Titre : Dictionnaire mondial des littératures / Larousse ; sous la dir. de Pascal Mougin et Karen Haddad-Wotling
Auteur : Larousse. Auteur du texte
Éditeur : Larousse (Paris)
Date d'édition : 2002
Contributeur : Mougin, Pascal (1965-....). Directeur de publication
Contributeur : Haddad, Karen (1963-....). Directeur de publication
Sujet : Littérature
Sujet : Écrivains
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb389080499
Type : monographie imprimée monographie imprimée
Langue : français
Format : [20]-1017 p. : jaquette ill. ; 29 cm [20]-1017 p. : jaquette ill. ; 29 cm
Format : Nombre total de vues : 1479 Nombre total de vues : 1479
Description : Avec mode texte Avec mode texte
Description : Dictionnaires biographiques Dictionnaires biographiques
Description : Dictionnaires Dictionnaires
Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Larousse
Identifiant : ark:/12148/bpt6k12005026
Source : Larousse, 2012-129383
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
DICTIONNAIRE MONDIAL DES LITTÉRATURES
DRUON (Maurice), écrivain français (Paris
1918).
Il participe en 1940 à la bataille de la
Loire, qui lui inspire la Dernière Brigade
(1946), et compose avec son oncle
Joseph Kessel le Chant des partisans
(1943). La Fin des hommes, son cycle ro-
manesque en trois volumes (les Grandes
Familles, 1948 ; la Chute des corps,
1950 ; Rendez-vous aux Enfers, 1951),
propose une peinture impitoyable de la
classe dirigeante de l’entre-deux-guerres.
Il se consacre au roman historique dans
un autre cycle, les Rois maudits (en sept
volumes, 1955-1977), pour évoquer la
malédiction qui pèse sur la descendance
de Philippe le Bel. Druon a aussi écrit
des essais, des récits pour enfants (Tis-
tou les pouces verts, 1957) et des pièces
de théâtre (Un voyageur, 1954). Il fut un
moment ministre des Affaires culturelles
(1973-1974).
DRURY LANE (théâtre).
Cette ancienne aire de combat de
coqs londonienne devient théâtre sous
Jacques Ier. C’est durant le XVIIe et le
XVIIIe siècle. le haut lieu du drame et de
l’opéra sous la direction de Garrick puis
de Sheridan. Après une période essen-
tiellement consacrée au drame pour
grand acteur (Kemble, Kean, Macready,
Burke), l’opéra, à l’italienne cette fois,
reprit ses droits (la Malibran). Devenu
théâtre de répertoire, notamment shakes-
pearien, il abrite, en hiver, des « panto-
mimes » (revues-féeries à grand spec-
tacle). Il accueillit Diaghilev en 1913 et,
après 1947, se consacra à la comédie
musicale.
DRYDEN (John), écrivain anglais (Aldwin-
kle, Northamptonshire, 1631 - Londres
1700).
D’origine puritaine, étudiant rebelle, il se
rallie précipitamment à la Restauration
(Astraea Redux, 1660). Chantre de la
nation, il décrit (Annus Mirabilis, 1666)
la guerre contre la Hollande, l’incendie
et la peste de Londres. Il règne sur les
théâtres, récemment réouverts, réhabilite
Shakespeare, adapte les classiques fran-
çais ou espagnols, théorise son art (Essai
sur la poésie dramatique, 1668). Poète
lauréat, historiographe du roi, il écrit une
trentaine de pièces : tragi-comédies (la
Reine vierge, 1667 ; le Moine espagnol,
1681 ; l’Amour vainqueur, 1694), comé-
dies héroïques (l’Empereur indien, 1667 ;
Almanzor et Almahide, 1669-1670 ;
Aureng-Zeb, 1675). Antirationaliste in-
quiet, il défend l’ordre et ranime la satire
politique, avec notamment Absalon et
Achitophel (contre Buckingham, 1681).
À l’avènement de Jacques II, il se rallie
« logiquement » au catholicisme, et ses
grandes odes (Ode pour la Sainte-Cécile,
1687) le consacrent comme le modèle
du classicisme. La révolution de 1688,
qui le plonge dans une misère relative,
libère chez lui une veine âcre, véhémente
et paillarde, assez swiftienne. Il traduit
Juvénal (1693), Perse et Virgile (1697),
reprend Chaucer et Boccace (Fables,
1700) dans une lignée inaugurée par son
Mariage à la mode (1673), tandis que son
attrait pour le faste de l’opéra en fait le
collaborateur préféré de Purcell (le Roi
Arthur, 1691).
DRZIC (Marin), écrivain de langue croate
(Raguse/Dubrovnik 1505 - Venise 1567).
