Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1948-02-24
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 24 février 1948 24 février 1948
Description : 1948/02/24 (A3,N579). 1948/02/24 (A3,N579).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5998455
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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FRANCE - FOOTBALL
p O SE A SES LECTEURS
A SIXIEME QUESTION DE
SON GRAND REFERENDUM
Et poursuit : « Un demi siècle de
football vécu par Gaston Barreau,
tonte par Jacques de RYSWICK.
MARDI 24
FEVRIER 1948
13, Fg Montmartre
PARIS (9 e )
Direc., Adm., Publ.
TAI 70-80
Rédact.: PRO 85-21
Vente i PR O 37-18
Cte Postal 4.237 -93
F fn 3* ANNEE
MAe N° 579
Afriq. du Nord 6 fr.
l’WUIPB
— " lats
A.LEGUOTIDIEN.
DU SPORT
UNE EXCLUSIVITE
ZFOVIPF
—aram.tfaamunn/)
L’ingénieur
J.-A. GREGOIRE
ÉTUDIÉ LA SITUATION
de l'industrie automobile
aubeguy fut inspiré... HUIT MILLIONS OE VÉHICULES
par une affiche .galloise qui clamait
commandés aux usines
Nous voulons le ballon !
El le X F de France reçut l’ordre d’en priver
[oùte gne co ùle ses adversaires. Son succès est
Le le résultat d’une tactique
reste à trouver celle qu’il faudra opposer
à l’Angleterre le 29 mars
un de nos env. spéc. Marcel de LABORDERIE)
Après le match fantastique de Swansea, après la victoire
tendante de l’équipe de France dominant les Gallois comme
ny avait jamais réussi sur leur terrain, notre attention
en te vers le dernier match international qui nous reste à
E • France-Angleterre, le 29 mars prochain, à Colombes.
Une question se pose aussitôt : l’équipe de France sera-t-elle
néme ? Faut-il changer cer-
■ éléments ?
■cuns vont aussitôt répliquer :
Loire change pas une équipe qui
Ké, » Ce qui du reste est fort
; les Irlandais qui sont
Mieux placés pour gagner le
tm m témoignent puisque dans
l’équipe qui avait battu la France,
ils apportèrent cinq changements
pour rencontrer l’Angleterre ; ils
s'en trouvèrent bien.
Mais, à mon sens, la question
concernant le rugby français est
assez mal posée. Il vaut mieux de-
s 35es Championnats dont on attendait mieux
e chute de Couttet: PENZ
^suscité, gagne le slalom
OREILLER le combiné...
Lucienne Schmitt et Françoise Gignoux
champions féminins
[ (D’un de nos envoyés spéciaux Alex VIROT)
SOPERBAGNERES. — La récente chute de neige qui avait couvert
route glacée d’une épaisseur de 40 centimètres a transformé la
Ré manche du slalom en un piège qui fut cause d’un renversement
endu. Penz s’est retrouvé en pleine possession de tous ses moyens
enlever de façon brillante le titre de champion de France de slalom.
F toujours à son aise dans les difficultés, vit son adversaire direct,
I Couttet, handicapé par une
II n'avait plus qu’à demeu-
en dedans » pour s’assurer la
h du combiné.
"olles s’est abstenu, sachant bien
Fit avoir deux jambes solides
courir un slalom avec des chan-
) succès... Lacroix fut très bril-
Faniiset très régulier et, au
ide n première manche, dont
ditions furent beaucoup moins
une belle cohésion Se ma-
d Darmi les meilleurs de nos
Les paresseux
ONT MANQUE LE TRAIN
A l’entrainement, vendredi, à
Swansea, quatre Joueurs de l’équipe
de France : Junquas, Terreau, Al
varez -et Moga n’avaient pas de sur.
vêtements !
Pas très raisonnable de la part
des accompagnateurs..
mander : quels sont les joueurs
qui, en dehors du quinze de Swan-
sea, peuvent vraiment prétendre ac-
tuellement à la'sélection nationale ?
J'en vois deux : le demi d’ouverture
montferrandais Fournet, et le centre
tyrossais Dizabo, s’il a vraiment le
moral d’un combattant.
Ce qui ne veut pas dire que Bor
denave, Terreau ou Junquas ont été
insuffisants à Swansea. Loin de 'à,
puisque Terreau a été, en deuxième
mi-temps, l’artisan heureux de no
tre victoire.
Et ces considérations m’amènent
à répéter ce que j’avais écrit, au
lendemain d’Edimbourg : à • savoir
que le problème de l’équipe de
France devenait désormais beaucoup
plus une question de tactique que
de sélection.
Nous voulons la balle !
Le résultat de Swansea me convainc
davantage et une longue conversation
avec Jauréguy, sur le long chemin qui
nous ramenait de Swansea à Paris,
m’encourage à persévérer dans cette
opinion.
Donc, Jauréguy me rappelait (les
conditions et l’ambiance curieuses dans
lesquelles s’était déroulé le match :
Le ramassage de la paille qui nous
semblait une scène de la moisson, le
chétif orchestre au milieu des meules,
les musiciens qui tiraient de leurs cui
vres de vieux airs gallois.
Cette scene familiale n’avait rien de
comparable avec une affiche que Jau
réguy se souvenait avoir vu placardée
sur les murs londoniens : huit gaillards
à la mine farouche, représentant huit
joueurs gallois qui en tendant leurs
bras crispés, disaient : « Nous voulons
le ballon ! »
« J’ai pensé à cette affiche ; avoir
le ballon, tout était là, poursuivait
Jauréguy. Car il fallait redouter ces
diables de trois-quarts gallois, cet at
taquant- vicieux,' Bleddyn Williams, son
ailier Ken Jones. Oui, avoir le ballon,
parce que tant qu’on l’a, enseignait
Struxiano, 1s autres en face ne s’en
servent pas I »
(Lire la suite p. 3, en rub. Rugby XV)
te
l’équipe de France victorieuse après
le
retour. René
américaines
Mais le problème de l’acier se pose de l’autre côté
de l’Atlantique comme en France
CRABOS COMMENTE D ^ b r os de à
Ce n’est point aux lecteurs de L’EQUIPE qu’il est nécessaire
de présenter J.-A. Grégoire : les épisodes d'une vie, particulière
ment riche, leur sont familiers. Champion de France du 100 m.
plat, polytechnicien docteur en droit, réalisateur avec son ami
Fenaille du premier joint homocinétique de la traction avant,
d'abord exécutée sur Tracta, conquérant ensuite des adhésions
aussi précieuses que celles d’Adler et de Citroën en particulier,
créateur,» enfin, d’une première voiture d’étude, celle dite de
L’ALUMINIUM FRANÇAIS-GREGOIRE, après avoir établi en com-
mun avec la Société Tudor et, la Société Générale d'électricité
une voiture avec laquelle il battit tous les records du monde de
la spécialité, auteur, enfin, de la deux-litres qui remporta tous
les suffrages au Salon de Paris, lauréat de notre Académie des
Sciences pour sa suspension à flexibilité automatiquement va
riable, tel est, incomplet quand même, le tableau des activités
d’un homme à qui son intelligence, sa bienveillance et son em
pressement à servir ont assuré la sympathie générale.
