Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1949-12-03
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 03 décembre 1949 03 décembre 1949
Description : 1949/12/03 (A4,N1138)-1949/12/04. 1949/12/03 (A4,N1138)-1949/12/04.
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599291p
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
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DECEMBRE 1949
10, Fg Montmartre
PARIS (9*1
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4“ ANNEE
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Afr. du Nord : 10 fr.
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..penseront surtout
i LA SÉLECTION
A HUIT JOURS DE
: ran ce- Yougos lavie
•ulouse pourrait être seul second
S'il est vrai que Véquipe lilloise, avec ses six points d’avance „
en ce moment sur le velours, si elle manifeste sur tous ses adver•
: une supériorité technique incontestable, il faut cependant
•nir que son pouvoir de réalisation est quelque peu diminué. Ses
ierniers matches n’ont été gagnés que de justesse. Son attaque ,
tosée de très bonnes individualités, éprouve beaucoup de diffi-
i à t’imposer à des défenses acharnées et résolues.
L’on suivra donc avec une particulière attention son match de
lin qui l’opposera aux Niçois chez eux. Il est d’ailleurs probable
cette rencontre aura une influence sur la composition de la ligne
offensive de l’équipe de France.
Pour toutes ces raisons le match
NICE-LILLE occupera la vedette
du programme de la journée.
L’équipe lilloise n’annonce aucun
changement dans sa composition;
mais, à Nice, une modification in
terviendra sans doute en ce qui
Maurice PEFFERKORN.
(Lire la suite page 6, rub. Football).
LUNDI 5 DECEMBRE
& 20 heures
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DEMAIN, DANS LA GRISAILLE HUMIDE DE BORDEAUX, FRANÇAIS ET ANGLAIS VONT jOUER AVEC LE FEU
Maso, Duffort. Barris: EXPERIENCES
mot
)EJbU£*v
L'international Lucien Barris, qui
ra demain pilier dans le XIII
France à Bordeaux, contre l'An—
[iMerre, est doué d'une force her-
léenne. On le sait.
Mois connaissez-vous cette anec-
:e que rapporte Paul Izern, no-
correspondant de Perpignan :
< Les Allemands ayant fait éva-
ar Banyuls-sur-Mer, en 1944, Bar-
sempila son mobilier sur un char-
attelé d'un âne, et, poussant
tirant sa bête surchargée, tenta
la conduire à llle-sur-Têt, dis
ant de 60 kilomètres.
Aux abords de Perpignan, l'âne
te d'épuisement pour ne plus
telever.
Nullement vaincu, le bon géant
Nina son voyage — à la force
poignet — jusqu'à son terme...
Ijü kilomètres de là. »
la cabinet de M. Morice,
|’ , i instant solennel : le secrétaire
pW remet la médaille de l'E.P. à
>inen.
1 Silence ! On tourne l Les acteurs
mobilisent, offrent un sourire
ou photographe.
| Déclic. Rien. Si :
M... ! s'exclame l'opérateur,
W raté ! *
1 Ça l'était.
l-t qui le fut également, c'est la
Ijîînde de la photo que L'EQUIPE
Imliait hier. Si M. Morice avait été
ltau ministre, passe encore l Mais
*' l a relégué deux étages au-des
**■ On lit en effet :
J M. Morice, sous - secrétaire
fEtat... »
' Quo non descendam ? * a dû
Interroger, hier matin, M. le secré-
[ '* d'Etat à l'Enseignement tech-
fjtus, à la Jeunesse, à l'Education
Wque et aux Sports.
hiom au PUC en
Si I'
1950 ? Hum...
,. .on en croit la FFA, il aurait
.® re t à ne pas venir faire ses
à Paris la saison prochaine.
|L* 0n Lassègue serait en pourpar-
°vec _les XIII du TO.
» J. «irait besoin de deux millions
° ev eiopper son affaire,
i- 0ur le conserver, le Stade Tôu-
®n serait prêt à les lui avan
J-ossègue demanderait un délai de
” , ans Pour les rembourser,
[j-j.-^orquer que tout est au
“toonnel...
Georges DUTHEN.
tjlajuite p. 3,rub.T. I. Sports)
DIVISION I (14 e journée)
•NICE (9)- LILLE (1)
•ROUBAIX (4) • Bordeaux (2)
•TOULOUSE (2)-Rennes (14)
•Lens (8) - RC PARIS (5)
•REIMS (5) - Marseille (9)
•SOCHAUX (5) - Montpellier (16)
•8TADE-R.S. (9) > Saint-Etienne (9)
•METZ (17). Nancy (9)
•SETE (17) - Strasbourg (9)
CLASSEM. : 1. Lille, 24 ptS : 2.
Bordeaux et Toulouse (18) ; 4. Rou
baix (15) ; 5. RC Paris, Reims et So-
chaux (14) ; 8. Lens (13) ; 9. Nanoy,
Nice, St-Etienne, Stade-R.S. et Mar
seille (12) ; 14. Rennes et Strasbourg
(11) ; 16. Montpellier (8) ; 17. Metz
et Site (7).
QUAND LES FOOTBALLEURS JOUENT AU BASKET
REIMS. — Excellent pour le démarquage, le basket-ball pratiqué par
l’équipe de Reims à l’entraînement, sous la direction de Roessler.
Voici, prise jeudi, une phase animée opposant Abenoza, qui semble
dégager du poing, à Palluch. On reconnaît, de gauche à droite, de
face : Jonquet, Abenoza, Jacowski, Palluch.
qui peuvent bien eu mal tonner
Le XIII d’Angleterre, “le meilleur
depuis la guerre ”, court d’aussi
grands risques avec six nouveaux
internationaux
Quatre personnalités peut-être déterminantes s
BRADSHAW, attaquant étourdissant, WARD
capitaine flegmatique, PUIG-AUBERT, arrière-
miracle, et CALIXTE, régulateur et inspirateur
(Da notre envoyé spécial Pierre ABOUT)
BORDEAUX. — Si vous ne craignez pas le ciel gris de la
région bordelaise, si vous ne rechignez pas à battre le pavé
glissant de sa capitale, il sera facile, à la veille d’un match inter
national, d’obtenir quantité d’opinions autorisées.
