Titre : Dictionnaire de la musique ([Nouvelle éd.]) / Larousse ; sous la direction de Marc Vignal
Auteur : Larousse. Auteur du texte
Éditeur : Larousse (Paris)
Date d'édition : 2005
Contributeur : Vignal, Marc (1933-....). Directeur de publication
Sujet : Musique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb40090332s
Type : monographie imprimée monographie imprimée
Langue : français
Format : 1 vol. (923 p.-160 p. de pl.) : ill. en noir et... 1 vol. (923 p.-160 p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. et jaquette ill. en coul. ; 29 cm
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Description : Avec mode texte Avec mode texte
Description : Dictionnaires Dictionnaires
Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Larousse
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1200510r
Source : Larousse, 2012-129497
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 10/12/2012
DICTIONNAIRE DE LA MUSIQUE
de sa formation au sein de l’école française
sous l’influence de l’opéra italien, est très
habilement écrite. Elle vaut plus par la
qualité de son inspiration mélodique que
par sa force dramatique.
FLÜGEL (all. : « aile »).
Ce nom désigne en langue allemande soit
un grand clavecin, soit un piano à queue,
instruments dont la forme évoque celle
d’une aile. Le terme se retrouve dans des
noms composés comme Hammerflügel.
FLÛTE.
Instrument à vent de la catégorie des
« bois » et, vraisemblablement, le plus an-
cien de tous les instruments à l’exception
des percussions.
La flûte est, en effet, sous sa forme pri-
mitive, un simple sifflet que la nature four-
nit presque tout fait : tronçon de bambou
ou de roseau, os creux, etc. L’air insufflé
dans ce corps sonore, en se brisant sur le
bord d’une de ses deux ouvertures, suffit à
le faire entrer en vibration. Bien entendu,
ce sifflet n’émet qu’une note. Mais si l’on
en juxtapose plusieurs, de longueurs dif-
férentes, le nombre des notes émises est
multiplié d’autant ; c’est le principe de la
flûte de Pan. Une autre solution consiste
à percer dans le corps de l’instrument
des trous que l’exécutant bouche avec
ses doigts, de manière à produire la note
grave fondamentale quand tous les trous
sont bouchés. Ce type de flûte est de loin
le plus répandu, sous les formes les plus
variées, et cela dans presque toutes les ci-
vilisations. En Europe occidentale, la flûte
droite et la flûte traversière coexistent
depuis le haut Moyen Âge.
La vogue actuelle de la musique et des
instruments anciens a réhabilité la pre-
mière, appelée aussi flûte à bec ou flûte
douce (flauto dolce en italien, Blockflöte
en allemand, recorder en anglais). Comme
l’un de ses noms l’indique, elle comporte
un bec, du même bois que le tube de perce
conique, qui dirige le souffle de l’exécu-
tant sur la tranche d’un biseau. Il en existe
une famille entière, de la basse au sopra-
nino, mais l’instrument concertiste par
excellence est l’alto (2 octaves du fa3 au
fa5), avec un abondant répertoire illustré
notamment par Bach, Telemann, Haendel
et Vivaldi.
La flûte traversière, dont l’embou-
chure est un simple trou latéral, a l’avan-
tage d’être plus sonore et d’une plus
grande étendue ; c’est pourquoi, dès le
XVIIIe siècle, elle a supplanté la flûte à
bec, jugée trop discrète, quand les violons
eurent eux-mêmes détrôné les violes. Et
c’est aussi pourquoi elle seule a bénéficié
de tous les perfectionnements ultérieurs.
Le plus grave défaut des « bois » en géné-
ral, et de la flûte en particulier, résidait
dans le fait que les doigts de l’exécutant
ne pouvaient boucher qu’un petit nombre
de trous, d’où la nécessité, pour obtenir
les demi-tons et certaines notes aiguës, de
recourir aux doigtés « en fourche », aux
trous partiellement bouchés, aux demi-
trous et autres artifices qui ne favorisent
ni la justesse ni une exécution rapide. On
imagina de percer de nouveaux trous, fer-
més au repos par des plateaux à ressort et
ouverts à volonté par pression sur une clé.
Ainsi naquirent les flûtes à 1 clé (dispo-
sition qui a été conservée dans le fifre ré-
glementaire), 4 clés et davantage. La flûte
traversière que connut Bach ne descendait
qu’au ré3 et ne comportait que la clé de
ré dièse. La « patte d’ut » qui la prolonge
d’un ton vers le grave ne fut inventée
qu’un quart de siècle après sa mort. Mais
il appartenait au virtuose bavarois Theo-
bald Böhm (1794-1881) de créer la flûte
moderne. Le système qui porte son nom,
et qui devait être également appliqué à la
clarinette et au hautbois, n’a pas subi de
modification essentielle depuis 1832. En
revanche, le bois a été progressivement
abandonné au profit du métal, plus sonore
et plus stable (maillechort argenté, argent
et même or).