Or, J.-A, Grégoire se rend fréquemment aux Etats-Unis où
il tonnait toutes les personnalités marquantes de l’industrie auto
mobile.. Au cours d'une conversation, à son dernier retour de là-
bas, il nous communique tant de renseignements que nous lui
demandons de les condenser lui-même en six chroniques, pour
nos lecteurs.
Ces chroniques, dont voici la première, sont de grande valeur
Et nous comprenons bien que, l’eût-11 souhaité, J.-A Grégoire
eût été, de surcroît, un journaliste de grande envergure.
Charles FAROUX.
„ l’extrême droite, semble donner le signal d’un ban, mais
à l’attitude pensive des convives on peut croire à un commentaire. Bergougnan suce son pouce d’un air
pensif, Basquet se consacre à sa cigarette, Terreau songe à l’humeur changeante de la gloire, Lassègue,
de dos, explique « le coup », Alvarez soigne son profil. Demain, dislocation et rendez-vous le 28 mars,
veille de France-Angleterre 1
Les furieuses attaques, pitreries et irrégularités de CHARRON
LE n DYNAMIQUE VILLEMAIN
de remporter
UNE NETTE VICTOIRE
Surprise et déception, FERNANDEZ, dérouté
par la mobilité du « remplaçant » GIANELLI, n’a
obtenu qu’une décision aux points qui fut sifflée
J ES Etats-Unis ont produit, pendant l’année 1947, en tenant compte de
AJ l’appoint des usines d’assemblage au Canada, 5.054.000 véhicules.
C’est le total le plus élevé depuis le chiffre record de 5.358.000
véhicules, atteint én 1929. En 1941, 4.841.000 avaient été fabriqués.
Les experts des différentes compagnies pensent
verra une augmentation de 10 à 15 % environ par,
l’année précédente-
En fait, le,s firmes possèdent, dans l’ensemble, un
des de l’ordre de 8.000.000 de véhi- — —
cules, pour le pays seulement. De j iour..d.Retzolk:
plus, les usines pourraient, en
que l’année 1948
rapport à celle de
carnet de comman-
en janvier dernier,
les usines d’Hudson ont dû s’arrê ¬
triomphe |
; !
n, 4-2 (4-2) ,1
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•bitrage large."
éziers : Sinaf
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I CHAMPIONS DE FRANCE
MESSIEURS
ND: Benoît Carrara (Lyonnais),
sidames Couttet (Mt-Blanc).
BINE NORDIQUE: René
ePvrénées-Ouest) •
■tEXTE : James Couttet (Mt-
SLOM: Claude Penz (Savoie),
aole"— E ALPIN : Henri Oreiller
DAMES
5M NTE : Françoise Gignoux
adox: Lucienne Schmitt (Mt-
"MPIN E ALPIN: Françoise Gi-
g ‘Lyonnais).
. Il n'en fut pas d» même
autres. On enregistra des
I eres et de nombreux aban-
gemière manche fut l'apanage
|$Uacroix, qui réalisa le tempe
Kn 0 devant James Couttet
edluc r 6" 5/10, Penz 1’ 6”
| aeiller 1’ 6” 8/10. Ces faibles
b.dlent donner à la seconde
K " vif intérêt. Malheureuse-
s'abîmait de descente
‘ . e, des bourrelets se for-
Seonald Elace du fond apparais-
etons qui mirent à une
Etunite les quarante derniers
• pupal;
inson
liciter POULCude.
neziano, P.
"ite P- 3, en rubrique Ski)
Et les champions
usent de galanterie..
{D’un de nos env. spéc. CAZA)
SUPERBAGNERES. — Les garçons de
l’équipe de France, lorsqu’ils eurent
terminé leur slalom, et bien qu’ils
n’aient pas encore pris leur déjeuner,
tinrent tous à assister au slalom des
dames afin de leur apporter leurs en
couragements. Ce geste de bonne ca
maraderie sportive fut particulièrement
apprécié par les skieuses et mérite
d’être souligné.
immédiatement après ce slalom,
grande partie des concurrentes se
cipita sur la piste qui, à travers
ravissante forêt, conduit jusqu'à
chon et sur ce très joli parcours
uve
pre-
Lu-
par ¬
ticutièrement pittoresque, mais malheu
reusement encore trop peu enneigé, se
déroula une amusante épreuve qui n’é
tait pas prévue au programme. Il s’a
gissait avant tout, d’être à la g'are
de Luchon pour prendre le train de
17 heures !
Et les paresseux qui avaient préféré
descendre de Superbagnères par la cré
maillère... manquaient irrémédiable
ment leur train.
■ Public beaucoup moins nombreux que lors des deux derniers
galas Cerdan, virages troués d’ombre et neige fondue sur la ver
rière, mais bonne salle tout de même hier soir au Palais des
Sports où plusieurs milliers de
personnes étaient venues voir
l’impopulaire Charron se faire
battre par Robert Villemain. Un
Villemain un peu épaissi, avec
son buste trapu, ses cuisses ron
des et un visage joufflu, qui se
présentait à près de quatre ki
los au-dessus de la limite des
CHARRON EN DESEQUILIBRE SUR UN PIED
Charron, attaquant rageusement, s’est montré souvent imprécis.
Le voici, au 5" round, manquant un gauche et en déséquilibre.
Villemain s’apprête à riposter.
DIVERGENCES DE VUES DANS LA CAPITALE LORRAINE
PESEE SURPRISE
Quatorze cents grammes seule
ment séparaient Villemain et Char
ron. Villemain pesait 70 kg, 200
(limite des poids welter : 66 kg, 678)
et Charron accusait 71 kg. 600 (IL
mile des poids moyens: 72 kg. 571).
La pesée avait lieu à midi. Char
ron se présentera à 12 h 45. Il
expliqua qu’il avait été bloqué par
les neiges (?).
LE REGARD
de Marlène
par Pierre ABOUT
Vous aviez, Madame, les yeux
trop clairs et le regard trouble de
Florence Marly jotiant les Marlène
dans le film « Les Maudits ». Vous
aviez payé 2.000 fr. une bonne
place au deuxième rang des fau
teuils de ring. J’ai beaucoup admi.
ré la troublante mobilité de votre
visage passionné, mais je n’ai^ pas
aimé le sentiment intime qui l’ani
mait. Viviez-vous pour la! boxe ?
