Titre : Figaro : journal non politique
Éditeur : Figaro (Paris)
Date d'édition : 1951-12-25
Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication
Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 25 décembre 1951 25 décembre 1951
Description : 1951/12/25 (A125,N2268). 1951/12/25 (A125,N2268).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
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Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
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Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2022
LE FIGARO — 25 DECEMBRE 1951
LES SPOR TS
< DERBY > PARISIEN DE FOOTBALL, CET APRÈS-MIDI AD PARC DES PRINCES
Le Stade Français voudra contre Le Racing
affirmer sa prétention à figurer de nouveau
dans la Division Nationale
C ’EST dans le cadre de l’aide à
la seconde division que les
clubs de cette dernière affron
teront le 1 er janvier leurs adversai
res de l’élite.
Une dérogation à cette règle a
été prise en faveur du Kacing et
du Stade Français qui, dès cet
après-midi, à 14 h. 45, au Parc des
Princes, ouvriront le jeu de cette
série de débats instructifs.
Instructif, le match de cet après-
midi le sera particulièrement.
C’est en effet en champion de la
seconde division que le Stade Fran
çais se présentera devant le Racing.
. Mais l’ardeur des acteurs devrait
f »lus encore prendre sa source dans
a traditionnelle rivalité des deux
grands clubs que les amateurs ont
transmise en héritage aux profes
sionnels.
A en juger par la composition
des équipes, le Stade Français
pourrait paraître attacher plus de
prix à la victoire que le Racing.
Avec Martin à l’arrière, les « bleu
et rouge » aligneront, en effet, peut-
être la meilleure formation. En re
vanche, les « bleu et blanc » seront
DROBNY EST TOUJOURS
UN HOCKEYEUR SUR GLACE
DE TALENT
Ancienne vedette de l’équipe
nationale de hockey sur glace de
Tchécoslovaquie, le champion de
tennis Jarosiav Drobny n’avait
pas rechaussé les patins depuis
deux ans.
Sollicité, il y a peu de temps,
par le H. C. de Gstaad, pour en
traîner et jouer dans l’équipe de
ce club, il. a accepté.
En quelques semaines, il a prou
vé qu’il n’avait rien perdu de ses
qualités de hockeyeur et, pour
son premier match en champion
nat de Suisse, dimanche soir, à
Berne, il a été la vedette de la
rencontre entre son team et celui
du Rot-Blau de Berne. Il fut l’ar
tisan de la victoire (4 buts à 3),
marquant deux buts et faisant
marquer les deux autres.
privés des services de Salva, Lamy,
Gabet, Quenolle, tandis qu’Arnau-
deau ne tiendra le poste d’intérieur
qu’une mi-temps.
Voilà qui diminuera peut-être la
valeur absolue du « onze », mais
non son ardeur. Des éléments
comme Kruspsky, Roulet, Grillet et
Vasquez tenteront en effet de s’im
poser. On suivra d’autre part avec
attention les débuts de l’inédit
Prieur, ex-joueur de Sarrebruck,
dont son entraîneur Jordan nous
disait qu'il possède de sérieuses
qualités athlétiques.
Du Stade nous attendrons qu’il
nous apporte la preuve qu’il est ca
pable de continuer à fournir un
football de qualité sur un rythme
plus alerte que d’habitude. Il prou
verait ainsi qu’il est déjà armé
pour bien figurer en division na
tionale.
Roland Mesmeur.
RACING
Vignal
Krupsky P. Jurelli
Vasquez
Mustapha Boulet
Gundmundssôn Arangelovich
Grillet Mahjoub Prieur
Prunelle
Gallard
Brezniak
Drouet
Favre Jonsson
Vandooren
Gaulon
Guérin
Martin
Colonna
STADE FRANÇAIS
A SESTRIERES, AVEC LES SKIEURS ITALIENS... SUR LA NEIGE GLACÉE
Zeno Colo et Eugenio Monti, chefs de file
aux Jeux Olympiques d’Hiver à Oslo
(De notre envoyé spécial
Didier MERLIN)
Sestrières, 23 décembre.
E N levant les yeux vers le mont
Fraitevé, un des terrains de
ski qui entourent Sestrières,
on pouvait voir ces jours derniers
des piquets multicolores plantés
dans un à-pic impressionnant.
C’était le slalom que M. Otto Me-
nardi, capitaine de l’équipe olympi
que italienne, avait tracé afin de
« faire les jambes » des candidats
à la sélection pour les Jeux d’Hiver
qui doivent avoir lieu, on le sait,
du 14 au 25 février à Oslo.
Pour aller interviewer sur le
vif le capitaine italien et voir évo
luer Zeno Colo, Alvera, Gartner ? le
jeune Glück, espoir de l’équipe,
Celina Seghi, d’autres encore, je
suis monté, skis sur l’épaule, par
l’espèce de petit escalier que les
champions italiens avaient taillé
dans la neige avec leurs chaussures.
Chronomètre en main, Otto Me-
nardi, sous le ciel bleu de monta
gne, ne peut voir le départ du sla
lom, qu’une bosse lui cache, et
c’est un drapeau rouge agité qui
sert de relais et lui indique que le
skieur est parti. Celui-ci apparaît
bientôt et Menardi le reconnaît
aussitôt, lui crie des encourage
ments et des conseils : « Ah I
voici Zeno, bien, bien, regardez
comment il va aborder la porte »,
ou bien : « Tu es en arrière, Ce-
iina, lance-toi en avant. » Le skieur
Les cyclistes empruntent la terminologie du ski
UN CHAMPIONNAT DE DESCENTE
A BICYCLETTE EN 1952 ?
T J N hebdomadaire cycliste bien
II informé annonce qu’il sera
peut-être organisé, Van pro
chain, une sorte de championnat de
descente. L’épreune grouperait
vingt-cinq coureurs dûment choisis
et aurait lieu en fin de saison sur
les pentes du Tourmalet ou de
Vlseran.
Les concurrents prendraient le
départ les uns après les autres,
selon les rites de la course « contre
la montre ».
Il y a longtemps qu’on a décou
vert l’étroite parenté des skieurs
LE GALA DE NOËL
DU V. C. LEVALLOIS
M. Paul Ruinart et le V. C. Le-
vallois, son club, organisent au
jourd'hui (à partir de 14 h. 30),
au Vélodrome d’Hiver, une réu
nion cycliste dont l’incontestable
vedette sera Henri Andrieux,
champion de France de poursuite
et sérieux « espoir » olympique.
Andrieux, qui vient de vain
cre Naudin en prouvant qu’il va
lait Rioland, champion de France
professionnel de poursuite, devait
rencontrer, en ce jour de Noël, le
champion du monde amateur De
Rossi. L’Italien ayant poliment re
fusé l’invitation de Paul Ruinart,
Andrieux, seul en piste, essayera
d’améliorer sa meilleure perfor
mance sur le kilomètre départ ar
rêté : 1’ 13” 1/5.
Andrieux (toujours lui !) et,
Bober, également du V. C. L., ne
devraient pas être inquiétés, der
rière cyclomoteur, dans le Grand
Prix de Noël. Indiquons que le
programme prévoit une épreuve
de demi-fond (avec Chardon et
Bourgeteau notamment), une amé
ricaine de 60 kilomètres et un
Grand Prix de vitesse pour lequel
concourront 1 e champion d e
France Beyney, Cadoret, Prigent,
etc..., etc...
et des « descendeurs » cyclistes.
Cette année surtout, nous assistons
à une véritable ruée des routiers
vers la montagne, où ils ont ins
tallé leurs quartiers d’hiver. Hugo
Koblet, Ferdinand Kubler, Louis
Bobet, qui comptent parmi les meil
leurs « dêgringoleurs » des Tours
de France, de Suisse et d'Italie, sont
aussi de bons skieurs. L’expérience
a prouvé qu’ils assimilaient la tech
nique particulière du ski plus vite
et mieux que le commun des spor
tifs. En revanche, Ugo Koblet re
connaît volontiers que ses talents
de skieur lui ont permis de pro
gresser encore dans l’art de des
cendre rapidement une pente sur
deux roues sans risquer à chaque
virage une cabriole fatale.
Quel pourrait être le vainqueur
d’un tel championnat de descente ?
Si Von se fiait aux enseignements
donnés par les courses de monta
gne, Fiorenzo Magni rallierait tous
les suffrages. Mais un champion
nat de descente sur une route libre
ne serait guère comparable à la
folle aventure des coureurs du
« Tour », plongeant vers la plaine
parmi de trop nombreuses voitures.
La témérité de Magni — atout pri
mordial dans une course ordinaire
— ne lui suffirait peut-être pas
pour distancer des coureurs aussi
adroits mais plus prudents que le
champion transalpin.
Décidément, ce championnat de
descente ne manquerait pas d’inté
rêt. Et ce n’est pas Georges Spei-
cher, incontestable « roi » de la
spécialité avant guerre, qui nous
contredira.
Louis Vincent.
Eugfnio Monti. à ganche, que
d’aucuns considèrent comme le
plus fort descendeur du monde,
discute joyeusement avec le
champion olympique Zeno Colo à
droite. Monti a eu un légrer
accident à l’entratnement mais
se remet rapidement à Cortina
d’Ampesso.
chronométré donne un violent
coup des deux bâtons à l’arrivée et
plonge littéralement sur Sestrières
dans l’espoir de grignoter quelques
cinquièmes de seconde avant de
s’arrêter en pleine pente.
Je profite de la fin de l’entraîne
ment matinal pour interroger le
capitaine italien :
— Comment entraînez-vous vos
champions avant ies Jeux olympi
ques ?
— Sur une piste de slalom géant
très glacée le matin, de bonne
heure, quand le soleil n’a pas en
core fait mollir la neige. L’après-
midi, de nouveau slalom géant en
contrôlant la vitesse. Pour la des
cente, nous verrons plus tard. L’im
portant, pour moi, est d’abord de
« mettre en jambes » les skieurs.
— Qui allez-vous sélectionner ?