La « grande flûte » classique, longue
d’environ 67 cm et démontable en 3
parties, est percée de 13 trous que com-
mandent 9 clés et 6 plateaux ouverts ou
fermés. Son étendue dépasse 3 octaves
(de l’ut3 à l’ut6 et même au-delà pour les
meilleurs instrumentistes) et son timbre
pur, très caractéristique, lui permet de se
faire entendre dans les formations orches-
trales les plus importantes. Signalons aussi
la stridente petite flûte ou « piccolo » qui
sonne à l’octave supérieure, mais seule-
ment à partir du ré, et la grande flûte
alto, en sol, improprement appelée « flûte
basse « ; car il existe aussi une vraie flûte
basse, en ut grave, d’un usage tout à fait
exceptionnel.
FLÛTE.
À l’orgue, famille de jeux de fond de sec-
tion plus forte que les principaux, ce qui
leur confère une sonorité plus douce et
plus chaleureuse. Construits en métal ou
en bois, les tuyaux du jeu de flûte peuvent
être cylindriques, mais aussi coniques, ou
bouchés et percés d’une cheminée. Au
XIXe siècle, on a fait donner à certains jeux
de flûte, soumis à une pression plus élevée,
l’octave supérieure (flûte « harmonique »
et flûte « octaviante »), et l’harmonique
3 ( → QUINTATON). La famille des jeux de
flûte s’étend du grave à l’aigu de l’instru-
ment, et se trouve représentée dans toutes
les compositions d’orgues.
FOCCROULLE (Bernard), organiste
belge (Liège 1953).
Il étudie avec Herbert Schoonbroodt au
Conservatoire de Liège, puis avec Xa-
vier Darasse, Bernard Legacé et Gustav
Leonhardt. Son intérêt pour la musique
contemporaine le porte d’emblée à in-
terpréter ce répertoire, parallèlement à
son travail sur les oeuvres baroques : de
1974 à 1976, il se produit au Festival de
Royan. Il joue la musique d’orgue du
XVe au XXe siècle, avec une prédilection
pour l’oeuvre de Bach, dont il a enregistré
l’intégrale sur des orgues historiques. Il
appartient à plusieurs ensembles de mu-
sique ancienne, dont le Ricercar Consort,
et consacre aussi une part importante de
son activité à l’enseignement - professeur
d’analyse musicale au Conservatoire de
Liège, il est régulièrement invité à don-
ner des masterclasses dans les académies
d’été. En 1992, il est nommé directeur du
Théâtre de la Monnaie à Bruxelles.
FOERSTER (Josef Bohuslav), compo-
siteur, pédagogue et critique musical
tchèque (Prague 1859 - Vestec, près de
Stará Boleslav, 1951).
Fils de Josef Foerster, organiste, com-
positeur et théoricien slovène (Osenice
1833 - Prague 1907), et neveu d’Antonin
Foerster, organiste, théoricien et chef de
choeur (Osenice 1837 - Novomesto 1926), il
reçut de son père une éducation musicale
poussée, se révéla aussi habile peintre que
musicien et écrivain, et fut témoin de la
création de nombreuses oeuvres de Sme-
tana et Dvořák en même temps que de la
querelle opposant les partisans du natio-
nalisme tchèque le plus étroit à ceux qui
voulaient s’ouvrir sur l’étranger, quitte à
devoir parler allemand. Foerster vécut à
Hambourg, où il fut professeur au conser-
vatoire et critique, occupa les mêmes fonc-
tions à Vienne à partir de 1903, fréquenta
Mahler et Richard Strauss. Nommé profes-
seur au conservatoire de Prague en 1919, il
en fut directeur de 1922 à 1931. Son oeuvre
considérable comprend essentiellement
de la musique symphonique et concer-
tante, un peu de musique de chambre et
de nombreuses compositions vocales, es-
sentiellement des choeurs. Elle émane d’un
tempérament riche, à la fois lyrique, médi-
tatif, frôlant le mysticisme, humaniste, et
capable de puissance héroïque. On lui doit
le rajeunissement de la musique chorale
tchèque. Dans le domaine de la recherche
mélodique, harmonique et rythmique, il a
permis la transition entre le romantisme
patriotique et la pureté modale de l’école
tchèque moderne.
