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Bellière, 1897 : Portrait de la chancelière de Pastoret :
17.900 fr.— Vte X..., 31 mai 1899 : Le sacre de Napoléon :
32.000 fr.—Vte Bourgon, 19 février 1903 : Esquisse du
rideau du théâtre de Chanterienne : 900 fr.—Vte du 12 fé
vrier 1903 : Portrait du général de Voudoncourt : 2.000 fr.
-—Vte du 5 mars 1903 : Elude de différents personnages :
pour le tableau du sacre: 100 fr.—Vte du comte A. de G,,..
4 juin 1903 : Portrait de femme : 4.800 fr.— Vte de M. R....
22 juin 1905 : Portrait de M. Desmaisons : 40.000 fr.—
Portrait de Mme Buron: 8.500 fr.—Dessins. Vte Brou-
het-Aubertot, 1869 : Portrait de Lepelletier de St-Far-
geaux : 760 fr.— Vte Destailleur. 1893 : Recueil de qua
rante-deux études pour le tableau du sacre de Napoléon :
900 fr.— Vte de Goncourt, 1897 : Portrait de David.
(encre de Chine) : 3.100 fr.— Vte Marmontel, 1898 :
Le Pelletier de Sl-Fargeaux (A la plume) : 1.000 fr.—
Vte Talleyrand, 1899 : Portrait de Napoléon I ei : 500 fr.
•—Vte Sieurin, 1879 : Portraits et titres pour les Fables
deLaFontaine (Quatre dessins à l’aquarelle et à la sépia):
205 fr.—Estampes. Vte Behague, 1877 : Journée du
4 février 1790 (Epr. avant la lettre) : 48 fr.— Vte mai
1898 : Portrait de Volneg : 181 fr.
DAVID (Jacques-Louis-Jules), peintre de paysages et de
portraits, né à Paris le 16 mai 1829 (Ec. Fr.).
Petit-fils de Jacques-Louis David, il entra à l’école
des Beaux-Arts, le 9 octobre 1849, et fut élève de Co-
gniet et de Picot. Il débuta au Salon en 1859.
DAVID (Jean), sculpteur, travaillait au xiv e siècle
(Ee. Fr.).
Travailla au tombeau de Clément VI, à la Chaise-
Dieu (1346-1351).
DAVID (Jean), peintre à Grenoble au xVIIe siècle (Ec.
Fr.).
Fils de Claude David, notaire et propriétaire de la
châtellenie de Laval, il donna naissance à toute une fa
mille de peintres. En 1696, il peignit un Crucifix et
divers tableaux pour le procureur fiscal de Grenoble,
Jean Michel.
DAVID (Jean-Ferdinand), paysagiste, né à Agen au
h xix e siècle (Ec. Fr.).
P Elève de Mainville et Cabanel. Sociétaire des Artistes
Français depuis 1901.
DAVID (Jean-Louis), peintre et aquarelliste, né à Paris
en 1792, mort dans la même ville le 11 février 1868
(Ec. Fr.).
De 1833 à 1866 il figura au Salon. Parmi ses aquarelles,
on mentionne : Promenade aux environs de Paris; La re
commandation maternelle.
DAVID (Jérôme), graveur français né à Paris .71
vers 1638, mort à Rome vers 1670 (Ec. Fr.).,'
Il était frère de Charles David dont il adopta la
forme. Il grava surtout des portraits. Nombre de ses
planches sont signées des initiales H. D. F. On cite de
encore de lui des Planches pour Y Ancien et le Nouveau
Testaments;- —3 planches pour des Saints; —8 planches
de Portraits.
Prix.- —Estampes. Paris. Vte X..., 22 janvier 1858 :
Gaston de France à cheval : 34 fr.— Gaston d’Orléans,
Marguerite de Lorraine : 78 fr.—Vte Firmin Didot)
1877 : Louis XIII en costume royal : 20 fr.
DAVID (Jules), peintre et lithographe, né à Paris le
.29 mars 1808 (Ec. Fr.).
Il débuta au Salon en 1834. On cite de ses œuvres :
L’entrée au couvent, aquarelle;— Vice et vertu, douze li-
thographies;— L’enfant malade, aquarelle.
DAVID (Laurence), peintre à Grenoble, née vers 1705,
morte le 6 novembre 1760 (Ec. Fr.).
Fille de François David.
DAVID (Mme Léonie), peintre de genre, née à Paris au
xix e siècle (Ec. Fr.).
