête con-
venable, vous n'avez rien à craindre. Étudiez dans votre glace l'ex-
pression e vos traits et tachez d'utiliser jusqu'à votre laideur. Regar-
dez-vous le plus longtemps possible, avec la ferme volonté de ne pas,
rire. Interpellez-vous avec violence, menacez-vous du doigt, et con-
servez dans tous ces exercices de la tenue et de la dignité.
Si vous avez l'œil creux et le coin des bouches tombants, consi-
dérez-vous comme favorisé Négligez avec soin votre coiffure, et habi-
tuez-vous à mettre, sans affectation, votre main dans votre gilet. Le
sérieux est une clef d'or qui ouvre toutes les portes dans la position
où vous êtes et supplée à tout.
Que celte pensée vous soutienne dans vos moments de défaillance.
Je suppose que vous vous reconnaissiez une inintelligence abso!ue,
ce qui n'est pas probable du reste, n'allez pas jeter le manche après
la cognée, pour si peu. Vous avez encore un avenir magnifique.
En effet, le manque d'idées personnelles vous obligera à avoir
recours aux idées des autres, et c'est bien le diable si ces autres-là
ne trouvaient pas que vous avez raison. Vous aurez tout naturellement
des partisans.
Considérez l'intelligence comme un obstacle en ce quelle fait peur
aux autres.
Les idées neuves sont des chevaux de luxe à l'écurie; on se ruine
a les nourrir avant de pouvoir monter dessus ; le jour où on les en-
fourche, ils vous jettent par terre, et tout le monde dit : Quand je
vous le disais.
Donc si, par impossible, il vous venait une idée , méfiez-vous-en ;
c est toujours par là que commencent les accidents.
Toutes les fois que vous rencontrerez le mot banalité dans le dic-
tionnaire, ôtez voire chapeau.
Soyez banal, mais franchement, sans timidité; soyez intolérant dans
votre banalité, imposez-la hautement, et laissez rire les gens qui ont
de la bonne humeur de trop.
Quelques esprits superficiels diraient-ils que vous êtes bête, qu'il ne
faudrait pas vous inquiéter. Ce sont les gens d'esprit qui ont inventé
le mot bêtise; mais que ce mot ne vous trouble pas. Il n'y a de bêtes
que les gens qui croient l'être.
En toutes circonstances, tonnez contre les gens d'esprit, affectez
pour eux une sorte de dédain; vous aurez pour vous des populations
entières.
Parlez de l'éternel ricanement de Voltaire, ce grand démolisseur
infécond; — démolisseur infécond fera de l'effet.— Dites que l'esprit
est la fausse monnaie du b,)a sens. Le saint bon sens, la lumière des
peuples! le pivot de l'humanité! Voyez-vous, comme vous pouvez
vous élever facilement à de grandes hauteurs?
Dites qu'en France les ques'ions les plus graves s'éteignent dans un
éclat de rire. Si on vous demande de quelles questions graves il s'agit,
dites douloureusement : Vous m'entendez; pauvre France!
Soyez modéré dans l'expression de vos .approbations ou de vos répro-
bations. Faites germer dans votre cœur cette plante du sage qu'on
nomme 1 indifférence ; n'ayez, au fond, aucune; opinion, votre intelli-
gence vous y aidera ; ou mieux encore : ayez-en deux, sur toutes
choses, c'est tout juste assez si vous calculez les éventualités de
l'avr'riir.
Ne dites ni ne fuites rien qui accentue votre personnalité; — avoir
une personnalité, c'est se promener avec un plumet sur la tête, on
est hué ou porté en triomphe; — ne courez pas la chance. En fait
d'opinions et d habits, évitez les coupes et les couleurs qui datent.
Choisissez les vêtements larges qui permettent un habit de dessous
et flottent au vent sans dessiner les formes.
En sorte que. si quelqu'un vous reproche plus tard votre paletot,
vous pourrez dire : Pardon, j'avais un habit. noir dessous et une cra-
vate blanche sous mon cache-nez, ne noois y trompons pas, — et
réciproquement.
