Titre : La Caricature morale, politique et littéraire / A. Audibert, rédacteur en chef ; [directeur : Ch. Philipon]
Éditeur : Aubert (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1832-11-08
Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication
Contributeur : Audibert, Auguste (18..?-1832). Rédacteur
Contributeur : Desnoyers, Louis (1802-1868). Rédacteur
Contributeur : Gonzalès, Emmanuel (1815-1887). Directeur de publication
Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344523348
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4371 Nombre total de vues : 4371
Description : 08 novembre 1832 08 novembre 1832
Description : 1832/11/08 (T5,N105). 1832/11/08 (T5,N105).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k10489389
Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES FOL-LC2-2828, Z-1643-1646
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/09/2013
839
LA CARICATURE.
840 —
de S. M. la reine des Belges. Mon Dieu oui. Ce n’était encore qu’une
simple rumeur ; mais enfin la nouvelle est officielle : je viens de l’ap
prendre par le télégraphe. Toutefois, on ne sait pas encore bien pré
cisément si c’est d’une fille où d’un garçon , que S. M. est enceinte.
Mais, à propos de télégraphe, il faudra que décidément nous éta
blissions des télégraphes de nuit, à l’instar de ceux qui existent en
* Angleterre. Car, voyez-vous, en cela comme en toute autre chose,
c’est l’Angleterre que nous devons prendre pour modèle. »
(Ici plusieurs ministres commencent à s'endormir légèrement, derrière
leurs portefeuilles qu'ils ont soin, par politesse, de se mettre devant
le 'visage. Le président continue.)
« Mais ce sont surtout ses chevaux que nous devons tâcher d’imiter,
et ses bœufs et ses coqs, et en général toutes ses bêtes; et aussi son hor
ticulture, ses oignons, ses carottes et ses citrouilles. Dieu! les belles
citrouilles! Ces citrouilles-là ne me sortiront jamais delà tête. Eh!
bien, l’utile ne leur fait pas négliger l’agréable. Leurs jardins de fan
taisie sont d’un goût exquis. C’est à leur école que je me suis formé,
moi qui vous parle ; et, sans vanité, je puis dire que cela se voit tout
de suite. Il n’y a qu’à, pour s’en assurer, mettre le nez à la fenêtre. »
(Ici M. d'Argout, qui ne peut pas se cacher derrière son portefeuille,
à cause de son nez, et qui a envie de dormir, veut profiter de l'oc
casion pour prendre l'air-, mais il ne peut réussir à mettre son
diable de nez à la fenêtre, selon l'invitation du président : la fenê
tre n'étant pas assez large. Le président continue.)
« En un mot c’est un beau pays, un pays bien digne d’être étudié
sous tous les rapports, pour ses citrouilles comme pour ses institu
tions aristocratiques, pour ses carottes comme pour la manière dont
le roi y préside son conseil. Car là-bas le roi préside le conseil des
ministres. Du reste, comme climat, c’est un pays fort désagréable.
Nous sommes mieux partagés sous ce rapport. Et cependant, qu’est-ce
que notre soleil ; (riant) fût-ce même ce soleil de juillet dont les niais
affectent de tant parler ? qu’est-ce, en comparaison de te beau soleil
d’Italie? de ce beau ciel de Naples dont qui que Ah, oh,
ah! »
( Ici les ministres se mettent à ronfler, à l'exception de M. d'Argout,
qui se pince pour ne pas dormir ; et de M. Humann, qui se bourre le
nez de tabac de contrebande. Le président continue f
« Ce n’est pas l’embarras, j’aime la Suisse aussi ; j’aime beaucoup la
Suisse ; je ne sais pas si vous êtes comme moi. C’est un pays hospita
lier et très-pittoresque, où l’on trouve des montagnes superbes et
d’excellens fromages de Gruyère. Mais ce n’est pas étonnant, il y a tant
de simples dans ce pays-là; du moins de mon temps, car pour ce qui
est d’à présent, l’esprit démocratique qui y domine aura peut-être
changé tout cela* Et ce serait dommage! Leur thé aussi était fort bon;
pas si bon que le thé de Chine ; mais il était à bien meilleur marché,
et c’est une considération. C’est qu’en vérité, le thé de Chine est d’un
prix révoltant ! Les Chinois abusent réellement de ce que c’est eux
qui l’ont inventé. Du reste, c’est un peuple fort industrieux. On est
émerveillé quand on pense qu’ils connaissaient l’intérêt-composé
avant nous; que le parapluie avait reçu depuis long-temps chez eux ses
plus larges développemens, et qu’ils soupçonnaient le feutregris.il n’y
a qu’une découverte dont je les blâme, ou plutôt dont je les plains ;
c’est celle de la poudre à canon et de l’imprimerie , ces deux vol
cans artificiels, dont l’un fait si peu de bien aux peuples, et l’autre
tant de mal aux ..... Mais à propos d’invention, ce sont les Chinois
encore qui ont creusé les plus beaux fossés connus, et qui ait maçonné
les plus hautes murailles : c’est un hommage que je me plais à leur
rendre. Il est de fait que nous ne pouvons lutter avec eux sur ce point.