— Nous avons deux représen
tants désignés : Zeno Colo, cham
pion du monde, et le doyen chez
nous (31 ans), et Eugène Monti qui,
pour beaucoup, est actuellement le
plus fort descendeur du monde. Il
faudra en choisir quatre ou peut-
être six autres. Nous avons de bons
skieurs : Lacedelli, Alvera, Colli,
Guido, Glück (19 ans).
— Après Sestrières, qu’allez-vous
faire ?
— Repos pendant les fêtes, puis
entraînement de descente dans les
Dolomites, à Selva en Gardena,
sur une piste extrêmement raide,
et aussi quelques compétitions,
dont celle de Bad-Castein.
— Monti sera-t-il rétabli pour
les Jeux olympiques ?
— Je le crois. Il s’est arraché
les ligaments des genoux mais se
remet rapidement.
Pendant notre entretien, les
skieurs, après s’être allongés quel
ques instants sur la neige, leur élé
ment, ont rechaussé les skis, puis
piqué droit sur le village, encais
sant les bosses à la manière
d’amortisseurs, les deux skis sou
levant une fine poussière blanche.
M. Menardi met ses gants, fixe
ses skis et descend plus prudem
ment.
Quelque temps après, je l’imite,
plus prudemment encore...
Didier Merlin.
« L’escrime
aura son
française
traité »
nous dit le président Bontemps
D
EPU1S le 14 juin 1946, un exa
men unique règle l’obtention
du brevet de maître d'armes
à la sortie de l’école militaire d’An
tibes et de l’école civile de l’Insti
tut national des Sports.
Limoges et Grenoble détiennent
l'avenir du Racing et du P. U. C.
L E Racing Club de France et le
P.U.C. ont apporté, sur leur ter
rain, une ardeur farouche à dé
fendre leurs derniers espoirs de se
tirer d’une situation très compromise.
L’un et l’autre ont battu leurs redou
tables adversaires provinciaux, le pre
mier l’emportant sur Montferrand, le
second infligeant à Grenoble sa pre
mière défaite en championnat.
Ainsi les deux grands clubs pari
siens ont obtenu un ultime Sursis.
Dans lé dernier tour la tâche qui les
attend n’est pas des plus difficiles :
DANS L'EQUIPE DE FRANCE DES XIII
BÉRAUD remplacera sans doute
RENÂLDI contre les Kiwis à Bordeaux
A U soir du match victorieux
contre les « Kiwis », les res
ponsables de la formation
française ne cachaient pas qu’ils
envisageaient d’apporter quelques
retouches à leur travail.
Le tandem des demis et le troi
sième ligne Guilhem étaient en par
ticulier fortement menacés. La so
lution envisagée consistait d’ail
leurs à confier le poste de demi de
mêléè à Guilhem. Mais qui placer
à ce poste clef de troisième ligne ?
Deux mntches de championnat
auront lieu aujourd’hui en rugby
à XI 1.1 : Lyon contre Celtic de
Paris et Avignon contre Toulouse.
nous confiait hier soir, au télépho
ne, le président Barrière qui avait
regagné Esperaza.
Voyez-vous, regrettait-il, Calixte
ne joue pas et Ferez ne connaît pas
encore sa meilleure forme.
Voilà qui devait nous inciter à
conclure que les tricolores ayant
pratiqué derrière la mêlée contre
les « Kiwis » à Paris ont toute,
chance de tenir leur place à Bor
deaux.
♦ En boxe, cet après-midi, à 15 h. 15,
au Central : Larbi Gôdih c. Chapel,
Chautard c. Saïd Belhout (poids lé
gers), Paccagnella c. André Marty
(poids moyens) et quatre combats
amateurs»
Quant au pack d’avants, il ne
subira également guère de modifica
tions. Les sélectionneurs n’ont pas
été sans remarquer cependant que
le pilier Rinaldi a paru par instants
éprouver des difficultés à suivre là
cadence de la rencontre. Aussi est-
il probable que Béraud lui sera pré
féré.
R. M.
Le nageur Pierre Dumesnil
au premier plan international
Dans l'excellente piscine de
Troyes, le nageur du Racing
Pierre Dumesnil a réussi diman
che une performance de grande
valeur internationale. En appro
chant de 2/10 de seconde le record
de l’Ile-de-France détenu par Car-
tonnet. Dumesnil a prouvé qu’il
était le meilleur représentant au
monde des brasseurs « ortho
doxes ». Avec 2’ 39” 8/10, il n’est
précédé, en France, que par le
« papillonneur » Maurice Lusien
(2’ 38” 7/10).
Pour les amateurs de statis
tiques, indiquons que trois bras
seurs français seulement ont par
couru 200 m. en moins de 2’ 40” :
Nakache et Lusien en « papillon »,
Cartonnet en brasse orthodoxe.
Bien que Dumesnil, heureuse
ment remis d’une série d’angines,
puisse progr sser encore, il lui
sera quasi impossible de figurer
parmi les finalistes olympiques, le
style « papillon » ayant fait la
preuve de son efficacité supé
rieure.
le Racing rencontrera le C.A.S.G. et
le P.U.C. sera opposé à l’U.S. Métro.
Cependant leur qualification, en fait,
ne se jouera pas dans ces débats ;
certes, il leur faut en sortir vain
queurs, mais cela ne suffira pas à leur
assurer leur qualification pour la
seconde phase de la compétition fédé
rale. Leur sort sera résolu à Clermont-
Ferrand pour le Racing, à Grenoble
pour le P.U.C. et d’une part c’est
Limoges qui sera ie « Deus ex ma
china et d’autre part le F.C. Grenoble.
Il faut en effet que les Limougeauds,
qui n’ont plus rien à espérer, battent
les Montferrandais chez ceux-ci ét
que les Grenoblois, sur leur terrain,
fassent toucher les épaules aux Bres
sans.
Il faut avouer que la situation du
P.U.C. se présente mieux que celle du
Racing : si les Grenoblois le veulent
ils doivent battre les Bressans, alors
que, même animés d’une louable ar
deur, les Limougeauds ne seront pas
favoris à Clermont-Ferrand.
Devant Oxford
UNE BRILLANTE
EXHIBITION
du Stade Toulousain
(Correspondance « Figaro »)
Toulouse, 24 décembre.
C E match de très grande allure,
suivi par dix mille specta
teurs, a révélé dimanche au
public toulousain... sa propre
équipe. Paradoxalement, en effet,
ce fut l’exhibition sensationnelle
du Stade Toulousain qui domina la
rencontre. Face au jeu ordonné,
classique, très pur des étudiants
britanniques, [es Toulousains, qui
avaient le plus souvent le ballon
en mêlée et faisaient mieux que
se défendre en touche, déployèrent
une extraordinaire activité heureu
sement axée sur l’offensive.
La débauche incessante d’offen
sives qui marqua ce match mit en
évidence le nouvel esprit qui anime
le Stade Toulousain.
Quant à Oxford, il a fait hon
neur à sa réputation par la qua
lité de son exhibition, la valeur
technique de ses joueurs et leur
remarquable conception du jeu.
Mais aucun traité officiel ne rè
gle les principes d’une méthode uni
que d’enseignement de l’escrime...
Le commandant Bontemps, pré
sident de la Fédération française
d’Escrime, s’est attelé à la réali
sation de cette entreprise capitale :
Mon intention, nous a-t-il dit,
est d’apporter à l’escrime française
une base établissant la doctrine de
l’Ecole française d’escrime, qui se
rait la « grammaire » mise à la
disposition de nos deux écoles
d’élèves maîtres d’armes de l’Aca
démie d’armes et des dirigeants.
La place prépondérante occupée
par la France dans l’escrime mon
diale ■— trente-deux maîtres d’ar
mes français dispensent leur ensei
gnement à l’étranger — la néces
sité de donner à nos deux écoles
d’élèves maîtres d’armes une même
méthode, m'obligent à prévoir l’éta
blissement d’un traité qui fixe les
données de l’école française.
L’épée, avant l’apparition de
l’épée électrique, se pratiquait en
prévision du duel. Son enseigne
ment était basé sur la nécessité de
« toucher sans l’être ». La conven
tion capitale de l’épée électrique
(le bouton est réglé ail vingtième de
seconde) appelle une conception
différente de l’escrime à l’épée :
« toucher le premier ».
D’autre part, l’épée peut s’ensei
gner sans initiation préalable au
fleuret, ce qui fera gagner du temps
dans l’initiation de ses adeptes.
Quant au sabre, nous sommes
encore des novices. Il nous faut
établir au plus tôt une base d’en
seignement...
J’ai adressé des propositions dans
ce sens au ministre des Armées et
au secrétaire d’Etat aux Sports, en
vue de la constitution d’une
commission d’études du traité de
l’escrime française, qui pourrait
se réunir au début du mois de fé
vrier prochain.
J. C.
iiiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin,,!,
CHRON10lE%to»AGRICOLE
riser leurs expériences, essais et
réalisations. Et il conclut :
— L’argent que le gouvernement
a investi en nous, nous voulons le
lui Tendre sous forme d’intérêts.
Le ministre de l’Agriculture,
M. Camille I.aurens, visiblement
impressionné par ce dynamisme du
meilleur aloi, avait tenu à l’encou
rager personnellement. Il félicita
les jeunes d’avoir été de bons am
bassadeurs de la France, les assura
de son appui, leur donna la pri
meur de ses projets de réorganisa
tion chargeant les Chambres d’agri
culture de l’étude des problèmes
techniques et de sa certitude de
disposer d’une tranche d’équipe
ment de 100 milliards en 1952.
Il leur dit aussi comment, sur le
plan agricole, par suite de lourdes
échéances concernant la politique
Le beau voyage des jeunes ambassadeurs
de l’agriculture française
par J. ENGELHARD.
L ’APPRECIATION de M. F. P. Prutchey, du Département de l’Agri
culture de Washington, vaut d’être méditée.
