Presse et revues
10 pages
Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1951-12-27
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 27 décembre 1951 27 décembre 1951
Description : 1951/12/27 (A125,N2270). 1951/12/27 (A125,N2270).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2022
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LES SPORTS
L’AUSTRALIE ET LES ETATS-UNIS A EGALITE (1-1) DANS LE CHALLENGE-ROUND DE LA COUPE DAVIS
Victor SEIXAS domine MERVYN ROSE intimidé
SCHROEDER s’incline devant SEDGMAN irrésistible
L
Sydney, 26 décembre.
A rencontre Australie-Etats-
Unis, finale de la Coupe Davis,
a débuté aujourd’hui au stade
de White City à Sydney en pré
sence de 15.000 spectateurs. La mar
que est à l’égalité entre les Etats-
Unis et l’Australie : 1 à 1.
Le premier simple opposait Vic
tor Seixas (E.-U.) à Mervyn Rose
(Australie). Ces deux joueurs dis
putaient le premier match de Coupe
Davis de leur carrière.
Il ne fallut que 17 minutes à
Seixas pour enlever le premier set
par 6-3. Servant le premier, le
jeune Américain enlevait tous ses
services et menait par 4-3. Au jeu
suivant, il prenait le service de
Rose et s’adjugeait la manche.
Au début du deuxième set, le
« gaucher » australien se montrait
nerveux et sur une double faute
cédait son premier service. Rapide
ment, Seixas se détachait et menait
par 3-1, puis 4-2, 5-3 et 5-4. En
21 minutes, l’Américain remportait
ce set par 6 jeux à 4, après avoir
disputé* avec acharnement toutes
les balles.
Seixas trouvait cependant une
certaine résistance au troisième set.
Ce n’est, en effet, qu’au quinzième
jeu que la partie se décidait.
L’Américain enlevait finalement le
set par 9-7.
Par trois manches à zéro, Victor
Seixas apportait ainsi à l’équipe
des Etats-Unis un premier point
précieux.
Sedgman a joué un tennis pres
que sans fauté dans la partie à
l’issue de laquelle il a battu Schroe-
der par 6-4, 6-3, 4-6, 6-4 pour le
second simple de la finale de la
Coupe Davis.
Jouant les lignes, aussi sûr et
efficace en revers qu’en coups droits,
Sedgman n’a pas laissé Schroeder
le déborder. De son côté, l’Améri
cain n’a jamais permis au public
de relâcher son attention grâce à
un jeu excellent et à un esprit
combatif extrême. La partie a été
d’une classe nettement supérieure à
celle qui avait opposé Seixas et
Mervyn Rose, et la fin en fut pal
pitante. Schroeder sauvant quatre
balles de match sur des coups re
marquables.
Après deux premiers sets acquis
à « l’arraché » par Sedgman,
En battant l’Australien Mervyn Rose en trois sets, l’Amérlealn
Vie Seixas, (ci-det\sus) a donné un point précieux à son équipe dans
■ le challenge-round de la Coupe Davis
Schroeder se reprenait brillamment
au troisième set qu’il enlevait après
une lutte acharnée. L’espoir renais
sait dans le camp américain,
Schroeder ayant la réputation jus
tifiée d’être quasi imbattable sur
cinq sets.
Après la minute de repos, Sedg
man se retrouvait à son tour. Mon'
tant continuellement au filet, il do
minait son rival. Le dixième jeu,
le dernier, fut des plus émouvants
Mené sur son service, Schroeder
parvenait à sauver quatre balles de
match. Mais la cinquième était la
bonne et Sedgman, par cette vic
toire, mettait les deux équipes à
égalité à l’issue de la première
journée.
Le vainqueur de la rencontre ne
sera connu que vendredi, mais il
s’avère de plus en plus que le dou
ble qui sera disputé jeudi sera dé
cisif.
Les dirigeants australiens qui
comptent sur deux victoires de
Sedgman en simple ont conservé
Kenneth Mac Gregor pour le dou.
ble dans lequel il épaulera l’infa
tigable Sedgman. De leur côté, les
Américains aligneront vraisembla
blement Tony Trabert, libéré des
simples, et Ted Schroeder.
Résultats : Etats-Unis et Austra
lie : 1 à 1. Seixas (E.-U.) bat Rose
(A.) : 6-3, 6-4, 9-7 ; Sedgman (A.)
bat Schroeder (E.-U.) : 6-4, 6-3, 4-6,
6-4.
Pas de match France-Belgique
de tennis
Un match France-Belgique de
tennis devait avoir lieu en fin de
semaine au stade de Coubertin.
La Fédération de tennis nous
a prié, hier, par pneumatique, de
« prendre note que, à la suite
des forfaits tout à fait involon
taires de deux des principaux
joueurs belge et français », elle
se trouvait dans « l’obligation »
d’annuler le match.
Nous prenons donc note de cette
pénible obligation.
Le sport comporte un rôle social
qu’il ne faut pas confondre
l’amateurisme marron
avec
L
66
99
A décision unanime prise il y
quelques jours par les mem
bres du comité directeur de
la Fédération française de rugby
d’accorder les pleins pouvoirs au
président Alfred Eluère pour obte
nir au début du mois de février, des
Rugby Unions britanniques, que
les relations ne soient pas rom
pues, n’a pas, comme certains diri
geants de clubs semblaient le pré-
LA LEÇON DE L'AFFAIRE MERCURIO
A quand l’interdiction aux clubs professionnels
de faire louer des amateurs ?