FOLÍA (esp. : « folie »).
1. Forme musicale très utilisée dans
la musique instrumentale des XVIIe et
XVIIIe siècles. Le nom original folía dé-
signe une danse portugaise du XVIe siècle,
qui s’est par la suite répandue en Espagne
(d’où sa dénomination française cou-
rante de folies d’Espagne) ; elle entra dans
ce dernier pays au répertoire des vihue-
listes, puis conquit l’Europe à partir du
379
de sa formation au sein de l’école française
sous l’influence de l’opéra italien, est très
habilement écrite. Elle vaut plus par la
qualité de son inspiration mélodique que
par sa force dramatique.
FLÜGEL (all. : « aile »).
Ce nom désigne en langue allemande soit
un grand clavecin, soit un piano à queue,
instruments dont la forme évoque celle
d’une aile. Le terme se retrouve dans des
noms composés comme Hammerflügel.
FLÛTE.
Instrument à vent de la catégorie des
« bois » et, vraisemblablement, le plus an-
cien de tous les instruments à l’exception
des percussions.
La flûte est, en effet, sous sa forme pri-
mitive, un simple sifflet que la nature four-
nit presque tout fait : tronçon de bambou
ou de roseau, os creux, etc. L’air insufflé
dans ce corps sonore, en se brisant sur le
bord d’une de ses deux ouvertures, suffit à
le faire entrer en vibration. Bien entendu,
ce sifflet n’émet qu’une note. Mais si l’on
en juxtapose plusieurs, de longueurs dif-
férentes, le nombre des notes émises est
multiplié d’autant ; c’est le principe de la
flûte de Pan. Une autre solution consiste
à percer dans le corps de l’instrument
des trous que l’exécutant bouche avec
ses doigts, de manière à produire la note
grave fondamentale quand tous les trous
sont bouchés. Ce type de flûte est de loin
le plus répandu, sous les formes les plus
variées, et cela dans presque toutes les ci-
vilisations. En Europe occidentale, la flûte
droite et la flûte traversière coexistent
depuis le haut Moyen Âge.
La vogue actuelle de la musique et des
instruments anciens a réhabilité la pre-
mière, appelée aussi flûte à bec ou flûte
douce (flauto dolce en italien, Blockflöte
en allemand, recorder en anglais). Comme
l’un de ses noms l’indique, elle comporte
un bec, du même bois que le tube de perce
conique, qui dirige le souffle de l’exécu-
tant sur la tranche d’un biseau. Il en existe
une famille entière, de la basse au sopra-
nino, mais l’instrument concertiste par
excellence est l’alto (2 octaves du fa3 au
fa5), avec un abondant répertoire illustré
notamment par Bach, Telemann, Haendel
et Vivaldi.
La flûte traversière, dont l’embou-
chure est un simple trou latéral, a l’avan-
tage d’être plus sonore et d’une plus
grande étendue ; c’est pourquoi, dès le
XVIIIe siècle, elle a supplanté la flûte à
bec, jugée trop discrète, quand les violons
eurent eux-mêmes détrôné les violes. Et
c’est aussi pourquoi elle seule a bénéficié
de tous les perfectionnements ultérieurs.
Le plus grave défaut des « bois » en géné-
ral, et de la flûte en particulier, résidait
dans le fait que les doigts de l’exécutant
ne pouvaient boucher qu’un petit nombre
de trous, d’où la nécessité, pour obtenir
les demi-tons et certaines notes aiguës, de
recourir aux doigtés « en fourche », aux
trous partiellement bouchés, aux demi-
trous et autres artifices qui ne favorisent
ni la justesse ni une exécution rapide. On
imagina de percer de nouveaux trous, fer-
més au repos par des plateaux à ressort et
ouverts à volonté par pression sur une clé.
Ainsi naquirent les flûtes à 1 clé (dispo-
sition qui a été conservée dans le fifre ré-
glementaire), 4 clés et davantage. La flûte
traversière que connut Bach ne descendait
qu’au ré3 et ne comportait que la clé de
ré dièse. La « patte d’ut » qui la prolonge
d’un ton vers le grave ne fut inventée
qu’un quart de siècle après sa mort. Mais
il appartenait au virtuose bavarois Theo-
bald Böhm (1794-1881) de créer la flûte
moderne. Le système qui porte son nom,
et qui devait être également appliqué à la
clarinette et au hautbois, n’a pas subi de
modification essentielle depuis 1832. En
revanche, le bois a été progressivement
abandonné au profit du métal, plus sonore
et plus stable (maillechort argenté, argent
et même or).
