DICTIONNAIRE MONDIAL DES LITTÉRATURES
marxisme et au freudisme, plus généra-
lement aux modèles étrangers, au rang
desquels se situe le surréalisme français.
Ils sont conduits à rompre avec les formes
traditionnelles, héritées de la prestigieuse
poésie scaldique. La critique officielle
leur donnera, par dérision, le sobriquet
d’« atomiques », dénomination qui ne leur
convient pas si mal, car ils ont réellement
désintégré le verbe islandais pour le for-
cer à exprimer des sentiments nouveaux
dans une forme originale. C’est au cours
des années 1960 que plusieurs jeunes
prosateurs vont relever le défi du moder-
nisme romanesque. Sans nier l’apport ca-
pital de Steinar Sigurjónsson (1928-94),
Svava Jakobsdóttir (1930) et Thorsteinn
frá Hamri (1938), deux auteurs semblent
se détacher, aussi bien par la qualité
l’ampleur de leur oeuvre, Thor Vilhjálms-
son et Gudbergur Bergsson (1932). On
a pu dire que Tómas Jónsson, bestsel-
ler (1966) a été le premier grand roman
moderniste de la littérature islandaise, à
la fois par sa remise en cause subver-
sive de toutes les conventions littéraires
et par son humour corrosif qui démonte
les mythes de la nouvelle société islan-
daise. Sans doute, Thor Vilhjálmsson
avait-il préparé le terrain en recourant à
une prose expérimentale dans des récits
de voyages et de courtes nouvelles à
partir de 1955. Son premier roman, Vite,
vite, dit l’oiseau (1968), où il fait oeuvre de
stylisticien, reflète la conscience mobile
et changeante de l’homme moderne.
Aujourd’hui, la littérature islandaise est
riche de son héritage ancien ou récent,
mais aussi de la pléiade de poètes, dra-
maturges et romanciers nés dans les
deux décennies qui ont suivi la Seconde
Guerre mondiale et actuellement dans
leur maturité. Première génération née
en majorité à Reykjavík, elle a tenu à
explorer la vie dans cette nouvelle réa-
lité qu’est la ville, en écrivant des oeuvres
dont les expérimentations formelles sont
plus discrètes que celles de leurs aînés,
à l’exception peut-être de celles d’Álfrún
Gunnlaugsdóttir (1938), Vigdís Grímsdót-
tir, Gyrdir Elíasson (1961) et Sjón (1962).
Frída Á. Sigurdardóttir (1940), Pétur Gun-
narsson (1947), Thórarinn Eldjárn (1949),
Steinunn Sigurdardóttir, Einar Kárason
(1955) et Einar Már Gudmundsson (1954)
sont quelques-uns de ces auteurs. Quelle
sera la littérature islandaise du troisième
millénaire ? Elle va devoir répondre à un
défi qui ne s’est jamais présenté aupara-
vant. Cette culture traditionnellement à
la recherche d’influences étrangères se
voit maintenant confrontée aux nouveaux
moyens de communication informatisés
permettant à chacun de vivre dans l’envi-
ronnement linguistique de son choix. Dès
lors, la notion de culture propre à une
zone géographique se voit sérieusement
remise en cause. Peut-être le destin de
la littérature islandaise sera-t-il de se dis-
soudre dans la masse d’une nouvelle lit-
térature mondiale, écrite seulement dans
quelques grandes langues.
ISOCRATE, orateur grec (Athènes 436 -
338 av. J.-C.).
Issu d’une riche famille athénienne, Iso-
crate suivit l’enseignement des sophistes.
Ruiné à la fin de la guerre du Pélopon-
nèse, il devint logographe, puis ouvrit une
école de rhétorique vers 393. Sa « phi-
losophia » mêle rhétorique et politique
et l’oppose aussi bien à Platon et aux
socratiques qu’aux maîtres d’éloquence
du début du IVe siècle. Isocrate veut for-
mer par l’art de bien parler, lié à l’art de
bien penser, à une sagesse de l’action,
efficace dans la mouvance des circons-
tances, en ouvrant à l’histoire d’une
culture humaine (Panégyrique, 380) qui
est la source de la créativité. Outre six
discours judiciaires, nous sont parvenus
des discours fictifs, où l’auteur expose
son programme (Contre les sophistes,
v. 393), répond aux sophistes par des
éloges paradoxaux (Busiris, Éloge d’Hé-
lène) ou défend son idéal d’une Grèce
unie, en s’adressant à Athènes, à Sparte
ou à Philippe (Panégyrique, Aréopagi-
tique, v. 355 ; Philippe, 346 ; Panathé-
naïque, 342-339). Sur l’échange (353),
discours mixte, est un exemple de cette
variété caractéristique, au même titre que
sa prose qui rivalise avec la poésie, de
l’art d’Isocrate.
