158 LA VIE PARISIENNE
voile, il est trop court, il vaut mieux s'en passer. En revanche la jupe
est presque à queue, à peine voit-on le bout des pieds, les fameux
bas sont annihilés.
On pleurerait volontiers en se regardant.
On pose les diamants, ils disparaissent au milieu des paillons, il
en faudrait trois ou quatre fois autant. Cet ensemble est mesquin et
éclatant tout à la fois, la désolée doit s'avouer à elle-même que son
costume n'est pas réussi. Une rose sur l'oreille et une robe de gaze
de vingt francs la rendraient bien plus jolie. La porte s'ouvre, le
mari et la belle-mère entrent.
— Ah ! c'est là ce célèbre personnage ! dit l'un.
— Mon Dieu ! que c'est laid ! pense l'autre, et comme cela lui va
mal !
La jeune femme voit l'effet qu'elle produit, elle en est si désespé-
rée qu'elle donnerait tout au monde peur ne pas aller au bal. Mais
le mari en veut pour son argent; bien que de mauvaise humeur, on
part.
L'entrée tardive attire tous les yeux, on chuchote, on rit, on cri-
tique.
— Quoi ! voilà ce que l'on cachait tant ! C'était bien la peine !
— Comme cela lui va mal !
— Elle était bien mieux hier ! Comment peut-on faire un costume
semblable, si riche et si pauvre en même L mps !
— Avez-vous vu Mme X... Elle a le même travestissement, mais
quelle différence
Hélas! la pauvre femme, il ne lui manquait que ce coup !
Elle se trouve en face d'une personne vêtue comme elle, mais belle,
m is splendide, mais complète et parfaite! C'est la plus sanglante
épigramme, c'est le dernier coup, elle n'y résiste pas, elle sent que
sa tête se perd, et son unique envie est de se sauver.
Il faut rester pourtant, il faut livrer la bataille jusqu'au bout,
même avec la certitude de la perdre; la fuite est défendue au nom
de l'orgueil.
Qu'il y a loin deli au swcèsde la soiré.. /
Alors l'image de la note se dresse devant ses yeux, les chiffres dan-
sent autour d'elle une sarabande infernale; ils ont l'air de la rail-
ler; son mari devra les connaître le lendemain! Et pour un pareil
dénouement !
Quelques jours après, cette note tant redoutée arrive; en effet,
voici les principaux articles :
Broderie de la tunique i,500 fr.
Coiffure avec pierreries 2,000
Satin pour la jupe et gaze lamée pour le voile.. 500
Ceinture, armes et plumes 1,000
Total ;;,000 fr.
Ce que je viens d'écrire, je t'ai va, je n'ai rien exagéré, et si je
révélais seulement le nom du costume, celui de la femme serait
trouvé, il a fait assez de bruit.
On pourrait en citer masse d'autres exemples. Et la moralité de la
chose, c'est que rarement la réalité satisfait l'imagination. Le succès
est comme la fortune : souvent il recherche ceux qui ne le poursui-
vent pas.
JACQITS REYNAUI).
MODE ;DU JOUR
En ce moment Paris féminin est en pleine méditation. Ce n'est pas
que le temps de la pénitence soit bien austère... il a même du bon;
une femme a tant de grâce à s'agenouiller sur un prie-Dieu d'un pe-
tit air contrat !
D ailleurs on est toujours libre de causer toilette et beauté entre
deux sermons.
— Ah! chère belle, que le repos du carême vous a embellie!
— Vous voulez rire?... je suis noire comme une créole. (Jamais de
vilains points de comparaisou.) je n'ai pas l'art de Mme de B. qui
s'est retranché dix ans depuis son veuvage, grâce au blanc nymphéa,
au rose d'Armide et au pencil japonais...
— Vous croyez qu'elln oserait !...
— J'en suis sûre, je l'ai "u. prise à la porte de Séguy... (se repre-
nant) vous savez, ma chère, que j'ai une vieille parente rue de la
Paix, n° 17.
— Elle aussi! exclame l'amie à part; les sournoises... voyez un
peu, si je ne les avais pas devancées!
Puisqu'il est reçu dêlre - par hasard — encore un peu coquette,
causons.
I ue simplicité relative a remplacé le luxe de l'hiver de même que
les concerts ont succédé aux bals. Cependant on ne peut pas s'habil-
ler à f;iire peur.
La lingerie joue, ce mois-ci, un grand rôle,— rôle conciliant entre la
simplicité de convention et le légitime désir que l'on a de rester
jolie.
