Titre : La Vie parisienne : moeurs élégantes, choses du jour, fantaisies, voyages, théâtres, musique, modes / par Marcellin
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1864
Contributeur : Marcelin, Émile (1825-1887). Fondateur de la publication. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328892561
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 1864 1864
Description : 1864 (A2,N1)- (A2,N25). 1864 (A2,N1)- (A2,N25).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse Collection numérique : Bibliographie de la presse
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1256583w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LC13-81
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/06/2016
102 LA VIE PARISIENNE
UN BAL D'ENFANTS.
La porte cochère de l'hôtel est ouverte ,i deux battants et, dans la
cour sablée, les équipages s'arrêtent avec fracas sous la marquise du
grand perron. Les valets de pied enveloppés de fourrures se précipitent
aux portières et des volées d'enfants déguises s'élancent en riant vers le
vestibule. Tout est en fête et en joie dans ce bienheureux hôtel. Les
chevaux piaffent sous les harnais vernis — les cochers lancent du haut
de leur trône le hopp sonore en tirant sur les rênes, les valets traversent
en courant et heurtent les mitrons qui se rendent à l'office. Les têtes
joyeuses apparaissent aux fenêlres et le gros suisse en cravate blanche
élargit sa poitrine et redresse la tête sous les regards curieux de la foule
amassée.
Qu'est-ce donc que tout ce vacarme cette file de voitures' et tout ce
petit monde poudre, masqué, qu'on aperçoit derrière les vitres? pour-
quoi cette forêt de fleurs qui garnit le vestibule et cache à moitié le
grand c;norifère? Pourquoi tous ces laquais en mollets blancs?
Tu le demandes, passant blasé qui restes la sur le trottoir entortillé
dans ton paletot rapé? Le son rauque des cornes ne t'a-t-il donc point
reveillé ce matin ? n'as-tu donc pas entendu crier l'ordre et la marche
delà grosse bête? n'as-lu point de calendrier? ne sais-tu point que le
dimanche gras commence et que la maHresse de céans fait danser au-
jourd'hui, en plein midi, toute la marmaille du faubourg?
On a matelassé les fenêtres du grand salon et allumé le lustre de cris-
tal. Dans les coins, les hauts candélabres qui portent sur leur tête des
vieux nègres en ébène brillent au milieu des fleurs et des plantes exo-
tiques dont les feuilles pointues chatouillent de leur extrémité les amours
joufflus qui sourient au plafond sous leur vieil or rougi.
L'orcheslre accorde ses violons dans le salon voisin, et la foule joyeuse
des pierrots et des pierrettes, des arlequins et des marquis, des bergers
et des gardes françaises s'agite et s'impatiente.
Avez vous jamais vu rien de plus charmant que cette fourmilière de
bambins empanachés, se poussant, se heurtant et contenant mal leur joie
bruyante ? n'est-il pas vrai que la gaité vous gagne et qu'on se trouve
bien sot d'avoir quarante ans?
Voyez-vous dans ce coin cette marquise de dix ans avec sa poudre et
ses trois mouches; comme elle minaude sous son éventail de plumes!
Déjà coquette, petite amie? déjà coquette et déjà cruelle. Vois un peu ce
gros pierrot que tu viens d'éconduire, comme il s'en revient penaud, na-
vré, honteux. Comme il est rouge sous sa farine. — Le pauvre enfant.
Il est donc bien charmant ce garde-Française que tu lui préfères, et qui
te sourit en faisant semblant d'effiler sa moustache pour rire. Qui t'a ap-
pris ces jolis airs de tête et ces petits mouvements dédaigneux, ces re-
gards langoureux et celte façon charmante de sourire à moitié ; dis-le,
petite marquise, qui t'a appris cela ? Vois-tu comme on te regarde, comme
les hommes te lorgnent en souriant?
A dix ans, se disent-ils, c'est à mourir de rire; mais j'ai idée que plus
tard tu les feras pleurer.
Allons mon gros pierrot trop sensible, console-toi de ta marquise en
invitant une bergère.
Au premier coup d'archet, tout est en branle, tous les petits pieds se
lèvent et s'abaissent sans souci de la mesure, mais avec un vacarme si
joyeux !
— Est-ce une polka? dit une bergère en passant.
— Je crois que c'est une valse, risque un mousquetaire gris.
