Titre : La Caricature morale, politique et littéraire / A. Audibert, rédacteur en chef ; [directeur : Ch. Philipon]
Éditeur : Aubert (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1835-08-27
Contributeur : Philipon, Charles (1800-1862). Directeur de publication
Contributeur : Audibert, Auguste (18..?-1832). Rédacteur
Contributeur : Desnoyers, Louis (1802-1868). Rédacteur
Contributeur : Gonzalès, Emmanuel (1815-1887). Directeur de publication
Contributeur : Huart, Louis (1813-1865). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344523348
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 4371 Nombre total de vues : 4371
Description : 27 août 1835 27 août 1835
Description : 1835/08/27 (T10,N251). 1835/08/27 (T10,N251).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1048786p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES FOL-LC2-2828, Z-1643-1646
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/09/2013
54 ANNEE.
NUMÉRO 251
RÉDACTION.
ADMINISTRATION ET DESSINS.
DOILAA
Un franc la ligne;
•640
Tout ce qui concerne la rédaction doit être adressé, franco, à
M. Louis Desnoyers (Derville), rédacteur en chef, au bu
reau de rédaction, rue du Croissant, n° 16. — Il sera rendu
compte dans la Caricature et le Charivari de tout ouvrage et
objet d’art dont il aura été déposé trois exemplairesau bu
reau ci-dessus, rue du Croissant, n° 16. (Affranchir.)
Tout ce qui a rapport aux dessins doit être adressé à M. CH.
PHILIPON, directeur du journal, ainsi que les réclamations,
abonnemens et envois de fonds, au bureau de la Caricature
galerie Véro-Dodat, maison Aubert. (Affranchir.)
CONDITIONS D’ABONNEMENT.
On souscrit à Paris, au bureau du journal, galerie Véro-Dodat,
maison AUBERT; et dans les départemens, ainsi qu’à l’étran
ger, chez tous les libraires et directeurs des postes. — Prix,
franco pour toute la France : pour un an, 52 fr.; pour six
mois, 26 fr.; pour trois mois, 13 fr. — On s’abonne pour l'Al
magne, chez M. Alexandre, à Strasbourg.
NOTA.
Les Messageries Notre-Dame-des-Victoires et les Messageries Laf
fitte et Gaillard reçoivent les abonnemens sans frais.
ANNONCES.
POLITIQUE, MORALE, LITTÉRAIRE ET SCÉNIQUE.
AUX ABONNÉS DE LA CARICATURE.
Après quatre ans et dix mois d’existence, la Caticature succombe
sous une loi qui rétablit la censure, en vertu de cet article formel de la
charte-vérite :
LA CENSURE NE POURRA JAMAIS ETRE RÉTABLIE.
Il a fallu pour briser nos crayons une loi faite exprès pour nous, une
loi qui rendît matériellement impossible l’œuvre que nous avions con
tinuée malgré les saisies sans nombre, les arrestations sans motifs, les
amendes écrasantes, et malgré de longues captivités. C'est que nous
avions ce courage que donne le sentiment de son droit et la certitude
de bien faire.
Oui, nous avons bien fait !
Nous avons démasqué les comédiens de quinze ans, tous apostats de
la liberté ; nous les avons attachés au pilori de notre journal, nous
avons impitoyablement livré leurs portraits à la risée du peuple qu’ils
exploitent. Ils peuvent briser aujourd’hui l’écriteau que notre justice
clouait sur leur tête, mais il ne leur sera pas aussi facile d’effacer ou de
faire oublier les stygmates de honte dont nous les avons marqués pen
dant cinq ans.
Du jugement que nos ennemis portent aujourd’hui sur la Caricature,
nous en appelons sans crainte à l’avenir. Tout ce que nous avons
écrit ou dessiné, nous l’avons pensé, et il n’est personne au monde qui
puisse avec de justes raisons suspecter notre sincérité. Voilà pour l’in
tention. Voici pour le lait :
La Caricature se compose de dix volumes, c’est l’histoire de notre
temps écrite et burinée à notre manière. Nous avons pris pour la faire
les évènemens pas à pas, les disant et les dessinant sous l'inspiration
du peuple dont nous n’étions en quelque sorte que les secrétaires et
les peintres. Nous tenions le miroir devant lequel passaient tous les
hommes politiques de cette glorieuse époque. Notre art ne consistait
qu’à retenir les reflets. Grandville, Daumier, Bouquet, Duperret, Fo-
rest, Traviès etRoubaud pour le dessin; Louis Desnoyers, Altaroche,
Albert Cler, B....y. et Bergeron pour le texte, ont le mérite de l'exé-
cution ; à moi revient seulement celui de l’idée première d’un sembla
ble ouvrage et celui d’une direction que l’amitié rendait douce et fa
cile.