Voyez, en toutes choses, un côté grave et inquiétant que n'aperçoit
pas la masse. Si on vous demande une explication, dites : L'avenir
vous l'apprendra assez tôt! 9j fois sur 100, un fait imprévu vous per-
mettra bientôt après d'ajouter : Vous souvenez-vous de ce que je vous
disais à ce sujet? C'était inévitable, je ne comprends pas que cela vous
ait échappé.
leurs ce sont tous des objets donnés et le prix intégral revient à la
caisse de l'Œuvre. Qu'importe alors! De plus, et avant tout, elles veu-
lent vendre plus que leurs voisines. J'en ai vu, dans l'embarras,
se laisser baiser la main pour un louis. Une autre mettait la
même marchandise à l'encan! — Honni soit qui mal y pense; la cha-
rité purifie tout. — Souvent aussi une véritable concurrence s'établit
entre marchandes de la même partie, si bien qu'on peut quelquefois
faire de bonnes affaires. J'ai connu un homme fort rangé qui ache-
tait ses étrennes de premier de l'an aux ventes de charité qui avaient
lieu au mois de décembre, avant la rentrée. Il prétendait s'en
trouver mieux pour sa bourse, et c'étaient deux polilesses pour une;
et puis, un objet, acheté à une vente de ce genre, fait. ti,ès-biei ; on
est censé l'avoir payé le triple de sa valeur. Cependant, la meilleure
et la plus agréab'e manière de se tirer à bon marché d'une vente
de charité, est d aller s'adresser aux jolies mwhrmdes de baisers sur la
main: avec cinq baisers il un louis, on se fait plus d'honneur qu'avec
vingt-cinq louis de bibelots de pacotille. Ce n'est pas tout de les
acheter, il faut encore les emporter, ces rossignols !
Au milieu de ces deux premiers salons, se promènent celles qui
n ont pu obtenir de boutiques, un éventaire passé autour du col,
garni de petits objets de verre fi lé ou autres, ou de boutons de roses
dont elles fleurissent les boutonnières pour cent sols; - ce n'est vrai-
ment pas cher : le prix d un cigare. La jeune lady Titania Drum-
borough colporte un de ces tambours de fer-blanc pour faire tirer des
plaisirs, et pousse son cri : « Via l' plaisir, mesdames, v'la l' plaisir 1 »
comme une vraie marchande des Champs-Élysées.
« rs'est-ce pas, me dit-elle en me proposant une partie, que je suis
assez... chic » ?
Pdrdon, — mais je cite. Les jeunes personnes anglaises parlent
assez généralement, dans le monde, à Londres, une forte d argot an-
glais appelé slang, et s'imaginent pouvoir en faire autant en français;
elles croient naïvement que rien n'est de meilleur ion.
Dans le dernier salon se trouvent les objets qui, par leur valeur —
ou leur origine, — ont un prix excepfiounel. Ceux-là ne sont pas
vendus, mais sont mis en loterie. Une dame garde l'entrée et offre
des billets.
A sept heures, lors de la fin de la vente, c'est le jeune fils du
Prince de X..., de six ans à peine, vêtu en Amour, qui a tiré les lots
gagnants.
Comme toujours, le gros lot, un service en vermeil, est échu au
banquier Slifhausen, auquel sa grande fortune avait permis de ne
prendre qu'un seul billet! De sa part, cela ne pouvait passer pour de
l'avarice.
Et l'on s'en alla comme on était venu, salué majestueusement par
le suisse bavarois, la bourse plus légère, mais une charité de plus à
son avoir.
Ce sont les pauvres qui profitent, en dernier lieu, de toutes ces
fêtes de la richesse et de l'élégance. Donc, vendez, vendez, mesdames,
et quand vous ne pourrez pas vendre, dansez pour les pauvres. Ache-
teurs ou valseurs, nous sommes toujours et tout à vous.
CHRISTOPHE.
MENUS CONSEILS
AUX ORATEURS QUI MANQUENT DE FACILITÉ
ne es choses les plus importantes à obtenir est sans contredit la
gravité du visage. Vous seriez sourd et muet, qu'avec une tête con-
venable, vous n'avez rien à craindre. Étudiez dans votre glace l'ex-
pression e vos traits et tachez d'utiliser jusqu'à votre laideur. Regar-
dez-vous le plus longtemps possible, avec la ferme volonté de ne pas,
rire. Interpellez-vous avec violence, menacez-vous du doigt, et con-
servez dans tous ces exercices de la tenue et de la dignité.