Cela tient à la profondeur de leur esprit, ainsi qu’à leur élévation d’i
dées. Mais à propos d'élévation , vous savez que la comète a fait enfin
son apparition. Oui, parbleu ! à l’heure précise qui avait été prédite.
Mais à propos d’heure, en voici deux que nous nous occupons là des
plus graves intérêts du pays. C’est assez comme cela pour aujourd’hui.
Mon architecte m’attend pour des fossés que je dois faire creuser à
l imitation de ceux des Tuileries et de Pékin. J’ai lieu de croire d’ail
leurs la question belge suffisamment éclaircie. Je vais donc expédier
des ordres en conséquence. Messieurs, vous pouvez vous retirer. Je
vous remercie de vos conseils, et des nombreuses lumières que vous
avez jetées dans la discussion. »
( Ici le président se retire. Les autres ministres ne l'entendant plus
parler, se réveillent en sursaut et s'en vont dîner.)
Et voilà ce que c’est qu’un président bel-esprit ; et comme quoi
cette volubilité d’élocution , que nous appellerions de la blague, n'é-
tait la trivialité de l’expression, doit contribuer singulièrement à
éclaircir l’horizon politique et à rendre le peuple heureux.
SATIRES POLITIQUES HEBDOMADAIRES.
PAR FEUILLIDE.
Quand par mort ou par désertion, les rangs de la presse patriote s’éclaircissent, il est
consolant de voir avec quelle ardeur de nouveaux combattans s’élancent pour en combler les
vides. Un de perdu, cent de trouvés. Voici venir M. Feuillide , dont la verve hebdoma
daire nous dédommagera , nous en avons l’espe'rance, de la trahison de Némésis. M. Feuil
lide apporte dans la lutte un grand talent d’abord, et de plus , ce que M. Barthélemy n’eut
jamais , ou ce qu’au moins il a perdu. Nous répétons que l’espace nous manque aujourd’hui
pour donner un plus long extrait de la dernière épître de M. Feuillide , laquelle est adressée
aux Doctrinaires. Les vers dont il y fouette ces jésuites de 1832 , sont de rudes et cinglan
tes lanières qui devront laisser leurs stigmates.
Ces hommes , que l’on vit nier la république
Parce qu’elle mourait sous leur main famélique,
Et, sans livrer leur cœur au poignard de Straton,
Dire comme Brutus : — La vertu n’est qu’un nom !
Tous ces honteux soutiens du honteux Directoire
Dont Talleyrand chez nous est la vivante histoire 5
Ces dandys en béquille, osant garder leur rang
Parmi notre jeunesse au pas ferme , au cœur franc ; .
Ces maîtres décrépits de l’art diplomatique,
Dans l’astuce et la peur traînant la politique ;
Ces fripons à bons mots , de trahisons nourris,
Ont fondé parmi nous l’école des Pourris.
INVASION DE LA POIRE ,
MESURES TENDANTES A RÉPRIMER ICELLE.
On sent bien que tout ce qui intéresse la poire ne saurait nous
être indifférent, à nous surtout, qui sommes coupables d'avoir inventé
ce type de la monarchie populaire, entourée, comme on dit mainte
nant, de destitutions républicaines.
Nous l’avouons, ce n’est pas sans un légitime sentiment de vanité
paternelle , que nous voyons cette grotesque figure envahir les mu
railles de la capitale, et non-seulement de la capitale, mais des villes,
des villages, des bourgades de France et de Navarre. Le pépin que
nous avons semé dans un moment de colère, a poussé drû. Tous les
climats paraissent lui convenir.
Ils conviendraient également bien, nous en avons la quasi-certi
tude, à plusieurs autres graines que nous tenons en réserve pour
notre première colère à venir, et qui, plantées d’une main rancu-
neuse, dans ce sol si fertile de la risée publique, fleuriraient d’autres
têtes, leur tête à chacun d’eux, non moins grotesquement.