Nous croyons laisser un livre qui sera consulté par tous ceux qui
auront à écrire ou qui voudront étudier et bien connaître les premières
années du règne de Louis-Philippe. Si nous ne nous trompons pas, si
la Caricature survit au temps qu’elle a voulu peindre, ne fût-ce qu’à
titre de livre original, unique, ou tout au moins de premier qui ait été
fait dans ce genre, nous devrons nous consoler d’une confiscation qui
nous ravit le fruit de tant de travaux, de veilles et d’inquiétudes.
Charles PHILIPON.
TEXTE DES LOIS INFERNALES,
ORNÉ DES MOTIFS A L'ENCONTRE;
Lesquelles lois ont été volées, contre 153 députés, par 296 au nombre desquels 108 occupent des em
plois amovibles rétribues par le gouvernement, beaucoup d’autres sont maires, membres des con
seils-généraux, et beaucoup d’autres enfin sont banquiers ou fournisseurs du gouvernement, ou
bien privilégiés comme M. Vigier pour ses bains sur la Seine.
Vous ne vous attendez pas sans doute à ce que nous nous mettions en frais de
plaisanteries le jour même de notre décès, et que nous nous placions gaîment à la
fenêtre pour voir passer notre enterrement. Non, le crayon et la plume de la Cari
cature sont déjà rentrés dans leur étui provisoire. Nous laisserons donc ses ennemis
se barbouiller entre eux, et au moyen de leurs propres œuvres. Elle ne peut remet
tre ce soin en de meilleures mains. Il est bon d’ailleurs que nous vous reproduisions
dans sa textuelle horreur la mesure législative qui nous tue et qui peut vous tuer
tôt ou tard vous-mêmes. Quand on est tué, c’est du moins une consolation de savoir
comment et pourquoi.
Voici d’abord les flétrissures imprimées aux lois infernales par ceux des orateurs
qui ont tenu à honneur de se laver publiquement les mains de toute complicité ch
si turpe besogne.
Nous reproduisons leurs discours en tête desdites lois, comme pour servir de con-
sidérans.
En ce qui touche le caractère général des lois dites infernales, ENTESDU M. Havin,
en ces termes : — « L’exposé des motifs deM.le garde des sceaux, le discours de M. le pré
sident du conseil, celui surtout de M. le ministre de l’instruction publique, ce sont
autant de plagiats des discours prononcés en 1820, lors de l’assassinat du duc de
Berry; en 1827, lors de la loi du sacrilège, et en 1830, lors des fameuses ordonnan
ces. Ainsi, cinq ans après la révolution de juillet, on vous propose défaire par la loi
ce que M. de Polignac avait voulu faire par des ordonnances ; ainsi, pour réusir, il
n’a manqué à M. de Polignac qu’une bonne chambre... une chambre comme celle-ci! »
En ce qui touche le même sujet, entendu M. Garnier-Pagès en ces termes : —« Mes
sieurs,avec votre loi vous faites de la terreur.il n’est pas un écrivain modéré qui,avec
votre loi, ne tremble à chaque mot qu’il tracera ; c’est une épée de Damoclès que
vous suspendez sur sa tête. Car si un journal constitutionnel compare aujourd’hui M.
Guizot à Robespierre, ce qui est ressemblant à s’y méprendre, demain la majorité
ministérielle de la chambre des pairs le condamnera très facilement pour une offen
se imaginaire à la personne du roi. Ce sera non pas le roi, mais le ministre qui sera
vengé. »
Sur le même sujet, entendu M. Bignon, en ces termes:
« Par cela seul qu'un ministère a pu concevoir, présenter des projetssemblables, il
a dessiné son caractère, publié son manifeste, arboré son pavillon La France, en ce
qui dépend du ministère, n’est plus ce qu’elle était avant cet enfantement ; elle a
passé dans un camp nouveau, elle est entrée dans la sphère des gouvernemens dont
le principe n’admet point d’examen. On se demandait dernièrement si nous reste
rions étrangers aux réunions de Kalisch et de Tœplitz. On peut-être tranquille, nous
y serons représentés par nos nouvelles lois, et cette représentation en vaudra bien
une autre. » -
En ce qui touche la citation directe devant les cours d’assises, à la simple requête
du ministère public sans l’intermédiaire du juge d’instruction ni de la chambre des
mises en accusation, ENTENDU M. de Schonen, en ces termes :
« Savez-vous,messieurs,où il faut aller puiser pour trouver l’analogue de la loi qui
vous et présentée ? Onvrez le Bulletin des lois, année 93, son premier numéro, sa
première page. Voyez l’établissement du tribunal révolutionnaire, et le rapport fait
à la suite par Couthon, dénonçant la faction immortelle des indulgens ; vous y lirez,
art. 10 , que la Convention nationale, et ses deux comités desûreté générale et de
salut public, ses membres en mission, ainsi que l’accusateur public, peuvent acouser
directement devant le tribunal révolutionnaire* »
NUMÉRO 251
RÉDACTION.