Elève de Mme Meyzara, elle débuta au Salon de 1868
avec un pastel d’après Giacomotti. _
DAVID (Louis), graveur, né à Avignon, travail- Ip
lait de 1665 à 1706 (Ec. Fr.). —
Il alla à Rome et y résida pendant une partie de sa
carrière. On cite de lui : La Descente de croix;—Antonio
Bauchieri;—Petrus Couderc;-—-Esprit Macassole;—Lu-
dovicus Pelisson.
DAVID (Louis-Alphonse), peintre, né à St-Rambert le
27 novembre 1798 (Ec. Fr.).
Elève de Girodet à l’école des Beaux-Arts où il entra le
29 janvier 1817. Au Salon de Paris, il exposa de 1831 à
1849. On cite parmi ses tableaux : Une femme turque à
sa toilette;-—La duchesse de Montpensier et Jacques
Clément.
DAVID ou Davide (Ludovico-Antonio ou ~ |
Giacomo), peintre, né à Lugano en 1648, J 7)
mort vers 1728 ou 1730 (Ec. Suis.). '
Après avoir travaillé à Milan comme élève de Caveliere
Cairo et d’Ercole Procaccini, il alla à Bologne, où il
entra dans l’école de
l’église San Silvestro,
Nativité sur un trône.
de Cluny.
Carlo Cignani. A Venise, dans
on voit de lui un tableau de la
Ce tableau se trouve au musée
DAVID (M.), portraitiste, peintre de genre et pastelliste,
né à Paris au xxe siècle (Ec. Fr.).
Elève de Tony Robert-Fleury. Sociétaire des Artistes
Français depuis 1906.
DAVID (Marie), portraitiste, née à Limoges, XIxe-
xx e siècles (Ec. Fr.).
Elève de Mme de Cool et Al. Lafond. Participa à
kieen1828
peintre. De
esclusivems
le sa carriè
1er la. P 0 ! 1
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i voyagea.
France en
le vue arti
es plus ren
l’Exposition Universelle de Paris en 1900. ’ lerooure
DAVID (Maxime), peintre, né à Châlons-sur-Marne le eSt.YIRHire
24 août 1798, mort à Paris en 1870 (Ec. Fr.).
Cet artiste étudia sous la direction de Mme de Mirbel.
Il fut médaillé de 3 e classe en 1835, de 2 e classe en 1836
et 1848 et de l re classe en 1841. Le 2 mai 1851, il fut
décoré de la croix de chevalier de la Légion d’honneur.
Au Salon de Paris, il figura de 1834 à 1868. De ses
œuvres, on mentionne: Le Miroir; l’Ecrin; la Lyre:
Dominicain en prière (miniatures).Cet artiste qui avait
commencé à faire de la miniature en amateur, aban
donna la magistrature. Il devint le miniaturiste à la
mode. On lui doit les portraits de plusieurs grands per
sonnages de l’époque. Il fit trois portraits d’Abd-el-
Kader. Le musée de Châlons-sur-Marne conserve de lui
deux miniatures sur ivoire.
Prix. —Peinture. Londres. Vte X..., 26 février 1898 :
Aux approches du soir :7. 260 fr.—Miniature. Paris. Vte
Rhoné, 1861 : Portrait de Louis-Philippe. Miniature :
275 fr.— Jeune mère et deux enfants:365 fr.-—-VieFebvre,
1882 : Portrait d’une jeune fille (ivoire) : 45 fr.
DAVID DE MAYRENA (Mme née Clémence-Jeanne
Eymard de Lanchatre), peintre de portraits, pastel
liste et sculpteur, née à Metz au xix e siècle (Ec Fr.).
a sculpture
n exagérai
lisait : « Qu
les scènes
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igne el le ci
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assez grand
lu tout pre
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Béclard Pie
per—Cuvie
Jussieu;— 4
siennes) :
Pujol et de
François I e ’
France vol
Bataille de
Elève de Mlle Bricka. Elle débuta au Salon de 1875.
sous son nom de demoiselle et prit à partir de 1882 celui
de son mari.
DAVID (Michel), graveur à Châleau-du-Loir en 16851
(Ec. Fr.). I
DÂVID (Pierre), peintre à Grenoble au xvm e siècle (Ec.
Fr.).
Fiis de Jean David (1721).
DAVID (Pierre-Jean, dit David d’Angers), sculpteur, né |
à Angers le 12 mars 1788, mort à Paris le 6 janvier |
1856 (Ec. Fr.).