LT
AFFAIRE Mercurio, comme on
le verra par ailleurs, a connu
hier son épilogue.
Que le joueur nord-africain soit
E rofessionnel dans les rangs de
larseille constitue une solution
d’ailleurs conforme au vœu du
Groupement des clubs profession
nels — puisque’la commission ju
ridique de cet organisme avait,
dans une récente séance, décidé
que Mercurio, convaincu d’ama
teurisme marron alors qu’il opé
rait sous les couleurs de l’Olym-
pique de Marseille, ne pouvait si
gner de licence qu’en faveur de ce
club.
Que le joueur soit passé sous les
fourches caudines ainsi dressées
permet toutes sortes de supposi
tions. On peut aussi bien admettre
que sa décision lui a été dictée par
son désir de sacrifier à son sport
favori ou par la tentation de
substantielles compensations pé
cuniaires.
Ce qui importait surtout, c’était
sans doute dé ne pas lui laisser son
libre arbitre afin que la loi de
'l’offre et de la demande ne lui
permette pas de tirer trop d’avan
tages de sa situation de profes
sionnel sans licence.
MERCURIO
PROFESSIONNEL A MARSEILLE
Marseille, 26 décembre.
Arrivé aujourd’hui à midi par
avion d’Alger, et accompagné de
son frère et de l’entraîneur de
l’Olympique du Littoral, le joueur
Mercurio a signé ce ^ soir son
contrat professionnel à l’Olym-
pique de Marseille.
Mercurio pourra être qualifié
pour participer au match du 6
janvier à Sète, où il fit d’ailleurs
ses débuts avec l’Olympique de
Marseille il y a deux ans.
* J.-V. Born.
A NOTER QUE...
+ A Milan, Claude Bitter a été défait
devant l’Italien Fontana par jet de
l’éponge à la 6* reprise. D’autre part,
l’Américain Bobby Dawson a battu
Poli aux points et Paolo Melis l’a em
porté aux points sur Carlo Mola.
+ Jacques Dumesnil, blessé à la pom
mette gauche devant Pagest, qu’il bat
tit aux points, samedi, à Rennes, ne
pourra boxer contre Molette, mardi
prochain, au Palais des Sports.
6 Dans l’équipe de France de rugby
Décidément la confiance ou le
bon sens et la mesure des dirigeants
ne régnent guère dans les commis
sions du Groupement.
Quelle magnifique leçon n’eût-on
pas donnée pourtant à tous ceux qui
bafouent les règlements en déci
dant que s’il y avait un club où
Mercurio ne pouvait s’engager
comme professionnel, c’était celui
de Marseille 1
C’est-à-dire celui de dirigeants
qui tirent ainsi avantage de fautes
qu’ils ont commises.
Car du tandem joueur-dirigeant
qui enfreint des règlements le plus
coupable est le dirigeant ; celui au
quel appartient le pouvoir de déci-
L’autorisation de la Fédération
italienne manque toujours au Ra-
cing pour que le club parisien
puisse transmettre le dossier
Szoke au Groupement des Clubs
professionnels.
Aussi, le directeur sportif du
Racing, Marcel Galey, va-t-il se
rendre en Italie pour plaider en
quelque sorte la cause des < bleu
et blanc ».
sion. Il est d’ailleurs inquiétant
que ce soient presque toujours les
mêmes elubs qui tiennent la ve
dette en de si regrettables affaires.
A quand la coupe du fair play
pour les dirigeants ? En attendant,
nous serions fort obligés aux ju
ristes du Groupement de nous ex
pliquer dans quel esprit ils ont
jugé l’affaire.
Nous sommes prêts à faire de la
publicité à leur conception des us
et coutumes qui doivent comman
der le monde du football profes
sionnel.
Et peut-être pourraient-ils son
ger à demander (voyez, nous es
sayons de construire) que les
clubs du Groupement n’aient plus
le droit d’utiliser dans leurs rangs
des amateurs.
N’est-il pas en effet courant d’en
tendre dire par les gens blasés...
et intéressés qu’il n’existe plus en
fait d’amateurs de valeur ?
voir — et même le souhaiter —
soulevé une levée de boucliers. Au
contraire, une majorité de diri
geants — et parmi eux la plupart
de ceux qui ont la charge de pré
sider aux destinées des plus grands
clubs — n’hésitent pas à se décla
rer partisans d’un changement ra
dical des usages néfastes qui se
sont implantés dans le rugby fran
çais, et l’ont si dangeureusement
gangrené.
Il y a une erreur à éviter : celle
de comparer le rugby à tout autre
sport d’équipe ou individuel. Le
rugby pratiqué « dans l’esprit du
jeu * est un sport viril certes, mais
non dangereux, comme bien des
gens le croient. Il demande certes
des qualités physiques : il exige
aussi sans aucun doute une disci
pline morale pour faire usage de
ces qualités mais n’en pas abuser.
Tant que la force seule est em
ployée — ce qui est dans la règle
— le rugby ne présente pas de
grands risques : si la brutalité in
tervient, il devient à coup sûr vn.
exercice extrêmement dangereux,
voire mortel. Il importe donc de
surveiller, plus étroitement que
pour tout autre sport, le recrute
ment d’abord, lè comportement en
suite de ses pratiquants... de leurs
entraîneurs et de leurs dirigeants.
