DICTIONNAIRE DE LA MUSIQUE
Louis-Philippe ; III.le Crépuscule d’un ro-
mantique (Paris, 1906-1912, rééd. Paris,
1946-1950) ; le Faust de Berlioz (Paris,
1910 ; rééd. Paris, 1945).
BOSCOVITCH (Alexander), compositeur
et chef d’orchestre israélien (Cluj, Rou-
manie, 1907 - Tel-Aviv 1964).
Il fit ses études à l’Académie de musique
de Vienne et à Paris avec Paul Dukas,
Nadia Boulanger et Alfred Cortot. Il de-
vint chef d’orchestre de l’Opéra de Cluj,
fonda et dirigea un orchestre sympho-
nique juif, l’Orchestre Goldmark. Invité
en Palestine, en 1938, pour la première
exécution de sa suite d’orchestre la Chaîne
d’or, inspirée de mélodies juives d’Europe
de l’Est, il s’installa dans le pays et devint
un des pionniers de la musique israélienne
par ses compositions (concerto pour vio-
lon, 1942 ; concerto pour hautbois, 1943,
rév. 1960 ; Suite sémite, 2 versions, piano
ou orchestre, 1946) et par les articles qu’il
publia. Vers la fin de sa vie, il se tourna
vers la technique sérielle (Concerto da ca-
mera pour violon et 10 instruments, 1962 ;
Ornements pour flûte et orchestre, 1964).
Sa cantate Fille d’Israël (1960) témoigne
de son intérêt pour les relations entre la
musique et la langue hébraïque, et pour la
mystique de la kabbale.
BOSE (Hans-Jürgen von), compositeur
allemand (Munich 1953).
Il fait ses études au conservatoire (1969-
1972) et à la Hochschule für Musik (1972-
1975) de Francfort avec, notamment,
Hans Ulrich Engelmann. On note dans la
création de von Bose deux tendances, ap-
paremment contradictoires. L’une, proche
du modernisme, poursuit une démarche
rationnelle qui enjoint au matériau musi-
cal une évolution prédéterminée ; on y rat-
tache des oeuvres comme Labyrinth II pour
piano (1987) et, surtout, le troisième Qua-
tuor à cordes (1986-1987), où le composi-
teur s’appuie sur des fonctions logiques
pour élaborer des structures complexes
sur le plan rythmique et sur celui de l’into-
nation. L’autre tendance, plus proche du
postmodernisme, vise un art « subjectif »
qui touche immédiatement et de manière
simple l’auditeur : opéra Traumpalast 63,
créé à Munich en 1990, conglomérat de
styles variés, d’allusions diverses ; ou Solo
pour violoncelle, 1979, réplique ambi-
tieuse à l’écriture polyphonique baroque.
De son catalogue font partie aussi Mor-
phogenesis pour orchestre (1975), Traves-
ties in a Sad Landscape pour orchestre de
chambre (1978), l’opéra Chimäre d’après
Lorca (Aix-la-Chapelle, 1986), les « scènes
lyriques » Die Leiden des jungen Werthers,
d’après Goethe (1983-1984, créé à Schwet-
zingen en 1986), l’oeuvre liturgique... Im
Wind gesprochen (1984-1985), Labyrinth I
pour orchestre (1987), Seite Textos de Mi-
guel Angel Bustos pour soprano, accordéon
et violoncelle (1991).
BÖSENDORFER, famille de facteurs de
pianos autrichiens.
Ignaz (Vienne 1796 - id. 1849) fonda, en
1828, la firme Bösendorfer, que dirigèrent
plus tard son fils Ludwig (Vienne 1835 - id.
1919), puis les fils de celui-ci, Alexander et
Wolfgang Hutterstrasser. Inaugurée en
1872 avec un récital de Hans von Bülow,
la salle de concerts Bösendorfer demeure
un haut lieu de la vie musicale viennoise.
Les pianos Bösendorfer sont aujourd’hui
parmi les instruments de concert les plus
réputés.
BOSKOWSKY (Willi), violoniste et chef
d’orchestre autrichien (Vienne 1909 -
Visp, Suisse, 1991).
Il a fait ses études à l’Académie de mu-
sique de Vienne où, à partir de 1935, il a
enseigné le violon. Premier violon solo de
l’Orchestre philharmonique de Vienne
à partir de 1939, il a créé l’Octuor de
Vienne, en 1948, et en a été également le
premier violon. Puis il a fondé l’Ensemble
Mozart de Vienne. En 1955, il a succédé
à Clemens Krauss à la tête de l’Orchestre
philharmonique pour les concerts du nou-
vel an. Depuis 1969, il dirige l’orchestre
Johann Strauss de Vienne et fait des cé-
lèbres valses sa spécialité.
