Titre : Dictionnaire de la danse / sous la dir. de Philippe Le Moal
Éditeur : Larousse (Paris)
Date d'édition : 1999
Contributeur : Le Moal, Philippe. Directeur de publication
Sujet : Danse
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37089173n
Type : monographie imprimée monographie imprimée
Langue : français
Format : 1 vol. (XV-830 p.) : ill. en noir et en coul.,... 1 vol. (XV-830 p.) : ill. en noir et en coul., jaquette ill. en coul. ; 29 cm
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Description : Avec mode texte Avec mode texte
Description : Dictionnaires Dictionnaires
Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Larousse
Identifiant : ark:/12148/bpt6k12005041
Source : Larousse, 2012-129508
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/12/2012
DICTIONNAIRE DE LA DANSE
que de nombreux films pour Hollywood, dont Ali Baba et les
Quarante Voleurs (1944), Salome, Where She Danced (1945) et
Siren of Atlantis (1948), basant toujours son écriture du mouve-
ment sur la recherche ethnologique.
Avec William Bowne, B. *Lewitzky et son mari Newell Rey-
nolds, il fonde le Dance Theater et son école associée en mai
1948. Les élèves et les membres de la compagnie y reçoivent une
formation à l’écoute musicale, à la scénographie, aux costumes
et à la narration chorégraphique. Pour son premier spectacle,
Dance Theater propose sa cinquième version de Salomé et le
duo The *Beloved (1948) qui devient un classique du répertoire.
En 1950, les associés du Dance Theater se séparent ; Horton re-
constitue un répertoire avec des créations et de nouveaux inter-
prètes issus de son école, dont C. *de Lavallade, Lelia Goldoni,
Eleanor Johnson, J. *Trisler, J. *Truitte et un nouveau venu,
A. *Ailey. Il formalise son enseignement en une série distincte
d’exercices qui renforcent le torse et les jambes tout en mettant
l’accent sur les figures asymétriques dessinées par les membres.
Construite sur des mouvements latéraux et des gestes amples
et pivotant vers le sol, la technique Horton devient la forme de
base pour les danseurs afro-américains, qui l’adoptent car elle
permet une formation rapide et se révèle adaptée à la morpho-
logie de leur torse.
Fondateur de l’une des premières compagnies multiraciales
américaines, modèle des pionniers de la modern dance sur la
Côte ouest, à sa mort, Horton laisse en héritage sa technique,
des légions de danseurs formés à son école et trois compagnies
importantes nées de son influence : la Bella Lewitzky Dance
Company, la Joyce Trisler Danscompany et l’Alvin Ailey Ame-
rican Dance Theater.
TDF
AUTRES CHORÉGRAPHIES. Mound Builders (1935, mus. Sid-
ney Cutner) ; *Conquest (1938) ; Liberian Suite (1952, mus. D.
*Ellington) ; *To José Clemente Orozco (1953).
HOUDAR DE LA MOTTE Antoine ou LA MOTTE-HOUDAR A. de (1672-
1731). Poète dramatique et lyrique, théoricien du théâtre, français.
Il aborde le théâtre lyrique avec l’*opéra-ballet l’*Europe galante
(1697, mus. A. *Campra), genre qu’il retrouve avec le Triomphe
des Arts (1700, mus. Michel de La Barre), et est l’auteur de livret
de nombreuses *tragédies lyriques (Amadis de Grèce, 1699,
mus. André Cardinal Destouches ; Marthésie, 1699, mus. Des-
touches ; Canente, 1700, mus. Pascal Colasse et Antoine Dau-
vergne ; Omphale, 1701, mus. Destouches ; Alcione, 1706, mus.
Marin Marais ; Sémélé, 1709, mus. Marais ; Scanderberg, en
collab. avec La Serre, 1735, mus. J. F. *Rebel et François Fran-
coeur) et comédies lyriques (le Carnaval et la Folie, 1704, mus.
Destouches ; la Vénitienne, 1705, mus. de La Barre ; le Ballet des
Âges, 1737 ; les Fées, 1737, mus. de La Barre). Mais son rôle dans
l’histoire de la danse, souligné par L. de *Cahusac, est surtout
marqué par sa contribution au genre naissant de la *pastorale
héroïque, en 1697, avec Issé (mus. Destouches), suivi plus tard
de Titon et l’Aurore (1735, mus. Dauvergne).