Etiez-vous prête à saluer un vain
queur ou cherchiez-vous à satis-^
faire un besoin inexprimé ? J’ai
bien étudié votre jeu: des deux
Robert, ce n'est pas Villemain le
consciencieux qui habitait votre
cœur, mais Charron le mauvais gar
çon. Votre sensibilité « encaissait »
■jouloureusement les coups qu’il
recevait et appuyait sournoisement
ceux qu’il po-rtait...
(Lire la suite p. 2, en rub. Boxe)
moyenne, construire 50 % de plus
qu’elles ne le font actuellement, en
travaillant sur toutes les chaînes, à
deux équipes Mais la limitation de
production s'établit par celle des
approvisionnements, en particulier
par ceux d’acier, et surtout de tôle
d’acier.
C'est ainsi que, pendant mon sé-
ter par suite du manque de carros-
séries,
temps
Le
ment
ment,
et licencier pendant quelque
7.000 ouvriers.
problème de l’approvisionne-
en tôle d’acier est, actuelle-
un problème mondial !
J.-A. GREGOIRE.
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile)
Véhicules industriels
et utilitaires
LA POSITION
de la construction française
au Salon de Bruxelles est excellente
(De notre envoyé spécial Charles FAROUX)
On a
Belgique
désirable
déjà signalé la remarquable intensité du • trafic routier en
et on ne saurait nier que ce maintien d’une activité
— malgré tous les arguments intéressés qu’on lui oppose, ici
comme chez nous — est à la source d’un bien-être supérieur. Nous ne
sommes donc pas surpris que l’industrie automobile de nos voisins puisse
encore faire état de constructeurs natlcnaux : Brossel, F.N., Miesse.
Brossel emploie pour ses moteurs à combustion une licence Ricardo
comportant une chambre à haute turbulence ; les trois exécutions
AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE DE TENNIS
concernent un 4, un 5 et un 6 cy-
lindres tous de même cylindrée, uni
taire, avec respectivement 6.250, 7.800
et 9 400 cmc. de cylindre 3 totale.
La Fabrique nationale d’Armes de
guerre dHerstal qui, longtemps, cons-
poids welter. Un Villemain,
donc, poids moyen et qui ne
rendait que quatorze cents
grammes à son adversaire.
Le public n’a pas été déçu dans
son attente et Charron, comme pré
vu, a été battu aux points. Il a été
battu parce qu’il n'y a pas de mira
cle en boxe et que l'homme le mieux
doué — et Dieu sait les fantastiques
moyens que peut posséder le fan
tasque Poitevin — doit se préparer
longuement et se soumettre aux dis ¬
ciplines du ring.
Il est navrant de voir ce boxeur
qui aurait pu être un champion,
gâcher ainsi sa carrière. Quant à
Villemain, disons tout de suite qu’il
produisit bien meilleure impression
que lors de son dernier match con-
Quant à
BOROTRA vainqueur de JOURNU
va trouver sur sa route
le Suédois Fornstedt
L'absence des Hongrois confirmée... l’Australien
Harper installé favori avec Cucelli
truisit des vo tares particulières,
conserve toujours un important
parlement motocycliste, a établi
châssis industriel très moderne
concept ion. Pour une cylindrée
et
dé-
un
de
de
4.250 cmc environ, la puissance du mo
teur est de 80 CV à la vitesse réduite
de 2.800 tours-minute; il est alimenté
par Solex. La culasse est en alliage
léger; la boîte comporte 5 vitesses
avant; le freinage, commandé par
intermédiaire d’un servo-frein Dewan-
dre, utilise le système hydraulique
Lockheed, cependant qu’afin d’accroî
tre la sécurité, on fait également ap
pel à un frein mécanique. Ce beau
châssis, dénommé 64 CI, qui permet
6,5 tonnes de charge utile, se prête à
tie nombreux emplois
ticulièremen+ bien à
autocars.
et s’adapte par-
l’exécution des
1 à signaler ■
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■ulier ThoN"E
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de 200.000 kilos
«un ALIMEMTMIRES
les concurrents
Olympiques !
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le détcordBurghley, a
“imen.l! de a listg des .
Lout pares demandés par le
de tons"8-Unis, pour Talimen-
Iricip, 8 athlètes et dirigeants
elistgont aux prochains J.O.
I Produspprend plus d 0 ton '
. elle a été envoyée
""8tèr, 18, avec l’approbation
Qu oc, nnique du Ravitail
lé da°snral John Kilpatrick,
Propose Idison Square Garden,
:dméri.“d@mander à tous les
■i de, po’nsde contribuer à la
"Iisont "8 alimentaires de-
4.PRODUITS
-
.. fromage"
(conse.
‘Poudre) —
tos"mestibies
f ruits
œufs.
ren-
pro ¬
En kg.
24.000
6.000
3.000
12.000
7.500
33.000
1.500
12.000
8.000
200
6.000
36.000
150
200
4.500
6.000
3.000
CINQ MINUTES AVANT DE JOUER LILLE
Nancy n’avait pas formé son équipe
Cros et le comité n 9 étaient pas d’accord
Ben Brahim
qui éclipsa Gudmundsson
inter ou arrière central ?
(De notre envoyé spécial Jean CORNU)
NANCY. — Curieuse annonce que celle faite au micro avant Nancy-
Lille : « Nous vous donnons la composition de l équipe telle qu’elle
figure sur la feuille de match. Nous ne vous garantissons pas que les
joueurs s’aligneront dans cet ordre sur le terrain »
C’était bien la première fois que cinq minutes avant le coup d envoi,
on ne pouvait donner d’une façon formelle la composi ion d une équipe
telle qu’on allait la voir sur le
terrain.
Avant le match, Cros, l’entraîneur
nancéien, nous avait dit en efft :
« Vendredi soir j’ai soumis ma for
mation au comité directeur. Il paraît
qu’on me Ta chamboulée. Je n’en sais
rien officiellement. »
Atmosphère troublants, peu propice
aux grands exploits que celle dans la
quelle évoluait l’équipe de Nancy
avant son match difficile contre Lille.
joueurs étaient navrés
dissentions, de ces divergences
de ces
de
Ire .urs, 108.000 bottes
et 108.000 plaques de
E ato.
'bi' Jdbviduelle.de pain sera
I tre du fa?-Rrafcnangera
vues entre leur entraîneur et leur 5°’
mité. Et puis Gudmundsson, qui na:
vait pas paru sur un terrain depuis
le 1er février — blessure à la. han
che. mais aussi question monétaire
allait-il se montrer le grand oud
mundsson qu’il avait promis de re
devenir.