« Très souvent, au cours de l’année 1951, écrit-il, notre atten-
.tion a été attirée par la remarquable qualité des jeunes gens représen
tant la France. »
Avant de rentrer chez eux, leurs
sept mois de stage accomplis, ils
ont eu la délicate attention d’offrir
au Service Extension qui les avait
pris en charge une toile représen
tant une scène de la vie rurale
française. Et l’avion portant le
dernier contingent ayant atterri à
Orly, ils étaient soixante-cinq gar
çons solides, bronzés, conscients de
ieur dignité comme de l’enrichisse
ment de leurs connaissances, réu
nis l’autre semaine au Cercle des
Jeunés de la C.G.A. avant la dis
persion.
Après le discours d’accueil de
M. Martin, président de la C.G.A.,
l’inspecteur général Ratineau leur
exposa avec sa grande compétence
ce qu’il convenait de faire pour
améliorer la productivité de notre
agriculture. Puis M. Piel-Desruis-
seaux crut devoir rappeler aux jeu
nes qu’ils n’avaient pas découvert
l’Amérique, critiqua le programme
d’action établi par eux et mit en
doute la valeur de la parole comme
de l’écrit en tant que moyens de
vulgarisation.
La réaction fut des plus vives.
— C’est que les techniciens écri
vent des articles savants, mais dont
les termes ne sont pas à la portée
des agriculteurs, répliqua le chef
de groupe, Claude Baillet. Nous,
fils d’agriculteurs, nous saurons le
faire ! »
Et il ajouta que, s’il était vrai
que leur groupe n’avait pas été le
premier à découvrir l’Amerique, les
jeunes auraient aimé à se docu
menter avant, leur départ en lisant
les « écrits » des missionnaires les
ayant précédés : malheureusement,
il n’y en avait pas.
M. Ratineau, intervenant judi
cieusement, précisa quelques dates
et fit sentir la faiblesse de moyens
permettant seulement de ronéoty
per des ouvrages, dont la mise au
point est lente, puisqu’ils réunis
sent parfois vingt-cinq rapports.
Mais pourquoi n’a-t-on pas, en ac
cord avec la presse, dont la fonc
tion est d’informer, fait accompa
gner chaque mission d’un ou deux
journalistes diffusant largement
les premières constatations ?
Claude Baillet affirma que les
rapports de ses camarades seraient
prêts dans un délai d’un mois, que
sans exclusive ils accordaient la
plus haute valeur au document
écrit et qu’ils se chargeaient de
diffuser utilement leurs écrits dans
les « Bulletins d’extension » pré
vus à leur programme pour vulga-
LES COURSES]
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LE 31 DECEMBRE PARAITRA
le N° 4 des
DOCUMENTS
AGRICOLES
du FIGARO
L'envoi de ce document est fait
aux seuls lecteurs qui en font
la demande aux
Services agricoles du Figaro
14, Rond-Point
des Champs-Elysées
PAR IS-VII I e
accompagnée d'un timbre
à 15 fr. pour frais d'envoi
♦
Nous-pouvons encore servir
un certain nombre
de Documents N° 3
des prix garantis et le renouvelle
ment de l’accord international sur
le blé, la France se trouvait à la
croisée des chemins, et pourquoi il
fallait allér de l’avant dans l’union.
Le repas commun, le dernier, fut
pris à Rueil, par petites tables. Si
l’un de mes voisins, qui rêve d’éva
sion, a besoin de se réadapter, les
autres, tout en déclarant que le
niveau de vie, faute d’espace, ne
sera jamais en France ce qu’il est
aux Etats-Unis, pensent que la par
tie vaut d’être jouée, de grandes
améliorations demeurant possibles.
Leur volonté d’efficience est remar
quable.
— Et je ne comprends pas,
conclut l’un, pourquoi a notre arri
vée on voudrait nous décourager.
J. Engelhard.
Exploitation intensive
des prairies
A Bonnelles (S.-et-O.), le rendement
des parcs à fumure complète (100-150-
150), a été pour la campagnè 1950-
1951 de 7.971 litres de lait, contre
4.169 pour les parcs à fumure phos-
pho-potassique (0-150-150). Ainsi, les
3 engrais sont indispensables à l’ex
ploitation intensive des prairies et
chaque kilo d’azote a donné 19 litres
de lait avec des vaches de sélection
laitière médiocre. Tous frais déduits,
le bénéfice net ressort entre 10.000 et
25.000 francs par hectare.
Bonne renommée
M. Burelle, dont la ferme s’étend
sur 100 hectares au sud-est de l’Aves-
nois, a modernisé son exploitation à
tel point qu’en 18 mois, 4.500 visiteurs,
en provenance d’à peu près tous les
pays du monde, sont venus s’y do
cumenter.
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2600
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2625
2625
2625
2625
2650
204 Espérance
205 Ere .......
208 Eros VI ..
209 Emden ...
210 Enfin ! II.
214 Edison ...
T.. Cl. Berger
.... A. Deheegher
,... R. Hanse
.... R. C.-Maillard
.... R. Gayet
P. Dupont
218 Edmond Prim. Al. Tambéri
219 Espoir de Join. J. Chyriacos
220 Enfant des IIo. M. Riaud
222 Ettlingen R. Delanoë
224 Eglogue I. Vacher
225 Ecossaise B.... F. Mus
227 Elisalde R. Baudron
PRIX DE L’OISE
(Attelé. — 300.000 fr. — 2.600 m.)
PARIS COUPLES DU P.M.U,
301 Bacheior F. Bouchard 2600
302 Boucle d’Or .. E. Gautier 2600
303 Borgia A. Mauger 2600
304 Blue Bell J. Torasso 2600
306 Blacourt ....EM. Sagot 2600
307 Berceuse d’Am. Ph. Hanse 2600
308 Bravade D R. D’haène 2601)
309 Beaufiyo J. Kruithof 2600
310 Betty Williams R.-C. Simonard 2600
311 Bonne Esp. III M. Tiger 2625
312 Boulingrin .... A. Arson 2625
313 Bourgneuf ... R. Baudron 2625
314 Bergeronnct. B F. Tournier 2625
315 Bornéo F. Bernard 2625
316 Béatrice J.-L. Rivault 2625
319 Benjamin III.. V. Siciüano 2625
321 Benenisse ...E H.-R. Durand 2625
322 Bathylle R. C.-Maillard 2625
324 Biizard M. Perlbarg 2625
PRIX PHILIPPE DU ROZIER
(Monté. — 1.250.000 fr. — 2.250 m.)
PARIS COUPLES DU P.M.U.
401 Duc d’Angér. B J. Gager 2250
402 Dragon du Roi G. Roussel 2250
404 Dollar III L.-B. Sauvé 2250
406 Djanina II .... Ch. Hanse 2250
407 Dagmar X. 2250
408 Diane de Font. F. Brohier 2250
409 Domino IV .E Al. Llbeer 2250
410 Deux Mai....E R.-C. Simonard 2250
411 Dasticia G. Riaud 2250
412 Delta M. Perlbarg 2275
413 Dollar V ..... M.-M. Gougeon 2275
414 D’Estrée» M. Riaud 2275
PRIX DE CALAIS
(Attelé. — 400.000 fr. — 2.250 m.)
503 D’Où Vient El. F. Réaud 2275
504 Benjamin 111.. V. Siciliano 2250
509 Cypselos J. Chyriacos 2250
512 Aflyo J. Kruithof 2275
514 Bride au Vent H. Duval 2275
515 Catzça ....... R.-C. D’haène 2275
522 Charmeuse M. Gougeon 2275
523 Bobby Al. Tambéri 2275
525 Boranor ...... J.-R. Gougeon 2275
526 Aétius R.-C. Auvray 2275
527 Valentine VI.. H. Petiton 2275
532 Amour de Bou. F. Blanchet 2300
534 Val de Vire .. M. Pical 2300
PRIX AUGUSTE FRANÇOIS
(Monté. — 750.000 fr. — 2.600 m.)
PARIS COUPLES DU P.M.U.
603 Delr El Bahari Y. Chrétien 2600
604 Améric Willia. B. Simonard 2600
605 CaKinne E. Carré 2600
606 Cabanis A. V. der Drift 2600
607 Vert Galant 11 L. Gras 2625
608 Altkirch M. Descloître 2625
609 As du Jour.... A. Morel 2625
611 Ancolie B A. Chéron 2625
612 Adonis III.... M. Perlbarg 2625
613 Crillonnais ... M. Pical 2625
614 Aigle Royal. E G. Roussel 2625
615 Astarté E G. Roussel 2625
616 Azur IV M.-M. Gougeon 2650
618 Valmiki Al. Libeer 2650
PRIX DE BRIVE
(Attelé. - Femel. - 350.000 fr. - 2.800 m.)
701 Damia II P. Cavey 2800
703 Diane de Bul. F. Leroyer 2800
704 Débutante B.. F. Réaud 2800
705 Déesse D. G. Dreux 2800
706 Dunane R. Goulin 2800
707 Djab Allah ... A. Marguet 2800
708 Désarmante .. A. Pichon 2800
710 D. Julietta ... R. Fortin 2800
713 Dalentine
R.-C. Simonard 2800
715 Devise ....... Ch. Mills
716 Damiétte Ph. Hanse
718 Daniélla P. Làisis
2825
2825
2825
One! temps fera-t-il aujourd’hui?
En liaison avec
la profonde dé
pression centrée
près de l’Islande,
des niasses d’air
maritime relati
ve m e n t doux
s’étendront pro
gressive-
ment à toute la
France et y don
neront un ciel très
nuageux à couvert
avec des pluies in
termittentes sui
vies, au cours de
l’après-midi, sur
les régions du
Nord et de l’Ouest
d’un ciel variable
avec averses.
Vents variables
et irréguliers sur
les régions médi
terranéennes, ail
leurs assez forts
ou forts de sec
teur Sud - Ouest.
Coups de vent
sur les côtes de
Dunkerque à
Biarritz.