— Je vous dis que c'est un quadrille, ajoute avec importance un pêcheur
napolitain. Et tous trois rentrent dans la mélée en disant : au fond, ça
m'est bien égal; sautons toujours, nous verrons bien après; et au milieu
du tumulte, quelques-uns font un faux pas et roulent sur le parquet, ils
se relèvent bien vite sans que leur mésaventure ait fait autre chose
que d'augmenter leur joie.
Il y a dans tout ce cahos un tel élan de gaieté et de bonne humeur, de
franchise et de naïveté, un mélange si charmant d'affectation comique et
d'enfantines maladresses, — tant déjoués roses et tant de mains potelées,
des r;res si convaincus, des lèvres si vermeilles et des yeux si brillants;
tant d'ignorance, de confiance et de bonheur, un charme si pur dans ces
cris argentins , qu'on serait tenté de saluer cette marmaille , comme on
salue le printemps lorsqu'on le voit passer.
Ah! mes chers amours que vous êtes donc gentils ?
Profitez du soleil — pressez dans vos dix doigts roses ce bon fruit
savoureux qu'on nomme la jeunesse.
Quand je pense que je me suis comme vous déguisé en pierrot; que le
carnaval me faisait frémir d'aise et que j'en rêvais la nuit ! Il faut dire
qu'autrefois... Eh bien ! oui : autrefois le carnaval était splendide, c'était
une fête incomparable et pendant trois jours Paris devenait fou. Je vois
encore ces longues files de voitures qui sillonnaient les rues et les boule-
vards. Les milliers de masques qui couraient en criant et les municipaux
en culotte blanche qui contenaient la foule. Que je les aimais, ces bons
municipaux qu'on retrouvait à chaque fête calmes et brillants sur leurs
beaux grands chevaux !
Pendant trois jours une rumeur joyeuse me bourdonnait dans les
oreilles comme l'écho confus d'immenses éclats de rire. Dd lourdes ta-
pissières passaient remplies de masques, au milieu des clameurs. On
criait, on courait, on se bousculait; c'était un tumulte adorable, puis
tout à coup la fourmilière s'entr'ouvrait et dans ce sillon humain s'élan-
çait comme dans un rêve, une chaise de poste encombrée de masques qui
lançaient des dragées et la foule hurlante courait à perdre haleine derrière
ce char de la folie. Les roues lançaient, s'il m'en souvient, des étincelles
d'or qui m'aveuglaient les yeux et au milieu de ces cliquetis charivari-
ques de couleurs étranges et disparates, au milieu de ce tumulte et de ces
cris, de ces rires et de cette ivresse, je restais abasourdi, pétrifié et dans
mon bonheur je jet'J.s un œil d'envie sur le municipal si bien placé pour
tout voir.
Que s'est-il donc passé depuis ces jours heureux ou la fanfare des
trompes s'échappant de la boutique des marchands de vins me faisait
boudir le cœur etm'arrachaientdes larmes d'impatience? Le carnaval a-t-il
donc mis de l'eau clans son champagne?pourquoi les pierrots me semblent-
ils si tristes et les arlequins si rêveurs ; pourquoi ne fais-je plus de diffé-
rence entre le mardi gras et le mercredi des cendres, qu'est devenu ce
vacarme des cavalcades empanachées et des voitures pleines de grands
seigneurs couverts d'or, de velours et de soie ? — Pourquoi le char du
bœuf gras ne contient-il plus maintenant que de simples mortels grelot-
tant de froid sous des maillots rapiécés? Pourquoi peu à peu s'est-il
envolé et ce brillant mirage s'est-il évanoui ?
Faut-il donc que chaque année qui passe nous creuse une ride et nous
arrache un cheveu? Faut-il que chaque hiver nous enlève une parcelle
de chaleur et nous laisse en partant avec un frisson de plus?
11 avait donc raison, mon pauvre vieux grand-père, lorsqu'en s'entortil-
lant dans sa douillette, il me disait : « Mon garçon, la terre se refroidit. Je
» me souviens que dans ma jeunesse on mordait à pleines dents dans des
s abricots succulents et dorés qui ne coûtaient qu'un sou. Je me sou-
» viens que les raisins étaient gros comme des noisettes, et qu'à la fin
» d'avril on sortait en culottes de nankin... Ah! tout est bien changé,
» mon garçon ; la terre se refroidit. »
Et le pauvre homme mourut en croyant que le soleil s'éteignait.
