LA VIE PARISIENNE
149
Je ne sais sur ce sujet que ce que j'ai deviné moi-même, car l'au-
teur de tant de chefs-d'œuvre et le héros de tant d'amertumes est
discret comme un confesseur. Mais quand je songe qu'il a mis le
pied dans tous les mondes (sans compter le demi-monde), et que les
femmes de tout pays volent à la gloire comme les alouettes au mi-
roir; quand je me dis que les modèles les plus aristocratiques vont
poser tous les jours, et sans se compromettre, chez des artistes moins
grands que lui, il me semble qu'il a étudié la vie moderne sur le vif,
et que ses modèles l 'a(lorent; que Diane de Lys, la baronne d'Ange,
Mme de Simerose, Mme de Santis, et vingt autres jeunes femmes se
sont fait inscrire a la location six mois d'avance pour voir la pièce de
leur ami. Et pour peu qu'une main tluette et pâle ait l'air è,e jouer
dans l ombre avec un bouquet de camélias blancs, je m'imnginc que
Marguerite Gaulier a obtenu de son geôlier funèbre une permission
.de minuit pour applaudir silencieusement le poëte qui l'a faite im-
mortelle.
L'ami des femmes pourrait dire, en altérant un peu le mot d'un
de ses maîtres : « Je suis homme, et rien de féminin ne m'est étran-
ger. » Personne n'a pénétré plus avant que lui dans les petits coeurs
impénétrables. Les femmes le savent bien ; elles le remercient de s'ê-
tre tant occupé d'elles; elles entraînent la foule au théâtre lorsqu'on
donne une pièce de lui. Je ne sais pas ce qu'elles ont fait pour son
I)onhetir, je crois qu'elles travaillant toutes à son succès et à sa gloire.
Il a fait un pact avec elles; ni avec celle ci, ni avec celle-là, mais
avec toutes . c est avec le féminin tout entier qu'il a traité de puis-
sance à puissance. Le public ignorant s'imagine parfois que le vent
tourne à la guerre. Un mot amer, une tirade un peu dure, un joli
coup de fouet bien sanglé dans les bottines de salin blanc et les bus
de soie rose vous font croire que 1 o -1 est rOnll'u.« C'est un sceptique
dit-on dans la foule; un homme désabusé; il ne croit plus à rien de-
puis quarante-huit heures, ces coquines de femmes lui auront fait trop
de mal; il va les corriger d'importance! »
Qu'elles lui aient fait du mal, ainsi qu'a vous, monsieur, of à moi,
et il bien d'autres, c'est ce que je ne conteste point. Mais ne croyez
pas pour si peu qu'il soit près de rompre avec elles. Il ne lésa jamais
tant aimées, cachez-le bien; il n a jamais cru plus fermement il leurs
sourires; jamais il n'a été plus dévoué, plus naïf el plus en!'aut cet
homme fort ! Gardez-vous de confondre une querelle d'amoureux
avec une déclaration de guerre !
LOl'sq!I'Oli,ier de Jalin traitait si cavalièrement la baronne d'Ange,
vous avez peut-être supposé qu'il n'avait plus d'illusions sur elle :
erreur! il l'adorait.Quand M. de Hyons, cet autre désabusé (ou plutôt
le même) enveloppe le sexe entier dans son magnifique dédain, ne
croyez pas qu'il soit sincère! Un co p d'œil va le rendre amoureux de
Mmede Simerose. Il se croira d'abord supérieur à elle ce grand enfant-
illui tendra un piège impertinent, où Balbille elle-même ne 8elaisse-
rait pas prendre ;mais c'est lui qui est pris, cnla-é, lié pieds et poings.
Voilà ce qui tantôt lui donnera la force de refuser la belle Il 'cken-
dorf et ses deux millions. Il serait moins exclusif et peut-être moins
désintéressé, s'il n'était pas follement amoureux. Il y a deux hommes
en lui, un qui se croit très-fort, et un qui se montre très-faible.
Après avoir raillé les niaiseries filiales du petit M. de Challirin, il se
trouble comme un baby au souvenir de sa mère. Tout à l'heure' il se
vantait de mettre à mal la vertu de Mme de Simerose; dès qu'il la
sait honnête pour tout de bon, il la protége instinctivement contre
lui même. Il lui fait de la morale, ce sceptique! Il la ramène à ?on
mari, ce séducteur! Il a toutes les délicatesses, toutes les générosités,
tous les héroïsmes de l'amour le plus chevaleresque et le plus dé-
sintéressé. Encore un peu, il tuerait M. de Moatigu pour ravoir le
petit billet et assurer le repos de sa dame, qui ne sera jamais à lu;.
Ami lecteur, comprends-tu ce caractère ? Pas trop; j'en suis fâché.