BOSSINENSIS (Francesco), luthiste et
arrangeur italien (début du XVIe s.).
Son nom est lié aux premières transcrip-
tions de frottole (pièces vocales à 4 voix)
pour voix soliste et luth, publiées chez Ot-
taviano Petrucci, à Venise, en 2 volumes
(1509, 1511), sous le titre Tenori e contre-
bassi intabulati col sopran in canto figurato
per cantar e sonar lauto. Les compositions
utilisées par Bossinensis étaient de la
main de divers auteurs, dont, en particu-
lier, Bartolomeo Tromboncino. Dans ses
arrangements, Bossinensis les fit précéder
de courtes pieces uniquement instrumen-
tales (ricercari), destinées au luth. Les ver-
sions pour voix seule et luth de chansons à
plusieurs voix, qui se répandirent alors un
peu partout en Europe, ne peuvent encore
être qualifiées de monodies accompa-
gnées, car leur écriture demeurait dépen-
dante de leur origine polyphonique.
BOSSLER (Heinrich), éditeur allemand
(Darmstadt 1744 - Gohlis, près de Leip-
zig, 1812).
Il fonda sa maison d’édition en 1781 à
Spire où, de 1788 à 1790, il fit paraître la
revue Musikalische Realzeitung, puis la
transféra en 1792 à Darmstadt et en 1799
à Gohlis. À sa mort, son fils Friedrich lui
succéda, mais la firme cessa ses activités
en 1828. Chez Bossler à Spire parurent
notamment en 1783 les trois sonates WoO
47 de Beethoven dédiées au prince-élec-
teur Maximilian Friedrich de Cologne.
BOSTON (vie musicale à).
Dès les premiers temps de la colonisa-
tion, Boston connut une activité musi-
cale importante. À la fin du XVIIe s., on
y trouvait déjà un magasin de musique,
des professeurs et des théoriciens. La plus
ancienne référence à un public de concert
et de théâtre date de 1731. La vie musicale
y prit un essor considérable au XIXe s. Une
école de chant fondée en 1815, la Haendel
and Haydn Society, devint célèbre pour
l’étude des grands maîtres européens.
Des ensembles vocaux et instrumentaux,
des orchestres amateurs ou semi-pro-
fessionnels, des journaux et des éditeurs
de musique, des sociétés de concert se
constituèrent. Le premier festival de mu-
sique des États-Unis eut lieu à Boston,
en 1858. En 1867, deux ans après celui
d’Oberlin (Ohio), qui avait été le premier
du pays, naquit un autre conservatoire, le
New England Conservatory. Une troupe
d’opéra apparut en 1879, mais le premier
théâtre d’opéra n’ouvrit ses portes qu’en
1909.
C’est surtout à son Orchestre sym-
phonique que Boston doit, depuis près
d’un siècle, son renom musical. Fondé
par Henry Lee Higginson en 1881, cet
orchestre n’a jamais cessé d’être consti-
tué de quelques-uns des meilleurs ins-
trumentistes d’Europe et d’Amérique. À
sa tête se sont succédé George Henschel,
Wilhelm Gericke, Arthur Nikisch, Emil
Paur, Karl Muck, Henri Rabaud, Pierre
Monteux, Serge Koussevitski, Erich Leins-
dorf et, depuis 1974, Seiji Ozawa. Depuis
Koussevitski, l’Orchestre symphonique
de Boston favorise la création en passant
des commandes à des compositeurs. On
ne saurait oublier, d’autre part, le Bos-
ton Pops Orchestra, longtemps dirigé par
Arthur Fiedler, qui, sur une esplanade
spécialement aménagée, donne, pour des
foules énormes, des concerts essentielle-
ment consacrés à des oeuvres populaires.
BOTE UND BOCK.
Maison d’édition fondée à Berlin en 1838,
et qui, depuis 1945, se consacre très large-
ment à la musique contemporaine.
Elle a été rachetée en 1996 par Boosey
and Hawkes.
BOTSTIBER (Hugo), musicologue autri-
chien (Vienne 1875 - Shrewsbury, Angle-
terre, 1941).
Élève de Guido Adler, il occupa jusqu’en
1938 d’importants postes musicaux et
administratifs à Vienne, et, en 1927, mena
à terme la grande biographie de Haydn de
Carl Ferdinand Pohl, laissée inachevée par
la mort de ce dernier en 1887.