Zone de pluie *• Neige
-tâz/i Averses V Orages
A. Anticyclone (Centre de hautes pressions)
D.Dépression (Centre de basses pressions)
Air Froid ou Frais
Am chaud ou relativement chaud
Les températu- ***
res diurnes ne su
biront pas de grand changement par rapport à la veille, sauf dans le
Nord-Est et l’Est où elles seront en hausse sensible.
Très nuageux ou couvert avec pluies suivies d’averses le soif. Vent
assez fort ou fort de Sud-Ouest à Ouest.
Température maximum : 4-10° à +12°.
Quelques températures observées sous abri hier à 16 heures :
1° à Strasbourg, 3° à Dijon, 5° à Lyon, 8° à Lille, 9® à Paris-Lé
Bourget, 11° à Brest, Toulouse, Perpignan et Nice, 12° à Bordeaux, 13'’
à Clermont-Ferrand et Marseille, 14° à Biarritz, 17° à Ajaccio.
NOS PRONOSTICS :
Prix de» Campanule» » Fronteira,
Facilène. — Prix de Goustranville :
Ere, Espoir de Joinville. — Prix de
FOise s Bathylle, Benenisse. — Prix
Philippe du Rozier s Dollar V, Diane
de Fontenay. — Prix de Calai» : Char
meuse, Afiyo. — Prix Auguste Fran
çois s Valmiki, Azur IV. — Prix de
Brive : Devise, Daniélla.
La meilleure chance de la journée
VALMIKI (618)
Le placé le plus intéressant
DOLLAR V (413)
L’année hippique
Le numéro annuel de /'Année Hip
pique, éditée à Lausanne, vient de
paraître. C’est le Noël de tous les amis
du cheval. Concours hippiques, polo,
courses, perfection photographique,
rien ne manque à notre plaisir. Rap
pelons que la revue hippique est en
vente à Paris à la librairie du Pont-
Neuf -en-l’lle, place du Pont-Neuf (1 er ).
Le corps d’un soldat américain
découvert sur une des plages
de débarquement de la Manche
Colleville-sur-Mer, 24 décembre. —
Sur une plage de débarquement uti
lisée par les Alliés en 1944, on a dé
couvert, sous le sable, le corps d’un
soldat américain avec son fusil et son
équipement.
On procède actuellement à son Iden
tification.
228 morts depuis vendredi
aux Etats-Unis
Chicago, 24 décembre. — Depuis
vendredi 18 heures, heure à la
quelle a commencé la période de
quatre jours de congé aux Etats-
Unis, 228 personnes ont péri dans
des accidents de la circulation, 42
dans dés incendies, et 46 dans des
accidents divers, soit un total de
316 morts accidentelles.
Prix de Sully (attelé, à réel,
250.000 francs, 2.700 mètres). j‘
Rivage (J. Chyriacos) (118), à
Eapraye ; 2. Chryséis (M. Riaud) mfl
3. Belami II (Ch. Mills) (108). k U Jl
PL: 13, 91, 13. ’ dj l
Non placés : Corsaire, Coq v J
Boulingrin, Caprice VII, Cambo eï r *
pin, Crac de Corc., Banco II ’iL'iJ
Norme., Civa, Belle Jaffna, CraclT*
Cousin Jean, Catgut, Camille II , 1
Prix de Villerville (monté mil
300.000 francs, 2.250 mètres). -1 i pl
lio (A. Foreinal) (218), à M. R. j ari B
2. Eurêka IV (Al. Libeer) (227) y
Emir (M. Perlbarg) (204). G.: 58 • ’pl
23, 30, 51. ’ a l
Rapports « couplés » P. )[ ni
218-227 gagn. : 325 fr. ; ni. 199 »
204-218 pi. : 175 fr. ; 204-227 pli
S »
315 francs.
Non placés : Enée, Enjôleur Chinoi
Evreux Nord, Estragon M, Eh xi
Elzévir II, Ellébore, Espoir d’AuvM
gne, Ecco Williams, Enfant de l a p r l
Etna, Edimbourg, Espoir d’Anjou■
Emmius M, Edelweiss N, EnjolpjS
Espoir de Génusson, Enoch T, Èniuia
WH. F, Ex Williams, Etna IV, Ecr«
Prix des Dahlias (attelé, à réclamai
300.000 francs, 1.700 mètres). — 1 .
Ivresse (R.-C. Simonard) (320), à m- 1
A. Daubin ; 2. Favissante (J. ChvrM
cos) (319) ; 3. Florence (F. Boucha*
(309). G. : 65 ; PI. : 18, 13, 26. V
I'antasio II, Fra*
Frelatée, Femme, Fors, Famy
aine, Faï Fo, Frac du Th®
Non placés
cette II
II, Fredaine
P'ramboise T, Fier Nor. P.
Prix de Montivilliers (monté, 300.(8
francs, 2.650 mètres). — 1 . Divonnl
(A. Morel) (403), à M. H. Balliér e fl
2. Dauphin (E. Bertogliati) (407) ■
3. Djibouti (L. Gras) (405). G. : 23 1
PI. : 14, 33, 31.
« couplés » P. M.
: 516 fr. ; pi. 146 fr|
122 fr. ; 405-407 pl] |
ie
Rapports
403-407 gagn.
403-405 pi. :
571 francs.
Non placés : Double Décade, Déj
che Toi II, Duchesse de Normandie H,
Duo de Tourterelle, Derby.
Prix de Créteil (attelé, 400.000 fr.,
2.600 mètres). — 1. Deauville II (R Da
Wulf) (506), à Mme R. De \Yulf)|;
2. Dahna (J. Chvriacos) (510) ; 3. Dab-
hin IV (M. Perlbarg) (509). G. : 3!
15, 17, 16.
Rapports « couplés » P. M. U.l
506-510 gagn. : 142 fr. ; pi. : 42 ffl;
506-509 pl. : 27 fr. ; 509-510 pl,|j
50 francs.
Non placés : Dona Maria, DicfoL
Deauville, Dardo, Douce Harris, 0*î
nilo IV.
Prix de Pontivy (monté, 300.000 fri
2.350 mètres). — 1. Cabrio (G. Rieuljj
(623), à Mme L. Olry-Rœderer
det C II (E. Bertogliati) (612)
nomètre (A. Morel) (607). G
20, 16, 30.
Non placés : ArmenUèrois R, Csar«
das, Beau Chinois, Balios, Bienpai^
Caligula II, Cloche des Bois, Any BJ
Anubis, Aimée d’Alsace, Benjamin Illj
Brennus, Cabanis, Brûleur D.
Prix de Talence (attelé, femel»
300.000 francs, 2.600 ni.). — 1. F. tion (Ch. Mills) (709), à M. A. Veslerd)
2. Etoile Gàvraise (F. Réaud) (705)
3. Erse (P. Cavey) (704). G. : 13
Pl. : 11, 21, 16.
Non placés : Eylau III, Engadint IW
Etopie, Eole d’Or, Etincelle III, Etiilq
du Manoir, Evora, Euphorie III.
— -4
n/. mau«
:r ; 2 . M
; 3, Chrffl
.: 73. ?1.|
Pourquoi?
U N contribuable a versé trop
d’argent à son percepteur
(cela arrive !). Il lui de
mande de lui retourner la surplus
par ohèque. Le percepteur répond
en demandant au contribuable le
numéro de son c.c postal pour y]
reverser le trop perçu. Niais le
contribuable n’a pas de compte;
courant. Il en fait la remarqué|
et réitère sa demande de rem
boursement par chèque.
Le percepteur répond :
« J’ai l’honneur de vous faire
connaître que les excédents ne
pouvant être remboursés par vire'
ment à un oompte bancaire, Il
somme due vous sera adressée
par mandat poste, déduction faite
des frais d’envoi. »
C ’ est alors à nous que I»
contribuable s’adresse, après cet
échange infructueux de oorres'
pondance. Il nous éorlt :
« Résultat : trois lettres Inu
tiles , déplacement, formalités
frais supplémentaires... Pourquoi
le règlement par ohèque ban'
oalre qui aurait évité toutes oes
complications n'est-il pas admis
par le ministère des Finances?
•I
— Les mutilés du département
de la Seine ont droit à voyager
à demi-tarif sur les transport*
parisiens, ainsi que les famille*
nombreuses de toute la Franc*'
Mais les mutilés de province (mal"
gré un avis favorable du Conseil
général de la Seine) n'ont P s *
droit à cette réduction.
Pourquoi ?
L’argument du manque à na«
gner pour la R.A.T.P. est-ll vrai
ment sérieux ?
♦
— Les habitants de Saint-Cloud
s'émeuvent de la construction
sür le territoire de leur commun*
d'une Importante usine d’aviation'
Pourquoi, demandent - Ils, auto»
rlse-t-on de telles constructions
qui enlaidissent l’une des pl us
belles banlieues de Paris ? Q' j9
deviennent les promesses de dé"
concentration industrielle ?
Michel-P. Hamelet.
llllllllllll|||||||||||||||||||||lll||||||||||||,|,||||||| | || | || || ||||||||| M |R|| || || ||| || M|| |||||||| | |||||| | ||||||||||||||||||||||||||||||f||||||||||t|||||||f||||| m|||m , |U|||1| | | , ||r| |||, | , M |||| mm| , | || | | |m|||
Le fonds de garantie : premifi]
étape vers l’assurance
gatoire des automobilistes |
L’Assemblée nationale vi e j
d’instituer un fonds de ë, ,j-
destiné à assurer l'indemnisa Lj
de victimes d’accidents corp nr l
de la circulation lorsque le resPl
sable reste inconnu ou se r ,7
insolvable. Un amendement L.
sans opposition précise que ces I
positions seront applicables ?
préjudice de celles qui P 0,ir . r ‘ 1 J
être ultérieurement décidées a P “
pos de l’assurance obligatoire'
|IIIIIH'"""""1
LES AVENTURES DU PROFESSEUR NIMBUS (Copyright Figaro et Opéra Mundi) DEMAIN : CASIM^
D*
ainsi c
défens*
Com
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LES SPOR TS
< DERBY > PARISIEN DE FOOTBALL, CET APRÈS-MIDI AD PARC DES PRINCES
Le Stade Français voudra contre Le Racing
affirmer sa prétention à figurer de nouveau
dans la Division Nationale
C ’EST dans le cadre de l’aide à
la seconde division que les
clubs de cette dernière affron
teront le 1 er janvier leurs adversai
res de l’élite.