Il importe également d’écarter ré
solument tout ce qui peut favori
ser le déchaînement d’instincts bru
taux, de passions exacerbées et de
punir sans appel et sans admettre
de circonstances atténuantes ceux
qui ont prouvé qu’ils ne pouvaient
rester maîtres en toute occasion de
ces instincts ou de ces passions.
Par les graves dangers qu’il est
ainsi susceptible de présenter, le
rugby ne peut et ne doit pas deve
nir professionnel. Il ne peut et ne
doit pas non plus continuer dans
la voie de *l’amateurisme marron »,
lorsque sous cette étiquette se ca
che la simple et régulière rétribu
tion des joueurs de la main à la
main. Cette pratique est évidem
ment condamnable et j’estime que
la position prise par la Fédération
française de rugby de ne pas sévir,
sous le prétexte d’un manque de
preuves formelles, est une faiblesse
qu’il faut voir cesser. Il n’est que
de € voguer » un peu dans les eau*
du rugby pour connaître certaine ]
€ combinaisons » et l’on ne me I
fera pas croire que les dirigeanttl
fédéraux les ignorent. A défaut |
de preuves écrites il y a des certi
tudes morales qui justifient de i|
mesures.
Mais que l’on ne confonde pas I
ces « combinaisons » avec les
situations tout à fait normales et
souhaitables qu’une industrie ou|
une importante maison de com
merce peut offrir à des joueurs de j
rugbv, à la condition que ces [
jdueurs accomplissent régulière,
ment le travail pour lequel ils |
sont rétribués sur des bases abso
lument logiques.
Pourquoi le sport ne serait-il\
pas une excellente recommanda
tion ? A valeur professionnelle
égale pourquoi un employeur ne j
choisirait-il pas un sportif et pour-l
quoi celui-ci ne pourrait-il pas pro-
fiter de sa qualité de rugbyman I
pour trouver la meilleure situation |
sociale qu’il est apte à occuper
L’employeur à tout intérêt dans ces
conditions à le choisir, car —
nombreux sont les directeurs ou
patrons d’entreprises qui me l'ont I
confirmé — la vedette sportivei
contribue indiscutablement et pour \
une part importante à créer, puis
à maintenir dans l’entreprise un
état d’esprit qui influe heureuse •
ment sur la marche générale il j
celle-ci.
Je sais que sous le couvert de ce I
rôle social, des dirigeants de clubs
— qui sont en même temps des in* I
dustriels ou des commerçants — [
« engagent > des joueurs sans se
préoccuper du travail qu’ils assu-
rent ou les payent beaucoup plus\
qu’ils ne valent réellement : ma'*|
il est assez facile de déceler ces
agissements malhonnêtes, qui J’fiiM
leurs sont assez rares, comme il
est très possible de juger certains
prêts d’argent ou de matériel , cer-1
tains * établissements * consentis I
à des joueurs dont on connaît às
capacités limitées ou le peu de goûtl
au travail. Si un dirigeant de c/uM
ne comprend pas sa responsabilité
sociale, c’est aux dirigeants férié->
Taux de l’obliger à les comprendre•
Maurice Capelle.
Roland Mesmeur.
à quinze qui effectuera à partir de
samedi une tournée en Afrique du
samedi une
Nord, Domenech (Bort), exclu du ter
rain par l’arbitre, dimanche, en cham
pionnat, sera remplacé par Daudet
(Châteaurenard). D’autre part. Ter
reau (Bourg-en-Bresse), blessé, sera
remplacé par Baulon (Mont-de-Mar
san).
+ Brousse, blessé mardi à Lyon, sera
remplacé par Montrucolis en seconde
ligne du «treize» de France, qui ren
contrera de nouveau, dimanche, à Bor
deaux, celui de la Nouvelle-Zélande.
+ En match amical de football, le
Sportverein de Hambourg a battu le
Stade de Reims par 3 buts à 0. Les
Champenois firent bonne Impression
par leur technique et leur vitesse.
LEGION D'HONNEUR
Défense nationale
Militaires dégagés des cadre s
Officiers. — Le colonel M.-C. Moulj
uly ;
les médecins-colonels : L. Ricard, H.
Dezoteux, M. Rlou ; les lieutenants
colonels : L. Fagot, V. Journoud, P.
Versinl, P. Letelher de Brothonne, A.
Jeannin, J. Weil, J. Lacabanne, E.
Arsac, R. Riouallon, J. Osbert, P.
Couttenler, A. Hubert, J. Estrade, P.
Bellanger, H. Bognaux ; les comman
dants, chefs d’escadrons et chefs de
bataillon : A. Festaz, J. Bleuze, B. Ba-
duel temps fera-t-il aujourd'hui ?
La dépression
barométrique si
tuée hier au lar
ge de l’Irlande se
déplacera rapide
ment vers le
nord-est, accom
pagnée de vents
violents soufflant
en tempête.
