LA VIE PARISIENNE 113
Tout en regardant le pillage du vieux pavillon, j'aperçus la grande
fenêtre et je songeai au roi allumant la fusée volante.
Trois heures et demie sonnaient, je me levai, je traversai la foule
qui encombrait la rue de Rivoli, je pris une rue sombre, déserte,
humide où le soleil ne pénètre pas, et je me trouvai devant St-Hoch.
— J'entrai. Un flot d'harmonie pompeuse et un air lourd, chaud,
rendu épais par les parfums de l'encens et la fumée des cierges me
saisirent à la gorge. Je changeais trop brusquement de milieu. Il faisait
sombre et je n'aperçus d'abord que l'éclat jaunâtre des grands cier-
ges qui brûlaient au-dessus des têtes découvertes ; mais mon œil s'ha-
bitua bientôt aux profondeurs de ce clair-obscur, et je distinguai les
riches toilettes, les grands chandeliers d'or et l'autel étincelant.
Puis tout cessa, et au milieu du silence un monsieur fort bien mis
se passa la main dans les cheveux et chanta un ravissant morceau.
— J'aurais demandé bis si je n'avais craint de me faire remarquer.
Le chœur était plein de prêtres, de chantres et d'enfants vêtus en
blanc; — sur les crânes brillants des vieillards assis dans les stalles,
le reflet des cierges formait une traînée lumineuse, ainsi que la
flamme d'une bougie sur la surface polie d'un marbre. — Autour
des boiseries, des hommes se hissaient pour voir les chanteurs, et
après chacun de ces soli des milliers de voix, un instant contenues,
reprenaient en chœur et s'élançaient avec fracas commeleseauxécu-
mantes d'une écluse qu'on ouvre.
Il y avait dans cette mise en scène un charme si réel, une puis-
sance si communicative que... je m'assis sur une chaise.
Je songeai malgré moi à l'origine de ce culte tout ruisselant d'or
et de soie et j'allais m'étonner, quand j'aperçus la nuque blanche et
satinée d'une adorable petite dévote qui, précipitée sur son prie-Dieu
s'abîmait avec une grâce adorable dans une prière ardente. Sa tête
pieusement inclinée vers la droite et que cachait sa petite main gan-
tée, donnait à son cou une ondulation délicieuse. — Ses cheveux d'un
blond cendré passaient en se tordant sous son chapeau bleu tendre.
L'amour de petite pécheresse ! Comme on sentait que dans cette
prosternation si basse, son cœur s'élançait coquettement vers son
créateur, tandis que sa robe de velours s'écartait autour d'elle en ri..
ches plis profonds.
Alors je compris que ce culte pompeux où le cuivre doré, les bou-
gies en pyramides et les fleurs artificielles jouent un si grand rôle
était bien celui qui convient à ces mignonnes dévotes. Je vis que les
bandeaux à la russe ne choquaient point dans ce décor d'opéra et
que le parfum de poudre Ù. la duchesse qui s'échappait des livres de
messe, se mariait à ravir au parfum de l'encens.
A la porte de l'église, deux dames noyées dans des flots de satin,
marivaudaient en montrant leurs dents blanches avec leur cavalier,
et agitaient une bourse en velours rouge, d'où s'échappait un. petit
bruit étincelant. — De temps en temps le cavalier lançait aux pas-
sants d'une voix rieuse ou brève, suivant le cours de la conversation,
ces mots : Pour les enfants de Saint-Vincent de Paul!
Un autre cavalier, raide, droit, effilant sa moustache vous regar-
dait en face et semblait vous dire : Vous trouvez cela drôle, monsieur?
— Comment donc, au contraire ! — Je laissai tomber une petite
pièce qui fit toc, et je saluai en poussant la portière.
Y.