Il est ordonné prêtre après avoir fait
ses études à Sienne, puis il mène une
vie aventurière. Drzic appartenait entiè-
rement à la Renaissance en exprimant
dans ses oeuvres toute la plénitude de
la vie. Il est aussi l’auteur de poèmes
d’amour d’inspiration pétrarquiste. Ses
comédies l’Oncle Maroje et l’Avare sont
inspirées de modèles latins ou italiens,
et elles contiennent beaucoup d’élé-
ments de satire sociale. Elles constituent
le fonds classique du répertoire théâtral
yougoslave.
DÛ’ÂJÎ (‘Alî al-), écrivain tunisien (1909 -
1949).
Auteur autodidacte, bohème, anticonfor-
miste plein d’humour, il publia un récit
de voyage au style vif et alerte (Périple
autour des tavernes de la Méditerranée,
1935). Il fonda en 1936 un éphémère
journal, al-Surûr (la Joie), et laissa des
poèmes et des pièces de théâtre dont
certaines, en dialecte tunisien, sont desti-
nées à la radio.
DUBILLARD (Roland), acteur et auteur
dramatique français (Paris 1923).
Étudiant en philosophie, il écrit des
pièces de théâtre pour des étudiants
amateurs, puis, influencé par Vian,
Tardieu, Ionesco, il monte un numéro
radiophonique de duettistes, « Grégoire
et Amédée » (1953). Ces sketches,
regroupés dans les Diablogues (1974),
abordent tous les sujet dans un esprit de
« nonsens » délirant. Souvent acteur et
metteur en scène de ses propres oeuvres,
il entreprend d’animer l’« espace du de-
dans » (Naïves Hirondelles, 1961, pièce
applaudie aussi bien par les virtuoses du
comique traditionnel comme André Rous-
sin que par les représentants du théâtre
de l’absurde ; la Maison d’os, 1962) et
préside à l’agonie de l’intrigue (le Jardin
aux betteraves, 1969 ; Où boivent les
vaches, 1972 ; le Bain de vapeur, 1976)
dans une sorte d’entraînement fou vers
la destruction iconoclaste de tout art re-
connu. Cependant, les nouvelles d’Olga
ma vache (1974) content un amour ma-
laisé mais troublant qui lui vaut le grand
prix de l’Humour noir. Dans Je dirai que
je suis tombé (1966), il se révèle poète,
sur le thème du vertige où nous jettent
les lois physiques, sans parler des mo-
rales (Méditation sur la difficulté d’être en
bronze, 1973). L’incarnation est décidé-
ment, pour ce « grotesque », une passe
difficile, même s’il entreprend d’aborder le
monde avec une Boîte à outils (1985). En
1989, il publie les Nouveaux Diablogues.
En 1998 paraît Carnet en marge .
DU BOIS (William Edward Burghardt), écri-
vain américain (Great Barrington, Massa-
chusetts, 1868 - Accra, Ghana, 1963).
Descendant d’esclaves, il fonde, en
1909, l’Association nationale pour le
progrès des gens de couleur (NAACP)
et, directeur de la revue The Crisis, il est
le premier à défendre le panafricanisme
à Londres (1900) puis à Paris (1919).
Père de la renaissance culturelle noire
(l’Âme du peuple noir, 1903), il donne des
romans, la Quête de la toison d’argent
(1911), Princesse noire, un roman senti-
mental (1928), la trilogie la Flamme noire
(1957-1961), de nombreuses études
d’histoire et de sociologie (la Condition
sociale et matérielle des Noirs en ville,
1897 ; le Don du peuple noir, les Noirs
dans la construction de l’Amérique, 1924 ;
le Peuple noir, passé et présent, essai
historico-sociologique sur la race noire,
1939). Son autobiographie (Crépuscule
de l’aube, 1940) dit l’apprentissage de la
lucidité politique. En 1960, il partit pour
le Ghana afin de diriger l’Encyclopedia
Africana et renonça à la nationalité amé-
ricaine.
DU BOS (Charles), écrivain français (Paris
1882 - La Celle-Saint-Cloud 1939).
Son Journal, publié de 1946 à 1962, ses
essais (Approximations, 1922-1937 ;
François Mauriac et le problème du ro-
mancier catholique, 1933), sa correspon-
dance avec Gide (publiée en 1950) sont
une méditation sur le rôle des valeurs
spirituelles et morales dans la genèse de
l’oeuvre littéraire, qui l’amena au catholi-
cisme (1927).
DUBOS (Jean-Baptiste, abbé), écrivain
français (Beauvais 1670 - Paris 1742).