Élu en 1710 à l’Académie française, il est le destinataire de la
célèbre Lettre de 1727 où J.-Ph. *Rameau expose ses conceptions
lyriques. Sa version de l’Iliade déclenche, en 1713, un épisode
de la Querelle des Anciens et des Modernes, dans laquelle il
se range aux côtés de ces derniers. Dans ses Réflexions sur la
critique (Paris, 1716), il précise la théorie de l’imitation de la
nature (voir *mimésis) et définit la poésie comme « l’art qui,
par le discours en vers, imite la nature avec choix et avec un
dessein sensible de donner certaines idées ou d’exciter certains
sentiments ». Ses Discours forment une théorie poétique du
théâtre, tant dramatique que lyrique. La partie la plus connue
est la critique des unités (lieu et temps) et de la versification, qui
lui attire la réprobation de Voltaire. Il distingue dans le théâtre
plusieurs niveaux de régularité : les règles arbitraires (unités de
temps et de lieu, versification) et les principes fondamentaux
(vraisemblance, nécessité, unité d’action et d’intérêt). Il recourt
fréquemment à des comparaisons entre scène dramatique et
scène lyrique, traitant l’opéra français comme un modèle poé-
tique de même valeur que le théâtre dramatique, dans lequel la
danse contribue à une esthétique de l’image où montrer a autant
d’importance que dire.
CK
BIBLIOGRAPHIE. A. de La Motte Houdar, OEuvres (10 vol.),
Prault l’aîné, Paris, 1754 ; rééd. Slatkine, Genève, 1970. - P. Du-
pont, Un poète philosophe au commencement du XVIIIe siècle :
Houdar de La Motte, Hachette, Paris, 1898 ; rééd. Slatkine,
Genève, 1971.
HOUSTON BALLET. Compagnie américaine basée à Houston
(Texas).
Il trouve son origine dans la Houston Ballet Academy créée
en 1955 par la Houston Foundation for Ballet. En 1967, Nina
Popova, une ancienne danseuse du *Ballet russe de Monte-
Carlo, est nommée directrice artistique; le Houston Ballet fait
alors ses véritables débuts de compagnie indépendante. En 1975,
l’Américain James Clouser lui succède brièvement, mais ce n’est
qu’avec l’arrivée à sa tête du britannique Ben Stevenson en 1977
que la compagnie prend son essor. L’effectif passe de 28 à 55
interprètes, les contrats des danseurs de 32 à 44 semaines par an,
et le budget est décuplé.
Ancien assistant de R. *Page à Chicago, connu pour ses pro-
ductions de grands ballets du répertoire, notamment sa version
de *Cendrillon, Stevenson monte pour la compagnie *Casse-
Noisette, le *Lac des cygnes, la *Belle au bois dormant, *Cop-
pélia, ainsi que ses propres créations. Il enrichit également le
répertoire d’oeuvres de chorégraphes britanniques - F. *Ashton,
K. *MacMillan, J. *Cranko, Ch. *Bruce, P. *Wright, R. *Hynd -
et américains - J. *Robbins, J. *Butler, P. *Taylor, G. *Tetley.
Disposant de son propre lieu, l’école constitue un excellent vi-
vier pour la compagnie, qui exprime sur une base classique un
esprit américain du mouvement.
MK
HOVHANESS Alan (né en 1911) . Compositeur américain d’origine
arménienne et écossaise.
Composant dès sa prime enfance, il se passionne déjà pour le
mysticisme et la méditation. Ses premières oeuvres, inspirées par
la musique de la Renaissance, n’ont que peu d’écho, avant qu’il
ne se tourne vers le folklore de ses origines arméniennes. Ses
oeuvres (dont 63 symphonies), surtout monodiques, modales et
consonantes, bien qu’instrumentales, sont toujours porteuses
d’un message spirituel. Suite à un voyage au Japon en 1959
rendu possible par une bourse de la fondation Fullbright, il leur
intègre des éléments de tala indienne, et de nô japonais.
Proche, par ses préoccupations spirituelles et extrême-orien-
tales, d’autres figures new-yorkaises comme J. *Cage et L. *Har-
rison, il compose la musique d’un des premiers solos de M.
*Cunningham (Invocation to Vahkan, 1946). En 1954, il signe
son premier grand ballet, Ardent Song, chorégraphié par M.
*Graham pour qui il composera aussi Circe (1963) et Myth of a
Voyage (1973), collaborant aussi avec des élèves de celle-ci : K.
*Yuriko, P. *Lang, R. *Cohan, J. *Erdmann. Deux chorégraphies
d’A. *Nikolais intègrent également des musiques de Hovhaness :
Mask, Props and Mobiles (1953) et Prism (1956).
BT
HOVING Lucas, HOVINGA Lukas, dit (né en 1912). Danseur, choré-
graphe et pédagogue américain d’origine néerlandaise.