(Lire la suite p, 3, en rub. Football)
LA FAUTE DE CARRE
NANCY. — Carré, nous l'avons
dit, fut exclu du terrain moins pour
une brutalité flagrante que pour
une réponse peu déférente à l’ar
bitre. ...
Carré ayant chargé, irrégulière,
ment Gudmundsson ' l'arbitre lui
dit :
« Je vous donne un avertisse
ment. A la prochaine faute, Je vous
exclus.
— Vous pouvez me « sortir » tout
de suite. Je. m’en f...
— Th ! bien, sortez », répondit
M Tibaldi.
Le Lillois ne sera pas suspendu
pour dimanche (match de Coupe à
Bordeaux' contre Angers), mais ris.
I que une « mise à pied » pour deux ,
j matches de Championnat. — J. C i
tre Kouidri.
Selon son habitude, ce fut dans la
seconde partie du combat qu’il se mon
tra le plus brillant. Ses séries de cro
chets des deux mains au corps deples,
ses crochets du droit à la face à mi-
distance, furent exécutés dans les rè
gles. Villemain sut passer sous le di
rect du droit de Charron qui voulait
le tenir à distance.
Et Charron reçut au visage des crm
chets qui le hérissaient de colère. Fi
fut débordé par le dynamisme du
champion d’Europe et finalement co-
pieusement battu.
Georges PEETERS.
(Lire la suite p. 2, en rubrique Boxe)
UNIS PAR L’INTERET, SEPARES PAR L’AGE
BRUNEAU et HEOOLFI dvorceront
quand les lilas refleuriront.
« EH BIEN ! QUE PENSE-T-ON. A LA DIRECTION DU VEL’ D’HIV,
DE NOTRE TENUE EN AMERICAINE ? nous demandaient, hier, Bruneau
et Redolfi ; CROYEZ-VOUS QUE NOUS AURONS QUELQUE CHANCE
D’ETRE, RETENUS POUR LES 6 JOURS DE PARIS ? ».
Il est évident que nous nous attendions un peu à ce que le tandem
belgo-italien nous pose cette ques-
tlon.
Si nous consultons, en
. .. , , - effet, la
courbe de leur régularité, tracée de-
Puis le 21 décembre, date de leur as
sociation, nous sommes c‘‘-An) --
obligés de
constater qu’elle est des plus régu
lière pour une équipe qui eut à s’im
poser toute seule, parfois contre la
volonté des « grands ».
Car Attilio Redolfi. 24 ans, une an
née de ‘courses aux côtés des profes
sionnels, a rapidement compris l’inté
rêt qu’il trouverait à 6‘unir en améri
caine à son ami. presque son voisin
à Choisy-le-Roi, Emile- Bruneau. 36
ans, lequel,. par sa science d'ancien,
avec sa forme. son moral, avait au-
trefois fait les beaux jours du Ve)
. - ■* - ■ ■ - De
d’Hiv’ avec Berin. Breuskin ou
pauw
« A
disait
leure
lui-même.
L’attente d'un verdict
son capital connaissances, nous
Redolfi, j’apportai ma mel
volonté et ma condition. J? nal
pas eu à m’en repentir. »
Et les deux hommes se sont asso
ciés par intérêt pour arriver, d man
elle, au résultat que l’on connaît.
Pierre BOURRILLON.
(Lire la suite page 2,
en rubrique Cyclisme)
(De notre envoyé spécial Jean SAMAZEUIL)
LYON. Il ne faut donc pas compter sur les Hongrois pour défendre
leur chance, ce qui modifie quelque peu les vues d’ensemble qu’il était
possible de prendre jusqu’à présent quant au résultat final des Cham-
pionnats internationaux de France.
L’absence d’Asboth, champion de France sur terre battue, donne une
chance de plus à l’Australien Harper et surtout au champion italien
Cucelll ou à Henri Cochet d'être les
.gagnants du haut du tableau du
simple hommes.
Dans le bas. du même tableau, Jean
Borotra, le gagnant de 1947, aura
trois adversaires de valeur: l’Espagnol
Massip. l’Italien del Bello et le Sué
dois Fornstedt, capables de menacer
sa suprématie si sa névrite, du couds
ne s’améliore pas. Il est vrai que dans
son match de oet après-midi, contre
Roland Journu, le champion de la
Villa Primerose, il ne semblait guère
être gêné par cette affection, car ses
volées à contre-pied et ses passing-
shots n’avaient rien perdu de leur
mordant et de leur précision.
En trois manches, et par 6-1, 6-2, 6-3.
Jean Borotra passait en deuxième tour
et, en sortant du court, il nous dit qu il
avait trouvé un moyen d’être moins
préoccupé par le tennis-elbow, raccour
cissant légèrement sa prise de ra
quette. Espérons, pour ce que nous
attendons de lui, que ce moyen lui
STANCZYCK, MI-LOURD
«CLIENT» POUR NOVAK
AUX JEUX -
DE LONDRES...
L’Américain Stanczyck, détenteur du
record olympique sur les 3 mouve
ments avec 117 kg 500 au développé
127 kg. 500 à l’arraché, 160 kg. au
jeté, soit 405 kg., annonce qu’il va
passer mi-lourd
Si ce passage dans la catégorie su
périeure laissera de grandes chances de
vaincre à l’Egyptien El Touny. qui
vient d'améliorer deux records du
monde, il laisse prévoir une lutte sé
vère parmi les mi-lourds avec le choc :
Novak - Stanczyck ! Le clou des pro
chains Jeux de Londres, à coup sûr.
car ces deux hommes dominent nette
ment tous les haltérophiles mondiaux
à leur poids — R. Moyset.
(Lire la suite page 2,
en rubrique Automobile)
Les nageurs américains
les 15 et 16 août, à Paris
redonnera toute sa confiance de l’an
dernier.
Harper en vedette
Un très long double mit ensuite
aux prises sur le contrai Harper-
Szawost et Garnero-Bolelli.
(Lire la suite p. 3, en rub. Tennis)
Le Comité Olympique américain a ac
cepté en principe l'invitation lancée par
la FFN à l'équipe américaine de natation
au complet (nageurs, nageuses, plongeurs,
plongeuses, water-polo, ballet nautique) de
participer au classique meeting du Grand
Prix de Paris, fixé aux 15 et 16 août, aux
Tourelles.
