LES ESCLWES DE PARIS
– C'est bien?. descendons.
ils sortaient de là chambre, et déjà Norbert avait fait passer Croisouois sur le
palier, lorsque se sentant tirer par son pardessus, il se retourna..
La duchesse, trop faible pour se tenir debout, s'était traînée jusque-là à
gcnoiix.
Pauvre femme! elle avait tout entendu et, les mains jointes, d'une vi > i v
à peine intelligible, elle priait.
Grâce 1. Norbert, disait-elle, je suis innocente, je vous le jure. Vous no
m'aimez pas; pourquoi vous battre?. Grâce ï. demain, je vous le promets,
j'entrerai dans un couvent, pour la vie. ayez pitié!
– Ëh interrompit-il, priez Dieu pour que ce soit votre amant qui me tue.
vods serez libre après!
Et se dégageant brutalement, il repoussa la malheureuse femme, qui towba,
et refefm'a' là Jiorto.
XYII I
Vingt fois, durant cotte scène d'un quart d'heure, Norbert de Champdoce avait
été sur le point d'éclater et de s'abandonnera toute la furie de son ressentiment
vingt fois, la vauilé plus forte l'avait retenu.
Il savait conib'ien cruellement on avait raillé son manque absolu d'éducation,
ses emportements, la brutalité de ses façons il tenait à prouver à son ennemi
qu'il savait, au besoin, se conduire ou gentilhomme, et qu'il était capable de dis-
cuter froidement uiie question do vie ou de mort.
Mais il était à bout de volonté; quand il quitta la chambre de la duchesse, la
contrainte trop violente qu'il s'était imposée l'étouffait, et il témoignait un
empressement farouche, une impatience qui ressemblait à de la férocité.
tbïii en éclairant Croisenois, le long du grand escalier, il ne cessait de ré-
pélor
– Dëp'ëcnb'hs dép'êchons-noils
Maintenant qu'il avait imposé ses conditions, il tremblait que cet homme qui
l'avait outragé no lui échappât. Que fallait-il pour le soustraire à sa vengeance?
Un de ces hasards qui déconcertent les desseins les mieux conçus. Un domes-
tique pouvait rentrer.
– C'est bien?. descendons.
ils sortaient de là chambre, et déjà Norbert avait fait passer Croisouois sur le
palier, lorsque se sentant tirer par son pardessus, il se retourna..
La duchesse, trop faible pour se tenir debout, s'était traînée jusque-là à
gcnoiix.
Pauvre femme! elle avait tout entendu et, les mains jointes, d'une vi > i v
à peine intelligible, elle priait.
Grâce 1. Norbert, disait-elle, je suis innocente, je vous le jure. Vous no
m'aimez pas; pourquoi vous battre?. Grâce ï. demain, je vous le promets,
j'entrerai dans un couvent, pour la vie. ayez pitié!
– Ëh interrompit-il, priez Dieu pour que ce soit votre amant qui me tue.
vods serez libre après!
Et se dégageant brutalement, il repoussa la malheureuse femme, qui towba,
et refefm'a' là Jiorto.
XYII I
Vingt fois, durant cotte scène d'un quart d'heure, Norbert de Champdoce avait
été sur le point d'éclater et de s'abandonnera toute la furie de son ressentiment
vingt fois, la vauilé plus forte l'avait retenu.
Il savait conib'ien cruellement on avait raillé son manque absolu d'éducation,
ses emportements, la brutalité de ses façons il tenait à prouver à son ennemi
qu'il savait, au besoin, se conduire ou gentilhomme, et qu'il était capable de dis-
cuter froidement uiie question do vie ou de mort.
Mais il était à bout de volonté; quand il quitta la chambre de la duchesse, la
contrainte trop violente qu'il s'était imposée l'étouffait, et il témoignait un
empressement farouche, une impatience qui ressemblait à de la férocité.
tbïii en éclairant Croisenois, le long du grand escalier, il ne cessait de ré-
pélor
– Dëp'ëcnb'hs dép'êchons-noils
Maintenant qu'il avait imposé ses conditions, il tremblait que cet homme qui
l'avait outragé no lui échappât. Que fallait-il pour le soustraire à sa vengeance?
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