Si vous avez l'œil creux et le coin des bouches tombants, consi-
dérez-vous comme favorisé Négligez avec soin votre coiffure, et habi-
tuez-vous à mettre, sans affectation, votre main dans votre gilet. Le
sérieux est une clef d'or qui ouvre toutes les portes dans la position
où vous êtes et supplée à tout.
Que celte pensée vous soutienne dans vos moments de défaillance.
Je suppose que vous vous reconnaissiez une inintelligence abso!ue,
ce qui n'est pas probable du reste, n'allez pas jeter le manche après
la cognée, pour si peu. Vous avez encore un avenir magnifique.
En effet, le manque d'idées personnelles vous obligera à avoir
recours aux idées des autres, et c'est bien le diable si ces autres-là
ne trouvaient pas que vous avez raison. Vous aurez tout naturellement
des partisans.
Considérez l'intelligence comme un obstacle en ce quelle fait peur
aux autres.
Les idées neuves sont des chevaux de luxe à l'écurie; on se ruine
a les nourrir avant de pouvoir monter dessus ; le jour où on les en-
fourche, ils vous jettent par terre, et tout le monde dit : Quand je
vous le disais.
Donc si, par impossible, il vous venait une idée , méfiez-vous-en ;
c est toujours par là que commencent les accidents.
Toutes les fois que vous rencontrerez le mot banalité dans le dic-
tionnaire, ôtez voire chapeau.
Soyez banal, mais franchement, sans timidité; soyez intolérant dans
votre banalité, imposez-la hautement, et laissez rire les gens qui ont
de la bonne humeur de trop.
Quelques esprits superficiels diraient-ils que vous êtes bête, qu'il ne
faudrait pas vous inquiéter. Ce sont les gens d'esprit qui ont inventé
le mot bêtise; mais que ce mot ne vous trouble pas. Il n'y a de bêtes
que les gens qui croient l'être.
En toutes circonstances, tonnez contre les gens d'esprit, affectez
pour eux une sorte de dédain; vous aurez pour vous des populations
entières.
Parlez de l'éternel ricanement de Voltaire, ce grand démolisseur
infécond; — démolisseur infécond fera de l'effet.— Dites que l'esprit
est la fausse monnaie du b,)a sens. Le saint bon sens, la lumière des
peuples! le pivot de l'humanité! Voyez-vous, comme vous pouvez
vous élever facilement à de grandes hauteurs?
Dites qu'en France les ques'ions les plus graves s'éteignent dans un
éclat de rire. Si on vous demande de quelles questions graves il s'agit,
dites douloureusement : Vous m'entendez; pauvre France!
Soyez modéré dans l'expression de vos .approbations ou de vos répro-
bations. Faites germer dans votre cœur cette plante du sage qu'on
nomme 1 indifférence ; n'ayez, au fond, aucune; opinion, votre intelli-
gence vous y aidera ; ou mieux encore : ayez-en deux, sur toutes
choses, c'est tout juste assez si vous calculez les éventualités de
l'avr'riir.
Ne dites ni ne fuites rien qui accentue votre personnalité; — avoir
une personnalité, c'est se promener avec un plumet sur la tête, on
est hué ou porté en triomphe; — ne courez pas la chance. En fait
d'opinions et d habits, évitez les coupes et les couleurs qui datent.
Choisissez les vêtements larges qui permettent un habit de dessous
et flottent au vent sans dessiner les formes.
En sorte que. si quelqu'un vous reproche plus tard votre paletot,
vous pourrez dire : Pardon, j'avais un habit. noir dessous et une cra-
vate blanche sous mon cache-nez, ne noois y trompons pas, — et
réciproquement.
Voyez, en toutes choses, un côté grave et inquiétant que n'aperçoit
pas la masse. Si on vous demande une explication, dites : L'avenir
vous l'apprendra assez tôt! 9j fois sur 100, un fait imprévu vous per-
mettra bientôt après d'ajouter : Vous souvenez-vous de ce que je vous
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