Il avait bien raison, le vieux grand-père; c'est la jeunesse, c'est la
chaleur, c'est le soleil qui dore les abricots; c'est la médaille sans revers ;
c'est la joie sons regrets ; c'est la coupe pleine de Syracuse qu'on dé-
guste à longs traits ou à petites gorgées, mais qui se tarit vite et ne se
remplit pas.
Z.
UN BAL D'ENFANTS.
La porte cochère de l'hôtel est ouverte ,i deux battants et, dans la
cour sablée, les équipages s'arrêtent avec fracas sous la marquise du
grand perron. Les valets de pied enveloppés de fourrures se précipitent
aux portières et des volées d'enfants déguises s'élancent en riant vers le
vestibule. Tout est en fête et en joie dans ce bienheureux hôtel. Les
chevaux piaffent sous les harnais vernis — les cochers lancent du haut
de leur trône le hopp sonore en tirant sur les rênes, les valets traversent
en courant et heurtent les mitrons qui se rendent à l'office. Les têtes
joyeuses apparaissent aux fenêlres et le gros suisse en cravate blanche
élargit sa poitrine et redresse la tête sous les regards curieux de la foule
amassée.
Qu'est-ce donc que tout ce vacarme cette file de voitures' et tout ce
petit monde poudre, masqué, qu'on aperçoit derrière les vitres? pour-
quoi cette forêt de fleurs qui garnit le vestibule et cache à moitié le
grand c;norifère? Pourquoi tous ces laquais en mollets blancs?
Tu le demandes, passant blasé qui restes la sur le trottoir entortillé
dans ton paletot rapé? Le son rauque des cornes ne t'a-t-il donc point
reveillé ce matin ? n'as-tu donc pas entendu crier l'ordre et la marche
delà grosse bête? n'as-lu point de calendrier? ne sais-tu point que le
dimanche gras commence et que la maHresse de céans fait danser au-
jourd'hui, en plein midi, toute la marmaille du faubourg?
On a matelassé les fenêtres du grand salon et allumé le lustre de cris-
tal. Dans les coins, les hauts candélabres qui portent sur leur tête des
vieux nègres en ébène brillent au milieu des fleurs et des plantes exo-
tiques dont les feuilles pointues chatouillent de leur extrémité les amours
joufflus qui sourient au plafond sous leur vieil or rougi.
L'orcheslre accorde ses violons dans le salon voisin, et la foule joyeuse
des pierrots et des pierrettes, des arlequins et des marquis, des bergers
et des gardes françaises s'agite et s'impatiente.
Avez vous jamais vu rien de plus charmant que cette fourmilière de
bambins empanachés, se poussant, se heurtant et contenant mal leur joie
bruyante ? n'est-il pas vrai que la gaité vous gagne et qu'on se trouve
bien sot d'avoir quarante ans?
Voyez-vous dans ce coin cette marquise de dix ans avec sa poudre et
ses trois mouches; comme elle minaude sous son éventail de plumes!
Déjà coquette, petite amie? déjà coquette et déjà cruelle. Vois un peu ce
gros pierrot que tu viens d'éconduire, comme il s'en revient penaud, na-
vré, honteux. Comme il est rouge sous sa farine. — Le pauvre enfant.
Il est donc bien charmant ce garde-Française que tu lui préfères, et qui
te sourit en faisant semblant d'effiler sa moustache pour rire. Qui t'a ap-
pris ces jolis airs de tête et ces petits mouvements dédaigneux, ces re-
gards langoureux et celte façon charmante de sourire à moitié ; dis-le,
petite marquise, qui t'a appris cela ? Vois-tu comme on te regarde, comme
les hommes te lorgnent en souriant?
A dix ans, se disent-ils, c'est à mourir de rire; mais j'ai idée que plus
tard tu les feras pleurer.
Allons mon gros pierrot trop sensible, console-toi de ta marquise en
invitant une bergère.
Au premier coup d'archet, tout est en branle, tous les petits pieds se
lèvent et s'abaissent sans souci de la mesure, mais avec un vacarme si
joyeux !
— Est-ce une polka? dit une bergère en passant.
— Je crois que c'est une valse, risque un mousquetaire gris.
— Je vous dis que c'est un quadrille, ajoute avec importance un pêcheur
napolitain. Et tous trois rentrent dans la mélée en disant : au fond, ça
m'est bien égal; sautons toujours, nous verrons bien après; et au milieu
du tumulte, quelques-uns font un faux pas et roulent sur le parquet, ils
se relèvent bien vite sans que leur mésaventure ait fait autre chose
que d'augmenter leur joie.