On peut mettre, par exemple, pour le concert, avec une jupe nuées
d'taraude lits ou nids d'abeiUa de la nuance qui sied le mieux, un
corsage de mousseline à petits plis décolleté carrément et orné de
guipures d'Irlande dessinant à la taille la forme de la ceinture suis-
sesse, la manche courte est bouffante et l'entredeux du haut du cor-
sage est soutenu par un étroit velours noir...
C'est coquet, tiès-coquet même... quoique simple, ce n'est pas ma
faute. Pourquoi la Grande maison de blanc n'édite-t-elle que d'irré-
sistibles modèles? Peut-être ne ti Mit-elle pas assez compte de l'esprit
de pénitence qui doit animer, en ce moment, ses jolies clientes.Tou-
tefois j'auirmerais vo entiers que celles-ci ne lui en feront pas de
trop vifs reproches.
Pour parure de dîner la GraJ/dl' maison de blanc offre comme nou-
veauté le pe'it fichu décolleté carré avec postillon. Il est en tulle à
plis orné lout autour d'une dentelle noire et d'une blonde, le postil-
lon est en dentelle noire ainsi que les entredeux des épaules et du
tour du fichu.
Il y a aussi la pèlerine ronde coupée en long d'entredeux noirs; la
garniture de dentelle noire et de blonde fait écaille. Sa manche à
coude, coupée en travers des mêmes entredeux, est surmontée d'un
jockey noir et blanc, très-agréablement orné. Le bout de cette man-
che est terminé par une ruche, de blonde.
Comme coiffure d'appartement, 0,1 adopte beaucoup le bonnet
cala 1111. C'est un morceau de blonde ovale et long, garni tout autour.
Un gros chou de ruban ro-e ou bleu masque le dessus de la fête; un
plus petit se trouve placé à la nuque tandis que deux étrois rubans
roses ou bleus, lacés sous ce dernier chou,viennen!. se renouer sur le
haut de la passe.
Je ne puis citer toutes les capricieuses nouveautés de la Grande
?M« sables à une femme de goût, même en carême.
La première course de La Marche s'est signalée par de très-jolies
toilettes : toujours beaucoup de chapeaux d'Ale,TlIIII!rille, et ils sont
reconnaiisables, car ils idéalisent la mode. Jugez en :
Chapeau eu paille de riz : le dessus de la passe et l'intérieur sont
ornés du même bouquet; un gros pavot lilas avec ses feuilles, dont
le bouton, entrouvert, retourne à l'intérieur. Le bord de la passe et
du bavolet est accidenté par des façons de crevés de blonde du
plus original effet.
Chapeau de crêpe à vaporeux fond déplumés. Un volant.de blonde,
rattaché par deux velours étroits, tourne tout autour de ce chapeau
dont il l'orme le bavolet et le bord de la passe, au-dessus de laquelle
il se croibe. Pour intérieur, boutons, roses et raisins.
Chapeau résille, formé d'un tissu violet et à jour comme du filet.
La passe est bordée d'un large ruban violet. Sur le fond s'étale
une couronne de violettes, à laquelle se trouve enchevêtrées des
feuilles de lierres avec leurs graines noires. L'intérieur de la passe est
complètement encadré d'une guirlande de violettes, — une vraie
bordure. — Des feuilles et des graines de lierre couronnent le front.
J'en citerais cent autres qui offrent un inattendu, une simplicité
dans la recherche, un pittoresque vraiment artistiques. Impossible
de s'en bien l'aire une iuée sans les voir. La description allourdit ce
que la main de fée d'Ale u:mdnne dispose avec tant de légèreté et de
grâce. C'est pourquoi je nomme, sans oser y toucher davantage, le
chapeau Muyutl de bois, le chapeau Pompaduiir, le chapeau Coque iv ot...
Que les plus coquettes et les plus curieuses devinent...
On s'habille beaucoup avec la dentelle de yak. Je sais une Pari-
sienne, des plus remarquées, qui doit paraître à l'une des prochaines
courses, vêtue, des pieds à la fêle, de cette jolie dentelle. La robe,
d'une grande richesse de dessin, s étalera sur une seconde robe de
taffetas blanc. Le vêtement flot tant, également en yac, est très-joli
de forme. Que l'on se figure la légèreté et le vaporeux de cette toi-.
lette dont le Ion, d'un blanc nacré, adoucit les traits et donne du
brillant au teint.
Du reste, l'emploi de la dentelle de yak est très-généralisé. C'est ce
qui remplace avantageusement aujourd'hui les applications d'Angle-
terre et de Bruxelles. On en fait des sorties de bal ou d'Italiens très-
vaporeuses à la lumière. Aux bains de mer, le burnous ou le châle
de yak garantit d'un vent trop frais. Bref, cela se porte un peu par-
voile, il est trop court, il vaut mieux s'en passer. En revanche la jupe
est presque à queue, à peine voit-on le bout des pieds, les fameux
bas sont annihilés.