La décision défin tive des Américains
sera prise dans quelques jours
EN VENTE DANS TOUTES LES BONNES MAISONS DE SPORT
(17)
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3
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2
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38 25
56 88
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12
12
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44 38
34 J1
43 46
36 52
36 51
30 47
34 55
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33 55
28 45
34 50
victoire
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FRANCE - FOOTBALL
p O SE A SES LECTEURS
A SIXIEME QUESTION DE
SON GRAND REFERENDUM
Et poursuit : « Un demi siècle de
football vécu par Gaston Barreau,
tonte par Jacques de RYSWICK.
MARDI 24
FEVRIER 1948
13, Fg Montmartre
PARIS (9 e )
Direc., Adm., Publ.
TAI 70-80
Rédact.: PRO 85-21
Vente i PR O 37-18
Cte Postal 4.237 -93
F fn 3* ANNEE
MAe N° 579
Afriq. du Nord 6 fr.
l’WUIPB
— " lats
A.LEGUOTIDIEN.
DU SPORT
UNE EXCLUSIVITE
ZFOVIPF
—aram.tfaamunn/)
L’ingénieur
J.-A. GREGOIRE
ÉTUDIÉ LA SITUATION
de l'industrie automobile
aubeguy fut inspiré... HUIT MILLIONS OE VÉHICULES
par une affiche .galloise qui clamait
commandés aux usines
Nous voulons le ballon !
El le X F de France reçut l’ordre d’en priver
[oùte gne co ùle ses adversaires. Son succès est
Le le résultat d’une tactique
reste à trouver celle qu’il faudra opposer
à l’Angleterre le 29 mars
un de nos env. spéc. Marcel de LABORDERIE)
Après le match fantastique de Swansea, après la victoire
tendante de l’équipe de France dominant les Gallois comme
ny avait jamais réussi sur leur terrain, notre attention
en te vers le dernier match international qui nous reste à
E • France-Angleterre, le 29 mars prochain, à Colombes.
Une question se pose aussitôt : l’équipe de France sera-t-elle
néme ? Faut-il changer cer-
■ éléments ?
■cuns vont aussitôt répliquer :
Loire change pas une équipe qui
Ké, » Ce qui du reste est fort
; les Irlandais qui sont
Mieux placés pour gagner le
tm m témoignent puisque dans
l’équipe qui avait battu la France,
ils apportèrent cinq changements
pour rencontrer l’Angleterre ; ils
s'en trouvèrent bien.
Mais, à mon sens, la question
concernant le rugby français est
assez mal posée. Il vaut mieux de-
s 35es Championnats dont on attendait mieux
e chute de Couttet: PENZ
^suscité, gagne le slalom
OREILLER le combiné...
Lucienne Schmitt et Françoise Gignoux
champions féminins
[ (D’un de nos envoyés spéciaux Alex VIROT)
SOPERBAGNERES. — La récente chute de neige qui avait couvert
route glacée d’une épaisseur de 40 centimètres a transformé la
Ré manche du slalom en un piège qui fut cause d’un renversement
endu. Penz s’est retrouvé en pleine possession de tous ses moyens
enlever de façon brillante le titre de champion de France de slalom.
F toujours à son aise dans les difficultés, vit son adversaire direct,
I Couttet, handicapé par une
II n'avait plus qu’à demeu-
en dedans » pour s’assurer la
h du combiné.
"olles s’est abstenu, sachant bien
Fit avoir deux jambes solides
courir un slalom avec des chan-
) succès... Lacroix fut très bril-
Faniiset très régulier et, au
ide n première manche, dont
ditions furent beaucoup moins
une belle cohésion Se ma-
d Darmi les meilleurs de nos
Les paresseux
ONT MANQUE LE TRAIN
A l’entrainement, vendredi, à
Swansea, quatre Joueurs de l’équipe
de France : Junquas, Terreau, Al
varez -et Moga n’avaient pas de sur.
vêtements !
Pas très raisonnable de la part
des accompagnateurs..
mander : quels sont les joueurs
qui, en dehors du quinze de Swan-
sea, peuvent vraiment prétendre ac-
tuellement à la'sélection nationale ?
J'en vois deux : le demi d’ouverture
montferrandais Fournet, et le centre
tyrossais Dizabo, s’il a vraiment le
moral d’un combattant.
Ce qui ne veut pas dire que Bor
denave, Terreau ou Junquas ont été
insuffisants à Swansea. Loin de 'à,
puisque Terreau a été, en deuxième
mi-temps, l’artisan heureux de no
tre victoire.
Et ces considérations m’amènent
à répéter ce que j’avais écrit, au
lendemain d’Edimbourg : à • savoir
que le problème de l’équipe de
France devenait désormais beaucoup
plus une question de tactique que
de sélection.
Nous voulons la balle !
Le résultat de Swansea me convainc
davantage et une longue conversation
avec Jauréguy, sur le long chemin qui
nous ramenait de Swansea à Paris,
m’encourage à persévérer dans cette
opinion.
Donc, Jauréguy me rappelait (les
conditions et l’ambiance curieuses dans
lesquelles s’était déroulé le match :
Le ramassage de la paille qui nous
semblait une scène de la moisson, le
chétif orchestre au milieu des meules,
les musiciens qui tiraient de leurs cui
vres de vieux airs gallois.
Cette scene familiale n’avait rien de
comparable avec une affiche que Jau
réguy se souvenait avoir vu placardée
sur les murs londoniens : huit gaillards
à la mine farouche, représentant huit
joueurs gallois qui en tendant leurs
bras crispés, disaient : « Nous voulons
le ballon ! »
« J’ai pensé à cette affiche ; avoir
le ballon, tout était là, poursuivait
Jauréguy. Car il fallait redouter ces
diables de trois-quarts gallois, cet at
taquant- vicieux,' Bleddyn Williams, son
ailier Ken Jones. Oui, avoir le ballon,
parce que tant qu’on l’a, enseignait
Struxiano, 1s autres en face ne s’en
servent pas I »
(Lire la suite p. 3, en rub. Rugby XV)
te
l’équipe de France victorieuse après
le
retour. René
américaines
Mais le problème de l’acier se pose de l’autre côté
de l’Atlantique comme en France
CRABOS COMMENTE D ^ b r os de à
Ce n’est point aux lecteurs de L’EQUIPE qu’il est nécessaire
de présenter J.-A. Grégoire : les épisodes d'une vie, particulière
ment riche, leur sont familiers. Champion de France du 100 m.
plat, polytechnicien docteur en droit, réalisateur avec son ami
Fenaille du premier joint homocinétique de la traction avant,
d'abord exécutée sur Tracta, conquérant ensuite des adhésions
aussi précieuses que celles d’Adler et de Citroën en particulier,
créateur,» enfin, d’une première voiture d’étude, celle dite de
L’ALUMINIUM FRANÇAIS-GREGOIRE, après avoir établi en com-
mun avec la Société Tudor et, la Société Générale d'électricité
une voiture avec laquelle il battit tous les records du monde de
la spécialité, auteur, enfin, de la deux-litres qui remporta tous
les suffrages au Salon de Paris, lauréat de notre Académie des
Sciences pour sa suspension à flexibilité automatiquement va
riable, tel est, incomplet quand même, le tableau des activités
d’un homme à qui son intelligence, sa bienveillance et son em
pressement à servir ont assuré la sympathie générale.