ISOU (Jean Isisdore Goldstein, dit Isidore),
écrivain français d’origine roumaine (Bo-
tosçani, Roumanie, 1925).
Ce compatriote de Tzara publie en 1947
un manifeste d’avant-garde, Introduction
à une nouvelle poésie et à une nouvelle
musique, qui fera de lui le fondateur du
« lettrisme », mouvement qu’il animera
avec Maurice Lemaître. « Poésie des
lettres, non des mots », le lettrisme se
définit par rapport au surréalisme et à ses
précurseurs pour se placer sur le versant
du signifiant. Dans la tradition des Grands
Rhétoriqueurs, Isou exige de tout prendre
et de tout donner à la lettre, unité pre-
mière du langage. Le mot n’est alors plus
porteur de sens mais véritable « morceau
sonore » et fait de la poésie l’Initiation à la
haute volupté (1960). Le projet de placer
la lettre, phonème et graphème, au centre
de tout, se prolonge dans la musique,
reflet de la « créatique » (Concerto pour
oeil et oreille, 1984, ainsi que Tombeau
de Pierre Larousse, poème musical de
François Dufrêne, 1958), dans le théâtre
(Fondements pour la transformation
intégrale du théâtre, 1953-1970), dans
la peinture (les Champs de force de la
peinture lettriste, 1964) et le cinéma (Isou
réalise quelques films expérimentaux,
dont Traité de bave et d’éternité, 1951).
Par la pratique du détournement et la
critique virulente de ce que Guy Debord
analysera plus tard comme « la société
du spectacle », Isou donne à la subver-
sion lettriste, au-delà du folklore des ma-
nifestes et de la violence polémique des
happenings, une dimension sociale, éco-
nomique et politique. Le lettrisme prépare
ainsi le terrain au situationnisme autant
qu’à l’Oulipo.
ISRAËL → Hébraïque.
ISSAHAKIAN (Avetik), poète arménien
(Aleksandropol, auj. Gumri, 1875 - Erevan
1957).
D’abord consacré à des thèmes amou-
reux ou héroïques, son lyrisme d’inspi-
ration populaire prend ensuite un accent
désabusé, voire nihiliste, et adopte une
forme plus recherchée dans Aboul Ala
Mahari (1909-1911). L’indifférence du
monde devant le génocide de 1915 ac-
croît l’angoisse du poète en exil, qui finit
par rallier l’Arménie soviétique en 1936,
sans y trouver les conditions favorables
pour achever son roman Maître Garo .
ITALIE
Si l’Italie n’a réalisé son unité poli-
tique qu’à la fin du XIXe s., son uni-
fication linguistique est encore en
cours. Il en résulte d’une part que, parmi
les littératures romanes, la littérature ita-
lienne est la plus riche en oeuvres dia-
lectales de premier plan, et d’autre part
que les problèmes poétiques, rhétoriques
et esthétiques y ont toujours été subor-
donnés au débat sur la norme linguis-
tique. Débat certes tranché dans les faits,
moins d’un siècle après la naissance de
la littérature italienne en langue vulgaire,
par les chefs-d’oeuvre de Dante et de Pé-
trarque, mais tranché antithétiquement.
Au-delà, en effet, de la prééminence du
toscan que consacrent durablement ces
deux oeuvres, deux postulations linguis-
tiques contradictoires s’y affirment et s’y
opposent : l’une, sélective, de raréfac-
tion lexicale et de rigoureuse codification
morphologico-syntaxique (Pétrarque),
l’autre, proprement démiurgique, de plu-
rilinguisme et de contamination stylis-
tique à l’intérieur même des structures
historiques du toscan littéraire (la Divine
Comédie ). Cependant, dans les deux
cas, c’est à la poésie qu’est assignée une
fonction hégémonique dans la genèse
de la langue littéraire italienne. D’où le
caractère aristocratique que celle-ci gar-
dera pendant des siècles, koinê utopique
d’une idéale societas littéraire, tandis
qu’à de rares exceptions près, du reste
largement tributaires de modèles latins
(Boccace), la prose de langue vulgaire
connaîtra un procès d’unification beau-
coup plus lent, témoignant du morcelle-
ment, des contradictions et des vicissi-
tudes historiques des multiples sociétés
(dialectales) italiennes. Le prestige cultu-
rel et l’autorité administrative du latin
622
marxisme et au freudisme, plus généra-
lement aux modèles étrangers, au rang
desquels se situe le surréalisme français.