Une dérogation à cette règle a
été prise en faveur du Kacing et
du Stade Français qui, dès cet
après-midi, à 14 h. 45, au Parc des
Princes, ouvriront le jeu de cette
série de débats instructifs.
Instructif, le match de cet après-
midi le sera particulièrement.
C’est en effet en champion de la
seconde division que le Stade Fran
çais se présentera devant le Racing.
. Mais l’ardeur des acteurs devrait
f »lus encore prendre sa source dans
a traditionnelle rivalité des deux
grands clubs que les amateurs ont
transmise en héritage aux profes
sionnels.
A en juger par la composition
des équipes, le Stade Français
pourrait paraître attacher plus de
prix à la victoire que le Racing.
Avec Martin à l’arrière, les « bleu
et rouge » aligneront, en effet, peut-
être la meilleure formation. En re
vanche, les « bleu et blanc » seront
DROBNY EST TOUJOURS
UN HOCKEYEUR SUR GLACE
DE TALENT
Ancienne vedette de l’équipe
nationale de hockey sur glace de
Tchécoslovaquie, le champion de
tennis Jarosiav Drobny n’avait
pas rechaussé les patins depuis
deux ans.
Sollicité, il y a peu de temps,
par le H. C. de Gstaad, pour en
traîner et jouer dans l’équipe de
ce club, il. a accepté.
En quelques semaines, il a prou
vé qu’il n’avait rien perdu de ses
qualités de hockeyeur et, pour
son premier match en champion
nat de Suisse, dimanche soir, à
Berne, il a été la vedette de la
rencontre entre son team et celui
du Rot-Blau de Berne. Il fut l’ar
tisan de la victoire (4 buts à 3),
marquant deux buts et faisant
marquer les deux autres.
privés des services de Salva, Lamy,
Gabet, Quenolle, tandis qu’Arnau-
deau ne tiendra le poste d’intérieur
qu’une mi-temps.
Voilà qui diminuera peut-être la
valeur absolue du « onze », mais
non son ardeur. Des éléments
comme Kruspsky, Roulet, Grillet et
Vasquez tenteront en effet de s’im
poser. On suivra d’autre part avec
attention les débuts de l’inédit
Prieur, ex-joueur de Sarrebruck,
dont son entraîneur Jordan nous
disait qu'il possède de sérieuses
qualités athlétiques.
Du Stade nous attendrons qu’il
nous apporte la preuve qu’il est ca
pable de continuer à fournir un
football de qualité sur un rythme
plus alerte que d’habitude. Il prou
verait ainsi qu’il est déjà armé
pour bien figurer en division na
tionale.
Roland Mesmeur.
RACING
Vignal
Krupsky P. Jurelli
Vasquez
Mustapha Boulet
Gundmundssôn Arangelovich
Grillet Mahjoub Prieur
Prunelle
Gallard
Brezniak
Drouet
Favre Jonsson
Vandooren
Gaulon
Guérin
Martin
Colonna
STADE FRANÇAIS
A SESTRIERES, AVEC LES SKIEURS ITALIENS... SUR LA NEIGE GLACÉE
Zeno Colo et Eugenio Monti, chefs de file
aux Jeux Olympiques d’Hiver à Oslo
(De notre envoyé spécial
Didier MERLIN)
Sestrières, 23 décembre.
E N levant les yeux vers le mont
Fraitevé, un des terrains de
ski qui entourent Sestrières,
on pouvait voir ces jours derniers
des piquets multicolores plantés
dans un à-pic impressionnant.
C’était le slalom que M. Otto Me-
nardi, capitaine de l’équipe olympi
que italienne, avait tracé afin de
« faire les jambes » des candidats
à la sélection pour les Jeux d’Hiver
qui doivent avoir lieu, on le sait,
du 14 au 25 février à Oslo.
Pour aller interviewer sur le
vif le capitaine italien et voir évo
luer Zeno Colo, Alvera, Gartner ? le
jeune Glück, espoir de l’équipe,
Celina Seghi, d’autres encore, je
suis monté, skis sur l’épaule, par
l’espèce de petit escalier que les
champions italiens avaient taillé
dans la neige avec leurs chaussures.
Chronomètre en main, Otto Me-
nardi, sous le ciel bleu de monta
gne, ne peut voir le départ du sla
lom, qu’une bosse lui cache, et
c’est un drapeau rouge agité qui
sert de relais et lui indique que le
skieur est parti. Celui-ci apparaît
bientôt et Menardi le reconnaît
aussitôt, lui crie des encourage
ments et des conseils : « Ah I
voici Zeno, bien, bien, regardez
comment il va aborder la porte »,
ou bien : « Tu es en arrière, Ce-
iina, lance-toi en avant. » Le skieur
Les cyclistes empruntent la terminologie du ski
UN CHAMPIONNAT DE DESCENTE
A BICYCLETTE EN 1952 ?
T J N hebdomadaire cycliste bien
II informé annonce qu’il sera
peut-être organisé, Van pro
chain, une sorte de championnat de
descente. L’épreune grouperait
vingt-cinq coureurs dûment choisis
et aurait lieu en fin de saison sur
les pentes du Tourmalet ou de
Vlseran.
Les concurrents prendraient le
départ les uns après les autres,
selon les rites de la course « contre
la montre ».
Il y a longtemps qu’on a décou
vert l’étroite parenté des skieurs
LE GALA DE NOËL
DU V. C. LEVALLOIS
M. Paul Ruinart et le V. C. Le-
vallois, son club, organisent au
jourd'hui (à partir de 14 h. 30),
au Vélodrome d’Hiver, une réu
nion cycliste dont l’incontestable
vedette sera Henri Andrieux,
champion de France de poursuite
et sérieux « espoir » olympique.
Andrieux, qui vient de vain
cre Naudin en prouvant qu’il va
lait Rioland, champion de France
professionnel de poursuite, devait
rencontrer, en ce jour de Noël, le
champion du monde amateur De
Rossi. L’Italien ayant poliment re
fusé l’invitation de Paul Ruinart,
Andrieux, seul en piste, essayera
d’améliorer sa meilleure perfor
mance sur le kilomètre départ ar
rêté : 1’ 13” 1/5.
Andrieux (toujours lui !) et,
Bober, également du V. C. L., ne
devraient pas être inquiétés, der
rière cyclomoteur, dans le Grand
Prix de Noël. Indiquons que le
programme prévoit une épreuve
de demi-fond (avec Chardon et
Bourgeteau notamment), une amé
ricaine de 60 kilomètres et un
Grand Prix de vitesse pour lequel
concourront 1 e champion d e
France Beyney, Cadoret, Prigent,
etc..., etc...
et des « descendeurs » cyclistes.
Cette année surtout, nous assistons
à une véritable ruée des routiers
vers la montagne, où ils ont ins
tallé leurs quartiers d’hiver. Hugo
Koblet, Ferdinand Kubler, Louis
Bobet, qui comptent parmi les meil
leurs « dêgringoleurs » des Tours
de France, de Suisse et d'Italie, sont
aussi de bons skieurs. L’expérience
a prouvé qu’ils assimilaient la tech
nique particulière du ski plus vite
et mieux que le commun des spor
tifs. En revanche, Ugo Koblet re
connaît volontiers que ses talents
de skieur lui ont permis de pro
gresser encore dans l’art de des
cendre rapidement une pente sur
deux roues sans risquer à chaque
virage une cabriole fatale.
Quel pourrait être le vainqueur
d’un tel championnat de descente ?
Si Von se fiait aux enseignements
donnés par les courses de monta
gne, Fiorenzo Magni rallierait tous
les suffrages. Mais un champion
nat de descente sur une route libre
ne serait guère comparable à la
folle aventure des coureurs du
« Tour », plongeant vers la plaine
parmi de trop nombreuses voitures.
La témérité de Magni — atout pri
mordial dans une course ordinaire
— ne lui suffirait peut-être pas
pour distancer des coureurs aussi
adroits mais plus prudents que le
champion transalpin.
Décidément, ce championnat de
descente ne manquerait pas d’inté
rêt. Et ce n’est pas Georges Spei-
cher, incontestable « roi » de la
spécialité avant guerre, qui nous
contredira.
Louis Vincent.
Eugfnio Monti. à ganche, que
d’aucuns considèrent comme le
plus fort descendeur du monde,
discute joyeusement avec le
champion olympique Zeno Colo à
droite. Monti a eu un légrer
accident à l’entratnement mais
se remet rapidement à Cortina
d’Ampesso.
chronométré donne un violent
coup des deux bâtons à l’arrivée et
plonge littéralement sur Sestrières
dans l’espoir de grignoter quelques
cinquièmes de seconde avant de
s’arrêter en pleine pente.
Je profite de la fin de l’entraîne
ment matinal pour interroger le
capitaine italien :
— Comment entraînez-vous vos
champions avant ies Jeux olympi
ques ?
— Sur une piste de slalom géant
très glacée le matin, de bonne
heure, quand le soleil n’a pas en
core fait mollir la neige. L’après-
midi, de nouveau slalom géant en
contrôlant la vitesse. Pour la des
cente, nous verrons plus tard. L’im
portant, pour moi, est d’abord de
« mettre en jambes » les skieurs.
— Qui allez-vous sélectionner ?
— Nous avons deux représen
tants désignés : Zeno Colo, cham
pion du monde, et le doyen chez
nous (31 ans), et Eugène Monti qui,
pour beaucoup, est actuellement le
plus fort descendeur du monde. Il
faudra en choisir quatre ou peut-
être six autres. Nous avons de bons
skieurs : Lacedelli, Alvera, Colli,
Guido, Glück (19 ans).
— Après Sestrières, qu’allez-vous
faire ?