Ce sont des simples que nous tenons provisoirement en serre-chaude,
et qui viendraient le diable en plein vent.
En attendant le jour possible de leur semaison , félicitons-nous de
la superbe récolte de poires qui s’est faite cette année. La poire a tout
conquis ; elle a débusqué Crédeville sur le mur des rez-de-chaussées,
et s’est gravée immense, jusque dans les plombs aériens de Notre-
LA CARICATURE.
840 —
de S. M. la reine des Belges. Mon Dieu oui. Ce n’était encore qu’une
simple rumeur ; mais enfin la nouvelle est officielle : je viens de l’ap
prendre par le télégraphe. Toutefois, on ne sait pas encore bien pré
cisément si c’est d’une fille où d’un garçon , que S. M. est enceinte.
Mais, à propos de télégraphe, il faudra que décidément nous éta
blissions des télégraphes de nuit, à l’instar de ceux qui existent en
* Angleterre. Car, voyez-vous, en cela comme en toute autre chose,
c’est l’Angleterre que nous devons prendre pour modèle. »
(Ici plusieurs ministres commencent à s'endormir légèrement, derrière
leurs portefeuilles qu'ils ont soin, par politesse, de se mettre devant
le 'visage. Le président continue.)
« Mais ce sont surtout ses chevaux que nous devons tâcher d’imiter,
et ses bœufs et ses coqs, et en général toutes ses bêtes; et aussi son hor
ticulture, ses oignons, ses carottes et ses citrouilles. Dieu! les belles
citrouilles! Ces citrouilles-là ne me sortiront jamais delà tête. Eh!
bien, l’utile ne leur fait pas négliger l’agréable. Leurs jardins de fan
taisie sont d’un goût exquis. C’est à leur école que je me suis formé,
moi qui vous parle ; et, sans vanité, je puis dire que cela se voit tout
de suite. Il n’y a qu’à, pour s’en assurer, mettre le nez à la fenêtre. »
(Ici M. d'Argout, qui ne peut pas se cacher derrière son portefeuille,
à cause de son nez, et qui a envie de dormir, veut profiter de l'oc
casion pour prendre l'air-, mais il ne peut réussir à mettre son
diable de nez à la fenêtre, selon l'invitation du président : la fenê
tre n'étant pas assez large. Le président continue.)
« En un mot c’est un beau pays, un pays bien digne d’être étudié
sous tous les rapports, pour ses citrouilles comme pour ses institu
tions aristocratiques, pour ses carottes comme pour la manière dont
le roi y préside son conseil. Car là-bas le roi préside le conseil des
ministres. Du reste, comme climat, c’est un pays fort désagréable.
Nous sommes mieux partagés sous ce rapport. Et cependant, qu’est-ce
que notre soleil ; (riant) fût-ce même ce soleil de juillet dont les niais
affectent de tant parler ? qu’est-ce, en comparaison de te beau soleil
d’Italie? de ce beau ciel de Naples dont qui que Ah, oh,
ah! »
( Ici les ministres se mettent à ronfler, à l'exception de M. d'Argout,
qui se pince pour ne pas dormir ; et de M. Humann, qui se bourre le
nez de tabac de contrebande. Le président continue f
« Ce n’est pas l’embarras, j’aime la Suisse aussi ; j’aime beaucoup la
Suisse ; je ne sais pas si vous êtes comme moi. C’est un pays hospita
lier et très-pittoresque, où l’on trouve des montagnes superbes et
d’excellens fromages de Gruyère. Mais ce n’est pas étonnant, il y a tant
de simples dans ce pays-là; du moins de mon temps, car pour ce qui
est d’à présent, l’esprit démocratique qui y domine aura peut-être
changé tout cela* Et ce serait dommage! Leur thé aussi était fort bon;
pas si bon que le thé de Chine ; mais il était à bien meilleur marché,
et c’est une considération. C’est qu’en vérité, le thé de Chine est d’un
prix révoltant ! Les Chinois abusent réellement de ce que c’est eux
qui l’ont inventé. Du reste, c’est un peuple fort industrieux. On est
émerveillé quand on pense qu’ils connaissaient l’intérêt-composé
avant nous; que le parapluie avait reçu depuis long-temps chez eux ses
plus larges développemens, et qu’ils soupçonnaient le feutregris.il n’y
a qu’une découverte dont je les blâme, ou plutôt dont je les plains ;
c’est celle de la poudre à canon et de l’imprimerie , ces deux vol
cans artificiels, dont l’un fait si peu de bien aux peuples, et l’autre
tant de mal aux ..... Mais à propos d’invention, ce sont les Chinois
encore qui ont creusé les plus beaux fossés connus, et qui ait maçonné
les plus hautes murailles : c’est un hommage que je me plais à leur
rendre. Il est de fait que nous ne pouvons lutter avec eux sur ce point.