Il y a dans tout ce cahos un tel élan de gaieté et de bonne humeur, de
franchise et de naïveté, un mélange si charmant d'affectation comique et
d'enfantines maladresses, — tant déjoués roses et tant de mains potelées,
des r;res si convaincus, des lèvres si vermeilles et des yeux si brillants;
tant d'ignorance, de confiance et de bonheur, un charme si pur dans ces
cris argentins , qu'on serait tenté de saluer cette marmaille , comme on
salue le printemps lorsqu'on le voit passer.
Ah! mes chers amours que vous êtes donc gentils ?
Profitez du soleil — pressez dans vos dix doigts roses ce bon fruit
savoureux qu'on nomme la jeunesse.
Quand je pense que je me suis comme vous déguisé en pierrot; que le
carnaval me faisait frémir d'aise et que j'en rêvais la nuit ! Il faut dire
qu'autrefois... Eh bien ! oui : autrefois le carnaval était splendide, c'était
une fête incomparable et pendant trois jours Paris devenait fou. Je vois
encore ces longues files de voitures qui sillonnaient les rues et les boule-
vards. Les milliers de masques qui couraient en criant et les municipaux
en culotte blanche qui contenaient la foule. Que je les aimais, ces bons
municipaux qu'on retrouvait à chaque fête calmes et brillants sur leurs
beaux grands chevaux !
Pendant trois jours une rumeur joyeuse me bourdonnait dans les
oreilles comme l'écho confus d'immenses éclats de rire. Dd lourdes ta-
pissières passaient remplies de masques, au milieu des clameurs. On
criait, on courait, on se bousculait; c'était un tumulte adorable, puis
tout à coup la fourmilière s'entr'ouvrait et dans ce sillon humain s'élan-
çait comme dans un rêve, une chaise de poste encombrée de masques qui
lançaient des dragées et la foule hurlante courait à perdre haleine derrière
ce char de la folie. Les roues lançaient, s'il m'en souvient, des étincelles
d'or qui m'aveuglaient les yeux et au milieu de ces cliquetis charivari-
ques de couleurs étranges et disparates, au milieu de ce tumulte et de ces
cris, de ces rires et de cette ivresse, je restais abasourdi, pétrifié et dans
mon bonheur je jet'J.s un œil d'envie sur le municipal si bien placé pour
tout voir.
Que s'est-il donc passé depuis ces jours heureux ou la fanfare des
trompes s'échappant de la boutique des marchands de vins me faisait
boudir le cœur etm'arrachaientdes larmes d'impatience? Le carnaval a-t-il
donc mis de l'eau clans son champagne?pourquoi les pierrots me semblent-
ils si tristes et les arlequins si rêveurs ; pourquoi ne fais-je plus de diffé-
rence entre le mardi gras et le mercredi des cendres, qu'est devenu ce
vacarme des cavalcades empanachées et des voitures pleines de grands
seigneurs couverts d'or, de velours et de soie ? — Pourquoi le char du
bœuf gras ne contient-il plus maintenant que de simples mortels grelot-
tant de froid sous des maillots rapiécés? Pourquoi peu à peu s'est-il
envolé et ce brillant mirage s'est-il évanoui ?
Faut-il donc que chaque année qui passe nous creuse une ride et nous
arrache un cheveu? Faut-il que chaque hiver nous enlève une parcelle
de chaleur et nous laisse en partant avec un frisson de plus?
11 avait donc raison, mon pauvre vieux grand-père, lorsqu'en s'entortil-
lant dans sa douillette, il me disait : « Mon garçon, la terre se refroidit. Je
» me souviens que dans ma jeunesse on mordait à pleines dents dans des
s abricots succulents et dorés qui ne coûtaient qu'un sou. Je me sou-
» viens que les raisins étaient gros comme des noisettes, et qu'à la fin
» d'avril on sortait en culottes de nankin... Ah! tout est bien changé,
» mon garçon ; la terre se refroidit. »
Et le pauvre homme mourut en croyant que le soleil s'éteignait.
Il avait bien raison, le vieux grand-père; c'est la jeunesse, c'est la
chaleur, c'est le soleil qui dore les abricots; c'est la médaille sans revers ;
c'est la joie sons regrets ; c'est la coupe pleine de Syracuse qu'on dé-
guste à longs traits ou à petites gorgées, mais qui se tarit vite et ne se
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