Il était le quatrième fils du sculpteur angevin Pierre- ,
Louis David et bien qu’à peine âgé de quatre ans, il |
accompagna celui-ci parmi les troupes républicaines |
lors de l’insurrection de la Vendée. Mais lorsqu’il |
voulut, quelques années plus tard, se consacrer à la car
rière artistique, il rencontra chez son père une opposi
tion violente. Le vieux sculpteur avait trop souffert
d’un état qui ne lui avait guère rapporté que des
déboires,pour ne pas contrarier de toutes ses forces la
vocation de son fils. Grâce à l’appui de Marchand et de
Delusse, professeurs de dessin et de gravure à l’Ecole
Centrale d’Angers, le jeune homme triompha de la ré
sistance paternelle et obtint l’autorisation de tra
vailler sous la direction des deux maîtres et, plus tard,
de partir pour Paris. A vrai dire, il dut effectuer ce
voyage à pied et lorsqu’il arriva dans la capitale, en 1808,
il possédait à peine en poche quelques écus. Il y connut
le peintre Louis David et le sculpteur Roland qui lui
prodiguèrent leurs conseils, cependant que, pour gagner
de quoi vivre, il travaillait moyennant vingt sous par
jour à des sculptures d’ornementation à l’Arc du Car
rousel et au Palais du Louvre. Il a lui-même raconté,
dans des lettres tout intimes, que, le soir, rentré dans
le grenier où il habitait, avant de s’étendre sur la
planche qui lui servait de lit, il s’appliquait à modeler
les peintures de Nicolas Poussin. Ces efforts eurent leur
récompense. Quelques succès aux concours de l’Aca
démie, en 1809 et 1810, furent suivis de l’obtention du
premier grand prix de Rome, en 1811. Il séjourna cinq
ans en Italie et y connut Canova. Revenu en France
en 1816, il ne put supporter le spectacle de Paris occupé
par les alliés et s’exila en Angleterre. Il n’y resta pas
longtemps. Dix-huit jours après son arrivée, on vint
lui offrir une commande richement payée pour l’érection
d’un monument commémoratif de la bataille de Wa
terloo. Le jeune artiste congédia ses visiteurs officiels
avec plus de patriotisme que de civilité et n’ayant pas
un sou, vendit le soir même une partie de ses vêtements
pour rentrer en France. Il fut choisi, sitôt son retour,
pour achever la statue de Condé que Roland, mort peu
avant, avait laissée inachevée. Cette œuvre assura la
gloire et la prospérité de David d’Angers. En 1826, il
fut décoré de la Légion d’honneur et nommé membre de
l’Académie et professeur à l’Ecole des Beaux-Arts. Un
attentat provoqué par la jalousie faillit lui coûter la
bas-relief;.
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Bellière, 1897 : Portrait de la chancelière de Pastoret :
17.900 fr.— Vte X..., 31 mai 1899 : Le sacre de Napoléon :
32.000 fr.—Vte Bourgon, 19 février 1903 : Esquisse du
rideau du théâtre de Chanterienne : 900 fr.—Vte du 12 fé
vrier 1903 : Portrait du général de Voudoncourt : 2.000 fr.
-—Vte du 5 mars 1903 : Elude de différents personnages :
pour le tableau du sacre: 100 fr.—Vte du comte A. de G,,..
4 juin 1903 : Portrait de femme : 4.800 fr.— Vte de M. R....
22 juin 1905 : Portrait de M. Desmaisons : 40.000 fr.—
Portrait de Mme Buron: 8.500 fr.—Dessins. Vte Brou-
het-Aubertot, 1869 : Portrait de Lepelletier de St-Far-
geaux : 760 fr.— Vte Destailleur. 1893 : Recueil de qua
rante-deux études pour le tableau du sacre de Napoléon :
900 fr.— Vte de Goncourt, 1897 : Portrait de David.
(encre de Chine) : 3.100 fr.— Vte Marmontel, 1898 :
Le Pelletier de Sl-Fargeaux (A la plume) : 1.000 fr.—
Vte Talleyrand, 1899 : Portrait de Napoléon I ei : 500 fr.
•—Vte Sieurin, 1879 : Portraits et titres pour les Fables
deLaFontaine (Quatre dessins à l’aquarelle et à la sépia):
205 fr.—Estampes. Vte Behague, 1877 : Journée du
4 février 1790 (Epr. avant la lettre) : 48 fr.— Vte mai
1898 : Portrait de Volneg : 181 fr.
DAVID (Jacques-Louis-Jules), peintre de paysages et de
portraits, né à Paris le 16 mai 1829 (Ec. Fr.).