La « grande flûte » classique, longue
d’environ 67 cm et démontable en 3
parties, est percée de 13 trous que com-
mandent 9 clés et 6 plateaux ouverts ou
fermés. Son étendue dépasse 3 octaves
(de l’ut3 à l’ut6 et même au-delà pour les
meilleurs instrumentistes) et son timbre
pur, très caractéristique, lui permet de se
faire entendre dans les formations orches-
trales les plus importantes. Signalons aussi
la stridente petite flûte ou « piccolo » qui
sonne à l’octave supérieure, mais seule-
ment à partir du ré, et la grande flûte
alto, en sol, improprement appelée « flûte
basse « ; car il existe aussi une vraie flûte
basse, en ut grave, d’un usage tout à fait
exceptionnel.
FLÛTE.
À l’orgue, famille de jeux de fond de sec-
tion plus forte que les principaux, ce qui
leur confère une sonorité plus douce et
plus chaleureuse. Construits en métal ou
en bois, les tuyaux du jeu de flûte peuvent
être cylindriques, mais aussi coniques, ou
bouchés et percés d’une cheminée. Au
XIXe siècle, on a fait donner à certains jeux
de flûte, soumis à une pression plus élevée,
l’octave supérieure (flûte « harmonique »
et flûte « octaviante »), et l’harmonique
3 ( → QUINTATON). La famille des jeux de
flûte s’étend du grave à l’aigu de l’instru-
ment, et se trouve représentée dans toutes
les compositions d’orgues.
FOCCROULLE (Bernard), organiste
belge (Liège 1953).
Il étudie avec Herbert Schoonbroodt au
Conservatoire de Liège, puis avec Xa-
vier Darasse, Bernard Legacé et Gustav
Leonhardt. Son intérêt pour la musique
contemporaine le porte d’emblée à in-
terpréter ce répertoire, parallèlement à
son travail sur les oeuvres baroques : de
1974 à 1976, il se produit au Festival de
Royan. Il joue la musique d’orgue du
XVe au XXe siècle, avec une prédilection
pour l’oeuvre de Bach, dont il a enregistré
l’intégrale sur des orgues historiques. Il
appartient à plusieurs ensembles de mu-
sique ancienne, dont le Ricercar Consort,
et consacre aussi une part importante de
son activité à l’enseignement - professeur
d’analyse musicale au Conservatoire de
Liège, il est régulièrement invité à don-
ner des masterclasses dans les académies
d’été. En 1992, il est nommé directeur du
Théâtre de la Monnaie à Bruxelles.
FOERSTER (Josef Bohuslav), compo-
siteur, pédagogue et critique musical
tchèque (Prague 1859 - Vestec, près de
Stará Boleslav, 1951).
Fils de Josef Foerster, organiste, com-
positeur et théoricien slovène (Osenice
1833 - Prague 1907), et neveu d’Antonin
Foerster, organiste, théoricien et chef de
choeur (Osenice 1837 - Novomesto 1926), il
reçut de son père une éducation musicale
poussée, se révéla aussi habile peintre que
musicien et écrivain, et fut témoin de la
création de nombreuses oeuvres de Sme-
tana et Dvořák en même temps que de la
querelle opposant les partisans du natio-
nalisme tchèque le plus étroit à ceux qui
voulaient s’ouvrir sur l’étranger, quitte à
devoir parler allemand. Foerster vécut à
Hambourg, où il fut professeur au conser-
vatoire et critique, occupa les mêmes fonc-
tions à Vienne à partir de 1903, fréquenta
Mahler et Richard Strauss. Nommé profes-
seur au conservatoire de Prague en 1919, il
en fut directeur de 1922 à 1931. Son oeuvre
considérable comprend essentiellement
de la musique symphonique et concer-
tante, un peu de musique de chambre et
de nombreuses compositions vocales, es-
sentiellement des choeurs. Elle émane d’un
tempérament riche, à la fois lyrique, médi-
tatif, frôlant le mysticisme, humaniste, et
capable de puissance héroïque. On lui doit
le rajeunissement de la musique chorale
tchèque. Dans le domaine de la recherche
mélodique, harmonique et rythmique, il a
permis la transition entre le romantisme
patriotique et la pureté modale de l’école
tchèque moderne.
FOLÍA (esp. : « folie »).
1. Forme musicale très utilisée dans
la musique instrumentale des XVIIe et
XVIIIe siècles. Le nom original folía dé-
signe une danse portugaise du XVIe siècle,
qui s’est par la suite répandue en Espagne
(d’où sa dénomination française cou-
rante de folies d’Espagne) ; elle entra dans
ce dernier pays au répertoire des vihue-
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