On pleurerait volontiers en se regardant.
On pose les diamants, ils disparaissent au milieu des paillons, il
en faudrait trois ou quatre fois autant. Cet ensemble est mesquin et
éclatant tout à la fois, la désolée doit s'avouer à elle-même que son
costume n'est pas réussi. Une rose sur l'oreille et une robe de gaze
de vingt francs la rendraient bien plus jolie. La porte s'ouvre, le
mari et la belle-mère entrent.
— Ah ! c'est là ce célèbre personnage ! dit l'un.
— Mon Dieu ! que c'est laid ! pense l'autre, et comme cela lui va
mal !
La jeune femme voit l'effet qu'elle produit, elle en est si désespé-
rée qu'elle donnerait tout au monde peur ne pas aller au bal. Mais
le mari en veut pour son argent; bien que de mauvaise humeur, on
part.
L'entrée tardive attire tous les yeux, on chuchote, on rit, on cri-
tique.
— Quoi ! voilà ce que l'on cachait tant ! C'était bien la peine !
— Comme cela lui va mal !
— Elle était bien mieux hier ! Comment peut-on faire un costume
semblable, si riche et si pauvre en même L mps !
— Avez-vous vu Mme X... Elle a le même travestissement, mais
quelle différence
Hélas! la pauvre femme, il ne lui manquait que ce coup !
Elle se trouve en face d'une personne vêtue comme elle, mais belle,
m is splendide, mais complète et parfaite! C'est la plus sanglante
épigramme, c'est le dernier coup, elle n'y résiste pas, elle sent que
sa tête se perd, et son unique envie est de se sauver.
Il faut rester pourtant, il faut livrer la bataille jusqu'au bout,
même avec la certitude de la perdre; la fuite est défendue au nom
de l'orgueil.
Qu'il y a loin deli au swcèsde la soiré.. /
Alors l'image de la note se dresse devant ses yeux, les chiffres dan-
sent autour d'elle une sarabande infernale; ils ont l'air de la rail-
ler; son mari devra les connaître le lendemain! Et pour un pareil
dénouement !
Quelques jours après, cette note tant redoutée arrive; en effet,
voici les principaux articles :
Broderie de la tunique i,500 fr.
Coiffure avec pierreries 2,000
Satin pour la jupe et gaze lamée pour le voile.. 500
Ceinture, armes et plumes 1,000
Total ;;,000 fr.
Ce que je viens d'écrire, je t'ai va, je n'ai rien exagéré, et si je
révélais seulement le nom du costume, celui de la femme serait
trouvé, il a fait assez de bruit.
On pourrait en citer masse d'autres exemples. Et la moralité de la
chose, c'est que rarement la réalité satisfait l'imagination. Le succès
est comme la fortune : souvent il recherche ceux qui ne le poursui-
vent pas.
JACQITS REYNAUI).
MODE ;DU JOUR
En ce moment Paris féminin est en pleine méditation. Ce n'est pas
que le temps de la pénitence soit bien austère... il a même du bon;
une femme a tant de grâce à s'agenouiller sur un prie-Dieu d'un pe-
tit air contrat !
D ailleurs on est toujours libre de causer toilette et beauté entre
deux sermons.
— Ah! chère belle, que le repos du carême vous a embellie!
— Vous voulez rire?... je suis noire comme une créole. (Jamais de
vilains points de comparaisou.) je n'ai pas l'art de Mme de B. qui
s'est retranché dix ans depuis son veuvage, grâce au blanc nymphéa,
au rose d'Armide et au pencil japonais...
— Vous croyez qu'elln oserait !...
— J'en suis sûre, je l'ai "u. prise à la porte de Séguy... (se repre-
nant) vous savez, ma chère, que j'ai une vieille parente rue de la
Paix, n° 17.
— Elle aussi! exclame l'amie à part; les sournoises... voyez un
peu, si je ne les avais pas devancées!
Puisqu'il est reçu dêlre - par hasard — encore un peu coquette,
causons.
I ue simplicité relative a remplacé le luxe de l'hiver de même que
les concerts ont succédé aux bals. Cependant on ne peut pas s'habil-
ler à f;iire peur.
La lingerie joue, ce mois-ci, un grand rôle,— rôle conciliant entre la
simplicité de convention et le légitime désir que l'on a de rester
jolie.