— Repos pendant les fêtes, puis
entraînement de descente dans les
Dolomites, à Selva en Gardena,
sur une piste extrêmement raide,
et aussi quelques compétitions,
dont celle de Bad-Castein.
— Monti sera-t-il rétabli pour
les Jeux olympiques ?
— Je le crois. Il s’est arraché
les ligaments des genoux mais se
remet rapidement.
Pendant notre entretien, les
skieurs, après s’être allongés quel
ques instants sur la neige, leur élé
ment, ont rechaussé les skis, puis
piqué droit sur le village, encais
sant les bosses à la manière
d’amortisseurs, les deux skis sou
levant une fine poussière blanche.
M. Menardi met ses gants, fixe
ses skis et descend plus prudem
ment.
Quelque temps après, je l’imite,
plus prudemment encore...
Didier Merlin.
« L’escrime
aura son
française
traité »
nous dit le président Bontemps
D
EPU1S le 14 juin 1946, un exa
men unique règle l’obtention
du brevet de maître d'armes
à la sortie de l’école militaire d’An
tibes et de l’école civile de l’Insti
tut national des Sports.
Limoges et Grenoble détiennent
l'avenir du Racing et du P. U. C.
L E Racing Club de France et le
P.U.C. ont apporté, sur leur ter
rain, une ardeur farouche à dé
fendre leurs derniers espoirs de se
tirer d’une situation très compromise.
L’un et l’autre ont battu leurs redou
tables adversaires provinciaux, le pre
mier l’emportant sur Montferrand, le
second infligeant à Grenoble sa pre
mière défaite en championnat.
Ainsi les deux grands clubs pari
siens ont obtenu un ultime Sursis.
Dans lé dernier tour la tâche qui les
attend n’est pas des plus difficiles :
DANS L'EQUIPE DE FRANCE DES XIII
BÉRAUD remplacera sans doute
RENÂLDI contre les Kiwis à Bordeaux
A U soir du match victorieux
contre les « Kiwis », les res
ponsables de la formation
française ne cachaient pas qu’ils
envisageaient d’apporter quelques
retouches à leur travail.
Le tandem des demis et le troi
sième ligne Guilhem étaient en par
ticulier fortement menacés. La so
lution envisagée consistait d’ail
leurs à confier le poste de demi de
mêléè à Guilhem. Mais qui placer
à ce poste clef de troisième ligne ?
Deux mntches de championnat
auront lieu aujourd’hui en rugby
à XI 1.1 : Lyon contre Celtic de
Paris et Avignon contre Toulouse.
nous confiait hier soir, au télépho
ne, le président Barrière qui avait
regagné Esperaza.
Voyez-vous, regrettait-il, Calixte
ne joue pas et Ferez ne connaît pas
encore sa meilleure forme.
Voilà qui devait nous inciter à
conclure que les tricolores ayant
pratiqué derrière la mêlée contre
les « Kiwis » à Paris ont toute,
chance de tenir leur place à Bor
deaux.
♦ En boxe, cet après-midi, à 15 h. 15,
au Central : Larbi Gôdih c. Chapel,
Chautard c. Saïd Belhout (poids lé
gers), Paccagnella c. André Marty
(poids moyens) et quatre combats
amateurs»
Quant au pack d’avants, il ne
subira également guère de modifica
tions. Les sélectionneurs n’ont pas
été sans remarquer cependant que
le pilier Rinaldi a paru par instants
éprouver des difficultés à suivre là
cadence de la rencontre. Aussi est-
il probable que Béraud lui sera pré
féré.
R. M.
Le nageur Pierre Dumesnil
au premier plan international
Dans l'excellente piscine de
Troyes, le nageur du Racing
Pierre Dumesnil a réussi diman
che une performance de grande
valeur internationale. En appro
chant de 2/10 de seconde le record
de l’Ile-de-France détenu par Car-
tonnet. Dumesnil a prouvé qu’il
était le meilleur représentant au
monde des brasseurs « ortho
doxes ». Avec 2’ 39” 8/10, il n’est
précédé, en France, que par le
« papillonneur » Maurice Lusien
(2’ 38” 7/10).
Pour les amateurs de statis
tiques, indiquons que trois bras
seurs français seulement ont par
couru 200 m. en moins de 2’ 40” :
Nakache et Lusien en « papillon »,
Cartonnet en brasse orthodoxe.
Bien que Dumesnil, heureuse
ment remis d’une série d’angines,
puisse progr sser encore, il lui
sera quasi impossible de figurer
parmi les finalistes olympiques, le
style « papillon » ayant fait la
preuve de son efficacité supé
rieure.
le Racing rencontrera le C.A.S.G. et
le P.U.C. sera opposé à l’U.S. Métro.
Cependant leur qualification, en fait,
ne se jouera pas dans ces débats ;
certes, il leur faut en sortir vain
queurs, mais cela ne suffira pas à leur
assurer leur qualification pour la
seconde phase de la compétition fédé
rale. Leur sort sera résolu à Clermont-
Ferrand pour le Racing, à Grenoble
pour le P.U.C. et d’une part c’est
Limoges qui sera ie « Deus ex ma
china et d’autre part le F.C. Grenoble.
Il faut en effet que les Limougeauds,
qui n’ont plus rien à espérer, battent
les Montferrandais chez ceux-ci ét
que les Grenoblois, sur leur terrain,
fassent toucher les épaules aux Bres
sans.
Il faut avouer que la situation du
P.U.C. se présente mieux que celle du
Racing : si les Grenoblois le veulent
ils doivent battre les Bressans, alors
que, même animés d’une louable ar
deur, les Limougeauds ne seront pas
favoris à Clermont-Ferrand.
Devant Oxford
UNE BRILLANTE
EXHIBITION
du Stade Toulousain
(Correspondance « Figaro »)
Toulouse, 24 décembre.
C E match de très grande allure,
suivi par dix mille specta
teurs, a révélé dimanche au
public toulousain... sa propre
équipe. Paradoxalement, en effet,
ce fut l’exhibition sensationnelle
du Stade Toulousain qui domina la
rencontre. Face au jeu ordonné,
classique, très pur des étudiants
britanniques, [es Toulousains, qui
avaient le plus souvent le ballon
en mêlée et faisaient mieux que
se défendre en touche, déployèrent
une extraordinaire activité heureu
sement axée sur l’offensive.
La débauche incessante d’offen
sives qui marqua ce match mit en
évidence le nouvel esprit qui anime
le Stade Toulousain.
Quant à Oxford, il a fait hon
neur à sa réputation par la qua
lité de son exhibition, la valeur
technique de ses joueurs et leur
remarquable conception du jeu.
Mais aucun traité officiel ne rè
gle les principes d’une méthode uni
que d’enseignement de l’escrime...
Le commandant Bontemps, pré
sident de la Fédération française
d’Escrime, s’est attelé à la réali
sation de cette entreprise capitale :
Mon intention, nous a-t-il dit,
est d’apporter à l’escrime française
une base établissant la doctrine de
l’Ecole française d’escrime, qui se
rait la « grammaire » mise à la
disposition de nos deux écoles
d’élèves maîtres d’armes de l’Aca
démie d’armes et des dirigeants.
La place prépondérante occupée
par la France dans l’escrime mon
diale ■— trente-deux maîtres d’ar
mes français dispensent leur ensei
gnement à l’étranger — la néces
sité de donner à nos deux écoles
d’élèves maîtres d’armes une même
méthode, m'obligent à prévoir l’éta
blissement d’un traité qui fixe les
données de l’école française.
L’épée, avant l’apparition de
l’épée électrique, se pratiquait en
prévision du duel. Son enseigne
ment était basé sur la nécessité de
« toucher sans l’être ». La conven
tion capitale de l’épée électrique
(le bouton est réglé ail vingtième de
seconde) appelle une conception
différente de l’escrime à l’épée :
« toucher le premier ».
D’autre part, l’épée peut s’ensei
gner sans initiation préalable au
fleuret, ce qui fera gagner du temps
dans l’initiation de ses adeptes.
Quant au sabre, nous sommes
encore des novices. Il nous faut
établir au plus tôt une base d’en
seignement...
J’ai adressé des propositions dans
ce sens au ministre des Armées et
au secrétaire d’Etat aux Sports, en
vue de la constitution d’une
commission d’études du traité de
l’escrime française, qui pourrait
se réunir au début du mois de fé
vrier prochain.
J. C.
iiiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin,,!,
CHRON10lE%to»AGRICOLE
riser leurs expériences, essais et
réalisations. Et il conclut :
— L’argent que le gouvernement
a investi en nous, nous voulons le
lui Tendre sous forme d’intérêts.
Le ministre de l’Agriculture,
M. Camille I.aurens, visiblement
impressionné par ce dynamisme du
meilleur aloi, avait tenu à l’encou
rager personnellement. Il félicita
les jeunes d’avoir été de bons am
bassadeurs de la France, les assura
de son appui, leur donna la pri
meur de ses projets de réorganisa
tion chargeant les Chambres d’agri
culture de l’étude des problèmes
techniques et de sa certitude de
disposer d’une tranche d’équipe
ment de 100 milliards en 1952.
Il leur dit aussi comment, sur le
plan agricole, par suite de lourdes
échéances concernant la politique
Le beau voyage des jeunes ambassadeurs
de l’agriculture française
par J. ENGELHARD.
L ’APPRECIATION de M. F. P. Prutchey, du Département de l’Agri
culture de Washington, vaut d’être méditée.
« Très souvent, au cours de l’année 1951, écrit-il, notre atten-
.tion a été attirée par la remarquable qualité des jeunes gens représen
tant la France. »
Avant de rentrer chez eux, leurs
sept mois de stage accomplis, ils
ont eu la délicate attention d’offrir
au Service Extension qui les avait
pris en charge une toile représen
tant une scène de la vie rurale
française. Et l’avion portant le
dernier contingent ayant atterri à
Orly, ils étaient soixante-cinq gar
çons solides, bronzés, conscients de
ieur dignité comme de l’enrichisse
ment de leurs connaissances, réu
nis l’autre semaine au Cercle des
Jeunés de la C.G.A. avant la dis
persion.