Petit-fils de Jacques-Louis David, il entra à l’école
des Beaux-Arts, le 9 octobre 1849, et fut élève de Co-
gniet et de Picot. Il débuta au Salon en 1859.
DAVID (Jean), sculpteur, travaillait au xiv e siècle
(Ee. Fr.).
Travailla au tombeau de Clément VI, à la Chaise-
Dieu (1346-1351).
DAVID (Jean), peintre à Grenoble au xVIIe siècle (Ec.
Fr.).
Fils de Claude David, notaire et propriétaire de la
châtellenie de Laval, il donna naissance à toute une fa
mille de peintres. En 1696, il peignit un Crucifix et
divers tableaux pour le procureur fiscal de Grenoble,
Jean Michel.
DAVID (Jean-Ferdinand), paysagiste, né à Agen au
h xix e siècle (Ec. Fr.).
P Elève de Mainville et Cabanel. Sociétaire des Artistes
Français depuis 1901.
DAVID (Jean-Louis), peintre et aquarelliste, né à Paris
en 1792, mort dans la même ville le 11 février 1868
(Ec. Fr.).
De 1833 à 1866 il figura au Salon. Parmi ses aquarelles,
on mentionne : Promenade aux environs de Paris; La re
commandation maternelle.
DAVID (Jérôme), graveur français né à Paris .71
vers 1638, mort à Rome vers 1670 (Ec. Fr.).,'
Il était frère de Charles David dont il adopta la
forme. Il grava surtout des portraits. Nombre de ses
planches sont signées des initiales H. D. F. On cite de
encore de lui des Planches pour Y Ancien et le Nouveau
Testaments;- —3 planches pour des Saints; —8 planches
de Portraits.
Prix.- —Estampes. Paris. Vte X..., 22 janvier 1858 :
Gaston de France à cheval : 34 fr.— Gaston d’Orléans,
Marguerite de Lorraine : 78 fr.—Vte Firmin Didot)
1877 : Louis XIII en costume royal : 20 fr.
DAVID (Jules), peintre et lithographe, né à Paris le
.29 mars 1808 (Ec. Fr.).
Il débuta au Salon en 1834. On cite de ses œuvres :
L’entrée au couvent, aquarelle;— Vice et vertu, douze li-
thographies;— L’enfant malade, aquarelle.
DAVID (Laurence), peintre à Grenoble, née vers 1705,
morte le 6 novembre 1760 (Ec. Fr.).
Fille de François David.
DAVID (Mme Léonie), peintre de genre, née à Paris au
xix e siècle (Ec. Fr.).
Elève de Mme Meyzara, elle débuta au Salon de 1868
avec un pastel d’après Giacomotti. _
DAVID (Louis), graveur, né à Avignon, travail- Ip
lait de 1665 à 1706 (Ec. Fr.). —
Il alla à Rome et y résida pendant une partie de sa
carrière. On cite de lui : La Descente de croix;—Antonio
Bauchieri;—Petrus Couderc;-—-Esprit Macassole;—Lu-
dovicus Pelisson.
DAVID (Louis-Alphonse), peintre, né à St-Rambert le
27 novembre 1798 (Ec. Fr.).
Elève de Girodet à l’école des Beaux-Arts où il entra le
29 janvier 1817. Au Salon de Paris, il exposa de 1831 à
1849. On cite parmi ses tableaux : Une femme turque à
sa toilette;-—La duchesse de Montpensier et Jacques
Clément.
DAVID ou Davide (Ludovico-Antonio ou ~ |
Giacomo), peintre, né à Lugano en 1648, J 7)
mort vers 1728 ou 1730 (Ec. Suis.). '
Après avoir travaillé à Milan comme élève de Caveliere
Cairo et d’Ercole Procaccini, il alla à Bologne, où il
entra dans l’école de
l’église San Silvestro,
Nativité sur un trône.
de Cluny.
Carlo Cignani. A Venise, dans
on voit de lui un tableau de la
Ce tableau se trouve au musée
DAVID (M.), portraitiste, peintre de genre et pastelliste,
né à Paris au xxe siècle (Ec. Fr.).
Elève de Tony Robert-Fleury. Sociétaire des Artistes
Français depuis 1906.
DAVID (Marie), portraitiste, née à Limoges, XIxe-
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l’Exposition Universelle de Paris en 1900. ’ lerooure
DAVID (Maxime), peintre, né à Châlons-sur-Marne le eSt.YIRHire
24 août 1798, mort à Paris en 1870 (Ec. Fr.).