ADMINISTRATION ET DESSINS.
DOILAA
Un franc la ligne;
•640
Tout ce qui concerne la rédaction doit être adressé, franco, à
M. Louis Desnoyers (Derville), rédacteur en chef, au bu
reau de rédaction, rue du Croissant, n° 16. — Il sera rendu
compte dans la Caricature et le Charivari de tout ouvrage et
objet d’art dont il aura été déposé trois exemplairesau bu
reau ci-dessus, rue du Croissant, n° 16. (Affranchir.)
Tout ce qui a rapport aux dessins doit être adressé à M. CH.
PHILIPON, directeur du journal, ainsi que les réclamations,
abonnemens et envois de fonds, au bureau de la Caricature
galerie Véro-Dodat, maison Aubert. (Affranchir.)
CONDITIONS D’ABONNEMENT.
On souscrit à Paris, au bureau du journal, galerie Véro-Dodat,
maison AUBERT; et dans les départemens, ainsi qu’à l’étran
ger, chez tous les libraires et directeurs des postes. — Prix,
franco pour toute la France : pour un an, 52 fr.; pour six
mois, 26 fr.; pour trois mois, 13 fr. — On s’abonne pour l'Al
magne, chez M. Alexandre, à Strasbourg.
NOTA.
Les Messageries Notre-Dame-des-Victoires et les Messageries Laf
fitte et Gaillard reçoivent les abonnemens sans frais.
ANNONCES.
POLITIQUE, MORALE, LITTÉRAIRE ET SCÉNIQUE.
AUX ABONNÉS DE LA CARICATURE.
Après quatre ans et dix mois d’existence, la Caticature succombe
sous une loi qui rétablit la censure, en vertu de cet article formel de la
charte-vérite :
LA CENSURE NE POURRA JAMAIS ETRE RÉTABLIE.
Il a fallu pour briser nos crayons une loi faite exprès pour nous, une
loi qui rendît matériellement impossible l’œuvre que nous avions con
tinuée malgré les saisies sans nombre, les arrestations sans motifs, les
amendes écrasantes, et malgré de longues captivités. C'est que nous
avions ce courage que donne le sentiment de son droit et la certitude
de bien faire.
Oui, nous avons bien fait !
Nous avons démasqué les comédiens de quinze ans, tous apostats de
la liberté ; nous les avons attachés au pilori de notre journal, nous
avons impitoyablement livré leurs portraits à la risée du peuple qu’ils
exploitent. Ils peuvent briser aujourd’hui l’écriteau que notre justice
clouait sur leur tête, mais il ne leur sera pas aussi facile d’effacer ou de
faire oublier les stygmates de honte dont nous les avons marqués pen
dant cinq ans.
Du jugement que nos ennemis portent aujourd’hui sur la Caricature,
nous en appelons sans crainte à l’avenir. Tout ce que nous avons
écrit ou dessiné, nous l’avons pensé, et il n’est personne au monde qui
puisse avec de justes raisons suspecter notre sincérité. Voilà pour l’in
tention. Voici pour le lait :
La Caricature se compose de dix volumes, c’est l’histoire de notre
temps écrite et burinée à notre manière. Nous avons pris pour la faire
les évènemens pas à pas, les disant et les dessinant sous l'inspiration
du peuple dont nous n’étions en quelque sorte que les secrétaires et
les peintres. Nous tenions le miroir devant lequel passaient tous les
hommes politiques de cette glorieuse époque. Notre art ne consistait
qu’à retenir les reflets. Grandville, Daumier, Bouquet, Duperret, Fo-
rest, Traviès etRoubaud pour le dessin; Louis Desnoyers, Altaroche,
Albert Cler, B....y. et Bergeron pour le texte, ont le mérite de l'exé-
cution ; à moi revient seulement celui de l’idée première d’un sembla
ble ouvrage et celui d’une direction que l’amitié rendait douce et fa
cile.
Nous croyons laisser un livre qui sera consulté par tous ceux qui
auront à écrire ou qui voudront étudier et bien connaître les premières
années du règne de Louis-Philippe. Si nous ne nous trompons pas, si
la Caricature survit au temps qu’elle a voulu peindre, ne fût-ce qu’à
titre de livre original, unique, ou tout au moins de premier qui ait été
fait dans ce genre, nous devrons nous consoler d’une confiscation qui
nous ravit le fruit de tant de travaux, de veilles et d’inquiétudes.