Après le discours d’accueil de
M. Martin, président de la C.G.A.,
l’inspecteur général Ratineau leur
exposa avec sa grande compétence
ce qu’il convenait de faire pour
améliorer la productivité de notre
agriculture. Puis M. Piel-Desruis-
seaux crut devoir rappeler aux jeu
nes qu’ils n’avaient pas découvert
l’Amérique, critiqua le programme
d’action établi par eux et mit en
doute la valeur de la parole comme
de l’écrit en tant que moyens de
vulgarisation.
La réaction fut des plus vives.
— C’est que les techniciens écri
vent des articles savants, mais dont
les termes ne sont pas à la portée
des agriculteurs, répliqua le chef
de groupe, Claude Baillet. Nous,
fils d’agriculteurs, nous saurons le
faire ! »
Et il ajouta que, s’il était vrai
que leur groupe n’avait pas été le
premier à découvrir l’Amerique, les
jeunes auraient aimé à se docu
menter avant, leur départ en lisant
les « écrits » des missionnaires les
ayant précédés : malheureusement,
il n’y en avait pas.
M. Ratineau, intervenant judi
cieusement, précisa quelques dates
et fit sentir la faiblesse de moyens
permettant seulement de ronéoty
per des ouvrages, dont la mise au
point est lente, puisqu’ils réunis
sent parfois vingt-cinq rapports.
Mais pourquoi n’a-t-on pas, en ac
cord avec la presse, dont la fonc
tion est d’informer, fait accompa
gner chaque mission d’un ou deux
journalistes diffusant largement
les premières constatations ?
Claude Baillet affirma que les
rapports de ses camarades seraient
prêts dans un délai d’un mois, que
sans exclusive ils accordaient la
plus haute valeur au document
écrit et qu’ils se chargeaient de
diffuser utilement leurs écrits dans
les « Bulletins d’extension » pré
vus à leur programme pour vulga-
LES COURSES]
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le N° 4 des
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AGRICOLES
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L'envoi de ce document est fait
aux seuls lecteurs qui en font
la demande aux
Services agricoles du Figaro
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des Champs-Elysées
PAR IS-VII I e
accompagnée d'un timbre
à 15 fr. pour frais d'envoi
♦
Nous-pouvons encore servir
un certain nombre
de Documents N° 3
des prix garantis et le renouvelle
ment de l’accord international sur
le blé, la France se trouvait à la
croisée des chemins, et pourquoi il
fallait allér de l’avant dans l’union.
Le repas commun, le dernier, fut
pris à Rueil, par petites tables. Si
l’un de mes voisins, qui rêve d’éva
sion, a besoin de se réadapter, les
autres, tout en déclarant que le
niveau de vie, faute d’espace, ne
sera jamais en France ce qu’il est
aux Etats-Unis, pensent que la par
tie vaut d’être jouée, de grandes
améliorations demeurant possibles.
Leur volonté d’efficience est remar
quable.
— Et je ne comprends pas,
conclut l’un, pourquoi a notre arri
vée on voudrait nous décourager.
J. Engelhard.
Exploitation intensive
des prairies
A Bonnelles (S.-et-O.), le rendement
des parcs à fumure complète (100-150-
150), a été pour la campagnè 1950-
1951 de 7.971 litres de lait, contre
4.169 pour les parcs à fumure phos-
pho-potassique (0-150-150). Ainsi, les
3 engrais sont indispensables à l’ex
ploitation intensive des prairies et
chaque kilo d’azote a donné 19 litres
de lait avec des vaches de sélection
laitière médiocre. Tous frais déduits,
le bénéfice net ressort entre 10.000 et
25.000 francs par hectare.
Bonne renommée
M. Burelle, dont la ferme s’étend
sur 100 hectares au sud-est de l’Aves-
nois, a modernisé son exploitation à
tel point qu’en 18 mois, 4.500 visiteurs,
en provenance d’à peu près tous les
pays du monde, sont venus s’y do
cumenter.
I iiiiiiitiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiii!iiiiiuiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,|, {|!
Aujourd'hui, à 13 heures
A VINCENNES
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101 Franco II ...
102 Fatima
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1700
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A. Marie
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104 Fanfaron A. Rouer 1700
105 Fox Williama. Y. Chrétien 1700
106 Facilène H. Cogne 1700
107 Félix O P. Giffard 1700
108 Fahé Guéhé .. P. C.-Maillard 1700
111 Fragilité III .. X. 1700
112 Fronteira R.-C. Simonard 1700
113 Fleur d’Orient G. Roussel 1700
PRIX DE GOUSTRANVILLE
(Attelé. — 400.000 fr. — 2.600 m.)
2600
2600
2600
2600
2600
2600
2600
2625
2625
2625
2625
2625
2650
204 Espérance
205 Ere .......
208 Eros VI ..
209 Emden ...
210 Enfin ! II.
214 Edison ...
T.. Cl. Berger
.... A. Deheegher
,... R. Hanse
.... R. C.-Maillard
.... R. Gayet
P. Dupont
218 Edmond Prim. Al. Tambéri
219 Espoir de Join. J. Chyriacos
220 Enfant des IIo. M. Riaud
222 Ettlingen R. Delanoë
224 Eglogue I. Vacher
225 Ecossaise B.... F. Mus
227 Elisalde R. Baudron
PRIX DE L’OISE
(Attelé. — 300.000 fr. — 2.600 m.)
PARIS COUPLES DU P.M.U,
301 Bacheior F. Bouchard 2600
302 Boucle d’Or .. E. Gautier 2600
303 Borgia A. Mauger 2600
304 Blue Bell J. Torasso 2600
306 Blacourt ....EM. Sagot 2600
307 Berceuse d’Am. Ph. Hanse 2600
308 Bravade D R. D’haène 2601)
309 Beaufiyo J. Kruithof 2600
310 Betty Williams R.-C. Simonard 2600
311 Bonne Esp. III M. Tiger 2625
312 Boulingrin .... A. Arson 2625
313 Bourgneuf ... R. Baudron 2625
314 Bergeronnct. B F. Tournier 2625
315 Bornéo F. Bernard 2625
316 Béatrice J.-L. Rivault 2625
319 Benjamin III.. V. Siciüano 2625
321 Benenisse ...E H.-R. Durand 2625
322 Bathylle R. C.-Maillard 2625
324 Biizard M. Perlbarg 2625
PRIX PHILIPPE DU ROZIER
(Monté. — 1.250.000 fr. — 2.250 m.)
PARIS COUPLES DU P.M.U.
401 Duc d’Angér. B J. Gager 2250
402 Dragon du Roi G. Roussel 2250
404 Dollar III L.-B. Sauvé 2250
406 Djanina II .... Ch. Hanse 2250
407 Dagmar X. 2250
408 Diane de Font. F. Brohier 2250
409 Domino IV .E Al. Llbeer 2250
410 Deux Mai....E R.-C. Simonard 2250
411 Dasticia G. Riaud 2250
412 Delta M. Perlbarg 2275
413 Dollar V ..... M.-M. Gougeon 2275
414 D’Estrée» M. Riaud 2275
PRIX DE CALAIS
(Attelé. — 400.000 fr. — 2.250 m.)
503 D’Où Vient El. F. Réaud 2275
504 Benjamin 111.. V. Siciliano 2250
509 Cypselos J. Chyriacos 2250
512 Aflyo J. Kruithof 2275
514 Bride au Vent H. Duval 2275
515 Catzça ....... R.-C. D’haène 2275
522 Charmeuse M. Gougeon 2275
523 Bobby Al. Tambéri 2275
525 Boranor ...... J.-R. Gougeon 2275
526 Aétius R.-C. Auvray 2275
527 Valentine VI.. H. Petiton 2275
532 Amour de Bou. F. Blanchet 2300
534 Val de Vire .. M. Pical 2300
PRIX AUGUSTE FRANÇOIS
(Monté. — 750.000 fr. — 2.600 m.)
PARIS COUPLES DU P.M.U.
603 Delr El Bahari Y. Chrétien 2600
604 Améric Willia. B. Simonard 2600
605 CaKinne E. Carré 2600
606 Cabanis A. V. der Drift 2600
607 Vert Galant 11 L. Gras 2625
608 Altkirch M. Descloître 2625
609 As du Jour.... A. Morel 2625
611 Ancolie B A. Chéron 2625
612 Adonis III.... M. Perlbarg 2625
613 Crillonnais ... M. Pical 2625
614 Aigle Royal. E G. Roussel 2625
615 Astarté E G. Roussel 2625
616 Azur IV M.-M. Gougeon 2650
618 Valmiki Al. Libeer 2650
PRIX DE BRIVE
(Attelé. - Femel. - 350.000 fr. - 2.800 m.)
701 Damia II P. Cavey 2800
703 Diane de Bul. F. Leroyer 2800
704 Débutante B.. F. Réaud 2800
705 Déesse D. G. Dreux 2800
706 Dunane R. Goulin 2800
707 Djab Allah ... A. Marguet 2800
708 Désarmante .. A. Pichon 2800
710 D. Julietta ... R. Fortin 2800
713 Dalentine
R.-C. Simonard 2800
715 Devise ....... Ch. Mills
716 Damiétte Ph. Hanse
718 Daniélla P. Làisis
2825
2825
2825
One! temps fera-t-il aujourd’hui?
En liaison avec
la profonde dé
pression centrée
près de l’Islande,
des niasses d’air
maritime relati
ve m e n t doux
s’étendront pro
gressive-
ment à toute la
France et y don
neront un ciel très
nuageux à couvert
avec des pluies in
termittentes sui
vies, au cours de
l’après-midi, sur
les régions du
Nord et de l’Ouest
d’un ciel variable
avec averses.
Vents variables
et irréguliers sur
les régions médi
terranéennes, ail
leurs assez forts
ou forts de sec
teur Sud - Ouest.