UN DÉBUCHER A VUE
L'animal de meute, un' cerf 11 sa quatrième tête, vient do sauter .i la
plaine. M. de V... qui depuis le lancer n'a pas quitté la queue des chiens
a crié, tayaut! en franchissant le fossé qui longe la lisière du bois, et
Boissec, le premier piqueur, qui le suit comme son ombre, fonne la vue
à pleins poumons :
Tu rirais bien,
Tu rirais trop...
De leur côté, les chiens font vacarme et redoublent d'efforts. L'animal
sent que toutes les ruses sont désormais inutiles, il n'a qu'un espoir, ga-
gner la meute de vitesse 1 et il file en ligne droite, le bois rejeté en ar-
rière.
Toute la chasse est sortie à la plaine : les vestes rouges brillent au so-
leil, les bottes vernies a revers ont des brillants comme des flacons de
cristal, et les trompes des piqueurs bosselées en maint endroit par un
long usage, ont des reflets dorés à l'aire rêver un changeur. C'est une fête
pour les yeux et pour les oreilles. Aussi quel entrain parmi les chasseurs !
Ils ont tous des ligures épanouies, rayonnantes, comme on n'en voit que
dans les apothéoses ! Si vous ne comprenez pas leur joie, c'est que vous
ne savez pas tout ce que promet un débucher ',t vue. Il ne s'agit de
rieni'ioins que d'une course au clocher — et quelle course ! une coirse,
dont le but est inconnu, et la durée subordonnée à la vigueur de l'ani-
mal qu'on poursuit.
Pour les chevaux, l'animation n'est pas moins grande que pour les
chasseurs. — La plaine ! c'est la possibilité de courir de toute sa vi-
tesse, sans rencontrer des troncs d'arbres qui vous forcent perpétuelle-
ment à vous détourner de votre chemin, c'est la liberté, c'est la ligne
droite. En avant, en avant ! tel est le désir commun. Et les chiens ga-
loppent ventre à terre, tandis que les cavaliers raccourcissant leurs
rênes, modèrent prudemment le nouvel élan de leurs montures.— Il ne
suffit pas d'aller vite, il faut encore ne pas s'essouffler, et l'on ne saurait
trop ménager ses forces, quand l'avenir est inconnu.
Ce qu'on sait, — c'est qu'on entre en plaine : mais de quel côté de la
plaine ? voilà ce qu'on ignore. — Est-ce il droite ou à gauche ? A droite,
le terrain est uni, et c'est à peine si l'on rencontre quelques fossés...
mais à gauche, il y a les barrières fixes, qui entourent les pâturages du
grand Claude, et la petite rivière de B... et le barrage, et le bras qui se
termine au moulin... Après quoi l'on trouve la cavée de l'IIomme-Alort,
ce maudit chemin encaissé, bordé de haies, et labouré d'ornières de deux
pieds de profondeurs, où de S.., s'est cassé la clavicule l'hiver passé...
Pour mon compte, je ne serais pas fâché que la chasse prît une autre
direction.— Enfin, si l'on passe par là, il faudra faire comme les autres,
quitte à y rester.
Après la cavée, il y a une descente... qui descend même beaucoup...
et qui nous conduit à la vallée du L... qui est large et profond... Pour
trouver un pont .. c'est trop loin! il faudra le passer à la nage , un fait
d'armes qui mériterait d'aller à la postérité ! malheureusement Boileau
est mort)... Je sais, en outre, qu'après cette maudite rivière, il y a une
barrière fixe (voilà un mot d'une justesse navrante), qui mesure cinq
pieds de haut... Pour un militaire te n'est pas assez, mais pour une bar-
rière c'est trop, surtout quand elle est fixe ! Les Anglais ont plus d'une
supériorité sur nous, et l'on a bien raison de dire que leur civilisation est
plus avancée que la nôtre ! Je sais de l'autre côté de la Manche, des équi-
pages de renard où les chasseurs n'ont pas à se préoccuper de ces
détails. On rencontre une barrière fixe, très-bien ! c'est aux hommes de
l'équipage à briser le premier barreau... Entendons-nous! il ne s'agit pas
de le briser comme le premier venu pourrait le faire, en descendant de
cheval et en frappant avec un instrument quelconque, marteau ou merlin;
point du tout! on s'élance à toute volée sur l'obstacle, et s'il ne rompt
pas au premier choc, un second cavalier renouvelle l'opération. Singu-
lière profession, direz-vous? Qu'importe! ils sont payés pour cela, et les
gentlemen passent facilement l'obstacle décapité t... Décidément la pré-
voyance n'est pas unè qualité à dédaigner.