J’ai passé une pleine journée à cet exercice à la fois physi
que et semi-intellectuel dans l’intention louable en soi de baser
mon pronostic, de choisir un favori, logique entre les XIII de
France et d’Angleterre qui se
après-
Stade Municipal de Bordeaux, 15 Heures
FRANCE
2. LESPES
(Bordeaux)
13
CALIXTE
Villen.)
1. PUIG-AUBERT
(Carcassonne)
DUFFORT 4. CRESPO
(Lyon) (Lyon)
5. CANTONI
(Toulouse)
(o) 6. MASO
(Perpignan)
12
BERTHOMIEU
(Albi)
(m) T. OOP
(Marseille)
11
PONSINET
(Carcas.)
10
8ARTH0LETTI
(Bordeaux)
9
MARTIN
(Carcas.)
BARRIS
(Perp.)
13
TRAIL
(Bradford)
5. HILTON
(Wigan)
12
HIGGINS
(Widnes)
11
FEATHERSTONE
(Warrington)
(o)
6. PEPPERELL
(Huddersfield)
4. CUNLIFFE
(Wigan)
10
CURRAN
(Salford)
(m) 7.
9
MARSON
(Wakefield)
BRADSHAW
(Wigan)
3. E. WARD
(Bradford)
8
GEE
(Wigan)
POLLARD
(Salton)
T. RYAN
(Wigan)
ANGLETERRE
ARBITRE : M. Martung (Bordeaux)
rencontreront dimanche
midi au Stade Municipal.
Et me voici devant mes notes et
ma machine à écrire... tout embar-
r&ssê !
Pourtant, en additionnant les avis
personnels — on le verra par ailleurs
— on découvre que la majorité des
compétences optent pour une vic
toire anglaise. Ceci est net. Ceci se
rait définitif si chacun exprimait son
opinion.
Hélas ! il s’agit, la plupart du
temps, d’impressions qui n’ont guère
(Lire la suite p. 5, rub. Rugby XIII)
Fin des matches aller
en CHAMPIONNAT
DE RUGBY XV
Les légions de Sorondo, à Sapiac
cuibuleront-elles le St. Toulousain ?
Aux assauts de Junquas et des avants du L.O.U., les arrières
LE CHALLENGE
ANDRÉ-BAUR:
encore un banc d’essai
pour nos épéistes!
Avant’ les Championnats
du monde
(Voir notre article
en rubrique Escrime)
i han< )T *I
STADE A 120.010 PLAGES?
mais puisqu’il sera spécialisé
[^mandons que concomitamment le stade
l °nal d 9 athlétisme à Pershing ne soit pas
qu’une promesse
kq ??5 e . de 120.000 places (si le Mémoire préfectoral présenté hier est
v Sein* a Ccmseil municipal de Paris) sera c spécialisé ». Le préfet
L* î?iu;h ê P° use la thèse de ceux qui « pensent que, si la formule du
ÊNis’rf ' P ° Tts était î Usc l u ’ à présent la seule utilisée en France, il est
k ! « h>A? e ?- entt nécessaire de s’orienter vers la construction d’établisse-
L^ser/r dans le squels les spectateurs, devenus de plus en plus
j .> et o.nt placés dans de meilleures conditions de visibilité, sont
d ' a PP récier la technique des joueurs ou des athlètes et de
iVc Ü Une ^ a P on suivie aux compétitions ».
,ts L st ; ade pour le football et* le rugby, éventuellement de grands
DOYA
Les pointes à Pershing.
du Racing C. F. auront peine à résister
Quatre autres chocs impressionnants :
U.S.A • Limoges-Castres 01 ., Stadoceste Tarbais -
Stade Montois , F.C. Lourdes-C.A. Briviste et
Biarritz Oh - R.C. Toulon
Enfin, revoilà le Championnat de France qui la semaine
dernière avait cédé sa place aux matches de sélection. Tous
seront heureux de le revoir (!) car, avec lui, à défaut de la
qualité du jeu, on assiste à des empoignades viriles : la passion
s’emparera à nouveau des spectateurs. Peu importe que le Cham
pionnat tue l’esprit offensif, puisque tout le monde ne veut vivre
que par lui et pour lui...
Que nous réserve donc le 5 e tour de ce Championnat fédéral
qui coïncidera avec la fin des matches aller ? A l’issue de cette
première phase nombre de clubs auront pris une assurance
sérieuse sur la qualification
aux 16 e * de finale mais, à quel
ques exceptions près, toutes les
équipes conserveront l’espoir de
se classer parmi les quatre pre
mières de leur poule.
Les légions montalbanaises
Il faut donc prévoir des rencontres l’orgueil du Stade, affaibli par l’ab-
serrées et six matches vedettes au sence de son capitaine et les rema-
molns sont affichés au programme n i eme nts opérés au sein de son
dominical. équipe, sera mis à dure épreuve.
En premier lieu la vieille rivalité Mais Barran, en grande forme, n’ac-
des Toulousains et Montalbanais ceptera pas de gaieté de cœur un
aura pour théâtre la cuvette légen- pronostic bien fragile
dalre de Sapiac et les augures affir- Le L.O.V., client sérieux !
ment que pour la première fols les Au 6tade j ea n-" juin, le public
GBA tU1 M
kf J le préfet veut donner satisfaction à l’athlétisme afin sans doute
r°lra eproche de n e s’intéresser qu’aux sports soi-disant riches. Le
1 * exprime ainsi :
^rnble donc souhaitable que l’édification d’un établissement
Extern/ P arîicu tièrement à l’athlétisme soit prévue dans le programme
11' 5 (l ctinuf porti f de Paris - Ce sport est, en effet, à la base de toutes les
!r s s P° rtives et devrait progressivement au fur et à mesure de
iv au public, présenter pour lui de plus en plus d’attraits...
Bral ,e stade à 100.000 (ou 120.000...) places I
*■ la charge n’en incombe d’aucune manière aux eollectivités
'* vooi-* ''serait souhaitable que ce stade NATIONAL
M i» F n RA NCAIS, fût édifié aveo de l’argent FRANvmis.