Mais ta femme le comprend. Les femmes ne sont pas superficielles
comme nous; elles ne jugent pas l'arbre sur son écorce ni l'homme
sur ses paroles. A travers le discours le plus indin'éreut ou même le
plus dur, elles devinent la loyauté, le dévoÙment, la noble folie
d'une urne ardente. Il aurait beau les battre comme plâtre, elles lui
crieraient au milieu des sanglots et des larmes : Ami, tu nous fais
mal !
J'ai presque vu le moment où les hommes de l'orchestre allaient
se soulever en masse contre lui, faute de le comprendre. Il avait fait
Mme de Simerose si honnête, si touchante, si parfaitement digne de
respect et d amour que cent cinquante champions improvisés allaient
prendre fait et cause pour elle. On ne lui permettait plus de la tou-
cher du bout du doigt; à peine souffrait-on qu'il lui adressât la pa-
role. Le ton dont il parlait à cette aimable femme, (sa créature après
tout) scandalisait jusqu'aux rustres du paradis, ceux qui battent leur
femme en rentrant püur se chauffer les mains et ménager le char-
bon de terre. Mais elle ne se fâchait pas, elle! car elle se sentait
adorée Et les belles spectatrices des premières loges comme les pe-
tites recluses des baignoires sombres, lui pardonnaient aussi dans le
fond de leurs âmes. Elles savaient fort bien que ces brutalités appa-
rentes n étaient que l expression trop fougueuse d'une passion vraie.
Elles n ont pas permis que le plus grand de nos écrivains drama-
tiques fÙI frappé dans son œuvre la plus virile, la plus mûre, la plus
complète, celle ou il avait entassé en deux ans d'efforts héroïques,
les meilleurs fruits de son génie. Elles ont pris sous leur protection
cette comédie nouvelle, étrange, imprévue, dont l'amertume géné-
reuse avait presque scandalisé le goût de leurs maris. Après cette
bouillie au lait sucré qui s'appelle Mont /o!'p, le vin de Chambertin
devait paraîtra un peu trop fort
Les femmes ont sauvé le poète qui les comprend et qui les aime.
* Hurrah j 0:.11' elles et pour lui!
EDM )ND ABOUT.
CORRESPONDANCE
Mon cher Marcelin,
J'ai lu la lettre de votre abonné, je me déclare complètement con-
vaincu par lui; il m'a prouvé de la façnn la plus victorie se que lu
province existe, — et même qu'elle déteint.
Mais à vous, el à vos lecteurs, je liens à expliquer quelle a été ma
pensée lorsque j'ai écrit cette phrase malencontreuse qui a soulevé
tant Il.'Orrtqes, car j ai, de mon côté, r, çu une lettre des plus sorujhv t s.
Il s'y agit, en effet, d'un meurtre assez habituel en province, je dois
en convenir.
Voici l'autographe
« Monsieur Christophe,
« Vous dites que la province n'existe plus! Amère dérision ! Voilà
ce qui vient de m'arriver :
» J'habite une ville importante,sou'-préfecture, tribunal de première
instance, tribunal de commerce, collcg', musée, ele. J'ai voulu ces
jours ci, malgré un pied de neige, rendre sa visite il Mme la Mai-
l'esse.
— » Madame n'y est pas , me répond la bonne, elle est en cam-
pagne »
— » Comment? à la campagne par un temps pareil! »
)) Tiens, on tuait le cochon ; fallait bien que Madame y aeye. »
j> En effti. 1 » — c'est la locution de l'endroit, — le fond de la
langue — et jamais je ne l'ai appliquée avec plus d'à propos.
Il tqpilà, monsieur, comme il n'y a plus de province 1
» C est mal de venir ainsi retourner le poignard dans le cœur d'une
pauvre Parisienne exilée qui pleure tous les jours s Hl bitume.
» Votre servante infortunée, » CAnOLlNE. »
Pardon, chère madame et infortunée Caro'ine, vous ne m'avez
pas compris. Je n'ai nullement voulu dire qu'il n'y a plus de
provinciales en province, mais au contraire qu'il y a à Paris
autant, et même plus, de provinciales que dans les départements, et
qu 'en province on trouve autant de Parisiennes qu'à Paris. J'ai sim-
plement protesté contre cette vieille rengaine littéraire qui veut tou-
jours représenter les Parisiennes comme des poupées, et les provin-
cia!es seules comme des modèles de toutes les vertus domestiques;
tandis qu'à Paris, on trouve, comme partout, de bonnes et vraies
mères de famille qui apprennent le latin pour faire répéter leurs le-
çons à leurs enfants, qui font des confitures, et vont au marché —
tout comme à Sainte-Foy-la-Gaillarde.
A vous, CHRISTOPHE.
