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2° Jean-MariefPicrro, marié à Ophélic-Iïonricttc-LouiscLe Grosnicr du Toi], dont quatre fils
et une tille, qui suivent :
a) Àlpbonsc-Simon-PieiTC-Maric, chef de bureau au Ministère de l'intérieur, $5; né à
Martigny (Manche) le 2 octobre 1827, marié deux fois : 1" le 27 mai 1878, à Marie-
Thérèse-Francoise de Bernard de la Frégeolière, f à Saint-Hilairc-lc-Forcst le 4 mai
1871, dont une fille, morte en naissant; 2° en mai 1877, à sa cousine Alix-Jeanne de
Brisay, dont: Jacques, Yalcntincct Marguerite;
b) Émile-Louis, lieutenant de vaisseau, ; né à Martigny le 15 avril 1832, marié à
D ll# Pcsron, f en 1894, dont: Gaston, Robert, Maxime, Henry et Jean;
c) Eugènc-J'jdouard, lieutenant de vaisseau, ifc ; né le Tl février 1838, marié, à Pau en
décembre 1872, à Louise Varlottcuu (veuve deM. Hamoir), sans postérité;
(1) Louis, f sans alliance;
e) N..., mariée à Henri-René Morin, marquis d’Àuvcrs ;
3° N..., mariée à Alphonse Cherfils;
4° Marie-Désirée-Victoire, née à Bordeaux le 10 octobre 1799, mariée, le 8 mai 1825, à Adolphe-
Henri- Victor Blouquicr de Trélan.
VII. Auguste-Désiré-Marie-IIyacinlhe Rrindkjonc du Rkhmingham, né vers
1802, -J’ à Paris le 20 septembre 1881, épousa, en 1832, Flore-Euphérnie Chesnel,
-[• à Paris le 10 mars 1880, fille de François, lieutenant-colonel, et de D 11 » Hilaire de
Moissac, dont un fils et une fille :
1" Alfred-Bdouard, qui suivra;
2° Marie-Charlotte, née à Paris le 2 février 1836, mariée, le 8 septembre 1845, à Jules-Achille,
comte de Brisay, f le 13 mars 1886.
VIII. Alfred-Edouard Rhindkjonc de Bkiimixgiiam, colonel de dragons, O.
né il Paris le 19 novembre 1833, a épousé, en janvier 1809, Henriette de Colleville,
fille d’Auguste-Nicolas-François et d’Henriette-Cécile-Adélaïde de Costalin, dont
deux enfants :
1" Raoul-Mario-Joscph-Aiiguslin, lieutemmt au G” cuirnssjors, né à Paris le G novembre 18G0 ;
2“ Jcan-Georjjcs-Hénri-Maric, né en 1872, f il Paris le 13 juin 1874.
RRIOT[de la Ghochais, de Loyat et de la Mallehie]
= Lettres de noblesse en faveur de Jean-Guillaume Bhiot, par lettres patentes
du 24 mai 1823, avec règlement d’armoiries : clcgueules, nu chevron d’argent, accom
pagné en chef de deux croix paltées d'or, cl en pointe, d'une tète de léopard du même.
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La famille Briot serait, d’après une tradition, originaire d’Irlande.
I. Toussaint Bhiot, sieur de la Mallerie, garde des sceaux de la chancellerie du
parlement de Bretagne, né en 1728, -J- au château de la Mallerie en 1811, épousa
Toussainte Pépin du Vilou, dont un fils, qui suit.
II. Jean-Guillaume Bhiot, né à Lancieux (Cdtes-du-Nord) le 5 mars 1764,
fut anobli par lettres patentes du 24 mai 1823 ; il épousa, en 1799, Emmanuelle-
Jeanne-Angélique Ee Roux de Coëtando, fille de Jean-Baptiste Le Roux, comte de
Coëtando et de Marie-Françoise-Angélique de Cahideuc du Rois-de-la-Motte, dont
neuf enfants, qui suivent :