Cependant, le bois commence à s'effacer dans le lointain ; c'est
à peine si, en se retournant, l'on aperçoit la ligne rougeâtre des arbres
dépouillés par l'hiver. Le cerf fuit toujours avec une rapidité vertigi-
neuse, mais on voit qu'il n'a plus la même liberté d'allures, et le gros des
chiens commence à le gagner de vitesse ; nous allons avoir un hallali
courant!... Pauvre animai, sa langue desséchée pend longue d'une aune
hors de sa bouche; l'intérieur de ses naseaux, démesurément ouverts, se
teint d'un rouge aussi intense que le foyer d'un maréchal-ferrant ; ses
veines se détachent en saillies énormes qui figurent autant de serpents
enlacés autour de ses membres... Les bonds qu'il te reste à faire sont
comptés, et ton bois ne prendra jamais son cinquième andouiller! Tout
est fini, l'animal s'est arrêté, immobile sur ses quatre jambes raides
comme des pieux, ses flancs s'agitent comme des soumets de forge, el.
c'est à peine s'il lui reste assez de force pour écarter de sa tête les chiens
les plus acharnés... Boissec est descendu de cheval et a tiré son couteau
de chasse du fourreau... J'ai beau faire, je suis toujours ému par ce
dénoûment !
Puisqu'il était inévitable, j'aime autant qu'il se soit produit avant que
nous n'ayons atteint la cavée de l'Homme-Mort...
CRAFTY.
Tout en regardant le pillage du vieux pavillon, j'aperçus la grande
fenêtre et je songeai au roi allumant la fusée volante.
Trois heures et demie sonnaient, je me levai, je traversai la foule
qui encombrait la rue de Rivoli, je pris une rue sombre, déserte,
humide où le soleil ne pénètre pas, et je me trouvai devant St-Hoch.
— J'entrai. Un flot d'harmonie pompeuse et un air lourd, chaud,
rendu épais par les parfums de l'encens et la fumée des cierges me
saisirent à la gorge. Je changeais trop brusquement de milieu. Il faisait
sombre et je n'aperçus d'abord que l'éclat jaunâtre des grands cier-
ges qui brûlaient au-dessus des têtes découvertes ; mais mon œil s'ha-
bitua bientôt aux profondeurs de ce clair-obscur, et je distinguai les
riches toilettes, les grands chandeliers d'or et l'autel étincelant.
Puis tout cessa, et au milieu du silence un monsieur fort bien mis
se passa la main dans les cheveux et chanta un ravissant morceau.
— J'aurais demandé bis si je n'avais craint de me faire remarquer.
Le chœur était plein de prêtres, de chantres et d'enfants vêtus en
blanc; — sur les crânes brillants des vieillards assis dans les stalles,
le reflet des cierges formait une traînée lumineuse, ainsi que la
flamme d'une bougie sur la surface polie d'un marbre. — Autour
des boiseries, des hommes se hissaient pour voir les chanteurs, et
après chacun de ces soli des milliers de voix, un instant contenues,
reprenaient en chœur et s'élançaient avec fracas commeleseauxécu-
mantes d'une écluse qu'on ouvre.
Il y avait dans cette mise en scène un charme si réel, une puis-
sance si communicative que... je m'assis sur une chaise.