..wivés ® Préfet de la Seine connaît-il la nationalité d’origine des fonds
Proposés ?
I - - - . _
FEDERALE
A *USA Limoges (2) o. CASTR. (1)
•RC VICHY (4) C. US Dax (3)
*S. DIJON (6) 0. AS SORT (4)
B *US Marm. (4) 0. AS BEZ. (1)
•ST. TARB. (4) O. ST. MONT. (2)
•US COGN. (4) c. S. Bord. UC (3)
C *US Tyrosse (4) o. CS VIENNE (1)
•S. Montluc. (4) o. AV. BAY. (2)
•ST. ROCHEL. (6) c. Valence (2)
h «LOURDES (1) e. CA Brive (4)
«USA PERP. (4) o. Bergerac (4)
E «MONTAUB. (1) C. St. Toul. (2)
•MONTELIM. (3) C. St. Aurill. (3)
«CARMAUX (3) c. Sect. Pal. (6)
F «Racing CF (2) c. LYON OU (1)
•CO Creusot (4) o. MAZAMET (2)
*CA BEGLES (4) C. SU Agen (6)
Q «ROMANS (1) C. US Bourg (4)
•AUCH (2) c. AS Montferr. (3)
«NARBONNE (4) c. Paris UC (6)
H «BIARRITZ (2) e. TOULON (1)
•PERIG. (3) e. AS Soustons (3)
«LAVELANET (6) c. Graulhet (5)
DOUBLE BELGIQUE-FRANCE DE BASKET, CE SOIR, A BRUXELLES
LES BELGES
LES FRANÇAIS
plus rapides
et plus adroits
plus sûrs et
plus complets
Le « cinq » Buffières, Derency, Thiolon
Swidzinski, Desemmes devrait enlever le
match par sa meilleure tactique
(De notre envoyé spécial Louis LAPEYRE)
BRUXELLES. — Le Palais des Sports va être le théâtre, ce samedi,
des traditionnelles rencontres Belgique-France.
Les hommes en seront à leur quatorzième explication, alors que
les femmes ne disputeront que leur cinquième match.
Les Tricolores, grâce surtout à leur palmarès d’avant guerre,
comptent dix victoires à leur actif, alors que nos adversaires d’outre-
Quiévrain obtenaient, dès la « reprise » de 1945, le début d’une série
victorieuse qui ne prenait fin qu’en
1948 au Palais des Sports parisien.
Encore ce dernier « choc » nous
réserva-t-11 de longues émotions
puisque, dominés tout au long de
En premier lieu l’on apprenait que
nos adversaires allaient devoir se
priver d’éléments de valeur Indispo
nibles ou refusant la sélection.
Alors le destin eut son Influence.
la Ita Jp* c cona * n’enlp- Alors ie Getsuiii «uu sou umiucuu;.
valent la décision — au cours des entions’hommes
huit dernières minutes — que grâce dho à un redressement inattendu coïnci- G ul1 avait sollicités.
dant avec une surprenante baisse de Mais les deux nations, qui ont
régime des Belges. su travailler en. profondeur.
Comment 6© présente la partie de appel aux réserves qu’elles
Bruxelles ?... , _ . _ . ..
A dire vrai, elle avait mal débuté. KLira la suit# pagB 3, rub. Basket)
LE PALMARES
DE BELGIQUE-FRANCE
HOMMES
1928 — France b. «Belgique..
1930 — France b. ^Belgique..
1931 — «France b. Belgique..
1932 — «France b. Belgique..
1933 — France b. «Belgique..
1934 — «France b. Belgique..
1935 (Genève) — Fr. b. Belg.
1937 — «France b. Belgique..
1938 — «France b. Belgique..
1945 — «Belgique b. France..
1947 — Belgique b. «France..
1947 (Prague) — Belg. b. Fr.
1947 — «Belgique b. Franc»..
1948 — «France b. Belgique..
FEMMES
1948 — «Belgique b. France..
1947 — «France b. Belgique..
1947 «Belgique b. France.,
1949 — fFranc# b. Belgique..
32— 17
35—21
63—21
52—18
19—12
50—17
49—30
28—10
33— 17
42—30
42—41
27—26
38—35
35—30
41—38
28—24
35— 22
36— 34
firent
avalent
poser. Lassègue fera ses débuts
comme trois-quarts centre...
Dans le paquet d’avants, un nou
veau talonneur, Cazajous, dont on
dit le plus grand bien, prendra place.
Devant les légions montalbanaises
au grand complet conduites par Mi
chel Sorondo, Soulié et Lasserre,
« vert et noir
plonnat, les e
battront, en Cham- p ar i S i e n
rouge et noir ». On
particulièrement connais-
. .. . . , J , seur ira Juger la valeur du LOU,
battra donc tous les records de re- can dkiat au titre de champion de
cette à Montauban et les supporters Fran ce. Devant le Racing e t ses at-
Toulousalns qui accompagneront leur taquants _ seul Desclaux est incer-
équipe risquent fort d’attraper une taln _ les Lyon nais, qui retrouve-
extlnctlon de voix. Car le Stade bat- ront Caron, n’hésiteront à faire
tu à Pau, il y a deux semaines, con- j 0Uer leurs avants. Tactique évidem-
tre toute attente, ne pourra compter
sur Rergougnan blessé, ni Dutrain Louis FERDINAND,
qui a manifesté le désir de se re- (Lire la suite page 4, rub. Rugby XV)
:é» rf 1 ’- 1 De l’avis préfectoral, la création
«dans Ze
er nier
€ de ce stade pourrait être
cadre de la reconstruction du stade Pershing, le voisinage
. . ye av ec l’Institut National des Sports et la plaine de Jeux dont
est P révu sur te polygone (de Vlncennes) offrant de multi-
i cv ^ ges po Ur tou tes les spécialités athlétiques — y compris le cross-
eJ Permettant la création d un ensemble remarquable ».
mais attention
attention ! Le projet de délibération proposé au Conseil
J'-w vie; utuociaviuu M-t'-'l
1 neti en ce qui concerne les pourparlers à « poursuivra
d'industriels et financiers » qui se propose de construire le
’■ ' '^ places, est per contre très vague pour le stade d’athlétisme:
o administration est invitée à étudier dans quelles conditions
p - 3» rub. T» les Sports)
Marcel OGER.