Coups de vent
sur les côtes de
Dunkerque à
Biarritz.
Zone de pluie *• Neige
-tâz/i Averses V Orages
A. Anticyclone (Centre de hautes pressions)
D.Dépression (Centre de basses pressions)
Air Froid ou Frais
Am chaud ou relativement chaud
Les températu- ***
res diurnes ne su
biront pas de grand changement par rapport à la veille, sauf dans le
Nord-Est et l’Est où elles seront en hausse sensible.
Très nuageux ou couvert avec pluies suivies d’averses le soif. Vent
assez fort ou fort de Sud-Ouest à Ouest.
Température maximum : 4-10° à +12°.
Quelques températures observées sous abri hier à 16 heures :
1° à Strasbourg, 3° à Dijon, 5° à Lyon, 8° à Lille, 9® à Paris-Lé
Bourget, 11° à Brest, Toulouse, Perpignan et Nice, 12° à Bordeaux, 13'’
à Clermont-Ferrand et Marseille, 14° à Biarritz, 17° à Ajaccio.
NOS PRONOSTICS :
Prix de» Campanule» » Fronteira,
Facilène. — Prix de Goustranville :
Ere, Espoir de Joinville. — Prix de
FOise s Bathylle, Benenisse. — Prix
Philippe du Rozier s Dollar V, Diane
de Fontenay. — Prix de Calai» : Char
meuse, Afiyo. — Prix Auguste Fran
çois s Valmiki, Azur IV. — Prix de
Brive : Devise, Daniélla.
La meilleure chance de la journée
VALMIKI (618)
Le placé le plus intéressant
DOLLAR V (413)
L’année hippique
Le numéro annuel de /'Année Hip
pique, éditée à Lausanne, vient de
paraître. C’est le Noël de tous les amis
du cheval. Concours hippiques, polo,
courses, perfection photographique,
rien ne manque à notre plaisir. Rap
pelons que la revue hippique est en
vente à Paris à la librairie du Pont-
Neuf -en-l’lle, place du Pont-Neuf (1 er ).
Le corps d’un soldat américain
découvert sur une des plages
de débarquement de la Manche
Colleville-sur-Mer, 24 décembre. —
Sur une plage de débarquement uti
lisée par les Alliés en 1944, on a dé
couvert, sous le sable, le corps d’un
soldat américain avec son fusil et son
équipement.
On procède actuellement à son Iden
tification.
228 morts depuis vendredi
aux Etats-Unis
Chicago, 24 décembre. — Depuis
vendredi 18 heures, heure à la
quelle a commencé la période de
quatre jours de congé aux Etats-
Unis, 228 personnes ont péri dans
des accidents de la circulation, 42
dans dés incendies, et 46 dans des
accidents divers, soit un total de
316 morts accidentelles.
Prix de Sully (attelé, à réel,
250.000 francs, 2.700 mètres). j‘
Rivage (J. Chyriacos) (118), à
Eapraye ; 2. Chryséis (M. Riaud) mfl
3. Belami II (Ch. Mills) (108). k U Jl
PL: 13, 91, 13. ’ dj l
Non placés : Corsaire, Coq v J
Boulingrin, Caprice VII, Cambo eï r *
pin, Crac de Corc., Banco II ’iL'iJ
Norme., Civa, Belle Jaffna, CraclT*
Cousin Jean, Catgut, Camille II , 1
Prix de Villerville (monté mil
300.000 francs, 2.250 mètres). -1 i pl
lio (A. Foreinal) (218), à M. R. j ari B
2. Eurêka IV (Al. Libeer) (227) y
Emir (M. Perlbarg) (204). G.: 58 • ’pl
23, 30, 51. ’ a l
Rapports « couplés » P. )[ ni
218-227 gagn. : 325 fr. ; ni. 199 »
204-218 pi. : 175 fr. ; 204-227 pli
S »
315 francs.
Non placés : Enée, Enjôleur Chinoi
Evreux Nord, Estragon M, Eh xi
Elzévir II, Ellébore, Espoir d’AuvM
gne, Ecco Williams, Enfant de l a p r l
Etna, Edimbourg, Espoir d’Anjou■
Emmius M, Edelweiss N, EnjolpjS
Espoir de Génusson, Enoch T, Èniuia
WH. F, Ex Williams, Etna IV, Ecr«
Prix des Dahlias (attelé, à réclamai
300.000 francs, 1.700 mètres). — 1 .
Ivresse (R.-C. Simonard) (320), à m- 1
A. Daubin ; 2. Favissante (J. ChvrM
cos) (319) ; 3. Florence (F. Boucha*
(309). G. : 65 ; PI. : 18, 13, 26. V
I'antasio II, Fra*
Frelatée, Femme, Fors, Famy
aine, Faï Fo, Frac du Th®
Non placés
cette II
II, Fredaine
P'ramboise T, Fier Nor. P.
Prix de Montivilliers (monté, 300.(8
francs, 2.650 mètres). — 1 . Divonnl
(A. Morel) (403), à M. H. Balliér e fl
2. Dauphin (E. Bertogliati) (407) ■
3. Djibouti (L. Gras) (405). G. : 23 1
PI. : 14, 33, 31.
« couplés » P. M.
: 516 fr. ; pi. 146 fr|
122 fr. ; 405-407 pl] |
ie
Rapports
403-407 gagn.
403-405 pi. :
571 francs.
Non placés : Double Décade, Déj
che Toi II, Duchesse de Normandie H,
Duo de Tourterelle, Derby.
Prix de Créteil (attelé, 400.000 fr.,
2.600 mètres). — 1. Deauville II (R Da
Wulf) (506), à Mme R. De \Yulf)|;
2. Dahna (J. Chvriacos) (510) ; 3. Dab-
hin IV (M. Perlbarg) (509). G. : 3!
15, 17, 16.
Rapports « couplés » P. M. U.l
506-510 gagn. : 142 fr. ; pi. : 42 ffl;
506-509 pl. : 27 fr. ; 509-510 pl,|j
50 francs.
Non placés : Dona Maria, DicfoL
Deauville, Dardo, Douce Harris, 0*î
nilo IV.
Prix de Pontivy (monté, 300.000 fri
2.350 mètres). — 1. Cabrio (G. Rieuljj
(623), à Mme L. Olry-Rœderer
det C II (E. Bertogliati) (612)
nomètre (A. Morel) (607). G
20, 16, 30.
Non placés : ArmenUèrois R, Csar«
das, Beau Chinois, Balios, Bienpai^
Caligula II, Cloche des Bois, Any BJ
Anubis, Aimée d’Alsace, Benjamin Illj
Brennus, Cabanis, Brûleur D.
Prix de Talence (attelé, femel»
300.000 francs, 2.600 ni.). — 1. F.
2. Etoile Gàvraise (F. Réaud) (705)
3. Erse (P. Cavey) (704). G. : 13
Pl. : 11, 21, 16.
Non placés : Eylau III, Engadint IW
Etopie, Eole d’Or, Etincelle III, Etiilq
du Manoir, Evora, Euphorie III.
— -4
n/. mau«
:r ; 2 . M
; 3, Chrffl
.: 73. ?1.|
Pourquoi?
U N contribuable a versé trop
d’argent à son percepteur
(cela arrive !). Il lui de
mande de lui retourner la surplus
par ohèque. Le percepteur répond
en demandant au contribuable le
numéro de son c.c postal pour y]
reverser le trop perçu. Niais le
contribuable n’a pas de compte;
courant. Il en fait la remarqué|
et réitère sa demande de rem
boursement par chèque.
Le percepteur répond :
« J’ai l’honneur de vous faire
connaître que les excédents ne
pouvant être remboursés par vire'
ment à un oompte bancaire, Il
somme due vous sera adressée
par mandat poste, déduction faite
des frais d’envoi. »
C ’ est alors à nous que I»
contribuable s’adresse, après cet
échange infructueux de oorres'
pondance. Il nous éorlt :
« Résultat : trois lettres Inu
tiles , déplacement, formalités
frais supplémentaires... Pourquoi
le règlement par ohèque ban'
oalre qui aurait évité toutes oes
complications n'est-il pas admis
par le ministère des Finances?
•I
— Les mutilés du département
de la Seine ont droit à voyager
à demi-tarif sur les transport*
parisiens, ainsi que les famille*
nombreuses de toute la Franc*'
Mais les mutilés de province (mal"
gré un avis favorable du Conseil
général de la Seine) n'ont P s *
droit à cette réduction.
Pourquoi ?
L’argument du manque à na«
gner pour la R.A.T.P. est-ll vrai
ment sérieux ?
♦
— Les habitants de Saint-Cloud
s'émeuvent de la construction
sür le territoire de leur commun*
d'une Importante usine d’aviation'
Pourquoi, demandent - Ils, auto»
rlse-t-on de telles constructions
qui enlaidissent l’une des pl us
belles banlieues de Paris ? Q' j9
deviennent les promesses de dé"
concentration industrielle ?
Michel-P. Hamelet.
llllllllllll|||||||||||||||||||||lll||||||||||||,|,||||||| | || | || || ||||||||| M |R|| || || ||| || M|| |||||||| | |||||| | ||||||||||||||||||||||||||||||f||||||||||t|||||||f||||| m|||m , |U|||1| | | , ||r| |||, | , M |||| mm| , | || | | |m|||
Le fonds de garantie : premifi]
étape vers l’assurance
gatoire des automobilistes |
L’Assemblée nationale vi e j
d’instituer un fonds de ë, ,j-
destiné à assurer l'indemnisa Lj
de victimes d’accidents corp nr l
de la circulation lorsque le resPl
sable reste inconnu ou se r ,7
insolvable. Un amendement L.
sans opposition précise que ces I
positions seront applicables ?
préjudice de celles qui P 0,ir . r ‘ 1 J
être ultérieurement décidées a P “
pos de l’assurance obligatoire'
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LES AVENTURES DU PROFESSEUR NIMBUS (Copyright Figaro et Opéra Mundi) DEMAIN : CASIM^
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