La zone de pluies
et d’averses asso
ciée à cette dé-
f iression atteindra
a Bretagne dès
ce matin, puis
envahira au cours
de la journée la
moitié Nord-
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiihiimiiiiiii!iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ■>>>s>>ts*®*> r * |Ba|| * t>> * || ** fi * ||||||i||vv||fi>|>| ** Bli>aliasillvlII>l>ailv>lllklstliaaa U ». Ouest de la Fran-
: ce. Vents de sud-
DEMAIN : CASIMIR
LES AVENTURES DU PROFESSEUR NIMBUS
WM
(Copyright Figaro et Opéra Mundl)
E ouest devenant
| très forts, at-
| teignant même
= temporairement
E la tempête sur les
E côtes de l’Atlan-
| tique, de la Man-
Ê che et de la mer
S du Nord. Tempé-
: rature maximum
| en hausse faible.
= Dans la moitié
: Sud-Est, ciel nua-
s geux, après dissi-
connière de Salverte, P. de Vaulx. !•
Guignier, P. Latourelle, P.-L.
rent, G. de Longeau Saint-Michel, J.-j,*
Lafleur, P.-J. Denis, G. Massard, L.
Morieux, A. Pelx, J. Balage, G.-R. Mar
tin, P. Schmutz ; les chefs d’escadron:
B. Manceau, V. Caussèque, E. Dorât.
Chevaliers. — Le colonel C. Latrobr;
le lieutenant-colonel B. Pouyat ;
médecin lieutenant-colonel Casteigt !
les chefs de bataillon, chefs d’esca-1
drons et commandants : C. Suzanne
P. Pasquier, J. Menez, G. Tisserand*
C. ^E. Coustou, A. Chasles, A. Tirefort
J.-P. Bournazel, J. Le Brun, M. Eu-
nel„ Y. Huruguen, J. de Cassan-Floj' r
rac, M. Lorcy, J. de Lary de Latouô
M. Odienne, G. Ferrand de la Conte*
M. Valas ; le médecin-commandant
La Balme ; . *
les chefs d’escadron et capitaines •
R. Mesmacre, L. Berti, L. Marquet, |
Bohrer de Kreuznach, A. Thomas, j"
Henry, J.-M. Brunet de la Grange, U;
Benoit, A. Rossignol, M. Dupont, y
Chabrier, E. Saint-Martory, G. Dupl a3 ’
J.-B. Henry, N.-L. Godin, A. Mass?, ^
Ducamp, A. Lépine, A. Robin, J. Cur*
chi, L. Charrié, G. Crevoisier, M. s ï'
phanidès. A- Jouis, A. Beautheac,
Watrin, L.-H. Petit, M. Linden, H
Gaschard, P. Aubertin, H.-F. Thoffl a _’
P. Castillon du Perron, M. 011 iv » e ’
A. Rochias, H. Rouballay, À. Aubru: >
C. Perret, G. Fraval, de Coatparqn e ’
C. Bouvard, A. Chaperon, C.
~ , A. Sehfiider. P' 11 '
&422 Zone de pluie . *■ Neige
imr Averses Y Orages
^.Anticyclone (Centre de hautes pressions)
v.Uepression (Centre de basses pressions)
ES3sj^> Air Froid ou Frais
Air chaud nu relativement chaud
pation des brouillards matinaux. Vent faible. Température maximum
: en baisse faible.
Région parisienne : Pluies passagères débutant probablement en
| fin de matinée. Nouvelles pluies ou averses le soir. Vent de sud-ouest
z fort ou très fort. Température maximum de l’ordre de 7° à 9®.
Quelques températures minima observées sous abri hier matin :
S Lille, 4®; Paris-Le Bourget, 5®; Brest, 4°; Tours, 5’; Strasbourg, 6®;
: Clermont-Ferrand, 5®; Bordeaux, 6°; Toulouse, ’7®j Lyon, 6°; Gre-
| noble,, 6°; Marseille, 9° ; Nice, 8°; Biarritz, 9°; Perpignan, 8®,
peybrouck, R. Parot, À. Scheider, P’ '
Chauvet, M. Comminges, R.-A. Ro c ^’
M. Parpant, X. Sthemer, W. BrusstfU 5 -
F. Gulgnement, V. Larousse-Gun 1 ’
masse, J. Sallou ; 11 , I
les lieutenants : P. Fougère, J. Dr°
lard, J.-P. Griffe, E. Creusât, T.-J- Rfà’
F. Thomas, H. ben Larbi, J. Chiot ,
C. Cazaux, N. Fayet, F. Sauli, J- P le j
chot, J. Santallier, M. Michaud. £
Dagard, M. Arnaud, j.-P. RestelHi jj'
Boulade, L. Caujolle, A. Olivier*
Paume, L. Andrieux, P. Henry ...
J. Roussot, B.-R. Joseph, R. Gu 1 ',
maud, P. Sans, L. Bouchet, R- La .(
latte, I.-A. Cambon, A. Brignier, J
Brossier, H.-J. Dupin, P. Biçha
Berland, L.-R. Maret, V. Calisi, L- V
villon, R. Goetz, R. Amathieux.
Cruse, J. Berbudeau, A. Graziam* .
Boumard, P- Duchemann, G. Ottom *
C. Nadeau, T. Pozzo di Borgo, G V |
boit, A. Le Marée, A. Eluère, E. H 10 .I
R. Bouvet, R. Henrat, E. Ribet, *
senard, P. Camp, G. Vernet, M- j
menge, P. Sessâc ; l’adjudent-c
Colin.
Guerres 1914-1918 et 1939-1945
Chevaliers. — MM.
D.-L. Anglade, P.-M.