Je songeai malgré moi à l'origine de ce culte tout ruisselant d'or
et de soie et j'allais m'étonner, quand j'aperçus la nuque blanche et
satinée d'une adorable petite dévote qui, précipitée sur son prie-Dieu
s'abîmait avec une grâce adorable dans une prière ardente. Sa tête
pieusement inclinée vers la droite et que cachait sa petite main gan-
tée, donnait à son cou une ondulation délicieuse. — Ses cheveux d'un
blond cendré passaient en se tordant sous son chapeau bleu tendre.
L'amour de petite pécheresse ! Comme on sentait que dans cette
prosternation si basse, son cœur s'élançait coquettement vers son
créateur, tandis que sa robe de velours s'écartait autour d'elle en ri..
ches plis profonds.
Alors je compris que ce culte pompeux où le cuivre doré, les bou-
gies en pyramides et les fleurs artificielles jouent un si grand rôle
était bien celui qui convient à ces mignonnes dévotes. Je vis que les
bandeaux à la russe ne choquaient point dans ce décor d'opéra et
que le parfum de poudre Ù. la duchesse qui s'échappait des livres de
messe, se mariait à ravir au parfum de l'encens.
A la porte de l'église, deux dames noyées dans des flots de satin,
marivaudaient en montrant leurs dents blanches avec leur cavalier,
et agitaient une bourse en velours rouge, d'où s'échappait un. petit
bruit étincelant. — De temps en temps le cavalier lançait aux pas-
sants d'une voix rieuse ou brève, suivant le cours de la conversation,
ces mots : Pour les enfants de Saint-Vincent de Paul!
Un autre cavalier, raide, droit, effilant sa moustache vous regar-
dait en face et semblait vous dire : Vous trouvez cela drôle, monsieur?
— Comment donc, au contraire ! — Je laissai tomber une petite
pièce qui fit toc, et je saluai en poussant la portière.
Y.
UN DÉBUCHER A VUE
L'animal de meute, un' cerf 11 sa quatrième tête, vient do sauter .i la
plaine. M. de V... qui depuis le lancer n'a pas quitté la queue des chiens
a crié, tayaut! en franchissant le fossé qui longe la lisière du bois, et
Boissec, le premier piqueur, qui le suit comme son ombre, fonne la vue
à pleins poumons :
Tu rirais bien,
Tu rirais trop...
De leur côté, les chiens font vacarme et redoublent d'efforts. L'animal
sent que toutes les ruses sont désormais inutiles, il n'a qu'un espoir, ga-
gner la meute de vitesse 1 et il file en ligne droite, le bois rejeté en ar-
rière.
Toute la chasse est sortie à la plaine : les vestes rouges brillent au so-
leil, les bottes vernies a revers ont des brillants comme des flacons de
cristal, et les trompes des piqueurs bosselées en maint endroit par un
long usage, ont des reflets dorés à l'aire rêver un changeur. C'est une fête
pour les yeux et pour les oreilles. Aussi quel entrain parmi les chasseurs !
Ils ont tous des ligures épanouies, rayonnantes, comme on n'en voit que
dans les apothéoses ! Si vous ne comprenez pas leur joie, c'est que vous
ne savez pas tout ce que promet un débucher ',t vue. Il ne s'agit de
rieni'ioins que d'une course au clocher — et quelle course ! une coirse,
dont le but est inconnu, et la durée subordonnée à la vigueur de l'ani-
mal qu'on poursuit.
Pour les chevaux, l'animation n'est pas moins grande que pour les
chasseurs. — La plaine ! c'est la possibilité de courir de toute sa vi-
tesse, sans rencontrer des troncs d'arbres qui vous forcent perpétuelle-
ment à vous détourner de votre chemin, c'est la liberté, c'est la ligne
droite. En avant, en avant ! tel est le désir commun. Et les chiens ga-
loppent ventre à terre, tandis que les cavaliers raccourcissant leurs
rênes, modèrent prudemment le nouvel élan de leurs montures.— Il ne
suffit pas d'aller vite, il faut encore ne pas s'essouffler, et l'on ne saurait
trop ménager ses forces, quand l'avenir est inconnu.
