DICTIONNAIRE DE LA MUSIQUE
instruments à vent, un coup* de langue
répété à une cadence très rapide, une
sorte de roulement lingual qui produit
un effet de trémolo. Cette technique,
qui s’applique notamment à la flûte ainsi
qu’à quelques autres instruments dont la
trompette, semble avoir été employée dès
le début du XIXe siècle, mais elle est parti-
culièrement à l’honneur dans la musique
contemporaine.
FLAUTATO.
Dans les instruments à cordes frottées,
technique qui consiste à promener légè-
rement l’archet sur la touche pour obtenir
une sonorité flûtée.
FLECHA (Juan Mateo, dit FLECHA L’AN-
CIEN), compositeur espagnol (Prades,
Pyrénées-Orientales, 1481 - monastère
de Poblet, près de Tarragone, 1553).
Ce carme fut chantre, puis maître de cha-
pelle à la cathédrale de Lérida (1523) et
maître de musique des infantes de Cas-
tille, filles de Charles Quint. Son oeuvre
comprend des pages religieuses, publiées
en partie par Miguel de Fuenllana dans
son Orphenica Lira (Séville, 1554), et des
ensaladas à 4 ou 5 voix qui, écrites sur des
textes latins, catalans, castillans, italiens
ou français, rejoignent la chanson fran-
çaise par l’importance réservée à la mélo-
die, par le propos généralement descriptif
et la variété de l’expression.
FLECHA (Fray Mateo, dit FLECHA LE
JEUNE), poète et compositeur espagnol
(Prades, Pyrénées-Orientales, 1530 -
monastère de Portella, prov. de Solsona,
1604).
Neveu de Juan Mateo Flecha et, comme
lui, carme, il entra en 1543 au service
des infantes de Castille. On le retrouve
en Italie en 1564. Il accompagna Maria,
épouse de l’empereur Maximilien II, à la
cour d’Autriche, où il occupa les postes
de chapelain et de chantre de la chapelle
impériale (1568). En 1579, il devint abbé
à Tihany en Hongrie, puis retourna en
Espagne en 1599 pour finir ses jours avec
le titre d’abbé au monastère de Portella.
Un recueil de madrigaux à 4 et 5 voix de
sa composition, dédié à Maximilien II,
parut à Venise en 1568. À l’exception d’un
seul texte en langue espagnole, l’ensemble
est en italien et constitue un bon exemple
du genre. Flecha composa également une
pièce instrumentale a 5 (Harmonia), ainsi
que des ensaladas parues à Prague en 1581
dans un recueil comportant aussi des
oeuvres de son oncle.
FLENTROP, facteurs d’orgues néer-
landais du XXe siècle. Ils ont restauré
plusieurs instruments historiques (Alk-
maar, 1940-1949 ; Zwolle, 1953-1955)
et construit des orgues en Europe et en
Amérique du Nord.
Les Flentrop pratiquent une facture de
tradition baroque, à traction mécanique.
FLESCH (Carl), violoniste et pédagogue
hongrois (Wieselburg, Moson, 1873 -
Lucerne 1944).
Il étudia au conservatoire de Vienne avec
Grün et à celui de Paris avec Sauzay et
Marsick. Il donna son premier concert à
Vienne en 1895, et sa carrière de virtuose
prit une ampleur internationale à partir
des premières années du siècle. Parallèle-
ment, il eut une activité constante d’ensei-
gnement, notamment aux conservatoires
de Bucarest et d’Amsterdam, à Berlin, où
il dirigea en particulier un cours de per-
fectionnement à la Hochschule für Musik
(1921-1923), et au Curtis Institute de Phi-
ladelphie (1924-1928). Ce fut l’un des plus
grands pédagogues modernes du violon.
Il compta parmi ses élèves Max Rostal,
Szymon Goldberg, Ida Haendel, Ginette
Neveu, Alma Moodie, Ricardo Odnopo-
soff, Henryk Szeryng et Bronislaw Gimpel.
Il a, d’autre part, laissé plusieurs ouvrages
théoriques.
FLEURET (Maurice), critique musical
français (La Talaudière, Loire, 1932 -
Paris 1990).