Grillot, A.-F. Lugiez,
P.-L. Villain.
L.-C. Bastie»'
Mutilés des T. O. E.
Chevaliers. — MM. S. ben Bougue rr8 ’
D. Charach, J. Gmeiner,
N OUS n.
l’assaui
cinglail
Meknès, la ■
nuages. Par
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Unis, finale de la Coupe Davis,
a débuté aujourd’hui au stade
de White City à Sydney en pré
sence de 15.000 spectateurs. La mar
que est à l’égalité entre les Etats-
Unis et l’Australie : 1 à 1.
Le premier simple opposait Vic
tor Seixas (E.-U.) à Mervyn Rose
(Australie). Ces deux joueurs dis
putaient le premier match de Coupe
Davis de leur carrière.
Il ne fallut que 17 minutes à
Seixas pour enlever le premier set
par 6-3. Servant le premier, le
jeune Américain enlevait tous ses
services et menait par 4-3. Au jeu
suivant, il prenait le service de
Rose et s’adjugeait la manche.
Au début du deuxième set, le
« gaucher » australien se montrait
nerveux et sur une double faute
cédait son premier service. Rapide
ment, Seixas se détachait et menait
par 3-1, puis 4-2, 5-3 et 5-4. En
21 minutes, l’Américain remportait
ce set par 6 jeux à 4, après avoir
disputé* avec acharnement toutes
les balles.
Seixas trouvait cependant une
certaine résistance au troisième set.
Ce n’est, en effet, qu’au quinzième
jeu que la partie se décidait.
L’Américain enlevait finalement le
set par 9-7.
Par trois manches à zéro, Victor
Seixas apportait ainsi à l’équipe
des Etats-Unis un premier point
précieux.
Sedgman a joué un tennis pres
que sans fauté dans la partie à
l’issue de laquelle il a battu Schroe-
der par 6-4, 6-3, 4-6, 6-4 pour le
second simple de la finale de la
Coupe Davis.
Jouant les lignes, aussi sûr et
efficace en revers qu’en coups droits,
Sedgman n’a pas laissé Schroeder
le déborder. De son côté, l’Améri
cain n’a jamais permis au public
de relâcher son attention grâce à
un jeu excellent et à un esprit
combatif extrême. La partie a été
d’une classe nettement supérieure à
celle qui avait opposé Seixas et
Mervyn Rose, et la fin en fut pal
pitante. Schroeder sauvant quatre
balles de match sur des coups re
marquables.
Après deux premiers sets acquis
à « l’arraché » par Sedgman,
En battant l’Australien Mervyn Rose en trois sets, l’Amérlealn
Vie Seixas, (ci-det\sus) a donné un point précieux à son équipe dans
■ le challenge-round de la Coupe Davis
Schroeder se reprenait brillamment
au troisième set qu’il enlevait après
une lutte acharnée. L’espoir renais
sait dans le camp américain,
Schroeder ayant la réputation jus
tifiée d’être quasi imbattable sur
cinq sets.
Après la minute de repos, Sedg
man se retrouvait à son tour. Mon'
tant continuellement au filet, il do
minait son rival. Le dixième jeu,
le dernier, fut des plus émouvants
Mené sur son service, Schroeder
parvenait à sauver quatre balles de
match. Mais la cinquième était la
bonne et Sedgman, par cette vic
toire, mettait les deux équipes à
égalité à l’issue de la première
journée.
Le vainqueur de la rencontre ne
sera connu que vendredi, mais il
s’avère de plus en plus que le dou
ble qui sera disputé jeudi sera dé
cisif.
Les dirigeants australiens qui
comptent sur deux victoires de
Sedgman en simple ont conservé
Kenneth Mac Gregor pour le dou.
ble dans lequel il épaulera l’infa
tigable Sedgman. De leur côté, les
Américains aligneront vraisembla
blement Tony Trabert, libéré des
simples, et Ted Schroeder.
Résultats : Etats-Unis et Austra
lie : 1 à 1. Seixas (E.-U.) bat Rose
(A.) : 6-3, 6-4, 9-7 ; Sedgman (A.)
bat Schroeder (E.-U.) : 6-4, 6-3, 4-6,
6-4.
Pas de match France-Belgique
de tennis
Un match France-Belgique de
tennis devait avoir lieu en fin de
semaine au stade de Coubertin.
La Fédération de tennis nous
a prié, hier, par pneumatique, de
« prendre note que, à la suite
des forfaits tout à fait involon
taires de deux des principaux
joueurs belge et français », elle
se trouvait dans « l’obligation »
d’annuler le match.
Nous prenons donc note de cette
pénible obligation.
Le sport comporte un rôle social
qu’il ne faut pas confondre
l’amateurisme marron
avec
L
66
99
A décision unanime prise il y
quelques jours par les mem
bres du comité directeur de
la Fédération française de rugby
d’accorder les pleins pouvoirs au
président Alfred Eluère pour obte
nir au début du mois de février, des
Rugby Unions britanniques, que
les relations ne soient pas rom
pues, n’a pas, comme certains diri
geants de clubs semblaient le pré-
LA LEÇON DE L'AFFAIRE MERCURIO
A quand l’interdiction aux clubs professionnels
de faire louer des amateurs ?
LT
AFFAIRE Mercurio, comme on
le verra par ailleurs, a connu
hier son épilogue.