Célèbre par sa passion de l’opéra et
son goût du luxe, négociateur de la paix
d’Utrecht, conseiller du cardinal Dubois et
de Voltaire, il appliqua son esprit critique
à l’histoire et à l’esthétique. Ses travaux
portent sur l’Antiquité (Histoire des quatre
Gordiens prouvée et illustrée par les
médailles, 1695), mais aussi sur le passé
national (Histoire de la ligue faite à Cam-
brai, 1709 ; Histoire critique de l’établisse-
ment de la monarchie française dans les
Gaules, 1734). Son oeuvre majeure reste
les Réflexions critiques sur la poésie et
la peinture, parues en 1719. S’inscrivant
dans le fil de la querelle des Anciens
et des Modernes, elle tente d’expliquer
les productions artistiques à partir du
climat, du milieu et de l’époque. Dubos
montre que le sentiment joue en art un
rôle aussi important que la raison, car l’art
doit « toucher ». Il insiste sur le « sixième
347
DRUON (Maurice), écrivain français (Paris
1918).
Il participe en 1940 à la bataille de la
Loire, qui lui inspire la Dernière Brigade
(1946), et compose avec son oncle
Joseph Kessel le Chant des partisans
(1943). La Fin des hommes, son cycle ro-
manesque en trois volumes (les Grandes
Familles, 1948 ; la Chute des corps,
1950 ; Rendez-vous aux Enfers, 1951),
propose une peinture impitoyable de la
classe dirigeante de l’entre-deux-guerres.
Il se consacre au roman historique dans
un autre cycle, les Rois maudits (en sept
volumes, 1955-1977), pour évoquer la
malédiction qui pèse sur la descendance
de Philippe le Bel. Druon a aussi écrit
des essais, des récits pour enfants (Tis-
tou les pouces verts, 1957) et des pièces
de théâtre (Un voyageur, 1954). Il fut un
moment ministre des Affaires culturelles
(1973-1974).
DRURY LANE (théâtre).
Cette ancienne aire de combat de
coqs londonienne devient théâtre sous
Jacques Ier. C’est durant le XVIIe et le
XVIIIe siècle. le haut lieu du drame et de
l’opéra sous la direction de Garrick puis
de Sheridan. Après une période essen-
tiellement consacrée au drame pour
grand acteur (Kemble, Kean, Macready,
Burke), l’opéra, à l’italienne cette fois,
reprit ses droits (la Malibran). Devenu
théâtre de répertoire, notamment shakes-
pearien, il abrite, en hiver, des « panto-
mimes » (revues-féeries à grand spec-
tacle). Il accueillit Diaghilev en 1913 et,
après 1947, se consacra à la comédie
musicale.
DRYDEN (John), écrivain anglais (Aldwin-
kle, Northamptonshire, 1631 - Londres
1700).
D’origine puritaine, étudiant rebelle, il se
rallie précipitamment à la Restauration
(Astraea Redux, 1660). Chantre de la
nation, il décrit (Annus Mirabilis, 1666)
la guerre contre la Hollande, l’incendie
et la peste de Londres. Il règne sur les
théâtres, récemment réouverts, réhabilite
Shakespeare, adapte les classiques fran-
çais ou espagnols, théorise son art (Essai
sur la poésie dramatique, 1668). Poète
lauréat, historiographe du roi, il écrit une
trentaine de pièces : tragi-comédies (la
Reine vierge, 1667 ; le Moine espagnol,
1681 ; l’Amour vainqueur, 1694), comé-
dies héroïques (l’Empereur indien, 1667 ;
Almanzor et Almahide, 1669-1670 ;
Aureng-Zeb, 1675). Antirationaliste in-
quiet, il défend l’ordre et ranime la satire
politique, avec notamment Absalon et
Achitophel (contre Buckingham, 1681).
À l’avènement de Jacques II, il se rallie
« logiquement » au catholicisme, et ses
grandes odes (Ode pour la Sainte-Cécile,
1687) le consacrent comme le modèle
du classicisme. La révolution de 1688,
qui le plonge dans une misère relative,
libère chez lui une veine âcre, véhémente
et paillarde, assez swiftienne. Il traduit
Juvénal (1693), Perse et Virgile (1697),
reprend Chaucer et Boccace (Fables,
1700) dans une lignée inaugurée par son
Mariage à la mode (1673), tandis que son
attrait pour le faste de l’opéra en fait le
collaborateur préféré de Purcell (le Roi
Arthur, 1691).
DRZIC (Marin), écrivain de langue croate
(Raguse/Dubrovnik 1505 - Venise 1567).
Il est ordonné prêtre après avoir fait
ses études à Sienne, puis il mène une
vie aventurière. Drzic appartenait entiè-
rement à la Renaissance en exprimant
dans ses oeuvres toute la plénitude de
la vie. Il est aussi l’auteur de poèmes
d’amour d’inspiration pétrarquiste. Ses
comédies l’Oncle Maroje et l’Avare sont
inspirées de modèles latins ou italiens,
et elles contiennent beaucoup d’élé-
ments de satire sociale. Elles constituent
le fonds classique du répertoire théâtral
yougoslave.
DÛ’ÂJÎ (‘Alî al-), écrivain tunisien (1909 -
1949).