On peut mettre, par exemple, pour le concert, avec une jupe nuées
d'taraude lits ou nids d'abeiUa de la nuance qui sied le mieux, un
corsage de mousseline à petits plis décolleté carrément et orné de
guipures d'Irlande dessinant à la taille la forme de la ceinture suis-
sesse, la manche courte est bouffante et l'entredeux du haut du cor-
sage est soutenu par un étroit velours noir...
C'est coquet, tiès-coquet même... quoique simple, ce n'est pas ma
faute. Pourquoi la Grande maison de blanc n'édite-t-elle que d'irré-
sistibles modèles? Peut-être ne ti Mit-elle pas assez compte de l'esprit
de pénitence qui doit animer, en ce moment, ses jolies clientes.Tou-
tefois j'auirmerais vo entiers que celles-ci ne lui en feront pas de
trop vifs reproches.
Pour parure de dîner la GraJ/dl' maison de blanc offre comme nou-
veauté le pe'it fichu décolleté carré avec postillon. Il est en tulle à
plis orné lout autour d'une dentelle noire et d'une blonde, le postil-
lon est en dentelle noire ainsi que les entredeux des épaules et du
tour du fichu.
Il y a aussi la pèlerine ronde coupée en long d'entredeux noirs; la
garniture de dentelle noire et de blonde fait écaille. Sa manche à
coude, coupée en travers des mêmes entredeux, est surmontée d'un
jockey noir et blanc, très-agréablement orné. Le bout de cette man-
che est terminé par une ruche, de blonde.
Comme coiffure d'appartement, 0,1 adopte beaucoup le bonnet
cala 1111. C'est un morceau de blonde ovale et long, garni tout autour.
Un gros chou de ruban ro-e ou bleu masque le dessus de la fête; un
plus petit se trouve placé à la nuque tandis que deux étrois rubans
roses ou bleus, lacés sous ce dernier chou,viennen!. se renouer sur le
haut de la passe.
Je ne puis citer toutes les capricieuses nouveautés de la Grande
?M«
La première course de La Marche s'est signalée par de très-jolies
toilettes : toujours beaucoup de chapeaux d'Ale,TlIIII!rille, et ils sont
reconnaiisables, car ils idéalisent la mode. Jugez en :
Chapeau eu paille de riz : le dessus de la passe et l'intérieur sont
ornés du même bouquet; un gros pavot lilas avec ses feuilles, dont
le bouton, entrouvert, retourne à l'intérieur. Le bord de la passe et
du bavolet est accidenté par des façons de crevés de blonde du
plus original effet.
Chapeau de crêpe à vaporeux fond déplumés. Un volant.de blonde,
rattaché par deux velours étroits, tourne tout autour de ce chapeau
dont il l'orme le bavolet et le bord de la passe, au-dessus de laquelle
il se croibe. Pour intérieur, boutons, roses et raisins.
Chapeau résille, formé d'un tissu violet et à jour comme du filet.
La passe est bordée d'un large ruban violet. Sur le fond s'étale
une couronne de violettes, à laquelle se trouve enchevêtrées des
feuilles de lierres avec leurs graines noires. L'intérieur de la passe est
complètement encadré d'une guirlande de violettes, — une vraie
bordure. — Des feuilles et des graines de lierre couronnent le front.
J'en citerais cent autres qui offrent un inattendu, une simplicité
dans la recherche, un pittoresque vraiment artistiques. Impossible
de s'en bien l'aire une iuée sans les voir. La description allourdit ce
que la main de fée d'Ale u:mdnne dispose avec tant de légèreté et de
grâce. C'est pourquoi je nomme, sans oser y toucher davantage, le
chapeau Muyutl de bois, le chapeau Pompaduiir, le chapeau Coque iv ot...
Que les plus coquettes et les plus curieuses devinent...
On s'habille beaucoup avec la dentelle de yak. Je sais une Pari-
sienne, des plus remarquées, qui doit paraître à l'une des prochaines
courses, vêtue, des pieds à la fêle, de cette jolie dentelle. La robe,
d'une grande richesse de dessin, s étalera sur une seconde robe de
taffetas blanc. Le vêtement flot tant, également en yac, est très-joli
de forme. Que l'on se figure la légèreté et le vaporeux de cette toi-.
lette dont le Ion, d'un blanc nacré, adoucit les traits et donne du
brillant au teint.
Du reste, l'emploi de la dentelle de yak est très-généralisé. C'est ce
qui remplace avantageusement aujourd'hui les applications d'Angle-
terre et de Bruxelles. On en fait des sorties de bal ou d'Italiens très-
vaporeuses à la lumière. Aux bains de mer, le burnous ou le châle
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