Que le joueur nord-africain soit
E rofessionnel dans les rangs de
larseille constitue une solution
d’ailleurs conforme au vœu du
Groupement des clubs profession
nels — puisque’la commission ju
ridique de cet organisme avait,
dans une récente séance, décidé
que Mercurio, convaincu d’ama
teurisme marron alors qu’il opé
rait sous les couleurs de l’Olym-
pique de Marseille, ne pouvait si
gner de licence qu’en faveur de ce
club.
Que le joueur soit passé sous les
fourches caudines ainsi dressées
permet toutes sortes de supposi
tions. On peut aussi bien admettre
que sa décision lui a été dictée par
son désir de sacrifier à son sport
favori ou par la tentation de
substantielles compensations pé
cuniaires.
Ce qui importait surtout, c’était
sans doute dé ne pas lui laisser son
libre arbitre afin que la loi de
'l’offre et de la demande ne lui
permette pas de tirer trop d’avan
tages de sa situation de profes
sionnel sans licence.
MERCURIO
PROFESSIONNEL A MARSEILLE
Marseille, 26 décembre.
Arrivé aujourd’hui à midi par
avion d’Alger, et accompagné de
son frère et de l’entraîneur de
l’Olympique du Littoral, le joueur
Mercurio a signé ce ^ soir son
contrat professionnel à l’Olym-
pique de Marseille.
Mercurio pourra être qualifié
pour participer au match du 6
janvier à Sète, où il fit d’ailleurs
ses débuts avec l’Olympique de
Marseille il y a deux ans.
* J.-V. Born.
A NOTER QUE...
+ A Milan, Claude Bitter a été défait
devant l’Italien Fontana par jet de
l’éponge à la 6* reprise. D’autre part,
l’Américain Bobby Dawson a battu
Poli aux points et Paolo Melis l’a em
porté aux points sur Carlo Mola.
+ Jacques Dumesnil, blessé à la pom
mette gauche devant Pagest, qu’il bat
tit aux points, samedi, à Rennes, ne
pourra boxer contre Molette, mardi
prochain, au Palais des Sports.
6 Dans l’équipe de France de rugby
Décidément la confiance ou le
bon sens et la mesure des dirigeants
ne régnent guère dans les commis
sions du Groupement.
Quelle magnifique leçon n’eût-on
pas donnée pourtant à tous ceux qui
bafouent les règlements en déci
dant que s’il y avait un club où
Mercurio ne pouvait s’engager
comme professionnel, c’était celui
de Marseille 1
C’est-à-dire celui de dirigeants
qui tirent ainsi avantage de fautes
qu’ils ont commises.
Car du tandem joueur-dirigeant
qui enfreint des règlements le plus
coupable est le dirigeant ; celui au
quel appartient le pouvoir de déci-
L’autorisation de la Fédération
italienne manque toujours au Ra-
cing pour que le club parisien
puisse transmettre le dossier
Szoke au Groupement des Clubs
professionnels.
Aussi, le directeur sportif du
Racing, Marcel Galey, va-t-il se
rendre en Italie pour plaider en
quelque sorte la cause des < bleu
et blanc ».
sion. Il est d’ailleurs inquiétant
que ce soient presque toujours les
mêmes elubs qui tiennent la ve
dette en de si regrettables affaires.
A quand la coupe du fair play
pour les dirigeants ? En attendant,
nous serions fort obligés aux ju
ristes du Groupement de nous ex
pliquer dans quel esprit ils ont
jugé l’affaire.
Nous sommes prêts à faire de la
publicité à leur conception des us
et coutumes qui doivent comman
der le monde du football profes
sionnel.
Et peut-être pourraient-ils son
ger à demander (voyez, nous es
sayons de construire) que les
clubs du Groupement n’aient plus
le droit d’utiliser dans leurs rangs
des amateurs.
N’est-il pas en effet courant d’en
tendre dire par les gens blasés...
et intéressés qu’il n’existe plus en
fait d’amateurs de valeur ?
voir — et même le souhaiter —
soulevé une levée de boucliers. Au
contraire, une majorité de diri
geants — et parmi eux la plupart
de ceux qui ont la charge de pré
sider aux destinées des plus grands
clubs — n’hésitent pas à se décla
rer partisans d’un changement ra
dical des usages néfastes qui se
sont implantés dans le rugby fran
çais, et l’ont si dangeureusement
gangrené.
Il y a une erreur à éviter : celle
de comparer le rugby à tout autre
sport d’équipe ou individuel. Le
rugby pratiqué « dans l’esprit du
jeu * est un sport viril certes, mais
non dangereux, comme bien des
gens le croient. Il demande certes
des qualités physiques : il exige
aussi sans aucun doute une disci
pline morale pour faire usage de
ces qualités mais n’en pas abuser.
Tant que la force seule est em
ployée — ce qui est dans la règle
— le rugby ne présente pas de
grands risques : si la brutalité in
tervient, il devient à coup sûr vn.
exercice extrêmement dangereux,
voire mortel. Il importe donc de
surveiller, plus étroitement que
pour tout autre sport, le recrute
ment d’abord, lè comportement en
suite de ses pratiquants... de leurs
entraîneurs et de leurs dirigeants.