Or, J.-A, Grégoire se rend fréquemment aux Etats-Unis où
il tonnait toutes les personnalités marquantes de l’industrie auto
mobile.. Au cours d'une conversation, à son dernier retour de là-
bas, il nous communique tant de renseignements que nous lui
demandons de les condenser lui-même en six chroniques, pour
nos lecteurs.
Ces chroniques, dont voici la première, sont de grande valeur
Et nous comprenons bien que, l’eût-11 souhaité, J.-A Grégoire
eût été, de surcroît, un journaliste de grande envergure.
Charles FAROUX.
„ l’extrême droite, semble donner le signal d’un ban, mais
à l’attitude pensive des convives on peut croire à un commentaire. Bergougnan suce son pouce d’un air
pensif, Basquet se consacre à sa cigarette, Terreau songe à l’humeur changeante de la gloire, Lassègue,
de dos, explique « le coup », Alvarez soigne son profil. Demain, dislocation et rendez-vous le 28 mars,
veille de France-Angleterre 1
Les furieuses attaques, pitreries et irrégularités de CHARRON
LE n DYNAMIQUE VILLEMAIN
de remporter
UNE NETTE VICTOIRE
Surprise et déception, FERNANDEZ, dérouté
par la mobilité du « remplaçant » GIANELLI, n’a
obtenu qu’une décision aux points qui fut sifflée
J ES Etats-Unis ont produit, pendant l’année 1947, en tenant compte de
AJ l’appoint des usines d’assemblage au Canada, 5.054.000 véhicules.
C’est le total le plus élevé depuis le chiffre record de 5.358.000
véhicules, atteint én 1929. En 1941, 4.841.000 avaient été fabriqués.
Les experts des différentes compagnies pensent
verra une augmentation de 10 à 15 % environ par,
l’année précédente-
En fait, le,s firmes possèdent, dans l’ensemble, un
des de l’ordre de 8.000.000 de véhi- — —
cules, pour le pays seulement. De j iour..d.Retzolk:
plus, les usines pourraient, en
que l’année 1948
rapport à celle de
carnet de comman-
en janvier dernier,
les usines d’Hudson ont dû s’arrê ¬
triomphe |
; !
n, 4-2 (4-2) ,1
, BERTELoiT"
•bitrage large."
éziers : Sinaf
icudié (30’L M
ançon : tas i
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Besançon. ■
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balle entre i
5 , les avants d
miner pul. +out
situation ■ , s
ense et réuss" |
I CHAMPIONS DE FRANCE
MESSIEURS
ND: Benoît Carrara (Lyonnais),
sidames Couttet (Mt-Blanc).
BINE NORDIQUE: René
ePvrénées-Ouest) •
■tEXTE : James Couttet (Mt-
SLOM: Claude Penz (Savoie),
aole"— E ALPIN : Henri Oreiller
DAMES
5M NTE : Françoise Gignoux
adox: Lucienne Schmitt (Mt-
"MPIN E ALPIN: Françoise Gi-
g ‘Lyonnais).
. Il n'en fut pas d» même
autres. On enregistra des
I eres et de nombreux aban-
gemière manche fut l'apanage
|$Uacroix, qui réalisa le tempe
Kn 0 devant James Couttet
edluc r 6" 5/10, Penz 1’ 6”
| aeiller 1’ 6” 8/10. Ces faibles
b.dlent donner à la seconde
K " vif intérêt. Malheureuse-
s'abîmait de descente
‘ . e, des bourrelets se for-
Seonald Elace du fond apparais-
etons qui mirent à une
Etunite les quarante derniers
• pupal;
inson
liciter POULCude.
neziano, P.
"ite P- 3, en rubrique Ski)
Et les champions
usent de galanterie..
{D’un de nos env. spéc. CAZA)
SUPERBAGNERES. — Les garçons de
l’équipe de France, lorsqu’ils eurent
terminé leur slalom, et bien qu’ils
n’aient pas encore pris leur déjeuner,
tinrent tous à assister au slalom des
dames afin de leur apporter leurs en
couragements. Ce geste de bonne ca
maraderie sportive fut particulièrement
apprécié par les skieuses et mérite
d’être souligné.
immédiatement après ce slalom,
grande partie des concurrentes se
cipita sur la piste qui, à travers
ravissante forêt, conduit jusqu'à
chon et sur ce très joli parcours
uve
pre-
Lu-
par ¬
ticutièrement pittoresque, mais malheu
reusement encore trop peu enneigé, se
déroula une amusante épreuve qui n’é
tait pas prévue au programme. Il s’a
gissait avant tout, d’être à la g'are
de Luchon pour prendre le train de
17 heures !
Et les paresseux qui avaient préféré
descendre de Superbagnères par la cré
maillère... manquaient irrémédiable
ment leur train.
■ Public beaucoup moins nombreux que lors des deux derniers
galas Cerdan, virages troués d’ombre et neige fondue sur la ver
rière, mais bonne salle tout de même hier soir au Palais des
Sports où plusieurs milliers de
personnes étaient venues voir
l’impopulaire Charron se faire
battre par Robert Villemain. Un
Villemain un peu épaissi, avec
son buste trapu, ses cuisses ron
des et un visage joufflu, qui se
présentait à près de quatre ki
los au-dessus de la limite des
CHARRON EN DESEQUILIBRE SUR UN PIED
Charron, attaquant rageusement, s’est montré souvent imprécis.
Le voici, au 5" round, manquant un gauche et en déséquilibre.
Villemain s’apprête à riposter.
DIVERGENCES DE VUES DANS LA CAPITALE LORRAINE
PESEE SURPRISE
Quatorze cents grammes seule
ment séparaient Villemain et Char
ron. Villemain pesait 70 kg, 200
(limite des poids welter : 66 kg, 678)
et Charron accusait 71 kg. 600 (IL
mile des poids moyens: 72 kg. 571).
La pesée avait lieu à midi. Char
ron se présentera à 12 h 45. Il
expliqua qu’il avait été bloqué par
les neiges (?).