Ils sont conduits à rompre avec les formes
traditionnelles, héritées de la prestigieuse
poésie scaldique. La critique officielle
leur donnera, par dérision, le sobriquet
d’« atomiques », dénomination qui ne leur
convient pas si mal, car ils ont réellement
désintégré le verbe islandais pour le for-
cer à exprimer des sentiments nouveaux
dans une forme originale. C’est au cours
des années 1960 que plusieurs jeunes
prosateurs vont relever le défi du moder-
nisme romanesque. Sans nier l’apport ca-
pital de Steinar Sigurjónsson (1928-94),
Svava Jakobsdóttir (1930) et Thorsteinn
frá Hamri (1938), deux auteurs semblent
se détacher, aussi bien par la qualité
l’ampleur de leur oeuvre, Thor Vilhjálms-
son et Gudbergur Bergsson (1932). On
a pu dire que Tómas Jónsson, bestsel-
ler (1966) a été le premier grand roman
moderniste de la littérature islandaise, à
la fois par sa remise en cause subver-
sive de toutes les conventions littéraires
et par son humour corrosif qui démonte
les mythes de la nouvelle société islan-
daise. Sans doute, Thor Vilhjálmsson
avait-il préparé le terrain en recourant à
une prose expérimentale dans des récits
de voyages et de courtes nouvelles à
partir de 1955. Son premier roman, Vite,
vite, dit l’oiseau (1968), où il fait oeuvre de
stylisticien, reflète la conscience mobile
et changeante de l’homme moderne.
Aujourd’hui, la littérature islandaise est
riche de son héritage ancien ou récent,
mais aussi de la pléiade de poètes, dra-
maturges et romanciers nés dans les
deux décennies qui ont suivi la Seconde
Guerre mondiale et actuellement dans
leur maturité. Première génération née
en majorité à Reykjavík, elle a tenu à
explorer la vie dans cette nouvelle réa-
lité qu’est la ville, en écrivant des oeuvres
dont les expérimentations formelles sont
plus discrètes que celles de leurs aînés,
à l’exception peut-être de celles d’Álfrún
Gunnlaugsdóttir (1938), Vigdís Grímsdót-
tir, Gyrdir Elíasson (1961) et Sjón (1962).
Frída Á. Sigurdardóttir (1940), Pétur Gun-
narsson (1947), Thórarinn Eldjárn (1949),
Steinunn Sigurdardóttir, Einar Kárason
(1955) et Einar Már Gudmundsson (1954)
sont quelques-uns de ces auteurs. Quelle
sera la littérature islandaise du troisième
millénaire ? Elle va devoir répondre à un
défi qui ne s’est jamais présenté aupara-
vant. Cette culture traditionnellement à
la recherche d’influences étrangères se
voit maintenant confrontée aux nouveaux
moyens de communication informatisés
permettant à chacun de vivre dans l’envi-
ronnement linguistique de son choix. Dès
lors, la notion de culture propre à une
zone géographique se voit sérieusement
remise en cause. Peut-être le destin de
la littérature islandaise sera-t-il de se dis-
soudre dans la masse d’une nouvelle lit-
térature mondiale, écrite seulement dans
quelques grandes langues.
ISOCRATE, orateur grec (Athènes 436 -
338 av. J.-C.).
Issu d’une riche famille athénienne, Iso-
crate suivit l’enseignement des sophistes.
Ruiné à la fin de la guerre du Pélopon-
nèse, il devint logographe, puis ouvrit une
école de rhétorique vers 393. Sa « phi-
losophia » mêle rhétorique et politique
et l’oppose aussi bien à Platon et aux
socratiques qu’aux maîtres d’éloquence
du début du IVe siècle. Isocrate veut for-
mer par l’art de bien parler, lié à l’art de
bien penser, à une sagesse de l’action,
efficace dans la mouvance des circons-
tances, en ouvrant à l’histoire d’une
culture humaine (Panégyrique, 380) qui
est la source de la créativité. Outre six
discours judiciaires, nous sont parvenus
des discours fictifs, où l’auteur expose
son programme (Contre les sophistes,
v. 393), répond aux sophistes par des
éloges paradoxaux (Busiris, Éloge d’Hé-
lène) ou défend son idéal d’une Grèce
unie, en s’adressant à Athènes, à Sparte
ou à Philippe (Panégyrique, Aréopagi-
tique, v. 355 ; Philippe, 346 ; Panathé-
naïque, 342-339). Sur l’échange (353),
discours mixte, est un exemple de cette
variété caractéristique, au même titre que
sa prose qui rivalise avec la poésie, de
l’art d’Isocrate.