Il importe également d’écarter ré
solument tout ce qui peut favori
ser le déchaînement d’instincts bru
taux, de passions exacerbées et de
punir sans appel et sans admettre
de circonstances atténuantes ceux
qui ont prouvé qu’ils ne pouvaient
rester maîtres en toute occasion de
ces instincts ou de ces passions.
Par les graves dangers qu’il est
ainsi susceptible de présenter, le
rugby ne peut et ne doit pas deve
nir professionnel. Il ne peut et ne
doit pas non plus continuer dans
la voie de *l’amateurisme marron »,
lorsque sous cette étiquette se ca
che la simple et régulière rétribu
tion des joueurs de la main à la
main. Cette pratique est évidem
ment condamnable et j’estime que
la position prise par la Fédération
française de rugby de ne pas sévir,
sous le prétexte d’un manque de
preuves formelles, est une faiblesse
qu’il faut voir cesser. Il n’est que
de € voguer » un peu dans les eau*
du rugby pour connaître certaine ]
€ combinaisons » et l’on ne me I
fera pas croire que les dirigeanttl
fédéraux les ignorent. A défaut |
de preuves écrites il y a des certi
tudes morales qui justifient de i|
mesures.
Mais que l’on ne confonde pas I
ces « combinaisons » avec les
situations tout à fait normales et
souhaitables qu’une industrie ou|
une importante maison de com
merce peut offrir à des joueurs de j
rugbv, à la condition que ces [
jdueurs accomplissent régulière,
ment le travail pour lequel ils |
sont rétribués sur des bases abso
lument logiques.
Pourquoi le sport ne serait-il\
pas une excellente recommanda
tion ? A valeur professionnelle
égale pourquoi un employeur ne j
choisirait-il pas un sportif et pour-l
quoi celui-ci ne pourrait-il pas pro-
fiter de sa qualité de rugbyman I
pour trouver la meilleure situation |
sociale qu’il est apte à occuper
L’employeur à tout intérêt dans ces
conditions à le choisir, car —
nombreux sont les directeurs ou
patrons d’entreprises qui me l'ont I
confirmé — la vedette sportivei
contribue indiscutablement et pour \
une part importante à créer, puis
à maintenir dans l’entreprise un
état d’esprit qui influe heureuse •
ment sur la marche générale il j
celle-ci.
Je sais que sous le couvert de ce I
rôle social, des dirigeants de clubs
— qui sont en même temps des in* I
dustriels ou des commerçants — [
« engagent > des joueurs sans se
préoccuper du travail qu’ils assu-
rent ou les payent beaucoup plus\
qu’ils ne valent réellement : ma'*|
il est assez facile de déceler ces
agissements malhonnêtes, qui J’fiiM
leurs sont assez rares, comme il
est très possible de juger certains
prêts d’argent ou de matériel , cer-1
tains * établissements * consentis I
à des joueurs dont on connaît às
capacités limitées ou le peu de goûtl
au travail. Si un dirigeant de c/uM
ne comprend pas sa responsabilité
sociale, c’est aux dirigeants férié->
Taux de l’obliger à les comprendre•
Maurice Capelle.
Roland Mesmeur.
à quinze qui effectuera à partir de
samedi une tournée en Afrique du
samedi une
Nord, Domenech (Bort), exclu du ter
rain par l’arbitre, dimanche, en cham
pionnat, sera remplacé par Daudet
(Châteaurenard). D’autre part. Ter
reau (Bourg-en-Bresse), blessé, sera
remplacé par Baulon (Mont-de-Mar
san).
+ Brousse, blessé mardi à Lyon, sera
remplacé par Montrucolis en seconde
ligne du «treize» de France, qui ren
contrera de nouveau, dimanche, à Bor
deaux, celui de la Nouvelle-Zélande.
+ En match amical de football, le
Sportverein de Hambourg a battu le
Stade de Reims par 3 buts à 0. Les
Champenois firent bonne Impression
par leur technique et leur vitesse.
LEGION D'HONNEUR
Défense nationale
Militaires dégagés des cadre s
Officiers. — Le colonel M.-C. Moulj
uly ;
les médecins-colonels : L. Ricard, H.
Dezoteux, M. Rlou ; les lieutenants
colonels : L. Fagot, V. Journoud, P.
Versinl, P. Letelher de Brothonne, A.
Jeannin, J. Weil, J. Lacabanne, E.
Arsac, R. Riouallon, J. Osbert, P.
Couttenler, A. Hubert, J. Estrade, P.
Bellanger, H. Bognaux ; les comman
dants, chefs d’escadrons et chefs de
bataillon : A. Festaz, J. Bleuze, B. Ba-
duel temps fera-t-il aujourd'hui ?
La dépression
barométrique si
tuée hier au lar
ge de l’Irlande se
déplacera rapide
ment vers le
nord-est, accom
pagnée de vents
violents soufflant
en tempête.
La zone de pluies
et d’averses asso
ciée à cette dé-
f iression atteindra
a Bretagne dès
ce matin, puis
envahira au cours
de la journée la
moitié Nord-
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiihiimiiiiiii!iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ■>>>s>>ts*®*> r * |Ba|| * t>> * || ** fi * ||||||i||vv||fi>|>| ** Bli>aliasillvlII>l>ailv>lllklstliaaa U ». Ouest de la Fran-
: ce. Vents de sud-
DEMAIN : CASIMIR
LES AVENTURES DU PROFESSEUR NIMBUS
WM
(Copyright Figaro et Opéra Mundl)
E ouest devenant
| très forts, at-
| teignant même
= temporairement
E la tempête sur les
E côtes de l’Atlan-
| tique, de la Man-
Ê che et de la mer
S du Nord. Tempé-
: rature maximum
| en hausse faible.