■LES PRETENTIONS EXAGEREES DU GOUVERNEMENT
Le problème de l’essence
REMIS EN QUESTION :
48 à 50 fr. le litre, disait-on hier soir !
Tandis que depuis deux Jours on attendait la décision de la présidence
du Conseil relative au prix de l’essence et que, dans les milieux dits bien
Informés, on Indiquait que le taux de 46 fr. 20 serait vraisemblablement
adopté, tout était remis en question hier en fin d’après-midi, et, dans la
soirée, un conseil Interministériel restreint était tenu à l’hôtel Matignon.
Tard le soir, on apprenait que rien ne serait rendu officiel avant
aujourd’hui et que, toujours d’après les rumeurs, 11 fallait s’attendre à ce
que la vente de l’essence soit rendue libre à un prix qui varierait entre
48 et 50 fr. le litre, étant entendu que le projet d’incorporer de l’alcool à
l’essence était définitivement abandonné.
Ainsi, l’erreur de jugement persiste, mais nous voulons espérer que le
Parlement ne la ratifiera pas.
Nous pensons avoir démontré suffisamment que le prix de 43 fr. 20
était trop élevé ; qu’à ce taux il y avait mévente ; qu’il n’y avait qu’un
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile) Maurice HENRY.
e Qui l’emportera, des sprinters-mousquetaires, ou des américains-spadassins
?... »
CRITERIUM NATIONAL D’HIVER DE VITESSE, DEMAIN, AU VEL" D’HIV’
Avec Lognay, Gérardin n’aura pas
la partie belle !...
et
...pas plus d’ailleurs que Senfftleben
Iacoponelli, menacés par les « américains »
Carrara, Maye, Dousset, Prat et Cie
HORAIRE DE LA REUNION
14 h. 30
14 h. 35
14 h. 55
15 h. 10
Consolation de la Médaille.
Critér. Nat. d’Hiver vitesse
(séries).
Ind. amat-, Ind.
Crit. Nat. vitesse (repéch.).
etc., etc...
Depuis plusieurs années déjà, au royaume de la vitesse pure, Louis
Gérardin a pris la place qu’occupait Lucien Michard avant guerre
celle de capitaine-, .
Sa position n’en est pas pour autant enviable I affiche à son. programme de demain.
Pour sauvegarder l’honneur du sprint français contre les spécla* r isq Ue p ar conséquent, de nous
listes étrangers, voire contre des pistards de tous crins dans des ame ner quelques surprises de taille
épreuves ouvertes, Lucien Michard, en effet, pouvait faire appel à un avec les Carrara, Goussot. Dousset,
flirt avec les américaines e3t tou
jours le sprint.
Senfftleben à l’ouvrage
Comme nous le faisions remarquer
! hier, le Critérium national d’hiver
de vitesse — course ouverte Juste
ment — que le Vél* d’Hlv* parisien
solide bataillon de mousquetaires.
C'était Louis Gérardin, alors pre
mier lieutenant, Chaillot, Fau
cheux, fougueux Porthos, Jezo,
Rampelberg, Fradet-Perrin, Avram,
etc.»
Prat, Bouvard, Maye, Bareth Rey-
compter nes e t cie. Ceux-ci, non seulement
ses fidèles sur les doigts d’une seule SO nt très rapides, mais encore n’ont
main. Et encore en trouve-t-il deux r j en à perdre dans l’aventure pour
(Senfftleben et Iacoponelli) 6ur le lutter presque à armes égales avec
point de rengainer leur rapière de senfftleben et Iacoponelli rendus
sprinter pour adopter la dague des vulnérables par leur préparation de
américains. Il ne reste donc à Gé- e ix daymen ou un Lanners handi-
Tous ces gens vous débitaient des ra rdin pour l’aider à défèndre le capé par son service militaire.
12 secondes aux 200 mètres avec la prestige de sa spécialité que : Lo- *
régularité d’un distributeur auto- gnay fort de sa jeunesse et de ses
matique... premiers résultats chez les pros et
Gérardin, hélas ! est loin d’être Lanners dont le faible, malgré son (Lire la suite page 3, rub. cyclisme)
Albert de WETTER.
CALA A ALGER
Punch de Médina
ou habileté
de Ferracin ?
Kid Marcel, Caulet
Ben Miloud autres favoris
(Do notre correspondant général
Tony ARBONA)
ALGER. —» U y a encore peu do
temps, Alger 6s lamentait do n’avoir
pas do réunions pugilistiques. Au
jourd’hui, on va droit à un© pléthor©
de swings et uppercuts, surtout en
début de mois, quand les bourse*
sont encore bien garnies...
La dernière réunion a totalisé
plus de deux millions et le cinéma
Majestic, devenu le temple de la
boxe, va bientôt afficher : c Ring
permanent ».
Aujourd’hui samedi, nous aurons
une réunion, puis le samedi suivant^
autre c event » avec le Champion
nat d’Europe Kouldrl-Minelll et l’au
tre champion européen Ray Fame-
chon au programme.
Ce Jour, l’on fera aussi bien (ou
presque) qu’au Palais des Sports :
tout d’abord, cinquante rounds de
combats et des boxeurs de tous les
azimuts, ce qui, entre parenthèses,
est assez rare à Alger où 11 est deve
nu une tradition d’afficher un
boxeur local comme signe de succès.
La vedette eera tenue par Médina,
les oreilles encore bourdonnantes de
sa conversation avec Ortlz, qui ren
contrera el eignor« Guido Ferracin,
11 y a peu de temps encore champion
d’Europe des coq. Médina est coura
geux ; mais plus encore il est têtu,
car le combat contre l’Italien est
conclu à 55 .kg. alors que lui, Théo,
(Lire la suit© page 2, rubrique Box*)
DEMAIN
LA GRANGE-AUX-BELLES
KHALFI PEUT
S’AFFIRMER
aux dépens de
LAURENT
es/
( Lire, l’article
mm rubrique
RT
encor*
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et Lechanlre...