Cela tient à la profondeur de leur esprit, ainsi qu’à leur élévation d’i
dées. Mais à propos d'élévation , vous savez que la comète a fait enfin
son apparition. Oui, parbleu ! à l’heure précise qui avait été prédite.
Mais à propos d’heure, en voici deux que nous nous occupons là des
plus graves intérêts du pays. C’est assez comme cela pour aujourd’hui.
Mon architecte m’attend pour des fossés que je dois faire creuser à
l imitation de ceux des Tuileries et de Pékin. J’ai lieu de croire d’ail
leurs la question belge suffisamment éclaircie. Je vais donc expédier
des ordres en conséquence. Messieurs, vous pouvez vous retirer. Je
vous remercie de vos conseils, et des nombreuses lumières que vous
avez jetées dans la discussion. »
( Ici le président se retire. Les autres ministres ne l'entendant plus
parler, se réveillent en sursaut et s'en vont dîner.)
Et voilà ce que c’est qu’un président bel-esprit ; et comme quoi
cette volubilité d’élocution , que nous appellerions de la blague, n'é-
tait la trivialité de l’expression, doit contribuer singulièrement à
éclaircir l’horizon politique et à rendre le peuple heureux.
SATIRES POLITIQUES HEBDOMADAIRES.
PAR FEUILLIDE.
Quand par mort ou par désertion, les rangs de la presse patriote s’éclaircissent, il est
consolant de voir avec quelle ardeur de nouveaux combattans s’élancent pour en combler les
vides. Un de perdu, cent de trouvés. Voici venir M. Feuillide , dont la verve hebdoma
daire nous dédommagera , nous en avons l’espe'rance, de la trahison de Némésis. M. Feuil
lide apporte dans la lutte un grand talent d’abord, et de plus , ce que M. Barthélemy n’eut
jamais , ou ce qu’au moins il a perdu. Nous répétons que l’espace nous manque aujourd’hui
pour donner un plus long extrait de la dernière épître de M. Feuillide , laquelle est adressée
aux Doctrinaires. Les vers dont il y fouette ces jésuites de 1832 , sont de rudes et cinglan
tes lanières qui devront laisser leurs stigmates.
Ces hommes , que l’on vit nier la république
Parce qu’elle mourait sous leur main famélique,
Et, sans livrer leur cœur au poignard de Straton,
Dire comme Brutus : — La vertu n’est qu’un nom !
Tous ces honteux soutiens du honteux Directoire
Dont Talleyrand chez nous est la vivante histoire 5
Ces dandys en béquille, osant garder leur rang
Parmi notre jeunesse au pas ferme , au cœur franc ; .
Ces maîtres décrépits de l’art diplomatique,
Dans l’astuce et la peur traînant la politique ;
Ces fripons à bons mots , de trahisons nourris,
Ont fondé parmi nous l’école des Pourris.
INVASION DE LA POIRE ,
MESURES TENDANTES A RÉPRIMER ICELLE.
On sent bien que tout ce qui intéresse la poire ne saurait nous
être indifférent, à nous surtout, qui sommes coupables d'avoir inventé
ce type de la monarchie populaire, entourée, comme on dit mainte
nant, de destitutions républicaines.
Nous l’avouons, ce n’est pas sans un légitime sentiment de vanité
paternelle , que nous voyons cette grotesque figure envahir les mu
railles de la capitale, et non-seulement de la capitale, mais des villes,
des villages, des bourgades de France et de Navarre. Le pépin que
nous avons semé dans un moment de colère, a poussé drû. Tous les
climats paraissent lui convenir.
Ils conviendraient également bien, nous en avons la quasi-certi
tude, à plusieurs autres graines que nous tenons en réserve pour
notre première colère à venir, et qui, plantées d’une main rancu-
neuse, dans ce sol si fertile de la risée publique, fleuriraient d’autres
têtes, leur tête à chacun d’eux, non moins grotesquement.
Ce sont des simples que nous tenons provisoirement en serre-chaude,
et qui viendraient le diable en plein vent.
En attendant le jour possible de leur semaison , félicitons-nous de
la superbe récolte de poires qui s’est faite cette année. La poire a tout
conquis ; elle a débusqué Crédeville sur le mur des rez-de-chaussées,
et s’est gravée immense, jusque dans les plombs aériens de Notre-
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