111
Louis-Philippe ; III.le Crépuscule d’un ro-
mantique (Paris, 1906-1912, rééd. Paris,
1946-1950) ; le Faust de Berlioz (Paris,
1910 ; rééd. Paris, 1945).
BOSCOVITCH (Alexander), compositeur
et chef d’orchestre israélien (Cluj, Rou-
manie, 1907 - Tel-Aviv 1964).
Il fit ses études à l’Académie de musique
de Vienne et à Paris avec Paul Dukas,
Nadia Boulanger et Alfred Cortot. Il de-
vint chef d’orchestre de l’Opéra de Cluj,
fonda et dirigea un orchestre sympho-
nique juif, l’Orchestre Goldmark. Invité
en Palestine, en 1938, pour la première
exécution de sa suite d’orchestre la Chaîne
d’or, inspirée de mélodies juives d’Europe
de l’Est, il s’installa dans le pays et devint
un des pionniers de la musique israélienne
par ses compositions (concerto pour vio-
lon, 1942 ; concerto pour hautbois, 1943,
rév. 1960 ; Suite sémite, 2 versions, piano
ou orchestre, 1946) et par les articles qu’il
publia. Vers la fin de sa vie, il se tourna
vers la technique sérielle (Concerto da ca-
mera pour violon et 10 instruments, 1962 ;
Ornements pour flûte et orchestre, 1964).
Sa cantate Fille d’Israël (1960) témoigne
de son intérêt pour les relations entre la
musique et la langue hébraïque, et pour la
mystique de la kabbale.
BOSE (Hans-Jürgen von), compositeur
allemand (Munich 1953).
Il fait ses études au conservatoire (1969-
1972) et à la Hochschule für Musik (1972-
1975) de Francfort avec, notamment,
Hans Ulrich Engelmann. On note dans la
création de von Bose deux tendances, ap-
paremment contradictoires. L’une, proche
du modernisme, poursuit une démarche
rationnelle qui enjoint au matériau musi-
cal une évolution prédéterminée ; on y rat-
tache des oeuvres comme Labyrinth II pour
piano (1987) et, surtout, le troisième Qua-
tuor à cordes (1986-1987), où le composi-
teur s’appuie sur des fonctions logiques
pour élaborer des structures complexes
sur le plan rythmique et sur celui de l’into-
nation. L’autre tendance, plus proche du
postmodernisme, vise un art « subjectif »
qui touche immédiatement et de manière
simple l’auditeur : opéra Traumpalast 63,
créé à Munich en 1990, conglomérat de
styles variés, d’allusions diverses ; ou Solo
pour violoncelle, 1979, réplique ambi-
tieuse à l’écriture polyphonique baroque.
De son catalogue font partie aussi Mor-
phogenesis pour orchestre (1975), Traves-
ties in a Sad Landscape pour orchestre de
chambre (1978), l’opéra Chimäre d’après
Lorca (Aix-la-Chapelle, 1986), les « scènes
lyriques » Die Leiden des jungen Werthers,
d’après Goethe (1983-1984, créé à Schwet-
zingen en 1986), l’oeuvre liturgique... Im
Wind gesprochen (1984-1985), Labyrinth I
pour orchestre (1987), Seite Textos de Mi-
guel Angel Bustos pour soprano, accordéon
et violoncelle (1991).
BÖSENDORFER, famille de facteurs de
pianos autrichiens.
Ignaz (Vienne 1796 - id. 1849) fonda, en
1828, la firme Bösendorfer, que dirigèrent
plus tard son fils Ludwig (Vienne 1835 - id.
1919), puis les fils de celui-ci, Alexander et
Wolfgang Hutterstrasser. Inaugurée en
1872 avec un récital de Hans von Bülow,
la salle de concerts Bösendorfer demeure
un haut lieu de la vie musicale viennoise.
Les pianos Bösendorfer sont aujourd’hui
parmi les instruments de concert les plus
réputés.
BOSKOWSKY (Willi), violoniste et chef
d’orchestre autrichien (Vienne 1909 -
Visp, Suisse, 1991).
Il a fait ses études à l’Académie de mu-
sique de Vienne où, à partir de 1935, il a
enseigné le violon. Premier violon solo de
l’Orchestre philharmonique de Vienne
à partir de 1939, il a créé l’Octuor de
Vienne, en 1948, et en a été également le
premier violon. Puis il a fondé l’Ensemble
Mozart de Vienne. En 1955, il a succédé
à Clemens Krauss à la tête de l’Orchestre
philharmonique pour les concerts du nou-
vel an. Depuis 1969, il dirige l’orchestre
Johann Strauss de Vienne et fait des cé-
lèbres valses sa spécialité.
