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Première année. — N* 16,7.
L® xtnméfo fS oamttxnMi.
DEPOT LEGAL
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Jeudi, 31 décembre 1885.
QUE QUOTIDIEN
ABONNEMENTS :
Trois mois Sis mois Un au
Axâtes.,.» 4.5© B «§
HtANCS.... © 1S£ .554
ADMINISTRATION ET RÉDACTION :
Rue de 1& Marias, a® 9, ancien.• hôtel Basin.
—... a zwtèmsi
Algéria,sir* *drait îPrftaee, te esaasaœiaatvaap »it rogatc ntarir ;
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A Fajus, cSses SIM, ADDBOURS es G** ^ixe# de 3s Bosaeê, 10,
St par Isars
L& DÉPÊCHE ALG-ÉRIBNNIl »»t désignée pou? l’insériios des fusjKo.aaoa légales. Jw&iet&üws ©i »ntm ©adgé»» pou? 1* validité des procédures et «ojatests.
MGE TÉLÉGRAPHIQUE RE LA DÉPÊCHE
A LA CHAMBRE
Paris, 29 décembre, 6 h. 30, soir,
Plusieurs incidents vifs se sont pro
duits à l'occasion du procès-verbal.
MM. Lacote et de F Aigle déclarent avoir
■voté contre les crédits du Tonkin, alors
qu'ils ont été portés comme s'étant abs
tenus.
M. de l'Aigle dit que la Chambre est
une caverne de brigands. Il est rappelé à
Vordre.
M. Laguerie dit que c'est une escroque
rie d'avoir fait voter M. Franconie qui
est encore en mer.
M. Jolibois demande que tous ces faits
soient renvoyés au ministre de la justice.
Cette proposition est repoussée par 259
voix, contre 233.
Le procès-verbal de la dernière séance
est ensuite adopté.
M. Laguerre propose de charger le bu
reau de la Chambre de faire une enquête
sur les faits qui ont été signalés à, propos
de l'adoption du procès-verbal.
Cette proposition est adoptée.
La Chambre vote ensuite quelques pro
jets locaux et adopte le projet de loi
déclarant jours fériés les lundis de Pâques
et de Pentecôto.
AU SÉNAT
Paris, 29 décembre., 6 h. 30, soir.
Le Sénat- adopte quelques projets de
loi de peu d'importance, sans incidents.
La session est close.
Mes Parlementaires
Paris, 29 décembre 6 h. 10, soir.
Vif in et dent.
COULOIRS DU PALAIS BOURBON. —
Un incident très vif s'est passé dans les
couloirs, à la suite de celui provoqué, en
séance, par M. Lacote. Celui-ci expliquait
«ou cas dans un groupe de députés, lors
que M. Cornudet, député de la Creuse,
s'approchant du groupe lui dit : « Vous
en avez menti : je vous ai vu déposer un
bulletin blanc dans l'urne ». Quelques se
condes après M. Nadaud, questeur de la
Chambre, également député de la Creuse,
s'avança près du groupe et confirma ce
qu’avait dit M. Cornudet. M. Lacote vou
lût alors se précipiter sur M. Nadaud,
mais il en fut empêché par les assis
tants.
— M. Michelin est résolu à ne déposer
sa proposition de révision de la Consti
tution, qu'à la rentrée de janvier.
Paris, 29 décembre, 6 h. 30, soir.
Les élections des députés invalidés sont
fixées au 17 janvier.
— A la suite de la demande qui en a
été faite par MM. Treille et Thomson, le
ministère de l'intérieur a décidé de pré
senter à la Chambre, un projeî de crédits
pour les victimes des tremblements de
terre en Algérie.
Paris, 29 décembre, 7 h., soir.
Suite de l’incident ILacote
A la suite de l'incident qui s'est pro
duit dans les couloirs entre MM. Cornu
det et Martin-Nadaud d'une part, et
M. Lacote d’autre part, ce dernier a
adressé une lettre à M. Hoquet, dans
laquelle il dit qu'il se borne pour l'ins
tant, à protester contre les calomnies
dont il est victime, en attendant qu'il
soit appelé à en démontrer le néant
devant le bureau de la Chambre.