..penseront surtout
i LA SÉLECTION
A HUIT JOURS DE
: ran ce- Yougos lavie
•ulouse pourrait être seul second
S'il est vrai que Véquipe lilloise, avec ses six points d’avance „
en ce moment sur le velours, si elle manifeste sur tous ses adver•
: une supériorité technique incontestable, il faut cependant
•nir que son pouvoir de réalisation est quelque peu diminué. Ses
ierniers matches n’ont été gagnés que de justesse. Son attaque ,
tosée de très bonnes individualités, éprouve beaucoup de diffi-
i à t’imposer à des défenses acharnées et résolues.
L’on suivra donc avec une particulière attention son match de
lin qui l’opposera aux Niçois chez eux. Il est d’ailleurs probable
cette rencontre aura une influence sur la composition de la ligne
offensive de l’équipe de France.
Pour toutes ces raisons le match
NICE-LILLE occupera la vedette
du programme de la journée.
L’équipe lilloise n’annonce aucun
changement dans sa composition;
mais, à Nice, une modification in
terviendra sans doute en ce qui
Maurice PEFFERKORN.
(Lire la suite page 6, rub. Football).
LUNDI 5 DECEMBRE
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DEMAIN, DANS LA GRISAILLE HUMIDE DE BORDEAUX, FRANÇAIS ET ANGLAIS VONT jOUER AVEC LE FEU
Maso, Duffort. Barris: EXPERIENCES
mot
)EJbU£*v
L'international Lucien Barris, qui
ra demain pilier dans le XIII
France à Bordeaux, contre l'An—
[iMerre, est doué d'une force her-
léenne. On le sait.
Mois connaissez-vous cette anec-
:e que rapporte Paul Izern, no-
correspondant de Perpignan :
< Les Allemands ayant fait éva-
ar Banyuls-sur-Mer, en 1944, Bar-
sempila son mobilier sur un char-
attelé d'un âne, et, poussant
tirant sa bête surchargée, tenta
la conduire à llle-sur-Têt, dis
ant de 60 kilomètres.
Aux abords de Perpignan, l'âne
te d'épuisement pour ne plus
telever.
Nullement vaincu, le bon géant
Nina son voyage — à la force
poignet — jusqu'à son terme...
Ijü kilomètres de là. »
la cabinet de M. Morice,
|’ , i instant solennel : le secrétaire
pW remet la médaille de l'E.P. à
>inen.
1 Silence ! On tourne l Les acteurs
mobilisent, offrent un sourire
ou photographe.
| Déclic. Rien. Si :
M... ! s'exclame l'opérateur,
W raté ! *
1 Ça l'était.
l-t qui le fut également, c'est la
Ijîînde de la photo que L'EQUIPE
Imliait hier. Si M. Morice avait été
ltau ministre, passe encore l Mais
*' l a relégué deux étages au-des
**■ On lit en effet :
J M. Morice, sous - secrétaire
fEtat... »
' Quo non descendam ? * a dû
Interroger, hier matin, M. le secré-
[ '* d'Etat à l'Enseignement tech-
fjtus, à la Jeunesse, à l'Education
Wque et aux Sports.
hiom au PUC en
Si I'
1950 ? Hum...
,. .on en croit la FFA, il aurait
.® re t à ne pas venir faire ses
à Paris la saison prochaine.
|L* 0n Lassègue serait en pourpar-
°vec _les XIII du TO.
» J. «irait besoin de deux millions
° ev eiopper son affaire,
i- 0ur le conserver, le Stade Tôu-
®n serait prêt à les lui avan
J-ossègue demanderait un délai de
” , ans Pour les rembourser,
[j-j.-^orquer que tout est au
“toonnel...
Georges DUTHEN.
tjlajuite p. 3,rub.T. I. Sports)
DIVISION I (14 e journée)
•NICE (9)- LILLE (1)
•ROUBAIX (4) • Bordeaux (2)
•TOULOUSE (2)-Rennes (14)
•Lens (8) - RC PARIS (5)
•REIMS (5) - Marseille (9)
•SOCHAUX (5) - Montpellier (16)
•8TADE-R.S. (9) > Saint-Etienne (9)
•METZ (17). Nancy (9)
•SETE (17) - Strasbourg (9)
CLASSEM. : 1. Lille, 24 ptS : 2.
Bordeaux et Toulouse (18) ; 4. Rou
baix (15) ; 5. RC Paris, Reims et So-
chaux (14) ; 8. Lens (13) ; 9. Nanoy,
Nice, St-Etienne, Stade-R.S. et Mar
seille (12) ; 14. Rennes et Strasbourg
(11) ; 16. Montpellier (8) ; 17. Metz
et Site (7).
QUAND LES FOOTBALLEURS JOUENT AU BASKET
REIMS. — Excellent pour le démarquage, le basket-ball pratiqué par
l’équipe de Reims à l’entraînement, sous la direction de Roessler.
Voici, prise jeudi, une phase animée opposant Abenoza, qui semble
dégager du poing, à Palluch. On reconnaît, de gauche à droite, de
face : Jonquet, Abenoza, Jacowski, Palluch.
qui peuvent bien eu mal tonner
Le XIII d’Angleterre, “le meilleur
depuis la guerre ”, court d’aussi
grands risques avec six nouveaux
internationaux
Quatre personnalités peut-être déterminantes s
BRADSHAW, attaquant étourdissant, WARD
capitaine flegmatique, PUIG-AUBERT, arrière-
miracle, et CALIXTE, régulateur et inspirateur
(Da notre envoyé spécial Pierre ABOUT)
BORDEAUX. — Si vous ne craignez pas le ciel gris de la
région bordelaise, si vous ne rechignez pas à battre le pavé
glissant de sa capitale, il sera facile, à la veille d’un match inter
national, d’obtenir quantité d’opinions autorisées.