Charles PHILIPON.
TEXTE DES LOIS INFERNALES,
ORNÉ DES MOTIFS A L'ENCONTRE;
Lesquelles lois ont été volées, contre 153 députés, par 296 au nombre desquels 108 occupent des em
plois amovibles rétribues par le gouvernement, beaucoup d’autres sont maires, membres des con
seils-généraux, et beaucoup d’autres enfin sont banquiers ou fournisseurs du gouvernement, ou
bien privilégiés comme M. Vigier pour ses bains sur la Seine.
Vous ne vous attendez pas sans doute à ce que nous nous mettions en frais de
plaisanteries le jour même de notre décès, et que nous nous placions gaîment à la
fenêtre pour voir passer notre enterrement. Non, le crayon et la plume de la Cari
cature sont déjà rentrés dans leur étui provisoire. Nous laisserons donc ses ennemis
se barbouiller entre eux, et au moyen de leurs propres œuvres. Elle ne peut remet
tre ce soin en de meilleures mains. Il est bon d’ailleurs que nous vous reproduisions
dans sa textuelle horreur la mesure législative qui nous tue et qui peut vous tuer
tôt ou tard vous-mêmes. Quand on est tué, c’est du moins une consolation de savoir
comment et pourquoi.
Voici d’abord les flétrissures imprimées aux lois infernales par ceux des orateurs
qui ont tenu à honneur de se laver publiquement les mains de toute complicité ch
si turpe besogne.
Nous reproduisons leurs discours en tête desdites lois, comme pour servir de con-
sidérans.
En ce qui touche le caractère général des lois dites infernales, ENTESDU M. Havin,
en ces termes : — « L’exposé des motifs deM.le garde des sceaux, le discours de M. le pré
sident du conseil, celui surtout de M. le ministre de l’instruction publique, ce sont
autant de plagiats des discours prononcés en 1820, lors de l’assassinat du duc de
Berry; en 1827, lors de la loi du sacrilège, et en 1830, lors des fameuses ordonnan
ces. Ainsi, cinq ans après la révolution de juillet, on vous propose défaire par la loi
ce que M. de Polignac avait voulu faire par des ordonnances ; ainsi, pour réusir, il
n’a manqué à M. de Polignac qu’une bonne chambre... une chambre comme celle-ci! »
En ce qui touche le même sujet, entendu M. Garnier-Pagès en ces termes : —« Mes
sieurs,avec votre loi vous faites de la terreur.il n’est pas un écrivain modéré qui,avec
votre loi, ne tremble à chaque mot qu’il tracera ; c’est une épée de Damoclès que
vous suspendez sur sa tête. Car si un journal constitutionnel compare aujourd’hui M.
Guizot à Robespierre, ce qui est ressemblant à s’y méprendre, demain la majorité
ministérielle de la chambre des pairs le condamnera très facilement pour une offen
se imaginaire à la personne du roi. Ce sera non pas le roi, mais le ministre qui sera
vengé. »
Sur le même sujet, entendu M. Bignon, en ces termes:
« Par cela seul qu'un ministère a pu concevoir, présenter des projetssemblables, il
a dessiné son caractère, publié son manifeste, arboré son pavillon La France, en ce
qui dépend du ministère, n’est plus ce qu’elle était avant cet enfantement ; elle a
passé dans un camp nouveau, elle est entrée dans la sphère des gouvernemens dont
le principe n’admet point d’examen. On se demandait dernièrement si nous reste
rions étrangers aux réunions de Kalisch et de Tœplitz. On peut-être tranquille, nous
y serons représentés par nos nouvelles lois, et cette représentation en vaudra bien
une autre. » -
En ce qui touche la citation directe devant les cours d’assises, à la simple requête
du ministère public sans l’intermédiaire du juge d’instruction ni de la chambre des
mises en accusation, ENTENDU M. de Schonen, en ces termes :
« Savez-vous,messieurs,où il faut aller puiser pour trouver l’analogue de la loi qui
vous et présentée ? Onvrez le Bulletin des lois, année 93, son premier numéro, sa
première page. Voyez l’établissement du tribunal révolutionnaire, et le rapport fait
à la suite par Couthon, dénonçant la faction immortelle des indulgens ; vous y lirez,
art. 10 , que la Convention nationale, et ses deux comités desûreté générale et de
salut public, ses membres en mission, ainsi que l’accusateur public, peuvent acouser
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