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Je ne sais sur ce sujet que ce que j'ai deviné moi-même, car l'au-
teur de tant de chefs-d'œuvre et le héros de tant d'amertumes est
discret comme un confesseur. Mais quand je songe qu'il a mis le
pied dans tous les mondes (sans compter le demi-monde), et que les
femmes de tout pays volent à la gloire comme les alouettes au mi-
roir; quand je me dis que les modèles les plus aristocratiques vont
poser tous les jours, et sans se compromettre, chez des artistes moins
grands que lui, il me semble qu'il a étudié la vie moderne sur le vif,
et que ses modèles l 'a(lorent; que Diane de Lys, la baronne d'Ange,
Mme de Simerose, Mme de Santis, et vingt autres jeunes femmes se
sont fait inscrire a la location six mois d'avance pour voir la pièce de
leur ami. Et pour peu qu'une main tluette et pâle ait l'air è,e jouer
dans l ombre avec un bouquet de camélias blancs, je m'imnginc que
Marguerite Gaulier a obtenu de son geôlier funèbre une permission
.de minuit pour applaudir silencieusement le poëte qui l'a faite im-
mortelle.
L'ami des femmes pourrait dire, en altérant un peu le mot d'un
de ses maîtres : « Je suis homme, et rien de féminin ne m'est étran-
ger. » Personne n'a pénétré plus avant que lui dans les petits coeurs
impénétrables. Les femmes le savent bien ; elles le remercient de s'ê-
tre tant occupé d'elles; elles entraînent la foule au théâtre lorsqu'on
donne une pièce de lui. Je ne sais pas ce qu'elles ont fait pour son
I)onhetir, je crois qu'elles travaillant toutes à son succès et à sa gloire.
Il a fait un pact avec elles; ni avec celle ci, ni avec celle-là, mais
avec toutes . c est avec le féminin tout entier qu'il a traité de puis-
sance à puissance. Le public ignorant s'imagine parfois que le vent
tourne à la guerre. Un mot amer, une tirade un peu dure, un joli
coup de fouet bien sanglé dans les bottines de salin blanc et les bus
de soie rose vous font croire que 1 o -1 est rOnll'u.« C'est un sceptique
dit-on dans la foule; un homme désabusé; il ne croit plus à rien de-
puis quarante-huit heures, ces coquines de femmes lui auront fait trop
de mal; il va les corriger d'importance! »
Qu'elles lui aient fait du mal, ainsi qu'a vous, monsieur, of à moi,
et il bien d'autres, c'est ce que je ne conteste point. Mais ne croyez
pas pour si peu qu'il soit près de rompre avec elles. Il ne lésa jamais
tant aimées, cachez-le bien; il n a jamais cru plus fermement il leurs
sourires; jamais il n'a été plus dévoué, plus naïf el plus en!'aut cet
homme fort ! Gardez-vous de confondre une querelle d'amoureux
avec une déclaration de guerre !
LOl'sq!I'Oli,ier de Jalin traitait si cavalièrement la baronne d'Ange,
vous avez peut-être supposé qu'il n'avait plus d'illusions sur elle :
erreur! il l'adorait.Quand M. de Hyons, cet autre désabusé (ou plutôt
le même) enveloppe le sexe entier dans son magnifique dédain, ne
croyez pas qu'il soit sincère! Un co p d'œil va le rendre amoureux de
Mmede Simerose. Il se croira d'abord supérieur à elle ce grand enfant-
illui tendra un piège impertinent, où Balbille elle-même ne 8elaisse-
rait pas prendre ;mais c'est lui qui est pris, cnla-é, lié pieds et poings.
Voilà ce qui tantôt lui donnera la force de refuser la belle Il 'cken-
dorf et ses deux millions. Il serait moins exclusif et peut-être moins
désintéressé, s'il n'était pas follement amoureux. Il y a deux hommes
en lui, un qui se croit très-fort, et un qui se montre très-faible.
Après avoir raillé les niaiseries filiales du petit M. de Challirin, il se
trouble comme un baby au souvenir de sa mère. Tout à l'heure' il se
vantait de mettre à mal la vertu de Mme de Simerose; dès qu'il la
sait honnête pour tout de bon, il la protége instinctivement contre
lui même. Il lui fait de la morale, ce sceptique! Il la ramène à ?on
mari, ce séducteur! Il a toutes les délicatesses, toutes les générosités,
tous les héroïsmes de l'amour le plus chevaleresque et le plus dé-
sintéressé. Encore un peu, il tuerait M. de Moatigu pour ravoir le
petit billet et assurer le repos de sa dame, qui ne sera jamais à lu;.
Ami lecteur, comprends-tu ce caractère ? Pas trop; j'en suis fâché.