= Dans la moitié
: Sud-Est, ciel nua-
s geux, après dissi-
connière de Salverte, P. de Vaulx. !•
Guignier, P. Latourelle, P.-L.
rent, G. de Longeau Saint-Michel, J.-j,*
Lafleur, P.-J. Denis, G. Massard, L.
Morieux, A. Pelx, J. Balage, G.-R. Mar
tin, P. Schmutz ; les chefs d’escadron:
B. Manceau, V. Caussèque, E. Dorât.
Chevaliers. — Le colonel C. Latrobr;
le lieutenant-colonel B. Pouyat ;
médecin lieutenant-colonel Casteigt !
les chefs de bataillon, chefs d’esca-1
drons et commandants : C. Suzanne
P. Pasquier, J. Menez, G. Tisserand*
C. ^E. Coustou, A. Chasles, A. Tirefort
J.-P. Bournazel, J. Le Brun, M. Eu-
nel„ Y. Huruguen, J. de Cassan-Floj' r
rac, M. Lorcy, J. de Lary de Latouô
M. Odienne, G. Ferrand de la Conte*
M. Valas ; le médecin-commandant
La Balme ; . *
les chefs d’escadron et capitaines •
R. Mesmacre, L. Berti, L. Marquet, |
Bohrer de Kreuznach, A. Thomas, j"
Henry, J.-M. Brunet de la Grange, U;
Benoit, A. Rossignol, M. Dupont, y
Chabrier, E. Saint-Martory, G. Dupl a3 ’
J.-B. Henry, N.-L. Godin, A. Mass?, ^
Ducamp, A. Lépine, A. Robin, J. Cur*
chi, L. Charrié, G. Crevoisier, M. s ï'
phanidès. A- Jouis, A. Beautheac,
Watrin, L.-H. Petit, M. Linden, H
Gaschard, P. Aubertin, H.-F. Thoffl a _’
P. Castillon du Perron, M. 011 iv » e ’
A. Rochias, H. Rouballay, À. Aubru: >
C. Perret, G. Fraval, de Coatparqn e ’
C. Bouvard, A. Chaperon, C.
~ , A. Sehfiider. P' 11 '
&422 Zone de pluie . *■ Neige
imr Averses Y Orages
^.Anticyclone (Centre de hautes pressions)
v.Uepression (Centre de basses pressions)
ES3sj^> Air Froid ou Frais
Air chaud nu relativement chaud
pation des brouillards matinaux. Vent faible. Température maximum
: en baisse faible.
Région parisienne : Pluies passagères débutant probablement en
| fin de matinée. Nouvelles pluies ou averses le soir. Vent de sud-ouest
z fort ou très fort. Température maximum de l’ordre de 7° à 9®.
Quelques températures minima observées sous abri hier matin :
S Lille, 4®; Paris-Le Bourget, 5®; Brest, 4°; Tours, 5’; Strasbourg, 6®;
: Clermont-Ferrand, 5®; Bordeaux, 6°; Toulouse, ’7®j Lyon, 6°; Gre-
| noble,, 6°; Marseille, 9° ; Nice, 8°; Biarritz, 9°; Perpignan, 8®,
peybrouck, R. Parot, À. Scheider, P’ '
Chauvet, M. Comminges, R.-A. Ro c ^’
M. Parpant, X. Sthemer, W. BrusstfU 5 -
F. Gulgnement, V. Larousse-Gun 1 ’
masse, J. Sallou ; 11 , I
les lieutenants : P. Fougère, J. Dr°
lard, J.-P. Griffe, E. Creusât, T.-J- Rfà’
F. Thomas, H. ben Larbi, J. Chiot ,
C. Cazaux, N. Fayet, F. Sauli, J- P le j
chot, J. Santallier, M. Michaud. £
Dagard, M. Arnaud, j.-P. RestelHi jj'
Boulade, L. Caujolle, A. Olivier*
Paume, L. Andrieux, P. Henry ...
J. Roussot, B.-R. Joseph, R. Gu 1 ',
maud, P. Sans, L. Bouchet, R- La .(
latte, I.-A. Cambon, A. Brignier, J
Brossier, H.-J. Dupin, P. Biçha
Berland, L.-R. Maret, V. Calisi, L- V
villon, R. Goetz, R. Amathieux.
Cruse, J. Berbudeau, A. Graziam* .
Boumard, P- Duchemann, G. Ottom *
C. Nadeau, T. Pozzo di Borgo, G V |
boit, A. Le Marée, A. Eluère, E. H 10 .I
R. Bouvet, R. Henrat, E. Ribet, *
senard, P. Camp, G. Vernet, M- j
menge, P. Sessâc ; l’adjudent-c
Colin.
Guerres 1914-1918 et 1939-1945
Chevaliers. — MM.
D.-L. Anglade, P.-M.
Grillot, A.-F. Lugiez,
P.-L. Villain.
L.-C. Bastie»'
Mutilés des T. O. E.
Chevaliers. — MM. S. ben Bougue rr8 ’
D. Charach, J. Gmeiner,
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