LE REGARD
de Marlène
par Pierre ABOUT
Vous aviez, Madame, les yeux
trop clairs et le regard trouble de
Florence Marly jotiant les Marlène
dans le film « Les Maudits ». Vous
aviez payé 2.000 fr. une bonne
place au deuxième rang des fau
teuils de ring. J’ai beaucoup admi.
ré la troublante mobilité de votre
visage passionné, mais je n’ai^ pas
aimé le sentiment intime qui l’ani
mait. Viviez-vous pour la! boxe ?
Etiez-vous prête à saluer un vain
queur ou cherchiez-vous à satis-^
faire un besoin inexprimé ? J’ai
bien étudié votre jeu: des deux
Robert, ce n'est pas Villemain le
consciencieux qui habitait votre
cœur, mais Charron le mauvais gar
çon. Votre sensibilité « encaissait »
■jouloureusement les coups qu’il
recevait et appuyait sournoisement
ceux qu’il po-rtait...
(Lire la suite p. 2, en rub. Boxe)
moyenne, construire 50 % de plus
qu’elles ne le font actuellement, en
travaillant sur toutes les chaînes, à
deux équipes Mais la limitation de
production s'établit par celle des
approvisionnements, en particulier
par ceux d’acier, et surtout de tôle
d’acier.
C'est ainsi que, pendant mon sé-
ter par suite du manque de carros-
séries,
temps
Le
ment
ment,
et licencier pendant quelque
7.000 ouvriers.
problème de l’approvisionne-
en tôle d’acier est, actuelle-
un problème mondial !
J.-A. GREGOIRE.
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile)
Véhicules industriels
et utilitaires
LA POSITION
de la construction française
au Salon de Bruxelles est excellente
(De notre envoyé spécial Charles FAROUX)
On a
Belgique
désirable
déjà signalé la remarquable intensité du • trafic routier en
et on ne saurait nier que ce maintien d’une activité
— malgré tous les arguments intéressés qu’on lui oppose, ici
comme chez nous — est à la source d’un bien-être supérieur. Nous ne
sommes donc pas surpris que l’industrie automobile de nos voisins puisse
encore faire état de constructeurs natlcnaux : Brossel, F.N., Miesse.
Brossel emploie pour ses moteurs à combustion une licence Ricardo
comportant une chambre à haute turbulence ; les trois exécutions
AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE DE TENNIS
concernent un 4, un 5 et un 6 cy-
lindres tous de même cylindrée, uni
taire, avec respectivement 6.250, 7.800
et 9 400 cmc. de cylindre 3 totale.
La Fabrique nationale d’Armes de
guerre dHerstal qui, longtemps, cons-
poids welter. Un Villemain,
donc, poids moyen et qui ne
rendait que quatorze cents
grammes à son adversaire.
Le public n’a pas été déçu dans
son attente et Charron, comme pré
vu, a été battu aux points. Il a été
battu parce qu’il n'y a pas de mira
cle en boxe et que l'homme le mieux
doué — et Dieu sait les fantastiques
moyens que peut posséder le fan
tasque Poitevin — doit se préparer
longuement et se soumettre aux dis ¬
ciplines du ring.
Il est navrant de voir ce boxeur
qui aurait pu être un champion,
gâcher ainsi sa carrière. Quant à
Villemain, disons tout de suite qu’il
produisit bien meilleure impression
que lors de son dernier match con-
Quant à
BOROTRA vainqueur de JOURNU
va trouver sur sa route
le Suédois Fornstedt
L'absence des Hongrois confirmée... l’Australien
Harper installé favori avec Cucelli
truisit des vo tares particulières,
conserve toujours un important
parlement motocycliste, a établi
châssis industriel très moderne
concept ion. Pour une cylindrée
et
dé-
un
de
de
4.250 cmc environ, la puissance du mo
teur est de 80 CV à la vitesse réduite
de 2.800 tours-minute; il est alimenté
par Solex. La culasse est en alliage
léger; la boîte comporte 5 vitesses
avant; le freinage, commandé par
intermédiaire d’un servo-frein Dewan-
dre, utilise le système hydraulique
Lockheed, cependant qu’afin d’accroî
tre la sécurité, on fait également ap
pel à un frein mécanique. Ce beau
châssis, dénommé 64 CI, qui permet
6,5 tonnes de charge utile, se prête à
tie nombreux emplois
ticulièremen+ bien à
autocars.
et s’adapte par-
l’exécution des
1 à signaler ■
vas ■
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■ulier ThoN"E
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les concurrents
Olympiques !
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le détcordBurghley, a
“imen.l! de a listg des .
Lout pares demandés par le
de tons"8-Unis, pour Talimen-
Iricip, 8 athlètes et dirigeants
elistgont aux prochains J.O.
I Produspprend plus d 0 ton '
. elle a été envoyée
""8tèr, 18, avec l’approbation
Qu oc, nnique du Ravitail
lé da°snral John Kilpatrick,
Propose Idison Square Garden,
:dméri.“d@mander à tous les
■i de, po’nsde contribuer à la
"Iisont "8 alimentaires de-
4.PRODUITS
-
.. fromage"
(conse.
‘Poudre) —
tos"mestibies
f ruits
œufs.
ren-
pro ¬
En kg.
24.000
6.000
3.000
12.000
7.500
33.000
1.500
12.000
8.000
200
6.000
36.000
150
200
4.500
6.000
3.000
CINQ MINUTES AVANT DE JOUER LILLE
Nancy n’avait pas formé son équipe
Cros et le comité n 9 étaient pas d’accord
Ben Brahim
qui éclipsa Gudmundsson
inter ou arrière central ?
(De notre envoyé spécial Jean CORNU)
NANCY. — Curieuse annonce que celle faite au micro avant Nancy-
Lille : « Nous vous donnons la composition de l équipe telle qu’elle
figure sur la feuille de match. Nous ne vous garantissons pas que les
joueurs s’aligneront dans cet ordre sur le terrain »
C’était bien la première fois que cinq minutes avant le coup d envoi,
on ne pouvait donner d’une façon formelle la composi ion d une équipe
telle qu’on allait la voir sur le
terrain.
Avant le match, Cros, l’entraîneur
nancéien, nous avait dit en efft :
« Vendredi soir j’ai soumis ma for
mation au comité directeur. Il paraît
qu’on me Ta chamboulée. Je n’en sais
rien officiellement. »
Atmosphère troublants, peu propice
aux grands exploits que celle dans la
quelle évoluait l’équipe de Nancy
avant son match difficile contre Lille.
joueurs étaient navrés
dissentions, de ces divergences
de ces
de
Ire .urs, 108.000 bottes
et 108.000 plaques de
E ato.