J’ai passé une pleine journée à cet exercice à la fois physi
que et semi-intellectuel dans l’intention louable en soi de baser
mon pronostic, de choisir un favori, logique entre les XIII de
France et d’Angleterre qui se
après-
Stade Municipal de Bordeaux, 15 Heures
FRANCE
2. LESPES
(Bordeaux)
13
CALIXTE
Villen.)
1. PUIG-AUBERT
(Carcassonne)
DUFFORT 4. CRESPO
(Lyon) (Lyon)
5. CANTONI
(Toulouse)
(o) 6. MASO
(Perpignan)
12
BERTHOMIEU
(Albi)
(m) T. OOP
(Marseille)
11
PONSINET
(Carcas.)
10
8ARTH0LETTI
(Bordeaux)
9
MARTIN
(Carcas.)
BARRIS
(Perp.)
13
TRAIL
(Bradford)
5. HILTON
(Wigan)
12
HIGGINS
(Widnes)
11
FEATHERSTONE
(Warrington)
(o)
6. PEPPERELL
(Huddersfield)
4. CUNLIFFE
(Wigan)
10
CURRAN
(Salford)
(m) 7.
9
MARSON
(Wakefield)
BRADSHAW
(Wigan)
3. E. WARD
(Bradford)
8
GEE
(Wigan)
POLLARD
(Salton)
T. RYAN
(Wigan)
ANGLETERRE
ARBITRE : M. Martung (Bordeaux)
rencontreront dimanche
midi au Stade Municipal.
Et me voici devant mes notes et
ma machine à écrire... tout embar-
r&ssê !
Pourtant, en additionnant les avis
personnels — on le verra par ailleurs
— on découvre que la majorité des
compétences optent pour une vic
toire anglaise. Ceci est net. Ceci se
rait définitif si chacun exprimait son
opinion.
Hélas ! il s’agit, la plupart du
temps, d’impressions qui n’ont guère
(Lire la suite p. 5, rub. Rugby XIII)
Fin des matches aller
en CHAMPIONNAT
DE RUGBY XV
Les légions de Sorondo, à Sapiac
cuibuleront-elles le St. Toulousain ?
Aux assauts de Junquas et des avants du L.O.U., les arrières
LE CHALLENGE
ANDRÉ-BAUR:
encore un banc d’essai
pour nos épéistes!
Avant’ les Championnats
du monde
(Voir notre article
en rubrique Escrime)
i han< )T *I
STADE A 120.010 PLAGES?
mais puisqu’il sera spécialisé
[^mandons que concomitamment le stade
l °nal d 9 athlétisme à Pershing ne soit pas
qu’une promesse
kq ??5 e . de 120.000 places (si le Mémoire préfectoral présenté hier est
v Sein* a Ccmseil municipal de Paris) sera c spécialisé ». Le préfet
L* î?iu;h ê P° use la thèse de ceux qui « pensent que, si la formule du
ÊNis’rf ' P ° Tts était î Usc l u ’ à présent la seule utilisée en France, il est
k ! « h>A? e ?- entt nécessaire de s’orienter vers la construction d’établisse-
L^ser/r dans le squels les spectateurs, devenus de plus en plus
j .> et o.nt placés dans de meilleures conditions de visibilité, sont
d ' a PP récier la technique des joueurs ou des athlètes et de
iVc Ü Une ^ a P on suivie aux compétitions ».
,ts L st ; ade pour le football et* le rugby, éventuellement de grands
DOYA
Les pointes à Pershing.
du Racing C. F. auront peine à résister
Quatre autres chocs impressionnants :
U.S.A • Limoges-Castres 01 ., Stadoceste Tarbais -
Stade Montois , F.C. Lourdes-C.A. Briviste et
Biarritz Oh - R.C. Toulon
Enfin, revoilà le Championnat de France qui la semaine
dernière avait cédé sa place aux matches de sélection. Tous
seront heureux de le revoir (!) car, avec lui, à défaut de la
qualité du jeu, on assiste à des empoignades viriles : la passion
s’emparera à nouveau des spectateurs. Peu importe que le Cham
pionnat tue l’esprit offensif, puisque tout le monde ne veut vivre
que par lui et pour lui...
Que nous réserve donc le 5 e tour de ce Championnat fédéral
qui coïncidera avec la fin des matches aller ? A l’issue de cette
première phase nombre de clubs auront pris une assurance
sérieuse sur la qualification
aux 16 e * de finale mais, à quel
ques exceptions près, toutes les
équipes conserveront l’espoir de
se classer parmi les quatre pre
mières de leur poule.
Les légions montalbanaises
Il faut donc prévoir des rencontres l’orgueil du Stade, affaibli par l’ab-
serrées et six matches vedettes au sence de son capitaine et les rema-
molns sont affichés au programme n i eme nts opérés au sein de son
dominical. équipe, sera mis à dure épreuve.
En premier lieu la vieille rivalité Mais Barran, en grande forme, n’ac-
des Toulousains et Montalbanais ceptera pas de gaieté de cœur un
aura pour théâtre la cuvette légen- pronostic bien fragile
dalre de Sapiac et les augures affir- Le L.O.V., client sérieux !
ment que pour la première fols les Au 6tade j ea n-" juin, le public
GBA tU1 M
kf J le préfet veut donner satisfaction à l’athlétisme afin sans doute
r°lra eproche de n e s’intéresser qu’aux sports soi-disant riches. Le
1 * exprime ainsi :
^rnble donc souhaitable que l’édification d’un établissement
Extern/ P arîicu tièrement à l’athlétisme soit prévue dans le programme
11' 5 (l ctinuf porti f de Paris - Ce sport est, en effet, à la base de toutes les
!r s s P° rtives et devrait progressivement au fur et à mesure de
iv au public, présenter pour lui de plus en plus d’attraits...
Bral ,e stade à 100.000 (ou 120.000...) places I
*■ la charge n’en incombe d’aucune manière aux eollectivités
'* vooi-* ''serait souhaitable que ce stade NATIONAL
M i» F n RA NCAIS, fût édifié aveo de l’argent FRANvmis.