LA
Paris, 29 décembre, 5 h. 30, matin.
Plusieurs journaux conffrmentla nou
velle qu'à l’issue du conseil qui aura lieu
ce matin, la démission du cabinet sera
déûnitive.
M. G-révy fera appeler MM. Floquet et
Leroyer et les consultera sur la situation
parlementaire.
Il offrira peut-être à M. Floquet de
constituer un cabinet, mais les présidents
des deux Chambres lui conseilleront d'ap
peler M. de Freycinet.
— Le « Gaulois » croit savoir que
M. Allain-Targê se retire avec M.Brisson.
Paris, 29 décembre, 5 h. 18, soir.
Les ministres se sont réunis, ce matin,
en Conseil de cabinet au ministère de la
justice. M. Brisson a confirmé à ses collè
gues sa ferme résolution de se retirer du
ministère. Les ministres se sont ensuite
rendus à l'Elysée, où M. Brisson a féli
cité M. Grévy, en son nom et en celui de
ses collègues, de sa réélection.
Le président du Conseil a ensuite expo
sé au Président de la République que le
scrutin sur les crédits du Tonkin avait,
sinon numériquement, au moins morale
ment mis le ministère en minorité, puis
que le nombre des ministres qui ont voté
excède la majorité obtenue, et qu’en ana
lysant la situation parlementaire, il
avait acquis la conviction que le cabinet
n'avait plus assez d'autorité, et n'offrait
pas des garanties de stabilité suffisantes
pour pouvoir reprendre en mains la di
rection des affaires du pays.
M. Grévy a fait valoir que le ministère
avait obtenu une majorité dans des con
ditions telles, que le vote des crédits du
Tonkin constituait un véritable succès
politique pour le Cabinet et un succès
personnel pour les trois ministres qui
avaient pris part aux débats.
M. Brisson a répondu qu’il avait mûre
ment réfléchi, que son dévouement ne
pouvait pas être mis en doute, mais qu'il |
croyait devoir irrêvocahlement persister
dans sa décision.
Le Conseil de s ministres s'est terminé
à 11 heures.
Paris, 29 décembre, 5 b. 40, soir,
Le « Temps » dit que dans le Conseil
des ministres de ce matin, M. Grévy,
avant de lever la séance, a encore deman
dé à M. Brisson d'accepter un délai qui
lui permettrait de réfléchir et de revenir
sur sa décision. M. Brisson a répliqués
que cela serait inutile, que sa décision
était absolument irrévocable.
Le « Paris » dit que M. Grévy eût, à
l'issue du Conseil, une entrevue avec M.
de Freycinet; mais d'autres journaux
affirment que le Président de la Républi
que a l'intention d’insister encore auprès
de M. Brisson, et ne pressentira aucun
autre personnage politique avant la soi
rée, relativement à la formation d'un
nouveau ministère.
Plusieurs journaux déclarent, en outre,
que M. Grévy a déclaré à son Conseil que
puisque le ministère invoquait pour se
retirer, les usages constitutionnels, il
devait dès lors rester en fonction jus
qu'au 31 décembro, puisque c'est seule
ment à ce jour que commencera son nou
veau mandat de président de la Républi
que. Le ministère ne pourrait donc en
core arguer de l'élection d’hier pour
résilier ses pouvoirs.
L’Election d’Hier
Paris, 29 décembre, 5 h. 40, matin.
Le « Figaro » dit que M. Brisson a été
le premier qui, de retour de Versailles,
vint complimenter hier M. Grévy. Il lui a
fait part de son intention formelle de se
retirer du ministère. MM. Floquet, Loc-
kroy, les ministres, députés et sénateurs
vinrent également dans la soirée à l'Ely
sée.