BOSSINENSIS (Francesco), luthiste et
arrangeur italien (début du XVIe s.).
Son nom est lié aux premières transcrip-
tions de frottole (pièces vocales à 4 voix)
pour voix soliste et luth, publiées chez Ot-
taviano Petrucci, à Venise, en 2 volumes
(1509, 1511), sous le titre Tenori e contre-
bassi intabulati col sopran in canto figurato
per cantar e sonar lauto. Les compositions
utilisées par Bossinensis étaient de la
main de divers auteurs, dont, en particu-
lier, Bartolomeo Tromboncino. Dans ses
arrangements, Bossinensis les fit précéder
de courtes pieces uniquement instrumen-
tales (ricercari), destinées au luth. Les ver-
sions pour voix seule et luth de chansons à
plusieurs voix, qui se répandirent alors un
peu partout en Europe, ne peuvent encore
être qualifiées de monodies accompa-
gnées, car leur écriture demeurait dépen-
dante de leur origine polyphonique.
BOSSLER (Heinrich), éditeur allemand
(Darmstadt 1744 - Gohlis, près de Leip-
zig, 1812).
Il fonda sa maison d’édition en 1781 à
Spire où, de 1788 à 1790, il fit paraître la
revue Musikalische Realzeitung, puis la
transféra en 1792 à Darmstadt et en 1799
à Gohlis. À sa mort, son fils Friedrich lui
succéda, mais la firme cessa ses activités
en 1828. Chez Bossler à Spire parurent
notamment en 1783 les trois sonates WoO
47 de Beethoven dédiées au prince-élec-
teur Maximilian Friedrich de Cologne.
BOSTON (vie musicale à).
Dès les premiers temps de la colonisa-
tion, Boston connut une activité musi-
cale importante. À la fin du XVIIe s., on
y trouvait déjà un magasin de musique,
des professeurs et des théoriciens. La plus
ancienne référence à un public de concert
et de théâtre date de 1731. La vie musicale
y prit un essor considérable au XIXe s. Une
école de chant fondée en 1815, la Haendel
and Haydn Society, devint célèbre pour
l’étude des grands maîtres européens.
Des ensembles vocaux et instrumentaux,
des orchestres amateurs ou semi-pro-
fessionnels, des journaux et des éditeurs
de musique, des sociétés de concert se
constituèrent. Le premier festival de mu-
sique des États-Unis eut lieu à Boston,
en 1858. En 1867, deux ans après celui
d’Oberlin (Ohio), qui avait été le premier
du pays, naquit un autre conservatoire, le
New England Conservatory. Une troupe
d’opéra apparut en 1879, mais le premier
théâtre d’opéra n’ouvrit ses portes qu’en
1909.
C’est surtout à son Orchestre sym-
phonique que Boston doit, depuis près
d’un siècle, son renom musical. Fondé
par Henry Lee Higginson en 1881, cet
orchestre n’a jamais cessé d’être consti-
tué de quelques-uns des meilleurs ins-
trumentistes d’Europe et d’Amérique. À
sa tête se sont succédé George Henschel,
Wilhelm Gericke, Arthur Nikisch, Emil
Paur, Karl Muck, Henri Rabaud, Pierre
Monteux, Serge Koussevitski, Erich Leins-
dorf et, depuis 1974, Seiji Ozawa. Depuis
Koussevitski, l’Orchestre symphonique
de Boston favorise la création en passant
des commandes à des compositeurs. On
ne saurait oublier, d’autre part, le Bos-
ton Pops Orchestra, longtemps dirigé par
Arthur Fiedler, qui, sur une esplanade
spécialement aménagée, donne, pour des
foules énormes, des concerts essentielle-
ment consacrés à des oeuvres populaires.
BOTE UND BOCK.
Maison d’édition fondée à Berlin en 1838,
et qui, depuis 1945, se consacre très large-
ment à la musique contemporaine.
Elle a été rachetée en 1996 par Boosey
and Hawkes.
BOTSTIBER (Hugo), musicologue autri-
chien (Vienne 1875 - Shrewsbury, Angle-
terre, 1941).
Élève de Guido Adler, il occupa jusqu’en
1938 d’importants postes musicaux et
administratifs à Vienne, et, en 1927, mena
à terme la grande biographie de Haydn de
Carl Ferdinand Pohl, laissée inachevée par
la mort de ce dernier en 1887.
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