Mais ta femme le comprend. Les femmes ne sont pas superficielles
comme nous; elles ne jugent pas l'arbre sur son écorce ni l'homme
sur ses paroles. A travers le discours le plus indin'éreut ou même le
plus dur, elles devinent la loyauté, le dévoÙment, la noble folie
d'une urne ardente. Il aurait beau les battre comme plâtre, elles lui
crieraient au milieu des sanglots et des larmes : Ami, tu nous fais
mal !
J'ai presque vu le moment où les hommes de l'orchestre allaient
se soulever en masse contre lui, faute de le comprendre. Il avait fait
Mme de Simerose si honnête, si touchante, si parfaitement digne de
respect et d amour que cent cinquante champions improvisés allaient
prendre fait et cause pour elle. On ne lui permettait plus de la tou-
cher du bout du doigt; à peine souffrait-on qu'il lui adressât la pa-
role. Le ton dont il parlait à cette aimable femme, (sa créature après
tout) scandalisait jusqu'aux rustres du paradis, ceux qui battent leur
femme en rentrant püur se chauffer les mains et ménager le char-
bon de terre. Mais elle ne se fâchait pas, elle! car elle se sentait
adorée Et les belles spectatrices des premières loges comme les pe-
tites recluses des baignoires sombres, lui pardonnaient aussi dans le
fond de leurs âmes. Elles savaient fort bien que ces brutalités appa-
rentes n étaient que l expression trop fougueuse d'une passion vraie.
Elles n ont pas permis que le plus grand de nos écrivains drama-
tiques fÙI frappé dans son œuvre la plus virile, la plus mûre, la plus
complète, celle ou il avait entassé en deux ans d'efforts héroïques,
les meilleurs fruits de son génie. Elles ont pris sous leur protection
cette comédie nouvelle, étrange, imprévue, dont l'amertume géné-
reuse avait presque scandalisé le goût de leurs maris. Après cette
bouillie au lait sucré qui s'appelle Mont /o!'p, le vin de Chambertin
devait paraîtra un peu trop fort
Les femmes ont sauvé le poète qui les comprend et qui les aime.
* Hurrah j 0:.11' elles et pour lui!
EDM )ND ABOUT.
CORRESPONDANCE
Mon cher Marcelin,
J'ai lu la lettre de votre abonné, je me déclare complètement con-
vaincu par lui; il m'a prouvé de la façnn la plus victorie se que lu
province existe, — et même qu'elle déteint.
Mais à vous, el à vos lecteurs, je liens à expliquer quelle a été ma
pensée lorsque j'ai écrit cette phrase malencontreuse qui a soulevé
tant Il.'Orrtqes, car j ai, de mon côté, r, çu une lettre des plus sorujhv t s.
Il s'y agit, en effet, d'un meurtre assez habituel en province, je dois
en convenir.
Voici l'autographe
« Monsieur Christophe,
« Vous dites que la province n'existe plus! Amère dérision ! Voilà
ce qui vient de m'arriver :
» J'habite une ville importante,sou'-préfecture, tribunal de première
instance, tribunal de commerce, collcg', musée, ele. J'ai voulu ces
jours ci, malgré un pied de neige, rendre sa visite il Mme la Mai-
l'esse.
— » Madame n'y est pas , me répond la bonne, elle est en cam-
pagne »
— » Comment? à la campagne par un temps pareil! »
)) Tiens, on tuait le cochon ; fallait bien que Madame y aeye. »
j> En effti. 1 » — c'est la locution de l'endroit, — le fond de la
langue — et jamais je ne l'ai appliquée avec plus d'à propos.
Il tqpilà, monsieur, comme il n'y a plus de province 1
» C est mal de venir ainsi retourner le poignard dans le cœur d'une
pauvre Parisienne exilée qui pleure tous les jours s Hl bitume.
» Votre servante infortunée, » CAnOLlNE. »
Pardon, chère madame et infortunée Caro'ine, vous ne m'avez
pas compris. Je n'ai nullement voulu dire qu'il n'y a plus de
provinciales en province, mais au contraire qu'il y a à Paris
autant, et même plus, de provinciales que dans les départements, et
qu 'en province on trouve autant de Parisiennes qu'à Paris. J'ai sim-
plement protesté contre cette vieille rengaine littéraire qui veut tou-
jours représenter les Parisiennes comme des poupées, et les provin-
cia!es seules comme des modèles de toutes les vertus domestiques;
tandis qu'à Paris, on trouve, comme partout, de bonnes et vraies
mères de famille qui apprennent le latin pour faire répéter leurs le-
çons à leurs enfants, qui font des confitures, et vont au marché —
tout comme à Sainte-Foy-la-Gaillarde.
A vous, CHRISTOPHE.
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