Ce qu'on sait, — c'est qu'on entre en plaine : mais de quel côté de la
plaine ? voilà ce qu'on ignore. — Est-ce il droite ou à gauche ? A droite,
le terrain est uni, et c'est à peine si l'on rencontre quelques fossés...
mais à gauche, il y a les barrières fixes, qui entourent les pâturages du
grand Claude, et la petite rivière de B... et le barrage, et le bras qui se
termine au moulin... Après quoi l'on trouve la cavée de l'IIomme-Alort,
ce maudit chemin encaissé, bordé de haies, et labouré d'ornières de deux
pieds de profondeurs, où de S.., s'est cassé la clavicule l'hiver passé...
Pour mon compte, je ne serais pas fâché que la chasse prît une autre
direction.— Enfin, si l'on passe par là, il faudra faire comme les autres,
quitte à y rester.
Après la cavée, il y a une descente... qui descend même beaucoup...
et qui nous conduit à la vallée du L... qui est large et profond... Pour
trouver un pont .. c'est trop loin! il faudra le passer à la nage , un fait
d'armes qui mériterait d'aller à la postérité ! malheureusement Boileau
est mort)... Je sais, en outre, qu'après cette maudite rivière, il y a une
barrière fixe (voilà un mot d'une justesse navrante), qui mesure cinq
pieds de haut... Pour un militaire te n'est pas assez, mais pour une bar-
rière c'est trop, surtout quand elle est fixe ! Les Anglais ont plus d'une
supériorité sur nous, et l'on a bien raison de dire que leur civilisation est
plus avancée que la nôtre ! Je sais de l'autre côté de la Manche, des équi-
pages de renard où les chasseurs n'ont pas à se préoccuper de ces
détails. On rencontre une barrière fixe, très-bien ! c'est aux hommes de
l'équipage à briser le premier barreau... Entendons-nous! il ne s'agit pas
de le briser comme le premier venu pourrait le faire, en descendant de
cheval et en frappant avec un instrument quelconque, marteau ou merlin;
point du tout! on s'élance à toute volée sur l'obstacle, et s'il ne rompt
pas au premier choc, un second cavalier renouvelle l'opération. Singu-
lière profession, direz-vous? Qu'importe! ils sont payés pour cela, et les
gentlemen passent facilement l'obstacle décapité t... Décidément la pré-
voyance n'est pas unè qualité à dédaigner.
Cependant, le bois commence à s'effacer dans le lointain ; c'est
à peine si, en se retournant, l'on aperçoit la ligne rougeâtre des arbres
dépouillés par l'hiver. Le cerf fuit toujours avec une rapidité vertigi-
neuse, mais on voit qu'il n'a plus la même liberté d'allures, et le gros des
chiens commence à le gagner de vitesse ; nous allons avoir un hallali
courant!... Pauvre animai, sa langue desséchée pend longue d'une aune
hors de sa bouche; l'intérieur de ses naseaux, démesurément ouverts, se
teint d'un rouge aussi intense que le foyer d'un maréchal-ferrant ; ses
veines se détachent en saillies énormes qui figurent autant de serpents
enlacés autour de ses membres... Les bonds qu'il te reste à faire sont
comptés, et ton bois ne prendra jamais son cinquième andouiller! Tout
est fini, l'animal s'est arrêté, immobile sur ses quatre jambes raides
comme des pieux, ses flancs s'agitent comme des soumets de forge, el.
c'est à peine s'il lui reste assez de force pour écarter de sa tête les chiens
les plus acharnés... Boissec est descendu de cheval et a tiré son couteau
de chasse du fourreau... J'ai beau faire, je suis toujours ému par ce
dénoûment !
Puisqu'il était inévitable, j'aime autant qu'il se soit produit avant que
nous n'ayons atteint la cavée de l'Homme-Mort...
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