ISOU (Jean Isisdore Goldstein, dit Isidore),
écrivain français d’origine roumaine (Bo-
tosçani, Roumanie, 1925).
Ce compatriote de Tzara publie en 1947
un manifeste d’avant-garde, Introduction
à une nouvelle poésie et à une nouvelle
musique, qui fera de lui le fondateur du
« lettrisme », mouvement qu’il animera
avec Maurice Lemaître. « Poésie des
lettres, non des mots », le lettrisme se
définit par rapport au surréalisme et à ses
précurseurs pour se placer sur le versant
du signifiant. Dans la tradition des Grands
Rhétoriqueurs, Isou exige de tout prendre
et de tout donner à la lettre, unité pre-
mière du langage. Le mot n’est alors plus
porteur de sens mais véritable « morceau
sonore » et fait de la poésie l’Initiation à la
haute volupté (1960). Le projet de placer
la lettre, phonème et graphème, au centre
de tout, se prolonge dans la musique,
reflet de la « créatique » (Concerto pour
oeil et oreille, 1984, ainsi que Tombeau
de Pierre Larousse, poème musical de
François Dufrêne, 1958), dans le théâtre
(Fondements pour la transformation
intégrale du théâtre, 1953-1970), dans
la peinture (les Champs de force de la
peinture lettriste, 1964) et le cinéma (Isou
réalise quelques films expérimentaux,
dont Traité de bave et d’éternité, 1951).
Par la pratique du détournement et la
critique virulente de ce que Guy Debord
analysera plus tard comme « la société
du spectacle », Isou donne à la subver-
sion lettriste, au-delà du folklore des ma-
nifestes et de la violence polémique des
happenings, une dimension sociale, éco-
nomique et politique. Le lettrisme prépare
ainsi le terrain au situationnisme autant
qu’à l’Oulipo.
ISRAËL → Hébraïque.
ISSAHAKIAN (Avetik), poète arménien
(Aleksandropol, auj. Gumri, 1875 - Erevan
1957).
D’abord consacré à des thèmes amou-
reux ou héroïques, son lyrisme d’inspi-
ration populaire prend ensuite un accent
désabusé, voire nihiliste, et adopte une
forme plus recherchée dans Aboul Ala
Mahari (1909-1911). L’indifférence du
monde devant le génocide de 1915 ac-
croît l’angoisse du poète en exil, qui finit
par rallier l’Arménie soviétique en 1936,
sans y trouver les conditions favorables
pour achever son roman Maître Garo .
ITALIE
Si l’Italie n’a réalisé son unité poli-
tique qu’à la fin du XIXe s., son uni-
fication linguistique est encore en
cours. Il en résulte d’une part que, parmi
les littératures romanes, la littérature ita-
lienne est la plus riche en oeuvres dia-
lectales de premier plan, et d’autre part
que les problèmes poétiques, rhétoriques
et esthétiques y ont toujours été subor-
donnés au débat sur la norme linguis-
tique. Débat certes tranché dans les faits,
moins d’un siècle après la naissance de
la littérature italienne en langue vulgaire,
par les chefs-d’oeuvre de Dante et de Pé-
trarque, mais tranché antithétiquement.
Au-delà, en effet, de la prééminence du
toscan que consacrent durablement ces
deux oeuvres, deux postulations linguis-
tiques contradictoires s’y affirment et s’y
opposent : l’une, sélective, de raréfac-
tion lexicale et de rigoureuse codification
morphologico-syntaxique (Pétrarque),
l’autre, proprement démiurgique, de plu-
rilinguisme et de contamination stylis-
tique à l’intérieur même des structures
historiques du toscan littéraire (la Divine
Comédie ). Cependant, dans les deux
cas, c’est à la poésie qu’est assignée une
fonction hégémonique dans la genèse
de la langue littéraire italienne. D’où le
caractère aristocratique que celle-ci gar-
dera pendant des siècles, koinê utopique
d’une idéale societas littéraire, tandis
qu’à de rares exceptions près, du reste
largement tributaires de modèles latins
(Boccace), la prose de langue vulgaire
connaîtra un procès d’unification beau-
coup plus lent, témoignant du morcelle-
ment, des contradictions et des vicissi-
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