Cet artiste étudia sous la direction de Mme de Mirbel.
Il fut médaillé de 3 e classe en 1835, de 2 e classe en 1836
et 1848 et de l re classe en 1841. Le 2 mai 1851, il fut
décoré de la croix de chevalier de la Légion d’honneur.
Au Salon de Paris, il figura de 1834 à 1868. De ses
œuvres, on mentionne: Le Miroir; l’Ecrin; la Lyre:
Dominicain en prière (miniatures).Cet artiste qui avait
commencé à faire de la miniature en amateur, aban
donna la magistrature. Il devint le miniaturiste à la
mode. On lui doit les portraits de plusieurs grands per
sonnages de l’époque. Il fit trois portraits d’Abd-el-
Kader. Le musée de Châlons-sur-Marne conserve de lui
deux miniatures sur ivoire.
Prix. —Peinture. Londres. Vte X..., 26 février 1898 :
Aux approches du soir :7. 260 fr.—Miniature. Paris. Vte
Rhoné, 1861 : Portrait de Louis-Philippe. Miniature :
275 fr.— Jeune mère et deux enfants:365 fr.-—-VieFebvre,
1882 : Portrait d’une jeune fille (ivoire) : 45 fr.
DAVID DE MAYRENA (Mme née Clémence-Jeanne
Eymard de Lanchatre), peintre de portraits, pastel
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Elève de Mlle Bricka. Elle débuta au Salon de 1875.
sous son nom de demoiselle et prit à partir de 1882 celui
de son mari.
DAVID (Michel), graveur à Châleau-du-Loir en 16851
(Ec. Fr.). I
DÂVID (Pierre), peintre à Grenoble au xvm e siècle (Ec.
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Fiis de Jean David (1721).
DAVID (Pierre-Jean, dit David d’Angers), sculpteur, né |
à Angers le 12 mars 1788, mort à Paris le 6 janvier |
1856 (Ec. Fr.).
Il était le quatrième fils du sculpteur angevin Pierre- ,
Louis David et bien qu’à peine âgé de quatre ans, il |
accompagna celui-ci parmi les troupes républicaines |
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rière artistique, il rencontra chez son père une opposi
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d’un état qui ne lui avait guère rapporté que des
déboires,pour ne pas contrarier de toutes ses forces la
vocation de son fils. Grâce à l’appui de Marchand et de
Delusse, professeurs de dessin et de gravure à l’Ecole
Centrale d’Angers, le jeune homme triompha de la ré
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vailler sous la direction des deux maîtres et, plus tard,
de partir pour Paris. A vrai dire, il dut effectuer ce
voyage à pied et lorsqu’il arriva dans la capitale, en 1808,
il possédait à peine en poche quelques écus. Il y connut
le peintre Louis David et le sculpteur Roland qui lui
prodiguèrent leurs conseils, cependant que, pour gagner
de quoi vivre, il travaillait moyennant vingt sous par
jour à des sculptures d’ornementation à l’Arc du Car
rousel et au Palais du Louvre. Il a lui-même raconté,
dans des lettres tout intimes, que, le soir, rentré dans
le grenier où il habitait, avant de s’étendre sur la
planche qui lui servait de lit, il s’appliquait à modeler
les peintures de Nicolas Poussin. Ces efforts eurent leur
récompense. Quelques succès aux concours de l’Aca
démie, en 1809 et 1810, furent suivis de l’obtention du
premier grand prix de Rome, en 1811. Il séjourna cinq
ans en Italie et y connut Canova. Revenu en France
en 1816, il ne put supporter le spectacle de Paris occupé
par les alliés et s’exila en Angleterre. Il n’y resta pas
longtemps. Dix-huit jours après son arrivée, on vint
lui offrir une commande richement payée pour l’érection
d’un monument commémoratif de la bataille de Wa
terloo. Le jeune artiste congédia ses visiteurs officiels
avec plus de patriotisme que de civilité et n’ayant pas
un sou, vendit le soir même une partie de ses vêtements
pour rentrer en France. Il fut choisi, sitôt son retour,
pour achever la statue de Condé que Roland, mort peu
avant, avait laissée inachevée. Cette œuvre assura la
gloire et la prospérité de David d’Angers. En 1826, il
fut décoré de la Légion d’honneur et nommé membre de
l’Académie et professeur à l’Ecole des Beaux-Arts. Un
attentat provoqué par la jalousie faillit lui coûter la
bas-relief;.
mirPérier,
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