..wivés ® Préfet de la Seine connaît-il la nationalité d’origine des fonds
Proposés ?
I - - - . _
FEDERALE
A *USA Limoges (2) o. CASTR. (1)
•RC VICHY (4) C. US Dax (3)
*S. DIJON (6) 0. AS SORT (4)
B *US Marm. (4) 0. AS BEZ. (1)
•ST. TARB. (4) O. ST. MONT. (2)
•US COGN. (4) c. S. Bord. UC (3)
C *US Tyrosse (4) o. CS VIENNE (1)
•S. Montluc. (4) o. AV. BAY. (2)
•ST. ROCHEL. (6) c. Valence (2)
h «LOURDES (1) e. CA Brive (4)
«USA PERP. (4) o. Bergerac (4)
E «MONTAUB. (1) C. St. Toul. (2)
•MONTELIM. (3) C. St. Aurill. (3)
«CARMAUX (3) c. Sect. Pal. (6)
F «Racing CF (2) c. LYON OU (1)
•CO Creusot (4) o. MAZAMET (2)
*CA BEGLES (4) C. SU Agen (6)
Q «ROMANS (1) C. US Bourg (4)
•AUCH (2) c. AS Montferr. (3)
«NARBONNE (4) c. Paris UC (6)
H «BIARRITZ (2) e. TOULON (1)
•PERIG. (3) e. AS Soustons (3)
«LAVELANET (6) c. Graulhet (5)
DOUBLE BELGIQUE-FRANCE DE BASKET, CE SOIR, A BRUXELLES
LES BELGES
LES FRANÇAIS
plus rapides
et plus adroits
plus sûrs et
plus complets
Le « cinq » Buffières, Derency, Thiolon
Swidzinski, Desemmes devrait enlever le
match par sa meilleure tactique
(De notre envoyé spécial Louis LAPEYRE)
BRUXELLES. — Le Palais des Sports va être le théâtre, ce samedi,
des traditionnelles rencontres Belgique-France.
Les hommes en seront à leur quatorzième explication, alors que
les femmes ne disputeront que leur cinquième match.
Les Tricolores, grâce surtout à leur palmarès d’avant guerre,
comptent dix victoires à leur actif, alors que nos adversaires d’outre-
Quiévrain obtenaient, dès la « reprise » de 1945, le début d’une série
victorieuse qui ne prenait fin qu’en
1948 au Palais des Sports parisien.
Encore ce dernier « choc » nous
réserva-t-11 de longues émotions
puisque, dominés tout au long de
En premier lieu l’on apprenait que
nos adversaires allaient devoir se
priver d’éléments de valeur Indispo
nibles ou refusant la sélection.
Alors le destin eut son Influence.
la Ita Jp* c cona * n’enlp- Alors ie Getsuiii «uu sou umiucuu;.
valent la décision — au cours des entions’hommes
huit dernières minutes — que grâce dho
dant avec une surprenante baisse de Mais les deux nations, qui ont
régime des Belges. su travailler en. profondeur.
Comment 6© présente la partie de appel aux réserves qu’elles
Bruxelles ?... , _ . _ . ..
A dire vrai, elle avait mal débuté. KLira la suit# pagB 3, rub. Basket)
LE PALMARES
DE BELGIQUE-FRANCE
HOMMES
1928 — France b. «Belgique..
1930 — France b. ^Belgique..
1931 — «France b. Belgique..
1932 — «France b. Belgique..
1933 — France b. «Belgique..
1934 — «France b. Belgique..
1935 (Genève) — Fr. b. Belg.
1937 — «France b. Belgique..
1938 — «France b. Belgique..
1945 — «Belgique b. France..
1947 — Belgique b. «France..
1947 (Prague) — Belg. b. Fr.
1947 — «Belgique b. Franc»..
1948 — «France b. Belgique..
FEMMES
1948 — «Belgique b. France..
1947 — «France b. Belgique..
1947 «Belgique b. France.,
1949 — fFranc# b. Belgique..
32— 17
35—21
63—21
52—18
19—12
50—17
49—30
28—10
33— 17
42—30
42—41
27—26
38—35
35—30
41—38
28—24
35— 22
36— 34
firent
avalent
poser. Lassègue fera ses débuts
comme trois-quarts centre...
Dans le paquet d’avants, un nou
veau talonneur, Cazajous, dont on
dit le plus grand bien, prendra place.
Devant les légions montalbanaises
au grand complet conduites par Mi
chel Sorondo, Soulié et Lasserre,
« vert et noir
plonnat, les e
battront, en Cham- p ar i S i e n
rouge et noir ». On
particulièrement connais-
. .. . . , J , seur ira Juger la valeur du LOU,
battra donc tous les records de re- can dkiat au titre de champion de
cette à Montauban et les supporters Fran ce. Devant le Racing e t ses at-
Toulousalns qui accompagneront leur taquants _ seul Desclaux est incer-
équipe risquent fort d’attraper une taln _ les Lyon nais, qui retrouve-
extlnctlon de voix. Car le Stade bat- ront Caron, n’hésiteront à faire
tu à Pau, il y a deux semaines, con- j 0Uer leurs avants. Tactique évidem-
tre toute attente, ne pourra compter
sur Rergougnan blessé, ni Dutrain Louis FERDINAND,
qui a manifesté le désir de se re- (Lire la suite page 4, rub. Rugby XV)
:é» rf 1 ’- 1 De l’avis préfectoral, la création
«dans Ze
er nier
€ de ce stade pourrait être
cadre de la reconstruction du stade Pershing, le voisinage
. . ye av ec l’Institut National des Sports et la plaine de Jeux dont
est P révu sur te polygone (de Vlncennes) offrant de multi-
i cv ^ ges po Ur tou tes les spécialités athlétiques — y compris le cross-
eJ Permettant la création d un ensemble remarquable ».
mais attention
attention ! Le projet de délibération proposé au Conseil
J'-w vie; utuociaviuu M-t'-'l
1 neti en ce qui concerne les pourparlers à « poursuivra
d'industriels et financiers » qui se propose de construire le
’■ ' '^ places, est per contre très vague pour le stade d’athlétisme:
o administration est invitée à étudier dans quelles conditions
p - 3» rub. T» les Sports)
Marcel OGER.