'bi' Jdbviduelle.de pain sera
I tre du fa?-Rrafcnangera
vues entre leur entraîneur et leur 5°’
mité. Et puis Gudmundsson, qui na:
vait pas paru sur un terrain depuis
le 1er février — blessure à la. han
che. mais aussi question monétaire
allait-il se montrer le grand oud
mundsson qu’il avait promis de re
devenir.
(Lire la suite p, 3, en rub. Football)
LA FAUTE DE CARRE
NANCY. — Carré, nous l'avons
dit, fut exclu du terrain moins pour
une brutalité flagrante que pour
une réponse peu déférente à l’ar
bitre. ...
Carré ayant chargé, irrégulière,
ment Gudmundsson ' l'arbitre lui
dit :
« Je vous donne un avertisse
ment. A la prochaine faute, Je vous
exclus.
— Vous pouvez me « sortir » tout
de suite. Je. m’en f...
— Th ! bien, sortez », répondit
M Tibaldi.
Le Lillois ne sera pas suspendu
pour dimanche (match de Coupe à
Bordeaux' contre Angers), mais ris.
I que une « mise à pied » pour deux ,
j matches de Championnat. — J. C i
tre Kouidri.
Selon son habitude, ce fut dans la
seconde partie du combat qu’il se mon
tra le plus brillant. Ses séries de cro
chets des deux mains au corps deples,
ses crochets du droit à la face à mi-
distance, furent exécutés dans les rè
gles. Villemain sut passer sous le di
rect du droit de Charron qui voulait
le tenir à distance.
Et Charron reçut au visage des crm
chets qui le hérissaient de colère. Fi
fut débordé par le dynamisme du
champion d’Europe et finalement co-
pieusement battu.
Georges PEETERS.
(Lire la suite p. 2, en rubrique Boxe)
UNIS PAR L’INTERET, SEPARES PAR L’AGE
BRUNEAU et HEOOLFI dvorceront
quand les lilas refleuriront.
« EH BIEN ! QUE PENSE-T-ON. A LA DIRECTION DU VEL’ D’HIV,
DE NOTRE TENUE EN AMERICAINE ? nous demandaient, hier, Bruneau
et Redolfi ; CROYEZ-VOUS QUE NOUS AURONS QUELQUE CHANCE
D’ETRE, RETENUS POUR LES 6 JOURS DE PARIS ? ».
Il est évident que nous nous attendions un peu à ce que le tandem
belgo-italien nous pose cette ques-
tlon.
Si nous consultons, en
. .. , , - effet, la
courbe de leur régularité, tracée de-
Puis le 21 décembre, date de leur as
sociation, nous sommes c‘‘-An) --
obligés de
constater qu’elle est des plus régu
lière pour une équipe qui eut à s’im
poser toute seule, parfois contre la
volonté des « grands ».
Car Attilio Redolfi. 24 ans, une an
née de ‘courses aux côtés des profes
sionnels, a rapidement compris l’inté
rêt qu’il trouverait à 6‘unir en améri
caine à son ami. presque son voisin
à Choisy-le-Roi, Emile- Bruneau. 36
ans, lequel,. par sa science d'ancien,
avec sa forme. son moral, avait au-
trefois fait les beaux jours du Ve)
. - ■* - ■ ■ - De
d’Hiv’ avec Berin. Breuskin ou
pauw
« A
disait
leure
lui-même.
L’attente d'un verdict
son capital connaissances, nous
Redolfi, j’apportai ma mel
volonté et ma condition. J? nal
pas eu à m’en repentir. »
Et les deux hommes se sont asso
ciés par intérêt pour arriver, d man
elle, au résultat que l’on connaît.
Pierre BOURRILLON.
(Lire la suite page 2,
en rubrique Cyclisme)
(De notre envoyé spécial Jean SAMAZEUIL)
LYON. Il ne faut donc pas compter sur les Hongrois pour défendre
leur chance, ce qui modifie quelque peu les vues d’ensemble qu’il était
possible de prendre jusqu’à présent quant au résultat final des Cham-
pionnats internationaux de France.
L’absence d’Asboth, champion de France sur terre battue, donne une
chance de plus à l’Australien Harper et surtout au champion italien
Cucelll ou à Henri Cochet d'être les
.gagnants du haut du tableau du
simple hommes.
Dans le bas. du même tableau, Jean
Borotra, le gagnant de 1947, aura
trois adversaires de valeur: l’Espagnol
Massip. l’Italien del Bello et le Sué
dois Fornstedt, capables de menacer
sa suprématie si sa névrite, du couds
ne s’améliore pas. Il est vrai que dans
son match de oet après-midi, contre
Roland Journu, le champion de la
Villa Primerose, il ne semblait guère
être gêné par cette affection, car ses
volées à contre-pied et ses passing-
shots n’avaient rien perdu de leur
mordant et de leur précision.
En trois manches, et par 6-1, 6-2, 6-3.
Jean Borotra passait en deuxième tour
et, en sortant du court, il nous dit qu il
avait trouvé un moyen d’être moins
préoccupé par le tennis-elbow, raccour
cissant légèrement sa prise de ra
quette. Espérons, pour ce que nous
attendons de lui, que ce moyen lui
STANCZYCK, MI-LOURD
«CLIENT» POUR NOVAK
AUX JEUX -
DE LONDRES...
L’Américain Stanczyck, détenteur du
record olympique sur les 3 mouve
ments avec 117 kg 500 au développé
127 kg. 500 à l’arraché, 160 kg. au
jeté, soit 405 kg., annonce qu’il va
passer mi-lourd
Si ce passage dans la catégorie su
périeure laissera de grandes chances de
vaincre à l’Egyptien El Touny. qui
vient d'améliorer deux records du
monde, il laisse prévoir une lutte sé
vère parmi les mi-lourds avec le choc :
Novak - Stanczyck ! Le clou des pro
chains Jeux de Londres, à coup sûr.
car ces deux hommes dominent nette
ment tous les haltérophiles mondiaux
à leur poids — R. Moyset.
(Lire la suite page 2,
en rubrique Automobile)
Les nageurs américains
les 15 et 16 août, à Paris
redonnera toute sa confiance de l’an
dernier.
Harper en vedette
Un très long double mit ensuite
aux prises sur le contrai Harper-
Szawost et Garnero-Bolelli.
(Lire la suite p. 3, en rub. Tennis)
Le Comité Olympique américain a ac
cepté en principe l'invitation lancée par
la FFN à l'équipe américaine de natation
au complet (nageurs, nageuses, plongeurs,
plongeuses, water-polo, ballet nautique) de
participer au classique meeting du Grand
Prix de Paris, fixé aux 15 et 16 août, aux
Tourelles.
La décision défin tive des Américains
sera prise dans quelques jours
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