Après des études au Conservatoire de
Paris de 1952 à 1956, il devient conféren-
cier aux J. M. F., compose des musiques
de film et de scène, et écrit dans plu-
sieurs périodiques avant de devenir chef
de rubrique au Nouvel Observateur en
1964. Spécialiste des musiques nouvelles,
il a dirigé de nombreux festivals de mu-
sique contemporaine (Saint-Étienne en
1968, les Semaines musicales internatio-
nales de Paris de 1968 à 1974, le festival
Xenakis de Bonn en 1974) et les activités
musicales du musée d’Art moderne de la
Ville de Paris (de 1967 à 1977 et à nou-
veau depuis 1980) ; de 1977 à 1981, il est
directeur artistique du festival de Lille et il
a été directeur de la Musique au ministère
de la Culture de 1981 à 1986 et lancé alors
la fête de la Musique. Il a été en 1986 l’un
des deux fondateurs de la bibliothèque
Gustav-Mahler. Il a étudié aussi les tradi-
tions musicales lointaines (Afrique, Asie
et Amérique latine).
FLEURTIS ou FLEURETIS.
Nom donné aux XVIIe et XVIIIe siècles aux
procédés d’harmonisation à plusieurs voix
non écrites, parfois appliqués au plain-
chant par les chantres.
FLOQUET (Étienne-Joseph), composi-
teur français (Aix-en-Provence 1748 -
Paris 1785).
Élève de la maîtrise de la cathédrale Saint-
Sauveur à Aix, il remporta des succès dès
l’âge de dix ans avec ses premiers motets.
Il vint étudier à Paris en 1769, et son pre-
mier ouvrage lyrique, l’Union de l’Amour
et des Arts, fut représenté à l’Opéra en
1773. Une Chaconne qui en était tirée fit
fureur sur tous les clavecins de la capitale.
En revanche, Azolan (1774) fut comparé
défavorablement aux oeuvres de Gluck,
qui triomphaient alors, et subit un échec.
Il partit alors travailler à Naples avec Sala
et à Bologne avec le padre Martini. De
retour à Paris, il obtint le succès avec un
ouvrage de demi-caractère, la pastorale
le Seigneur bienfaisant (1780). Il voulut se
mesurer de nouveau à Gluck et composa
une partition sur le livret d’Alceste de Qui-
nault, pour l’opposer à l’oeuvre de Gluck,
représentée à Paris en 1776. Mais l’Acadé-
mie royale refusa son ouvrage. Il s’éteignit
découragé, victime d’une maladie de lan-
gueur. Cette fin prématurée priva la scène
française d’un musicien doué, ayant le
sens de l’action théâtrale.
FLOTHUIS (Marius), compositeur et
musicologue néerlandais (Amsterdam
1914).
Il a étudié la musicologie, la philologie et le
piano, mais est, en partie, autodidacte en
composition. Il a été directeur artistique
adjoint (1937-1942 et 1953-1955), puis
directeur artistique (1955-1974) de l’or-
chestre du Concertgebouw d’Amsterdam,
et enseigne depuis 1974 la musicologie à
l’université d’Utrecht. Parmi ses oeuvres,
surtout instrumentales et influencées par
Debussy, Bartók et Pijper, un Concerto
pour flûte et petit orchestre (1944), Sym-
phonische Muziek (1957), Per sonare ed as-
coltare pour flûte et orchestre (1971), Can-
zone pour quintette à vents (1978), Cantus
amoris pour orchestre à cordes (1979).
C’est un spécialiste reconnu de Mozart.
FLOTOW (Friedrich von), compositeur
allemand (Teutendorf, Mecklembourg,
1812 - Darmstadt 1883).
Il fit ses études musicales à Paris, notam-
ment avec Reicha, et connut à partir de
1836, avec des opéras écrits sur des livrets
français, ses premiers succès sur de petites
scènes de notre capitale, où il devait vivre
jusqu’en 1848, puis de 1863 à 1870. Le
Naufrage de la Méduse (1839) le consa-
cra définitivement. Alessandro Stradella
(1844) le fit connaître en Allemagne. Mar-
tha (1847) s’imposa dans toute l’Europe
comme son plus grand succès et le seul
qui se fût maintenu jusqu’à une date ré-
cente. Pourtant, à Paris, l’Ombre (1870)
fut en son temps considérée comme un
chef-d’oeuvre. Flotow, qui fut intendant
au théâtre de la cour de Schwerin de 1856
à 1863, écrivit des musiques de scène, des
ballets, des mélodies, un peu de musique
instrumentale, mais l’essentiel de son
oeuvre est constitué par une quarantaine
de partitions lyriques. Sa musique, issue
378
instruments à vent, un coup* de langue
répété à une cadence très rapide, une
sorte de roulement lingual qui produit
un effet de trémolo. Cette technique,
qui s’applique notamment à la flûte ainsi
qu’à quelques autres instruments dont la
trompette, semble avoir été employée dès
le début du XIXe siècle, mais elle est parti-
culièrement à l’honneur dans la musique
contemporaine.