Il étudie avec Y. *Georgi, et ensuite en Grande-Bretagne avec
K.*Jooss (1938-1939), dont il intègre la compagnie qui part en
tournée aux États-Unis, où il reste et danse avec A. *De Mille,
M. *Graham et V. *Bettis. Interprète emblématique de J. *Limón
(1949-1963), il crée des rôles, entre autres, dans The *Moor’s
Pavane (1949), The *Traitor (1954), The *Emperor Jones (1956),
92
que de nombreux films pour Hollywood, dont Ali Baba et les
Quarante Voleurs (1944), Salome, Where She Danced (1945) et
Siren of Atlantis (1948), basant toujours son écriture du mouve-
ment sur la recherche ethnologique.
Avec William Bowne, B. *Lewitzky et son mari Newell Rey-
nolds, il fonde le Dance Theater et son école associée en mai
1948. Les élèves et les membres de la compagnie y reçoivent une
formation à l’écoute musicale, à la scénographie, aux costumes
et à la narration chorégraphique. Pour son premier spectacle,
Dance Theater propose sa cinquième version de Salomé et le
duo The *Beloved (1948) qui devient un classique du répertoire.
En 1950, les associés du Dance Theater se séparent ; Horton re-
constitue un répertoire avec des créations et de nouveaux inter-
prètes issus de son école, dont C. *de Lavallade, Lelia Goldoni,
Eleanor Johnson, J. *Trisler, J. *Truitte et un nouveau venu,
A. *Ailey. Il formalise son enseignement en une série distincte
d’exercices qui renforcent le torse et les jambes tout en mettant
l’accent sur les figures asymétriques dessinées par les membres.
Construite sur des mouvements latéraux et des gestes amples
et pivotant vers le sol, la technique Horton devient la forme de
base pour les danseurs afro-américains, qui l’adoptent car elle
permet une formation rapide et se révèle adaptée à la morpho-
logie de leur torse.
Fondateur de l’une des premières compagnies multiraciales
américaines, modèle des pionniers de la modern dance sur la
Côte ouest, à sa mort, Horton laisse en héritage sa technique,
des légions de danseurs formés à son école et trois compagnies
importantes nées de son influence : la Bella Lewitzky Dance
Company, la Joyce Trisler Danscompany et l’Alvin Ailey Ame-
rican Dance Theater.
TDF
AUTRES CHORÉGRAPHIES. Mound Builders (1935, mus. Sid-
ney Cutner) ; *Conquest (1938) ; Liberian Suite (1952, mus. D.
*Ellington) ; *To José Clemente Orozco (1953).
HOUDAR DE LA MOTTE Antoine ou LA MOTTE-HOUDAR A. de (1672-
1731). Poète dramatique et lyrique, théoricien du théâtre, français.
Il aborde le théâtre lyrique avec l’*opéra-ballet l’*Europe galante
(1697, mus. A. *Campra), genre qu’il retrouve avec le Triomphe
des Arts (1700, mus. Michel de La Barre), et est l’auteur de livret
de nombreuses *tragédies lyriques (Amadis de Grèce, 1699,
mus. André Cardinal Destouches ; Marthésie, 1699, mus. Des-
touches ; Canente, 1700, mus. Pascal Colasse et Antoine Dau-
vergne ; Omphale, 1701, mus. Destouches ; Alcione, 1706, mus.
Marin Marais ; Sémélé, 1709, mus. Marais ; Scanderberg, en
collab. avec La Serre, 1735, mus. J. F. *Rebel et François Fran-
coeur) et comédies lyriques (le Carnaval et la Folie, 1704, mus.
Destouches ; la Vénitienne, 1705, mus. de La Barre ; le Ballet des
Âges, 1737 ; les Fées, 1737, mus. de La Barre). Mais son rôle dans
l’histoire de la danse, souligné par L. de *Cahusac, est surtout
marqué par sa contribution au genre naissant de la *pastorale
héroïque, en 1697, avec Issé (mus. Destouches), suivi plus tard
de Titon et l’Aurore (1735, mus. Dauvergne).
Élu en 1710 à l’Académie française, il est le destinataire de la
célèbre Lettre de 1727 où J.-Ph. *Rameau expose ses conceptions
lyriques. Sa version de l’Iliade déclenche, en 1713, un épisode
de la Querelle des Anciens et des Modernes, dans laquelle il
se range aux côtés de ces derniers. Dans ses Réflexions sur la
critique (Paris, 1716), il précise la théorie de l’imitation de la
nature (voir *mimésis) et définit la poésie comme « l’art qui,
par le discours en vers, imite la nature avec choix et avec un
dessein sensible de donner certaines idées ou d’exciter certains
sentiments ». Ses Discours forment une théorie poétique du
théâtre, tant dramatique que lyrique. La partie la plus connue
est la critique des unités (lieu et temps) et de la versification, qui
lui attire la réprobation de Voltaire. Il distingue dans le théâtre
plusieurs niveaux de régularité : les règles arbitraires (unités de
temps et de lieu, versification) et les principes fondamentaux
(vraisemblance, nécessité, unité d’action et d’intérêt). Il recourt
fréquemment à des comparaisons entre scène dramatique et
scène lyrique, traitant l’opéra français comme un modèle poé-
tique de même valeur que le théâtre dramatique, dans lequel la
danse contribue à une esthétique de l’image où montrer a autant
d’importance que dire.