■LES PRETENTIONS EXAGEREES DU GOUVERNEMENT
Le problème de l’essence
REMIS EN QUESTION :
48 à 50 fr. le litre, disait-on hier soir !
Tandis que depuis deux Jours on attendait la décision de la présidence
du Conseil relative au prix de l’essence et que, dans les milieux dits bien
Informés, on Indiquait que le taux de 46 fr. 20 serait vraisemblablement
adopté, tout était remis en question hier en fin d’après-midi, et, dans la
soirée, un conseil Interministériel restreint était tenu à l’hôtel Matignon.
Tard le soir, on apprenait que rien ne serait rendu officiel avant
aujourd’hui et que, toujours d’après les rumeurs, 11 fallait s’attendre à ce
que la vente de l’essence soit rendue libre à un prix qui varierait entre
48 et 50 fr. le litre, étant entendu que le projet d’incorporer de l’alcool à
l’essence était définitivement abandonné.
Ainsi, l’erreur de jugement persiste, mais nous voulons espérer que le
Parlement ne la ratifiera pas.
Nous pensons avoir démontré suffisamment que le prix de 43 fr. 20
était trop élevé ; qu’à ce taux il y avait mévente ; qu’il n’y avait qu’un
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile) Maurice HENRY.
e Qui l’emportera, des sprinters-mousquetaires, ou des américains-spadassins
?... »
CRITERIUM NATIONAL D’HIVER DE VITESSE, DEMAIN, AU VEL" D’HIV’
Avec Lognay, Gérardin n’aura pas
la partie belle !...
et
...pas plus d’ailleurs que Senfftleben
Iacoponelli, menacés par les « américains »
Carrara, Maye, Dousset, Prat et Cie
HORAIRE DE LA REUNION
14 h. 30
14 h. 35
14 h. 55
15 h. 10
Consolation de la Médaille.
Critér. Nat. d’Hiver vitesse
(séries).
Ind. amat-, Ind.
Crit. Nat. vitesse (repéch.).
etc., etc...
Depuis plusieurs années déjà, au royaume de la vitesse pure, Louis
Gérardin a pris la place qu’occupait Lucien Michard avant guerre
celle de capitaine-, .
Sa position n’en est pas pour autant enviable I affiche à son. programme de demain.
Pour sauvegarder l’honneur du sprint français contre les spécla* r isq Ue p ar conséquent, de nous
listes étrangers, voire contre des pistards de tous crins dans des ame ner quelques surprises de taille
épreuves ouvertes, Lucien Michard, en effet, pouvait faire appel à un avec les Carrara, Goussot. Dousset,
flirt avec les américaines e3t tou
jours le sprint.
Senfftleben à l’ouvrage
Comme nous le faisions remarquer
! hier, le Critérium national d’hiver
de vitesse — course ouverte Juste
ment — que le Vél* d’Hlv* parisien
solide bataillon de mousquetaires.
C'était Louis Gérardin, alors pre
mier lieutenant, Chaillot, Fau
cheux, fougueux Porthos, Jezo,
Rampelberg, Fradet-Perrin, Avram,
etc.»
Prat, Bouvard, Maye, Bareth Rey-
compter nes e t cie. Ceux-ci, non seulement
ses fidèles sur les doigts d’une seule SO nt très rapides, mais encore n’ont
main. Et encore en trouve-t-il deux r j en à perdre dans l’aventure pour
(Senfftleben et Iacoponelli) 6ur le lutter presque à armes égales avec
point de rengainer leur rapière de senfftleben et Iacoponelli rendus
sprinter pour adopter la dague des vulnérables par leur préparation de
américains. Il ne reste donc à Gé- e ix daymen ou un Lanners handi-
Tous ces gens vous débitaient des ra rdin pour l’aider à défèndre le capé par son service militaire.
12 secondes aux 200 mètres avec la prestige de sa spécialité que : Lo- *
régularité d’un distributeur auto- gnay fort de sa jeunesse et de ses
matique... premiers résultats chez les pros et
Gérardin, hélas ! est loin d’être Lanners dont le faible, malgré son (Lire la suite page 3, rub. cyclisme)
Albert de WETTER.
CALA A ALGER
Punch de Médina
ou habileté
de Ferracin ?
Kid Marcel, Caulet
Ben Miloud autres favoris
(Do notre correspondant général
Tony ARBONA)
ALGER. —» U y a encore peu do
temps, Alger 6s lamentait do n’avoir
pas do réunions pugilistiques. Au
jourd’hui, on va droit à un© pléthor©
de swings et uppercuts, surtout en
début de mois, quand les bourse*
sont encore bien garnies...
La dernière réunion a totalisé
plus de deux millions et le cinéma
Majestic, devenu le temple de la
boxe, va bientôt afficher : c Ring
permanent ».
Aujourd’hui samedi, nous aurons
une réunion, puis le samedi suivant^
autre c event » avec le Champion
nat d’Europe Kouldrl-Minelll et l’au
tre champion européen Ray Fame-
chon au programme.
Ce Jour, l’on fera aussi bien (ou
presque) qu’au Palais des Sports :
tout d’abord, cinquante rounds de
combats et des boxeurs de tous les
azimuts, ce qui, entre parenthèses,
est assez rare à Alger où 11 est deve
nu une tradition d’afficher un
boxeur local comme signe de succès.
La vedette eera tenue par Médina,
les oreilles encore bourdonnantes de
sa conversation avec Ortlz, qui ren
contrera el eignor« Guido Ferracin,
11 y a peu de temps encore champion
d’Europe des coq. Médina est coura
geux ; mais plus encore il est têtu,
car le combat contre l’Italien est
conclu à 55 .kg. alors que lui, Théo,
(Lire la suit© page 2, rubrique Box*)
DEMAIN
LA GRANGE-AUX-BELLES
KHALFI PEUT
S’AFFIRMER
aux dépens de
LAURENT
es/
( Lire, l’article
mm rubrique
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