FLAUTATO.
Dans les instruments à cordes frottées,
technique qui consiste à promener légè-
rement l’archet sur la touche pour obtenir
une sonorité flûtée.
FLECHA (Juan Mateo, dit FLECHA L’AN-
CIEN), compositeur espagnol (Prades,
Pyrénées-Orientales, 1481 - monastère
de Poblet, près de Tarragone, 1553).
Ce carme fut chantre, puis maître de cha-
pelle à la cathédrale de Lérida (1523) et
maître de musique des infantes de Cas-
tille, filles de Charles Quint. Son oeuvre
comprend des pages religieuses, publiées
en partie par Miguel de Fuenllana dans
son Orphenica Lira (Séville, 1554), et des
ensaladas à 4 ou 5 voix qui, écrites sur des
textes latins, catalans, castillans, italiens
ou français, rejoignent la chanson fran-
çaise par l’importance réservée à la mélo-
die, par le propos généralement descriptif
et la variété de l’expression.
FLECHA (Fray Mateo, dit FLECHA LE
JEUNE), poète et compositeur espagnol
(Prades, Pyrénées-Orientales, 1530 -
monastère de Portella, prov. de Solsona,
1604).
Neveu de Juan Mateo Flecha et, comme
lui, carme, il entra en 1543 au service
des infantes de Castille. On le retrouve
en Italie en 1564. Il accompagna Maria,
épouse de l’empereur Maximilien II, à la
cour d’Autriche, où il occupa les postes
de chapelain et de chantre de la chapelle
impériale (1568). En 1579, il devint abbé
à Tihany en Hongrie, puis retourna en
Espagne en 1599 pour finir ses jours avec
le titre d’abbé au monastère de Portella.
Un recueil de madrigaux à 4 et 5 voix de
sa composition, dédié à Maximilien II,
parut à Venise en 1568. À l’exception d’un
seul texte en langue espagnole, l’ensemble
est en italien et constitue un bon exemple
du genre. Flecha composa également une
pièce instrumentale a 5 (Harmonia), ainsi
que des ensaladas parues à Prague en 1581
dans un recueil comportant aussi des
oeuvres de son oncle.
FLENTROP, facteurs d’orgues néer-
landais du XXe siècle. Ils ont restauré
plusieurs instruments historiques (Alk-
maar, 1940-1949 ; Zwolle, 1953-1955)
et construit des orgues en Europe et en
Amérique du Nord.
Les Flentrop pratiquent une facture de
tradition baroque, à traction mécanique.
FLESCH (Carl), violoniste et pédagogue
hongrois (Wieselburg, Moson, 1873 -
Lucerne 1944).
Il étudia au conservatoire de Vienne avec
Grün et à celui de Paris avec Sauzay et
Marsick. Il donna son premier concert à
Vienne en 1895, et sa carrière de virtuose
prit une ampleur internationale à partir
des premières années du siècle. Parallèle-
ment, il eut une activité constante d’ensei-
gnement, notamment aux conservatoires
de Bucarest et d’Amsterdam, à Berlin, où
il dirigea en particulier un cours de per-
fectionnement à la Hochschule für Musik
(1921-1923), et au Curtis Institute de Phi-
ladelphie (1924-1928). Ce fut l’un des plus
grands pédagogues modernes du violon.
Il compta parmi ses élèves Max Rostal,
Szymon Goldberg, Ida Haendel, Ginette
Neveu, Alma Moodie, Ricardo Odnopo-
soff, Henryk Szeryng et Bronislaw Gimpel.
Il a, d’autre part, laissé plusieurs ouvrages
théoriques.
FLEURET (Maurice), critique musical
français (La Talaudière, Loire, 1932 -
Paris 1990).