Auteur autodidacte, bohème, anticonfor-
miste plein d’humour, il publia un récit
de voyage au style vif et alerte (Périple
autour des tavernes de la Méditerranée,
1935). Il fonda en 1936 un éphémère
journal, al-Surûr (la Joie), et laissa des
poèmes et des pièces de théâtre dont
certaines, en dialecte tunisien, sont desti-
nées à la radio.
DUBILLARD (Roland), acteur et auteur
dramatique français (Paris 1923).
Étudiant en philosophie, il écrit des
pièces de théâtre pour des étudiants
amateurs, puis, influencé par Vian,
Tardieu, Ionesco, il monte un numéro
radiophonique de duettistes, « Grégoire
et Amédée » (1953). Ces sketches,
regroupés dans les Diablogues (1974),
abordent tous les sujet dans un esprit de
« nonsens » délirant. Souvent acteur et
metteur en scène de ses propres oeuvres,
il entreprend d’animer l’« espace du de-
dans » (Naïves Hirondelles, 1961, pièce
applaudie aussi bien par les virtuoses du
comique traditionnel comme André Rous-
sin que par les représentants du théâtre
de l’absurde ; la Maison d’os, 1962) et
préside à l’agonie de l’intrigue (le Jardin
aux betteraves, 1969 ; Où boivent les
vaches, 1972 ; le Bain de vapeur, 1976)
dans une sorte d’entraînement fou vers
la destruction iconoclaste de tout art re-
connu. Cependant, les nouvelles d’Olga
ma vache (1974) content un amour ma-
laisé mais troublant qui lui vaut le grand
prix de l’Humour noir. Dans Je dirai que
je suis tombé (1966), il se révèle poète,
sur le thème du vertige où nous jettent
les lois physiques, sans parler des mo-
rales (Méditation sur la difficulté d’être en
bronze, 1973). L’incarnation est décidé-
ment, pour ce « grotesque », une passe
difficile, même s’il entreprend d’aborder le
monde avec une Boîte à outils (1985). En
1989, il publie les Nouveaux Diablogues.
En 1998 paraît Carnet en marge .
DU BOIS (William Edward Burghardt), écri-
vain américain (Great Barrington, Massa-
chusetts, 1868 - Accra, Ghana, 1963).
Descendant d’esclaves, il fonde, en
1909, l’Association nationale pour le
progrès des gens de couleur (NAACP)
et, directeur de la revue The Crisis, il est
le premier à défendre le panafricanisme
à Londres (1900) puis à Paris (1919).
Père de la renaissance culturelle noire
(l’Âme du peuple noir, 1903), il donne des
romans, la Quête de la toison d’argent
(1911), Princesse noire, un roman senti-
mental (1928), la trilogie la Flamme noire
(1957-1961), de nombreuses études
d’histoire et de sociologie (la Condition
sociale et matérielle des Noirs en ville,
1897 ; le Don du peuple noir, les Noirs
dans la construction de l’Amérique, 1924 ;
le Peuple noir, passé et présent, essai
historico-sociologique sur la race noire,
1939). Son autobiographie (Crépuscule
de l’aube, 1940) dit l’apprentissage de la
lucidité politique. En 1960, il partit pour
le Ghana afin de diriger l’Encyclopedia
Africana et renonça à la nationalité amé-
ricaine.
DU BOS (Charles), écrivain français (Paris
1882 - La Celle-Saint-Cloud 1939).
Son Journal, publié de 1946 à 1962, ses
essais (Approximations, 1922-1937 ;
François Mauriac et le problème du ro-
mancier catholique, 1933), sa correspon-
dance avec Gide (publiée en 1950) sont
une méditation sur le rôle des valeurs
spirituelles et morales dans la genèse de
l’oeuvre littéraire, qui l’amena au catholi-
cisme (1927).
DUBOS (Jean-Baptiste, abbé), écrivain
français (Beauvais 1670 - Paris 1742).
Célèbre par sa passion de l’opéra et
son goût du luxe, négociateur de la paix
d’Utrecht, conseiller du cardinal Dubois et
de Voltaire, il appliqua son esprit critique
à l’histoire et à l’esthétique. Ses travaux
portent sur l’Antiquité (Histoire des quatre
Gordiens prouvée et illustrée par les
médailles, 1695), mais aussi sur le passé
national (Histoire de la ligue faite à Cam-
brai, 1709 ; Histoire critique de l’établisse-
ment de la monarchie française dans les
Gaules, 1734). Son oeuvre majeure reste
les Réflexions critiques sur la poésie et
la peinture, parues en 1719. S’inscrivant
dans le fil de la querelle des Anciens
et des Modernes, elle tente d’expliquer
les productions artistiques à partir du
climat, du milieu et de l’époque. Dubos
montre que le sentiment joue en art un
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