M. Leroyer, président du Sénat, les
membres du bureau de l'Assemblée natio-
nationale vinrent communiquer à M «*.
Grévy le résultat du scrutin.
— La « République Française » confirma
que M. Grévy n'adressera aucun message
aux Chambres.
— Sur 856 membres du Congrès 267 s®
sont abstenus, dont 236 de la droite et
31 de la gauche.
Neuf droitiers ont participé au vote.
LES DÉCORÉS DU I er JANVIER
Paris, 29 décembre, 8 b. 55 matin.
Par décrets parus à F « Officiel » sont
promus :
Grands-officiers de la Légion d’hon
neur :
MM. Prïtzbuer, préfet maritime à iïo~
chefort ; Marielle, inspecteur général dm
génie maritime.
Commandeurs :
MM. Béhic , major-général de la marine
à Lorient ; Coudein, Cavelier, de Cuvera
ville, capitaine de vaisseau ; Légier, co
lonel d'infanterie de marine ; Perroy,.
directeur des constructions navales ?
Bouchard, président de la Chambre de la,
cour des comptes.
’"* T '
Décorations algériennes
Paris, 29 décembre, 2 h. 50 soir.
Parmi les décorations accordées à F AU
gêrie, ûgurent celles de M. Jersaillon
viticulteur à Oran, juge au tribunal de
commerce de cette ville ; de M. Duchamp M
conseiller de gouvernement à Alger ; de
M. Guasco, maire de Souk-Ahras, et de
M. Bruno, membre de la Chambrecommerce de Philippeville, nommés che
valiers de la Légion d’honneur.
-«0* —
•/Lu Soudan
Paris, 29 décembre, 8 h. 30, matin.
On mande de Londres que le générai
Stephenson se prépare à attaquer les
Soudanais occupant des positions mena
çant Kosheh et Akasheh.
Les Soudanais sont arrivés entre Wa-
dihalfa et Corosko, incendiant tout suf
leur passage.
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MGE TÉLÉGRAPHIQUE RE LA DÉPÊCHE
A LA CHAMBRE
Paris, 29 décembre, 6 h. 30, soir,
Plusieurs incidents vifs se sont pro
duits à l'occasion du procès-verbal.
MM. Lacote et de F Aigle déclarent avoir
■voté contre les crédits du Tonkin, alors
qu'ils ont été portés comme s'étant abs
tenus.
M. de l'Aigle dit que la Chambre est
une caverne de brigands. Il est rappelé à
Vordre.
M. Laguerie dit que c'est une escroque
rie d'avoir fait voter M. Franconie qui
est encore en mer.
M. Jolibois demande que tous ces faits
soient renvoyés au ministre de la justice.
Cette proposition est repoussée par 259
voix, contre 233.
Le procès-verbal de la dernière séance
est ensuite adopté.
M. Laguerre propose de charger le bu
reau de la Chambre de faire une enquête
sur les faits qui ont été signalés à, propos
de l'adoption du procès-verbal.
Cette proposition est adoptée.
La Chambre vote ensuite quelques pro
jets locaux et adopte le projet de loi
déclarant jours fériés les lundis de Pâques
et de Pentecôto.
AU SÉNAT
Paris, 29 décembre., 6 h. 30, soir.
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loi de peu d'importance, sans incidents.
La session est close.
Mes Parlementaires
Paris, 29 décembre 6 h. 10, soir.
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COULOIRS DU PALAIS BOURBON. —
Un incident très vif s'est passé dans les
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séance, par M. Lacote. Celui-ci expliquait
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s'approchant du groupe lui dit : « Vous
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Chambre, également député de la Creuse,
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— M. Michelin est résolu à ne déposer
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— A la suite de la demande qui en a
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Il offrira peut-être à M. Floquet de
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Les ministres se sont réunis, ce matin,
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Le président du Conseil a ensuite expo
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M. Grévy a fait valoir que le ministère
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Neuf droitiers ont participé au vote.
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