Après des études au Conservatoire de
Paris de 1952 à 1956, il devient conféren-
cier aux J. M. F., compose des musiques
de film et de scène, et écrit dans plu-
sieurs périodiques avant de devenir chef
de rubrique au Nouvel Observateur en
1964. Spécialiste des musiques nouvelles,
il a dirigé de nombreux festivals de mu-
sique contemporaine (Saint-Étienne en
1968, les Semaines musicales internatio-
nales de Paris de 1968 à 1974, le festival
Xenakis de Bonn en 1974) et les activités
musicales du musée d’Art moderne de la
Ville de Paris (de 1967 à 1977 et à nou-
veau depuis 1980) ; de 1977 à 1981, il est
directeur artistique du festival de Lille et il
a été directeur de la Musique au ministère
de la Culture de 1981 à 1986 et lancé alors
la fête de la Musique. Il a été en 1986 l’un
des deux fondateurs de la bibliothèque
Gustav-Mahler. Il a étudié aussi les tradi-
tions musicales lointaines (Afrique, Asie
et Amérique latine).
FLEURTIS ou FLEURETIS.
Nom donné aux XVIIe et XVIIIe siècles aux
procédés d’harmonisation à plusieurs voix
non écrites, parfois appliqués au plain-
chant par les chantres.
FLOQUET (Étienne-Joseph), composi-
teur français (Aix-en-Provence 1748 -
Paris 1785).
Élève de la maîtrise de la cathédrale Saint-
Sauveur à Aix, il remporta des succès dès
l’âge de dix ans avec ses premiers motets.
Il vint étudier à Paris en 1769, et son pre-
mier ouvrage lyrique, l’Union de l’Amour
et des Arts, fut représenté à l’Opéra en
1773. Une Chaconne qui en était tirée fit
fureur sur tous les clavecins de la capitale.
En revanche, Azolan (1774) fut comparé
défavorablement aux oeuvres de Gluck,
qui triomphaient alors, et subit un échec.
Il partit alors travailler à Naples avec Sala
et à Bologne avec le padre Martini. De
retour à Paris, il obtint le succès avec un
ouvrage de demi-caractère, la pastorale
le Seigneur bienfaisant (1780). Il voulut se
mesurer de nouveau à Gluck et composa
une partition sur le livret d’Alceste de Qui-
nault, pour l’opposer à l’oeuvre de Gluck,
représentée à Paris en 1776. Mais l’Acadé-
mie royale refusa son ouvrage. Il s’éteignit
découragé, victime d’une maladie de lan-
gueur. Cette fin prématurée priva la scène
française d’un musicien doué, ayant le
sens de l’action théâtrale.
FLOTHUIS (Marius), compositeur et
musicologue néerlandais (Amsterdam
1914).
Il a étudié la musicologie, la philologie et le
piano, mais est, en partie, autodidacte en
composition. Il a été directeur artistique
adjoint (1937-1942 et 1953-1955), puis
directeur artistique (1955-1974) de l’or-
chestre du Concertgebouw d’Amsterdam,
et enseigne depuis 1974 la musicologie à
l’université d’Utrecht. Parmi ses oeuvres,
surtout instrumentales et influencées par
Debussy, Bartók et Pijper, un Concerto
pour flûte et petit orchestre (1944), Sym-
phonische Muziek (1957), Per sonare ed as-
coltare pour flûte et orchestre (1971), Can-
zone pour quintette à vents (1978), Cantus
amoris pour orchestre à cordes (1979).
C’est un spécialiste reconnu de Mozart.
FLOTOW (Friedrich von), compositeur
allemand (Teutendorf, Mecklembourg,
1812 - Darmstadt 1883).
Il fit ses études musicales à Paris, notam-
ment avec Reicha, et connut à partir de
1836, avec des opéras écrits sur des livrets
français, ses premiers succès sur de petites
scènes de notre capitale, où il devait vivre
jusqu’en 1848, puis de 1863 à 1870. Le
Naufrage de la Méduse (1839) le consa-
cra définitivement. Alessandro Stradella
(1844) le fit connaître en Allemagne. Mar-
tha (1847) s’imposa dans toute l’Europe
comme son plus grand succès et le seul
qui se fût maintenu jusqu’à une date ré-
cente. Pourtant, à Paris, l’Ombre (1870)
fut en son temps considérée comme un
chef-d’oeuvre. Flotow, qui fut intendant
au théâtre de la cour de Schwerin de 1856
à 1863, écrivit des musiques de scène, des
ballets, des mélodies, un peu de musique
instrumentale, mais l’essentiel de son
oeuvre est constitué par une quarantaine
de partitions lyriques. Sa musique, issue
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