CK
BIBLIOGRAPHIE. A. de La Motte Houdar, OEuvres (10 vol.),
Prault l’aîné, Paris, 1754 ; rééd. Slatkine, Genève, 1970. - P. Du-
pont, Un poète philosophe au commencement du XVIIIe siècle :
Houdar de La Motte, Hachette, Paris, 1898 ; rééd. Slatkine,
Genève, 1971.
HOUSTON BALLET. Compagnie américaine basée à Houston
(Texas).
Il trouve son origine dans la Houston Ballet Academy créée
en 1955 par la Houston Foundation for Ballet. En 1967, Nina
Popova, une ancienne danseuse du *Ballet russe de Monte-
Carlo, est nommée directrice artistique; le Houston Ballet fait
alors ses véritables débuts de compagnie indépendante. En 1975,
l’Américain James Clouser lui succède brièvement, mais ce n’est
qu’avec l’arrivée à sa tête du britannique Ben Stevenson en 1977
que la compagnie prend son essor. L’effectif passe de 28 à 55
interprètes, les contrats des danseurs de 32 à 44 semaines par an,
et le budget est décuplé.
Ancien assistant de R. *Page à Chicago, connu pour ses pro-
ductions de grands ballets du répertoire, notamment sa version
de *Cendrillon, Stevenson monte pour la compagnie *Casse-
Noisette, le *Lac des cygnes, la *Belle au bois dormant, *Cop-
pélia, ainsi que ses propres créations. Il enrichit également le
répertoire d’oeuvres de chorégraphes britanniques - F. *Ashton,
K. *MacMillan, J. *Cranko, Ch. *Bruce, P. *Wright, R. *Hynd -
et américains - J. *Robbins, J. *Butler, P. *Taylor, G. *Tetley.
Disposant de son propre lieu, l’école constitue un excellent vi-
vier pour la compagnie, qui exprime sur une base classique un
esprit américain du mouvement.
MK
HOVHANESS Alan (né en 1911) . Compositeur américain d’origine
arménienne et écossaise.
Composant dès sa prime enfance, il se passionne déjà pour le
mysticisme et la méditation. Ses premières oeuvres, inspirées par
la musique de la Renaissance, n’ont que peu d’écho, avant qu’il
ne se tourne vers le folklore de ses origines arméniennes. Ses
oeuvres (dont 63 symphonies), surtout monodiques, modales et
consonantes, bien qu’instrumentales, sont toujours porteuses
d’un message spirituel. Suite à un voyage au Japon en 1959
rendu possible par une bourse de la fondation Fullbright, il leur
intègre des éléments de tala indienne, et de nô japonais.
Proche, par ses préoccupations spirituelles et extrême-orien-
tales, d’autres figures new-yorkaises comme J. *Cage et L. *Har-
rison, il compose la musique d’un des premiers solos de M.
*Cunningham (Invocation to Vahkan, 1946). En 1954, il signe
son premier grand ballet, Ardent Song, chorégraphié par M.
*Graham pour qui il composera aussi Circe (1963) et Myth of a
Voyage (1973), collaborant aussi avec des élèves de celle-ci : K.
*Yuriko, P. *Lang, R. *Cohan, J. *Erdmann. Deux chorégraphies
d’A. *Nikolais intègrent également des musiques de Hovhaness :
Mask, Props and Mobiles (1953) et Prism (1956).
BT
HOVING Lucas, HOVINGA Lukas, dit (né en 1912). Danseur, choré-
graphe et pédagogue américain d’origine néerlandaise.
Il étudie avec Y. *Georgi, et ensuite en Grande-Bretagne avec
K.*Jooss (1938-1939), dont il intègre la compagnie qui part en
tournée aux États-Unis, où il reste et danse avec A. *De Mille,
M. *Graham et V. *Bettis. Interprète emblématique de J. *Limón
(1949-1963), il crée des rôles, entre autres, dans The *Moor’s
Pavane (1949), The *Traitor (1954), The *Emperor Jones (1956),
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